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La Corée du Sud a inventé la ville 100 % sans voitures

Elle a tous les atouts d’une ville propre, du moins sur le papier. Des pistes cyclables, un réseau de transports en commun particulièrement bien développé, des espaces verts… Mais dans les faits, la « ville parfaite » n’est pas si agréable à vivre.




Le défi a été relevé haut la main. À Songdo, une ville sud-coréenne située à plus d’une soixantaine de kilomètres à l’ouest de Séoul, presque aucune voiture ne circule. C’était l’idée de départ : bâtir une ville propre afin de limiter la pollution et la consommation d’énergie. À l’endroit où il n’y avait qu’un terrain vague, un polder gagné sur la mer Jaune, se dressent aujourd’hui des immeubles de verre et d’acier et d’autres buildings encore en chantier.

Lancée en 2003, la construction de Songdo est le résultat d’un partenariat public/privé avec des compagnies coréenne (le constructeur Posco) et américaines (le promoteur Gale et la banque Morgan Stanley), soutenues par la municipalité de la province de Incheon. L’objectif était de créer un centre d’affaires en Asie du Nord-Est, pour attirer des investissements du monde entier et offrir une qualité de vie inégalée, servant de modèle à exporter. 
Au total, l’aménagement de Songdo a coûté 35 milliards de dollars (soit 30 milliards d’euros). À terme, la ville devrait accueillir 265 000 personnes. Pour le moment, presque dix ans après son ouverture officielle, le nombre d’habitants tourne autour de 100 000. Surtout des Sud-Coréens, car les loyers sont moitié moins chers que dans certains quartiers de Séoul.

Big brother vert ?
En théorie, cette « smart-city » a de quoi séduire : un réseau de transport pensé pour qu’aucun appartement ou bureau ne soit à plus de 15 minutes à pieds d’un arrêt de bus ou d’une station de métro, 145 km de piste cyclable sécurisée, dont 25 km qui parcourent le quartier d’affaires, 40 % de la superficie de la ville constituée d’espaces verts, des buildings peu gourmands en énergie, certifiés LEED, couverts de toits végétaux et de panneaux solaires, des taxis fluviaux, un métro qui ne rejette pas de CO2.
Même le service de ramassage des ordures est ultra moderne : comme les rues sont piétonnes, plus de camions-bennes, mais des tubes pneumatiques qui aspirent les déchets ménagers qui arrivent par le biais de souterrains dans une grande plateforme de tri sélectif où ils sont revalorisés. Tous ces aménagements devaient permettre à la ville d’émettre 30 % de gaz à effet de serre en moins, par rapport à une ville de la même taille.

Lorsque Songdo était en construction.


Pourtant, sur place, la réalité semble différente. L’électricité qui sert à faire fonctionner la ville provient, comme pour les autres villes sud-coréennes, de centrales à charbon. Une habitante de la ville que les « bâtiments sont tout en transparence et [qu’] il est impossible d’ouvrir les fenêtres. L’été et l’hiver, la clim’fonctionne à fond ».
Autre ombre au tableau : les caméras. La ville en compte 500 qui surveillent la circulation et les comportements suspects. Les immenses parkings souterrains placés à des endroits stratégiques de la ville sont équipés de lecteurs qui scannent les plaques minéralogiques des voitures pour, apparemment, réguler le trafic et éviter les embouteillages. Les habitations sont aussi truffées de capteurs qui indiquent en temps réel la consommation du logement en eau et en énergie, qui alertent si des déchets se trouvent dans les mauvaises poubelles. Bientôt, les appartements seront équipés pour bénéficier de la télémédecine.
En plus des dizaines de capteurs qui truffent
les immeubles, 500 caméras quadrillent la ville.


Une « ville perturbante », selon les
reporters qui sont allés sur place

Finalement, ceux qui se promènent dans la ville cherchent un peu « son âme », rapportent les journalistes qui y sont allés en reportage. Ce n’est pas une ville fantôme, mais on ne croise pas grand monde. Ceux qui comptent déjà plusieurs séjours dans la ville intelligente voient quelques améliorations – des commerces, un peu plus de piétons dans les rues – mais persistent : C’est une ville perturbante.



Des méduses géantes venimeuses débarquent sur les plages britanniques




Habituellement surtout présentes dans les eaux froides, les méduses à crinière de lion pullulent près des côtes du Pays de Galles. Ces géantes des mers, de 2 mètres de circonférence et 30 mètres de long, sont de plus en plus grosses et peuvent provoquer la mort. Les changements climatiques pourraient les rapprocher des côtes françaises.
Les baigneurs des côtes galloises ont intérêt à se méfier cet été. Les méduses à crinière de lion débarquent en force, et c’est une mauvaise nouvelle pour eux, voire pour les Français.






L’espèce fait partie des plus grandes méduses au monde : son diamètre varie de 50 cm à 2 m, et ses filaments peuvent atteindre plus de 30 m de long. Leur piqûre et le caractère urticant de leurs filaments peuvent provoquer de graves irritations, des crampes, voire des arrêts respiratoires chez l’être humain.
Depuis quelque temps, les témoignages de leur arrivée affluent au Pays de Galles, dans l’eau, ou échouées sur les plages : il y a quelques jours, à Llandudno, mais aussi à Anglesey, Conwy ou encore à Caernarfon… rapporte le journal gallois The Daily Post.
Elles ne sont pourtant pas des habituées du Royaume-Uni. Plus à l’aise dans les eaux froides, on les trouve habituellement plus au nord, dans les eaux scandinaves ou de l’Atlantique Nord. « Mais elles sont présentes dans tout l’hémisphère nord, précise Maureen Midol, soigneuse technicienne en aquariologie à Océanopolis, à Brest (Finistère). Cette méduse vit et se développe en pleine mer, plutôt en profondeur. Mais de temps à autre, il peut arriver qu’elles arrivent sur les côtes. »

De plus en plus nombreuses





Les méduses se déplacent verticalement, 
mais ne choisissent par leur direction horizontalement.

