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Quels sont les noms des bébés des animaux ?

DE LA FERME


POULE ET COQ

POUSSIN

 

ANE ET ANESSE

ANON

 

BREBIS ET BELIER

AGNEAU OU AGNELET

 

CHEVRE ET BOUC

CHEVREAU OU CABRI

 

CHEVAL ET JUMENT

POULAIN

 

COCHON ET TRUIE

PORCELET

 

DINDON ET DINDE

DINDONNEAU

 

LAPIN ET LAPINE

LAPEREAU

 

LIEVRE ET HASE

LEVREAU

 

VACHE ET TAUREAU

VEAU – VELLE - GENISSE

 

FAISAN ET FAISANE

FAISANDEAU

 

DOMESTIQUES


CHIEN ET CHIENNE

CHIOT

 

CHAT ET CHATTE

CHATON

 

SOURIS

SOURICEAU

 

FURET ET FURETTE

FURETON

 

VOLATILES


AIGLES

AIGLONS

 

CANARD

CANETON

 

OISEAU ET OISELLE

OISILLON ET OISELET

 

OIE

OISON

 

CORBEAU

CORBILLOT

 

CYGNE

CYGNEAU

 

FAUCON ET FAUCONNE

FAUCONNEAU

 

SAUVAGES


OURS ET OURSE

OURSON

 

ECUREUIL

ECUREILLON

 

ELEPHANT

ELEPHANTEAU

 

RENARD ET RENARDE

RENARDEAU

 

BICHE ET CERF

FAON

 

LOUP ET LOUVE

LOUVETEAU

 

SANGLIER ET LAIE

MARCASSIN

 

SERPENT

SERPENTEAU

 

ZEBRE

ZEBRON

 

CHAMEAU

CHAMELON

 

LAMA

CRIA

 

DROMADAIRE

DROMELON

 

RATON-LAVEUR

RATONNEAU

 

DE LA SAVANE


ELEPHANT ET ELEPHANTE

ELEPHANTEAU

 

GIRAFES

GIRAFEAU - GIRAFON

 

GORILLE

GORILLON

 

LEOPARD

LEOPARDEAU

 

LION ET LIONNE

LIONCEAU

 

ZEBRE

ZEBRON

 

SINGET ET GUENON

GUENUCHE ou GUENAUD

 

TIGRE

TIGREAU

 

GUEPARD ET GUEPARDE

GUEPARDEAU

 

MARINS


BALEINE

BALEINAUX

 

ORQUE

VEAU

 

DAUPHIN

DELPHINEAU

 

GRENOUILLE

TETARD

 

PHOQUE

BLANCHON

 

CARPE

CARPEAU

 

REQUIN

REQUINEAU

 

ANGUILLE

CIVELLE

 

INSECTES


 

 

 

ABEILLE

LARVE

 

PAPILLON

CHENILLE

 

MOUCHE

ASTICOT

 

MOUSTIQUE

LARVE

 

CAFARD

BEBE CAFARD

 

GUEPE

LARVE

 

FRELON

LARVE

 

  

Les fruits secs, une bombe de calories cachées

  • Les raisins secs contiennent 70% de sucre
100 grammes de raisins secs est l'équivalent de 11,5 morceaux de sucre.
Mieux vaut privilégier les abricots secs ; leur goût est plus sucré que celui des raisins secs, mais ils contiennent nettement moins de sucre : en moyenne 5,5 morceaux pour 100 grammes.

  • Comparons...
- Abricots secs : 5,5 morceaux de sucre pour 100 grammes
- Dattes : 9,5 morceaux pour 100 grammes
- Figues séchées : 10 morceaux pour 100 grammes
- Raisins secs : 11,5 morceaux pour 100 grammes
  • Plus de calories mais plus de fibres
Les fruits secs contiennent beaucoup plus de calories et moins de nutriments essentiels. Un gros avantage par contre : les fruits secs contiennent 4 fois plus de fibres que les fruits frais.




