Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Dis-moi comment tu te caresses, je te dirai qui tu es.
le vieux pont sur l'oued Tensift, Marrakech, Maroc
Le vieux pont du Tensift - Marrakech - Maroc
à la sortie Nord de la ville en direction du Nord a été édifié en 1170 par le Sultan Almohade Abou Yakoub Youssef (1163 - 1184). un robuste ouvrage de 27 arches et d'une architecture qui n'a rien à envier à celles des grands ingénieurs d'aujourd'hui.
la preuve, malgré qu'on a décidé de l'abandonner, il est encore là et les habitants de la ville l'emprunte toujours.
Ain Défali, terre d'accueil et d'hospitalité : le thé à la menthe.
Les Jbalas
Les Moussems.
Un marabout, c’est un homme de foi auquel Dieu a donné des pouvoirs, qui les manifeste en faisant des miracles, faisant jaillir des sources, guérissant des malades. Enterré dans un monument qu’on appelle par extension un marabout, il continue après sa mort a protéger sa communauté, et même à faire des miracles.
Les principaux moussems d’Ain Défali sont :
- Le moussem de Sidi M’hamed Laoula :
c’est l’occasion, parfois unique dans l’année, de se retrouver, d’échanger des nouvelles, de resserrer les liens familiaux.
c’est aussi l’occasion de rencontrer tous ceux qui habitent loin, qu’on voit rarement. Mais, c’est aussi une fête tout simplement.
- Le Moussem de Sidi M’hamed Messaoûd (au Douar Jdid).
- Le Moussem de Sidi Bekkari (Région d’Aouf).
- Le Moussem de Sidi M’hamed El Khadir (au delà du pont de l’Oued Rdat) : Les pouvoirs divins de ce marabout, ont été à l’origine d’une paraplègie accidentelle du laboureur de son cimetière, il y a une vingtaine d’années. Et pourtant, c’est la réalité et qui dit mieux !
La petite île de Procida
Les Fêtes Nationales et Anniversaires- Fêtes religieuses
Elles sont toutes fixées selon le calendrier grégorien.
- 1er Janvier : NOUVEL AN.
- 11 Janvier : ANNIVERSAIRE DU MANIFESTE DE L’INDEPENDANCE (1944).
- 14 Janvier : ANNIVERSAIRE DE LA CONFERENCE D’ANFA (1943).
- 12 Fevrier : ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE BOU GAFER (12 FEV- 23 Mars 1933).
- 28 Février : ANNIVERSAIRE DU DEPART DU DERNIER SOLDAT ESPAGNOL DU-SAHARA MAROCAIN (1976).
- 11 Mars : ANNIVERSAIRE DE SA LE PRINCE MOULAY HICHAM (1964).
- 21 Mars : JOURNEE NATIONALE DE L’ARBRE.
- 30 Mars : ANNIVERSAIRE DE LA SIGNATURE A FES DU TRAITE DU PROTECTORAT (1912).
- 09 Avril : ANNIVERSAIRE DE LA VISITE HISTORIQUE A TANGER DE FEU SM MOHAMMED V (1947).
- 17 Avril : ANNIVERSAIRE DU SOULEVEMENT DE FES CONTRE LES AUTORITES COLONIALES (1912).
- 27 Avril : ANNIVERSAIRE DE LA CREATION DE L’ENTRAIDE NATIONALE (1958).
- 27 Avril : ANNIVERSAIRE DE LA CONFERENCE DE TANGER (REUNION DES DIRIGEANTS DES TROIS FRONTS NATIONAUX MAGHREBINS : ISTIQLAL, DESTOUR ET FLN) (1958).
- 30 Avril : ANNIVERSAIRE DE LALLA SOUKAINA (FILLE DE SAR LA PRINCESSE LALLA MERYEM) (1986).
- 01 Mai : FÊTE DU TRAVAIL.
- 06 Mai : ANNIVERSAIRE DE LA CREATION DE L’UNION NATIONALE DES FEMMES MAROCAINES (UNFM) (1969).
- 07 Mai : JOURNEE NATIONALE DE LA MUSIQUE (sera célébrée pour la 1ère fois en 1995 en commemoration de la Lettre Royale adressée par Feu Sa Majesté Hassan II aux participants au 1er séminaire sur l’enseignement musical organisé en Mai 94).