Et ce n’est pas un phénomène volontaire : les méduses se déplacent verticalement, mais ne choisissent par leur direction horizontalement. Elles se laissent porter par les courants. « Ce n’est donc pas une invasion, mais plutôt la conséquence des changements climatiques. Elles sont poussées par les vents et les courants changeant. »

Un phénomène que les scientifiques ont encore du mal à évaluer. Le Dr Peter Richardson, à la tête de la société de conservation marine britannique constate dans le Daily Post que « les données de veille dont nous disposons montrent une hausse significative des espèces de méduses dans nos eaux. La question à un million de dollars est : pourquoi cela arrive ? Pour l’instant on ne sait pas vraiment ».

Et cette espèce, impressionnante et dangereuse, pourrait très bien se retrouver sur les côtes françaises. « C’est de toute façon très difficile à prévoir, puisque c’est la conséquence de phénomènes météorologiques, estime Maureen Midol. En France, l’année dernière, nous avons assisté à une recrudescence de physalies, notamment dans le Finistère… Elles étaient originaires des eaux caribéennes mais sont arrivées là après des tempêtes. »

Bientôt en France ?

Un spécimen de méduse à crinière de lion, au muséum
 d’histoire naturelle de Washington, aux États-Unis.

Les méduses à crinière de lion sont de plus en plus nombreuses, mais aussi de plus en plus grosses : « C’est lié à la chute du nombre de leurs prédateurs, comme les thons ou les tortues. Là encore, c’est une conséquence des changements climatiques, ou de la surpêche. »

Quant à leur taille plus importante, elle serait liée à deux facteurs : d’abord, la hausse de la température de l’eau déclenche leur naissance plus précocement. Et une luminosité accrue augmente les quantités de phytoplancton, puis de zooplancton, dont elles se nourrissent. Là où c’est problématique pour l’homme, c’est que « plus une méduse est grosse, plus elle est dangereuse », poursuit la spécialiste. La concentration en venin toxique augmente avec la taille du spécimen.

Le phénomène a aussi été constaté sur les côtes anglaises et irlandaises, où plusieurs nageurs ont dû être hospitalisés à la suite de piqûres. Le Dr Tom Doyle, spécialiste en zoologie à l’université de biologie de Cork estime, dans The Irish Times, que les méduses repérées, qui ne vivent normalement qu’aux alentours de huit mois, pourraient être des spécimens adultes dans leur deuxième année.

En France, les scientifiques sont aux aguets. Maureen Midol donne quelques conseils : « Ceux qui constateraient plusieurs méduses sur un même site peuvent le signaler aux autorités. Si vous trouvez une méduse échouée sur une plage, n’y touchez surtout pas, elle reste urticante. La petite astuce, c’est de la recouvrir de sable. Celui-ci va absorber l’eau qu’elle contient, elle finira par se désagréger. »

Etats-Unis: Un homme avale 74 hot-dogs en dix minutes et bat son propre record mondial

La tactique de Joey Chesnut consiste à ingurgiter les saucisses deux par deux et à tremper le pain dans l’eau avant de le manger…

Un hot-dog. Illustration.


En douze ans, Joey Chestnut vit sa onzième victoire. Chaque année, à l’occasion de la fête nationale américaine, se tient le concours du plus grand mangeur de hot-dogs à Coney Island, dans l’Etat de New York.


Le champion a avalé 74 hot-dogs en dix minutes seulement, battant son propre record du monde. C’est deux de plus que l’année passée. « J’ai trouvé le bon rythme », a expliqué l’Américain de 34 ans. « Je me sentais bien aujourd’hui ». Arrivé en seconde position, Carmen Cincotti a ingurgité 64 hot-dogs.

Un diabète sur sept lié à la pollution de l’air

Fumée au Texas, aux Etats-Unis, le 26 août 2017.

Un nouveau cas de diabète sur sept est aujourd’hui dû à la pollution de l’air, ont estimé des chercheurs dans une étude publiée samedi 30 juin, dans la revue The Lancet Planetary Health.
« La pollution a contribué à 3,2 millions de nouveaux cas de diabète dans le monde en 2016, ce qui représente environ 14 % des nouveaux cas », ont annoncé les auteurs, de la faculté de médecine Washington à Saint-Louis (États-Unis). Le lien entre pollution atmosphérique et le diabète avait déjà été avancé par des recherches antérieures.
« On pense que la pollution réduit la production d’insuline et provoque des inflammations, empêchant le corps de convertir le glucose du sang en énergie », ont résumé les chercheurs, qui publient l’étude dans la revue The Lancet Planetary Health. L’estimation de 14 % est issue de données médicales de 1,7 million d’anciens combattants américains, suivis sur une durée médiane de huit ans et demi. Tous au départ avaient été choisis parce qu’ils n’avaient pas de diabète.
Les chercheurs ont bâti un modèle statistique pour voir dans quelle mesure la pollution de l’air dans leur lieu de résidence pouvait expliquer qu’ils devenaient diabétiques. Et la comparaison a été faite avec une autre affection où cette pollution n’est pas en cause, les fractures des membres inférieurs. Des facteurs favorisant le diabète comme le surpoids et l’obésité ont été pris en compte.

