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Grossesse et sport

Les bienfaits de l'activité physique sur la grossesse.
Plusieurs études récentes vont dans le sens d’un effet bénéfique de la pratique d’une activité physique au cours de la grossesse.
En cas de grossesse normale, si une activité physique est bien adaptée et pratiquée en douceur (modérée en intensité), cela limite les risques de complications et apporte détente et bonne forme physique.
Les études montrent de nombreux effets positifs de l’activité physique sur :
- Le contrôle du poids et la condition physique.
- l’humeur, le bien-être et l’état d’anxiété.
- les nausées,
- le diabète gestationnel,
- la douleur, la fatigue et la constipation.


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Quelles précautions prendre ou quelles activités à éviter ?
 Avant toute chose, vous devez obligatoirement consulter votre médecin, votre gynécologue ou la sage-femme qui suit votre grossesse pour vérifier que votre activité sportive habituelle n'est pas contre-indiquée.
De manière générale, en terme de fréquence, il est déconseillé de réaliser deux jours de suite des activités physiques d’intensité élevée. Plutôt favoriser des activités physiques douces. Pour vérifier cela, vous devez être capable de pouvoir parler pendant toute la durée de l'effort. N'allez pas au-delà de vos limites : dès que vous sentez un quelconque essoufflement, sachez ralentir !

A partir du 5e mois de grossesse, il faut éviter le vélo et la course à pied.Certains sports sont formellement déconseillés et ce, dès le début de la grossesse.
A savoir, tous les sports susceptibles de provoquer des secousses, des chocs, des chutes et de la fatigue: des sports de combat (judo, aïkido…), l'équitation, le ski alpin, le ski nautique, le patinage, l'aérobic, l'escalade, l'athlétisme, les sports d'équipe (volley-ball, hand-ball, basket…), roller, moto, VTT, etc.
La plongée sous-marine doit être évitée pendant la période de grossesse dans la mesure où le fœtus est soumis à un risque accru lié aux phénomènes de décompression.


Quelles activités sont préférables ? Et en pratique comment faire ?
Pour les femmes déjà sportives avant la grossesse, il est préférable de réduire l’activité physique habituelle tout en maintenant des activités douces et de renforcement musculaires permettant de conserver une bonne condition physique.
Pour les femmes non sportives avant la grossesse, une incitation à la pratique d’activité physique légère est souhaitable mais sans programmes exigeants. Il est conseillé de commencer par 15 minutes d’exercices continue, 3 fois par semaine pouvant aller jusqu’à 30 minutes d’exercices continues 4 fois par semaine.
La marche et la natation sont les deux activités particulièrement conseillées pendant la grossesse.
Avec la marche, on peut facilement doser ses efforts en adaptant la durée et la difficulté de la marche. En fin de grossesse, il faut ralentir et multiplier les pauses. Il faut  de bonnes chaussures qui maintiennent les chevilles, et éviter les terrains accidentés (risque de chute) et veiller à maintenir son dos bien droit (le centre de gravité se modifie au fur et à mesure de l'avancée de la grossesse).

La natation tonifie les muscles et assouplit les articulations. Elle soulage les problèmes veineux et les lombaires.
Évidemment, il ne faut pas plonger, ne pas faire d'apnée prolongée ni de compétition.  le dos crawlé est à privilégier (la brasse tend à creuser les lombaires et à accentuer les douleurs dorsales).
A noter que l'aquagym et les préparations à l'accouchement en piscine sont d'excellentes activités.

Parmi les autres sports possibles : la gym douce (étirements, assouplissements, relaxation), le stretching, le yoga, la danse classique ou rythmique à condition de ralentir le rythme et de supprimer les sauts, la bicyclette avec modération sur route tranquille et stable.
Si vous suivez tous ces conseils, vous devriez pouvoir vivre une grossesse sportive en toute sécurité !

Genèse de la Poste Marocaine.

 La Poste marocaine s'est constituée à partir d'abord des bureaux étrangers, puis des postes locales privées, dont l'exemple a stimulé les pouvoirs publics marocains et entraîné ensuite la fondation de la première Poste chérifienne.

Le Premier service postal marocain connu sous le nom de Poste Makhzen fut fondé par le Sultan Moulay Hassan 1er et ce, en vertu d’un dahir du 20 Joumada I 1390 (22 novembre 1892).

