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Lydia, une danseuse orientale.


Lylia au concours international du festival Oriental Marathon 2016
à Montpellier organisé par Sharon Mesguish.

Lydia est une danseuse orientale basée en Belgique et née à Bruxelles en 1987. Passionnée par les arts de la scène tel que la danse et le théâtre depuis son plus jeune âge, Lydia débute son apprentissage de la danse orientale à l’âge de 14 ans. En 2006, Lydia, coachée par Marlène Declercq, son professeur de danse de l'époque, tient un des premiers rôles dans la comédie musicale "L'anneau de Sémiramis" sur le thème des Mille et Une nuits (metteurs en scène: Charles Gérard et Eric Kumps - ASBL "L'Enfant des Etoiles"). 











Lydia (à gauche) en compagnie de Farah Bakkali
(au centre) et de Maëlle dans
les coulisses du Festival Cairo
organisé en Belgique par Rakiya en 2015.




Farah Bakkali est considérée aujourd’hui comme une des pionnières de la danseuse orientale en Belgique. Sa carrière a débuté à la fin des années 80 à Bruxelles où elle connu un énorme succès. Farah s’est produite internationalement pendant près de 15 ans au Moyen-Orient où elle a notamment dansé aux cotés de grands noms de la chanson arabe. Depuis, Farah a soutenu le développement artistique de nombreuses danseuses orientales professionnelles en Belgique. En 2009, Lydia entame ses premiers cours professionnels de danse orientale avec une des figures les plus emblématiques de la danse orientale en Belgique : Farah Bakkali (www.farahdanse.com). Avec Farah, Lydia découvre le plaisir de l’improvisation et développe davantage son expression scénique en tant que danseuse. Farah lui propose par la suite de se produire plus régulièrement dans des évènements en lui donnant les clés pour offrir un spectacle de qualité professionnelle. C’est par Farah que Lydia entend progressivement parler de Maëlle, une élève de Farah qui donne désormais ses propres cours. En 2013, les destins de Maëlle et Lydia se croisent lorsque Farah Bakkali décide de mettre sur pied un spectacle de danse orientale regroupant l’ensemble de ses élèves les plus assidues, toutes époques confondues: « C’est le vent qui me l’a raconté » (Auditorium de Woluwe-Saint-Pierre). 


Aujourd'hui, Lydia poursuit son apprentissage de la danse orientale en s'investissant plus que jamais dans les cours et les occasions de se produire en public lors d'évènements. Elle assiste également Maëlle depuis septembre 2015 dans le cadre de ses cours de danse orientale moderne pour élèves débutantes (www.maelledanse.com). Leur amour commun pour la danse orientale conduit à présent Lydia et Maëlle à se produire également en duo. Très largement inspirés du travail artistique de leurs mentors Farah Bakkali et Suhaila Salimpour, les spectacles en duo présentés par Lydia et Maëlle permettent de découvrir les mille et une facettes de la musique et de la danse orientale.













Lydia interprétant Sémira dans la comédie musicale
"L'Anneau de Sémiramis" en 2006.
www.lenfantdesetoiles.com

Lydia, admirative de la technique et du parcours artistique de Maëlle décide d’intégrer ses cours hebdomadaires afin de découvrir la méthode d’apprentissage particulière de Suhaila Salimpour. Lydia s’éprend très vite de cette manière différente de concevoir la danse orientale. Soutenue par Maëlle, Lydia décide de s’inscrire également dans un processus d’apprentissage plus intensif de la technique Suhaila Salimpour (www.salimpourschool.com) En juillet 2015, Lydia obtient son premier niveau certificatif de la technique Suhaila Salimpour.



























Lydia performant sur la musique live joué par les
musiciensdu groupe Helm, le percussionniste Peter
Borcsok et le musicien Ach Raf. Evènement organisé
en 2015 par la danseuse Deborah à Liège.


                                                                                                      Baladi Awadi

                                                                                         Lylia Danse Orientale - Shaabi   

                                Concours international du Festival Egipto 
                                en Barcelona 2015 organisé par Munique Neith. 



 
        

Un pet peut-il contaminer une salle d'opération stérile ?


Le patient présent sur la table d'opération peut-il développer une infection à cause d'un pet ?


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Il semble, par conséquent, qu'un pet peut provoquer une infection si l'émetteur est nu, mais pas s'il est ou elle est habillé(e) mais, les types de bactérie ne sont pas dangereux. En fait, elles sont semblables aux bactéries “amicales” trouvées dans les yaourts.»