Une étude qui fait face aux lobbies économiques
« Notre recherche démontre un lien significatif entre pollution de l’air et diabète dans le monde », a affirmé dans un communiqué le professeur de médecine Ziyad Al-Aly. « C’est important car beaucoup de lobbies économiques affirment que les niveaux actuels [de rejets de polluants dans l’atmosphère autorisés] sont trop stricts et devraient être relevés. Des preuves montrent que ces niveaux actuels ne sont toujours pas suffisamment sains et doivent être abaissés ».
Par ailleurs, la part de diabètes dus à l’air pollué est estimée comme plus forte dans des pays où la réglementation est moins stricte et moins bien respectée, comme l’Inde, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, l’Afghanistan et le Guyana. Sont cités en exemple à l’inverse « des pays plus riches tels que la France, la Finlande et l’Islande ».

Royaume-Uni : le "Novitchok", une arme chimique redoutable à l'origine d'un nouvel empoisonnement

Deux Britanniques ont été exposés, samedi 30 juin, au même agent innervant, le Novitchok, qu'un ancien agent double russe en mars dernier. Une substance mal connue aux effets ravageurs.



Quatre mois après l'empoisonnement de l'ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille, le poison Novitchok a fait deux nouvelles victimes au Royaume-Uni. Deux britanniques ont été exposés samedi 30 juin à Amesbury, une petite ville située à une douzaine de kilomètres de Salisbury, où habitait l'ancien agent russe. Si la thèse d'un accident liée à la drogue a d'abord été envisagée, la police a finalement reconnu dans la soirée du mercredi 4 juillet qu'il s'agissait du Novitchok. Une arme chimique redoutable, élaborée dans les années 1930.
Ces substances ont en effet été synthétisées pour la première fois par l'Allemagne nazie, dans le cadre de recherches sur les insecticides. Les soviétiques, eux, sont parvenus à le concevoir aux années 1970-1980. Une époque où la guerre froide battait son plein et où le régime souhaitait se procurer ces substances hautement toxiques aux effets parfois très rapides. Et pour cause : ces agents pénètrent l'organisme par inhalation ou à travers la peau. Ils s'attaquent à une enzyme cruciale pour le fonctionnement du système nerveux, l'acétylcholinestérase. Parmi les symptômes, on constate une diminution du diamètre des pupilles, des nausées, une incontinence, des tremblements, des convulsions et des difficultés respiratoires.


Un policier le 5 juillet 2018 à Salisbury
où deux personnes ont été empoisonnées.

"Les premiers symptômes surviennent 20 à 30 minutes après l'exposition initiale"

La rapidité d'action, elle, dépend du mode d'administration. Une inhalation à forte dose peut provoquer la mort en quelques minutes. Le processus est plus long si l'agent pénètre dans le corps non pas via le système respiratoire mais via la peau. Dans ce cas, "les premiers symptômes surviennent 20 à 30 minutes après l'exposition initiale et ensuite, le processus d'empoisonnement peut être rapide si la dose est élevée", relève l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC). Dans des conditions normales, les agents innervants se présentent sous forme liquide, plus ou moins fluide.
Si le terme Novitchok est peu connu du grand public, certains agents innervants sont en revanche plus connus. Par exemple le sarin et le VX.. Le premier a été utilisé à plusieurs reprises en Syrie depuis 2013, et dans un attentat dans le métro de Tokyo en 1995. Le second a servi à assassiner le demi-frère du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un en février 2017.
Selon les experts, la procédure de soins classique dans le cas d'un empoisonnement avec un agent innervant est de stabiliser les fonctions vitales du corps (respiration, battements du cœur). Parallèlement, il faut administrer au patient de l'atropine, médicament de base utilisé pour combattre les symptômes des agents innervants. Celle-ci bloque les récepteurs de l'acétylcholine pour empêcher son accumulation dans le système nerveux. Le temps, si le traitement fonctionne, de permettre au corps d'évacuer l'agent innervant et de produire à nouveau l'enzyme qu'il ciblait.

Jusqu'à quel âge peut-on envisager un appareil dentaire chez un adulte ?



Il est courant de procéder à des soins en orthodontie chez l’enfant, pour des raisons esthétiques ou fonctionnelles. Mais le port d’un appareil dentaire peut aussi être envisagé à l’âge adulte, de façon discrète grâce aux appareils invisibles. Jusqu’à quel âge envisager un appareil dentaire ?

Port d’un appareil dentaire : pourquoi ?
La consultation en orthodontie a pour principal motif des considérations esthétiques, qu’il s’agisse d’un jeune patient ou d’un adulte. Elle a aussi pour but le réalignement des dents, la suppression ou la création d’espaces entre les dents ou le remplacement d’une dent perdue. Ainsi, les appareils dentaires assurent une bonne santé des dents et permettent de limiter les risques de caries et de maladies parodontales.

