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Les 10 aliments les plus dangereux à ne surtout pas manger

Viande verdâtre, poisson qui sent l’ammoniac, yaourt moisi ou oeuf pourri (…), il est facile de reconnaître que ces aliments sont avariés et qu’il est impératif de ne pas les manger sous peine de risquer une intoxication alimentaire. Pour autant, il existe d’autres aliments qui paraissent sains à première vue, mais qui à eux seuls se révèlent dangereux pour notre santé, voire mortels, s’ils sont consommés.


Les 10 aliments les plus dangereux à ne surtout pas manger

1/ Les noix de cajou (crues)

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Fruits à coque appréciés à l’apéritif, les noix de cajou sont bien moins inoffensives qu’on ne le croit. Consommées crues, elles peuvent s’avérer nocives pour la santé, voire mortelles, dans les cas extrêmes. Pour quelles raisons ? Car elles sont remplies de urushiol à l’état naturel; cette substance chimique peut causer à l'organisme une réaction similaire à du poison… Heureusement, les noix de cajou achetées dans le commerce sont cuites à la vapeur avant d’être vendues. L’empoisonnement reste donc rare; seuls ceux qui les manipulent pour leur fabrication commerciale peuvent parfois en faire la triste expérience.
2/ Les noyaux de fruits
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Remplis de toxines appelées « acides cyanogènes », les noyaux des fruits, quels qu’ils soient, peuvent être dangereux pour la santé s’ils sont consommés en grosse quantité. Outre le fait qu’il ne faut pas les avaler (au risque d’aussi s’étouffer), il est impératif de ne pas les sucer ! Nectarine, pêche, prune, abricot (…), faites attention à bien retirer leurs noyaux avant de les croquer. 
3/ Le manioc amer (cru)
Originaire d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, le manioc est une racine d’un arbuste tropical apprécié pour sa richesse en (bonnes) glucides pour l’organisme. Ce qui l’est moins -et que l’on ignore- c’est qu’il existe sous deux variétés de manioc et que l’une d’elles peut être nocive pour la santé. Tandis que le manioc doux est inoffensif s’il est consommé cru, le manioc amer, quant à lui, possède des toxines nommées « cyanures d’hydrogène » qui sont très dangereuses s’il n’est pas correctement lavé et bouilli avant d’être consommé. Vous partez en Amazonie ? Évitez de le consommer.
4/ L’akée