Cinq Stratégies pour arrêter le hoquet

Il n'y a rien d'aussi frustrant que d'avoir le hoquet. Cependant, l'une des cinq méthodes suivantes vous aidera probablement à vous en débarrasser. 
  • L'un des remèdes les plus couramment proposés consiste à modifier son mode de respiration, par exemple en retenant son souffle et en expirant lentement. 
  • Le fait de serrer les genoux en position allongée peut également aider, car cela exerce une pression sur le diaphragme et l'empêche de se contracter. 
  • Avaler certains aliments, comme le sucre et le beurre de cacahuète, peut être utile car ils activent le nerf vague, ce qui arrête le hoquet.

  • Boire de l'eau "à l'envers" ou du côté où les doigts se touchent peut également aider, car les boissons froides stimulent le nerf vague.

  •  Enfin, tirer sur la langue permet de stimuler le nasopharynx, la partie supérieure de la gorge, et peut aider à arrêter le hoquet.

Quand l’émir Abdelkader se considéra comme représentant du sultan marocain

 

Confronté à la colonisation française de l’Algérie en 1830, l’émir Abdelkader bénéficia d’un fort soutient de la part du Maroc, à tel point qu’il se considéra ouvertement sous la tutelle du sultan alaouite. C’est ce qui ressort d’une correspondance adressée à Moulay Abderrahman en octobre 1838.


Parallèlement à l’offensive française en Algérie (1830), les zones d’influence de Moulay Abderrahman (de 1822 à 1859) s’étendaient jusqu’à certaines régions du pays voisin. Ses prétentions de gagner du terrain vers l’est grandirent surtout après en avoir chassé les Ottomans (1299 – 1923).

Mais face à la colonisation française qui devint rapidement une réalité, le sultan alaouite fut contraint de se retirer de ces régions-là, même si les populations lui avaient prêté allégeance. De ce fait, il soutint toujours ses voisins algériens face à la présence impérialiste.


Appuyé par Moulay Abderrahmane, le chef religieux et militaire l’émir Abdelkader (de 1832 à 1847) mena une campagne farouche contre la présence française. L’ouest algérien lui préta alors allégeance en 1832, puis la population locale se mobilisa autour de lui pour constituer les moudjahidines.
Cet engagement armé porta ses fruits, faisant essuyer à l’armée française plusieurs échecs. Mais à partir de 1839, la force coloniale prit le dessus en adoptant la stratégie de la terre brûlée. Des milliers d’hectares de terres agricoles furent dévastés, de même que des villes et villages.
Moulay Abd-er-Rahman, Sultan du Maroc, sortant de son palais de Meknes, entouré de sa garde et de ses principaux officiers / Eugène Delacroix - 1845

L’alliance entre l’émir Abdelkader et les Alaouites

Intitulé «Le gouvernement marocain et la conquête d’Alger», l’ouvrage du chercheur algérien Ismaël Hamet revient longuement sur cette partie de l’histoire, expliquant que l’émir des moudjahidines fut ensuite contraint de quitter l’Algérie. «Lorsque les ennemis gagnèrent du terrain, l’émir trouva refuge au Maroc oriental, en suivant les bordures du Rif pour se retrouver à Oujda, où il fut chaleureusement accueilli», écrivit le chercheur décédé en 1932.
En revanche, cet ancien interprète militaire indiqua que l’émir exprima son refus de l’allégeance que la population lui préta. Il exprima son rejet par ces mots :
«Je ne suis venu sur la terre du sultan ni pour m’accaparer de son pouvoir ni de prendre possession de ses terres car cette attitude est totalement insensée.»
Avant même de poser pied sur le territoire du sultan, l’émir se considérait justement comme l’un des représentants de Moulay Abderrahmane. Il revendiqua également que son pouvoir et son influence sur toute cette région du Maghreb étaient rattachés au sultan. En octobre 1889, il envoya à ce dernier «les cadeaux reçus de la part de la France» dans le cadre du traité de Tafna, signé le 30 mai 1837 et prévoyant une trêve avec l’armée de l’émir.
Ce qui confirmait davantage le rattachement du chef moudjahid au pouvoir du sultan marocain étaient les prêches du vendredi, donnés au nom de Moulay Abderrahmane dans l’ouest algérien, sous l’instruction du guide armé. Dans son ouvrage, Ismaël Hamet rappela que même en remportant moultes batailles, le résistant Algérien ne prétendit guère à proclamer son règne sur la région et il tint à le rappeler dans sa correspondance avec le dirigeant alaouite.



