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Mariage d'Harry et Meghan




C’est à présent officiel : le mariage du prince Harry et de Meghan Markle est célébré le 19 mai prochain à 12 heures en la chapelle Saint Georges à Windsor. Les mariés circuleront ensuite en landau autour du château où se tiendra une réception et le soir une fête pour la famille et les amis.




On promet aux téléspectateurs britanniques le mariage du siècle. Pourtant, la cérémonie pour célébrer l’union du prince Harry et de l’ancienne actrice américaine Meghan Markle ne devrait pas se révéler très surprenante. Et pour cause, le protocole de l’événement, qui se déroule à Windsor le samedi 19 mai, ne laisse que peu de place aux éventuelles fantaisies du couple royal. Parmi les règles à respecter, la reine arrive en dernier dans l’église, juste avant la future mariée. Après la cérémonie, les époux saluent la foule à bord d’un carrosse. Enfin, deux réceptions sont organisées par la famille royale. Mais il y a d’autres éléments du protocole, plus discrets, que l’on retrouve à chaque mariage princier britannique.








Inde : Les ponts vivants du peuple Khasi.

 

Les « ponts vivants » du Meghalaya

Les « ponts vivants », c'est la solution du peuple Khasi pour franchir les cours d'eau et relier les villages entre eux.

On les appelle les « ponts vivants ». On les trouve dans l'Etat indien du Meghalaya, un plateau montagneux et l'une des régions les plus humides sur Terre. Dans cette nature luxuriante, le peuple Khasi a dû trouver le moyen de connecter les villages et de franchir les nombreux torrents qui traversent les montagnes. Sans moyens de construction modernes, ils trouvèrent la solution à travers les « jing kieng jri », des ponts de lianes.

La plupart de ces ponts sont construits selon le principe suivant :

  1. La plantation de deux arbres de part et d'autre de l'espace à franchir.
  2. La construction d'une structure en bambou entre les troncs.
  3. L'étirement autour de la structure de jeunes racines de caoutc

Les antifungiques naturels


Maladie à virus Ebola





Principaux faits


  • La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme.
  • Le virus se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine.
  • Le taux de létalité moyen est d’environ 50%. Au cours des flambées précédentes, les taux sont allés de 25% à 90%.
  • Les premières flambées de maladie à virus Ebola sont survenues dans des villages isolés d’Afrique centrale, à proximité de forêts tropicales, mais la flambée qui a sévi en 2014-2016 en Afrique de l’Ouest a touché de grands centres urbains aussi bien que des zones rurales.
  • La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. Pour être efficace, la lutte doit se fonder sur un ensemble d’interventions: prise en charge des cas, mesures de prévention des infections et de lutte, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et dans la dignité et mobilisation sociale.
  • Les soins de soutien précoces axés sur la réhydratation et le traitement symptomatique améliorent les taux de survie. Aucun traitement homologué n’a pour l’instant démontré sa capacité à neutraliser le virus, mais plusieurs traitements (dérivés du sang, immunologiques ou médicamenteux) sont à l’étude.

    Informations générales

    Le virus Ebola provoque une maladie aiguë et grave, souvent mortelle si elle n’est pas traitée. La maladie à virus Ebola est apparue pour la première fois en 1976, lors de 2 flambées simultanées à Nzara (aujourd'hui au Soudan du Sud) et à Yambuku (République démocratique du Congo). Yambuku étant situé près de la rivière Ebola, celle-ci a donné son nom à la maladie.
    La flambée qui a sévit en 2014-2016 en Afrique de l’Ouest fut la plus importante et la plus complexe depuis la découverte du virus en 1976. Elle a produit plus de cas et de décès que toutes les précédentes flambées réunies. Cette flambée a également comme particularité de s’être propagée d’un pays à l’autre, partant de la Guinée pour toucher la Sierra Leone et le Libéria.
    La famille de virus Filoviridae compte 3 genres: Cuevavirus, Marburgvirus et Ebolavirus. Cinq espèces ont été identifiées chez Ebolavirus: Zaïre, Bundibugyo, Soudan, Reston et Forêt de Taï. Les 3 premières ont été associées à d’importantes flambées Afrique. Le virus à l’origine de la flambée 2014-2016 en Afrique de l’Ouest appartient à l’espèce Zaïre. 