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Notamment appelé « aki », l’akée est un fruit cultivé en Afrique de l’Ouest et typiquement consommé en Jamaïque et dans les Antilles. Bien que les fruits s’avèrent excellents pour la santé, l’akée l’est moins. Totalement inoffensif s’il est prématurément consommé, il peut entraîner de terribles vomissements, voire un coma ou la mort, s’il est mangé au-delà de sa maturation. En effet, il contient une toxine appelée « hypoglycine » qui se transforme en poison sous l’action des rayons du soleil sur la pousse du fruit.
5/ Les piments
Qu’ils soient forts ou doux, verts ou rouges, tous les piments contiennent naturellement un produit chimique appelé « capsaïcine », c’est lui qui les rend épicés et « chauds » quand on les mange. Mais sachez que cette substance, à forte dose, peut être mortelle. D’ailleurs, la capsaïcine est si forte qu’elle est utilisée comme décapant de peinture ou intégrée dans les sprays au poivre utilisés par les forces de police ! Pour vous préserver, veillez à modérer votre consommation de piments si vous en êtes friand(e).
6/ Les haricots rouges (crus)
Parmi toutes les variétés que l’on connaît, les haricots rouges peuvent être toxiques pour la santé s’ils sont consommés crus ou mal bouillis avant d’être mangés. Pourquoi ? Car ils contiennent des quantités élevées de phytohémagglutinine qui peuvent provoquer des empoisonnements monogastriques chez l’Homme. Pour diminuer cette concentration de toxine, il est impératif de les bouillir pendant 10 minutes minimum. Qui l’eût cru ?
7/ Les feuilles de rhubarbe
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Le printemps est arrivé, vous raffolez de la rhubarbe ? Attention, elle aussi peut être toxique ! Ce sont principalement ses feuilles qui posent problème puisqu’elles sont bourrées de toxines qui peuvent entraîner de sérieux troubles allant jusqu'au coma dans les cas extrêmes. Assurez-vous de bien nettoyer et effiler votre rhubarbe avant de la cuisiner et la consommer. C’est vital !
8/ Le blaasop à rayures argentées
Péché dans l’océan Indien, le blaasop à rayures argentées est un poisson dont la peau, le foie et les organes reproducteurs contiennent un poison non pas sans risque pour la santé. Ce dernier peut entraîner une paralysie musculaire et des troubles respiratoires si le blasoop est mal préparé. Vous désirez goûter aux plats locaux durant vos vacances aux Caraïbes ? Évitez toute préparation culinaire à base de blaasop.
9/ Le fugu
Appelé aussi « poisson-ballon » ou « poisson-globe », le fugu est une variété de poisson très appréciée et fortement consommée au Japon. Comme le blaasop à rayures argentées, il peut être dangereux pour la santé. Pourquoi ? Car certaines de ses parties, notamment le foie, les yeux et les ovaires, contiennent de la tétrodoxine, une substance toxique qui peut paralyser les muscles et même provoquer un arrêt respiratoire. D’ailleurs, les cuisiniers japonais, habilités à servir ce poisson dans leurs restaurants, ont suivi une formation de cinq ans afin d’obtenir une licence d’État et être experts dans l’art de sa découpe…Rien que ça !
10/ Les baies de sureau (crues)
Bien qu’elles soient souvent utilisées dans les remèdes homéopathiques pour soigner certains plaies et rhumes, les baies de sureau peuvent causer des problèmes de santé. En effet, les feuilles, les graines et les branches contiennent un poison proche du cyanure. Mûres, les baies de sureau sont inoffensives, mais immatures et crues, elles peuvent donc provoquer des diarrhées et des vomissements. Restez prudent(e) si vous les aimez ! 

Grand Nord canadien

 


Philippe Gougler nous emmène dans le Grand Nord canadien, au cœur de l’hiver dans des paysages féeriques ! La neige et la glace comme un écrin apparemment figé pour ces aventuriers qui ont choisi de vivre loin de la ville, au contact d’une nature sauvage étonnante. "Ici, c'est un paradis, mais il ne faut pas le dire !"
 Le sourire de Bob en dit long et c’est avec lui que Philippe commence son voyage, dans le Yukon. Bob est ouvreur de piste, spécialiste de la survie en eau glacée. Tous ceux qui veulent travailler sur la glace doivent passer entre ses mains pour acquérir la culture de l’hiver.
 “Ici, vous pouvez faire des kilomètres et des kilomètres sans croiser personne. Les étendues sont immenses mais je me sens beaucoup moins seul ici que si j’habitais dans une grande ville !” La ville, c’est ce qu’ont voulu fuir les habitants de Yellowknife. Ils vivent sur un lac gelé 6 mois par an... 
Ici, pas de taxe et la liberté est totale, sous les ciels constellés d’aurores boréales. Les “Givrés du lac” ne manquent pas de ressources, à commencer par la solidarité ! "Je fais le plus beau métier du monde" L’aveu vient de Marcelle. Autour d’elle et de Philippe, une dizaine de chiens se préparent à partir à l’entraînement. 
Marcelle est musher, comprenez éleveuse de chiens de traineaux. Elle aussi a fait le choix de la nature, loin de tout… Sauf de son mari Gilles ! Leur vie est une aventure au quotidien, que Philippe va découvrir, à commencer par la conduite d’un traineau tiré par six chiens, avec des pointes à plus de 15km heure !
 Le Grand Nord est très peu peuplé. Dans certains secteurs, à peine un habitant au kilomètre carré. Alors, croiser des Inuits, plongeurs sous la banquise, est une chance, un privilège ! Ils plongent sous la glace au péril de leur vie pour pêcher les clams, une friandise pour eux. À 1 dollar pièce, l’occasion d’arrondir les fins de mois !
 Et puis il y a les trappeurs, comme Emily. Ceux qui, en osmose avec la nature, passent l’hiver à traquer le castor. « La vie dans la nature, si elle est vécue dans le respect de la nature, donne de la paix aux êtres humains ». Et quand Emily ne « trappe » pas, elle met sa connaissance de la traque et du Grand Nord au service de la science. Dans un vaste plan de recensement du glouton, « le diable des forets », en voie de disparition dans le Grand Nord canadien. "Le froid, ça nous rend plus forts..." 
Une rencontre au hasard dans les rues de Dawson City, au nord du Yukon. Il fait moins 30° celsius et Philippe fait la connaissance du caractère trempé des gens du Grand Nord. Ici, comme il y a un siècle, on cherche encore la pépite qui changera la vie ! Dawson City, c’est la ruée vers l’or au quotidien, sauf l’hiver ! Tout est bloqué mais tout rappelle cette fièvre liée aux fantasmes les plus fous. Ambiance western, avec ses saloons, sa musique et ses légendes… Comme celle de l’orteil gelé que Philippe s’apprête à découvrir courageusement. Dans ce décor incroyable, il ne manque plus que les bisons. Ils sont là en fait, ils se cachent, par milliers ! Alors qu’ils avaient disparu, les autorités du Yukon ont décidé de les réintroduire. Et ça a marché… Un peu trop bien même !

