Tandis que la plupart des femmes ne parviennent à dépasser les hommes qu’en portant des chaussures à talons très hauts, d’autres peuvent le faire avec des chaussures plates. Vous avez sûrement déjà rêvé d’être grand de quelques centimètres en plus, mais beaucoup de ces géantes auraient préféré en perdre quelques-uns ! Aujourd'hui nous vous présentons 10 femmes incroyablement grandes qui existent vraiment !
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
789 à 1956 - Le Maroc : douze siècles de luttes
De tous les États musulmans actuels, le Maroc est l'un des très rares
à avoir préservé son indépendance pendant plus d'un millénaire.
Il n'y a guère qu'au XXe siècle que le pays a dû se soumettre à une puissance étrangère, la France. Encore ce protectorat n'a-t-il duré qu'un demi-siècle à peine, de 1912 à 1956 (moins longtemps par exemple que l'occupation de la Pologne par les Soviétiques et les Allemands de 1939 à 1989 !).
Un pont entre l'Occident et l'Orient
À la pointe occidentale du continent africain, le Maroc (32 millions d'habitants) s'étire le long de la côte Atlantique, sur une superficie de 450 000 km2 (710 000 km2 en incluant le Sahara occidental).
Les Romains, qui ont soumis à leur loi tous les rivages de la
Méditerranée, n'ont pas épargné le Maroc, que l'on appelait à l'époque Maurétanie tingitane (autrement dit le pays des Maures de la région de Tanger). Ils ont bâti au pied du massif du Zehroun la cité de Volubilis dont il nous reste de belles ruines.
Dans les montagnes qui couvrent la plus grande partie du pays, les tribus berbères ont résisté aux Romains comme elles résisteront à tous les envahisseurs qui leur ont succédé. D'ailleurs, dès le règne de l'empereur Dioclétien, à la fin du IVe siècle, les Romains ne maintiennent plus qu'une maigre présence sur la côte, autour de Tanger.
Les Arabes qui déferlent au VIIe siècle, peu après la mort de Mahomet, amènent avec eux leur langue et surtout la religion musulmane.
Ces Almoravides détruisent le royaume africain du Ghana,
sur les bords du Niger, en 1058, avant de remonter vers le nord. Ils
fondent Marrakech, deuxième ville impériale du Maroc, qui donnera son
nom au pays.
Il traverse enfin le détroit de Gibraltar pour secourir les émirs omeyyades, en butte à l'offensive du roi chrétien de Castille Alphonse VI (assisté d'un fameux chevalier, le Cid).
Dans le Haut Atlas, un lettré du nom d'Ibn Toumert prêche le retour à
une foi en l'unicité de Dieu. Après sa mort, ses disciples, les Almohades (d'un mot arabe qui désignent ceux qui proclament l'unicité de Dieu) partent en guerre contre les Almoravides.
Ils vont régner avec brio sur l'empire marocain pendant un demi-siècle, jusqu'à ce qu'ils soient eux-mêmes défaits par les chrétiens en 1212 à Las Navas de Tolosa.
Au Maroc proprement dit, le chef berbère Abou Yahia chasse les derniers Almohades et fonde la dynastie des Mérinides. Après quelques belles
réalisations dans les domaines artistiques et culturels, les Mérinides
manifestent leur faiblesse face à l'expansion des Portugais qui occupent
le port de Ceuta, près du détroit de Gibraltar, en 1415, et commencent
de grignoter le littoral.
Au début du XVIe siècle, les Saâdiens, des Berbères venus de
la vallée du Draâ, exaspérés par les offensives chrétiennes, se
révoltent contre les Mérinides et chassent ceux-ci du pouvoir.
Fondant leur propre dynastie, ils entament une guerre sainte contre les Portugais. C'est ainsi qu'Agadir est reprise en 1541... Dans le même temps, les Saâdiens s'allient aux Espagnols pour faire face à la menace turque !
Le bouquet final a lieu le 4 août 1578, près de Ksar el-Kébir (ou Alcazar Quivir), où s'affrontent Marocains et Portugais. Cette bataille, appelée «bataille des Trois Rois», allait entraîner deux ans plus tard l'annexion du Portugal par l'Espagne !
Ahmed IV el-Mansour porte la dynastie saâdienne à son apogée. Une expédition victorieuse contre l'empire africain du Songhaï, en 1591, va lui permettre d'enrichir sa capitale avec l'or du Soudan.
Le fils du fondateur, Moulay Ismaïl, contemporain de Louis XIV, déplace sa capitale à Meknès, à 60 kilomètres de Fès et non loin de l'antique Volubilis. Il repousse différentes offensives européennes et lutte contre les tribus berbères insoumises des montagnes. On lui doit l'embellissement de sa capitale et en particulier la construction de la fameuse porte monumentale Bab el Mansour.
À la veille de la Première Guerre mondiale, en 1912, au terme d'un bras de fer entre Berlin et Paris,
le pays devient un protectorat français cependant que la région de
Tétouan, au nord, et celle d'Ifni, au sud, sont tenues par l'Espagne.
