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Origines de quelques noms de capitales du monde

  • Lima
Avant que les Espagnols ne s’en mêlent, la région de Lima s’appelait Ichma. C’était là que l’on pouvait retrouver un oracle nommé Limaq. Oracle détruit par les Espagnols, qui s’empressèrent de le remplacer par une bonne vieille église. Pourtant, le nom est resté et on estime aujourd’hui que « Limaq » est devenu « Lima » en raison de la prononciation espagnole du mot. Pour autant, avant que Lima ne s’appelle officiellement Lima, son nom était Ciudad de la Reyes, soit « la ville des rois ». Personne n’a trop kiffé et le nom est tombé en désuétude au profit de Lima qui est quand même mieux et surtout plus court.


  • Wellington
La capitale de la Nouvelle-Zélande tient son nom d’Arthur Wellesley, le premier duc de Wellington. Le même qui a remporté la bataille de Waterloo. Une victoire qui valait bien qu’on nomme une ville d’après lui. Pour info, avant, Wellington portait pas moins de trois noms : Te Whanga-nui-a-Tara pour le port, Poneke pour l’actuel Port Nicholson et Te Upoko-o-te-Ika-a-Maui pour la partie méridionale de l’île du Nord.



  • Nairobi
Le nom de la capitale du Kenya provient de phrase Massai « Enkare Nyirobi », qui signifie « l’endroit des eaux fraîches ». On raconte aussi que le nom pourrait venir de l’expression « ewaso nyirobi », pour « eau douce ». Quoi qu’il en soit, ça tourne autour de l’eau.



  • Ottawa
Avant vivait ici le peuple Outaouais (ou Ottawa en anglais) dont le nom veut dire « commerçants ». Un dérivé de « aadwe » qui signifie « échanger » ou « acheter et vendre ». Bref, tout ça a un rapport avec le commerce.



  • Canberra
Un dérivé du mot « Kanbarra » qui en langue ngunnawal, signifie « lieu de rencontre ». Un langage parlé par les Ngabri, qui vivait ici pendant les migrations des peuples aborigènes alors en route pour attraper un maximum de bogongs, de bons gros papillons de nuit qui pullulent dans le coin au printemps.


  • Buenos Aires
À la base, le nom donné à la ville était « Santisima Trinidad y Puerto de Nuestra Señora del Buen Ayre », soit « Très Sainte Trinité et Port de Notre-Dame-du-Bon-Vent ». Mais au bout d’un moment, il fut décidé, très probablement pour éviter de perdre 1 heure à chaque fois, de raccourcir le nom en Bueno Aires, qui signifie donc « Bons Vents ». Cela dit, le nom original fait référence à la Vierge de Cagliari en Sardaigne, qui est bien connue pour apporter sa protection aux navigateurs.



  • Nassau
La capitale des Bahamas tient tout simplement son nom de la Maison d’Orange-Nassau, soit la maison régnante des Pays-Bas. Pourquoi ? Parce que celle qui fut fondée en tant que Charles Town fut entièrement détruite par les Espagnols en 1684 avant d’être reconstruite et donc renommée en l’honneur de Guillaume III d’Orange-Nassau. Rien à voir, mais la ville tint un rôle particulièrement important pendant la Prohibition, en tant que plaque tournante du trafic de whisky.



  • La Paz
Soit « la paix » en espagnol, même si la capitale bolivienne s’appelle en réalité « Nuestra Señora de La Paz » ou « Notre-Dame de la Paix ».



  • Ouagadougou
Il faut remonter au XVème siècle pour retrouver la trace du nom de la capitale du Burkina faso. Un nom hérité des conflits fréquents entre les Nyonyonsés, les fondateurs et un peuple voisin. Les premiers ayant été contraints de demander la protection de l’Empereur mossi Zoungrana qui par extension, exigea une soumission totale. C’est à la suite de cela que la ville fut baptisée Wogdgo, qui signifie « Venez m’honorer ». Puis « Wogdgo » est devenu « Woghodogo » qui, dans sa version occidentale, donne « Ouagadougou ».