L’appareil dentaire pour adulte
Le port d’un appareil dentaire peut être envisagé de 7 à 77 ans, il n’y a pas d’âge limite. Pour un adulte, l’appareil répond à des buts esthétiques ainsi qu’à la nécessité de restaurer un équilibre entre les dents pour la mastication. Cependant, contrairement à l’enfant sur lequel les corrections sont apportées alors qu’il est en pleine croissance, les corrections chez l’adulte interviennent sur des structures qui ont achevé leur croissance. Le résultat chez l’adulte ne sera donc pas stable et nécessitera une contention permanente, sinon les dents risquent de reprendre leur place initiale. On aura recours notamment à des appareils invisibles, comme des bagues métalliques côté lingual ou des gouttières transparentes. La durée des soins d'orthodontie varie de 1 an pour les traitements simples à 3 ans pour des traitements plus complexes.

États-Unis : les traditions du 4 juillet, jour de l'indépendance américaine


L'"Independance Day", célébré chaque 4 juillet outre-Atlantique, contient quelques similitudes avec le 14 juillet en France.Le 
Jour de l'Indépendance" ("Independance Day") est la fête nationale qui célèbre la déclaration d'indépendance des treize colonies d'Amérique vis-à-vis de la Couronne britannique. C'était le 4 juillet 1776. On retrouve certains ingrédients de la fête nationale en France. Il y a beaucoup de parades patriotiques. Certaines remontent au XIXe siècle. Mais ce ne sont pas des défilés militaires. Cependant le 4 juillet, il y a beaucoup de messages de remerciements aux troupes - notamment celles qui sont déployées à l'étranger - ou aux vétérans. Il y a près d'un million et demi de personnes dans les forces armées américaines.

Autre point commun : le feu d'artifice. Il y en a un peu partout. Mais le plus grand, diffusé en direct à la télévision, est tiré à New York, entre Manhattan et Brooklyn. Il est intéressant de noter que depuis près de soixante ans, c'est une chaîne de grand magasin, Macy's, qui finance et donc lui donne son nom. Cela marque aussi une période de soldes. Il faut près de deux semaines aux artificiers pour mettre en place les 60.000 feux d'artifice sur cinq grandes barges flottantes.


Le feu d'artifice du 4 juillet 2016 à New York


Ils entendent montrer leur fierté d'être Américains. On trouve des tenues spéciales pour l'occasion dans les magasins. Alors certes dans les rues de New York ou Los Angeles, vous en croisez peu. Mais dans des petites villes, dans des États plus conservateurs, c'est très courant.

Autre tradition qui va vous sembler un peu curieuse, et pourtant elle dure depuis plus d'un siècle : un grand concours annuel organisé près de la plage de Coney Island, à New York, et diffusé sur une chaîne sportive. Il s'agit du concours du plus gros mangeur de hot-dogs ! L'an passé, le gagnant en a empiffré 70 en dix minutes.



Le concours 2016 du plus gros mangeur de hot-dogs


Le 4 juillet, c'est d'abord une fête où on mange, autour des barbecues, des hamburgers, des hot-dogs, beaucoup de bière, le tout en famille ou avec des amis. Car les Américains ont peu de vacances : certains ont seulement deux semaines de congés dans l'année. Donc ils profitent du pont du 4 juillet, qui est un moment important de retrouvailles familiales.

Dans l'UE, les plus riches vivent à Londres, les plus pauvres en Bulgarie


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Les habitants les plus riches dans l'UE
 habitent les quartiers de l'ouest de Londres

Les résidents de l'ouest de Londres sont six fois plus riches que la moyenne des Européens, tandis que les habitants du nord-ouest de la Bulgarie sont trois fois plus pauvres, selon une étude publiée mercredi par l'institut européen de statistiques Eurostat. Il existe des différences considérables dans l'UE et au sein des Etats membres.
 Londres, Luxembourg et Bruxelles. Les habitants les plus riches dans l'UE habitent les quartiers de l'ouest de Londres, dont le PIB atteint 611% de celui de la moyenne de l'UE. Arrivent ensuite les habitants du Grand-Duché du Luxembourg (257%), de la région du sud-est de l'Irlande (217%), puis de Bruxelles et Hambourg, en Allemagne (200% dans les deux cas). "En 2016, 19 régions disposaient d'un PIB par habitant situé 50% ou plus au-dessus de la moyenne de l'UE : cinq en Allemagne, trois au Royaume-Uni, deux en Autriche, une respectivement en Belgique, en République tchèque, au Danemark, en Irlande, en France, aux Pays-Bas, en Slovaquie et en Suède, ainsi que le Grand-Duché de Luxembourg", résume Eurostat.

Bulgarie, Mayotte et Roumanie. A l'autre extrémité, le PIB régional par habitant représente 29% de celui de l'UE dans la région bulgare de Severozapaden (nord-ouest). Mayotte, île française de l'océan Indien (33%), puis deux autres régions bulgares (34%) et le nord-est de la Roumanie (36%) complètent la liste des régions les plus pauvres. "Parmi les 21 régions disposant d'un PIB par habitant en dessous de 50% de la moyenne de l'UE, cinq étaient situées respectivement en Bulgarie et en Pologne, quatre en Hongrie, trois respectivement en Roumanie et en Grèce, et une en France", précise Eurostat.
En France, les régions sous la moyenne de l'UE. Les régions françaises sont globalement situées en dessous de la moyenne de l'UE, à l'exception de l’Île-de-France (175%) et du centre-est (100%). A l'inverse, les régions allemandes sont majoritairement situées au-dessus de la moyenne.

Les serpents les plus gros, les plus longs et les plus dangereux de la planete !