Résident général auprès du sultan, le général Hubert Lyautey modernise hardiment les infrastructures tout en respectant les institutions du sultanat.
Mais Lyautey est désavoué par son gouvernement lorsque survient le soulèvement d'Abd el-Krim. Après son rappel en France, Paris tente par le dahir berbère du 16 mai 1930 de soustraire les tribus berbères à l'autorité du sultan.
C'est le début d'une agitation nationaliste qui ne cessera qu'un quart de siècle plus tard avec le retour du pays à l'indépendance.
Le sultan troque son titre contre celui de roi, sous le nom de Mohamed V. Le 26 février 1961 lui succède son fils Hassan II.
Il n'y a guère qu'au XXe siècle que le pays a dû se soumettre à une puissance étrangère, la France. Encore ce protectorat n'a-t-il duré qu'un demi-siècle à peine, de 1912 à 1956 (moins longtemps par exemple que l'occupation de la Pologne par les Soviétiques et les Allemands de 1939 à 1989 !).
Un pont entre l'Occident et l'Orient
À la pointe occidentale du continent africain, le Maroc (32 millions d'habitants) s'étire le long de la côte Atlantique, sur une superficie de 450 000 km2 (710 000 km2 en incluant le Sahara occidental).
Le royaume compte quatre « villes impériales », héritières de sa longue Histoire : l'actuelle capitale Rabat ainsi que les précédentes capitales Fès, Marrakech et Meknès.
La métropole économique est néanmoins le port de Casablanca, développé par les Français.Une Histoire agitée
Dans les montagnes qui couvrent la plus grande partie du pays, les tribus berbères ont résisté aux Romains comme elles résisteront à tous les envahisseurs qui leur ont succédé. D'ailleurs, dès le règne de l'empereur Dioclétien, à la fin du IVe siècle, les Romains ne maintiennent plus qu'une maigre présence sur la côte, autour de Tanger.
Les Arabes qui déferlent au VIIe siècle, peu après la mort de Mahomet, amènent avec eux leur langue et surtout la religion musulmane.
– Les Idrissides (789 - Xe siècle)
Un prince arabe issu d'Ali et Fatima, la fille de Mahomet, se réfugie
dans le Moyen Atlas et les Berbères locaux le portent à leur tête en
789 sous le nom d'Idriss 1er.
Il est assassiné par un agent du calife abbasside mais son fils posthume, Idriss II, arrive à fonder la première dynastie royale du Maroc, avec Fès pour capitale.
Peu avant l'An Mil, les Idrissides disparaissent, victimes des Fatimides, envahisseurs arabes venus d'Égypte, et des Ommeyyades de l'émirat de Cordoue, en Espagne.
Une nouvelle dynastie, proprement berbère, se lève dans les dunes du Sahara, au sein de la tribu des Sanhadja, proches parents des Touaregs.
Il est assassiné par un agent du calife abbasside mais son fils posthume, Idriss II, arrive à fonder la première dynastie royale du Maroc, avec Fès pour capitale.
Peu avant l'An Mil, les Idrissides disparaissent, victimes des Fatimides, envahisseurs arabes venus d'Égypte, et des Ommeyyades de l'émirat de Cordoue, en Espagne.
Une nouvelle dynastie, proprement berbère, se lève dans les dunes du Sahara, au sein de la tribu des Sanhadja, proches parents des Touaregs.
- Les Almoravides (1069 - 1147)
Il traverse enfin le détroit de Gibraltar pour secourir les émirs omeyyades, en butte à l'offensive du roi chrétien de Castille Alphonse VI (assisté d'un fameux chevalier, le Cid).
- Les Almohades (1147 - 1248)
Ils vont régner avec brio sur l'empire marocain pendant un demi-siècle, jusqu'à ce qu'ils soient eux-mêmes défaits par les chrétiens en 1212 à Las Navas de Tolosa.
- Les Mérinides (1248 - 1548)
- Les Saâdiens (1548 - 1660)
Fondant leur propre dynastie, ils entament une guerre sainte contre les Portugais. C'est ainsi qu'Agadir est reprise en 1541... Dans le même temps, les Saâdiens s'allient aux Espagnols pour faire face à la menace turque !
Le bouquet final a lieu le 4 août 1578, près de Ksar el-Kébir (ou Alcazar Quivir), où s'affrontent Marocains et Portugais. Cette bataille, appelée «bataille des Trois Rois», allait entraîner deux ans plus tard l'annexion du Portugal par l'Espagne !
Ahmed IV el-Mansour porte la dynastie saâdienne à son apogée. Une expédition victorieuse contre l'empire africain du Songhaï, en 1591, va lui permettre d'enrichir sa capitale avec l'or du Soudan.
- Les Alaouites (1660 -)
Le fils du fondateur, Moulay Ismaïl, contemporain de Louis XIV, déplace sa capitale à Meknès, à 60 kilomètres de Fès et non loin de l'antique Volubilis. Il repousse différentes offensives européennes et lutte contre les tribus berbères insoumises des montagnes. On lui doit l'embellissement de sa capitale et en particulier la construction de la fameuse porte monumentale Bab el Mansour.