«Le peuple algérien est désormais uni et nous avons rompu avec le passé. Les moyens à la disposition de notre armée sont abondants, grâce à votre bénédiction sur nous, sans laquelle j’aurais été l’homme le plus faible et inapte à remplir de telles responsabilités. A cet instant, nous requérons auprès de votre excellence de mobiliser l’un de vos fils pour nous gouverner. Je serai le premier à œuvrer pour être au service de votre envoyé et mobiliserai tous les moyens possibles à cet effet.»
L’émir Abdelkader dans sa lettre à Moulay Abderrahmane
Ismaël Hamet indiqua qu’en réponse, le sultan alaouite recommanda à l’émir Abdelkader de continuer le djihad de là où il se trouvait. Les historiens expliquaient cet attachement à la dynastie alaouite par la conscience du leader algérien de la force que constituait le Maroc à l'époque, au niveau des ressources militaires et humaines.


L’alliance stratégique contre la France
L’Angleterre comptait parmi les alliés les plus stratégiques de Moulay Abderrahmane dans sa lutte contre l’impérialisme français qui menaçait son territoire, ce qui importait beaucoup aux yeux de l’émir Abdelkader. Autre raison de cet attachement, la bataille contre l’impérialisme français était motivée par des raisons religieuses, ce qui poussa le guide algérien à préconiser l’union avec le pouvoir marocain. De son côté, l’occupation française avait tenté de pousser Moulay Abderrahmane à se désolidariser de l’émir, mais rien n’y fit.
Pendant toutes ces années, le Maroc resta attaché à l’émir Abdelkader et l’Algérie, ce qui enlisa les relations avec la France au point de mener une offensive contre les hommes de Moulay Abderrahmane. Les crispations donnèrent lieu à la bataille d’Isly, le 14 août 1844, après laquelle l’armée occupante put imposer de nombreuses contraintes au Maroc. Ces exigences furent actées en vertu de l’accord de Maghnia en 1845, qui traça des frontières floues entre les deux pays. Le traité, lui, ouvrit la porte à l’intrusion française dans le royaume chérifien jusqu’à y mettre en place son protectorat en 1912.

Les sardines en conserve : une source nutritive sous-estimée


Les sardines en conserve sont fréquemment reléguées au rang des aliments de secours, mais elles méritent une bien meilleure réputation au vu de leurs nombreux atouts nutritionnels. Ces petits poissons, emballés avec soin, offrent une myriade de bienfaits pour la santé, allant de la protection cardiaque à la solidité osseuse, sans oublier leur contribution au maintien de la masse musculaire.


Riches en acides gras oméga-3, les sardines participent activement à la réduction des risques de maladies cardiovasculaires. Leur haute teneur en ces acides gras essentiels aide à diminuer les niveaux de triglycérides dans le sang, contribuant ainsi à un meilleur profil lipidique. 
Par ailleurs, les sardines sont une source précieuse de calcium et de vitamine D, deux éléments cruciaux pour la santé des os. Leur consommation peut être particulièrement bénéfique pour prévenir des affections telles que l’ostéoporose.
En outre, les sardines en conserve sont une excellente source de protéines de haute qualité, fournissant tous les acides aminés essentiels nécessaires au corps pour le renouvellement cellulaire et la réparation des tissus. Elles constituent donc un choix alimentaire judicieux pour ceux qui cherchent à entretenir leur masse musculaire et à favoriser une récupération rapide après l’exercice.
Au-delà de leurs vertus nutritionnelles, les sardines en conserve se distinguent par leur faible impact environnemental, comparativement à d’autres sources de protéines. Leur pêche est considérée comme durable, et leur conditionnement permet une longue conservation, réduisant ainsi le risque de gaspillage alimentaire. Faciles à stocker et à préparer, elles se prêtent à une variété de recettes, offrant ainsi une option à la fois pratique et écologique pour une alimentation saine.
Les sardines en conserve sont donc bien plus qu’un simple aliment de dépannage. Leur richesse en nutriments, leur accessibilité et leur faible empreinte écologique en font un choix alimentaire de premier plan pour quiconque souhaite adopter une alimentation équilibrée et responsable.