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En conclusion, les patients ne courent pas de risque si leur chirurgien lâche un pet, «ce qui est heureux, parce que dans des opérations longues, ils vont forcément se lâcher à un moment». Mais ils devraient quand même garder leur pantalon.


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La xénophobie en Afrique du Sud

Les nouvelles qui nous parviennent de la république Sud-Africaine ne sont pas rassurantes pour tous ceux qui ont un parent ou une connaissance vivant dans ce pays. La cruauté envers les étrangers gagne du terrain et on a du mal à comprendre les raisons de cette haine envers ces hommes et ces femmes qu’on voit molestés, lynchés et mis à mort par des foules en colère. « Ils sont étrangers, qu’ils retournent chez eux » disent-ils dans leur colère. Ces violences xénophobes en Afrique du Sud, traduisent la triste réalité de la haine de l’étranger, même s’il ne vient pas de loin ou qu’il n’est pas vraiment différent de nous.

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Le sentiment anti-étranger en Afrique du Sud est le signe d’un mal qui devrait épouvanter le pays. Cette maladie insidieuse a déjà pris tous les visages de la haine, à commencer par l’insulte qui fuse (makwerekwere veut dire « sale étranger ») dans la rue, dans les taxis collectifs, où, comme l’explique, atterrée, une dame originaire de la République démocratique du Congo (Congo Kinshasa), « on n’ose plus décrocher quand le portable sonne, de peur que les gens assis à côté entendent une langue étrangère».

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Ce mal, c’est une foule qui s’amasse dans un township, encourage les hommes à forcer le rideau de fer de la boutique voisine, avant de se livrer à une orgie de pillage, tandis qu’on passe à tabac, si on ne le tue pas, le propriétaire, cet étranger, ce makwerekwere. Il n’y aura aucune sanction, ou si peu. Il est interdit de toucher les quartiers riches, les banlieues cossues, les centres commerciaux. Les forces de sécurité y veillent. Le message est d’un cynisme net : défoulez-vous dans vos quartiers, mais pas touche aux îlots de prospérité et à ceux qui les peuplent.
Qui est visé ? Jusqu’à nouvel ordre, les ressortissants de pays d’Afrique ou d’Asie du Sud, qui ont en commun l’envie de vivre et de travailler dans le petit commerce, dans les quartiers les plus modestes. Ils y ont anéanti, il est vrai, la concurrence des échoppes sud-africaines. Or, derrière ces magasins, se dessinent des intérêts locaux, parfois liés à des responsables politiques. Lesquels, à l’occasion, montent les foules contre les étrangers, sûrs de leur impunité.
Les magasins tenus par des étrangers ont été attaqués partout, dans la banlieue ouest de Pretoria. Des magasins ont été pillés, d'autres incendiés. 
A l'origine de ces violences : des habitants de Rosetenville au sud de Johannesburg en colère contre les Nigériens qu'ils accusent de trafic de drogue et de prostitution.
Plusieurs maisons ont été incendiées, puis les incidents se sont propagés à la banlieue ouest de Pretoria. Et là, ce sont des magasins qui ont été pris pour cible. Désormais, ils s'en prennent à tous les étrangers, explique une jeune Congolaise. On a vu un tas de gens, on ne veut plus des étrangers !  