  • Pékin
Pékin fait partie de ces villes qui n’ont pas le même nom partout. Ainsi, son autre nom « Beijing », signifie simplement « capitale du nord » en chinois. L’origine du mot « Pékin » étant un peu plus intéressante. Nous devons la francisation « Pékin » à un jésuite français. Un nom par ailleurs adopté par beaucoup de langues occidentales. Pékin étant appelé Peking en allemand ou encore Pequim en portugais. Pékin, ou Beijing qui a porté bien des noms au fil de son histoire. Simplement appelée Ji, la ville a ensuite adopté le nom de Youzhou, avant de devenir Nanjing, puis Yanjing, Zhongdu, Hanbali, Dadu, Beiping, Beijing, Beiping et enfin Beijing.




Comment Robert Kearns, l’inventeur génial des essuie-glaces intermittents, se fit voler son idée


Le monde de l’invention est sans pitié. L’ingénieur américain Robert Kearns (1927-2005), concepteur des essuie-glaces à balayage intermittent, en a fait l’amère expérience. Durant de longues années, il tenta de récupérer son invention, volée par le fabricant d’automobiles Ford. 

Voici son histoire.
L’ingénieur américain Robert Kearns (1927-2005) a intenté plus de 18 procès pour le vol de son invention. Et pas contre n’importe qui : Ford, Porsche, Volkswagen, Ferrari, Alfa Romeo, Mitsubishi, Peugeot, Renault, ou encore Toyota… Tous ces constructeurs automobiles lui ont volé son idée géniale d’essuie-glaces à balayage intermittent.


L’histoire remonte à 1967. Cette année-là, Robert Kearns dépose un brevet qui va révolutionner l’automobile. Avant cela, les essuie-glaces ne disposent que de deux vitesses continues : rapide ou lente. Lui, cela le gêne dans sa vie quotidienne, car il a perdu l’usage d’un œil (un accident qui serait survenu lors de son mariage quelques années auparavant, à cause d’un bouchon de champagne). L’ingénieur a l’idée d’un essuie-glace doté d’une vitesse réglable, et qui s’adapterait au clignement de l’œil.

Il y travaille d’arrache-pied, et élabore le plan suivant, résumé par le média en ligne Korii : « Présenter son invention aux constructeurs automobiles, leur vendre une licence, produire [l’essuie-glace] pour eux. Garder le contrôle, et devenir riche – une telle option, payante, serait nécessairement bientôt vendue avec chaque automobile mise sur le marché. »

La Tbourida officiellement inscrite au patrimoine de l’UNESCO


L’Unesco a intégré, mercredi, « la tbourida » à son patrimoine immatériel, un statut permettant de préserver cette ancienne pratique équestre très populaire au Maroc.


Le Maroc avait officiellement déposé en 2019, auprès de l’Unesco, le dossier de candidature pour inscrire la « tbourida » sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Le dossier a été élaboré par le ministère de la Culture et de la communication (département de la Culture), en partenariat avec la Société royale d’encouragement du cheval (SOREC) et la Fédération royale marocaine des sports équestres.

La « tbourida » constitue, au sein du patrimoine national marocain, une composante majeure des pratiques liées au cheval. Cet art équestre, profondément ancré dans la culture marocaine, est associé aux festivités tant nationales que régionales.


La « tbourida » cristallise aussi de multiples dimensions du patrimoine culturel immatériel, notamment les rituels, aptitudes et savoir-faire relatifs à l’habit traditionnel, à l’artisanat, outre le legs oral indissociable de cette pratique équestre et du cheval.


La rumba congolaise entre au patrimoine culturel immatériel de l'humanité

L’Unesco a annoncé mardi l’admission sur sa liste de cette musique phare des deux Congo.

Le chanteur congolais Papa Wemba, 
surnommé le « roi de la rumba »,

A Kinshasa et Brazzaville, les spécialistes situent les origines de la rumba dans l’ancien royaume Kongo, où l’on pratiquait une danse appelée Nkumba, qui signifie « nombril », parce qu’elle faisait danser homme et femme nombril contre nombril.

Le cannabis reste la drogue la plus consommée en France, selon une étude


Le cannabis demeure la drogue illicite la plus consommée en France par près d'un adulte sur dix, selon le baromètre santé 2020 de Santé publique France dévoilé jeudi 2 décembre par l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).