Il s’agissait en fait d’un embryon de réseau de courrier liant les principales villes à l’époque (Tétouan, Tanger, Larache, Ksar El KEBIR, Fès, Méknès, Rabat, Casablanca, Azemmour, Mazagan ( El Jadida) , Mogador (Essaouira ) , Safi et Marrakech) et utilisant comme moyen de transport des convoyeurs à pieds , des REKKAS , sorte de facteurs.
Les Rekkas , souvent des mulâtres d'une taille au dessus de la moyenne, couvraient en trois jours , les 280 km qui séparaient Tanger de Fès, toujours à pied, marchant nuit et jour de leur pas allongé, armés d'une longue canne leur servant à sonder les oueds qu'ils traversaient .
Tout en marchant ils se nourrissaient d'une galette de pain, de quelques dattes et de beurre rance. Certains expiraient en arrivant. La plupart d’entre eux mouraient très jeunes.


On prétend que sa tenue déguenillée lui servait de camouflage pour ne pas attirer l'attention des coupe-jarrets, nombreux à l'époque sur les routes.


La Poste Makhzen utilisa d'abord des cachets à inscriptions arabes en négatif, dits "cachets Makhzen", comportant le nom du bureau et un appel à la protection de Dieu.

Les lettres des particuliers étaient oblitérées par un cachet octogonal et le courrier officiel par un cachet rond. Chaque ville avait un cachet spécifique.
Courrrier postal avec cachet octogonal Tanger - Salé
Courrier postal avec cachet rond Azemmour - Marrakech 
La mise en service de ces cachets prit fin le 25 Mai 1912, date d’émission des premiers timbres-poste marocains.
En Septembre 1911 et à la suite du désordre ayant submergé le service postal et l’indiscipline de certains Oumanas des postes, le Sultan Moulay Abdel Hafid donna ses ordres pour la réorganisation de la Poste Makhzen et confia à M Biarnay alors Directeur du télégraphe Maghzen, cette mission conjointement avec l’Amine Ben Chekroun en tant que Directeur Makhzanien marocain.
Le nouveau service, qui s'inspira du modèle des bureaux européens, fonctionna à partir du 1 er Mars 1912 sous la dénomination d« Administration chérifienne des Postes des Télégraphes et des Téléphones ».
 La première série de timbres-poste marocains fut émise le 22 mai 1912 : 6 timbres représentant la Zaouiya Issaouiya de Tanger. Ces timbres avaient pour valeur faciale une unité de monnaie « La Mouzonat », l’équivalent du hassani . 400 mouzonat valaient 1 rial. 
6 valeurs furent imprimées : 1, 2 , 5 , 10 , 25 et 50 mouzonat.
 En vertu d’un accord signé le 1 er octobre 1913 entre le Maroc et la France, fut créé par dahir l’Office Chérifien des Postes des Télégraphes et des Téléphones. La Poste Makhzen utilisa d'abord des cachets à inscriptions arabes en négatif, dits "cachets Makhzen", comportant le nom du bureau et un appel à la protection de Dieu. Courrrier postal avec cachet octogonal Tanger - Salé Courrier postal avec cachet rond Azemmour - Marrakech.

Quand Hassan II et Ben Bella négociaient la frontière maroco-algérienne

Entre le 13 et le 15 mars 1963, feu le roi Hassan II s’est déplacé à Alger dans le cadre d’une visite officielle de trois jours. Au cours de sa rencontre avec le Premier ministre algérien, Ahmed Ben Bella, le souverain revient notamment sur l’épineuse question des frontières entre les deux pays. Six mois plus tard, le Maroc et l’Algérie, voisins ennemis, sont en guerre autour de Tindouf et Béchar. Histoire.

Feu le roi Hassan II en compagnie du Premier ministre algérien
 Ahmed Ben Bella, au Palais royal de Rabat en 1962.

Les tracés des frontières ont toujours été à l’origine des différends entre le Maroc et son voisin de l’est. Depuis l’indépendance de l’Algérie en 1962, le Maroc n’a cessé de rappeler l’importance du respect des accords signés avec le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). Entre le 13 et le 15 mars, feu le roi Hassan II s’était déplacé à Alger pour discuter de cette question, entre autres, avec le Premier ministre algérien Ahmed Ben Bella.
Afin de procéder au règlement de leur différend, le Maroc et les autorités algériennes avaient précédemment signé un premier accord en juillet 1961. Durant cette rencontre, les deux parties avaient convenu de poursuivre les négociations pour parvenir à une solution mutuellement acceptable. Le «gouvernement de Sa Majesté le Roi du Maroc s’engage à faire face, par tous les moyens, aux éventuelles tentatives de partitions du territoire algérien», lit-on dans le septième volume de la série «Mémoires du patrimoine marocain» (Editions Nord Organisation, 1986).
Parallèlement, le Gouvernement provisoire de la République algérienne s’était engagé à reconnaître que «le différend territorial issu des frontières imposées par la France entre les deux pays trouveront une issue par des négociations entre les deux gouvernements». Le GPRA insistait également sur le fait que «les accords qui pouvaient intervenir à la suite de négociations franco-algériennes ne sauraient être opposables au Maroc quant aux délimitations territoriales algéro-marocaines.»


