Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Des morceaux d'une station spatiale pourraient s'écraser en Corse ou sur la Côte d'Azur


Résultat de recherche d'images pour "Une station spatiale chinoise, lancée et mise en orbite en 2011,"

 
Lancée le 30 septembre 2011, Tiangong-1 est la première station spatiale chinoise. En orbite incontrôlé depuis juin 2016, la station Tiangong-1 devrait rentrer dans l'atmosphère courant Mars 2018 …
Suite à des disfonctionnements des services de télémétrie, la station spatiale chinoise de 8500 kilos se trouve hors contrôle et devrait entamer sa descente au alentours de Mars 2018. Il y a une probabilité qu'une petite quantité de débris de Tiangong-1 puisse survivre à la rentrée et toucher le sol. Si des débris devaient survivre à la rentré dans l’atmosphère, ils tomberaient tous dans le même périmètre de quelques centaines de kilomètres.   
 La carte ci-dessous montre les probabilités relatives à l’atterrissage de débris dans une région donnée.  Le jaune indique les emplacements qui ont une probabilité plus élevée tandis que le vert indique les zones de probabilité plus faible. Les zones bleues ont une probabilité nulle puisque Tiangong-1 ne survole pas ces zones.
image
Si de tels débris devaient tomber devant chez vous, il est impératif de ne pas les toucher et de s’en éloigner afin d’éviter d’inhaler les vapeurs, en effet il y a un risque qu’une substance hautement toxique et corrosive nommée hydrazine puissent survivre à la rentré dans l’atmosphère.  

Sarkozy-Kadhafi : Soupçons de financement libyen

Du premier au dernier jour du quinquennat de Nicolas Sarkozy a plané l'ombre de l'homme politique libyen Muammar Kadhafi. Grâce à des images inédites et aux témoignages des acteurs de cette histoire, tant du côté libyen que français, le documentaire revient sur la relation hors norme qui s'est établie entre Kadhafi et l'ancien président de la République, et permet de comprendre ce qui s'est véritablement joué entre le dictateur et l'ex-chef de l'Etat français. Une histoire qui apporte un éclairage nouveau sur la personnalité de l'un et de l'autre, mais aussi sur leur exercice du pouvoir.

La boxeuse saoudienne, Halah Alhamrani, brise les tabous autour du sport féminin


Une boxeuse saoudienne brise les tabous autour du sport féminin

Halah Alhamrani donne de puissants coups de poing à l’abri des regards indiscrets. Entraîneuse de boxe en Arabie saoudite, elle affirme un droit longtemps refusé à de nombreuses femmes dans ce royaume musulman ultra-conservateur : celui de faire du sport.
Cette femme de 41 ans dirige un club de gym pour femmes appelé Flag (Fight Like a Girl) dans la ville occidentale de Jeddah, sur la mer Rouge. Elle contribue à rendre autonome une nouvelle génération n’ayant eu quasiment aucune exposition au sport, dans un pays où l’exercice physique en public est considéré comme indigne pour les femmes.  

<iframe width="500" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/YM87LCi5ACE?rel=0" frameborder="0" allow="autoplay; encrypted-media" allowfullscreen></iframe>

« Dure à cuire »
Halah Alhamrani a eu la chance d’avoir elle-même accès au sport depuis son plus jeune âge : sa mère américaine et son père saoudien l’y ont encouragée, une rareté en Arabie saoudite.


Résultat de recherche d'images pour "Halah Alhamrani"


Résultat de recherche d'images pour "Halah Alhamrani"

Résultat de recherche d'images pour "Halah Alhamrani"


Dans le club de gym qu’elle dirige, certaines femmes retirent leurs abayas (longues robes traditionnelles de couleur noire) et les jettent dans des casiers, avant de revêtir des tenues de sport et des bandeaux dans les cheveux. Les femmes soulèvent des poids et apprennent des techniques de boxe, donnant de puissants coups de poing sur un punching-ball.
Elles sont environ 150, des Saoudiennes et des ressortissantes d’autres pays arabes, à partager dans ce club de sport un même sentiment de camaraderie. Une note griffonnée sur un tableau blanc affirme : « J’ai hâte de revenir ». « DURE A CUIRE », proclame un poster sur un mur. « On se sent parfois comme à un goûter, sans thé ni biscuits », plaisante toutefois Halah Alhamrani.

