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La Gare d'Ain Défali

  
 Un excellent témoignage, de Jeannine et Jacques Quittau, qui rend hommage à Ain Défali 

Quelque part… au Maroc 


AIN DEFALI 

Par Jeannine et Jacques Quittau
 Instituteurs.
 Montage réalisé en janvier 2008,
 54 ans après leur nomination dans ce lieu 
dont le nom pouvait faire rêver : 




La voie de 60. 
Construction entre 1923 et 1928 de la longue antenne 
MECHRA - BEL KSIRI - AIN DEFALI - FES EL BALI -  OURTZAGH - AIN AICHA
 qui pénétrait dans le RIF. 
en 1924,
 ce sera l’antenne AIN DEFALI – OUEZZANE  
à travers la vallée de Ouargha.


 Le train et son équipage devant le Buffet. 




Superbe machine qu'on est fier de servir. 





La gare fortifiée avait cet aspect si l'on supprime les arbres.  


Le buffet de la gare d'Ain Défali. 



Le buffet est devenu « cantine »  c’est-à-dire bistrot et bureau de poste.  


Le directeur de l’école nous montre que tout est fermé. 


La gare est devenue « école »en 1948. 

 De 1954 à 1956 ce fut la nôtre. 
Nous la redécouvrons en 2000.



Planté par nous en 1954, ce géranium


C’était la classe de Jeannine pour 45 enfants 
 dont 1 petit Français en…1954. 


Notre logement… avec des tuiles. 


Un survivant construit pour… le train. 


Qui était alimenté par cet engin désuet, 
 témoin silencieux d’un autre temps. 



Ils avaient bien 20 ans…
 A peine, à peine plus.
 Hélas ! Hors de question 
De revoir ce qui fut 
Car ce qui fut 
N’est plus

N.B : Dans ce montage, le buffet de la gare d'Ain Défali se trouvait en face de l'épicerie de Sbai, à cent mètres de l'école, sur son côté gauche. Le bistrot ou cantine ou poste était dirigé par Mme Robert et est adjacente à l'école et se trouve sur son côté droit.  

L'hospitalité à Ain Défali


Comme tous les marocains, les habitants d’Ain Défali sont fortement attachés à cette qualité ancestrale qu'est l'hospitalité. Ils la traduisent par la nourriture. Ce n'est pas une légende, elle est bien réelle et c'est une fierté pour tous les marocains.
Le voyageur est considéré comme l"hôte de Dieu. Son arrivée est un honneur auquel toute la famille est sensible. Il est accueilli par la formule classique: "marhba" (sois le bienvenu). Dans la région, laisser un hôte attendre plus qu'il ne convient dehors est une incorrection grave. On lui présente ce qui est immédiatement disponible. Le thé, comme chez tous les marocains, est toujours présent dans les traditions d'accueil. C'est le symbole de l'hospitalité marocaine.


L'hospitalité est sacrée chez les habitants de notre région. L'hospitalité n'est pas limitée aux gens aisés. Pour recevoir les personnes importantes ou un groupe de visiteurs, les habitants égorgent un poulet ou plusieurs ( et des fois un mouton) selon leur possibilité.
Repousser les invités était considéré comme une honte et une humiliation que même les plus pauvres ne peuvent supporter.
l'hospitalité marocaine est proverbiale", "raison de plus pour ne pas en abuser". Et cette citation s'accorde parfaitement avec le proverbe marocain qui dit : " l'arbre chargé de nids meurt avant les autres".

Thomas Jefferson : un visionnaire


 

Nouvelle ligne ferroviaire Nador-Taourirt

Sa Majesté Mohamed VI a inauguré ce jour les nouvelles gares « Nador sud » et « Nador ville » et a donné ainsi le coup d’envoi de la nouvelle ligne ferroviaire, longue de 110 kilomètres, qui relie Nador à Taourirt. Ainsi, la nouvelle desserte ferroviaire devient opérationnelle à compter de ce jour.


Au passage, ce sont sept nouvelles gares qui sont désormais desservies par train. Il s’agit des gares de Béni Ensar, de Nador Ville, de Nador Sud, de Sélouane, de Hassi Berkane, d’Ouled Rahou et de Meg El Ouidane.












C’est donc une nouvelle ère qui s’ouvre dans cette région du Royaume. Avec la connexion du port de Nador au réseau ferroviaire national, les régions de l’oriental et du centre s’ouvre désormais sur la Méditerranée. Ce qui va permettre une nouvelle dynamique de développement économique et social.