Ahmed Ben Bella et Benyoucef Ben Khedda 
en compagnie du roi Hassan II, en 1962 à Rabat. 


Un engagement signé par la GPRA
Au lendemain de son indépendance, l’Algérie avait rappelé sa promesse de relancer l’épineuse question des frontières. Mais le 18 mars 1962, les représentants du Gouvernement de la République française et du GPRA parviennent à la conclusion des accords d’Évian. Signés à l'hôtel du Parc d’Évian-les-Bains, en Haute-Savoie, ces accords se traduisent dans l'immédiat par un cessez-le-feu qui met officiellement fin à sept années et cinq mois de guerre.
Pour s’assurer que ses revendications soient entendues, le Maroc prend le risque d’étendre sa souveraineté jusqu’au poste de Zegou, situé à 50 km au sud-ouest de Taouz, en juillet 1962. D’après l’article de l’écrivain et historien Édouard Méric, paru en 1965 dans la Revue française de science politique (Volume 15, numéro 4, pp. 743-752), le poste était situé sur l’axe principal de communication entre Colomb Béchar et Tindouf. Pour réaffirmer ses bonnes intentions, le royaume chérifien dépêche, quatre jours plus tard, une délégation auprès de Benyoucef Benkhedda, histoire de féliciter le peuple algérien du retour du GPRA en Algérie et de lui rappeler les promesses. «Cela n’avait pas empêché les troupes algériennes, le 9 octobre 1962, d’occuper Tindouf et de chasser par la force les représentants locaux du gouvernement marocain qui refusaient de s’en aller, faisant des morts et des blessés», poursuit Édouard Méric.
Quelques mois plus tard, soit en mars 1963, le Maroc, toujours dans le cadre d’une démarche pacifiste, dépêche le prince Moulay Abdallah à Alger dès le 6 mars 1963 pour préparer la visite de feu le roi Hassan II. Le 13 mars, le souverain chérifien entame ainsi une visite officielle de trois jours dans la capitale algérienne. Une convention relative à l'assistance mutuelle et à la coopération judiciaire est alors signée. Surtout, le monarque déterre un autre dossier, rappelant à l’Algérie ses engagements quant aux frontières maroco-algériennes et l’impérative de la création d’une Commission de délimitation prévue dans l’accord de juillet 1961.

Ahmed Ben Bella et le roi Hassan II, le 15 mars 1963 à Alger 

Une énième promesse de Ben Bella
Suite à la visite de feu le roi Hassan II, Ahmed Ben Bella, alors chef du gouvernement algérien, promet au souverain qu’une solution verra le jour d’ici quelques mois, le temps que les institutions algériennes se mettent en place. «Je demande à votre Majesté plus de temps pour mettre en place des institutions algériennes et devenir président. Lorsque, en septembre ou octobre, cela sera fait, alors nous ouvrirons ensemble le dossier des frontières. Il va sans dire que l’Algérie indépendante ne saurait être l’héritière de la France en ce qui concerne les frontières algériennes», avait affirmé Ahmed Ben Bella. Une énième promesse qui ne sera jamais respectée.
Quelques jours plus tard, le Parti de l’Istiqlal republie une carte irrédentiste du «Grand Maroc» dans son quotidien Al Alam avec un territoire comprenant un tiers du Sahara algérien jusqu'à Ain Salah, le Sahara occidental, la Mauritanie, et une partie du Mali, raconte le journaliste Stephen O. Hughes dans son ouvrage «Morocco under King Hassan» (Editions Garnet & Ithaca Press, 2001). L’Algérie amorce le déploiement de ses forces militaires tout au long du tracé entre Béchar et Tindouf au lendemain de la désignation d’Ahmed Ben Bella en tant que président de la République algérienne.
Des troupes algériennes arrivent alors à Tarfaya afin d'inciter la population à se révolter contre le souverain chérifien et des blindés occupent les oasis de Zegdou et Mrija. Fin septembre 1963, le roi Hassan II et le général Mohamed Oufkir décident d'envoyer des auxiliaires marocains de Tagounit pour reprendre Tinjoub et Hassi Beïda. Le 5 octobre, l’Algérie débute son opération d’expulsion de près de 6 000 Marocains qui s’étalera jusqu’en novembre de la même année.
Le Maroc lui réplique en expulsant près de 500 Algériens. Le conflit armé se déclenche officiellement le 14 octobre 1963 lorsque les Forces armées royales (FAR) repoussent les forces algériennes et reprennent Hassi Beïda et Tinjoub. Ces dernières arriveront même jusqu’à Figuig tandis que les FAR s’installeront à quelques kilomètres de Tindouf. Il s’agit là des prémices de la guerre des Sables. Ce n’est qu’en janvier 1969 que le Maroc et son voisin parviennent à la signature du Traité d'amitié de bon voisinage et de coopération d'Ifrane, puis de la «Convention relative au tracé de la frontière d'État établie entre le Royaume du Maroc et la République algérienne démocratique et populaire», en juin 1972.