Le gouvernement cherche à dynamiser le sport féminin
D’importantes réformes sociétales en Arabie saoudite, dont un décret historique autorisant les femmes à conduire à partir de juin, ont braqué les projecteurs sur des personnalités comme Halah Alhamrani, qui ont longtemps lutté seules pour obtenir des libertés fondamentales.
Dans le cadre du plan Vision 2030 annoncé en 2016 par le jeune prince héritier Mohammed ben Salmane, le gouvernement cherche à dynamiser le sport féminin, au risque d’agacer les milieux religieux conservateurs.
En 2016, la princesse Reema bint Bandar a été nommée pour superviser le développement du sport féminin dans le royaume, qui s’oriente vers des cours d’éducation physique obligatoires pour les filles depuis la levée d’une interdiction en 2014. Halah Alhamrani est elle-même impliquée dans l’élaboration du nouveau programme scolaire public.

« Nous ne voulons pas aller contre notre culture »
Certaines considèrent leur présence dans sa séance de gym comme une thérapie, dit-elle. Elle leur offre une telle libération qu’elles en pleurent parfois. « J’étais une mère timide qui ne pouvait pas regarder les gens dans les yeux », dit ainsi une femme au foyer de 36 ans habituée du club. Cette salle « m’a donné une voix que j’avais perdue, elle m’a donné une force dont je ne connaissais pas l’existence ».
Mais Halah Alhamrani précise que certaines femmes abandonnent après avoir commencé à « exprimer une audace », ressentie comme une menace par les hommes de leur famille. « Mon mari est mécontent » est l’une des raisons entendue par la propriétaire du club.
« Le sport, c’est l’émancipation », affirme Lina Almaeena, membre de la Choura (Conseil consultatif) du royaume et directrice de Jeddah United, la première équipe féminine de basket-ball d’Arabie. « Nous ne luttons pas pour des événements sportifs mixtes, sans abaya. Notre but n’est pas d’aller à l’encontre de notre culture. Notre objectif est une participation massive des femmes dans les sports ».

L’Islande, au plus près des volcans

De cônes en cratères, la « terre de glace » dévoile ses paysages sculptés par les éruptions. Un spectacle ébouriffant.

Proche du cercle Arctique, l’Islande surprend avant tout par sa nature sauvage, contrariée au moindre mouvement de l’écorce terrestre. Balafrée par une impressionnante chaîne de volcans en partie couverte de glaciers, cette île conquise par les Vikings au IXe siècle concentre les curiosités géologiques les plus stupéfiantes : massifs volcaniques, glaciers, déserts de lave, forêts pétrifiées, geysers, sources chaudes... Découvrez, au fil de notre itinéraire, les cinq plus beaux sites volcaniques (trois dans le sud de l’île, deux dans le nord) d’une Islande aux mille couleurs.

Kerid, le plus coloré

Né de l’effondrement d’un cône volcanique il y a plus de trois mille ans, le Kerid ne passe pas inaperçu. Ce cratère aux couleurs flamboyantes accueille un grand lac d’un bleu étincelant, qui reflète les roches rouges alentour, la végétation verdoyante et quelques touches de jaune, de noir et de blanc. Une palette unique que l’on ne se lasse pas d’admirer. On peut même s’aventurer à toucher du doigt l’eau du volcan !  


 - (Gary Wing pour Le Parisien Magazine)


Eyjafjöll, le plus célèbre

Une balade sur ce monstre rugissant est un temps fort d’un périple en Islande. Après son réveil en trombe en mars 2010, le massif volcanique Eyjafjöll, dont le panache de cendres paralysa l’espace aérien européen et plongea l’Islande dans la nuit, profite aujourd’hui de sa notoriété pour dévoiler cette union sacrée entre la glace et le feu. Parmi les sites les plus impressionnants, le canyon de Stakkholtsgja et les cascades monumentales de Seljalandsfoss (65 mètres) et de Skogafoss (62 mètres).  


 - (Gary Wing pour Le Parisien Magazine)

Laki, le plus panoramique 
Imaginez plus de cent cratères alignés le long d’une faille de 27 kilomètres. C’est en 4x4 que l’on sillonne ce paysage époustouflant, théâtre de l’éruption de 1783 qui provoqua une catastrophe sans précédent. Après trois heures de piste, les plus téméraires tenteront l’ascension du volcan, pour découvrir un panorama incroyable sur cette enfilade de cônes et ce désert de lave. On se croirait sur une autre planète.