    Transmission

    On pense que les chauves-souris frugivores de la famille des Pteropodidés sont les hôtes naturels du virus Ebola. Celui-ci s’introduit dans la population humaine après un contact étroit avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques d’animaux infectés comme des chimpanzés, des gorilles, des chauves-souris frugivores, des singes, des antilopes des bois ou des porcs-épics retrouvés malades ou morts dans la forêt tropicale.
    Il se propage ensuite par transmission interhumaine, à la suite de contacts directs (peau lésée ou muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de personnes infectées, ou avec des surfaces et des matériaux (par exemple, linge de lit, vêtements) qui ont été contaminés par ce type de liquides.
    Des agents de santé se sont souvent infectés en traitant des cas suspects ou confirmés de maladie à virus Ebola. Cela s’est produit lors de contacts étroits avec les patients, lorsque les précautions anti-infectieuses n’ont pas été strictement appliquées.
    Les rites funéraires au cours desquels les parents et amis du défunt sont en contact direct avec la dépouille peuvent également jouer un rôle dans la transmission du virus Ebola.
    Les sujets atteints restent contagieux tant que le virus est présent dans leur sang.
     

    Transmission sexuelle

    Il faut avoir plus de données de la surveillance et faire davantage de recherches sur les risques de transmission sexuelle et, plus particulièrement, sur la présence de virus viables et transmissibles dans le sperme en fonction du temps écoulé. Entretemps, et sur la base des données factuelles actuelles, l’OMS recommande les mesures suivantes:
    • Tous les survivants d’Ebola et leurs partenaires sexuels doivent bénéficier de conseils sur les pratiques sexuelles à moindre risque, jusqu’à ce que le sperme ait donné par 2 fois un test négatif. On fournira aux survivants des préservatifs.
    • Il faut proposer aux hommes qui survivent à Ebola de faire un test sur leur sperme 3 mois après le début de la maladie puis, pour ceux ayant un résultat positif, un test ensuite chaque mois jusqu’à ce qu’ils aient donnés 2 tests négatifs à la recherche du virus dans le sperme par RT-PCR, avec un intervalle d’une semaine entre les 2 tests.
    • Ceux qui ont survécu à la maladie et leurs partenaires doivent soit:
      • s’abstenir de toute relation sexuelle, ou
      • adopter des pratiques sexuelles à moindre risque en utilisant correctement et régulièrement des préservatifs jusqu’à ce que le sperme ait donné par 2 fois un test négatif.
    • Lorsque les tests sont négatifs, les survivants peuvent revenir à des pratiques sexuelles normales sans craindre la transmission du virus Ebola.
    • Sur la base des nouvelles analyses portant sur les travaux de recherche en cours et de la réflexion du Groupe consultatif de l’OMS sur l’action contre la maladie à virus Ebola, l’OMS recommande aux hommes ayant survécu à la maladie à virus Ebola d’avoir des pratiques sexuelles à moindre risque et de respecter les règles d’hygiène personnelle pendant 12 mois après l’apparition des symptômes ou jusqu’à ce que leur sperme ait donné par deux fois un test négatif pour le virus Ebola.
    • Jusqu’à ce que leur sperme ait donné par 2 fois un test négatif à la recherche du virus Ebola, les hommes qui ont survécu à la maladie doivent respecter les règles d’hygiène personnelle et celles pour les mains en se lavant soigneusement à l’eau et au savon après tout contact physique avec du sperme, y compris après la masturbation. Au cours de cette période, les préservatifs usagés doivent être manipulés et jetés avec précaution, de façon à éviter tout contact avec le liquide séminal.
    • Tous les survivants, leurs partenaires et leur famille doivent être considérés avec respect, dignité et compassion.
    • Soins cliniques pour les survivants de la maladie à virus Ebola