Qu’est-ce que le café vietnamien ?

 

Le café vietnamien, connu pour sa saveur unique et ses méthodes de préparation spécifiques, est une véritable icône de la culture culinaire vietnamienne.

  • Les origines du café vietnamien
L’histoire du café au Vietnam remonte au milieu du XIXe siècle, lorsque les colons français ont introduit la culture du café dans le pays. Les premières plantations ont été établies sur les hauts plateaux du centre, notamment dans la région de Đà Lạt, grâce à des conditions climatiques idéales.
Une fois le café bien installé dans le pays, les vietnamiens se le sont rapidement approprié en développant leurs propres variétés et leurs méthodes de préparation. Aujourd’hui, le Vietnam est l'un des plus grands producteurs de café au monde, principalement de robusta, une variété au goût corsé et intense, qui constitue la base de nombreux types de café vietnamien.

  • Le café dans la culture vietnamienne
Dans la culture vietnamienne, le café est un véritable rituel. Les cafés, souvent situés dans des ruelles animées ou des jardins paisibles, sont des lieux de rencontre et de détente. La manière vietnamienne de consommer le café se distingue par sa lenteur et sa convivialité, en contraste avec les cultures où le café est souvent pris en vitesse.


Le café vietnamien est unique grâce à des méthodes de préparation spécifiques. L’utilisation d’un filtre individuel appelé phin est une caractéristique clé. Ce filtre métallique laisse couler le café goutte à goutte, créant ainsi une boisson riche et concentrée, parfaite pour être savourée lentement.
Parmi les nombreuses déclinaisons du café vietnamien, les plus célèbres sont :
      - Le Cà phê sữa đá : c'est un café glacé avec du lait concentré sucré, qui offre un équilibre parfait entre l’amertume du robusta et la douceur du lait.
      - Le Cà phê trứng : c'est le café à l’œuf, une spécialité onctueuse où un mélange de jaune d’œuf, de sucre et de lait concentré forme une mousse délicieuse au dessus du café chaud.
      - Le Cà phê đen đá : un café noir glacé, idéal pour les amateurs de saveurs intenses.

Le café vietnamien est unique grâce à des méthodes de préparation spécifiques. L’utilisation d’un filtre individuel appelé phin est une caractéristique clé. Ce filtre métallique laisse couler le café goutte à goutte, créant ainsi une boisson riche et concentrée, parfaite pour être savourée lentement.
  • Recette du Cà Phê Sữa Đá (café glacé au lait concentré)
      - Ingrédients :
        . 2 cuillères à soupe de café moulu (de préférence du robusta vietnamien)
       . 2-3 cuillères à soupe de lait concentré sucré
       . 150 ml d’eau chaude
       . des glaçons
       . un filtre phin vietnamien

      - Instructions :
        - Placez le filtre phin sur un verre résistant à la chaleur.
        - Ajoutez 2 cuillères à soupe de café moulu dans le filtre et égalisez
          la surface.
        - Appuyez doucement sur le couvercle intérieur du filtre pour
           compacter légèrement le café.
        - Versez environ 20 ml d’eau chaude dans le filtre pour imbiber le
           café. Attendez 30 secondes.
        - Ajoutez le reste de l’eau chaude (environ 130 ml). Fermez le
           couvercle du filtre.
        - Laissez le café s’écouler goutte à goutte dans le verre pendant 4 à
           5 minutes.
,       - Ajoutez 2-3 cuillères à soupe de lait concentré sucré dans le café
           filtré. Mélangez bien.
        - Remplissez un autre verre de glaçons et versez-y le mélange
           café-lait concentré.
        - Servez immédiatement et dégustez.

Les 10 ponts les plus insolites du monde

Voici les ponts les plus originaux du monde entre oeuvres d’architecture moderne et vestiges anciens!

  • Le viaduc de Millau, Aveyron, France

  • Le Banpo Bridge, Seoul, Corée du sud

  • Le pont Juscelino Kubitschek, lac Paranoa, Brésil

  • Le pont Henderson Waves, Singapour

  • Le pont de Chéng Yáng, Sanjiang, Chine

  • Le pont Octavio Frias de Oliveira, Sao Paulo, Brésil

  • Pont de “Moëbius”, Changsha, Chine

  • Le pont Khaju, Ispahan, Iran

  • Le pont Magdeburg Water Bridge, Allemagne

  • Le pont Kawazu Nanadaru, Japon

Quels secrets au-delà de l'univers ?