 - (Gary Wing pour Le Parisien Magazine)


Hervfjall, le plus terrifiant
 
Ce labyrinthe de formations volcaniques est né de l’éruption de l’Hervfjall il y a plus de deux mille ans. Colonnes de lave figée et roches déchiquetées forment une effroyable citadelle de pierre qu’une légende nordique considère comme la porte de l’enfer. Des sentiers permettent de sillonner le site et d’atteindre le sommet du cône (250 mètres). De là-haut, la vue sur le lac Myvatn est à couper le souffle.


 - (Gary Wing pour Le Parisien Magazine)

Krafla, le plus vertigineux

Dans le nord de l’île, à proximité du lac Myvatn, ce volcan a projeté ses charbons ardents pendant neuf longues années, de 1975 à 1984. Aujourd’hui, on prend plaisir à gravir ses pentes pour découvrir son superbe lac de cratère et le tableau apocalyptique laissé par une gigantesque coulée de lave. En contrebas, la terre s’agite toujours, notamment sur le site de Hverir, où fumerolles, mares de boue et soufrières sont très spectaculaires.

 - (Gary Wing pour Le Parisien Magazine)

La Britannique Andria Zafirakou gagne le prix de Meilleur enseignant du monde.

La Britannique Andria Zafirakou a remporté le titre de meilleur enseignant du monde.
 La Britannique Andria Zafirakou a remporté
 le titre de meilleur enseignant du monde
Résultat de recherche d'images pour "andria zafirakou"
La Britannique Andria Zafirakou, institutrice dans un quartier difficile de Londres, a remporté ce dimanche à Dubaï le prix de « meilleur enseignant du monde ». Un prix doté d’un million de dollars.
Andria Zafirakou enseigne à l’école communautaire Alperton, dans le nord de Londres, dans un quartier pauvre et multiethnique. Cette prof d’arts et textiles a appris les bases de la plupart des 35 langues parlées dans son école. Elle peut ainsi communiquer avec ses élèves et leurs parents, qui comptent de nombreux réfugiés. L’enseignante a également imposé une refonte du programme scolaire pour le rendre plus proche de la vie de ses élèves.
Ce dimanche, à Dubaï, elle est devenue « meilleur enseignant du monde » et va recevoir 1 million de dollars. « Félicitations à Andria Zafirakou pour avoir remporté le titre de meilleur enseignant du monde, le plus beau métier du monde », a tweeté cheikh Mohammad ben Rached Al-Maktoum, souverain de Dubaï, après avoir remis le prix à la lauréate du Global Teacher Prize.

« Leurs devoirs dans la salle de bains »
« J’ai été surprise, complètement submergée. Je ne comprenais pas que c’était moi [la gagnante] », rapporte le journal The Guardian. Andria Zafirakou a ajouté : les enseignants au Royaume-Uni « travaillent très dur », « ce prix est pour nous tous. »
« En faisant en sorte que les élèves s’ouvrent sur leur vie quotidienne, j’ai découvert que beaucoup d’entre eux venaient de foyers où plusieurs familles s’entassaient dans un seul logement », décrit-elle. « C’est souvent si bruyant et bondé que des élèves m’ont raconté qu’ils devaient faire leurs devoirs dans la salle de bains, juste pour avoir un moment seul et se concentrer. »
Andria Zafirakou figurait parmi 10 finalistes, dont aucun n’était français, sur 30 000 candidats du monde entier qui se sont présentés à ce concours international de la fondation Varkey visant à valoriser le métier d’enseignant.

Un million de dollars
La cérémonie de remise du prix a été marquée par la présence du champion du monde en titre de Formule 1, le Britannique Lewis Hamilton. Celui-ci a apporté le trophée sur le lieu de la cérémonie à bord d’un bolide de sport escorté par la police de Dubaï.
Le concours est organisé pour la quatrième fois par la fondation Varkey, basée à Dubaï. Le prix d’un montant d’un million de dollars est financé par tranches et exige que le gagnant reste enseignant pendant au moins cinq ans.
La fondation a été créée par la famille Varkey, des Indiens installés dans les années 1950 aux Émirats Arabes Unis, alors protectorat britannique. Ils y ont fait fortune en créant des réseaux d’écoles privées, d’abord destinées aux enfants des expatriés occidentaux ou du sous-continent indien venus dans le Golfe après le boom pétrolier.

Le diabète, c’est quoi ?

Le diabète est une maladie compliquée, multi-causale, avec laquelle les malades doivent s’accommoder dans toutes les situations de la vie quotidienne, car elle impacte leur alimentation, l’organisation de leurs activités professionnelles et de loisir…

Pour la société, le diabète représente un coût énorme, en constante évolution du fait de l’augmentation de la population concernée.