LA MONGOLIE

State emblem of Mongolia.svg
Présentation
La Mongolie se situe entre la Chine et la Russie. Sa capitale est Oulan-Bator (Ulaanbaatar). La langue officielle de cette république parlementaire est le mongol et la monnaie le tugrik.
Sa superficie représente 3 fois la France et compte 2,8 millions d'habitants. La Mongolie possède ainsi la plus petite densité au monde : 1,7 habitants/km2.
Plus de la moitié de la population habite la capitale et sa périphérie. L'autre moitié est nomade.
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On retrouve le désert du Gobi au sud du pays, les steppes au centre et les montagnes boisées au nord (l'Altaï). Le climat est très rude en hiver, jusqu'à -50°, et chaud en été avec plus de 40°. La Mongolie connait ainsi de très nombreuses conditions climatiques (climat continental): froid, chaud, vent, neige, pluie. La yourte est ainsi construite pour faire face à toutes ces conditions. Imaginez ainsi sa résistance !
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Histoire
Jusqu'à la fin du 12ème siècle, la Mongolie demeure une large province de la Chine.
Au 13ème siècle, elle s'impose comme l'empire le plus dominant au monde. C'est Gengis-Khan qui conduira les plus grandes conquêtes, rassemblant les troupes mongoles, leur permettant d'avancer jusqu'aux frontière de l'actuelle Turquie. Il crée ainsi l'empire mongol. Les guerres avec la Chine sont régulières et tenaces.
La représentation de Gengis-Khan est encore très présente dans le pays (statues, peintures... ). Les mongols admettent qu'il s'est imposé en conquérant sanglant, mais il reste à leurs yeux le symbole de la force et de la conquête dont ils sont très fiers.
Après Gengis-Khan, l'empire perd de son ampleur et la Chine reprend le pouvoir sur la région mongole. Elle crée 2 régions autonomes chinoises : la Mongolie intérieure (toujours chinoise de nos jours) et la Mongolie extérieure (pays actuellement indépendant).
C'est en 1911, que la Mongolie, proclame son indépendance, profitant de la révolte chinoise.
Elle sera reconnue par la Chine en 1949.
L'URSS maintient une présence et une influence forte sur la Mongolie. La religion bouddhiste est combattue, l'alphabet mongol est remplacé par l'alphabet cyrillique ... .
C'est en 1989 avec la fin de la guerre froide et la chute de l'URSS que la tutelle russe prend fin et rend complètement indépendante la Mongolie.
La Mongolie d'aujourd'hui
La vie en Mongolie est encore rude pour une large partie de la population. La pauvreté est très présente et la dure vie dans les campagnes oblige certains nomades à rejoindre la capitale et à s'installer à sa périphérie.
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 Oulan-Bator est désormais entourée d'une très large banlieue constituée principalement de yourtes sédentaires. C'est d'ailleurs très impressionnant de regarder la capitale depuis les collines environnantes : vous y verrez le centre bétonné et un ensemble gigantesque de yourtes et de palissades qui s'entremêlent. Le chômage est très présent. La pollution aussi.
Les quelques nomades qui restent encore dans la campagne sont menacés par les pertes régulières de leur troupeaux du fait des grands froids hivernaux. Le dernier grand froid de 2010, appelé Dzud, a tué près de 6 millions d'animaux, obligeant certains bergers à tout abandonner.

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En parallèle de cette pauvreté, la croissance de la Mongolie connait une ascension fulgurante depuis 2010, (+7%). D'importantes mines d'or et de cuivre ont été récemment découvertes et les investisseurs se disputent leur exploitation. Les salaires commencent à augmenter et plusieurs grosses entreprises internationales se sont implantées au cœur d'Oulan-Bator.
Religion


La religion du pays est le bouddhisme tibétain.



 L'animisme est la croyance la plus répandue en Mongolie. Elle consiste à prêter aux éléments (objets, végétaux, animaux ...) une âme que l'homme doit respecter. Le chamanisme, qui découle de cette croyance, consiste en l'action d'entrer en contacte avec ces âmes et d'interagir. Le chamane est responsable de ce lien entre les éléments et les hommes.

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Les cérémonies religieuses sont très présentes dans la vie des mongols, et très protégées. En tant qu'hôte vous serez très rarement invité à partager ces rituels se déroulant sous la yourte ou dans les nombreux temples du pays.
Au quotidien il n'est pas étonnant de voir la mère de famille bénir le lieu de la yourte, le départ d'un homme pour une longue route ou l'acquisition d'un cheval, par une offrande aux esprits se caractérisant par l'envoi de quelques gouttes de lait à l'aide de l'annulaire.
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Les « Ovoo », tas de pierres agrémentés de bandes de tissus de couleur que l'on retrouve un peu partout sur le bord des pistes de Mongolie, symbolisent des lieux de prières qu'il est interdit d'éviter. Si vous avez le temps vous ferez comme les mongols : trois fois le tour du tas de pierre dans le sens des aiguilles d'une montre. Et si vous êtes en voiture, et que le temps ne vous permet pas de vous arrêter, votre chauffeur aura toujours le réflexe de klaxonner à la vue d'un Ovoo, afin d'avoir tout de même une petite pensée pour les esprits.
Culture
La culture mongole est très riche. Quelques éléments se détachent particulièrement.