- Parenthèse du protectorat français (1912 - 1956)
Ses héritiers, moins vigoureux, doivent faire face à la pression croissante des Européens.
Résident général auprès du sultan, le général Hubert Lyautey modernise hardiment les infrastructures tout en respectant les institutions du sultanat.
Retour triomphal du Sultan Mohamed V à Rabat en 1955 |
C'est le début d'une agitation nationaliste qui ne cessera qu'un quart de siècle plus tard avec le retour du pays à l'indépendance.
Le sultan troque son titre contre celui de roi, sous le nom de Mohamed V. Le 26 février 1961 lui succède son fils Hassan II.
Pourquoi il ne faut jamais traverser derrière un bus
Depuis quelques jours, une vidéo virale enregistrée en Norvège, montre un jeune garçon évitant de peu un tragique accident avec un semi-remorque. Des images terribles prouvant que sur la route, la vigilance est toujours de mise.
Il s’en est fallu de peu. Dans cet extrait vidéo, on voit un bus scolaire s’arrêter au bord d’une route de campagne pour déposer des enfants. Ne voulant pas attendre le départ du car, l’un d’entre eux décide de traverser la route en courant, à l’arrière de l’autobus. Sans regarder ni comprendre qu’un camion arrivait dans l’autre sens…
Par chance, le conducteur du semi-remorque a un réflexe incroyable : en une fraction de seconde, il freine de toute urgence, évitant alors un tragique accident.
Enregistrée à Høyanger (Norvège), par Tor Bjørn Kyrkjebø, un conducteur de camion, cette vidéo vaut tous les spots de prévention en matière de sécurité routière. « J’ai vu la scène se dérouler sous mes yeux, mais je ne pouvais presque rien y faire. Le camion arrivait dans l’autre sens à vive allure. J’ai fait des appels de phare pour l’alerter lui et les enfants », a expliqué Tor Bjørn Kyrkjebø à la NRK, la radio nationale norvégienne. Il a souhaité diffuser cette vidéo pour que les enfants prennent conscience des dangers de la route.
Brakar, l’entreprise qui gère cette ligne de bus scolaire, a déclaré que le conducteur du car a déposé les enfants à l’arrêt autorisé, mais qu’elle allait enquêter pour éviter de futurs accidents.
La « guerre froide » entre l’Arabie Saoudite et l’Iran expliquée en cinq questions
Entre les deux pays, la tension monte
- Pourquoi ce regain de tension ?
- D’où vient la rivalité irano-saoudienne ?
Ryad sera un des principaux financiers de Saddam Hussein pendant la guerre entre l’Irak et l’Iran (1980-1988).Avec l’affaiblissement de l’Irak après la guerre du Golfe (1991), l’Arabie et l’Iran deviennent « les deux principales puissances régionales », relève Clément Therme, chercheur à l’International Institute for Strategic Studies (IISS), pour qui leur rivalité est d’abord « géostratégique ».
Ryad voit comme une menace pour sa propre sécurité l’influence régionale grandissante de l’Iran avec les guerres en Irak et en Syrie, et la poursuite du programme balistique iranien. Pour l’Iran, qui s’estime encerclé par des bases américaines et menacé par les arsenaux constitués par ses voisins auprès des États-Unis, les missiles qu’il développe sont purement défensifs.
- Quels facteurs conjoncturels favorisent les tensions ?
Cette concurrence « est devenue le principe organisateur des alliances au Moyen-Orient, rappelant en cela la Guerre froide, qui partageait les pays en deux camps », dit-il. Pour M. Therme, « l’arrivée de Donald Trump à la présidence des États-Unis a libéré les énergies anti-iraniennes dans la péninsule arabique » car Washington « a pris fait et cause […] pour son allié saoudien » et contre l’Iran.
Une attitude américaine tranchant avec celle de l’administration de Barack Obama (2009-2017), marquée par la signature d’un accord historique sur le nucléaire iranien.
- Quel rôle joue le clivage entre chiites et sunnites ?
« Les États arabes sont apparus comme vulnérables et l’Iran a été alors défini comme la principale menace pour la stabilité régionale », ajoute-t-il en référence au soutien affiché de Téhéran aux revendications des importantes minorités chiites dans les monarchies du Golfe.
- Comment la crise risque-t-elle d’évoluer ?
« Le risque d’escalade semble atténué par la peur d’une guerre », estime aussi M. Therme, rappelant que « l’Iran a l’expérience » douloureuse « de la guerre avec l’Irak ». Quant à l’Arabie, « est enlisée au Yémen », où elle est engagée depuis mars 2015 à la tête d’une coalition militaire pour stopper l’avancée des rebelles houthis.
Pour la société de conseil en risque politique Eurasia Group, « la rhétorique saoudienne ne reflète pas nécessairement un intérêt pour la guerre ». Mais l’argument « nationaliste » contre l’Iran pourrait être instrumentalisé par le prince héritier -qui bouscule actuellement les codes dans le royaume ultra-conservateur- pour « consolider sa position ».