Au-delà de l’univers observable se trouve un domaine fascinant et mystérieux qui intrigue à la fois les scientifiques et les passionnés de l’espace. L’idée que l’univers pourrait s’étendre au-delà de ce que nos télescopes et instruments actuels peuvent capter est une question qui pousse les limites de notre compréhension. Alors que l’étendue de l’espace observable s’étendrait à environ 93 milliards d’années-lumière, ce que nous pouvons voir n’est qu’une infime partie d’une réalité potentiellement infinie. Les questions sur ce qui se cache au-delà de l’horizon cosmologique ne cessent de susciter des débats et d’alimenter l’imagination. 
Au fur et à mesure que la science progresse, les modèles cosmologiques tentent de décrypter les mystères situés au-delà de ce que nous pouvons observer. Les astronomes ont longtemps été fascinés par la question de savoir si l'univers est fini ou infini. S'il est infini, cela signifie qu'il pourrait contenir une infinité de galaxies, étoiles et planètes, rendant nos explorations actuelles infimes par rapport à l'immensité globale. D'autre part, si l'univers est fini, il soulève des questions sur ce qui pourrait exister en dehors de ses limites, si tant est que ces limites existent. La recherche sur ces thèmes pousse les astrophysiciens à explorer des hypothèses audacieuses et à concevoir des instruments toujours plus performants pour repousser les frontières de l'inconnu.

 
Au-delà de l’univers observable, il pourrait y avoir des régions encore inaccessibles en raison de la vitesse finie de la lumière et de l'expansion continue de l'univers. Cette expansion, découverte au XXe siècle, signifie que certaines parties de l'univers s'éloignent de nous à une vitesse telle que leur lumière ne nous atteindra jamais. Cela crée un horizon cosmique, une barrière physique à ce que nous pouvons observer, mais qui ne limite pas ce qui pourrait exister au-delà. La possibilité de régions similaires à la nôtre, avec des galaxies et des étoiles semblables, suscite de nombreuses théories. Certains modèles postulent l’existence de régions à la structure différente, avec des lois physiques qui pourraient varier de celles que nous connaissons. 
Explorer ce qui se trouve au-delà de l'univers observable n'est pas seulement une question scientifique, mais aussi philosophique. Ces explorations nous invitent à nous interroger sur notre place dans l'univers et sur la nature de la réalité elle-même. Si l'univers observable représente une bulle dans une structure plus vaste, alors il est possible que d'autres "bulles" existent, chacune évoluant de manière indépendante. Cela ouvre des perspectives fascinantes sur la diversité des formes que l'univers pourrait prendre. Ces réflexions s’ancrent dans des questions fondamentales sur l'origine et le destin de tout ce qui existe. Une autre dimension intrigante concerne les implications pour la vie ailleurs dans l'univers. Si l'univers observable n'est qu'une fraction d'un tout beaucoup plus vaste, alors les chances que la vie existe ailleurs augmentent de manière exponentielle. L'idée de civilisations potentiellement avancées, situées bien au-delà de ce que nous pouvons détecter, est à la fois excitante et vertigineuse. Ces civilisations pourraient avoir une compréhension de l'univers bien plus avancée que la nôtre, et leur existence pose des questions sur la possibilité de communiquer avec elles ou de comprendre leurs intentions. La recherche scientifique sur ce sujet s'appuie sur une combinaison d'observations et de simulations. Les instruments modernes, tels que le télescope spatial James Webb, offrent des aperçus toujours plus précis de l'univers éloigné. Malgré ces progrès, le défi demeure immense, car nous sommes limités par la vitesse de la lumière et par les contraintes de nos propres outils. Les simulations numériques, quant à elles, permettent de modéliser des scénarios et d'explorer des hypothèses sur ce qui pourrait exister au-delà de l'horizon cosmique. Ces approches offrent une manière indirecte de découvrir des indices sur des mondes et des structures encore hors de portée.