Les Norvégiens préfèrent sucer du « snus » que fumer une cigarette

Le Snus, une pâte de tabac à placer sur les gencives interdite
à la vente dans l’UE à l’exception de la Suède.


Le tabac à sucer commercialisé en Suède et en Norvège est plus consommé que la cigarette, d’après une étude publiée jeudi de l’institut national de statistique basé à Oslo. Un résultat lié à la chute du nombre de fumeurs dans le pays depuis dix ans. Cependant, la consommation de tabac a augmenté.
Les Norvégiens sont désormais plus nombreux à consommer quotidiennement du « snus », un tabac à sucer spécifique à la Scandinavie, que des cigarettes, montrent des chiffres officiels publiés jeudi.

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Les statistiques risquent de relancer le débat sur les effets de ce tabac, interdit à la vente dans l’UE à l’exception de la Suède, sur la santé, une question qui fait débat.

Une forte baisse du nombre de fumeurs
Selon l’institut norvégien de statistique SSB, 12 % des Norvégiens consommaient quotidiennement du « snus » en 2017, une proportion pour la première fois plus élevée que celle des fumeurs quotidiens (11 %).
La Norvège a adopté une politique ambitieuse visant à réduire le tabagisme : elle a été l’un des premiers pays au monde à interdire la cigarette dans les lieux publics en juin 2004, le prix des cigarettes y est élevé (environ 11 € le paquet) et le paquet y est neutre depuis l’an dernier.
En 2007, la proportion de fumeurs quotidiens était encore de 22 % mais elle a été divisée par deux en dix ans, une désaffection qui a profité au « snus ».

Mais plus de consommation de tabac
« En dépit du recul du tabagisme quotidien, la proportion totale de la population qui consomme des produits liés au tabac a augmenté », a noté un conseiller de SSB, Joachim Wettergreen, dans un communiqué.
En 2016, 12 % des Norvégiens fumaient quotidiennement et 10 % utilisaient du « snus ».
Après avoir en partie gagné leur combat contre la cigarette, les autorités norvégiennes tentent d’enrayer la consommation de tabac à sucer.
En novembre, l’État a gagné un procès à Oslo contre le producteur Swedish Match qui protestait contre l’application au « snus » de la règle du paquet neutre. Le groupe suédois a fait appel.


Qui sont les sauveteurs des ados piégés dans la grotte thaïlandaise ?




Les treize ados bloqués dans une galerie souterraine en Thaïlande depuis dix jours viennent enfin d’être retrouvés par une équipe de plongeurs-sauveteurs. Si l’opération est loin d’être terminée, les héros à l’origine de cet exploit n’en sont pas à leur premier coup d’essai.

C’est un grand soulagement pour les familles. Les jeunes âgés de 11 à 16 ans qui avaient disparu depuis le 23 juin dans une grotte thaïlandaise inondée viennent d’être retrouvés le 2 juillet, amaigris mais sains et saufs. Deux plongeurs-sauveteurs britanniques, Rick Stanton et John Volanthen, sont à l’origine du premier contact établi avec les ados de cette équipe de foot et leur coach.

Ces deux héros ont plus de 35 ans d’expérience en matière de sauvetage et de plongée souterraine. Ils font partie des meilleurs sauveteurs au monde lorsqu’il s’agit d’intervenir sur des opérations similaires. Par ailleurs, ils disposent tous les deux d’un emploi à plein-temps.


Rick Stanton
Rick Staton, 56 ans, est pompier à Conventry, une ville du centre de l’Angleterre. Expert en spéléologie et en plongée technique, il a déjà participé à différentes missions en tant que volontaire. En 2012, il a été fait membre de l’Ordre de l’Empire britannique en récompense de ses services. Rick Staton est aussi considéré comme un des meilleurs en Europe en plongée souterraine.

John Volanthen
Quant à John Volanthen, ingénieur informatique dans la ville de Bristol (sud-ouest de l’Angleterre), cet homme de 47 ans est réputé pour sa capacité à utiliser de manière optimale un recycleur, un appareil de plongée sophistiqué. Ces deux plongeurs, ainsi qu’un autre Britannique, Robert Harper, font partie du British Cave Rescue Council (BCRC), qui regroupe des secouristes experts en plongée et spéléologie. Ils étaient partis la semaine dernière en Thaïlande pour participer aux secours dans la grotte inondée.
Une tentative de sauvetage en France 
« John Volanthen et Rick Stanton sont de véritables experts en plongée souterraine, qui ont exploré bon nombre de réseaux de galeries en Europe. Ils savent très bien se servir de recycleurs, une technologie qui convient parfaitement à la situation rencontrée dans cette grotte thaïlandaise », confie Neil Bennett, un plongeur britannique interrogé par The Guardian.
En France, Rick Staton et John Volanthen sont connus pour avoir tenté de secourir Éric Establie en 2010. Ce spéléologue s’était retrouvé coincé à cause d’un éboulement en plongeant dans une grotte de l’Ardèche. Il n’avait malheureusement pas survécu. Le gouvernement français aurait réclamé ces deux plongeurs pour les opérations de sauvetage à l’époque.




Une Sud-africaine retrouvée vivante dans le réfrigérateur d’une morgue

Photo d'illustration.