Les princes saoudiens toujours détenus au Ritz.
Ritz-Carlton de Riyad. |
C’est un des palaces les plus luxueux de la capitale de l’Arabie Saoudite. Pourtant, le Ritz-Carlton de Riyad serait actuellement indisponible, mystérieusement réquisitionné par le gouvernement. Le site américain Bloomberg indique que le « portail est fermé », qu’il est « impossible de réserver une chambre », et ce jusqu’en février 2018. Des policiers seraient même en train de patrouiller autour de l’hôtel.
Un homme d’affaires devant organiser un événement au Ritz le week-end dernier s’est vu informer quant à lui, que « tout était annulé », a expliqué l’Agence France Presse.
Le propriétaire de l’hôtel de George-V de Paris retenu dans l’hôtel.
Le célèbre milliardaire Al-Walid ben Talal |
Hôtel George-V à Paris. |
Le hall d’entrée du Ritz-Carlton de Riyad. |
Un responsable saoudien a même déclaré que Mohammed ben Salmane « n’aurait pas pu mettre [ces personnalités] en prison, et il le sait. C’est la solution la plus digne qu’il a pu trouver ». Dans cet hôtel, le prix varie entre 4000 à 38 000 Dirhams la nuit pour une chambre.
Selon le procureur général saoudien, les faits présumés de corruption reprochés aux personnes victimes de la purge seraient de l’ordre de 100 milliards de dollars, soit 86,1 milliards d’euros.
En 2025, les avions voleront sans pilotes !
En développant un algorithme chargé de remplacer les pilotes, les compagnies aériennes économiseraient pas moins de 30 milliards d'euros. Des résultats peu négligeables qui augmenteraient considérablement les bénéfices de certains groupes. Grâce à cette prouesse technologique, une compagnie telle qu'Air France verrait ses capitaux augmenter de plus de 50%. De quoi faire réfléchir les constructeurs qui sont pour la plupart séduits par le projet.
Si cette nouveauté suscite de la curiosité chez certains, elle n'en demeure pas moins une inconnue pour la majeure partie des passagers. Seuls 17% d'entre eux se disent réellement prêts à décoller dans un avion guidé par le seul pouvoir d'une machine. Des chiffres relativement faibles qui dévoilent tout le scepticisme de l'homme envers la technologie. Ce qui n'empêchera pas Boeing d'entamer une série d'essais pour s'assurer de la fiabilité des engins dès l'année prochaine.
Des Turcs ont réinventé la roue.
La compagnie turque Okta Lift a conçu un chariot élévateur d'un genre nouveau. Ses roues, dénommées mecanum, permettent au véhicule de se diriger
dans toutes les directions.
Les plus belles îles du monde
- Fernando de Noronha (Amérique du Sud)
- Bora Bora (Pacifique Sud)
- Phuket (Asie)
- Ile Maurice (Afrique)
- Majorque (Europe)
- Bali (Asie)
- Providenciales (Amérique du Nord)
- Jamaïque (Amérique du Nord)
- Santorin (Europe)
- l'île de Maui (Amérique du Nord)
20 inventions et découvertes « accidentelles »
Certaines découvertes – parfois, les plus utiles! – sont le fruit du hasard. Le fait de découvrir une invention sans la chercher s’appelle la sérendipité. Après les 30 inventions que vous ne connaissez pas, voici les 20 inventions et découvertes accidentelles.
La pénicilline
Elle a changé complètement l’approche en médecine et continue aujourd’hui à sauver des vies. Pourtant, elle fut découverte par hasard! Par un jour de septembre 1928, le docteur Alexander Fleming, biologiste britannique, revient de vacances et découvre, dans son laboratoire, ses petites boîtes de Petri pleines de moisissures.
Il analyse le phénomène et démasque le responsable : un champignon minuscule, le Penicillium notatum, sur lequel l’un de ses collègues travaille.
En nettoyant son laboratoire, il découvre qu’une région est épargnée autour des moisissures. Son hypothèse : le champignon sécrète une substance antibactérienne. Il le baptise pénicilline.
Le Coca-Cola
John Stith Pemberton, un pharmacien d’Atlanta qui avait développé une importante accoutumance à la morphine décide un jour d’inventer un médicament pour l’aider à décrocher de cette dépendance.
C’est un sirop à base d’extrait de noix de kola, de caféine, de feuilles de coca, d’extraits végétaux et de sucre. Son sirop est commercialisé et reste un médicament jusqu’au jour où un serveur tente de le diluer avec de l’eau gazeuse. Son invention devient populaire et le Coca-Cola sera enregistré officiellement comme une marque le 6 juin 1887 au registre du commerce.
