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Voici les 28 voitures qu'on a hâte de voir au Mondial de l'auto 2018

Les Ferrari Monza SP1 et SP2. Ferrari

Le Mondial de l'Auto de Paris est l'un des salons de l'automobile les plus importants de l'année.
Malheureusement, un grand nombre de marques font l'impasse sur le salon, notamment Ford, Fiat-Chrysler, Volkswagen, Nissan, Mazda et Volvo.
Toutefois, BMW, Mercedes-Benz, Renault, Citroën et Peugeot auront une présence importante sur le salon.
Le Mondial de l'Auto 2018 sera ouvert au public du 4 au 14 octobre à Paris Expo, Porte de Versailles.
Le Mondial de l’Auto de Paris est traditionnellement l'un des salons les plus prestigieux et les plus importants du calendrier.
Le Mondial de l'Auto, qui se tient tous les deux ans, présente les concepts les plus récents et les plus exotiques des principaux constructeurs automobiles du monde. Bien que les concept cars soient traditionnellement les vedettes du salon, de nombreuses voitures stars pourraient bientôt être proposées chez un concessionnaire près de chez vous.
Les géants français Renault et PSA (Peugeot, Citroën et DS) sont les têtes d'affiche de ce rendez-vous.
Plusieurs marques internationales devraient également animer le salon cette année, notamment BMW et Mercedes-Benz. Tous deux devraient présenter de nouveaux modèles qui arriveront prochainement sur le marché.
Malheureusement, la plus grande info de cette édition est la liste importante des marques automobiles qui vont faire l'impasse sur Paris.
Citons notamment Ford, Fiat, Chrysler, Aston Martin, Bentley, Alfa Romeo, Lamborghini, Jeep, Rolls-Royce, McLaren, Volkswagen, Opel, Nissan, Mazda, Mitsubishi et Volvo.
Avec la croissance des salons automobiles non traditionnels comme le CES, Pebble Beach et Goodwood, les constructeurs automobiles ont trouvé de nouveaux moyens de dépenser leurs budgets publicitaires.
Le Mondial de l'Automobile 2018 ouvre au public du 4 au 14 octobre à Paris Expo, Porte de Versailles.

Comme le salon est situé en France, les marques locales sortent le grand jeu. Cette année, Renault dévoile plusieurs concepts spéciaux ainsi qu'une mise à jour de son crossover compact Kadjar.

Renault

Peugeot va présenter son break design 508 SW aux côtés du...

Peugeot

...concept car E Legend.

Peugeot

Sera également dévoilé à Paris en première mondiale le concept hybride Citroën C5 Aircross.

Citroën


DS Automobiles mettra en avant le DS 3 Crossback,...

DS

...le DS 7 Crossback, et...

DS
...le concept X E-Tense.

DS

Les Allemands seront également là en force. Les Mercedes-AMG A35...

Mercedes-Benz

...Mercedes-Benz GLE, et...

Mercedes-Benz


...une version relookée de la Mercedes-AMG GT seront présentées pour la première fois à Paris.

Mercedes-Benz


Le concept EQ Silver Arrox et...

Mercedes-Benz

...un SUV électrique EQC seront également présentés en avant-première.
Mercedes-Benz

Le nouveau Audi SQ2...

Audi

...une nouvelle version de la A4 seront également là en première mondiale.

Le nouveau Audi Q3 et...

Audi

...le SUV E-Tron seront également présents.

Audi e-tron. Audi

BMW va dévoiler une nouvelle génération de Series 3.

BMW

Le constructeur bavarois dévoilera également son nouveau SUV X5,...

BMW

...sa sportive Z4, et...

BMW

....sa berline M5.

BMW


Porsche devrait montrer la nouvelle version de son SUV Macan.

Porsche

Ferrari va exposer ses supercars au style rétro Monza SP1 et...

Ferrari

...Monza SP2.

Ferrari

Même si Aston Martin ne sera pas présent en nom propre, un revendeur français devrait montrer la nouvelle Superleggera DBS pendant le salon.

Aston Martin

Inifiniti va dévoiler son prototype Project Black S, propulsé par un moteur hybride inspiré de la Formule 1.

Infiniti

La Lexus ES fera sa première apparition en Europe.


Et Skoda, filiale du groupe Volkswagen, dévoilera la Vision RS.

Skoda


Hyundai montrera sa i30 Fastback N à haute performance pour la première fois.
Hyundai

Des milliers de cadavres découverts à Moscou grâce à une photo de l'aviation nazie


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Près de 7.000 personnes ont été assassinées dans

la forêtde Kommunarka. Une photo de l'aviation

 nazie a permisde trouver l'emplacement des 

cadavres, les arbresplantés pour recouvrir
 le terrain étant plus petits



Le régime stalinien avait creusé des fosses communes sous une forêt pour y cacher les corps de ses «ennemis politiques». Une occasion pour l'ONG Memorial de rappeler que l'identification des lieux et des victimes de la barbarie soviétique est loin d'être finie.
«Avant, ici, les gens venaient y cueillir des champignons», explique Roman Romanov, le directeur du musée de l'histoire du goulag à Moscou. Une équipe d'historiens et d'archéologues ont identifié le lieu d'inhumation de milliers d'individus exécutés à Moscou pendant les répressions staliniennes des années 1930.