Les Cinq Montagnes Sacrées de Chine

La Chine compte en général 5 montagnes sacrées dont le mont Hengshan du Nord et du sud, le mont Huashan, le mont Taishan et le mont Songshan. En réalité, ces cinq montagnes sacrées évoquent les cinq points cardinaux chinois. D'après l'histoire de la Chine, de nombreux empereurs y ont mis les pieds pour réaliser des rituels. Vous, en tant que voyageur, vivez un moment unique en promenade tout en admirant un paysage singulier. Les randonnées dans ces zones sont idéales durant le mois d'octobre. La nature y est épanouie et les arbres en fleur.

Le Mont Hengshan ou Beiheng du Nord


Cette montagne sacrée du nord est localisée dans la province Shanxi au nord-est du pays et dispose d'une altitude de plus de 2000 mètres. Il est impossible de la contourner si vous partez découvrir la Chine. Elle est formée principalement de deux sommets séparés par le col de Jinlong. Ce mont a été le théâtre d'une histoire impressionnante. De nombreuses batailles y ont eu lieu notamment durant les empires des dynasties barbares de la steppe. On y trouve d'ailleurs le Temple suspendu, bâti au VIIe siècle.

Le Mont Hengshan du sud



Il est aussi appelé le mont de la Balance. Ce haut sommet est situé dans la province de Hunan. Il dispose d'une hauteur de plus de 1350 mètres. Elle dispose de 72 sommets qui s'étendent sur 150 kilomètres de Hengyang à Changsha. Le Dieu du feu ou l'ancêtre légendaire Zhuron aurait vécu et serait mort sur ce mont.
On le reconnaît particulièrement par la présence de nuages appelés fumée du mont Heng dû à l'humidité venant de la rivière Xiang et du bassin de Hengyang.

Le Mont Taishan ou Tai à l'est


Le mont Taishan est localisé dans la province de Shandong. Si vous êtes en voyage en Chine, vous l'atteindrez en 45 minutes de la gare de Tai'An en taxi. D'après l'histoire, 72 empereurs l'ont déjà visité pour avoir une bénédiction céleste. En raison de la présence de 22 000 temples dans la zone, le mont est devenu très sacré. Il est devenu un lieu de méditation et d'inspiration pour les artistes et écrivains. Vous pourrez même y découvrir d'innombrables chefs-d'œuvre artistiques. Pour la découvrir, il est possible de prendre le téléphérique ou bien de grimper les 6600 marches d'escalier, afin d'atteindre le sommet.

Le Mont Hua ou Huashan à l'ouest









Le mont Huashan ou encore le mont de la Splendeur est classé parmi la plus haute des montagnes sacrées du pays. Il est localisé à plus de 120 kilomètres de Xian. Il fut longtemps un lieu de pèlerinage important. Pour la visiter, plusieurs moyens s'offrent aux visiteurs durant un séjour en Chine. Soit on prend le téléphérique, soit on suit l'un des deux sentiers de marche menant vers les pics. Pour information, si vous partez à la découverte de la Chine, il est actuellement possible de contourner les sentiers dangereux du coin suite à des aménagements. Un certain nombre de touristes apprécie gravir le mont la nuit afin d'admirer le lever du soleil. Il y existe d'ailleurs des hôtels ou tentes pour dormir la nuit.