- 10 Mai : ANNIVERSAIRE DE L’ENTREE TRIOMPHALE A FES DE FEU SM MOHAMMED V (1934).
- 14 Mai : JOURNEE NATIONALE DU THEATRE.
- 14 Mai : ANNIVERSAIRE DE LA CREATION DES FORCES ARMEES ROYALES (FAR)(1956) .
- 16 Mai : ANNIVERSAIRE DE LA CREATION DE LA SURETE NATIONALE (1956).
- 17 Mai : JOURNEE NATIONALE DE L’ENVIRONNEMENT.
- 25 Mai : JOURNEE NATIONALE DE L’ENFANT (Décidée par Feu SM le Roi Hassan II dans son message au 1er congrés national sur les Droits de l’enfant Mai 1994).
- 26 Mai : JOURNEE NATIONALE DU MOUVEMENT SCOUT.
- 18 Juin : ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DU MARTYR MOHAMED ZERKTOUNI (JOURNEE DE LA RESISTANCE) (1954).
- 30 Juin : ANNIVERSAIRE DU RETOUR DE SIDI IFNI A LA MERE-PATRIE (1969).
- 21 juillet : ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE D’ANOUAL (1921).
- 30 juillet : FETE DU TRONE.
- 04 Août : ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE OUED EL-MAKHAZINE (1578).
- 14 Août : ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE D’ISLY (1844).
- 14 Août : ANNIVERSAIRE DE LA RECUPERATION DE LA PROVINCE DE OUED EDDAHAB (1979).
- 16 Aoùt : ANNIVERSAIRE DE LA REVOLTE DES NATIONALISTES OUJDIS CONTRE LES AUTORITES COLONIALES (1953).
- 20 Août : FETE DE LA REVOLUTION DU ROI ET DU PEUPLE (1953).
- 21 Août : ANNIVERSAIRE DE SA MAJESTE LE ROI MOHAMMED VI.
- 01 Septembre : ANNIVERSAIRE DES EVENEMENTS DE BOUFEKRANE (1937).
- 01 Octobre : ANNIVERSAIRE DE L’ADHESION DU MAROC A LA LIGUE ARABE.
- 02 Octobre : ANNIVERSAIRE DE LA CREATION DE L’ARMEE DE LIBERATION NATIONALE (1955).
- 16 Octobre : ANNIVERSAIRE DE L’ANNONCE DE L’ORGANISATION DE LA MARCHE VERTE (1975).
- 01 Novembre : ANNIVERSAIRE DU SEJOUR A SAINT-GERMAIN EN LAYE (FRANCE) DE FEU SM MOHAMMED V (1955).
- 06 Novembre : ANNIVERSAIRE DE LA MARCHE VERTE.
- 15 Novembre : JOURNEE NATIONALE DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (Décidée par Feu SM le Roi Hassan II dans son message au premier colloque national sur l’information et la communication "INFOCOM 93").
- 16 Novembre : ANNIVERSAIRE DU RETOUR DE L’EXIL DE FEU SM MOHAMMED V ET SA FAMILLE (1955).
- 18 Novembre : FETE DE L’INDEPENDANCE.
- 23 Novembre : ANNIVERSAIRE DU SOULEVEMENT DES TRIBUS AIT BAAMRANE CONTRE L’OCCUPATION ESPAGNOLE (1957).
- 08 Décembre : ANNIVERSAIRE DU SOULEVEMENT DE CASABLANCA (1952).
- Le Mouloud, ou l'anniversaire de la naissance de Mahomet (présumé 20 août 570 après JC.), se fête par des processions, des conférences et des récits sur la vie du Prophète. 12 Rabi' al-awwal.
- Leïla al-Ghaïbah (15 Rajab), anniversaire de la conception de Mahommet
- Leïla al-Miraj (La nuit du voyage et de la montée au ciel) . Fête du voyage de Mahomet de la Mecque à Jérusalem et de là vers le ciel dans la même nuit. Durant ce voyage, lui fut révélé le commandement des cinq prières quotidiennes. 27 Rajab.
- Leïla al-Bara'a. Deux semaines avant le Ramadan, les musulmans cherchent le pardon de leurs péchés, beaucoup de musulmans croient que durant cette nuit, Dieu fixe le destin de chaque homme pour l'année à venir. On passe cette nuit à prier pour demander à Dieu directives et pardon. Certains jeûnent durant la journée. 15 Sha'ban.