    Symptômes de la maladie à virus Ebola

    La durée d’incubation, c’est-à-dire le temps écoulé entre l’infection par le virus et l’apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours. Tant qu’ils ne présentent pas de symptômes, les sujets humains ne sont pas contagieux. Les premiers symptômes sont une fatigue fébrile à début brutal, des douleurs musculaires, des céphalées et un mal de gorge. Ils sont suivis de vomissements, de diarrhée, d’une éruption cutanée, de symptômes d’insuffisance rénale et hépatique et, dans certains cas, d’hémorragies internes et externes (par exemple, saignement des gencives, sang dans les selles). Les analyses de laboratoire révèlent une baisse de la numération leucocytaire et plaquettaire, ainsi qu’une élévation des enzymes hépatiques.

    Persistance du virus chez les personnes guérissant de la maladie à virus Ebola

    On sait que le virus Ebola persiste dans les sites immunoprivilégiés des sujets qui ont guéri de la maladie à virus Ebola: testicules, intérieur de l’œil et système nerveux central. Chez les femmes ayant été infectées pendant une grossesse, le virus persiste dans le placenta, le liquide amniotique et le fœtus. Chez les femmes ayant été infectées pendant l’allaitement, le virus peut persister dans le lait maternel.
    Les études sur la persistance virale indiquent que, chez une petite proportion de survivants, certains liquides biologiques peuvent donner un test positif à la RT-PCR (amplification génique après transcription inverse) pour le virus Ebola pendant plus de 9 mois.
    Une rechute symptomatique chez un sujet ayant guéri de la maladie à virus Ebola à cause d’une réplication accrue du virus dans un site spécifique est un événement rare mais attesté. On ne comprend pas encore complètement les raisons du phénomène.

    Diagnostic

    La maladie à virus Ebola peut être difficile à distinguer cliniquement d’autres maladies infectieuses comme le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite. Les méthodes de diagnostic suivantes servent à confirmer que l’infection par le virus Ebola est bien la cause des symptômes:
    • titrage immunoenzymatique (ELISA);
    • tests de détection par capture de l’antigène;
    • test de séroneutralisation;
    • transcription inverse suivie d’une réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR);
    • microscopie électronique;
    • isolement du virus sur culture cellulaire.
    Une attention soigneuse devra être accordée à la sélection des tests de diagnostic, en tenant compte des caractéristiques techniques, de l’incidence et de la prévalence de la maladie, ainsi que des implications sociales et médicales des résultats. On recommande fortement d’envisager l’utilisation de tests diagnostiques, susceptibles d’avoir eu une évaluation indépendante et internationale.
    Les tests actuellement recommandés par l’OMS sont les suivants:
    • Les tests automatisés ou semi-automatisés sur l’acide nucléique (TAN) pour la gestion des diagnostics en routine.
    • Des tests de détection rapide des antigènes à utiliser dans les lieux isolés ou les TAN ne sont pas facilement disponibles. Ces tests sont recommandés aux fins du dépistage dans le cadre des activités de surveillance; les tests positifs doivent être néanmoins confirmés par des TAN.
    Les échantillons préférés pour le diagnostic sont les suivants:
    • Sang total prélevé sur EDTA chez les patients vivants présentant des symptômes.
    • Échantillon de liquide prélevé dans la sphère orale et conservé sur milieu de transport universel chez les patients décédés ou si le prélèvement de sang n’est pas possible.
    Les échantillons provenant des patients présentent un risque biologique extrême. Par conséquent, les analyses de laboratoire effectuées sur les échantillons non inactivés devraient respecter les conditions de confinement les plus rigoureuses possible. Tous les échantillons biologiques doivent être placés dans une boîte d’emballage triple (3 couches successives) pour le transport national ou international.