La tarte à l’envers
Les Françaises Stéphanie et Caroline Tatin étaient deux sœurs qui tiennent un restaurant en Sologne, à la fin du 19e siècle. Le restaurant était particulièrement prisé des chasseurs. Un dimanche matin, c’est l’ouverture de la chasse et l’une des deux sœurs confectionne une tarte aux pommes… mais oublie de mettre la pâte au fond du moule. Elle l’ajoute sur le dessus et enfourne le tout, qui sera un véritable succès auprès des chasseurs. La tarte Tatin deviendra la spécialité du restaurant des deux sœurs et sera ensuite un phénomène gastronomique mondial.
Marque-page autocollant
Dans les années 70, Spencer Silver, un chimiste américain, tente de mettre au point une colle super résistante. Le résultat : une colle qui adhère au papier et qui peut être réutilisée plusieurs fois… mais pas assez puissante pour l’invention recherchée. Arthur Fry, son collègue, la trouve intéressante et s’en sert pour fabriquer un marque-page qui n’abîme pas son livre. Il découvre ainsi son potentiel… et commercialise les Post-its un peu plus tard, soit en 1981!
La chenille Slinky
Qui n’a pas joué, à un moment, dans les escaliers avec ce gros ressort qui ressemble à une chenille? En 1943, Richard James, un ingénieur naval américain, travaille sur le développement de gros ressorts utiles au transport d’instruments fragiles sur les bateaux. Il en échappe un et, vous l’avez deviné, regarde le ressort descendre les escaliers. Le spectacle est plutôt drôle et il décide de développer l’idée pour en faire un jouet!
Sucré sans sucre
C’est en travaillant sur la mise au point d’un médicament anti-ulcéreux, en 1965, que le chimiste J. Schlatter utilise de l’aspartame pour synthétiser des acides aminés. En léchant un peu de poudre d’aspartame échappée sur son doigt, il découvre son goût sucré.
Après quelques investigations, il comprend que l’aspartame stimule les papilles de la langue pour faire ressortir la sensation du goût sucré. Il commercialise ensuite sa découverte.
Le célèbre Popsicle
Frank Epperson a 11 ans en 1905 quand il décide de confectionner un soda en jouant à mélanger de l’eau et du soda en poudre avec un bâton. Son mélange et le bâton sont oubliés dehors pendant une nuit particulièrement froide, qui battra un record de froid à San Francisco cette année-là ! Le lendemain, le jeune Frank découvre un dessert glacé, collé à son bâton. Il nommera sa découverte Epsicle et la fera breveter en 1924 sous le nom de Epsicle ice pop. Pour faire plaisir à ses enfants, il renommera son invention Popsicle quelques années plus tard.
Un anesthésiant efficace
En 1776, Joseph Priestley découvre l’oxyde nitreux, également appelé gaz hilarant. Son invention devient rapidement populaire et on l’utilise lors de soirées mondaines ou de fêtes foraines pour s’amuser. Un dentiste américain, Horace Wells, découvre en assistant à ce genre de spectacle que le gaz nitreux permet de ne pas sentir la douleur : un acteur, sous l’emprise du gaz, fait une chute et ne semble pourtant pas avoir mal. À partir de 1844 le docteur Wells commencera à l’utiliser dans sa pratique comme anesthésiant.
Velours et crochet
Ce sont les deux mots à l’origine du mot-valise Velcro, inventé par l’ingénieur suisse George de Mestral. Lors d’une promenade à la campagne, il découvre que les poils de son chien, tout comme son propre pantalon de velours, sont pleins de fleurs de bardane. En observant les fleurs, il constate qu’elles possèdent des petits crochets permettant de s’agripper aux vêtements. Quelques essais plus tard, de Mestral met au point le velcro que l’on connaît constitué de deux bandes dont l’une s’accroche à l’autre. Son invention est brevetée en 1951.
La gomme à effacer
Nos ancêtres n’avaient pas toujours la vie facile et devaient faire preuve de débrouillardise. En se servant, entre autres, de la mie de pain pour faire partir les taches d’encre. Un jour d’avril 1770, l’Anglais Edward Nairne utilise par inadvertance de la résine d’hévéa pour effacer un truc, en pensant que c’était de la mie de pain. Il trouve que cette matière fonctionne beaucoup mieux et se lance dans le commerce de gommes à effacer!
Le stéthoscope
C’est en regardant des enfants jouer avec une aiguille sur une poutre – le son résonnait d’un côté à l’autre côté de la poutre – que le docteur français René Laennec découvre ce principe pour écouter le rythme cardiaque des femmes corpulentes (ayant davantage de difficulté les ausculter de façon traditionnelle en collant sa tête sur leur poitrine). Ainsi, en février 1816, il invente le premier stéthoscope à partir des feuilles de son cahier d’observation, roulées en tube. Constatant que la formule fonctionnait bien, il réalise ensuite plusieurs modèles en bois.
Les croustilles
Il faut toujours exprimer son mécontentement lorsqu’on est déçu dans un restaurant! Au mois d’août de l’année 1958, le chef cuisinier d’un restaurant de New York, George Crum, en a assez que son client lui retourne ses pommes de terre sautées les trouvant trop épaisses. Il se défoule en les découpant en tranches très fines et les fait frire en y ajoutant beaucoup de sel. Son invention fit mouche!