Durant tout le mois de Ramadan, toute la vie est bouleversée : peu d’activité pendant la journée en raison du jeûne et ambiance de fête dès la tombée de la nuit.
- Leïla al-Qadr (Nuit du Destin, correspond à la révélation du Coran), 27° jour du mois de Ramadan, nuit de prière pour que Dieu accorde une bonne destinée.
- Aïd el Seghir, ou Aïd el Fitr [La "petite fête" par opposition à l'Aïd el Kebir], qui marque la sortie du jeune et marque la fin du mois de Ramadan. Les 1er et 2 Chawwal (selon le calendrier musulman).
- 9 Dhu Al Hijja, la veille de l'Aïd El Kebir, jour de Arafat. Il correspond au 9ème jour du pèlerinage où de millions de pèlerins se retrouvent sur le mont Arafat et prient pour la rémission.
Cérémonie de mariage.
Le jour précédent le mariage, après que la future mariée, en compagnie de femmes de sa famille, se soit purifiée au hammam, a lieu la cérémonie du henné. La "hannaya", dessine des motifs symboliques sur les mains et les pieds de la fiancée, afin de lui porter bonheur et prospérité dans sa vie future. Les autres femmes participantes peuvent aussi demander à se faire tracer ces si jolies arabesques, elles sont censées porter chance.
Avant le mariage, le fiancé est tenu d'offrir des présents à sa promise : Certains sont symboliques, comme le sucre, qui représente une vie heureuse, le lait, la pureté ou encore les dattes, l'eau de fleurs d'orangers et le henné. En font partie également la bague de fiançailles et l'alliance. Les autres varient en fonction des moyens. On peut trouver des coupons de tissus, des caftans, des chaussures, des sacs à main, du parfum. Ces cadeaux sont disposés dans de très grands plateaux de couleur argentée, recouverts d'un couvercle conique, les " téfors ".
Lors du mariage, avant la cérémonie, au domicile du marié, sont exposés les fameux cadeaux exposés sur les téfors, parmi lesquels se trouvaient de magnifiques caftans blanc, bleu, rouge, vert que la jeune épouse a porté au cours de la cérémonie.
Des hommes sont chargés de porter les plateaux de cadeaux en dansant, à la mariée, accompagnés par un orchestre qui anime tout le quartier ou le douar.La fête proprement dite a lieu dans une maison traditionnelle, sous une tente à proximité du domicile de la mariée ou dans le jardin des parents, en plein air, de l'un ou l'autre des jeunes époux. A cette occasion est installée une estrade assez haute, sur laquelle sont disposés deux sièges imposants où s'assiéront les mariés, qui pourront ainsi être observés de tous. Les musiciens jouent et chantent. Une fois les invités placés à leur table, l'orchestre attaque les morceaux de "châabi" selon le choix des mariés et quelques uns préfèrent les rhayatas et les tam tam. La jeune épouse arrive dans l'assistance vêtue d'un caftan blanc avec des bijoux assortis. Elle s'asseoit à côté de son époux, pendant que les convives se pressent autour d'eux afin de se faire photographier en leur compagnie.La mariée est entourée des "neggafates", maîtresses d'orchestre de la cérémonie et garantes du respect scrupuleux des rites nuptiaux. Elles peuvent être 4 à 5, sous la direction de l'une d'elles. Elles s'occupent de la mariée en l'habillant, la parent des bijoux qu'elles lui prêtent, veillent à ce que les plis des caftans tombent toujours bien pour les photos, la dirigent dans ses gestes, minutent la cérémonie et le changement de vêtements La mariée sort périodiquement pour se changer. Le deuxième caftan est souvent de couleur verte, toujours avec les colliers, diadème, boucles d'oreilles et bracelets assortis. Le défilé peut ainsi continuer jusqu'à sept tenues différentes dans la soirée. Pendant ce temps, les invités se restaurent. Selon les endroits, les mariés ont opté pour un repas ou un cocktail dînatoire. Des boissons gazeuses et de délicieux jus de fruits frais sont servis. Si c'est un repas, il comprend généralement une pastilla (feuilles de brick très fines fourrées d'une fricassée de pigeons ou de poulet, d'amandes, de sucre et de cannelle, plat délicieux, un tagine (ragoût de viande et légumes servi dans un plat en terre à la forme caractéristique) et des fruits au dessert. Dans certains mariages, on mange de manière traditionnelle, avec les doigts. Le thé à la menthe finit le repas, accompagné d'exquises pâtisseries marocaines comme, entre autres, les cornes de gazelle. Les invités dansent de temps en temps au rythme de la musique, discutent entre eux et s'observent. Les petits enfants qui participent à la fête se meuvent étonnement bien sur la musique. La soirée se termine en général aux alentours de 5h du matin, au lever du soleil.