Selon les spécialistes, 6.609 personnes ont été exécutées et inhumées dans ces fosses communes de Kommunarka entre 1937 et 1941. L'existence d'un tel charnier était connue depuis l'ouverture temporaire des archives du KGB, dans les derniers jours de l'URSS, mais il n'y avait pas d'informations précises sur l'emplacement des corps. Kommunarka est une zone forestière fermée ayant appartenu un temps à Guenrikh Iagoda, le patron du NKVD, le commissariat du peuple aux Affaires intérieures. Un chef qui a fini par être exécuté en 1938 et, ironie de l'histoire, repose certainement dans ces fosses criminelles. Sur ses terres.
C'est une photo aérienne prise par un pilote de la luftwaffe survolant la zone en 1942, quand les tombes étaient encore récentes, qui s'est révélée déterminante dans le succès des fouilles. En examinant la taille des arbres visibles sur la photo, l‘équipe de chercheurs est arrivée à la conclusion que certains d'entre eux avaient été plantés sur l'emplacement des corps, une tactique souvent utilisée par le NKVD pour cacher ses crimes.
La forêt qui cache les cadavres
La prochaine étape de l'enquête est d'identifier les victimes. «Dans une petite fosse, il peut y avoir trente personnes, dans une autre, 100 personnes. Nous voulons savoir où est enterrée chaque personne», affirme Roman Romanov. «Pratiquement tout le gouvernement mongol est ici», explique Ian Ratchinski, un membre de longue date de l'ONG Memorial, la principale organisation russe qui étudie les crimes staliniens. À l'époque, la Mongolie, qui était un satellite de l'URSS, a également subi la répression aveugle de Staline.
Lors des Procès de Moscou, entre 1936 et 1938, environ 30.000 personnes auraient été exécutées. «Et on pense que les personnes pour qui le lieu d'exécution n'est pas précisé se trouvent à Kommunarka», continue-t-il.

Pendant la Perestroïka, à la fin des années 1980, le KGB avait accepté temporairement d'envoyer des informations sur ces crimes aux journalistes et à l'ONG Memorial. Mais «les services secrets ont soudainement arrêté de nous envoyer des documents», déplore Ian Ratchinski, qui accuse les autorités de ne pas s'intéresser aux crimes staliniens.
«L'État a été responsable de ce qu'il s'est passé ici», affirme pour sa part l'historien Sergueï Bondarenko, dont l'arrière-grand-père a été fusillé à Kommunarka. En octobre, un nouveau mémorial s'apprête à être inauguré. Seul un responsable de «rang moyen» devrait être présent. «Je pense que le président Poutine devrait se rendre à l'inauguration car c'est l'une des plus grandes fosses communes de Moscou», avance Bondarenko.
Pour Roman Romanov, à la tête du musée du goulag, le tableau est moins sombre. Il rappelle que Vladimir Poutine s'est rendu l'année dernière au mémorial des victimes de la répression stalinienne. Quoi qu'il en soit, le sujet est très sensible en Russie, où la colère des familles de victimes s'enflamme face à la réhabilitation officieuse parmi la population russe du dictateur.

En Australie, un Boeing frôle dangereusement des buildings durant un festival à Brisbane


Le Boeing a rasé les immeubles de Brisbane avant de remonter dans les airs.
Le Boeing a rasé les immeubles de Brisbane
 avant de remonter dans les airs.


Un avion de la Royal Australian Air Force a volé à basse altitude jeudi 27 septembre lors du festival Sunsuper Riverfire de la ville de Brisbane ( Australie). Lors de ce survol dangereux, le Boeing C-17 a frôlé les immeubles de la ville pour impressionner la foule.



Une fois la figure effectuée, l’avion est remonté dans les airs en tournant – une manœuvre qui a inquiété les habitants de la ville. Certains confient avoir pensé au 11-Septembre tant « l’avion rasait les immeubles et piquait vers le haut pour les éviter in extremis ».


Faut-il condamner ou célébrer Christophe Colomb ?

Ce 12 octobre marque l’arrivée de Christophe Colomb aux Amériques. Ce qu’il pensait être le Nouveau Monde est peuplé par des millions d’habitants. Considéré tantôt comme le responsable du génocide des Amérindiens, il est aussi vu comme l’artisan de l’émergence de nouvelles civilisations.


Christophe Colomb. Au large, la Santa Maria, la Niña et la Pinta © DR
Christophe Colomb. Au large,
 la Santa Maria, la Niña et la Pinta


Vendredi 12 octobre 1492, Christophe Colomb débarque dans l’archipel des Bahamas, après un périple périlleux à travers l’océan Atlantique. Il pense être arrivé au Japon, aux portes de la Chine, le but ultime de son formidable voyage. Le navigateur natif de Gênes, dans la future Italie, travaille pour le compte des rois d’Espagne, Fernando et Isabela.

Il a convaincu le couple de souverains de financer ses découvertes. Son obsession ? Démontrer que la Terre est ronde. Pour cela, il veut prendre la route opposée à celle suivie par Marco Polo, un siècle et demi plus tôt. Lequel a pu rallier la Chine depuis l’Europe par la voie terrestre. Colomb veut y parvenir par la voie maritime.