Les adolescents en sont particulièrement friands. A 17 ans, plus de 40% d'entre eux indiquent en avoir consommé dans l'année, comme en 2016. Chez les 18-24 ans, ils sont près de 26%. Le chiffre diminue avec l'âge et ne concerne plus que 2% environ chez les 55-64 ans.
Le profil des fumeurs dévoile, de plus, une prévalence masculine: 15% des hommes sont concernés, contre 7,5% des femmes.


L'OFDT indique une évolution chez les consommateurs de cannabis depuis 1992 avec d'une part une "augmentation de la part des femmes qui ont déjà consommé du cannabis", et d'autre part "un vieillissement des usagers dans l'année qui sont de plus en plus souvent des trentenaires et quadragénaires".
Plus généralement, près de la moitié des Français (46%) admettent avoir déjà consommé du cannabis au cours de leur vie. Selon l'OFDT, ce chiffre est "stable depuis 2017", après une période de hausse depuis l'an 2000.
Le joint reste la forme de consommation du cannabis la plus répandue, dans 94% des cas. Certains préfèrent le vapoter (2,3%) ou l'ingérer sous forme d'aliment ou d'infusion (2,2%). Le narguilé et le "bang" restent peu répandus (moins de 1%).


Les usagers sont 61% à consommer l'herbe de la plante, tandis que 37% lui préfèrent la résine. Dans 95% des cas, elles ne sont pas prises pures mais mélangées à du tabac.
La France est le pays qui compte le plus de consommateurs de cannabis parmi les pays de l'Union européenne, où la proportion de ceux qui en ont déjà fumé est en moyenne de 27%.

 

Alimentation : peut-on recongeler un aliment décongelé ?

 

« Ne jamais recongeler un produit décongelé » : cette mention est obligatoire sur les produits surgelés. Et pour cause : toute rupture de la chaîne du froid entraîne la prolifération des bactéries résistantes au froid (salmonellestaphylocoque dorélisteria...) qui sont simplement « endormies » par la congélation. Lors de la décongélation, ces dernières vont se développer d'autant plus rapidement que les parois des cellules des aliments ont été endommagées par les cristaux de glace formés par la congélation.

En prenant exemple d'un steak contenant des bactéries qui se reproduisent toutes les 20 minutes, ce steak va contenir au bout de trois heures de décongélation 512 fois plus de bactéries qu'au départ. Au bout de 24 heures, leur nombre aura été multiplié par plus de 4.000 milliards de milliards ! Si vous recongelez le steak, ces bactéries ne seront pas détruites mais vont à nouveau rester tapies et recommencer à proliférer lors de la deuxième décongélation. Or, plus le nombre de bactéries est élevé, plus le risque d'intoxication alimentaire est grand.

Quels aliments peut-on recongeler ?
Un risque d'autant plus élevé que le produit a été décongelé lentement, à température ambiante ou trempé dans l'eau chaude. La consigne « ne pas recongeler » et donc valable pour tous les aliments sensibles, comme la viande, le poisson, les fruits de mer ou les plats cuisinés et en sauce. Les fruits et légumes, le pain ou les gâteaux peuvent en principe être recongelés tels quels, à condition de ne pas dépasser 24 heures d'attente. Cela dit, une succession de cycles congélation/décongélation va de toute façon dénaturer la texture et le goût des produits ; les fruits deviennent par exemple spongieux et le pain va se dessécher.

Une fois décongelée, la viande doit être
cuite pour pouvoir être recongelée.

Comment recongeler ses aliments décongelés ?
Pour ne pas gâcher vos restes de poulet, vous devez obligatoirement les faire cuire avant de les replacer au congélateur.


Attention, la cuisson doit être suffisamment longue pour détruire les bactéries. Des plats préparés (lasagnes, poisson en sauce...) simplement réchauffés au micro-ondes ne doivent pas être recongelés en l'état. Une fois cuits, les aliments doivent être conservés à moins de -18 °C dans un récipient hermétique (boîte ou sachet congélation), et être consommés rapidement après la deuxième décongélation.

Norvège, sur la route des fjords

 

Difficile de ne pas employer de superlatifs lorsqu’il s’agit de parler de la Norvège… On vient même de lui décerner, en mars 2017, le titre de « pays où l’on est le plus heureux au monde » ! Sans doute grâce à sa nature grandiose, généreuse et préservée. C’est ce que Philippe Gougler nous propose de découvrir ce soir en longeant la route des fjords, nés de l’union de la glace et de la mer. Un voyage dans des décors époustouflants.