Les marabouts encore vénérés à Ain défali.

Bien que relativement inhabituelle pour la plupart des Musulmans, la tradition des Marabouts, des hommes saints, et des demandes de faveurs continue d’être observée à Ain défali en particulier et au Maroc en général.. Les gens qui cherchent la guérison, une aide ou des conseils se rendent sur les tombes de ces notables pour des prières collectives.


Ain Défali compte une dizaine de Marabouts (Sidi M’hamed El Aoula, Sidi Khadir, Sidi M’hamed El Bekkari, Sidi El Alem, Sidi M'hamed Ben Messaoud,etc…) qui gardent encore une place particulière dans la vie de bon nombre de Gharbaouis. Les temples qui abritent les tombes de ces saints continuent d’être visités en masse par des jeunes et des moins jeunes. Bien qu’il ne soit pas habituel dans l’Islam de prier ces saints, cette pratique ancestrale perdure pour ceux qui viennent se recueillir ou demander une faveur.
Les Marabouts, également appelés walis, Moul Al Baraka, Said, cherifs ou saints, sont en général enterrés dans de petites chapelles. A l’intérieur, on retrouve toujours la même scène : des pèlerins, hommes et femmes, assis autour du tombeau tandis que d’autres se couvrent la tête du drap du saint homme et restent un long moment sans bouger comme pour se confesser.
Parmi les visiteurs qui affluent au marabout, on trouve notamment des jeunes filles venant exposer leurs problèmes au wali. Certaines croient encore que la baraka de ces saints existe bel et bien. Les pèlerins lui rendent régulièrement visite pour avoir un apaisement moral et vaquer par la suite à leur occupation en toute quiétude. Quand ils tardent à s’y rendre, c’est le saint homme qui vient les voir dans leurs rêves pour les signaler qu’ils doivent le consulter.



Les tombeaux des Marabouts sont également des lieux de rencontre régulière. Les personnes démunies y affluent chaque vendredi pour manger le couscous servi par des bienfaiteurs, et des festivals annuels tels que le Moussem continuent d’attirer des centaines de milliers de gens. Outre la prière et les demandes de bénédiction, le Moussem est aussi une occasion de retrouver des amis et des parents qui habitent loin. Certains profitent même de cette occasion pour trouver un mari ou une femme pour leurs enfants.
Ceux qui se recueillent aux temples des saints nourrissent mille et un espoirs et implorent la Baraka du Marabout.
Chaque Marabout est réputé pour une compétence particulière qui le distingue des autres. Chaque saint est jugé selon ses "miracles" et les histoires mystiques qui circulent à son propos. Et c’est cet aspect merveilleux qui est le seul capable de satisfaire la mentalité d’une certaine catégorie de personnes dont la nourriture culturelle est, sans conteste, l’imaginaire.
Les gens ont souvent recours en même temps aux méthodes traditionnelles et à la médecine moderne. Même si certains patients se rendent chez un psychiatre, ils continuent à avoir recours aux compétences d’un guérisseur traditionnel, et aux méthodes de prise en charge traditionnelle de la souffrance psychique, qui sont nombreuses : pèlerinage aux marabouts, transe... Cela peut avoir un effet bénéfique pour les personnes atteintes de troubles légers et croyant aux vertus des saints. Mais, pour les autres, ce n’est pas le cas.

Les hirondelles de l’amour


Les soldats marocains qui ont occupé l’Autriche pendant l’été 1945 ont engendré, sans le savoir, des centaines d’enfants. Après une vie marquée par la discrimination, certains ont entrepris de se réconcilier avec leurs racines paternelles. Reconstitution d’un volet méconnu de notre histoire.


Ces enfants ont tous en mémoire une insulte lancée par un voisin ou un camarade d’école. “Poupée nègre”, “diable noir”, “sale Marocain”. Comme eux, 200 à 300 enfants nés dans le Vorarlberg
en 1946, neuf mois après le bref séjour des troupes marocaines de l’armée française, n’ont pas eu de chance. Contrairement aux autres Kriegskinder (enfants de la guerre), comme les rejetons des soldats français, ils avaient le teint trop brun ou les cheveux trop frisés pour passer inaperçus. Dans une Autriche encore marquée par la propagande nazie, il n’en fallait pas plus pour être rejeté par la société. Dans cette région rurale et très catholique, avoir un enfant hors mariage a valu à ces mères autrichiennes injures et humiliations, au point que beaucoup d’entre elles ont refusé, jusqu’à la fin de leur vie, de parler de ce fameux été 1945. L’été des Marocains.