Une délicieuse pâte à tartiner
Le vin pétillant
C’est le moine dom Pérignon de l’abbaye bénédictine d’Hautvillers, en France, qui aurait découvert par hasard le secret de la fermentation en bouteille. Souhaitant trouver une solution plus hygiénique que de simples chevilles de bois pour boucher les bouteilles de vin, il fait un essai avec de la cire d’abeille coulée dans le goulot des bouteilles. Quelques semaines plus tard, les bouteilles explosent sous la pression et dévoilent un délicieux vin pétillant.
La radioactivité
C’est en faisant des expériences pour comprendre la relation entre les rayons X – découverte du physicien allemand Wilhelm Röntgen – et la fluorescence qu’Henri Becquerel découvre la radioactivité en 1896. Après avoir réalisé une expérience avec des cristaux de sel d’uranium fluorescents sur des plaques enveloppées dans du papier noir, exposées au soleil, il découvre sur l’une des plaques restées enfermée dans un placard le négatif d’une croix, qui était située entre l’uranium et cette plaque.
Les poêlons antiadhésifs
L’Américain Roy Plunkett est un jeune chimiste qui travaille pour l’entreprise Pont de Nemours & Company dans le New Jersey. En avril 1938, alors qu’il fait une expérience sur les réfrigérants, il trouve un tuyau rempli de tétrafluoroéthylène congelé et constate qu’aucun gaz ne s’en échappe. Intrigué, il secoue le tuyau et trouve des petits morceaux blancs qui n’ont pas adhéré à la surface. Sur les parois du tuyau, c’est le tétrafluoroéthylène qui s’est polymérisé pour donner ce que l’on nomme aujourd’hui le Téflon.
La première utilisation des serviettes hygiéniques
Des infirmières de la Croix-Rouge utilisaient des bandes de ouate en « cellucotton » pour panser les plaies des soldats, au cours de la Première Guerre mondiale. Elles ont rapidement découvert que le produit représentait une protection idéale pour l’hygiène féminine. C’est ainsi qu’est née la marque Kotex en 1920.
Sauternes
Il existe deux explications pour la découverte de ce délicieux vin liquoreux : sont-elles vraies? Du moins, elles sont intéressantes. L’une raconte l’histoire du marquis de Lur-Saluces, en 1847, qui tarde à revenir d’un voyage et demande à ses employés de l’attendre pour commencer les vendanges. Les raisins commencent à pourrir, mais à son retour le marquis procède quand même aux vendanges.
La deuxième histoire raconte celle d’un négociant bordelais, Focke, qui souhaitant attendre la fin de la période des pluies pour commencer les vendanges, finit par récolter des raisins qui ont (également) commencé à pourrir. C’est en 1836, sensiblement à la même époque que le récit du marquis de Lur-Saluces. Dans un cas comme dans l’autre, on découvre un vin très sucré confectionné à base de raisins qui commencent à pourrir.
La pénicilline
Elle a changé complètement l’approche en médecine et continue aujourd’hui à sauver des vies. Pourtant, elle fut découverte par hasard! Par un jour de septembre 1928, le docteur Alexander Fleming, biologiste britannique, revient de vacances et découvre, dans son laboratoire, ses petites boîtes de Petri pleines de moisissures.
Il analyse le phénomène et démasque le responsable : un champignon minuscule, le Penicillium notatum, sur lequel l’un de ses collègues travaille.
En nettoyant son laboratoire, il découvre qu’une région est épargnée autour des moisissures. Son hypothèse : le champignon sécrète une substance antibactérienne. Il le baptise pénicilline.
Le Coca-Cola
John Stith Pemberton, un pharmacien d’Atlanta qui avait développé une importante accoutumance à la morphine décide un jour d’inventer un médicament pour l’aider à décrocher de cette dépendance.
C’est un sirop à base d’extrait de noix de kola, de caféine, de feuilles de coca, d’extraits végétaux et de sucre. Son sirop est commercialisé et reste un médicament jusqu’au jour où un serveur tente de le diluer avec de l’eau gazeuse. Son invention devient populaire et le Coca-Cola sera enregistré officiellement comme une marque le 6 juin 1887 au registre du commerce.
La tarte à l’envers
Les Françaises Stéphanie et Caroline Tatin étaient deux sœurs qui tiennent un restaurant en Sologne, à la fin du 19e siècle. Le restaurant était particulièrement prisé des chasseurs. Un dimanche matin, c’est l’ouverture de la chasse et l’une des deux sœurs confectionne une tarte aux pommes… mais oublie de mettre la pâte au fond du moule. Elle l’ajoute sur le dessus et enfourne le tout, qui sera un véritable succès auprès des chasseurs. La tarte Tatin deviendra la spécialité du restaurant des deux sœurs et sera ensuite un phénomène gastronomique mondial.