Pendant longtemps, le diabète a été considéré comme une maladie des pays riches. On parle maintenant d’épidémie de diabète dans les pays à revenu faible ou moyen. En 2013, on estimait à 382 millions le nombre de malades diabétiques dans le monde. Mais qu’est-ce que le diabète, comment apparaît-il, comment le prévenir, comment le traite-t-on ? 

Que se passe-t-il dans le corps du malade diabétique ?
Lorsque l’on mange, le taux de sucre dans le sang (glycémie) augmente car l’alimentation apporte des glucides qui sont transformés essentiellement en glucose. Le pancréas sécrète alors de l’insuline, une hormone qui va prendre en charge le sucre du sang pour nourrir le cerveau, les muscles, et stocker une partie du sucre en réserve énergétique sous forme de glycogène dans le foie. La glycémie augmente donc puis revient à un taux normal une fois que le pancréas et l’insuline ont fini leur travail. Chez le diabétique, le pancréas ne s’adapte plus aux variations de la glycémie.
 Il existe deux principaux types de diabète:       

Le diabète de type 1:

Il est appelé diabète insulino-dépendant. C’est une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire du malade détruit progressivement les cellules du pancréas qui fabriquent l’insuline. L’organisme ne peut donc plus gérer les variations de la glycémie. Le glucose reste dans le sang, provoquant une soif intense, la production abondante d’urine et un amaigrissement rapide entre autres signes… Il semble y avoir un terrain familial qui favorise le diabète de type 1, mais les causes de la destruction des cellules bêta du pancréas sont encore mal connues. Ce diabète est en général diagnostiqué chez les enfants, les adolescents ou les jeunes adultes.
A l’heure actuelle, le seul traitement du diabète de type 1 est l’apport d’insuline car le pancréas n’en fabrique plus : injection plusieurs fois par jour ou installation d’une pompe qui l’injecte en continu. Le mode de traitement est choisi en fonction de la gravité et de la stabilisation du taux de glycémie.
La consommation excessive de sucres est un facteur aggravant du diabète de type 2.
La consommation excessive de sucres est un facteur aggravant du diabète de type 2.
Le diabète de type 2:
Il touche davantage de personnes après la quarantaine que de personnes jeunes. Deux types de dysfonctionnements permettent d’expliquer le diabète de type 2. 
Le premier, c’est que le pancréas ne fabrique pas assez d’insuline pour répondre à l’augmentation de la glycémie lors de l’ingestion de sucre. Le deuxième, c’est que l‘insuline fabriquée est inefficace. L’organisme devient insulino-résistant : dans un premier temps la production d’insuline augmente pour aider à réguler la glycémie, puis le pancréas s’épuise. Il ne parvient plus à sécréter une quantité suffisante d’insuline et le diabète apparaît.
Il existe un facteur génétique car on constate souvent que plusieurs membres de la même famille présentent le même type de diabète. Les mauvaises habitudes alimentaires et l’absence d’activité physique régulière, amenant à un excès de poids avec un excès de graisse abdominale, sont aussi en cause dans le diabète de type 2. En effet, la sédentarité diminue la sensibilité à l’insuline, en gênant sa diffusion aux tissus musculaires qui ne travaillent pas mais qui en consommeraient beaucoup. 
Le traitement de ce type de diabète se fait d’abord par voie orale si le dérèglement du taux est encore gérable. Lors d’une aggravation, le malade passe au traitement par injection d’insuline lui aussi.
Il est en revanche indispensable que le patient prenne conscience de la qualité de son alimentation pour la modifier, et qu’il se mette à pratiquer une activité physique régulière. Ce sont les seules mesures à pouvoir ralentir l’évolution du taux de diabète…
Le diabétique mesure son taux de glycémie plusieurs fois par jour.
Le diabétique mesure son taux de glycémie
plusieurs fois par jour.

Quelles sont les conséquences du diabète ?