Voilà deux ans que près de 30 000 jeunes soldats marocains (tirailleurs, goumiers ou spahis) se battent en première ligne de l’offensive alliée lancée en 1943 depuis l’Afrique du Nord. Ils ouvrent plus d’une voie difficile en remontant vers le fief des nazis : Tunisie, Sicile, Corse, Italie, Provence, Alpes, Vosges… Le 31 mars 1945, le sacrifice de plusieurs régiments marocains permet aux alliés de franchir le Rhin. Début mai, après les dernières batailles en Allemagne, les Français envoient une bonne partie des troupes marocaines occuper l’ouest de l’Autriche (le Vorarlberg). Dans ce petit paradis de forêts et de lacs, nous sommes loin des actes de cruauté rapportés en Allemagne, dictés par le désir de vengeance. L’occupation française est plutôt bien acceptée dans le Vorarlberg, y compris ses régiments “exotiques”. « En ces temps de pénurie, il n’était pas rare que des soldats marocains risquent des punitions disciplinaires pour avoir puisé dans les stocks de l’armée française et donné des aliments aux habitants ».
Ces petits cadeaux de nourriture ajoutent au charme des soldats, aux yeux des femmes du pays. “Dès qu’il vous amène du chocolat / ça vous est égal, quelle couleur il a…”, dit l’une des chansons humoristiques qui circulaient à l’époque. Nul doute qu’elles étaient composées par des hommes autrichiens exaspérés par les flirts entre Marocains et Autrichiennes. Les jeunes soldats, issus en majorité de l’Atlas et rarement âgés de plus de 25 ans, écument les bals populaires et leur présence déclenche souvent des rixes avec les rivaux autrichiens. Leur succès auprès des femmes repose sur de multiples raisons. “Beaucoup de femmes étaient séparées de leur mari depuis longtemps, et parfois savaient qu’il ne reviendrait pas de la guerre. Certaines avaient eu des relations avec les soldats allemands et voulaient se racheter, puisque le vent venait de tourner. Pour la même raison, les soldats engagés dans l’armée nazie, quand ils revenaient, n’étaient pas en position de protester contre ces relations”. Les jeunes filles, elles, font ce que font les jeunes filles?: elles tombent amoureuses. “Même si on a signalé quelques viols, la plupart des relations entre les Autrichiennes et les Marocains étaient bien des flirts, voire d’authentiques histoires d’amour”.
Mais ces amours ne durent pas plus d’un été… Dès la mi-septembre, les hirondelles repartent. Le commandement français de l’armée procède au “blanchiment” de ses troupes d’occupation. Des raisons psychologiques sont invoquées : les régiments dits “de couleur” feraient peur à la population. Mais il s’agit probablement, avant tout, d’une décision politique destinée à “remettre les colonies à leur place”. Rapidement, tous les Marocains sont renvoyés dans le Sud de la France. Certains partent en Indochine ou à Madagascar, les autres rentrent au pays. La plupart de ceux qui ont engrossé une Autrichienne l’ignorent. Ceux qui reviennent font l’exception. Deux d’entre eux se sont mariés et ont fait leur vie en Autriche”. Pour toutes les autres mères, le départ des pères marque le début d’un cauchemar. Beaucoup accouchent discrètement auprès des autorités militaires françaises et se voient offrir la possibilité de donner leur bébé en adoption en France. Celles qui gardent leur enfant vont le payer très cher. On les appelle généralement “putes de nègre” et parfois on leur interdit d’entrer à l’église. Toutes sont marquées pour la vie.
Enfants de l’amour ou enfants de la guerre ?
Plus encore que des insultes, ces enfants ont souffert du mystère qui entoure leurs origines.
Après tant d’années de silence et d’inhibitions, ces “enfants des Marocains” à l’âge mûr (et souvent à la mort de leur mère) sont partis à la recherche du père (même si les chances sont minimes), ou du moins de son pays d’origine.


Au Japon, le travail tue !

Des milliers de japonais sont victimes chaque année de mort par épuisement au travail. Poussés jusqu'à leurs limites certains travailleurs japonais bossent littéralement à mort. Les dirigeants japonais commencent à prendre conscience du danger de santé public que cela représente et tentent d'endiguer le phénomène. Malheureusement dans un contexte de crise économique mondiale, on pourrait assister à une croissance du nombre de décès.


