Certaines découvertes – parfois, les plus utiles! – sont le fruit du hasard. Le fait de découvrir une invention sans la chercher s’appelle la sérendipité. Après les 30 inventions que vous ne connaissez pas, voici les 20 inventions et découvertes accidentelles.
La pénicilline
Elle a changé complètement l’approche en médecine et continue aujourd’hui à sauver des vies. Pourtant, elle fut découverte par hasard! Par un jour de septembre 1928, le docteur Alexander Fleming, biologiste britannique, revient de vacances et découvre, dans son laboratoire, ses petites boîtes de Petri pleines de moisissures.
Il analyse le phénomène et démasque le responsable : un champignon minuscule, le Penicillium notatum, sur lequel l’un de ses collègues travaille.
En nettoyant son laboratoire, il découvre qu’une région est épargnée autour des moisissures. Son hypothèse : le champignon sécrète une substance antibactérienne. Il le baptise pénicilline.
Le Coca-Cola
John Stith Pemberton, un pharmacien d’Atlanta qui avait développé une importante accoutumance à la morphine décide un jour d’inventer un médicament pour l’aider à décrocher de cette dépendance.
C’est un sirop à base d’extrait de noix de kola, de caféine, de feuilles de coca, d’extraits végétaux et de sucre. Son sirop est commercialisé et reste un médicament jusqu’au jour où un serveur tente de le diluer avec de l’eau gazeuse. Son invention devient populaire et le Coca-Cola sera enregistré officiellement comme une marque le 6 juin 1887 au registre du commerce.
La tarte à l’envers
Les Françaises Stéphanie et Caroline Tatin étaient deux sœurs qui tiennent un restaurant en Sologne, à la fin du 19e siècle. Le restaurant était particulièrement prisé des chasseurs. Un dimanche matin, c’est l’ouverture de la chasse et l’une des deux sœurs confectionne une tarte aux pommes… mais oublie de mettre la pâte au fond du moule. Elle l’ajoute sur le dessus et enfourne le tout, qui sera un véritable succès auprès des chasseurs. La tarte Tatin deviendra la spécialité du restaurant des deux sœurs et sera ensuite un phénomène gastronomique mondial.
Marque-page autocollant
Dans les années 70, Spencer Silver, un chimiste américain, tente de mettre au point une colle super résistante. Le résultat : une colle qui adhère au papier et qui peut être réutilisée plusieurs fois… mais pas assez puissante pour l’invention recherchée. Arthur Fry, son collègue, la trouve intéressante et s’en sert pour fabriquer un marque-page qui n’abîme pas son livre. Il découvre ainsi son potentiel… et commercialise les Post-its un peu plus tard, soit en 1981!
La chenille Slinky
Qui n’a pas joué, à un moment, dans les escaliers avec ce gros ressort qui ressemble à une chenille? En 1943, Richard James, un ingénieur naval américain, travaille sur le développement de gros ressorts utiles au transport d’instruments fragiles sur les bateaux. Il en échappe un et, vous l’avez deviné, regarde le ressort descendre les escaliers. Le spectacle est plutôt drôle et il décide de développer l’idée pour en faire un jouet!
Sucré sans sucre
C’est en travaillant sur la mise au point d’un médicament anti-ulcéreux, en 1965, que le chimiste J. Schlatter utilise de l’aspartame pour synthétiser des acides aminés. En léchant un peu de poudre d’aspartame échappée sur son doigt, il découvre son goût sucré.
Après quelques investigations, il comprend que l’aspartame stimule les papilles de la langue pour faire ressortir la sensation du goût sucré. Il commercialise ensuite sa découverte.
Le célèbre Popsicle
Frank Epperson a 11 ans en 1905 quand il décide de confectionner un soda en jouant à mélanger de l’eau et du soda en poudre avec un bâton. Son mélange et le bâton sont oubliés dehors pendant une nuit particulièrement froide, qui battra un record de froid à San Francisco cette année-là ! Le lendemain, le jeune Frank découvre un dessert glacé, collé à son bâton. Il nommera sa découverte Epsicle et la fera breveter en 1924 sous le nom de Epsicle ice pop. Pour faire plaisir à ses enfants, il renommera son invention Popsicle quelques années plus tard.