Nous connaissons la suite. Christophe Colomb n’est jamais arrivé à Cipango, la Chine mythique, mais sur un continent inconnu des Européens de l’ouest. Nous savons aussi qu’avec lui, commence la plus grande colonisation d’un espace, la future Amérique, par des peuples venus d’un autre espace, l’Europe. Une colonisation avec ses corollaires néfastes, le massacre des habitants natifs, la traite négrière, l’esclavage. Et ses résultats : la création de nouvelles civilisations, dont la nôtre.

D’où la question de savoir s’il faut célébrer Colomb ou le condamner. Un débat récurrent depuis des décennies. Sans que nul ne puisse départager ceux qui disent que c’est grâce à lui que nous sommes là de ceux qui le vouent aux gémonies. Colomb étant considéré comme le responsable moral du génocide des Amérindiens, le défendre est insoutenable pour les uns.
Sauf que, répondent les autres, s’il n’était pas arrivé jusqu’ici, d’autres Européens auraient fait comme lui. Le procès qui lui est intenté serait donc injuste. Querelle d’historiens ? Tempête dans un verre d’eau ? Pas si sûr, à notre époque où nous avons tendance à juger le passé et les hommes qui l’incarnent avec des critères d’aujourd’hui.



La mendicité au Maroc

Des mendiants dans tous les coins des rues qui squattent les feux rouges, les portes des mosquées, les magasins, les souks, traînent sur les boulevards, montent dans les transports publics et parfois même frappent aux portes, le phénomène de la mendicité prend de plus en plus de l’ampleur dans la plupart des grandes villes marocaines.






Devenue ces derniers temps, un réel fléau social mais aussi une activité florissante, la mendicité est une véritable profession lucrative qui rapporte aussi bien, voir même plus, qu’un travail.


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Les personnes qui mendient ne sont pas ces indigents qui, en toute humilité, demandent de l’aumône, mais deviennent des réseaux bien organisés, qui n’hésitent pas à malmener tous ceux qui refusent de les secourir.


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Les mendiants, dans la plupart des grandes villes, occupent les chemins, parfois sous le regard de la police, et peuvent même s’unir pour s’attaquer à ceux qui, pour une raison ou une autre, ne peuvent leur faire des aumônes.
Selon les statistiques recueillies de part et d’autres, le Maroc compte près de 200.000 mendiants, 62 pour cent d’entre eux en ont fait un métier à part entière.


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La mendicité au Maroc touche aussi bien les hommes, les femmes, les enfants, les jeunes, les vieillards, les handicapés mais aussi les enfants. Certains infirmes exposent à la vue des passants leur douleur, d’autres demandent de l’argent pour pouvoir acheter des médicaments. Bien souvent, se sont des femmes que l’on retrouve accompagnées de leurs enfants en bas âge.
Certes, nombreux sont les gens qui ont fait fortune rien qu’avec la mendicité. Mais malheureusement, la plupart des mendiants, surtout les enfants, sont exploités par les mafias de la mendicité.


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Ce phénomène gagne aussi de l’ampleur chez les ressortissants subsahariens et les syriens qui se trouvent sur le sol marocain. Pour survivre, ils s’adonnent, à leurs risques et périls, à la mendicité sur les principaux boulevards des grandes villes marocaines, notamment Casablanca, Rabat, Tanger, Fès et Meknès.
Si l’État a pu prendre quelques mesures pour lutter contre la mendicité en sensibilisant les gens, les réformes engagées depuis quelques années ne sont pas suffisantes et restent inefficaces pour lutter contre ce phénomène désolant.
Une chose est sûre c’est que le chômage et le manque d’aides sociales pour les femmes veuves ou divorcées ont entraîné une pauvreté importante au Maroc et augmenté le nombre de personnes en situation précaire.
Dans de telles conditions, la mendicité draine un grand nombre d’individus en quêtes de gains faciles même si cette activité illégale est punie par la loi marocaine (une peine d’emprisonnement qui peut aller de 1 à 12 mois).
Il est plus qu’impératif pour les autorités marocaines de pendre les mesures adéquates afin de juguler ce phénomène qui nuit à l’image de la société marocaine et à la dignité des citoyens, sape les efforts de développement notamment dans le secteur touristique et consacre une culture de fainéantise et de l’indolence.



Loi pénalisant le racisme en Tunisie : une première dans le monde arabe « dont peut s’honorer le pays »

Les militants noirs tunisiens se félicitent d’une avancée législative « historique » et appellent à un travail sur « l’inconscient esclavagiste » du pays.




Une nouvelle fois, la Tunisie affiche sa fierté d’être si singulière. Au lendemain de l’adoption, mardi 9 octobre, d’une loi pénalisant le racisme, une première dans le monde arabe, le ministère des affaires étrangères a tweeté que « cette nouvelle réalisation honore la Tunisie ». Déjà pionnière dans l’abolition de l’esclavage – dès 1846, soit deux ans avant la France –, la Tunisie se distingue à nouveau dans la consolidation d’une conception éclairée d’elle-même. Et les commentaires patriotiques s’en réjouissant ont fleuri sur les réseaux sociaux.
« C’est un moment historique, un tournant pour la Tunisie », s’est félicitée Jamila Ksiksi, députée affiliée au parti islamiste Ennahda et principale avocate du projet de loi à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Mme Ksiksi est une des figures de ce combat. Issue elle-même de la minorité des Noirs tunisiens, représentant environ 15 % de la population et descendants d’esclaves pour l’essentiel, elle sait de quoi elle parle, même si elle préfère rester discrète sur les offenses qu’elle a subies. « Oui, j’ai souvent essuyé des propos racistes, comme tous les autres noirs en Tunisie, admet-elle. Cela n’a fait que renforcer ma détermination à lutter. »