Les travailleurs affirme souffrir du stress nuit et jour. "Ils bossent comme des dingues et l'atmosphère est électrique, en particulier lors des périodes les plus chargées quand tout le monde est forcé de travailler jusque tard dans la nuit."
La coutume japonaise qui veut que les employés d'une même entreprise ou d'un même service aille boire un verre ensemble après les heures de travail ne contribue pas à faire baisser le stress, "Très souvent lorsqu’ils sortent entre collègues, ils ressassent les problèmes de la journée. En fait, Il n'y a pas de moment de répit".
Les japonais ont nommé ce problème "karoshi" ou "mort par overdose de travail". Et le contexte économique n'est pas là pour améliorer la situation, avec la baisse des exportations japonaises les entreprises menacent de licencier. Le moral des travailleurs est en berne et leur stress en augmentation.
L'impact de ce stress ne prend pas les mêmes proportions chez tout le monde, pour certains il est juste ennuyeux chez d'autres il se traduit par des problèmes de circulation sanguine ou d'artériosclérose.

Quels sont les bienfaits des fèves ?



Le Programme National Nutrition Santé recommande de consommer des féculents à chaque repas. Les légumineuses peuvent être associées à des légumes, comme accompagnement ou constituer l’ingrédient de base d’un plat complet. On trouve la fève fraiche de mars à juillet. Elle est aussi disponible sous forme sèche toute l’année. Deux ou trois cuillères à soupe bien pleines (ou deux ou trois poignées) correspondent à peu près à une portion d’adulte.


       


Pour les personnes consommant peu ou pas de protéines animales, il est intéressant de combiner les légumineuses et les produits céréaliers : leurs protéines sont en effet complémentaires. Les associer régulièrement permet de mieux compenser l’absence de protéines animales, et d’éviter toute déficience en acides aminés essentiels.
Les fibres alimentaires et les protéines végétales contenues dans les légumineuses seraient associées à divers effets bénéfiques sur la santé. De nombreuses études ont en effet démontré qu’une consommation régulière de légumineuses pouvait diminuer le risque de diabète, de maladies cardiovasculaires, et de cancer colorectal.

Portraits des touristes : les pires restent les Français !

Les Japonais restent les meilleurs touristes au monde. Quant aux Français, ils conservent leur place de mauvais élève en se classant dans le trio de tête des pires touristes au monde.
  • Les Japonais élus « meilleurs touristes… au monde » :
Ce sont les « meilleurs touristes au monde » devant les Allemands et les Britanniques ex-æquo, suivis des Canadiens.
Ils semblent incarner à merveille l’art du savoir-vivre en voyage. Ils sont appréciés pour leur comportement général, leur discrétion, leur courtoisie, leur facilité à mettre la main au porte-monnaie, ils ne se plaignent jamais et ont donc toutes les qualités du « vacancier idéal ».
Les Japonais meilleurs touristes, oui, mais quand même ! Quasi parfaits, ils rencontrent néanmoins quelques difficultés à parler la langue du pays visité : ils arrivent ainsi à la 3ème position des touristes les plus réfractaires à converser avec les hôteliers des pays visités, derrière les Chinois, eux-mêmes devancés par les Français qui emportent la palme des touristes pratiquant le moins la langue du pays qu’ils visitent.
Ils éprouvent par ailleurs un manque d’intérêt flagrant pour la cuisine locale. Inutile donc de leur présenter foie gras, fajitas et autre carbonnade flamande, ils vous remercieront très poliment, mais peu de chance qu’ils touchent à leur assiette.

  • Les Français, les pires :
A la tête du classement des mauvais élèves, caracolent les Chinois, suivis de près par les Indiens et les Français !
Les hôteliers invoquent des raisons diverses et variées : les Français parce qu’ils se plaignent toujours autant, les Chinois parce qu’ils ne prêtent guère attention à leur « look », les Indiens parce qu’ils ont, selon eux, une autre idée de la propreté mais aussi, et c’est sans doute la principale raison, parce que l’ensemble de ces touristes dispose d’un budget serré pour voyager, ce qui leur interdit toute dépense futile.
Les Français se classent donc dans le trio de tête des pires touristes au monde.