Combien de pays en Europe ?

pays union europeenne nombre

Fondé après la Seconde Guerre Mondiale, l’Union Européenne (aussi appelée UE ou Europe) est une association d’Etats européens. Le principal objectif de l’Union Européenne est d’assurer la paix et d’éviter la guerre entre les pays et les peuples européens.

Les 6 pays fondateurs de l’UE

Au départ, l’Union Européenne était composé de 6 pays fondateurs :
  1. La France ;
  2. L’Allemagne ;
  3. L’Italie ;
  4. La Belgique ;
  5. Les Pays-Bas ;
  6. et le Luxembourg

Le nombre de pays qui composent aujourd’hui l’Union Européenne

Depuis sa création, l’Union Européenne s’est élargie en accueillant de nouveaux pays membres, passant de 6 pays à 28 pays aujourd’hui.
Voici les 22 pays qui ont rejoint l’UE depuis sa création :
  1. L’Autriche ;
  2. La Bulgarie ;
  3. Chypre ;
  4. La Croatie ;
  5. Le Danemark ;
  6. L’Espagne ;
  7. L’Estonie ;
  8. La Finlande ;
  9. La Grèce ;
  10. La Hongrie ;
  11. L’Irlande ;
  12. La Lituanie ;
  13. La Lettonie ;
  14. Malte ;
  15. La Pologne ;
  16. Le Portugal ;
  17. La République tchèque ;
  18. La Roumanie ;
  19. Le Royaume-Uni ;
  20. La Slovaquie ;
  21. La Slovénie ;
  22. La Suède.
La prochaine fois que l’on vous demandera « Combien de pays y-a-t-il dans l’Union Européenne ? », vous saurez donc répondre : il y a 28 pays dans l’Union Européenne !
Édit : le 24 juin 2016, le Royaume uni a voté le Brexit suite à un référendum. Cela signifie que le Royaume Uni devrait quitter l’UE d’ici 2020, ce qui ramènera le nombre de pays présents dans l’UE à 24.

L'Archipel de Svalbard

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Le royaume de l'ours polaire

L’archipel du Svalbard est situé dans l'océan Arctique, à mi-chemin entre la Norvège et le Pôle Nord. Ici, vous pouvez explorer un désert arctique intact, ou rencontrer la faune très spéciale, dans un environnement qui est à la fois robuste et fragile.



Cela fait longtemps que le Svalbard fascine de nombreux voyageurs... la faune exceptionnelle, la nature arctique et les anciennes villes minières des îles sont d’une beauté austère et étrange, qu’on ne trouve nulle part ailleurs.
En plus de quelques milliers d'ours polaires, les îles abritent près de 3000 habitants humains, dont plus de 2000 vivent à Longyearbyen qui est le centre administratif et la plus grande communauté des îles. Cette petite localité colorée, autrefois petit village traditionnel, est devenue une ville moderne avec différentes entreprises et industries, ainsi qu'un large éventail d'activités culturelles. Il y a également plusieurs bars et des restaurants à Longyearbyen, dont certains beaucoup plus chics que ce que vous pourriez vous attendre d'une si petite communauté.


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Svalbard signifie « côtes froides », terme que l’on retrouve déjà dans des textes islandais datant du XIIe siècle. Toutefois, l'archipel jouit d'un climat relativement doux par rapport à d'autres zones de la même latitude. 