Une femme déclarée « morte » après un accident de la route fin juin au sud-est de Johannesburg a été découverte en vie dans le réfrigérateur d’une morgue. Pourtant, d’après les services d’urgences, « tous les tests ont été faits ».
Elle est revenue d’entre les morts. Une Sud-Africaine avait été déclarée décédée après un accident de la route dimanche 24 juin. Mais la victime a été retrouvée quelques heures plus tard… vivante dans le réfrigérateur d’une morgue.
Les services d’urgence sont intervenus à la fin du mois sur le site d’un carambolage survenu à l’extérieur de Carletonville, au sud-ouest de Johannesburg. À l’extérieur d’un des véhicules, ils ont découvert les corps de ses trois occupants, apparemment décédés. « Nous avons suivi nos procédures, nous n’avions aucune idée de ce qui avait bien pu se passer », a plaidé Gerrit Bradnick, le chef des opérations de la société privée d’urgences médicales Distress Alert.


L’équipe de secours « est totalement anéantie ».
Selon lui, « tous les tests ont été faits ; la respiration, le pouls et donc la patiente a été déclarée morte ». Les trois victimes ont été évacuées sur la morgue. C’est en plaçant son corps dans un réfrigérateur qu’un des employés de l’établissement s’est rendu compte que l’une des trois respirait encore. La miraculée a été conduite à l’hôpital local pour y être soignée.
« L’équipe (qui est intervenue) est totalement anéantie, a commenté Gerrit Bradnick, notre travail ne consiste pas à déclarer les vivants morts mais à maintenir les gens en vie ». Distress Alert a ouvert une enquête pour comprendre les raisons de cette bévue.

En Suède, une ville envahie par d’énormes rats de la taille de chats



Les 50 000 habitants de la ville suédoise de Sundsvall vivent un calvaire. Ils sont contraints de laisser portes et fenêtres closes. Une mesure de précaution contre une soudaine invasion de rats dont certains feraient la taille de chats…
C’est le récent déménagement d’une décharge publique qui est à l’origine d’une soudaine invasion de rats dans la ville de Sundsvall, en Suède. L’information a été relayée par le quotidien britannique The Daily Mail. Les 50 000 habitants vivent un véritable calvaire. Et pour éviter tout risque sanitaire, les autorités locales recommandent à la population locale d’éviter de laisser ouvertes fenêtres et portes de leurs domiciles.


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Devant l’ampleur du problème, le conseil municipal a pris la décision de lancer une campagne d’extermination de ces « vermines » : « qu’importe le coût de l’opération, il faut stopper la situation. » « Ce ne sont pas les rats normaux que vous voyez parfois, là, certains d’entre eux sont géants : ils font la taille d’un chat ! », a confié au journal britannique Benny Sagmo, responsable de la préservation de la vie sauvage à Sundsvall.

Cet homme explique que tout est parti du déménagement récent d’une déchetterie locale. Les rats y avaient évidemment élu domicile et y prospéraient. Ils s’y reproduisaient en nombre et y trouvaient de la nourriture en abondance. Depuis la fermeture de ce site situé à proximité d’une zone résidentielle, les rats en quête de nourriture ont envahi les quartiers habités. « Ça grouille de partout ! », signale un habitant, cité par le Daily Mail.


Les rats grouillent dans les quartiers habités
à la recherche de nourriture.  

Ce témoin prétend même que certains de ces animaux affamés montreraient « des signes d’agressivité : ils ne fuient pas à la vue des humains, ils se redressent sur leurs pattes arrières et font une espèce de sifflement comme un chat mécontent… » D’où les mesures de précautions prises et étendues aux crèches et écoles où il est interdit, jusqu’à nouvel ordre, de laisser les enfants faire leur sieste en extérieur ou prendre un goûter dehors.

Hôtel Svart : le plus écologique du monde en Norvège



C’est la promesse du cabinet d’architectes qui a dessiné les plans de l’hôtel Svart, au nord du cercle polaire arctique, en Norvège. L’édifice devrait produire sa propre énergie et en consommer 85 % de moins qu’un hôtel classique. Une première mondiale.





Au pied du glacier Svartisen, le deuxième plus grand de Norvège, un hôtel d’un genre nouveau devrait voir le jour en 2021. Dessiné par le cabinet norvégien Snohetta, l’hôtel Svart, construit sur pilotis, aura la forme d’un anneau, comme posé sur les eaux du fjord Holandsfjorden, dans le parc national Saltfjellet-Svartisen, juste au-dessus du cercle polaire arctique. Mais surtout, il va être bâti selon le principe de l’énergie positive : il produira sa propre énergie et sa consommation sera bien inférieure à celle d’un hôtel classique.

Résultat, il devrait produire davantage d’énergie qu’il n’en consommera. Un atout dans cet environnement arctique. Les architectes qui voulaient « laisser une empreinte environnementale minimale sur cette belle nature nordique », ont pensé l’ensemble du bâtiment comme durable. Il ne sera accessible que par bateau. Une navette à énergie neutre sera mise en place depuis la ville portuaire de Bodo.

Inspiration norvégienne


Pour la forme ovale de Svart, les architectes se sont inspirés de deux bâtiments traditionnels norvégiens : le « fiskehjell », une structure en bois pour faire sécher le poisson et le « rorbue », une petite maison utilisée en saison par les pêcheurs. Les poteaux de soutien de la structure sont taillés dans du bois résistant aux intempéries, et s’enfoncent à plusieurs mètres dans le sol du fjord.
Le design circulaire de l’hôtel a été étudié spécifiquement, de même que l’emplacement des chambres, des restaurants et des terrasses, pour exploiter au maximum l’énergie solaire, tout au long de la journée et des saisons. Il permettra aussi aux clients de bénéficier d’une vue à 360 °C, pour « une expérience de grande proximité avec la nature », décrivent les architectes sur leur site. 