Jusqu’à trois ans de prison
A la tribune de l’ARP, mardi, Mme Ksiksi a invité ses pairs à reconnaître enfin la réalité du racisme anti-noirs en Tunisie, longtemps resté tabou dans le débat public. Elle a bien senti les réticences dans les travées. Certains députés ont carrément nié le problème. D’autres se sont inquiétés des risques de divisions au sein de la communauté nationale. Une troisième catégorie, enfin, a pointé un prétendu « agenda étranger » derrière cette loi, notamment l’Union européenne.

Reconnaissance faciale : un humain peut se souvenir de 5.000 visages


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Combien de visages peut-on reconnaître ? En moyenne 5.000, d'après les conclusions d'une nouvelle étude parue dans le journal Proceedings of the Royal Society B. Les chercheurs ont rassemblé 25 participants et leur ont demandé de lister toutes les personnes qu'elles connaissaient dans leur vie privée durant une heure, puis de faire la même chose avec des célébrités durant l'heure suivante. Il suffisait aux participants d'avoir une idée de l'identité de la personne, sans forcément se souvenir de son nom.


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Les chercheurs ont extrapolé ces premiers résultats pour une durée plus longue, allant jusqu'au moment où les participants seraient à court de visages. Ils leur ont également présenté des photos de 3.441 célébrités. Celles qui avaient déjà été citées par les participants lors de la première partie de l'expérience ont été comptées une seule fois. Les chercheurs ont ainsi pu calculer que les participants reconnaissaient entre 1.000 et 10.000 visages, et donc qu'une personne lambda pouvait reconnaître environ 5.000 visages.

Qui a rédigé la constitution des États-Unis ?

Benjamin Franklin est l’un des plus illustres
 rédacteurs et signataires de la constitution 
des États-Unis

La constitution des États-Unis a vu le jour le 17 septembre 1787. Rédigée par 55 personnes, dont certaines sont passées à la postérité, elle est mise en application le 4 mars 1789, ce qui en fait l'une des plus anciennes constitutions du monde à être encore utilisées. Elle est fondée sur la stricte séparation des pouvoirs, législatif, exécutif et judiciaire.

Pères fondateurs des États-Unis

Depuis la date du 4 juillet 1776 et la victoire face au Royaume-Uni, les États-Unis étaient indépendants. En 1781, une première constitution avait été rédigée, mais celle-ci ne donnait pas satisfaction. C'est pourquoi, au mois de mai 1787, une convention fut réunie à Philadelphie. Son but était de doter les États-Unis d'une nouvelle constitution dont les travaux s'entamèrent le 25 mai. Cinquante-cinq représentants des différents états étaient présents pour cet événement historique, le Rhode Island étant le seul à ne pas être représenté. Élu président de cette convention, George Washington deviendra, en 1789, le premier président américain et le premier à mettre en œuvre cette constitution.


La convention des États-Unis approuvée le 17 septembre 1787
Parmi les cinquante-cinq personnalités réunies au sein de la convention, Benjamin Franklin doyen des délégués, George Washington et Alexander Hamilton se sont montrés particulièrement actifs pour aboutir à un consensus. Citons aussi James Madison, cheville ouvrière intellectuelle et politique de cette convention. Finalement, le 17 septembre 1789, la constitution fut approuvée par 39 des 55 membres de la convention. Cette constitution, mise en application le 4 mars 1789, est encore en vigueur de nos jours. Elle définit les limites du pouvoir entre le régime présidentiel, le pouvoir législatif qui repose sur deux chambres d'élus, celle du Sénat et celle de la Chambre des représentants, enfin le pouvoir judiciaire représenté par la Cour suprême.
 
À savoir
Le 15 décembre 1791, dix amendements ont été ajoutés à la constitution des États-Unis. Ils composent le « Bill of Rights », soit la Déclaration des droits et libertés fondamentales.

19 heures sans escale : le vol le plus long du monde a décollé ce jeudi

Singapore Airlines assure ce jeudi le long-courrier le plus long au monde au départ de Singapour et à destination de New York.


L’Airbus A350-900 ULR utilisé par Singapour Airlines pour relier Singapour à New York sans escale. © Airbus, H. Goussé, Master Films



La compagnie aérienne Singapour Airlines inaugure ce jeudi le vol le plus long au monde reliant les 16.667 km qui séparent l'aéroport Changi de Singapour à celui de Newark, situé près de la ville de New York. À bord de ce A350-900ULR, version ultralong courrier de l'A350, les passagers voyagent ainsi pendant près de 19 heures sans escale. L'avion a décollé ce jeudi vers 18 heures française. Doté de réservoirs géants pouvant contenir près de 24.000 litres de fuel de plus que l'A350 classique, ce modèle d'Airbus baptisé «Ultra Long Range» peut décoller avec 165.000 litres de kérosène.