Une nature grandiose


Tout commence au sommet du Nordfjord, un paysage de carte postale, où Philippe Gougler découvre… des hommes volants ! Ils pratiquent le base jump avec wingsuit, en se jetant d’une falaise à pic, avant de planer dans leurs combinaisons fluo gonflées d’air, jusqu’au moment d’ouvrir leur parachute et de se poser mille mètre en contrebas.


Pour Henrik, « c’est le top de la liberté ! ». Philippe préfère découvrir la Norvège à bord d’un hélicoptère qui le conduit au pied du plus grand glacier d’Europe continentale, le Jostedal. Un spectacle étourdissant : « Regardez tout ce bleu… On a l’impression de pénétrer dans une mer immobile !».

Cette nature puissante, c’est sans doute le secret du bonheur des norvégiens. Ils ont même un mot pour le définir : le Friluftsliv, que l’on pourrait traduire par « la vie au grand air ».


Régulièrement Stine et Hege, deux jeunes femmes d’Oslo, quittent la capitale et leurs familles pour aller se ressourcer : « nous, les norvégiens, nous pensons que la nature est notre bien commun. Donc, on veut y passer beaucoup de temps et en prendre soin ». C’est aussi la philosophie de la famille Bonsaxen, des éleveurs de moutons, que Philippe rencontre dans le Geirangerfjord, surnommé à juste titre le Roi des fjords.

Il faut dire que la vue depuis leur chalet d’altitude est exceptionnelle. « Quand on se lève le matin on pense à la chance qu’on a de vivre ici, dans un tel décor ! » Une nature généreuse


Dans l’archipel des Lofoten, au nord du Cercle Polaire, les paysages sont sans doute parmi les plus beaux du pays : des sommets enneigés qui viennent se refléter et se jeter dans des eaux turquoise ! Un vrai paradis où la nature sait aussi se montrer généreuse ! Pour en prendre la mesure il faut embarquer sur un bateau de pêche entre janvier et avril et remonter les filets remplis de cabillaud !


Une fois séché, il devient morue et assure un très bon niveau de vie à ceux qui en font commerce. Comme Geir, qui, lorsqu’il se balade le long des immenses séchoirs à poisson en plein-air, n’hésite pas à affirmer que « l’odeur qui s’en dégage n’est pas celui du poisson mais celui de l’argent ! ». Et c’est encore la mer qui a permis à la Norvège de passer de pays parmi les plus pauvres d’Europe à pays parmi les plus riches au monde… Un miracle qui s’est produit à la fin des années 60, grâce à la découverte de gisements de pétrole et de gaz en mer du Nord. Pour les employés qui travaillent sur les plateformes pétrolières, se former à se sortir de situations extrêmes est une priorité. C’est pourquoi le pays s’est doté de plusieurs centres d’entrainement à la survie. Au large de Trondheim, le plus grand d’entre eux accueille ce soir un élève un peu particulier : Philippe se plie aux exercices les plus spectaculaires aux côtés des autres stagiaires... Frisson garanti au moment où son canot de sauvetage plonge dans la mer, depuis une rampe à 20 m de hauteur ! Ici, on s’emploie à limiter les risques alors que dans le fjord voisin, à Alesund, on joue avec le feu !


Chaque année, lors de la St Jean le 24 juin, les jeunes de la ville tentent d’établir un record du monde, celui du plus grand feu de joie, en réalisant une tour de plusieurs dizaines de mètres, faite de palettes en bois. Au moment de son embrasement, toute la ville retient son souffle… Une nature préservée En Norvège, même en ville on tient à protéger l’environnement. Comme à Trondheim où le vélo est roi. C’est donc à bicyclette que Philippe sillonne les rues de la 3è ville du pays, accompagné de Sophie, une française installée ici depuis 25 ans.


Elle livre quelques aspects de la personnalité des norvégiens, un peuple qui a vraiment des raisons d’être le plus heureux au monde ! Avant de quitter le pays au volant d’une voiture électrique, comme 20% de la population norvégienne, Philippe jette un dernier regard sur des paysages à couper le souffle : ceux qui bordent la Route de l’Atlantique,


un ruban de 8 km à peine, qui serpente entre fjords et petites îles. Sans doute une des plus belles au monde !...