Le Spitzberg est le nom de la plus grande île de l'archipel du Svalbard. Il est situé à 637 kilomètres du Cap Nord, le cap le plus septentrional de la Norvège, et à 1 020 kilomètres au-dessous du Pôle Nord, entre 74° et 81° de lattitude nord. À Longyearbyen, la température moyenne varie de -14°C en hiver à +6°C en été.


Historiquement, tant la chasse que le piégeage étaient les principales activités dans l'archipel, mais de nos jours, la durabilité est au centre des préoccupations : près de 65 pour cent de la surface du Svalbard se compose de zones protégées, divisées en trois réserves naturelles, six parcs nationaux, 15 réserves d'oiseaux et une zone géotope.

Une destination de tourisme durable

Beaucoup de municipalités s’organisent en suivant les principes du développement durable, mais seules les meilleures obtiennent le label prestigieux de destination de tourisme durable. Il faut souvent des années d’effort constant pour prouver leur engagement à fournir des prestations impeccables à leurs clientèle, tout en réduisant au minimum l’emprunte négative de l’industrie du tourisme sur l’environnement de la région.
De plus, la destination se doit d’améliorer continuellement ses relations avec la communauté locale, en veillant à la protection des ressources naturelles et culturelles, ainsi que de l’histoire et des traditions locales.

Lydia, une danseuse orientale.


Lylia au concours international du festival Oriental Marathon 2016
à Montpellier organisé par Sharon Mesguish.

Lydia est une danseuse orientale basée en Belgique et née à Bruxelles en 1987. Passionnée par les arts de la scène tel que la danse et le théâtre depuis son plus jeune âge, Lydia débute son apprentissage de la danse orientale à l’âge de 14 ans. En 2006, Lydia, coachée par Marlène Declercq, son professeur de danse de l'époque, tient un des premiers rôles dans la comédie musicale "L'anneau de Sémiramis" sur le thème des Mille et Une nuits (metteurs en scène: Charles Gérard et Eric Kumps - ASBL "L'Enfant des Etoiles"). 











Lydia (à gauche) en compagnie de Farah Bakkali
(au centre) et de Maëlle dans
les coulisses du Festival Cairo
organisé en Belgique par Rakiya en 2015.




Farah Bakkali est considérée aujourd’hui comme une des pionnières de la danseuse orientale en Belgique. Sa carrière a débuté à la fin des années 80 à Bruxelles où elle connu un énorme succès. Farah s’est produite internationalement pendant près de 15 ans au Moyen-Orient où elle a notamment dansé aux cotés de grands noms de la chanson arabe. Depuis, Farah a soutenu le développement artistique de nombreuses danseuses orientales professionnelles en Belgique. En 2009, Lydia entame ses premiers cours professionnels de danse orientale avec une des figures les plus emblématiques de la danse orientale en Belgique : Farah Bakkali (www.farahdanse.com). Avec Farah, Lydia découvre le plaisir de l’improvisation et développe davantage son expression scénique en tant que danseuse. Farah lui propose par la suite de se produire plus régulièrement dans des évènements en lui donnant les clés pour offrir un spectacle de qualité professionnelle. C’est par Farah que Lydia entend progressivement parler de Maëlle, une élève de Farah qui donne désormais ses propres cours. En 2013, les destins de Maëlle et Lydia se croisent lorsque Farah Bakkali décide de mettre sur pied un spectacle de danse orientale regroupant l’ensemble de ses élèves les plus assidues, toutes époques confondues: « C’est le vent qui me l’a raconté » (Auditorium de Woluwe-Saint-Pierre). 


Aujourd'hui, Lydia poursuit son apprentissage de la danse orientale en s'investissant plus que jamais dans les cours et les occasions de se produire en public lors d'évènements. Elle assiste également Maëlle depuis septembre 2015 dans le cadre de ses cours de danse orientale moderne pour élèves débutantes (www.maelledanse.com). Leur amour commun pour la danse orientale conduit à présent Lydia et Maëlle à se produire également en duo. Très largement inspirés du travail artistique de leurs mentors Farah Bakkali et Suhaila Salimpour, les spectacles en duo présentés par Lydia et Maëlle permettent de découvrir les mille et une facettes de la musique et de la danse orientale.