Le design circulaire de l’hôtel a été pensé pour profiter
au maximum de l’énergie du soleil, tout au long
de la journée et des saisons. 

Le toit de l’hôtel accueillera des panneaux solaires.  

Le toit de l’hôtel sera « recouvert de panneaux solaires norvégiens produits avec de l’énergie hydroélectrique propre, ce qui réduira encore plus l’empreinte carbone, décrit l’agence d’architecte sur son site. En raison des longues nuits d’été (ensoleillées, N.D.L.R.), dans cette région, la production annuelle d’énergie solaire sera en fait très intéressante. » Et pendant les mois d’hiver, « lorsque le soleil sera bas dans le ciel, les grandes fenêtres de la façade permettront un maximum d’ensoleillement pour exploiter naturellement l’énergie du soleil ». Quand le soleil ne sera pas suffisant pour chauffer l’hôtel, les puits géothermiques reliés à des pompes à chaleur prendront le relais.
La construction de l’hôtel (qui sera exploité par la société de tourisme durable Arctic Adventure of Norway), devrait commencer l’année prochaine, pour une ouverture annoncée en 2021. 

Les architectes souhaitaient « laisser une empreinte
environnementale minimale sur cette belle nature nordique ».  

Rédoine Faïd, le braqueur qui s'est évadé en hélicoptère.

Redoine Faid


Rédoine Faïd, évadé de la prison de Réau ce dimanche est un braqueur multirécidiviste, passionné de films de Scorcese.
Rédoine Faïd s'est échappé de la prison de Réau, en Seine-et-Marne, ce dimanche lors d'une évasion spectaculaire à bord d'un hélicoptère. L'homme, figure du grand banditisme français est aussi un pro de l'évasion.
A peine âgé de 12 ans, Rédoine Faïd en était déjà convaincu: il serait voleur. Originaire de Creil, dans l'Oise, la police le surnommait déjà "la terreur de Creil". Il faut dire qu'il commet son premier larcin à 6 ans, en sortant un caddie de supermarché rempli de confiseries.
"Il a côtoyé et fait partie de ce caïdat de cités HLM, cette nouvelle génération de voyous qui ont inventé les go-fast, vécu sur l'argent et le trafic de drogues", racontait il y a quelques années un policier.
Déjà, le jeune homme rêve de célébrité, bercé par l'image des grands bandits du cinéma d'action américain dont il est passionné. "Lui s'est spécialisé dans les fourgons car il aimait l'adrénaline et voulait ressembler aux plus grands qui ont snobé ou été dépassés par ces types dangereux et fêlés", ajoute le policier. 


Le braqueur le plus médiatisé

En 1998, le braqueur est arrêté à Paris. Jugé pour "violence aggravée" et "séquestration", il est condamné à 31 ans de prison. Il bénéficie finalement d'une liberté conditionnelle et revient à la civile en 2009. Le jeune homme, qui obtient un poste de commercial, assure alors que sa vie de braqueur est derrière lui.
En 2010, il publie une autobiographie et coécrit un livre avec le journaliste Jérôme Pierrat qui l'amènent sur les plateaux de télévision. Il y explique que ses braquages ont été inspirés par de nombreux films d'action, notamment par Heat, de Michaël Mann, qu'il avoue avoir vu ce film des dizaines de fois. En avril 2009, à la Cinémathèque de Paris, Redoine Faïd affirme ainsi à Michael Mann en personne qu'il a été son "conseiller technique".


La mort d'Aurélie Fouquet

Mais en mai 2010, le braqueur "repenti" est pris en flagrant délit alors qu'il tente, avec des complices, d'attaquer un fourgon blindé à Créteil, dans l'Essonne. Repérés par la police, ils s'élancent dans une course poursuite sur l'autoroute. Les braqueurs tirent sur les forces de l'ordre. Une policière municipale de 26 ans, Aurélie Fouquet, est tuée.
Un an plus tard, le 28 juin 2011, Redoine Faïd, qui est suspecté d'être à l'origine de ce projet de braquage, est interpellé. Il est condamné par la cour d'assises de Paris à 25 ans de réclusion criminelle en avril 2018.
Evadé deux fois de prison Ce n'est pas la première que Rédoine Faïd est en cavale. Entre 1995 et 1998, il est recherché par la police pour s'être attaqué à une banque de Creil, puis à une société informatique à Evry, il fuit jusqu'en Suisse et en Israël avant d'être finalement interpellé à Paris.
En 2013, il passe de nouveau un mois et demi en cavale après s'être échappé de la prison de Séquedin, dans le nord. Le braqueur s'était là aussi évadé de façon spectaculaire. Il avait pris en otage cinq employés et avait détruit les portes de la prison à l'aide d'explosifs.



QUELQUES LIEUX INSOLITES À VOIR AU ROYAUME-UNI

Le Royaume-Uni bénéficie d’un riche héritage et compte à lui seul 29 sites classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Les trésors dont il regorge sont exceptionnels et d’une variété étonnante. Hormis ces sites, bien d’autres lieux abondent de paysages ou d’endroits surprenants.

  • Le Lynton and Lynmouth Cliff Railway



Le sud de l’Angleterre et plus précisément le comté du Devon, est marqué par la présence de paysage aux nombreuses collines, dont celui qui relie les deux villages pittoresques de Lynton et Lynmouth d’une bien originale façon.