Ouragans : comment le changement climatique les rend plus puissants

La Floride a été frappée par Michael, l’ouragan le plus puissant jamais observé dans cet état américain, le 10 octobre 2018. Depuis les années 2000, les cyclones battent régulièrement des records de puissance. C’est le cas d’Irma, en 2017, le cyclone le plus puissant jamais enregistré dans l’Atlantique, ou du typhon Haiyan, considéré comme le plus puissant a jamais avoir touché terre, en 2013.
Les données récoltées depuis les années 1970, c’est-à-dire depuis que l’on utilise les satellites pour observer ces phénomènes climatiques, ne permettent pas de constater qu’il y a plus d’ouragans qu’auparavant. En revanche, les météorologues s’accordent pour dire que le réchauffement climatique intensifie leur puissance. En effet, les cyclones ont besoin d’eau chaude pour grossir. Le réchauffement actuel des océans leur offre donc plus de carburant. Explication en vidéo avec l’aide de François Gourand, météorologue de Météo-France.



Un tunnel secret découvert dans une falaise en Australie




C’est grâce à un drone volant le long d’une falaise de Sydney, en Australie, que ce tunnel a été repéré. Le mystère reste entier.
Un tunnel dans une falaise, datant au moins de la Seconde Guerre mondiale : c’est ce que l’Université Macquarie et le Sydney Harbour Federation Trust viennent de découvrir, à Sydney, en Australie.
Une découverte faite par hasard. Les deux organismes de Sydney s’étaient associés pour un projet d’imagerie 3D, impliquant notamment l’utilisation d’un drone, afin de marquer le 200 ème anniversaire, en novembre, de la construction du phare Macquarie, dans le quartier de Vaucluse. Sur des images réalisée par le drone, au milieu de la falaise en contrebas du phare, on distingue l’entrée rectangulaire du tunnel, rapporte The Sydney Morning Herald. Le toit en béton du tunnel semble s’être effondré.

Le tunnel est situé dans la falaise en contrebas 
du phare Macquarie, qui est encore utilisé 
pour guider les marins. 

De nombreux mystères

Plusieurs questions sur ce tunnel restent pour l’instant sans réponse. À quoi servait-il ? Depuis quand existe-t-il ?
« Nous pensions qu’il s’agissait d’un emplacement abandonné de la Seconde Guerre mondiale, mais nous n’en sommes plus sûrs, a expliqué Michael Rampe, de l’Université Macquarie au Daily Mail Australia. Nous avons été contactés par plusieurs personnes qui ont mentionné l’existence du tunnel avant cette époque. »
Autre mystère qu’il faudra résoudre : le tracé du tunnel. Les universitaires semblent penser qu’il pourrait mener à la maison du gardien de phare, qui a désormais disparu, ou à l’une des propriétés voisines.
En attendant d’en savoir plus, l’Université Macquarie et le Sydney Harbour Federation Trust sont parvenus à reconstituer la falaise en réalité virtuelle, à l’aide des prises de vues réalisées par le drône. Les curieux pourront donc « admirer » la falaise de Vaucluse et le fameux tunnel.

Best of Poutine (Fou rires, Drôle, Blagues ...)


Une entreprise aspire le CO2 et le transforme en caillou


Et si on aspirait le CO2 pour ralentir le réchauffement climatique ? C’est l’idée de l’entreprise suisse Climeworks. Elle a construit, en Suisse, le premier dispositif capable de le faire. Le principe : séparer le CO2 en projetant l’air ambiant sur un filtre puis en le faisant chauffer. L’air exempt de CO2 peut ensuite être rejeté dans l’atmosphère ou revendu pour fertiliser des plantes sous serre, gazéifier des boissons ou fabriquer des agrocarburants.
Mais Climeworks a aussi imaginé en Islande une autre façon de stocker ce CO2. Pour ça, l’entreprise ajoute de l’eau au gaz puis injecte le tout à 700 m sous terre. En réagissant avec le basalte, le mélange se transforme en pierre en moins de deux ans.
Ces installations ont de nombreux avantages. Elles sont modulaires, évolutives et peuvent être situées n’importe où. A cela s’ajoutent un faible encombrement, une consommation d’eau réduite et un bilan carbone faible. L’idée étant bien sûr que ces dispositifs produisent moins de CO2 qu’ils n’en éliminent.
Avec ces deux usines, l’entreprise a pour objectif de capter 1 % des émissions mondiales d’ici à 2025.



Tchernobyl transformé en centrale solaire 30 ans après la catastrophe nucléaire

Une centrale solaire a ouvert ses portes vendredi dernier à Tchernobyl, en Ukraine, où un réacteur nucléaire explosait il y a 30 ans, provoquant une catastrophe sans précédent. En montant le projet Solar Chernobyl, les entreprises ukrainienne et allemande Rodina et Enerparc AG ont pris l'initiative de revaloriser le site contaminé et déserté grâce à une installation de 3.800 panneaux solaires capable d'alimenter en électricité 2.000 logements.





La centrale solaire aura coûté 1,2 million d'euros, un investissement qui s'inscrit dans une démarche de transition énergétique mais aussi de responsabilité sociale : le projet met effectivement un point d'honneur à exploiter des énergies renouvelables là où la production d'électricité a autrefois détruit la nature et la vie de la population.  



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Des insectes pour disséminer des virus : une arme incontrôlable ?