Le Mont Song ou Songshan au centre





Le mont Songshan ou le pic du centre est un ensemble de montagnes situé dans la province du Henan. Il culmine à plus de 1500 mètres et dispose de 3 pics qu'on atteint à partir de plus de 5650 marches. Il surplombe la rive sud du fleuve Jaune. Parmi les montagnes sacrées, le mont Song fut un territoire de pèlerinage royal étant donné qu'il a été la montagne sacrée la plus visitée par les empereurs.
Berceau du kung-fu, vous y découvrirez des temples comme le monastère Shaolin. D'ailleurs, de jeunes pratiquants y viennent pour s'adonner à leur art martial favori. Il y a également le temple de Zhongyue, l'un des plus anciens temples taoïstes du pays. Aux alentours du mont, vous verrez la forêt des pagodes qui est un cimetière orné de plus de 240 pagodes. Cette montagne sacrée, ne dispose pas de sentiers propres afin de la visiter. Néanmoins, vous aurez à emprunter les marches pour atteindre les sommets.

Tout savoir sur la planète Jupiter

Voici en infographies le portrait de la planète géante du Système solaire : Jupiter.



Depuis sa découverte, à la fin du 17e siècle, la Grande tache rouge de Jupiter n’a cessé d’intriguer les astronomes.
Depuis sa découverte, à la fin du 17e siècle,
 la Grande tache rouge de Jupiter n’a cessé d’intriguer les astronomes.
 

Jupiter est la plus grosse planète de notre système solaire, située à plus de 590 millions de kilomètres de la Terre. Le 4 juillet 2016 (le 5 juillet 2016 pour la France), la sonde Juno de la NASA doit s’insérer en orbite de l’astre de 140.000 kilomètres de diamètre. Sa mission doit durer un peu plus d’un an. Ses instruments scientifiques vont sonder pour la première fois les entrailles de l'astre titanesque, 1300 fois plus grand que la Terre et 300 fois plus massif. Jupiter est en effet la première planète à s’être formée juste après le Soleil, il y a 4,6 milliards d’années. Ce faisant, elle a capté plus de la moitié du gaz et de la poussière qui tournoyaient autour de notre jeune étoile, gardant en elle un échantillon de ce nuage primordial qui donna ensuite naissance à tous les autres corps du système solaire.



 Depuis sa découverte, à la fin du 17e siècle, la Grande tache rouge de Jupiter n’a cessé d’intriguer les astronomes. C'est une gigantesque tempête, de 12.000 km de large. C'est-à-dire qu'elle est vaste comme une fois la Terre ! Les vents y soufflent à plus de 700 km/h.



 Autre mystère, celui des aurores joviennes. Elles sont jusqu’à mille fois plus intenses que sur Terre. Ces aurores brillent presque en continu à la surface de Jupiter. Pour percer les secrets de ce phénomène unique dans le système solaire, Juno survolera les pôles de la planète géante et effectuera des analyses à l’aide de six de ses instruments. Des données qui devraient éclairer les scientifiques sur la physique des aurores joviennes, bien différentes de leurs cousines terrestres. Sur Terre, ces explosions de couleurs se produisent ponctuellement lorsque des bouffées de particules chargées (électrons, ions) sont projetées dans l’espace par de puissantes éruptions solaires. Ces particules interagissent avec le champ magnétique terrestre, ce qui provoque leur accélération vers la Terre. Elles viennent alors exciter les molécules atmosphériques qui émettent de la lumière lorsqu’elles se désexcitent. Sur Jupiter, les aurores ne dépendent pas du vent solaire. Elles sont alimentées sans cesse par les particules crachées par sa lune volcanique Io. Accélérées par l’intermédiaire du puissant champ magnétique de la planète, ces particules produisent les volutes de lumière qui illuminent en permanence ses pôles. La dite Io est loin d'être le seul satellite naturel de Jupiter : la planète géante en est pourvue de 67 ! Parmi ces lunes, citons Io, Europe, Ganymède et Callisto, qui furent les premiers découverts par les observateurs du ciel. 