Quel est le premier pays à fêter le Nouvel An dans le monde ?

 

  • Les fuseaux horaires : la clé de la question
Pour bien comprendre pourquoi certains pays célèbrent le passage de la nouvelle année avant d’autres, il suffit de se référer aux fuseaux horaires.

La Terre est divisée en 24 fuseaux, chacun correspondant à une heure de décalage par rapport au voisin. En raison de la rotation de la planète, le passage à la nouvelle année commence sur les terres les plus à l'est et se déplace progressivement vers l'ouest. Cela signifie qu’il existe un certain nombre de pays qui peuvent revendiquer le titre de « premiers à fêter le Nouvel An », mais tous se trouvent dans le Pacifique Sud, là où le changement de date commence.
  • Kiribati est le premier pays à célébrer le Nouvel An

Si vous cherchez le premier endroit au monde à célébrer la Nouvelle Année, vous devrez vous rendre à Kiribati, un archipel insulaire dans le Pacifique central. Ce petit État sera en effet le premier pays à entrer en 2025, grâce à sa position géographique.


Kiribati a fait un choix stratégique en 1994 en déplaçant sa ligne de changement de date vers l'est. Avant cette décision, le pays était situé de manière à se trouver parmi les derniers à passer à la nouvelle année, mais en modifiant la ligne de changement de date, Kiribati fait désormais partie des tout premiers à la célébrer. L’archipel est composé de 33 îles réparties sur une vaste zone du Pacifique, mais c’est l’Île de la Ligne (ou Millennium Island) qui détient le titre du premier endroit au monde à voir le soleil se lever le 1ᵉʳ janvier.
  • La Nouvelle-Zélande, les îles Fidji ou Wallis-et-Futuna, dans les premiers à célébrer le Nouvel An

Juste après Kiribati, un autre pays du Pacifique, la Nouvelle-Zélande, est l’un des premiers à célébrer la nouvelle année. Le pays est situé juste à l’ouest de Kiribati, dans le fuseau horaire UTC+13, et fête donc le Nouvel An quelques heures après les habitants de Kiribati.
Les îles Fidji, autre destination paradisiaque du Pacifique Sud, ne sont pas loin derrière la Nouvelle-Zélande. Celles-ci, situées à UTC+12, fêtent le Nouvel An quelques heures après Kiribati et la Nouvelle-Zélande.
Toujours dans le Pacifique Sud, et sur la même fuseau horaire que les îles Fidji, la collectivité d’outre-mer de Wallis-et-Futuna se trouve également parmi les premiers à fêter la nouvelle année. Ce petit territoire français, situé dans le Pacifique Sud, est composé de trois îles principales : Wallis, Futuna et Alofi.

Les ponts du Diable incroyables et Insolites de l'Europe

Ces ponts fascinent autant par leur architecture audacieuse que par les légendes qui les entourent.
  • Le Ponte da Misarela, dans le parc national de Peneda-Gerês (Portugal)

Enclavé dans l'un des plus beaux parcs naturels du Portugal, le Ponte da Misarela s’élève au-dessus du tumultueux Rio Rabagão. Selon la légende, un fugitif, poursuivi par des soldats, fit un pacte avec le diable pour traverser la rivière. En échange de son aide, le fugitif lui promit son âme. Sauvé, il fut cependant délivré du pacte par un prêtre qui bénit le pont, brisant ainsi la malédiction. Ce pont en pierre, de construction médiévale, s'entoure de ravissantes forêts et cascades, au fond d’un canyon escarpé.

  • Le Ponte del Diavolo de Borgo a Mozzano, près de Lucca (Italie)

Le pont de la Madeleine à Borgo a Mozzano, en Toscane, est un magnifique exemple de pont en arc médiéval. Construit à la fin du XIIIe siècle au-dessus de la rivière Serchio, l’édifice a une silhouette atypique, ses arches asymétriques défiant presque les lois de la gravité. La légende raconte qu’un architecte, dépassé par l’ampleur de la tâche, fit appel au diable pour finir la construction à temps. Le prix à payer ? L'âme du premier être à traverser le pont. Un chien fut envoyé à sa place, déjouant le malin.