D'après dans la revue « Science », une équipe de chercheurs européens s’inquiète d’un programme de défense américain qui utiliserait des insectes pour injecter des virus dans certaines cultures, afin de les modifier.




Les insectes pourraient-ils bientôt être utilisés comme arme biologique ?
C’est la question que se pose une équipe de chercheurs dans un article paru dans la revue Science, jeudi 4 octobre. Composé de juristes (université de Fribourg) et de scientifiques (Max-Planck Institute de Plön et université de Montpellier), ce groupe de recherche a étudié un projet américain nommé « Insect Allies ».
Ce programme, financé à hauteur de 27 millions de dollars par l’agence pour les projets de recherche avancée de défense (Darpa) du département de la défense des Etats-Unis, prévoit d’utiliser des insectes pour modifier génétiquement des plantes.
Il a attiré l’attention des chercheurs par l’utilisation de nouveaux agents : les Horizontal Environmental Genetic Alteration Agents (HEGAAs). Il s’agit de virus qui ont été génétiquement modifiés pour les rendre capables de transformer les chromosomes d’une espèce cible, animale ou végétale. Ces agents vont permettre d’altérer l’ADN de certaines plantes directement dans leur environnement. Ils pourraient donc rendre une plante résistante à un certain pathogène en cours de saison.

Modifications à l’insu des agriculteurs
« Cette technique est une nouveauté, explique Christophe Boëte, coauteur de l’article et chercheur à l’Institut des sciences de l’évolution de Montpellier. Pour l’instant, les plantes OGM portent les modifications génétiques voulues avant d’être plantées. Les agriculteurs, les producteurs choisissent donc les plantes modifiées en amont des semis. » Avec les HEGAAs, la possibilité de modifier des plantes par des interventions extérieures, à l’insu des agriculteurs, est bien plus grande selon les chercheurs.
Dans le cas d’utilisation en agriculture le programme Insect Allies pourrait être utilisé par exemple dans un champ de maïs atteint d’une maladie. En ayant recours aux HEGAAs, il serait possible de modifier la plante pour qu’elle résiste à cette maladie.

Arabie Saoudite : comment Mohammed Ben Salman a pris le pouvoir

En quelques mois, Mohammed Ben Salman a rouvert les cinémas en Arabie Saoudite, autorisé de nouveaux les concerts dans les lieux publics et permis aux femmes de conduire. Celui que l’on surnomme « MBS » n’a que 32 ans mais il est déjà connu et apprécié hors des frontières saoudiennes. Et c’est lui qui occupera le trône après la mort de son père, le roi Salman. Pourtant, en 2015, il ne figurait même pas dans l’ordre de succession au trône. Comment est-il arrivé là ? Réponse en trois étapes.