Un anesthésiant efficace
En 1776, Joseph Priestley découvre l’oxyde nitreux, également appelé gaz hilarant. Son invention devient rapidement populaire et on l’utilise lors de soirées mondaines ou de fêtes foraines pour s’amuser. Un dentiste américain, Horace Wells, découvre en assistant à ce genre de spectacle que le gaz nitreux permet de ne pas sentir la douleur : un acteur, sous l’emprise du gaz, fait une chute et ne semble pourtant pas avoir mal. À partir de 1844 le docteur Wells commencera à l’utiliser dans sa pratique comme anesthésiant.
Velours et crochet
Ce sont les deux mots à l’origine du mot-valise Velcro, inventé par l’ingénieur suisse George de Mestral. Lors d’une promenade à la campagne, il découvre que les poils de son chien, tout comme son propre pantalon de velours, sont pleins de fleurs de bardane. En observant les fleurs, il constate qu’elles possèdent des petits crochets permettant de s’agripper aux vêtements. Quelques essais plus tard, de Mestral met au point le velcro que l’on connaît constitué de deux bandes dont l’une s’accroche à l’autre. Son invention est brevetée en 1951.
La gomme à effacer
Nos ancêtres n’avaient pas toujours la vie facile et devaient faire preuve de débrouillardise. En se servant, entre autres, de la mie de pain pour faire partir les taches d’encre. Un jour d’avril 1770, l’Anglais Edward Nairne utilise par inadvertance de la résine d’hévéa pour effacer un truc, en pensant que c’était de la mie de pain. Il trouve que cette matière fonctionne beaucoup mieux et se lance dans le commerce de gommes à effacer!
Le stéthoscope
C’est en regardant des enfants jouer avec une aiguille sur une poutre – le son résonnait d’un côté à l’autre côté de la poutre – que le docteur français René Laennec découvre ce principe pour écouter le rythme cardiaque des femmes corpulentes (ayant davantage de difficulté les ausculter de façon traditionnelle en collant sa tête sur leur poitrine). Ainsi, en février 1816, il invente le premier stéthoscope à partir des feuilles de son cahier d’observation, roulées en tube. Constatant que la formule fonctionnait bien, il réalise ensuite plusieurs modèles en bois.
Les croustilles
Il faut toujours exprimer son mécontentement lorsqu’on est déçu dans un restaurant! Au mois d’août de l’année 1958, le chef cuisinier d’un restaurant de New York, George Crum, en a assez que son client lui retourne ses pommes de terre sautées les trouvant trop épaisses. Il se défoule en les découpant en tranches très fines et les fait frire en y ajoutant beaucoup de sel. Son invention fit mouche!
Une délicieuse pâte à tartiner
Le vin pétillant
C’est le moine dom Pérignon de l’abbaye bénédictine d’Hautvillers, en France, qui aurait découvert par hasard le secret de la fermentation en bouteille. Souhaitant trouver une solution plus hygiénique que de simples chevilles de bois pour boucher les bouteilles de vin, il fait un essai avec de la cire d’abeille coulée dans le goulot des bouteilles. Quelques semaines plus tard, les bouteilles explosent sous la pression et dévoilent un délicieux vin pétillant.
La radioactivité
C’est en faisant des expériences pour comprendre la relation entre les rayons X – découverte du physicien allemand Wilhelm Röntgen – et la fluorescence qu’Henri Becquerel découvre la radioactivité en 1896. Après avoir réalisé une expérience avec des cristaux de sel d’uranium fluorescents sur des plaques enveloppées dans du papier noir, exposées au soleil, il découvre sur l’une des plaques restées enfermée dans un placard le négatif d’une croix, qui était située entre l’uranium et cette plaque.
Les poêlons antiadhésifs
L’Américain Roy Plunkett est un jeune chimiste qui travaille pour l’entreprise Pont de Nemours & Company dans le New Jersey. En avril 1938, alors qu’il fait une expérience sur les réfrigérants, il trouve un tuyau rempli de tétrafluoroéthylène congelé et constate qu’aucun gaz ne s’en échappe. Intrigué, il secoue le tuyau et trouve des petits morceaux blancs qui n’ont pas adhéré à la surface. Sur les parois du tuyau, c’est le tétrafluoroéthylène qui s’est polymérisé pour donner ce que l’on nomme aujourd’hui le Téflon.