Comme les autres planètes géantes (Saturne, Uranus et Neptune), Jupiter ne possède probablement pas de surface solide. Elle est principalement constituée d’hydrogène et d’hélium, présents sous forme gazeuse dans son atmosphère. Plus on s’enfonce sous les nuages joviens, plus la pression et la température s’élèvent, si bien que l’hydrogène devient progressivement fluide puis "métallique". Les mouvements de cette couche conductrice seraient à l’origine du gigantesque champ magnétique de Jupiter. Au cœur de celle-ci — où la température dépasse 20.000 °C et la pression atteint 40 millions d’atmosphères terrestres — se cache peut-être un noyau fluide ou solide. Un mystère que pourrait lever la sonde Juno.



la sonde Juno en approche finale de Jupiter : Voilà ce qui est en train de se passer à plus de 800 millions de kilomètres de la terre : la sonde américaine Juno en approche finale de Jupiter.
La sonde est censée se mettre en orbite de la plus grosse planète du système solaire.
L'exercice est périlleux car Juno avance actuellement à 64 km/seconde.
Dans le courant de la nuit (03h18 GMT), elle doit freiner pour se positionner correctement et ne pas trop s'exposer au champ magnétique qui entoure Jupiter.

Transport public en bus en Corée.



Les bus en ville

Les bus en ville constituent une partie importante du transport public en Corée. Beaucoup de personnes choisissent ainsi le bus pour se déplacer en ville via des lignes très bien aménagées. Il est possible de prendre des bus en ville dans toutes les régions en Corée, on distingue ces bus par leurs couleurs, ou le numéro indiquant la destination. Il existe actuellement à Séoul des bus bleus (qui circulent souvent jusqu’en périphérie), des bus verts (qui circulent entre les stations de métros assez proches), des bus rouges (qui circulent entre Séoul et les régions métropolitaines) et des bus jaunes (qui circulent entre les principaux arrondissements de Séoul). D’autres régions ont également adopté ce type de distinction même si celui-ci diffère légèrement d’une région à une autre. 
  



Les titres de transport doivent etre payes generalement en especes ou via la carte de transport (Tmoney). En cas d’utilisation de la carte Tmoney, on peut profiter d’une reduction lors des correspondances avec d’autres bus. Pour beneficier de cette remise, il suffit de faire passer sa carte contre la machine situee a l’avant du bus (lors de l’entree) et de la repasser sur la machine situee au milieu du vehicule lors de la sortie. Nous vous recommandons par consequent d’utiliser une carte plutot que de payer en especes.


Carte de transport (Tmoney)

Il est possible d’utiliser la carte Tmoney dans l’ensemble des régions, y compris Séoul, pour emprunter le bus, le taxi et le métro. Pour vous procurer la carte, rendez-vous aurpès des magasins ouverts 24h sur 24 avec l’indication ‘Tmoney’ ou dans les stations du métro. Vous pouvez bénéficier de 100 wons de réduction à chaque trajet par rapport à un ticket payé en espèce, en plus des remises lors des correspondances.







Premier test à grande échelle d’une machine permettant d’imprimer des maisons en 3D

Premier test à grande échelle d’une machine permettant d’imprimer des maisons en 3D

Trop forts les Chinois ! À partir de composants vendus dans le commerce à l'étranger, la société Shanghai WinSun Decoration Engineering Co a mis au point et assemblé une imprimante 3D capable d'imprimer des maisons. Hé oui, cette machine de 32 mètres de long sur 10 mètres de large peut monter des murs jusqu'à 6 mètres de hauteur.

Rassurez-vous, les murs ne sont pas en plastiques, mais en béton (ciment + fibre de verre produite à partir de matériaux de chantier recyclés) et niveau temps et coût, c'est très rentable puisqu'en 24h, ils ont "imprimé" 10 maisons de 200 mètres carré chacune pour un prix à l'unité de 4300 €.