    Traitement et vaccins

    La réhydratation de soutien par voie orale ou intraveineuse et le traitement des symptômes spécifiques améliorent les taux de survie. Aucun traitement disponible n’a pour l’instant fait ses preuves contre la maladie à virus Ebola. Néanmoins, toute une gamme de traitements potentiels, y compris des produits sanguins, des thérapies immunitaires et des traitements médicamenteux sont en cours d’évaluation.
    Un vaccin expérimental anti-Ebola s’est avéré très protecteur contre ce virus mortel dans le cadre d’un essai majeur en Guinée. Ce produit, appelé rVSV-ZEBOV, a été étudié dans le cadre d’un essai auquel 11 841 personnes ont participé en 2015. Sur les 5837 personnes auxquelles le vaccin a été administré, aucun cas de maladie à virus Ebola n’a été enregistré 10 jours ou plus après la vaccination. En comparaison, il y a eu 23 cas dans le groupe témoin n’ayant pas eu le vaccin après 10 jours ou plus.
    L’essai a été mené par l’OMS, avec le ministère guinéen de la Santé, Médecins sans frontières et l’Institut norvégien de santé publique, en collaboration avec d’autres partenaires internationaux. Un protocole de vaccination en anneau a été retenu pour l’essai, certains cercles étant vaccinés peu après la détection d’un cas et d’autres dans un délai de 3 semaines.

    Prévention et lutte

    Pour combattre efficacement la flambée, il faut mettre en œuvre un ensemble d’interventions: prise en charge des cas, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et mobilisation sociale. La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. La sensibilisation aux facteurs de risque de l’infection par le virus Ebola et aux mesures de protection possibles (incluant la vaccination) est un moyen efficace pour réduire la transmission chez l’homme. Les messages sur la réduction des risques devront porter sur les facteurs suivants:
    • Réduction du risque de transmission entre les animaux sauvages et l’homme par contact avec des chauves-souris frugivores ou des singes/primates infectés et par la consommation de leur viande crue. Il faut manipuler les animaux avec des gants et porter d’autres vêtements de protection adaptés. Les produits issus de ces animaux (sang et viande) doivent être cuits soigneusement avant d’être consommés.
    • Réduction du risque de transmission interhumaine provenant de contacts directs ou rapprochés avec des sujets présentant des symptômes d’Ebola, en particulier avec leurs liquides biologiques. Il faut porter des gants et un équipement de protection individuelle adapté lorsque l’on s’occupe des malades à domicile. Il faut également se laver systématiquement les mains après avoir rendu visite à des patients à l’hôpital ou après s’être occupé de malades à domicile.
    • Réduction du risque potentiel de transmission sexuelle puisqu’il n’est pas possible d’écarter tout risque de transmission, les hommes et les femmes qui ont survécu à la maladie à virus Ebola doivent s’abstenir de tout type de rapport sexuel (y compris anal ou bucco-génital) pendant au moins 12 mois après le début des symptômes. Si l’abstinence sexuelle est impossible, il faut utiliser des préservatifs masculins ou féminins. Tout contact avec les liquides corporels doit être évité et il faut se laver avec de l’eau et du savon. L’OMS ne recommande pas d’isoler les patients convalescents de sexe masculin ou féminin dont les tests sanguins ont donné des résultats négatifs pour la maladie à virus Ebola.
    • Mesures d’endiguement de la flambée y compris l’inhumation rapide et sans risque des défunts, l’identification des sujets susceptibles d’avoir été en contact avec une personne infectée par le virus Ebola, le suivi de l’état de santé des contacts pendant 21 jours, la séparation sujets sains/malades en vue de prévenir la propagation, une bonne hygiène et le maintien d’un environnement propre.