La première utilisation des serviettes hygiéniques
Des infirmières de la Croix-Rouge utilisaient des bandes de ouate en « cellucotton » pour panser les plaies des soldats, au cours de la Première Guerre mondiale. Elles ont rapidement découvert que le produit représentait une protection idéale pour l’hygiène féminine. C’est ainsi qu’est née la marque Kotex en 1920.
Sauternes
Il existe deux explications pour la découverte de ce délicieux vin liquoreux : sont-elles vraies? Du moins, elles sont intéressantes. L’une raconte l’histoire du marquis de Lur-Saluces, en 1847, qui tarde à revenir d’un voyage et demande à ses employés de l’attendre pour commencer les vendanges. Les raisins commencent à pourrir, mais à son retour le marquis procède quand même aux vendanges.
La deuxième histoire raconte celle d’un négociant bordelais, Focke, qui souhaitant attendre la fin de la période des pluies pour commencer les vendanges, finit par récolter des raisins qui ont (également) commencé à pourrir. C’est en 1836, sensiblement à la même époque que le récit du marquis de Lur-Saluces. Dans un cas comme dans l’autre, on découvre un vin très sucré confectionné à base de raisins qui commencent à pourrir.
La pénicilline
Elle a changé complètement l’approche en médecine et continue aujourd’hui à sauver des vies. Pourtant, elle fut découverte par hasard! Par un jour de septembre 1928, le docteur Alexander Fleming, biologiste britannique, revient de vacances et découvre, dans son laboratoire, ses petites boîtes de Petri pleines de moisissures.
Il analyse le phénomène et démasque le responsable : un champignon minuscule, le Penicillium notatum, sur lequel l’un de ses collègues travaille.
En nettoyant son laboratoire, il découvre qu’une région est épargnée autour des moisissures. Son hypothèse : le champignon sécrète une substance antibactérienne. Il le baptise pénicilline.
Le Coca-Cola
John Stith Pemberton, un pharmacien d’Atlanta qui avait développé une importante accoutumance à la morphine décide un jour d’inventer un médicament pour l’aider à décrocher de cette dépendance.
C’est un sirop à base d’extrait de noix de kola, de caféine, de feuilles de coca, d’extraits végétaux et de sucre. Son sirop est commercialisé et reste un médicament jusqu’au jour où un serveur tente de le diluer avec de l’eau gazeuse. Son invention devient populaire et le Coca-Cola sera enregistré officiellement comme une marque le 6 juin 1887 au registre du commerce.
La tarte à l’envers
Les Françaises Stéphanie et Caroline Tatin étaient deux sœurs qui tiennent un restaurant en Sologne, à la fin du 19e siècle. Le restaurant était particulièrement prisé des chasseurs. Un dimanche matin, c’est l’ouverture de la chasse et l’une des deux sœurs confectionne une tarte aux pommes… mais oublie de mettre la pâte au fond du moule. Elle l’ajoute sur le dessus et enfourne le tout, qui sera un véritable succès auprès des chasseurs. La tarte Tatin deviendra la spécialité du restaurant des deux sœurs et sera ensuite un phénomène gastronomique mondial.
Marque-page autocollant
Dans les années 70, Spencer Silver, un chimiste américain, tente de mettre au point une colle super résistante. Le résultat : une colle qui adhère au papier et qui peut être réutilisée plusieurs fois… mais pas assez puissante pour l’invention recherchée. Arthur Fry, son collègue, la trouve intéressante et s’en sert pour fabriquer un marque-page qui n’abîme pas son livre. Il découvre ainsi son potentiel… et commercialise les Post-its un peu plus tard, soit en 1981!
La chenille Slinky
Qui n’a pas joué, à un moment, dans les escaliers avec ce gros ressort qui ressemble à une chenille? En 1943, Richard James, un ingénieur naval américain, travaille sur le développement de gros ressorts utiles au transport d’instruments fragiles sur les bateaux. Il en échappe un et, vous l’avez deviné, regarde le ressort descendre les escaliers. Le spectacle est plutôt drôle et il décide de développer l’idée pour en faire un jouet!