Les conséquences sont multiples et particulièrement graves sur le long terme. Le diabète finit par altérer les conditions de la vie quotidienne et peut amener à des situations d’handicap sérieux.  En effet, le sang en hyperglycémie circule dans tout l’organisme et ce sont donc tous les nerfs et les vaisseaux qui vont être dégradés. Vont ensuite être touchés tous les organes par un véritable empoisonnement!
Quelques exemples de complications :
  • Les maladies circulatoires avec atteinte des coronaires, et artérite (inflammation et fragilisation de la paroi des artères).
  • Le rein nettoie le sang en éliminant certains déchets dans l’urine. Le sang avec une glycémie trop haute va finir par « encrasser » le rein, conduisant à l’insuffisance rénale. Celui-ci se fatigue, le sang contient plus de déchets qu’il ne devrait et la pression artérielle augmente. On retrouve de l’albumine en quantité anormale dans les urines : ce test des urines est primordial pour le diagnostic. A long terme, il est nécessaire de mettre en place une dialyse qui est une épuration mécanique artificielle du sang.
  • Atteinte des yeux et diminution de la vue, car le sang en hyperglycémie abîme aussi les vaisseaux des yeux …
  • Le diabète entraîne aussi des problèmes de neuropathie (atteinte de nerfs, notamment sensitifs) qui vont perturber la sensibilité des patients. C’est ainsi qu’il faut par exemple surveiller de près les pieds des diabétiques, qui peuvent être le siège de lésions de la peau qui auront beaucoup de mal à cicatriser, avec tous les risques d’infection et d’escarres liés.

Quels moyens pour prévenir le diabète ?

En ce qui concerne le diabète de type 1, il n’existe pour l’instant aucun moyen de prévention efficace, vu qu’il s’agit d’une maladie auto-immune. Au mieux, le suivi précoce d’un enfant à risque favorisera une prise en charge adaptée le plus tôt possible. En revanche, il existe plusieurs pistes de recherche actuellement. 
  • L’apport de vitamine B3 a donné de bons résultats sur la protection des cellules Bêta du pancréas qui fabriquent l’insuline. Mais pour l »instant, les résultats sont encourageants sur les animaux mais les tests à grande échelle sur une population humaine ne sont pas significatifs.
  • La vitamine D est aussi une piste, mais sans essai clinique probant.
  •  L’immunothérapie est la piste la plus explorée par les scientifiques car c’est la plus prometteuse. Plusieurs possibilités sont testées : la transfusion de sang prélevé dans le cordon ombilical au moment de la naissance, un vaccin à partir d’antigènes de la personne à traiter, ou une autogreffe de cellules immunitaires qui seraient plus tolérantes et ne détruiraient pas les cellules du pancréas…

La prévention du diabète de type 2 repose quant à elle sur deux piliers essentiels : la diététique et l’activité physique régulière. Il faut diminuer la quantité de sucre et d’acides gras libres apportés à l’organisme… C’est capital pour éviter  un surpoids qui engendre des problèmes circulatoires par compression. Nous avons vu que cela rendait l’organisme de l’individu résistant à l’insuline.
Et la pratique d’une activité physique est essentielle pour favoriser la consommation des sucres ingérées par l’utilisation de l’insuline et éviter que le pancréas se fatigue !  

En conclusion, il faut retenir que le diabète est une pathologie qui se présente sous deux formes, l’une que l’on ne peut malheureusement pas éviter, et l’autre, qui peut être prévenue par un peu de bon-sens et de sagesse dans votre vie quotidienne. Manger sain, équilibré et bougez, marchez, dansez… Votre santé vous dira merci ! 

Vladimir Poutine réélu, sans surprise, pour un 4e mandat



Vladimir Poutine sort de l\'isoloir, le 18 mars 2018, à Moscou (Russie).
    Poutine sort de l'isoloir, 
le 18 mars 2018 à Moscou (Russie)

C'était un scrutin sans surprise. Le président russe Vladimir Poutine a été triomphalement réélu ce dimanche 18 mars pour un quatrième mandat.
Il avait recueilli 75% des voix après dépouillement de la moitié des bulletins, selon la commission électorale.


Photo EPA / Yuri Kadobnov

"J'y vois la confiance et l'espoir de notre peuple, nous allons travailler tout aussi dur, d'une manière tout autant responsable et efficace", a déclaré Vladimir Poutine dimanche soir devant ses partisans réunis à deux pas du Kremlin. 


Le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, à Moscou, le 18 mars.

Un sondage de sortie des urnes effectué par l'institut public VTsIOM après la fermeture des derniers bureaux de vote donnait Vladimir Poutine en tête avec 73,9% des voix. En deuxième position, selon ce même sondage, le candidat du Parti communiste Pavel Groudinine (11,2%) devant l'ultranationaliste Vladimir Jirinovski (6,7%) et la journaliste proche de l'opposition libérale Ksénia Sobtchak (2,5%).
Vladimir Poutine reste donc au Kremlin jusqu'en 2024, année de ses 72 ans et vingt-cinq ans après avoir été désigné dauphin par un Boris Eltsine vieillissant.