La musique et le chant : la musique est un élément très important dans la vie quotidienne des mongols. Le chant diphonique, Khöömi, excerce une fascination certaine car il permet au chanteur de produire deux son différents simultanés ; la résonnance nasale et les cordes vocales superposent leurs effets. Les chanteurs puisent leur inspiration dans les bruits de la nature.

Un grand nombre d'instruments de musique traditionnels est également présent : le plus symbolique est le «Moriin-Khuur», la vièle-cheval. Son nom vient du fait qu'elle imite parfaitement les allures du cheval. 2 cordes en crin et une caisse de raisonnance en bois.
Le sport : le sport national est la lutte. De grands championnats sont organisés dans tout le pays ; mais vous pouvez également retrouver cette pratique dans les jeux quotidiens des enfants qui n'hésitent pas, dans la bonne humeur, à se rouler par terre. La lutte mongole se caractérise par l'absence de catégorie de poids. Le but est d'obliger l'adversaire à poser le genou, le dos ou le postérieur à terre à l'aide de mouvements traditionnels.


Les courses de chevaux et le tir à l'arc sont également très pratiqués, principalement lors de la fête annuelle du Naadam

La fête nationale du Naadam : cette fête célèbre l'indépendance de la Mongolie. Elle se déroule chaque 11 et 12 juillet de l'année. Les trois sports principaux mongols y sont représentés : lutte, tir à l'arc et courses de chevaux.


Les courses de chevaux sont très particulières. Notamment celle des enfants qui révèle toute la débrouillardise des plus jeunes. Ils montent les chevaux à cru (sans selle) et parcours plusieurs kilomètres au galop à travers la campagne. Les enfants peuvent être déjà pré-adolescents, mais certains n'ont parfois que quelques années. C'est un grand honneur pour toutes les familles d'être représentées par leurs enfants lors de cette course. Et un plus grand honn

Connaissez-vous la "maladie du soda" ?

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Relativement peu connue des médecins et des patients, la cirrhose Nash ("Non Alcoolic Steato Hepatitis"), acronyme anglophone de la stéatose hépatique non alcoolique, cette maladie hépatique liée au surpoids inquiète le monde médical par son importante expansion. Cette pathologie, surnommée "maladie du soda" ou du "foie gras humain", toucherait un pourcentage important de la population. D’ici 2020, la maladie pourrait devenir la première cause de greffes du foie, devant l'hépatite C.

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Il est temps de mener des actions de sensibilisation à destination du public et des professionnels de la santé afin de faire connaître cette "épidémie silencieuse" et ce, à travers des congrès, des vidéos ainsi que des brochures.

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La maladie du soda, c’est quoi ?

Causée par une surcharge du foie en graisse, cette pathologie est principalement causée par une consommation excessive de boissons sucrées, de graisses ou de sucres. Les canards gavés pour obtenir du foie gras en sont d’ailleurs atteints.
Le foie qui reçoit une surcharge de graisse ne parvient plus, au bout de quelques années, à l’éliminer. L’organe stocke alors les acides gras, provoquant une inflammation qui peut entraîner une fibrose (formation de tissu cicatriciel) pouvant évoluer en cirrhose voire en cancer. Y compris chez des patients qui ne boivent pas d'alcool.






Comment la détecte-t-on ?
Cette épidémie silencieuse, qui se développe lentement, est d’autant plus inquiétante qu’elle ne présente aucun symptôme. Lorsque des signes de fatigue apparaissent, il est souvent trop tard.
Les médecins peuvent être alertés par des anomalies dans le bilan hépatique, néanmoins seule une biopsie (prélèvement d’une petite partie de l’organe) permet d’établir un diagnostic.


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Quels sont les traitements ?
Jusqu’à présent les médecins ne disposent d’aucun traitement pour soigner ce type de cirrhose.
La meilleure solution reste donc pour l’heure une perte de poids chez les personnes en surpoids grâce à un régime hypocalorique (pauvre en sucres à absorption rapide et lente) et la pratique régulière d'une activité physique. Une perte de poids de 8 à 10% permet d'améliorer la fonction hépatique et réduit le risque cardiovasculaire, première cause de mortalité chez ces patients. Chez les personnes diabétiques, un rééquilibrage du diabète peut également contribuer à améliorer l'état du foie, de même qu'une chirurgie bariatrique (anneau gastrique, by-pass...) dans les obésités sévères. La consommation de boissons sucrées est bien évidemment à réduire - voire à bannir.