Le micro-ondes
Percy Spencer était non seulement le directeur d’une usine de magnétrons pour radars (un genre de dispositif pour transformer l’énergie), mais aussi un amateur de chocolat.
C’est en passant à côté d’un magnétron en activité qu’il découvre que la barre de chocolat fond dans sa poche. Il en parle aux dirigeants de la société, qui décident de faire des tests d’abord avec du maïs éclaté, ensuite avec des œufs. Les premiers fours à micro-ondes sont nés!
Percy Spencer était non seulement le directeur d’une usine de magnétrons pour radars (un genre de dispositif pour transformer l’énergie), mais aussi un amateur de chocolat.
C’est en passant à côté d’un magnétron en activité qu’il découvre que la barre de chocolat fond dans sa poche. Il en parle aux dirigeants de la société, qui décident de faire des tests d’abord avec du maïs éclaté, ensuite avec des œufs. Les premiers fours à micro-ondes sont nés!
Sucré sans sucre
C’est en travaillant sur la mise au point d’un médicament anti-ulcéreux, en 1965, que le chimiste J. Schlatter utilise de l’aspartame pour synthétiser des acides aminés. En léchant un peu de poudre d’aspartame échappée sur son doigt, il découvre son goût sucré.
Après quelques investigations, il comprend que l’aspartame stimule les papilles de la langue pour faire ressortir la sensation du goût sucré. Il commercialise ensuite sa découverte.
Le célèbre Popsicle
Frank Epperson a 11 ans en 1905 quand il décide de confectionner un soda en jouant à mélanger de l’eau et du soda en poudre avec un bâton. Son mélange et le bâton sont oubliés dehors pendant une nuit particulièrement froide, qui battra un record de froid à San Francisco cette année-là ! Le lendemain, le jeune Frank découvre un dessert glacé, collé à son bâton. Il nommera sa découverte Epsicle et la fera breveter en 1924 sous le nom de Epsicle ice pop. Pour faire plaisir à ses enfants, il renommera son invention Popsicle quelques années plus tard.
Un anesthésiant efficace
En 1776, Joseph Priestley découvre l’oxyde nitreux, également appelé gaz hilarant. Son invention devient rapidement populaire et on l’utilise lors de soirées mondaines ou de fêtes foraines pour s’amuser. Un dentiste américain, Horace Wells, découvre en assistant à ce genre de spectacle que le gaz nitreux permet de ne pas sentir la douleur : un acteur, sous l’emprise du gaz, fait une chute et ne semble pourtant pas avoir mal. À partir de 1844 le docteur Wells commencera à l’utiliser dans sa pratique comme anesthésiant.
Velours et crochet
Ce sont les deux mots à l’origine du mot-valise Velcro, inventé par l’ingénieur suisse George de Mestral. Lors d’une promenade à la campagne, il découvre que les poils de son chien, tout comme son propre pantalon de velours, sont pleins de fleurs de bardane. En observant les fleurs, il constate qu’elles possèdent des petits crochets permettant de s’agripper aux vêtements. Quelques essais plus tard, de Mestral met au point le velcro que l’on connaît constitué de deux bandes dont l’une s’accroche à l’autre. Son invention est brevetée en 1951.
La gomme à effacer
Nos ancêtres n’avaient pas toujours la vie facile et devaient faire preuve de débrouillardise. En se servant, entre autres, de la mie de pain pour faire partir les taches d’encre. Un jour d’avril 1770, l’Anglais Edward Nairne utilise par inadvertance de la résine d’hévéa pour effacer un truc, en pensant que c’était de la mie de pain. Il trouve que cette matière fonctionne beaucoup mieux et se lance dans le commerce de gommes à effacer!
Le stéthoscope
C’est en regardant des enfants jouer avec une aiguille sur une poutre – le son résonnait d’un côté à l’autre côté de la poutre – que le docteur français René Laennec découvre ce principe pour écouter le rythme cardiaque des femmes corpulentes (ayant davantage de difficulté les ausculter de façon traditionnelle en collant sa tête sur leur poitrine). Ainsi, en février 1816, il invente le premier stéthoscope à partir des feuilles de son cahier d’observation, roulées en tube. Constatant que la formule fonctionnait bien, il réalise ensuite plusieurs modèles en bois.
