Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Ouzbékistan

L'Ouzbékistan, en forme longue la République d'Ouzbékistan, enouzbek Oʻzbekiston, Ўзбекистон et Oʻzbekiston Respublikasi, Ўзбекистон Республикаси, en russe Узбекистан et Республика Узбекистан, est un pays d'Asie centrale de près de 29,6 millions d'habitants (2012), ancienne république soviétique, État indépendant depuis le  août 1991, entouré par le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan, l'Afghanistan et le Turkménistan. Sa capitale est Tachkent, métropole de 2,7 millions d'habitants (2007).

Description de l'image Uzbekistan on the globe (Eurasia centered).svg.


Carte Ouzbékistan - Plan Ouzbékistan

Depuis 1990, le pays est gouverné par un président autoritaire, Islom Karimov


À la suite de l'échec de la signature d'un nouvel accord constituant une URSS rénovée dont il a été un fervent défenseur, le , l'Ouzbékistan déclare son indépendance.
Durant les premières années d'indépendance, le gouvernement ouzbek se consolide sous une étroite tutelle présidentielle. Le nouveau pays renforce sa présence sur la scène internationale, adhère à l'ONU et à d'autres grandes organisations internationales, ouvre des liaisons aériennes directes avec plusieurs pays, entame de grands travaux de reconstruction urbaine et routière, adopte des mesures incitatives aux investissements étrangers.

Sous la présidence de Karimov, tous les partis d'opposition (dont les plus influents sont Erk (Volonté) et Birlik (Unité)) sont interdits et le moindre courant dissident est réprimé. Il n'existe que des partis aux nuances peu compréhensibles aux observateurs occidentaux, mais qui soutiennent tous l'action du président. Les médias et tous les aspects de la vie sociale, politico-économique et même culturelle se trouvent sous une étroite tutelle et censure de l'appareil d'État. En 1999 et 2004, le pays subit les vagues d'attentats terroristes attribués aux islamistes radicaux. Le 13 mai 2005, le gouvernement ouzbek réprime dans le sang une insurrection populaire dans la ville d'Andijan, c'est le massacre d'Andijanqui fait des centaines de victimes.
            Drapeau :                                                                                 Armoirie :
Afficher l'image d'origine                                 Blason

Devise nationale(officieuse, citation d'I.A. Karimov)
« Oʻzbekiston kelajagi buyuk davlat »
(
L'Ouzbékistan est un futur grand État)
Hymne nationalHymne national
de l'Ouzbékistan
 
PrésidentIslom Karimov
Premier ministreShavkat Mirziyoyev
Langues officiellesouzbek (langue officielle),russe (communication interethnique)
CapitaleTachkent
41°16′N, 69°13′E



 
Plus grande villeTachkent
Superficie totale447 400 km2
(classé 55e)
Superficie en eau4,9 %
Fuseau horaireUTC +5
 
IndépendanceDe l'URSS
date1er septembre 1991
 
GentiléOuzbek
Population totale(2014)30 492 8002 hab.
(classé 42e)
Densité60 hab./km2
 
IDH (2010)0,617 (moyen) (102e)
MonnaieSum ouzbek (UZS​)







 
Code ISO 3166-1UZB, UZ​
Domaine Internet.uz
Indicatif téléphonique+998
  Illustrations : 
               Carnaval de l'Ouzbekistan :

                                                              

Asie Centrale

 L’Asie centrale, dont une partie était autrefois appelée Turkestan, est une sous-région du continent asiatique approximativement située entre l’est de la mer Caspienne, intégrant certaines parties de la Fédération Russe, de l’Ouest et du Nord de la Chine continentale, et plusieurs autres pays asiatiques.