Incroyable mais vrai.
Langues parlées à Ain Défali.
Le berbère (ou amazighe :
- Le Rifain (ou zenatiya ou tarifit), parlé dans le Rif, au nord-est,
- Le tamazight (ou braber) parlé dans le Moyen-Atlas, une partie du Haut-Atlas et plusieurs vallées; il dispose d’un alphabet, le tifinagh : également utilisé par les Touaregs;
- Le tachelhit pratiqué par les Chleuhs du Haut-Atlas, du Souss et du littoral du sud du Maroc),
Le français pour ceux qui fréquentent les écoles,
L'espagnol pour une faible partie de la population ,
et l'anglais qui tend à s'imposer en tant que véhicule de la modernité.
L'arabe classique demeure pour tout arabophone la langue de la prédication islamique et de l'enseignement religieux (la langue du Coran), puis celle de la langue écrite.
Les démons, les Djinns et les Démons de l'univers Islamique Médiéval
- Quelles sont les Djinn?
- Ancienne Djinn
Bien que les origines de la djinn semblent être dans les déserts de l'Arabie, de la croyance en elles vraiment pris forme dans les villages et les villes du Moyen-Orient. En fait, les nomades qui parcouraient les déserts craint le djinn beaucoup moins que la sédentarisation des peuples qui redoutais la distance des plaines et des déserts qui représentait à la fois l'inconnu et le danger pour eux. Par exemple, Pazuzu était primordial de djinn, un vent démon qui les habitants des villes Sumériennes craint il y a 6000 ans. Le vent est souvent associé avec le djinn et les peuples de l'antiquité du Moyen-Orient, a estimé que ces créatures voyagé sur elle. Selon Assyrien et Babylonien de la mythologie, Pazuzu était le fils de Hanpa, qui est le seigneur de tous les démons, peut-être un “ancien Satan.” Certains érudits de l'état que Pazuzu, qui a été associée avec le froid, vent nord-est, était l'un des plus maléfiques forces élémentaires de l'ancien monde. Il a balayé les déserts et porté maladies et ont apporté la désolation et de la famine dans son sillage. Pazuzu, comme plus tard le djinn de la période Musulmane, a été dépeint comme un homme-animal hybride.
D'autres anciens djinn/démons compris Rabisu et Labaratu. L'ancien dissimulés dans des endroits éloignés et dans une embuscade sans méfiance voyageurs (comme nous allons le voir c'est comment un de le djinn du Moyen-Orient Islamique, le ghul, exploité) et le second, la fille du dieu du ciel Anu, vivait dans les marais ou les montagnes et tué des enfants. D'autres anciennes de la Mésopotamie démons engagés dans des rapports sexuels avec des humains. Tous ces êtres antiques servi comme les prototypes des djinn de l'Arabie, et plus tard le monde Musulman.
Il y a une ancienne mosquée de la Mecque appelée la Mosquée al-djinn ou à la Mosquée du Djinn et selon la tradition Islamique, il est dédié à ceux djinn qui a accepté le prophète Muhammad message quand il a prêché. Dieu est souvent mentionné dans le Coran comme Rab al-Alamin, ce qui signifie que le Seigneur de l'univers, en englobant l'ensemble des mondes et des univers qui existent, y compris celle de l'homme et le djinn. Le Coran aussi mentionne souvent les humains et les djinns ensemble que les deux types de création qui pourrait recevoir des révélations divines et de les accepter ou de les rejeter.
In response to these transgressions, al-Qazwini says that God sent his heavenly armies of angels to punish them. After fierce battles between the angels and the djinn the latter were driven from their homes to the far corners of the world, while many others were taken prisoner. Among these prisoners was a young djinn named Azazel (a clear parallel here to one of the leaders of the fallen angels in the apocryphal Book of Enoch). Azazel was raised among the angels and he attained their knowledge, counselled them, and lived among them for a long time until he became one of their chieftains.