Les croustilles
Il faut toujours exprimer son mécontentement lorsqu’on est déçu dans un restaurant! Au mois d’août de l’année 1958, le chef cuisinier d’un restaurant de New York, George Crum, en a assez que son client lui retourne ses pommes de terre sautées les trouvant trop épaisses. Il se défoule en les découpant en tranches très fines et les fait frire en y ajoutant beaucoup de sel. Son invention fit mouche!
Une délicieuse pâte à tartiner
Un peu après la Seconde Guerre mondiale, en 1946, les fèves de cacao sont difficiles à trouver et coûtent très cher. Pietro Ferrero, un pâtissier piémontais, réalise donc un crémage au chocolat, en remplaçant la moitié du chocolat requis par des noisettes. Il va sans dire que son dessert est un franc succès. Il nomme sa nouvelle crème à tartiner Giandujot. Quelques années plus tard, par un après-midi caniculaire, son Giandujot fond sous le soleil et devient une pâte délicieuse et onctueuse qu’il nommera la Supercrema : le Nutella est né!
Le vin pétillant
C’est le moine dom Pérignon de l’abbaye bénédictine d’Hautvillers, en France, qui aurait découvert par hasard le secret de la fermentation en bouteille. Souhaitant trouver une solution plus hygiénique que de simples chevilles de bois pour boucher les bouteilles de vin, il fait un essai avec de la cire d’abeille coulée dans le goulot des bouteilles. Quelques semaines plus tard, les bouteilles explosent sous la pression et dévoilent un délicieux vin pétillant.
La radioactivité
C’est en faisant des expériences pour comprendre la relation entre les rayons X – découverte du physicien allemand Wilhelm Röntgen – et la fluorescence qu’Henri Becquerel découvre la radioactivité en 1896. Après avoir réalisé une expérience avec des cristaux de sel d’uranium fluorescents sur des plaques enveloppées dans du papier noir, exposées au soleil, il découvre sur l’une des plaques restées enfermée dans un placard le négatif d’une croix, qui était située entre l’uranium et cette plaque.
Les poêlons antiadhésifs
L’Américain Roy Plunkett est un jeune chimiste qui travaille pour l’entreprise Pont de Nemours & Company dans le New Jersey. En avril 1938, alors qu’il fait une expérience sur les réfrigérants, il trouve un tuyau rempli de tétrafluoroéthylène congelé et constate qu’aucun gaz ne s’en échappe. Intrigué, il secoue le tuyau et trouve des petits morceaux blancs qui n’ont pas adhéré à la surface. Sur les parois du tuyau, c’est le tétrafluoroéthylène qui s’est polymérisé pour donner ce que l’on nomme aujourd’hui le Téflon.
La première utilisation des serviettes hygiéniques
Des infirmières de la Croix-Rouge utilisaient des bandes de ouate en « cellucotton » pour panser les plaies des soldats, au cours de la Première Guerre mondiale. Elles ont rapidement découvert que le produit représentait une protection idéale pour l’hygiène féminine. C’est ainsi qu’est née la marque Kotex en 1920.
Sauternes
Il existe deux explications pour la découverte de ce délicieux vin liquoreux : sont-elles vraies? Du moins, elles sont intéressantes. L’une raconte l’histoire du marquis de Lur-Saluces, en 1847, qui tarde à revenir d’un voyage et demande à ses employés de l’attendre pour commencer les vendanges. Les raisins commencent à pourrir, mais à son retour le marquis procède quand même aux vendanges.
La deuxième histoire raconte celle d’un négociant bordelais, Focke, qui souhaitant attendre la fin de la période des pluies pour commencer les vendanges, finit par récolter des raisins qui ont (également) commencé à pourrir. C’est en 1836, sensiblement à la même époque que le récit du marquis de Lur-Saluces. Dans un cas comme dans l’autre, on découvre un vin très sucré confectionné à base de raisins qui commencent à pourrir.
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