  L’Asie Centrale est une sous-région de l'Asie. Conventionnellement, elle s'étend de la mer Caspienne à l'oasis de Dunhuang sur le rebord est du désert du Taklamakan (dans le nord-ouest de la Chine). Au sens étroit, elle comprend :

                   - l'Ouzbékistan
                   - le Kazakhstan
                   - le Kirghizistan
                   - le Tadjikistan
                   - le Turkménistan
Au sens large, on y inclut, selon l'UNESCO qui définit la région en fonction du climat et utilise des frontières plus grandes :
                   - l'Afghanistan
                   - les provinces chinoises du Xinjiang (région autonome des Ouïgours), du Tibet (région autonome des Tibétains), et d'une manière générale l'ensemble de la Chine occidentale
                    - la Mongolie
                    - le Kazakhstan (politiquement rattachée à l'Asie centrale post-soviétique bien que sa partie la plus occidentale, au nord de la mer Caspienne et à l'ouest du fleuve Oural, soit traditionnellement classée en Europe)
                     - l'Iran (partiellement)
                     - le Pakistan (partiellement)
                     - l'Inde (partiellement)
                     - le Sud de la Russie (partiellement, du nord du Kazakhstan au nord de la Mongolie, mais pas la côte ouest de la mer Caspienne au nord de l'Azerbaïdjan et de la Géorgie, partie considérée traditionnellement en Europe)


Afficher l'image d'origine
Éloignée de toutes les mers, l’Asie centrale a un climat continental, très chaud en été et très froid en hiver (par endroits doux). Sur sa partie septentrionale, de la Volga jusqu’en Mongolie, en passant par le Kazakhstan, s’étend une vaste zone de steppes où le nomadisme pastoral fut le mode de vie le mieux adapté, actuellement en déclin. Cette zone est bordée au nord par la taïga et au sud par des territoires désertiques ou semi-désertiques, avec des oasis. Le Turkménistan est en majeure partie occupé par les déserts du Karakoum (les Sables Noirs) et de Kizilkoum (les Sables rouges). La province chinoise du Xinjiang est constituée de deux dépressions séparées par une chaîne de montagnes, le bassin du Tarim au sud et la Dzoungarie au nord. Le désert du Taklamakan occupe presque tout le bassin du Tarim et la Dzoungarie centrale est également désertique. Plus à l’est s’étend le désert de Gobi, qui communique avec le Taklamakan.
Au sud-est de l’Asie centrale, se trouvent les plus hautes montagnes du monde, le Pamir, l’Hindū-Kūsh et l’Himalaya. Toutes comprennent des sommets à plus de 7 000 mètres d’altitude, de même que le Tian Shan, qui sépare le bassin du Tarim de la Dzoungarie. À moins de passer par la zone des steppes, la traversée de l’Asie centrale nécessite le franchissement de cols situés à plus de 4 000 mètres d’altitude.
De ces montagnes descendent des rivières qui permettent la pratique d’une agriculture irriguée. Une grande partie de l’Asie centrale souffre du manque de précipitations. On peut pratiquer l’agriculture dans les steppes, à condition d’irriguer les champs. La surexploitation agricole et la construction de multiples centrales hydrauliques depuis les années 1960 ont massivement drainé les eaux des fleuves Syr-Daria et Amou-Daria, ce qui a provoqué un fort assèchement de la mer d'Aral, une véritable catastrophe écologique.



Les principaux groupes ethniques d'Asie centrale sont :
                      - les Ouzbeks
                      - les Kazakhs
                      - les Tadjiks
                      - les Kirghizes
                      - les Turkmènes
La religion principale est l'islam sunnite.

L'homme qui a précipité la chute du mur de Berlin est mort


Günter Schabowski, ancien responsable est-allemand,
est mort dimanche à l'âge de 86 ans. 



  

Günter Schabowski, l'ancien responsable est-allemand qui a précipité, bien malgré lui, la chute du mur de Berlin, est mort, quelques jours avant le 26e anniversaire de l'ouverture de la frontière qui a marqué l'épicentre de la Guerre froide.