Marque-page autocollant
Dans les années 70, Spencer Silver, un chimiste américain, tente de mettre au point une colle super résistante. Le résultat : une colle qui adhère au papier et qui peut être réutilisée plusieurs fois… mais pas assez puissante pour l’invention recherchée. Arthur Fry, son collègue, la trouve intéressante et s’en sert pour fabriquer un marque-page qui n’abîme pas son livre. Il découvre ainsi son potentiel… et commercialise les Post-its un peu plus tard, soit en 1981!
La chenille Slinky
Qui n’a pas joué, à un moment, dans les escaliers avec ce gros ressort qui ressemble à une chenille? En 1943, Richard James, un ingénieur naval américain, travaille sur le développement de gros ressorts utiles au transport d’instruments fragiles sur les bateaux. Il en échappe un et, vous l’avez deviné, regarde le ressort descendre les escaliers. Le spectacle est plutôt drôle et il décide de développer l’idée pour en faire un jouet!
Le micro-ondes
Percy Spencer était non seulement le directeur d’une usine de magnétrons pour radars (un genre de dispositif pour transformer l’énergie), mais aussi un amateur de chocolat.
C’est en passant à côté d’un magnétron en activité qu’il découvre que la barre de chocolat fond dans sa poche. Il en parle aux dirigeants de la société, qui décident de faire des tests d’abord avec du maïs éclaté, ensuite avec des œufs. Les premiers fours à micro-ondes sont nés!
Percy Spencer était non seulement le directeur d’une usine de magnétrons pour radars (un genre de dispositif pour transformer l’énergie), mais aussi un amateur de chocolat.
C’est en passant à côté d’un magnétron en activité qu’il découvre que la barre de chocolat fond dans sa poche. Il en parle aux dirigeants de la société, qui décident de faire des tests d’abord avec du maïs éclaté, ensuite avec des œufs. Les premiers fours à micro-ondes sont nés!
Sucré sans sucre
C’est en travaillant sur la mise au point d’un médicament anti-ulcéreux, en 1965, que le chimiste J. Schlatter utilise de l’aspartame pour synthétiser des acides aminés. En léchant un peu de poudre d’aspartame échappée sur son doigt, il découvre son goût sucré.
Après quelques investigations, il comprend que l’aspartame stimule les papilles de la langue pour faire ressortir la sensation du goût sucré. Il commercialise ensuite sa découverte.
Le célèbre Popsicle
Frank Epperson a 11 ans en 1905 quand il décide de confectionner un soda en jouant à mélanger de l’eau et du soda en poudre avec un bâton. Son mélange et le bâton sont oubliés dehors pendant une nuit particulièrement froide, qui battra un record de froid à San Francisco cette année-là ! Le lendemain, le jeune Frank découvre un dessert glacé, collé à son bâton. Il nommera sa découverte Epsicle et la fera breveter en 1924 sous le nom de Epsicle ice pop. Pour faire plaisir à ses enfants, il renommera son invention Popsicle quelques années plus tard.
Un anesthésiant efficace
En 1776, Joseph Priestley découvre l’oxyde nitreux, également appelé gaz hilarant. Son invention devient rapidement populaire et on l’utilise lors de soirées mondaines ou de fêtes foraines pour s’amuser. Un dentiste américain, Horace Wells, découvre en assistant à ce genre de spectacle que le gaz nitreux permet de ne pas sentir la douleur : un acteur, sous l’emprise du gaz, fait une chute et ne semble pourtant pas avoir mal. À partir de 1844 le docteur Wells commencera à l’utiliser dans sa pratique comme anesthésiant.
Velours et crochet
Ce sont les deux mots à l’origine du mot-valise Velcro, inventé par l’ingénieur suisse George de Mestral. Lors d’une promenade à la campagne, il découvre que les poils de son chien, tout comme son propre pantalon de velours, sont pleins de fleurs de bardane. En observant les fleurs, il constate qu’elles possèdent des petits crochets permettant de s’agripper aux vêtements. Quelques essais plus tard, de Mestral met au point le velcro que l’on connaît constitué de deux bandes dont l’une s’accroche à l’autre. Son invention est brevetée en 1951.
La gomme à effacer
Nos ancêtres n’avaient pas toujours la vie facile et devaient faire preuve de débrouillardise. En se servant, entre autres, de la mie de pain pour faire partir les taches d’encre. Un jour d’avril 1770, l’Anglais Edward Nairne utilise par inadvertance de la résine d’hévéa pour effacer un truc, en pensant que c’était de la mie de pain. Il trouve que cette matière fonctionne beaucoup mieux et se lance dans le commerce de gommes à effacer!
Le stéthoscope
C’est en regardant des enfants jouer avec une aiguille sur une poutre – le son résonnait d’un côté à l’autre côté de la poutre – que le docteur français René Laennec découvre ce principe pour écouter le rythme cardiaque des femmes corpulentes (ayant davantage de difficulté les ausculter de façon traditionnelle en collant sa tête sur leur poitrine). Ainsi, en février 1816, il invente le premier stéthoscope à partir des feuilles de son cahier d’observation, roulées en tube. Constatant que la formule fonctionnait bien, il réalise ensuite plusieurs modèles en bois.