    Lutte contre l’infection dans les établissements de soins

    Les agents de santé doivent toujours appliquer les précautions standard lorsqu’ils s’occupent des patients, quel que soit le diagnostic présumé. Ces précautions portent sur les règles de base en matière d’hygiène des mains, l’hygiène respiratoire, le port d’un équipement de protection individuelle (pour se protéger des éclaboussures ou d’autres contacts avec des matières infectées) et la sécurité des injections et des rites funéraires.
    Les agents de santé qui s’occupent de cas suspects ou confirmés d’infection à virus Ebola doivent, en plus des précautions d’usage, prendre d’autres mesures de lutte anti-infectieuse pour éviter tout contact avec le sang ou les liquides biologiques du patient ou avec des surfaces et des matériaux contaminés comme les vêtements et le linge de lit. Lors des contacts proches avec les malades (c’est-à-dire à moins d’un mètre), ils doivent porter une protection du visage (écran facial, ou masque chirurgical et lunettes de protection), une blouse propre, non stérile à manches longues, et des gants (stériles pour certains actes médicaux).
    Les employés des laboratoires sont également exposés au risque. Les échantillons qui ont été prélevés sur des sujets humains ou des animaux afin de rechercher infection au virus Ebola doivent être manipulés par du personnel formé et traités dans des laboratoires suffisamment équipés.







Douze créatures inconnues pêchées en Indonésie



En deux semaines d’expédition dans les profondeurs des eaux indonésiennes, une équipe de chercheurs a capturé dans ses filets plus de 12 000 créatures sous-marines. Parmi elles se trouvaient une douzaine de nouvelles espèces inconnues de la science jusqu’à présent.



La pêche a été bonne. Du 23 mars au 5 avril, les scientifiques indonésiens et singapouriens de la South Java Deep Sea Expedition (Expédition des eaux profondes du sud de Java), ont remonté plus de 12 000 créatures des profondeurs de la mer, entre mollusques, étoiles de mer, oursins, poissons…
Cette mission qui consistait à étudier la faune sous-marine entourant l’île de Java a permis aussi de découvrir une douzaine de nouvelles espèces, certaines très impressionnantes, dont un crabe à épines et aux yeux rouges et un homard à la carapace zébrée.
Ce homard est l’une des douze espèces découvertes lors de l’expédition.

Partie de Jakarta, cette expédition a parcouru environ 2 200 kilomètres le long des côtes javanaises. Utilisant différentes techniques de pêche, les chercheurs ont collecté des échantillons à une profondeur moyenne de 800 mètres, allant parfois jusqu’à 2 100 mètres de profondeur.

Un étrange poisson de la famille des Peristediidae ramassé dans les filets la South Java Deep Sea Expedition.

Le calamar-bijou possède des yeux étranges : le plus large est orienté vers le fond pour trouver de la nourriture, le plus petit à l’affût des prédateurs.

Cet octopus a été surnommé « Dumbo » par l’équipage.

Un Boeing 737 s'écrase avec 110 passagers à bord à La Havane

Le Boeing venait de décoller de La Havane à Cuba quand il s'est écrasé. 110 passagers avaient pris place à bord de cet avion de la compagnie cubaine de aviacion. Selon la presse locale, trois survivants sont dans un état critique.

Photo : témoin Twitter

Le Boeing 737 devait se rendre à Holguin à l'Est de Cuba. Mais, peu de temps après le décollage, des témoins auraient aperçu une épaisse colonne de fumée à proximité de l'aéroport. L'avion s'est ainsi écrasé après son départ de l'aéroport Jose Marti de La Havane.
Après 104 passagers déclarés par la télévision cubaine, la compagnie propriétaire a précisé que 110 personnes étaient à bord de cet avion loué par la compagnie aérienne Cubana de aviacion à une société mexicaine.
Un regrettable accident aérien est survenu. Les nouvelles ne sont pas encourageantes, il semble qu'il y ait un nombre élevé de victimes a annoncé le Président cubain Diaz-Canel. En effet, pour l'heure, trois survivants ont été hospitalisés 'dans un état critique' selon un média cubain. Il semblerait également que ce soit les uniques rescapés de ce terrible accident.

Ouverture de la chasse au portable,rentrée scolaire 2018


20180517

Nouvelle "maison de l'horreur" retrouvée en Californie.