Quelques mots improvisés l'ont fait entrer dans l'histoire: Günter Schabowski, le responsable est-allemand qui a précipité la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989, est mort dimanche à l'âge de 86 ans. L'ancien journaliste puis porte-parole du comité central du SED, le parti communiste dirigeant en ex-Allemagne de l'Est, s'est éteint dans la capitale réunifiée du pays, a annoncé sa veuve à l'agence DPA.
Sa mort est survenue quelques jours avant le 26e anniversaire de l'ouverture, dans la confusion et l'euphorie, de la frontière qui a coupé Berlin en deux pendant 28 ans et marqué l'épicentre de la Guerre froide. "Je ne me qualifierais pas de héros qui a ouvert la frontière: en réalité, j'ai agi pour tenter de sauver le système de la RDA", confiait Günter Schabowski en 2009, revenant sur les quelques minutes qui ont fait basculer l'Allemagne.
Le 9 novembre 1989, après des mois de manifestations massives, le secrétaire général du SED (Parti socialiste unifié) Egon Krenz informe les principaux dirigeants du régime qu'une nouvelle législation sur les voyages à l'étranger vient d'être adoptée. Günter Schabowski, qui énumère face aux médias internationaux les dernières décisions du régime, attend la fin de son point presse pour annoncer l'ouverture des frontières, espérant "éviter les questions".

"Immédiatement"
A 18h53, il sort de sa poche et lit d'une voix monocorde un document annonçant que des visas pour voyager ou émigrer à l'étranger seront délivrés "sans conditions particulières ou raisons familiales". "A partir de quand?", demande un journaliste. Schabowski improvise: "autant que je sache... immédiatement, sans délai". Plusieurs correspondants bondissent hors de la salle et l'information crépite sur les fils des agences: "Les Allemands de l'Est peuvent se rendre à l'étranger dès maintenant".
La foule afflue alors devant le poste-frontière de la Bornholmer Strasse, qui relie Berlin-Est à Berlin-Ouest. Désorientés, les gardes, ne savent pas s'ils doivent les laisser passer. Mais à 23h30, un officier finit par donner l'ordre: "Ouvrez la barrière!" La foule se précipite vers Berlin-Ouest.
Allemands de l'Est et de l'Ouest, fous de joie, tombent dans les bras les uns des autres. Le Mur s'écroule en quelques jours, précipitant l'effondrement du régime est-allemand. Pourtant Günter Schabowski n'avait rien prévu de tel. "Le 9 novembre, j'étais encore un communiste convaincu", confiait-il vingt ans plus tard à des journalistes étrangers. "Ouvrir le Mur n'a pas été une décision humaniste mais tactique, prise sous la pression de la population. L'existence de la RDA était en danger. Entre 300 et 500 personnes fuyaient chaque jour au-delà des frontières, c'était l'hémorragie", expliquait-il.

Pardon aux victimes
Günter Schabowski, considéré comme un "traître" par les plus fervents communistes et qualifié de "repenti tardif" par la Frankfurter Allgemeine Zeitung, est l'un des rares dirigeants est-allemands à s'être distancié du régime. "Mes sentiments à (son) égard sont, vous le savez, ambivalents", a réagi dimanche le président Joachim Gauck, ancien pasteur et opposant d'ex-RDA, rappelant que le bureaucrate avait compté "pendant des décennies" parmi ses principaux "oppresseurs". Mais Joachim Gauck a salué "avec respect et gratitude" l'examen de conscience de Schabowski, "tardif mais extrêmement intense".
Né le 4 janvier 1929 à Anklam (nord) d'un père plombier et d'une mère femme de ménage, le futur dirigeant a écrit pendant près de 20 ans dans un journal syndical avant de gravir tous les échelons du SED, jusqu'à intégrer en 1984 son bureau politique. A l'automne 1989, il avait été le seul membre du Politbüro à aller à la rencontre des manifestants qui, après avoir défilé dans les rues de Leipzig aux cris de "Nous sommes le peuple !", furent plus d'un demi-million sur l'Alexanderplatz de Berlin-Est, le 4 novembre. Jugé en 1997 pour sa responsabilité dans les tirs sur les fugitifs tentant de franchir le Rideau de fer, il avait reconnu sa "responsabilité morale" et demandé pardon aux victimes. Incarcéré fin 1999, il avait été gracié moins d'un an plus tard.

Un chien chasse un drone sur la plage

Alors que ce drone tentait de filmer un magnifique coucher de soleil sur Fiesta Island (près de Mission Bay à San Diego, Californie), un chien nommé Kita l'a pris en chasse. Bonne façon de faire courir un chien !


Village de pêcheurs sur pilotis au Cambodge