Les croustilles
Il faut toujours exprimer son mécontentement lorsqu’on est déçu dans un restaurant! Au mois d’août de l’année 1958, le chef cuisinier d’un restaurant de New York, George Crum, en a assez que son client lui retourne ses pommes de terre sautées les trouvant trop épaisses. Il se défoule en les découpant en tranches très fines et les fait frire en y ajoutant beaucoup de sel. Son invention fit mouche!
Une délicieuse pâte à tartiner
Un peu après la Seconde Guerre mondiale, en 1946, les fèves de cacao sont difficiles à trouver et coûtent très cher. Pietro Ferrero, un pâtissier piémontais, réalise donc un crémage au chocolat, en remplaçant la moitié du chocolat requis par des noisettes. Il va sans dire que son dessert est un franc succès. Il nomme sa nouvelle crème à tartiner Giandujot. Quelques années plus tard, par un après-midi caniculaire, son Giandujot fond sous le soleil et devient une pâte délicieuse et onctueuse qu’il nommera la Supercrema : le Nutella est né!
Le vin pétillant
C’est le moine dom Pérignon de l’abbaye bénédictine d’Hautvillers, en France, qui aurait découvert par hasard le secret de la fermentation en bouteille. Souhaitant trouver une solution plus hygiénique que de simples chevilles de bois pour boucher les bouteilles de vin, il fait un essai avec de la cire d’abeille coulée dans le goulot des bouteilles. Quelques semaines plus tard, les bouteilles explosent sous la pression et dévoilent un délicieux vin pétillant.
La radioactivité
C’est en faisant des expériences pour comprendre la relation entre les rayons X – découverte du physicien allemand Wilhelm Röntgen – et la fluorescence qu’Henri Becquerel découvre la radioactivité en 1896. Après avoir réalisé une expérience avec des cristaux de sel d’uranium fluorescents sur des plaques enveloppées dans du papier noir, exposées au soleil, il découvre sur l’une des plaques restées enfermée dans un placard le négatif d’une croix, qui était située entre l’uranium et cette plaque.
Les poêlons antiadhésifs
L’Américain Roy Plunkett est un jeune chimiste qui travaille pour l’entreprise Pont de Nemours & Company dans le New Jersey. En avril 1938, alors qu’il fait une expérience sur les réfrigérants, il trouve un tuyau rempli de tétrafluoroéthylène congelé et constate qu’aucun gaz ne s’en échappe. Intrigué, il secoue le tuyau et trouve des petits morceaux blancs qui n’ont pas adhéré à la surface. Sur les parois du tuyau, c’est le tétrafluoroéthylène qui s’est polymérisé pour donner ce que l’on nomme aujourd’hui le Téflon.
La première utilisation des serviettes hygiéniques
Des infirmières de la Croix-Rouge utilisaient des bandes de ouate en « cellucotton » pour panser les plaies des soldats, au cours de la Première Guerre mondiale. Elles ont rapidement découvert que le produit représentait une protection idéale pour l’hygiène féminine. C’est ainsi qu’est née la marque Kotex en 1920.
Sauternes
Il existe deux explications pour la découverte de ce délicieux vin liquoreux : sont-elles vraies? Du moins, elles sont intéressantes. L’une raconte l’histoire du marquis de Lur-Saluces, en 1847, qui tarde à revenir d’un voyage et demande à ses employés de l’attendre pour commencer les vendanges. Les raisins commencent à pourrir, mais à son retour le marquis procède quand même aux vendanges.
La deuxième histoire raconte celle d’un négociant bordelais, Focke, qui souhaitant attendre la fin de la période des pluies pour commencer les vendanges, finit par récolter des raisins qui ont (également) commencé à pourrir. C’est en 1836, sensiblement à la même époque que le récit du marquis de Lur-Saluces. Dans un cas comme dans l’autre, on découvre un vin très sucré confectionné à base de raisins qui commencent à pourrir.
Souvent ceux de ta famille te regardent mourir, et, c'est souvent un inconnu qui te sauve.
Des hippopotames sauvent un gnou
de la gueule d'un crocodile.
Le Morocco Solar Festival se tient chaque année à Ouarzazate et met à l’honneur les énergies renouvelables et les projets durables, dans le sillage de la centrale solaire Noor située à proximité. La 4e édition, qui s’est tenue du 10 au 12 novembre, a réuni plus de 15 000 personnes. En ouverture du festival, la Directrice du Conservatoire des ocres et des couleurs, Ôkhra, basé à Roussillon, a donné une conférence sur la lumière et les couleurs à la Faculté interdisciplinaire de Ouarzazate. Un « village solaire » installé au cœur de Ouarzazate a accueilli une trentaine de stands consacrés à des technologies vertes (vélo solaire, voiture électrique, fi ltration d’eau…), l’agroécologie, la présentation de grands projets écologiques du Maroc… Le festival, soutenu par Masen, s’est conclu sur un concert de Saïda Charaf et ses musiciens, devant la Kasbah de Taourirt.
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Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était belle...