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Ça va... Reste à savoir maintenant si c'est solide, durable et aussi écologique qu'ils le prétendent. Mais en tout cas, ce n’est pas cher ;-)

D'Amsterdam à Shanghaï, les imprimantes 3D sont en train de changer la donne en matière d'architecture : gain de temps pour les maquettes, précision de la construction... mais aussi possibilité d'imprimer directement sa maison ! Direction Amsterdam en Hollande pour découvrir la première maison entièrement conçue et imprimée en 3D et en bioplastique, la 3D Print Canalhouse. Dans un élan du tout customisable, demain serons-nous tous architectes de nos propres maisons ?

L'Aïd el-Fitr ou Aïd el-Seghir


Aid el-fitr
(Rupture du jeûne et fin du Ramadan)
Mercredi 6 juillet 2016
1er haoual 1437



L'Aïd el-Fitr ou Aïd el-Seghir (petite fête) est l'une des deux dates les plus solennelles du calendrier musulman avec l'autre Aïd, Aïd el-Kébir ou Aïd el-Adha, la grande fête ou fête du sacrifice. 
L'Aïd el-Fitr (en arabe عيد الفطر, Aïd signifie fête et Fitr la rupture) est une fête musulmane marquant la fin du ramadan, mois de jeûne et de prières pour les musulmans. Elle est célébrée le premier jour du mois de shawwal.

La date

Tous les ans, la date de l'Aïd el-Fitr est avancée de 10 à 12 jours par rapport au calendrier grégorien car le calendrier musulman est lunaire.
La date de l'Aïd el-Fitr est le jour suivant le dernier jour du mois sacré de Ramadan : il arrive donc 30 ou 31 jours après le début du Ramadan, composé de 29 ou 30 jours selon les années.

Cérémonial

Le fidèle s'acquitte de l'aumône de la rupture du jeûne ou Zakat el-Fitr. 
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La prière (salat al aïd) a lieu en début de matinée et est effectuée soit dans une mosquée, soit dans un mossalla permettant de rassembler plus de fidèles.

La tradition musulmane ou sunna veut que le fidèle prenne son petit déjeuner (préférablement composé d'aliments sucrés) avant de se rendre à la prière.
         

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, accompagné de S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan, reçoit les vœux de S.A.R. le Prince Moulay Rachid et de S.A. le Prince Moulay Ismaïl

S.M. le Roi, Amir Al-Mouminine, accomplit la prière de l'Aïd Al-Fitr à la Mosquée Al-Mohammadi au quartier des Habous à Casablanca et reçoit les vœux en cette heureuse occasion. 


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Ould Lablad souhaite en ce jour béni, longue vie au Souverain et réitére son indéfectible attachement au Glorieux Trône alaouite et à l'Auguste personne de Sa Majesté le Roi.  

Le site acheuléen de surface d'Ain défali

Les caractéristiques techno-économiques de l’industrie lithique de ce site acheuléen de surface :


Le site d’Aïn Dfali se trouve au sud de la ville d’Ouazzane et au Nord-ouest du village Aïn Defali. Cette zone se situe à l’extrémité ouest de la plaine du Gharb dans la zone sud des nappes pré-rifaines. Les formations quaternaires sont localisées sur la rive droite de l’oued Redat. Les grandes collines, à l’ouest du village d’Aïn Dfali, sont constituées d’alluvions à cailloutis et à graviers attribuées au Quaternaire ancien. Au piémont de ces collines, le Quaternaire moyen prend place avec un relief atténué. La matière première exploitée pour la confection de l’industrie trouvée sur le site est constituée essentiellement de quartzite avec un choix des supports de taille moyenne à grande.