Lydia interprétant Sémira dans la comédie musicale
"L'Anneau de Sémiramis" en 2006.
www.lenfantdesetoiles.com

Lydia, admirative de la technique et du parcours artistique de Maëlle décide d’intégrer ses cours hebdomadaires afin de découvrir la méthode d’apprentissage particulière de Suhaila Salimpour. Lydia s’éprend très vite de cette manière différente de concevoir la danse orientale. Soutenue par Maëlle, Lydia décide de s’inscrire également dans un processus d’apprentissage plus intensif de la technique Suhaila Salimpour (www.salimpourschool.com) En juillet 2015, Lydia obtient son premier niveau certificatif de la technique Suhaila Salimpour.



























Lydia performant sur la musique live joué par les
musiciensdu groupe Helm, le percussionniste Peter
Borcsok et le musicien Ach Raf. Evènement organisé
en 2015 par la danseuse Deborah à Liège.


                                                                                                      Baladi Awadi

                                                                                         Lylia Danse Orientale - Shaabi   

                                Concours international du Festival Egipto 
                                en Barcelona 2015 organisé par Munique Neith. 



 
        

Un pet peut-il contaminer une salle d'opération stérile ?


Le patient présent sur la table d'opération peut-il développer une infection à cause d'un pet ?


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Il semble, par conséquent, qu'un pet peut provoquer une infection si l'émetteur est nu, mais pas s'il est ou elle est habillé(e) mais, les types de bactérie ne sont pas dangereux. En fait, elles sont semblables aux bactéries “amicales” trouvées dans les yaourts.»


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En conclusion, les patients ne courent pas de risque si leur chirurgien lâche un pet, «ce qui est heureux, parce que dans des opérations longues, ils vont forcément se lâcher à un moment». Mais ils devraient quand même garder leur pantalon.


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La xénophobie en Afrique du Sud

Les nouvelles qui nous parviennent de la république Sud-Africaine ne sont pas rassurantes pour tous ceux qui ont un parent ou une connaissance vivant dans ce pays. La cruauté envers les étrangers gagne du terrain et on a du mal à comprendre les raisons de cette haine envers ces hommes et ces femmes qu’on voit molestés, lynchés et mis à mort par des foules en colère. « Ils sont étrangers, qu’ils retournent chez eux » disent-ils dans leur colère. Ces violences xénophobes en Afrique du Sud, traduisent la triste réalité de la haine de l’étranger, même s’il ne vient pas de loin ou qu’il n’est pas vraiment différent de nous.

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Le sentiment anti-étranger en Afrique du Sud est le signe d’un mal qui devrait épouvanter le pays. Cette maladie insidieuse a déjà pris tous les visages de la haine, à commencer par l’insulte qui fuse (makwerekwere veut dire « sale étranger ») dans la rue, dans les taxis collectifs, où, comme l’explique, atterrée, une dame originaire de la République démocratique du Congo (Congo Kinshasa), « on n’ose plus décrocher quand le portable sonne, de peur que les gens assis à côté entendent une langue étrangère».

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Ce mal, c’est une foule qui s’amasse dans un township, encourage les hommes à forcer le rideau de fer de la boutique voisine, avant de se livrer à une orgie de pillage, tandis qu’on passe à tabac, si on ne le tue pas, le propriétaire, cet étranger, ce makwerekwere. Il n’y aura aucune sanction, ou si peu. Il est interdit de toucher les quartiers riches, les banlieues cossues, les centres commerciaux. Les forces de sécurité y veillent. Le message est d’un cynisme net : défoulez-vous dans vos quartiers, mais pas touche aux îlots de prospérité et à ceux qui les peuplent.
Qui est visé ? Jusqu’à nouvel ordre, les ressortissants de pays d’Afrique ou d’Asie du Sud, qui ont en commun l’envie de vivre et de travailler dans le petit commerce, dans les quartiers les plus modestes. Ils y ont anéanti, il est vrai, la concurrence des échoppes sud-africaines. Or, derrière ces magasins, se dessinent des intérêts locaux, parfois liés à des responsables politiques. Lesquels, à l’occasion, montent les foules contre les étrangers, sûrs de leur impunité.
Les magasins tenus par des étrangers ont été attaqués partout, dans la banlieue ouest de Pretoria. Des magasins ont été pillés, d'autres incendiés. 
A l'origine de ces violences : des habitants de Rosetenville au sud de Johannesburg en colère contre les Nigériens qu'ils accusent de trafic de drogue et de prostitution.
Plusieurs maisons ont été incendiées, puis les incidents se sont propagés à la banlieue ouest de Pretoria. Et là, ce sont des magasins qui ont été pris pour cible. Désormais, ils s'en prennent à tous les étrangers, explique une jeune Congolaise. On a vu un tas de gens, on ne veut plus des étrangers !