Cette situation a continué jusqu'à la création d'Adam. Quand Dieu ordonna à tous les anges de se prosterner devant sa nouvelle création, Azazel a refusé de sortir de l'arrogance et c'est après ce point que son nom a été changé pour Iblis (l'un des noms pour désigner Satan dans la tradition Islamique) et il est devenu l'ennemi de l'homme et maudit par Dieu. L'implication dans le texte, c'est qu'il est également devenu le leader de tous les renégats djinns et les démons et la personnification du mal, de conflits, et de la désobéissance. Al-Qazwini mentionne qu'Iblis avait cinq fils: Birah, le seigneur des catastrophes;
- Types de Djinn
Al-Qazwini et al-Isfahani ont des sections dans leurs œuvres dans lesquelles ils la liste des divers types de djinn, de démons et de monstres. Dans un chapitre de son chapitre sur les djinn, Al-Qazwini fournit une description de certaines de ces créatures. D'autre part, le Kitab al-Bulhan n'a qu'une série d'illustrations de la djinn accompagné avec des titres. Stefano Carboni fournit quelques bonnes interprétations de ces images dans son article, “Le "Livre de Surprise" (Kitab al-bulhan) de la Bodleian Library.” Je vais utiliser Carboni de l'article, pour compléter les descriptions et les caractéristiques de certains des démons présenté par Kitab al-Bulhan
- Le Ghul
- The Si‘lah
The si‘lah is a variant of the ghul. This djinn is often referred to in the feminine. She resides in jungles and thickets and lays in ambush for her victims. She is described as a wicked and sadistic djinn who tortures her prey, plays games with him, and makes him dance before consuming him.
The si’luwa is a variant of the s’ilah from Iraq. She is a water demon or water spirit that inhabits the rivers, streams, and canals of Mesopotamia. She has the shape of a woman and is covered in long hair, has pendulous breasts that hang down to her knees, and in some accounts, she is described as having a fishtail instead of legs. She both sets traps for and hunts humans to eat and also seeks human lovers. Local beliefs state that the si’luwa is the product of the intermingling of humans with reiver demons.
- Le Ghaddar
- Le Delhab/Delhan
- Le Shiqq
- Le Djinn dans le Kitab al-Bulhan
Kitab al-Bulhan contient une série d'illustrations en pleine page montrant divers démons et les djinns. Ces illustrations représentent Iblis (Satan), les sept djinn/rois démons (associés chacun à un jour de la semaine), et enfin il y a des représentations de certains djinns qui sont associés à des maladies et d'autres forces de la perturbation dans la vie de ceux. En plus d'être associé à un jour de la semaine, Carboni stipule que chaque illustration des sept djinn rois est également connecté à un ange, une planète et d'un métal.
- Iblis
- Le Djinn Rois de dimanche et lundi
Al-Malik al-Abyad, ou le roi blanc de lundi (parfois désignée comme le blanc, le père de la lumière). Il est associé à la lune. Le roi blanc est l'un des Iblis est le plus proche de cohortes. Il est dépeint comme un blanc démon avec des cornes et des yeux dorés. Sa tête est en partie celle d'un homme, mais plus comme une bête, avec des crocs, oreilles tombantes, et ridée couches de chair sur ses joues.
- Le Roi de mardi
- Le Roi de mercredi
Le Roi de jeudi
- Le Roi de vendredi
- Le Roi de samedi
- Other Djinn in Kitab al-Bulhan
In addition to Iblis and the seven demon kings of the week in Kitab al-Bulhan, there are also some pages with illustrations of additional djinn. These demons can be related to disruptive forces in one’s daily life such as illnesses
- Kabus
- Tabi a
- Humma
The account continues and states that once his prayer was answered, Suleiman set about questioning the djinn about their backgrounds, homelands, religions, and deeds. Ajaib al-Makhluqat presents a few examples of the dialogues that Suleiman had with his djinn servants. One of them, a certain Mihr ibn Hafan, was half dog and half cat with a trunk. when asked what he did, Mihr stated that he produced intoxicants and tempted the sons of Adam to their consumption. Another djin, al-Hilhal ibn Mahlul, was a fearful looking dog-like monster. He was covered in black hide and blood dripped from every hair on his body. He was a causer of bloodshed among men.
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