En effet, un funiculaire datant du 19ème siècle, caractéristique faisant tout son charme, aux véhicules circulant sur des rails en pente ont été construits afin de faciliter le lien entre les deux villages, la colline où se trouvant l’un d’eux étant très escarpée.
Sa spécificité est d’être déplacée grâce à la poussée de l’eau provenant de la rivière West Lyn au moyen d’un mécanisme de contrepoids entre les deux wagons.
On peut y  contempler le magnifique paysage offert par le parc national d’Exmoor, situé en contrebas. Envie de tenter l’ascension?  Le Devon et ses splendides paysages vous tendent les bras avec notre séjour. 

  • Les piscines des fées de l’île de Skye



L’île la plus vaste de l’archipel des Hébrides, dénommée « l’île des brumes » en gaélique écossais et serait la demeure de Scáthach, une puissante et redoutable magicienne de la mythologie celtique irlandaise, abrite des merveilles de la nature : les « fairy pools », les « piscines des fées» que certains préfèrent appeler « les bains enchantés ».
L’île est composée de nombreuses piscines naturelles, lacs et cascades plus irréels les uns que les autres. En effet, le panorama offert est riche en couleurs vives et en eaux cristallines, contrastant avec les montagnes qui font face à l’océan.
Ces étendues d’eaux ont naturellement été creusées dans les roches grâce à l’érosion et sont souvent enlacées par une brume opaque et mystérieuse. Couplée à la végétation souvent rase comme la mousse qui recouvre les environs, elles confèrent à ce lieu une aura quasi mystique et féérique.

  • La grotte de Fingal sur l’île de Staffa



En Ecosse, ce magnifique antre se présente sous forme de colonnes de basalte : de la lave qui a rapidement été refroidie par l’air et par l’eau. Cette gigantesque caverne aurait été formée, selon les scientifiques, par une explosion souterraine de plus de 60 millions d’années !
Elle renferme de nombreuses cavités dans laquelle la mer s’engouffre jusqu’à 69 mètres de profondeur ! Avec ses vas-et-viens et ses claquements sur les rochers émettant des échos, on peut entendre une jolie sonorité qui lui vaut le surnom de « caverne musicale ».
Le lieu a même inspiré plusieurs artistes célèbres  : Jules Verne, qui y trouva le visuel parfait pour la scène finale de son œuvre « Le Rayon Vert » ; ainsi que Felix Mendelssohn, célèbre compositeur Allemand à qui l’on doit « Le Songe d’une nuit d’été ». Il fut tant enthousiasmé lors de la découverte du lieu qu’il l’exprima en composant « Les Hébrides ».
pourquoi cette grotte est classée au patrimoine national de l’Ecosse…

  • La chaussée des géants



Le long de la côte su comté d'Antrim, se trouve le « Giant’s Causeway », une formation volcanique étendue épousant la mer.
La particularité de cet endroit est son architecture naturelle : des colonnes, plus de 40 000, sont disposées côte à côte et forment des marches qui donnent l’illusion de disparaître dans la mer. Cet insolite spectacle est dû à une coulée de lave datant de 40 millions d’années façonnée par les vas et viens de l’océan.
Une légende accompagne ce lieu atypique afin d’expliquer aux petits irlandais sa création. Elle raconte que deux géants, l’un irlandais et l’autre écossais, voulaient se confronter. Mais ils ne pouvaient se rencontrer car la mer les séparait. Finn MacCool, le géant irlandais, fit donc construire cette chaussée afin de relier les deux pays.
Benandonner, le géant écossais la traversa donc. S’apercevant que ce dernier était plus grand et fort que son mari, la femme de Finn déguisa ce dernier en bébé. Benandonner prit peur, se disant que si l’enfant était d’une telle taille, son père devrait être monstrueux. Il s’enfuit alors et détruisit derrière lui la chaussée. 

  • Le speaker’s corner de Hyde Park



A Londres, au nord-est du Hyde Park, où se trouve un lieu d’expression public, créé en 1872 par le Parks Regulation Act, le speaker’s corner avait pour but de permettre à tout citoyen d’exposer et de débattre sur n’importe quel sujet avec la foule chaque dimanche. Il y en a plusieurs dans tous les parcs de Londres, mais celui de Hyde Park est le plus célèbre, et pour cause : à la fin du XIXème siècle, il fut choisi comme point de rassemblement par un mouvement ouvrier afin de manifester pour obtenir le suffrage universel masculin.
Cette véritable tribune ouverte qui permet à chacun d’exposer son point de vue a accueilli des personnages connus en son sein. Karl Marx, Lenin (en exil) ou encore George Orwell y ont ainsi réalisé leurs discours.
Aujourd’hui,on peut encore assister à des débats de toute sorte et il y en a pour tous les goûts : un professeur d’économie expliquant le mécanisme de la bourse, un homme exposant sa théorie sur la société de consommation, un autre parlant de son expérience pour se libérer de certaines addictions ou encore un médecin à la retraite expliquant l’anatomie.
Si l’idée de vous exprimer devant votre oratoire vous tente, vous pourrez vous y essayer au prestigieux King’s College prendre des cours de langue dans la capitale ou bien tenter l’expérience en famille.
Il est impressionnant de voir toutes ces personnes s’exprimer avec l’aisance de véritables orateurs.