Les chaînes opératoires ne sont pas complètes comme démontré par l’absence de la composante relative aux éclats de mise en forme et de petites dimensions. Les chaînes opératoires de façonnage et de débitage coexistent. Le façonnage est essentiellement représenté par des bifaces et des chopper-nucléus. Les bifaces sont souvent façonnés sur une face et montrent d’importants résidus corticaux ; il s’agit de bifaces sur éclats ou sur galets allongés et aplatis. Les éclats utilisés comme support sont généralement corticaux. Les chopper-nucléus sont exploités par débitage unipolaire unifacial (de 3 à 5 enlèvements) et montrent un tranchant sinueux probablement non fonctionnel. Les méthodes de débitage sont Levallois (récurrent et linéale), discoïde unifaciale et bifaciale et SSDA. Le débitage SSDA voit l’exploitation de 2/4 plans de frappe par une méthode unipolaire pour l’obtention d’éclats de grandes/moyennes dimensions de formes irrégulières et souvent à résidus corticaux latéraux. Très peux produit retouché ont été trouvé. Le débitage Levallois est fait sur des galets aplatis et ronds, la mise en forme de la surface Levallois est réalisée par des enlèvements centripètes et le plan de débitage montre soit le détachement d’un éclat préférentiel de forme ronde soit une exploitation récurrente centripète ou récurrente unipolaire ; documentée aussi par la production des pointes Levallois. Le débitage discoïde, sur galets arrondis, est surtout de type unifacial et voit l’exploitation préférentielle d’une convexité prononcée ou l’exploitation alternée de deux convexités opposées. Les produits obtenus sont épais et ont une forme triangulaire/quadrangulaire avec des négatifs convergents. Le matériel retrouvé à Aïn Dfali est le résultat d’un transport sélectif et se trouve en position secondaire mais permet d’attester une importante occupation préhistorique acheuléenne dans la région.

Le tshukudu, la trottinette congolaise qui fait des miracles

Aussi à l’aise dans les chemins cahoteux que sur les routes goudronnées, les tshukudus sont partout dans le Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo. Notre Observateur nous explique que cet étrange moyen de transport, peu coûteux et qui permet de porter toutes sortes de marchandises, a déjà sorti de nombreux jeunes de la misère.


Long de deux mètres, le tshukudu est doté d'un haut et large guidon. Compte tenu des charges qu'il transporte, son conducteur, le tshukudeur, pousse cette trottinette géante plus souvent qu'il ne patine. Pour la plupart d'entre eux, la journée commence par le transport des produits agricoles cultivés dans les montagnes au nord de Goma et destinés à alimenter les marchés de la ville.

Tout en bois au début du XXe siècle, cette trottinette a connu de nettes améliorations. Aujourd’hui, les roues sont recouvertes de pneus et de nombreux modèles disposent d’un frein qui agit par frottement sur la roue arrière. L’engin peut supporter jusqu’à une demie-tonne.


Un conducteur de tshukudu transportant des
sacs de marchandises à Goma, Nord-Kivu.

Goma, ses motos et ses tshukudus 


Dans certaines localités, on dit qu’il est préférable de marier sa fille à un tshukudeur car on sait qu’elle ne va pas mourir de faim.

Les premiers tshukudus ont fait leur apparition dans les années 1910 au Rwanda voisin. Ils représentaient déjà un vrai outil de travail et un symbole de lutte contre la misère. Directement inspirés du vélo, ils ont fini par supplanter les brouettes, beaucoup moins efficaces.
Aujourd’hui, pour se procurer l'un de ses engins, il faut débourser 50 dollars [37 euros] pour le modèle de base et jusqu’à 100 dollars [74 euros] pour un produit bien fini. Une somme très élevée au Congo [en RDC, un fonctionnaire gagne par exemple entre 50 et 80 euros par mois] que beaucoup n’hésitent pas à débourser, ayant la garantie que leur investissement sera très vite amorti. Car, dans un bon jour, un tshukudeur peut gagner 15 à 20 dollars [11 à 15 euros]. Avec cet argent, le conducteur peut se permettre d’embaucher deux ou trois pousseurs, qui vont l’aider à descendre de gros chargements jusqu’à Goma. De plus, le tshukudu est le moyen de transport le plus économique du marché : il ne consomme évidemment aucun carburant et, mis à part le graissage des roues et la révision des freins, il ne nécessite quasiment aucun entretien.
Ici, dans certaines localités, on dit qu’il est préférable de marier sa fille à un tshukudeur car on sait qu’elle ne va pas mourir de faim. Cette profession est synonyme de réussite sociale. Après quelques années d’activité, certains sont en mesure de s’acheter une parcelle de terrain et de faire construire une maison. D’autres deviennent propriétaires de taxi-motos, mais personne n’abandonne son tshukudu, car il reste l'un des produits les plus rentables.

Un tshukudeur aidé par des pousseurs
dans les environs de Goma, dans le Nord-Kivu.