Paysages irréalistes

  • Socotra, l'île extraterrestre
Entre l'Éthiopie et le Yémen, l'archipel de Socotra est l'alternative idéale à un voyage sur Mars ! Resté vierge pendant 6 millions d'années, il abrite un patrimoine biologique intact et unique au monde. Classées " réserve de biosphère " depuis 2003, les îles - 4 au total - regorgent de végétaux vieux de plus de 20 millions d'années. Plus de 30% de la flore de l'archipel est d'ailleurs endémique et très surprenante ! 
  • Le désert d'Atacama, Mars sur la Terre
Niché entre la fosse océanique d'Atacama et la Cordillière des Andes, le désert d'Atacama, au Chili, est extrêmement aride. À tel point que de nombreux observatoires astronomiques internationaux s'y sont installés : c'est ici, notamment, que la NASA a tester ses petits véhicules avant de les envoyer explorer Mars ! La terre craquelée par la chaleur, les étendues rocheuses et le sable rouge donnent à ce désert des allures martiennes incomparables ! 
  • Skaftafell, ce paradis blanc
Après le chaud, place au froid... au très froid ! Le parc national de Skaftafell est l'un des sites les plus spectaculaires d'Islande. Sur plus de 4 800 km2, des calottes glaciaires se succèdent, parmi elles, le Vatnajökull, la plus grande du monde. Pourtant, ce paysage n'est pas totalement immaculé ! On y trouve des forêts de bouleaux et des orgues basaltiques impressionnantes qui colorent les environs. Vous rêviez d'un autre monde ? Direction l'Islande !
  • Dallol, une étrange beauté
Au nord-est de l'Ethiopie, se trouve Dallol, un volcan hydrothermal unique au monde. Aussi somptueux que dangereux, Dallol, ses émanations de soufre et ses geysers lunatiques rejettent la présence humaine à ses alentours. Ce dôme boursouflé recouvert d'une couche de sel de 2 000 m d'épaisseur semble bel et bien provenir d'un autre monde... Des scientifiques soutiennent pourtant qu'il serait à l'image de notre planète, il y a 3,5 milliards d'années ! 
  • Grand Prismatic Spring, un bassin extraterrestre
Situé dans le parc de Yellowstone aux États-Unis, Grand Prismatic Spring est un bassin d'eau chaude, brûlante même puisque la température peut atteindre 70° ! Sur plus de 100 m de diamètre, il émerveille les visiteurs par ses couleurs splendides, dues à la présence de bactéries pigmentées sur les bords de l'eau. Il s'agit de la plus grande source d'eau chaude des États-Unis et la troisième au monde. Un petit bain ? 
  • Parc national de Huanglong, la vallée du dragon jaune
À l'extrême Nord du Sichuan se dresse une réserve naturelle d'exception : Huanglong. Perdu à plus de 3 000 m d'altitude, ces splendides bassins d'eau turquoise descendent le long du calcaire jaune pour offrir une atmosphère apaisante et quasi lunaire au lieu. Une fois arrivé au sommet de la vallée de Huanglong, vous découvrirez le plus somptueux des bassins : l'oeil du dragon. L'eau passe du bleu turquoise au vert émeraude en cinq teintes différentes... C'est magique !
  • La grotte luisante de Waitomo
Imaginez-vous, une grotte scintillante de lumières, totalement enfouie sous-terre ? Impossible ? Non, sous l'île du Nord en Nouvelle-Zélande se trouve la grotte de Waitomo ! C'est l'attraction principale de la région. Ici, pas besoin de lampe torche puisque, comme des étoiles dans le ciel, des colonies de vers luisants ont pris possession des lieux pour le rendre totalement fantastique ! Les grottes se visitent à pied, en bateau ou en rafting : l'expérience est inoubliable.
  • Retba, le lac rose
Les amateurs du Paris-Dakar le reconnaîtront puisque c'est ici qu'avait lieu l'arrivée de la mythique course: le lac Retba est l'un des sites les plus visités du Sénégal. Ce lagon de 3 km2, à 35 km de Dakar, doit sa somptueuse couleur à un micro organisme présent dans l'eau sous forme de pigment rouge. Extrêmement salé, ce lac fait le bonheur des visiteurs qui flottent sans problèmes durant leur baignade ! Il s'agit d'ailleurs de la plus grande ressource de sel du pays. 
  • Le rio aux mille couleurs
À 35 km au sud d'Aracena, en Andalousie, les mines de Riotinto (ou rivière colorée) doivent leur nom au fleuve qui les traverse, de couleur rouge orangé. C'est en passant par cette zone minière que l'eau prend cette couleur sang remarquable puisqu'elle y absorbe les minéraux chargés en pyrite. Ce site de science-fiction se visite à bord d'un véritable train minier du XIXe siècle, sans doute pour nous convaincre que nous sommes bien sur Terre... et pas sur Mars ! 
  • Le salar d'Uyuni, du sel à l'infini
Situé sur les hauts plateaux du Sud-Ouest de la Bolivie, à 3 668 m d'altitude, le salar d'Uyuni est le plus grand désert de sel du monde. Il faisait autrefois partie d'un lac préhistorique gigantesque avant de devenir cette étendue salée de 12500km2, soit l'équivalent de deux département français. L'immensité du décor est fascinante et il est même possible de dormir dans un hôtel... en sel lui-aussi ! 

En Suède, une fillette de 8 ans découvre une épée vieille de 1.500 ans.


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Une fillette de huit ans s’amusait à lancer des roches dans un lac de Suède lorsqu’elle a aperçu quelque chose de particulier dans l’eau. Il s’est avéré qu’il s’agissait d’une épée vieille d’environ 1500 ans, datant d’une ère avant celle des Vikings.

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«J’ai l’ai levée dans les airs et j’ai dit "Papa, j’ai trouvé une épée!". Quand il a vu que c’était courbé et rouillé, il est venu en courant et me l’a prise», a raconté Saga Vanecek à un média suédois.
L’objet fait près d’un mètre de long.


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La petite est maintenant surnommée «la reine de Suède» dans ce pays scandinave, dressant un parallèle entre son histoire et celle du roi Arthur.


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Le lac Vidöstern, où la découverte a été faite, est situé au sud du pays. Des archéologues y effectuent des recherches dans l’espoir de trouver d’autres artéfacts.

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Le lac Vidöstern

Finale internationale 2018 : la Burkinabée Geneviève Zabré convainc avec les vertus médicinales de l’acacia

La doctorante, la Burkinabée Geneviève Zabré,  a remporté la finale internationale du concours  en démontrant comment réduire dans l’atmosphère les rejets de méthane produits par la digestion des ovins.


Geneviève Zabré à Ouagadougou fin septembre 2018.

« Je voudrais vous parler du mouton, non pas de sa bonne viande, ni de son impact économique, mais de son interférence avec le réchauffement climatique ! » Geneviève Zabré, grand sourire, entre sur scène. Son attaque a de quoi surprendre. Nous sommes à la finale internationale du concours de vulgarisation scientifique « Ma thèse en 180 secondes », coorganisé par l’Agence universitaire de la Francophonie, qui se déroulait le 27 septembre à l’université de Lausanne, en Suisse.

Le décompte vient de commencer, la chercheuse burkinabée a trois minutes pour convaincre« Dans la panse du mouton, comme chez tous les ruminants, sont logées des bactéries méthanogènes à l’origine d’un gaz qui se libère dans l’atmosphère lorsque le mouton rote. Une véritable bombe à retardement pour notre planète. Alors peut-on empêcher le mouton de roter ? Pas évident ! Une solution existe : éliminer ces bactéries en utilisant nos plantes médicinales », explique la Ouagalaise, déclenchant le rire dans l’assemblée composée de scientifiques et d’universitaires. Le chrono file, quelques « longues minutes » plus tard, applaudissements du public et soupir de soulagement.
La jeune docteur Geneviève Zabré a remporté le premier prix face à 18 concurrents de différentes nationalités. « C’est une fierté de représenter mon pays et de faire connaître ma recherche au grand public, c’est la récompense de nombreuses heures de travail », confie la docteure de 31 ans, tout juste rentrée de son voyage en Suisse, à son domicile du quartier de Wayalghin à Ouagadougou. « J’étais assez stressée, ce n’était pas facile de gérer le temps, le stress et le public, mais je voulais rester moi-même, être naturelle dans ma présentation », avoue la jeune femme, qui a écrit son texte « toute seule à la maison » et l’a répété devant ses proches.