Des irrégularités

Le scrutin a été entaché de nombreuses irrégularités, visant surtout à augmenter la participation, selon l'opposition et des ONG. L'ONG Golos, spécialisée dans la surveillance des élections et qui dresse une carte des fraudes sur son site internet, faisait ainsi état vers 16 heures (heure de Paris) de 2.288 cas d'irrégularités tels que du bourrage d'urnes, des cas de votes multiples ou des entraves au travail des observateurs.
Des militants de l'opposition ont, par exemple, fait état d'électeurs amenés en bus dans les bureaux de vote par la police ou de coupons de réduction pour des produits alimentaires distribués aux Russes se rendant aux urnes.
"Ils ont besoin de participation. Le résultat, c'est que la victoire de Poutine avec plus de 70% (des voix) a été décidée d'avance", a déclaré l'opposant lors d'une conférence de presse l'opposant principal au Kremlin Alexeï Navalny. Il avait été écarté de l'élection en raison d'une condamnation judiciaire. "Le seul moyen de mener une lutte politique en Russie, c'est de manifester. Nous allons continuer de le faire", a-t-il prévenu.

En Indonésie, un orang-outan fumeur


Un orang-outan en train de prendre une bouffée de cigarette
au zoo de Bandung, à environ 150 km au sud-est
de la capitale Jakarta, le 4 mars 2018

Il tire sur sa cigarette comme un vrai fumeur: un orang-outan de 22 ans a été filmé en train de prendre une bouffée de cigarette jetée allumée en sa direction par un visiteur dans un zoo en Indonésie.
Les images d'Ozon, nom du singe fumeur au zoo de Bandung, à environ 150 km au sud-est de la capitale Jakarta, se sont répandues comme une traînée de poudre sur internet.
Il est pourtant interdit de jeter du tabac ou des aliments en direction des animaux du zoo, mais ces consignes sont très souvent ignorées par les visiteurs.
Il y a un panneau qui signale l'interdiction aux visiteurs de donner de la nourriture ou des cigarettes aux animaux.
Le parc zoologique est doté de gardiens chargés de surveiller les animaux, mais celui qui est responsable de l'orang-outan s'est sans doute absenté pour aller aux toilettes.

Des défenseurs des animaux ont condamné le geste du visiteur qui a donné une cigarette au singe, observant que l'incident mettant en exergue la piètre gestion des zoos dans l'archipel d'Asie du Sud-Est.
Ce n'est pas la première fois qu'un orang-outan se fait prendre en train de fumer une cigarette en Indonésie, pays où le niveau de protection des animaux est très faible et dont les habitants figurent parmi les plus gros fumeurs au monde.
En 2012, un singe d'un autre zoo était devenu dépendant à la nicotine avant d'être contraint à un sevrage brutal.

La Saint-Patrick est l'une des plus importantes fêtes d'Irlande

Saint Patrick est le saint patron de l'Irlande. Ce missionnaire fut en effet le fondateur du christianisme dans ce pays, au Ve siècle. Cette fête chrétienne est célébrée le 17 mars. La légende veut que saint Patrick ait utilisé le trèfle pour expliquer la Sainte-Trinité. La couleur verte et le trèfle sont donc devenus les symboles de cette fête et les emblèmes du pays.

Le fleuve de Chicago est coloré en vert le jour de la Saint-Patrick. © Mike Boehmer, Wikimedia Commons, by 2.0
 Le fleuve de Chicago est coloré en vert le jour de la Saint-Patric

La Saint-Patrick en Irlande mais aussi à New York, Chicago ou Seattle
Le 17 mars, les Irlandais arborent leur costume de la Saint-Patrick : ils portent un trèfle à la boutonnière ou un vêtement de couleur verte. La Saint-Patrick en Irlande est célébrée durant cinq jours après une parade.
La plus importante célébration est toutefois à New York, où la fête rassemble, sur la Ve Avenue, plusieurs centaines de milliers de personnes lors d'un gigantesque défilé. À l'occasion de la fête de la Saint-Patrick, les Irlandais font partager la culture celtique à travers leurs plats et leurs boissons, dont la bière. À ces soirées, souvent arrosées, est associé un grand nombre de festivités diverses (concerts, spectacles...) qui se déroulent un peu partout.
Pour l'anecdote, sachez aussi que, dans certaines villes, le vert ne se trouve pas seulement sur les vêtements. À Chicago, par exemple, on verse du colorant vert dans la rivière alors qu'à Seattle, ce sont les routes qui sont peintes en vert !