Dix enfants âgés de 4 mois à 12 ans vivaient au milieu d'excréments et de détritus, dans une maison près de San Francisco, en Californie. Leurs parents, Jonathan Allen - 29 ans - et Ina Rogers - 30 ans, sont accusés d'abus physiques et de torture à leur encontre.
La sinistre découverte remonte au 31 mars, lorsque la mère de famille prend contact avec la police pour signaler la disparition de son fils aîné, alors que celui-ci n'était pas rentré à la maison. Après l'avoir retrouvé sain et sauf, la police le ramène chez lui.
A leur arrivée sur les lieux, les policiers découvrent une maison souillée de détritus et d'excréments, dans laquelle se trouvent neuf autres enfants, âgés de 4 mois et à 11 ans.
C'était un environnement dangereux et sale, où se trouvaient des poubelles empilées, de la nourriture périmée au sol, des excréments humains et d’animaux, des débris partout. Certaines parties de la maison étaient inaccessibles.






Les suspicions de mauvais traitements sont apparues au fur-et-à-mesure des auditions des enfants par la police. Huit d'entre eux ont notamment raconté des scènes de violence remontant parfois à plusieurs années, et disent souffrir de diverses blessures, allant des piqûres aux brûlures, en passant par des hématomes et par des blessures par balles de carabine à air comprimé.
Les enquêteurs ont affirmé après plusieurs semaines d'investigations que les enfants avaient subit une situation de torture physique et psychologique, et ce depuis de longues années.

La violence terroriste continue en Indonésie


François Clemenceau revient chaque matin sur un évènement international au micro d'Europe 1.
Un attentat contre un commissariat de police hier, deux autres perpétrés dimanche contre des églises. Daech se renforce en Asie.
L’attentat d’hier a été en effet revendiqué par Daech. Peu de victimes et les assaillants du commissariat situé sur l’île de Sumatra ont été tués. Dimanche, les attaquants étaient des kamikazes et se sont fait exploser à proximité d’églises chrétiennes sur l’île de Java : 13 morts, un miracle qu’il n’y en ait pas eu davantage. Et les experts notent que c’est la première fois qu’un triple attentat est perpétré par les membres d’une même famille avec femmes et enfants. Il y a là dans la multiplication des attaques et dans le mode opératoire tous les signes annonciateurs d’un renforcement de Daech en Asie et plus particulièrement en Indonésie, 266 millions d’habitants, le 4ème pays le plus peuplé de la planète et le pays qui compte le plus de musulmans au monde. On se dit qu’on est loin du monde arabe où Daech a mené bataille ces quatre dernières années mais les trois autres pays qui enregistrent le plus de fidèles musulmans dans le monde derrière l’Indonésie sont le Pakistan, l’Inde et le Bengladesh.

Oui, mais c’est en même temps loin de l’Europe ?
Certes, mais c’est vers cette Asie du Sud-Est en plein développement économique que nous réorientons nos économies occidentales. C’est d’ailleurs en Indonésie que se tiendra en octobre l’assemblée annuelle du FMI et de la Banque mondiale. Depuis le carnage de la discothèque de Bali qui avait fait 200 morts en 2002, revendiqué à l’époque par al-Qaida, la lutte anti-terroriste a permis de démanteler progressivement les cellules de la nébuleuse de Bin Laden. Il y a même eu une période entre 2012 et 2016 où l’Indonésie n’a connu aucun attentat. Les touristes sont donc revenus, 15 millions l’an dernier sont près de 300.000 français. Sauf que Daech maintenant a repris le flambeau de la terreur et s’infiltre dans ses milliers d’îles qui vont de l’Indonésie aux Philippines en passant par l’Australie, perçue comme un bastion de l’Occident dans la zone Asie-Pacifique. Les autorités redoutent maintenant que Daech devienne de plus en plus menaçante à l’approche des Jeux Asiatiques qui rassembleront 45 pays cet été.