Un train entre en gare et recouvre les passagers de neige. Impressionnant !

Sur la côte est des USA, la tempête Stella a recouvert le pays d'une belle quantité de neige. Dans cette vidéo de ce jour, un train Amtrak entre en gare pour déneiger la voie et vous allez voir que le résultat est impressionnant !


Moins de viande, de sel, de sucre…dans l'alimentation

Pour améliorer l’état de santé de la population, il faut agir sur l’alimentation. « Que l’alimentation soit ta première médecine », disait Hippocrate.
Les derniers recommandations de l'alimentation qui datent de 2002  : au moins cinq fruits et légumes par jour, limiter la consommation de sel. 
Ces nouveaux repères visent à couvrir les besoins nutritionnels, en prévenant les risques de maladies chroniques liés à certains aliments, tout en limitant l’exposition aux contaminants chimiques présents dans l’alimentation (pesticides)
Il faut insister sur le rôle des facteurs nutritionnels (incluant l’activité physique) dans le déterminisme des maladies chroniques, le diabète, l’obésité, le cancer, les maladies cardio-vasculaires… 

Réduire la consommation de viande et de charcuterie  :
Ce n’est pas une surprise : il est recommandé de manger moins de viande et de « réduire considérablement » les charcuteries. On préconise pas plus de 70 grammes par jour pour la viande (hors volaille), soit 500 g/semaine, et 25 g/jour pour la charcuterie.
Le risque de maladie chronique progresse de 10 % à 20 % pour chaque augmentation d’apport quotidien de 100 grammes de viande (hors volaille) et même de 50 % pour une augmentation de 50 g/jour de viandes transformées, dont la charcuterie.Par ailleurs, concernant les poissons, l’agence conseille d’en manger deux fois par semaine dont un gras.

Pas plus d’un verre par jour de boisson sucrée :
Si l’on sait qu’une forte consommation de sucre a des effets néfastes sur la santé, « la maîtrise de la consommation des aliments vecteurs de sucres ajoutés, s’agissant en particulier des boissons, apparaît cruciale. D'où la la nécessité de réduire la consommation de sucres simples et cachés, dans le ketchup, les plats préparés… et les boissons. Rien de tel que l’eau. Les faits sont là : Chaque verre de boisson sucrée (soda, jus de fruits, nectar…) supplémentaire par jour est associé à une prise de poids de 200 grammes par an.
La consommation d’un verre par jour est associée à une augmentation du risque de diabète de type 2 et de maladie cardio-vasculaire de 20 % par rapport à une consommation nulle, ou exceptionnelle (environ une fois par mois). Auparavant classés dans la catégorie des fruits, les jus de fruits industriels entrent désormais dans les boissons sucrées. C’est maximum un verre par jour. Ce peut être moins.

Plus de fibres :
On ne consomme pas suffisamment de fruits et surtout pas assez de légumes. On est loin des fameux cinq fruits et légumes par jour , un message pourtant connu du grand public. Les effets positifs sur la santé sont prouvés : ils apportent fibres, vitamines et minéraux. En manger diminue le risque de maladie cardio-vasculaire avec un niveau de preuve convaincant . C’est crucial. On préconise de consommer une plus grande variété de légumes et – nouveauté – des légumineuses (lentilles ou pois chiches…) plusieurs fois par semaine. Cela permet d’apporter des fibres, des protéines, et des vitamines et minéraux d’intérêt. Elles sont trop peu présentes dans nos assiettes.
La consommation de fibres est nettement en deçà des recommandations, la moitié des 25 à 30 grammes nécessaires par jour.C’est un véritable enjeu de santé publique. On encourage aussi de consommer les produits céréaliers les moins raffinés possible (farine, pain, riz, pâtes… semi-complets ou complets), en raison là encore de l’apport en fibres,
connues pour réduire le risque de certaines maladies. 
   
Matières grasses et sel
Quant aux matières grasses, pour couvrir les besoins en acides gras oméga 3 alpha-linolénique, il faut privilégier les huiles de colza et de noix, peu connues. En revanche, aucune préconisation claire n’émerge sur les produits laitiers. Le message actuel de trois produits par jour pourrait ne pas changer. Il est en effet difficile à étudier au regard de la diversité des aliments. Il est évidemment préférable de limiter les plus riches en sel.