Prouver les vertus de la pharmacopée traditionnelle africaine, l’idée lui est venue au cours de ses études à l’université de Ouagadougou, où elle a obtenu une licence en chimie-biologie et un master en protection et amélioration des plantes. « Les éleveurs burkinabés soignent leurs animaux grâce aux végétaux. J’ai voulu tester les qualités de l’acacia nilotica etraddiana, appelés gomme du Sahel, très abondants dans la zone de Dori, dans le nord du pays », précise-t-elle.
L’étudiante s’intéresse également au changement climatique et aux méthodes de réduction des gaz à effet de serre. « Le méthane représente environ 15 % du réchauffement, les ruminants à eux seuls en émettent 3 % », pointe-t-elle. Un jour, un de ses professeurs lui propose de réaliser sa thèse avec le soutien de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et l’Institut de recherche pour le développement (IRD), dans le cadre d’un programme tripartite France-Afrique-Brésil sur la lutte contre la désertification en Afrique. « J’ai sauté sur l’occasion et j’ai foncé », se souvient-elle. Elle se met au travail
Le temps des casseroles
Dur
ant quatre ans, la thésarde ne compte pas ses heures entre études de terrain dans le nord et les analyses au laboratoire de physiologie animale de la capitale. En juin, la jeune femme décroche sa thèse, intitulée « Utilisation des plantes médicinales dans la lutte contre le méthane émis par les ruminants : cas des ovins ». Elle y démontre le rôle de l’acacia pour lutter contre la pollution des élevages d’ovins. Pour éliminer les bactéries méthanogènes, qu’elle surnomme « petites bêtes », produisant le méthane dans le tube digestif des moutons, « c’est très simple, il suffit de récolter quelques feuilles d’arbres et de les ajouter à l’alimentation des animaux. Ces plantes médicinales contiennent des métabolismes secondaires, des petites machines chimiques, qui suppriment les bactéries », résume Geneviève Zabré. « Le problème de l’émission de méthane va devenir crucial, analyse-t-elle. D’autant plus qu’il y a beaucoup de ruminants en Afrique et que le réchauffement climatique va amoindrir la qualité du fourrage destiné à nourrir les animaux. »
Etre une femme et se lancer dans la recherche scientifique au Burkina Faso est un chemin semé d’embûches, reconnaît Geneviève Zabré. « Ici le monde de la science est assez masculin. C’est très difficile pour une femme doctorante de concilier vies conjugale et professionnelle. Les remarques ne manquent pas, les hommes te disent : “A cette heure tu devrais être à la maison”. Je leur réponds : “Il y a une heure pour les casseroles et une heure pour les études !” » Bien que la jeune femme ait été récompensée du prix de la meilleure recherche féminine au Burkina, il lui est difficile de trouver les financements pour son travail : « Je n’ai jamais pu avoir de bourse, heureusement ma famille était là pour m’aider. Je me débrouillais comme je pouvais. »
Aujourd’hui Geneviève Zabré travaille comme attachée temporaire de recherche à l’université Ouaga 1 « pour compléter ses revenus ». La récompense du concours, 1 500 euros au total, devrait encourager cette « amoureuse de la recherche » à se lancer dans un post-doctorat. Le sujet ? « Suspense ! Mais cela portera toujours sur les plantes médicinales. Vous savez, on ne finira jamais de découvrir leurs vertus », conclut-elle dans un rire plein d’assurance.

Comment Idlib est devenu un enjeu crucial de la guerre en Syrie

      Depuis l’été 2018, au nord-ouest de la Syrie, la ville d’Idlib et sa région sont au cœur de vives négociations pour éviter un massacre. D’un côté, il y a le régime de Bachar Al-Assad. Affaibli, mais soutenu par la Russie et l’Iran, il souhaite mener une offensive pour reprendre ce qu’il considère être « un nid à terroristes ». Pour lui, la ville a aussi une valeur stratégique. Elle est en effet située près de la province côtière de Lattaquié, où se trouve le fief de la dynastie Assad, et est entourée de zones agricoles.





Le lait maternel : un elixir de santé, une sorte de premier vaccin.

De plus en plus délaissé par les mamans du monde entier, le lait maternel n’en finit pourtant pas de nous étonner. Nourrissant et favorisant le système immunitaire des enfants, le plus vieil aliment du monde serait également capable de favoriser le développement musculaire et de traiter des maladies cancéreuses. Le lait maternel est encore loin d’avoir livré tous ses secrets.


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L’industrie alimentaire a poussé le vice jusqu’à promouvoir un produit synthétique au détriment du lait maternel.
Les femmes d’aujourd’hui doivent réapprendre à donner le sein.
Le lait maternel est une sorte de premier vaccin.


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