Que peut faire la France ?
On aurait pu penser jusqu’à l’année dernière qu’elle s’en tiendrait à une politique de repli et de protection de ses ressortissants dans cette partie de l’Asie. Mais Emmanuel Macron a commencé de mettre en place une nouvelle stratégie qu’il appelle le partenariat Indo-pacifique, et qui consiste à renforcer nos coopérations avec tous ces grands pays de la zone, l’Inde, l’Australie, le Japon et bientôt la Malaisie et le Vietnam. Pas seulement parce qu’il s’agit là-bas de contenir une forme d’expansionnisme chinois que craignent tous ces pays mais aussi parce que le terrorisme ne peut être combattu qu’avec des alliances solides.

Huit lieux insolites qui défient la logique

Des lieux comme le Grand Canyon ou les Chutes du Niagara marquent les esprits rien que par leur taille et leur splendeur. Mais d'autres endroits moins célèbres sont tout aussi extraordinaires et présentent encore bien des mystères. Voici donc mon top 8 des lieux insolites et totalement improbables.

Quelques pays surveillent les activités en ligne des internautes



Communiquer, partager des informations, se divertir et travailler sont devenus plus faciles grâce à Internet. C’est un grand réseau public qui a facilité la vie de nombreux professionnels et particuliers dans le monde. Cependant, à part la non-sécurisation d’Internet, sachez aussi que le web est très surveillé. Nombreux sont les  pays qui appliquent des politiques de surveillance très claires. D’après les responsables, ces mesures ont été prises pour des raisons de sécurité mais en réalité, ce ne sont que d’autres méthodes pour avoir plus de contrôle sur les activités en ligne des internautes.
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Cybersurveillance

A l’heure actuelle, de nombreux pays surveillent les activités en ligne de leurs internautes. Ceci dans le but d’avoir plus de contrôle sur leurs activités en ligne car ces dernières années, avec la révolution du web et des nouvelles technologies, les utilisateurs du web commencent à être de plus en plus incontrôlables.  Si certains pays ne surveillent pas encore les activités en ligne de leurs internautes, ne pensez pas que ces derniers sont très soucieux du respect de leur vie privé car selon une enquête, les raisons qui pousseraient ces pays à ne pas appliquer des politiques de cybersurveillance seraient financières. N’ayant pas de budget important comme la NSA ou les autres gouvernements des pays développés, ils ont décidé de patienter pendant une période qui est encore méconnue.
Les pays qui surveillent les activités en ligne des internautes

De nombreux pays surveillent les activités en ligne des internautes et d’après les explications ci-dessus, ce sont surtout les pays développés qui sont en tête de liste.

  • Surveillance en ligne aux USA : ce n’est pas étonnant si les Etats-Unis surveillent les activités en ligne des internautes car c’est un pays très développé et en plus, il abrite de nombreux organismes spécialisés dans la sécurité en ligne comme la NSA et autres. Ce qui est surtout gênant avec la politique de cybersurveillance américaine c’est qu’elle cible aussi de nombreux internautes étrangers sans qu’ils ne le sachent.
  • Surveillance en ligne européenne : la politique de surveillance des activités en ligne des internautes européens est devenue possible après la mise à place de la directive européenne relative à la rétention de données. A l’heure actuelle, le gouvernement de nombreux pays européens collaborent avec les FAI locaux pour suivre de près ce que font réellement les internautes. Sites visités, mode de navigation, etc, sont tous enregistrés. L’Autriche, la Bulgarie, le Danemark, l’Italie, l’Espagne, le Royaume-Uni, etc, sont tous concernés.



  • Surveillance en ligne en Chine : depuis plusieurs années, la Chine a un contrôle absolu sur les activités en ligne de ses internautes. Le gouvernement peut bloquer le site qu’il veut et il peut aussi suivre de près ce que font réellement les internautes qui y sont localisés.

Pour surfer anonymement sur Internet, vous devriez utiliser un vpn. Ce service va cacher votre IP FAI et la remplacer par une IP Virtuelle où que vous soyez. Ainsi, toutes vos activités en ligne seront liées à cette dernière mais non l’adresse IP fournie par votre fournisseur Internet.