  • Le pont du Diable de Saint-Guilhem-le-Désert, Hérault (France)

En Occitanie, la commune de Saint-Guilhem-le-Désert abrite l’un des ponts du Diable les plus célèbres de France. Ce pont, qui enjambe l’Hérault depuis le XIe siècle, est lié à la légende des moines de Gellone. Ces derniers avaient entrepris la construction de l’ouvrage, mais le diable, furieux de ne pas avoir été impliqué, détruisait chaque nuit ce que les moines bâtissaient le jour. Exaspérés, les religieux décidèrent de passer un pacte avec lui, lui promettant l'âme du premier passant. Là encore, les hommes rusèrent et envoyèrent un chien. Aujourd'hui, le pont est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, en tant qu’étape sur la route vers Saint-Jacques-de-Compostelle.

  • Le Teufelsbrücke de Finkenberg, Zillertal (Autriche)

Blotti dans la région du Tyrol en Autriche, au cœur du Zillertal, le Teufelsbrücke de Finkenberg est un petit pont en bois jeté au-dessus d’un impressionnant ravin. Comme beaucoup d’autres ponts du Diable, il est lié à une légende selon laquelle le diable aurait aidé les habitants pour sa construction, contre la première âme qui le traverserait. Cette histoire est souvent racontée aux enfants du village, leur rappelant de ne pas trop s’approcher du ravin. Le décor alpin autour du pont, avec ses sommets enneigés et ses forêts denses, est à couper le souffle.

  • Le Pontarfynach d’Aberystwyth, Ceredigion (Pays de Galles)

Le Pontarfynach, ou Devil’s Bridge, est une construction à trois niveaux élevée au-dessus de la rivière Mynach, près d’Aberystwyth au Pays de Galles. Ce pont témoigne de plusieurs siècles d’ingénierie, les différents niveaux ayant été ajoutés à des époques distinctes. La légende raconte qu’une vieille femme, incapable de traverser la rivière, aurait invoqué le diable pour l’aider. En échange, il demanda l’âme du premier passant, mais la femme trompa le malin en envoyant son chien. Aujourd’hui, le pont attire les visiteurs pour ses légendes, mais aussi pour les impressionnantes cascades qui l’entourent, visibles depuis le sentier qui longe la rivière.

  • Le Dyavolski Most d’Ardino (Bulgarie)

Isolé au cœur des montagnes des Rhodopes en Bulgarie, le Dyavolski Most est un spectaculaire pont ottoman en pierre construit au XVIe siècle. Il traverse la rivière Arda, dans un cadre sauvage et isolé. La légende locale raconte que le constructeur du pont a conclu un pacte avec le diable pour réussir cet exploit architectural. Le diable aurait même laissé son empreinte dans une des pierres, encore visible aujourd’hui.

  • Le Teufelsbrücke du col du Saint-Gothard (Suisse)


Ce pont surplombant les gorges de la Schöllenen, dans le col du Saint-Gothard en Suisse, est un symbole de l’ingéniosité des architectes alpins. Au XVIIIe siècle, la construction de cet ouvrage sur un terrain aussi accidenté semblait presque impossible, ce qui a mené à l’apparition de nombreuses légendes. Comme dans les autres légendes, le diable aurait proposé son aide en échange de la première âme à traverser le pont ; mais cette fois, c’est une chèvre que les habitants du canton d’Uri envoyèrent ! Le pont du Saint-Gothard est aujourd’hui un passage incontournable pour traverser le col, offrant un panorama vertigineux sur la rivière en contrebas.

  • Le Pont del Diable de Martorell, Catalogne (Espagne)

Près de Barcelone en Catalogne, le Pont del Diable de Martorell enjambe le fleuve Llobregat depuis l’époque romaine. Bien qu'il ait été reconstruit à plusieurs reprises, notamment au XIVe siècle, ce pont est depuis longtemps associé à une légende où le diable tient un rôle central : l’histoire raconte qu’un soir, alors que les villageois tentaient en vain de construire un pont pour traverser le fleuve, le diable leur apparut, promettant d’achever la construction en une nuit, en échange de l’âme du premier passant du pont. Les habitants acceptèrent le marché, le pont fut terminé au lever du jour et les villageois, plus malins que le malin, envoyèrent… un chat.