  • Les Américains, les plus râleurs :
S’il est un luxe que les touristes s’octroient en vacances, c’est bien souvent de se plaindre… Jamais contents les Américains ?
Toujours à redire les Allemands ?
Des vrais râleurs les Français ?

  • Les Italiens, fashion victims :
Exit les bermudas, tee-shirts promotionnels et autres casquettes à visière... Les Italiens sont bien au dessus de ça. Fidèles à leur réputation de « fashion victims » habitées du culte du bon goût et de l’élégance, pour lesquels le monde idéal serait fait de marques de luxe, de lunettes fumées et de chemises cintrées, nos éternels rivaux en matière d’habillement prouvent une fois de plus que le dressing code à l’italienne fait d’eux les touristes les mieux habillés au monde.

  • Les américains, avides de nouvelle cuisine :
Ce sont eux qui font le bonheur des restaurateurs tant leur appétit et leur envie de découvrir des sensations inédites sont insatiables. Couleur, aspect, odeur, présentation… Ils sont avides de tout et goûtent avec plaisir les plats locaux. Une curiosité qui prouve que ces épicuriens savent profiter un maximum de leurs vacances.
Longtemps réputés pour leurs goûts si particuliers en matière de cuisine, les Britanniques se montrent souvent volontaires, enthousiastes et prêts à se laisser guider par des restaurateurs impatients de leur faire connaître les spécialités du pays.
Les Français sont les plus intéressés par la cuisine locale des pays visités. Ils sont plus sensibles aux cuisines exotiques
A l’inverse, les Chinois, les Indiens, et les Japonais auraient plus de mal à s’accoutumer aux cuisines locales des pays visités.

Le roi de la pop, Michael Jackson, est mort à 50 ans.

Surnommé “Bambi , Michael Jackson, superstar de la musique populaire, est mort brutalement aujourd’hui, à 21 heures 26 minutes, à l’âge de 50 ans au centre hospitalier de l'université de Californie.

Le chanteur, né le 29 août 1958 à Gary, dans l'Etat de l'Indiana, septième enfant d'une fratrie de neuf, père de trois enfants (Prince Michael I, Paris Michael et Prince Michael II ), a fait irruption sur la scène musicale dès l'âge de 11 ans avant d'obtenir un succès planétaire au début des années 1980 puis de vivre une vie recluse et excentrique.


La disparition du roi de la pop, artiste phare de la fin du XXe siècle, artiste spectaculaire, une icône de la musique, a provoqué une vague d'émotion à travers la planète.

L'album "Thriller", sorti en 1982, s'est vendu à 118 millions d'exemplaires dans le monde, un record inégalé

dans l'histoire de la musique.

Le plus vieil ancêtre de l’éléphant a été identifié au Maroc

Des chercheurs franco-marocains ont découvert Eritherium, le plus vieil ancêtre de l’éléphant, dans un gisement de phosphates au Maroc. Ce petit mammifère ne possédait ni trompe ni défense et ne pesait pas plus de 5 kilos. Il vivait il y a environ 60 millions d’années, au début de l’ère tertiaire. Cette découverte permettra de mieux comprendre l’évolution des mammifères placentaires.


Les hirondelles de la mort.


c’est l’étrange surnom que l’armée d’Hitler donnait aux soldats marocains Pourtant, à l’origine, il était plutôt flatteur. L’expression est née chez les Allemands pendant la première guerre mondiale, après plusieurs combats menés au printemps. Un poème écrit en 1915 par un officier évoque pour la première fois ces « hirondelles » qui annoncent, avec leurs capuches sombres, non pas le printemps, mais une mort certaine. Le surnom s’appliquait au départ à certains régiments particulièrement coriaces, comme le premier régiment de tirailleurs marocains (1er RTM), avant de prendre le sens de « soldat nord-africain ». En plus des tirailleurs, les troupes marocaines comprennent des régiments d’infanterie, des spahis (cavaliers), et des tabors (unités auxiliaires composées de goumiers). Ces unités réputées ont pris part aux deux guerres mondiales, mais aussi à toutes les guerres coloniales. Ainsi, les soldats marocains sont largement utilisés par les Français dans la guerre d’Indochine (1946-1954). Beaucoup rejoignent alors les indépendantistes du Viet-Minh et s’installèrent au Vietnam. Même après l’indépendance du Maroc, ils y sont vus comme des dissidents potentiels : Hassan II ne les autorise à rentrer au pays qu’en 1972.