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Les arbres pleureurs

On dit qu'un arbre a un port pleureur quand ses branches retombent, s'inclinent vers le sol. Romantique et mélancolique, l'arbre pleureur fait également la joie des enfants quand son port devient une cabane, un refuge ludique. Il est par ailleurs idéal pour s'assurer un coin d'ombre au jardin.
Vingt et un arbres pleureurs existent.

  • Jujubier :


Le jujubier est un arbre fruitier autrefois très fréquent en région méditerranéenne. Ses fruits savoureux, nommés dattes chinoises ou jujubes, sont riches en vitamines et possèdent en outre des vertus médicinales.
Les feuilles disposées sur deux rangs sont ovales ou en forme de lance, mesurant de 2,5 à 5 cm de long, avec des marges légèrement dentées crénelées.
  • Eleagnus :


Les éléagnus, ou chalefs, sont de petits arbres aux feuilles alternes entières, caduques ou persistantes, portant de petites écailles argentées ou brun rouille caractéristiques, sur les feuilles, les pousses, les boutons et les fruits.
Leurs rameaux à bois dur portent généralement de longues épines. Le feuillage coriace, dense, plus ou moins large, paraît sous différents tons vert-de-gris, argenté, panaché de jaune, etc., qui en font le principal attrait.
  • Hêtre :


On trouve parmi les cultivars diverses tailles (naine pour 'Mercedes'), et diverses formes (colonnaire avec 'Dawyck Gold' ou pleureur avec 'Pendula'). Leur croissance est lente. Ils sont adultes à partir d'une trentaine d'années mais ils 
peuvent vivre 300 ans et plus.


Le hêtre pleureur (Fagus sylvatica 'Pendula') a un feuillage aux belles couleurs d'automne. La floraison a lieu en avril-mai. C'est une petite variété à magnifique port pleureur de 5 m sur 5 m. Il est rustique jusqu'à -20 °C.
  • Févier d'Amérique :

Le févier d'Amérique Gleditsia triacanthos est une espèce présente dans le centre des États-Unis du nord au sud.
Le cultivar ornemental Gleditsia triacanthos 'Emerald Cascade' est un arbre pleureur jusqu'au sol, de 4 m de haut sur 3 de large. Son feuillage dense est vert foncé. Il produit des gousses de 25 cm environ et s'adapte à tous les sols.

  • Arbre Caramel :

C'est son incroyable parfum de caramel ou de pain d'épice au début de la chute des feuilles en automne, qui surprend le plus chez cet arbre à feuillage caduc. Mais les variations de couleurs de son feuillage au fil des saisons sont aussi extraordinaires !
La variété Cercidiphyllum japonicum 'Pendulum' est un arbre pleureur mesurant jusqu'à 6 m de haut. Il est plus petit que l'espèce type et a un port original avec des branches souples.
  • Caragana :

Les formes « pleureuses » doivent impérativement être solidement tuteurées, pour ne pas basculer sous les rafales de vent.
Le Caragana arborescens 'Pendula' ou Caragana pleureur est greffé sur une tige de 1,50 m à 1,80 m de haut. Cet arbre a des branches arquées, semblant être attirées par le sol.
  • Mélèze :

Le mélèze d'Europe pleureur (Larix decidua 'Puli') a des aiguilles vert tendre puis jaune en automne. C'est une variété à port pleureur avec des branches le long du tronc très étroit. Le mélèze mesure environ 1 à 2 m de haut sur 1 m. Il est rustique jusqu'à -20°C.
Le mélèze du Japon 'Stiff Weeping' (Larix kaempferi 'Stiff Weeping') a des aiguilles vert-bleuté puis jaune en automne. C'est une variété à port pleureur régulier qui mesure 2 m de haut sur 1 m. Ce conifère est rustique jusqu'à -15 °C au moins et est résistant au chancre. Il est adapté au bord de mer.
  • Poirier :

Facile à cultiver, le poirier fait partie des arbres fruitiers les plus populaires. Très rustique, on le retrouve sur tous les continents dans les jardins, en culture pour la production ou même en pot sur les balcons ou terrasses.
Il existe plus de 1 500 variétés de poires dont certaines ont un port pleureur.
  • sorbier :

Le sorbier pleureur (Sorbus aucuparia 'Pendula') a un feuillage jaune-rouge en automne, de fleurs blanches en corymbe et des fruits rouge orangé. Ses branches sont retombantes avec un port pleureur. Il mesure environ 6 m de haut sur 7 m de large. Il est rustique jusqu'à -20°C. Cette variété se plante en isolé, en haie ou en alignement.
  • Chamaecyparis

Il existe 3 variétés de chamaecyparis à feuillage pleureur :
le cyprès de Nootka pleureur (Chamaecyparis nootkatensis 'Pendula'),
Le faux cyprès Sawara (Chamaecyparis pisifera 'Filifera'),
le cyprès de Lawson pleureur (Chamaecyparis lawsoniana 'Intertexta').
  • Ipomée :

L'ipomée est un arbre à fleurs exubérant très décoratif par son abondant feuillage et sa splendide et généreuse floraison. On la cultive comme une annuelle ou une vivace non rustique sous nos climats.
Le genre Ipomœa comprend au moins 500 espèces de plantes vivaces, annuelles, au port grimpant, buissonnant ou pleureur
  • Bouleau :

Le bouleau pleureur (Betula pendula 'Youngii') mesure entre 3 et 5 m de haut. C'est un arbre pleureur qui forme naturellement une petite tonnelle. Il est idéal pour un petit jardin, ou en grand bac.
Le bouleau lacinié (Betula pendula 'Laciniata') mesure entre 12 et 15 m de haut. C'est un arbre pleureur et étroit dont l'envergure est de 3 à 4 m. Il a des feuilles vert clair profondément découpées.
  •  Ginkgo biloba :

Le ginkgo biloba, également appelé arbre aux 40 écus, est un arbre d'ornement décoratif et original, en raison de la forme lobée de ses feuilles et des superbes teintes dorées de son feuillage en automne.
Il existe une vingtaine de variétés et cultivars de ginkgo biloba. Ils diffèrent par la couleur plus ou moins dorée du feuillage, par la taille et la forme des feuilles, par la taille (naine ou normale) et la forme de l'arbre (tortueuse, horizontale, conique, pleureuse etc.). Les différents types peuvent être reproduits par bouturage ou par greffage
  • Peuplier

Le peuplier pleureur (Populus tremula pendula) a des feuilles vert bronze puis jaunes en automne qui tremblent à la moindre brise. L'arbre a un port étalé pleureur qui mesure jusqu'à 5 à 6 m de haut sur 8 m de diamètre. Il est rustique jusqu'à -15 °C. Cette variété est très décorative en isolé sur une pelouse par exemple.
  • Saule

Selon les espèces le port est variable : trapu et large avec des rameaux retombant jusqu'au sol pour le saule pleureur, très prisé, étalé pour le saule noir ou en boule pour diverses variétés de petite taille.
L'intérêt ornemental des saules pleureurs souvent installés dans de grands jardins ou au bord de pièces d'eau explique qu'ils soient très répandus dans toutes nos régions depuis deux siècles.
  • Erable du Japon

Pouvant être qualifiés de grands arbustes ou de petits arbres, leurs tailles varient de 1,25 m pour les plus petits (Acer palmatum 'BloodGood') à 3 à 5 m de haut pour les plus nombreux et jusqu'à 10 m pour les plus hauts. Leur croissance lente permet de les cultiver aussi en bac que ce soit au jardin ou en terrasse.
Souvent ramifiés dès le pied, leur port variable devient souvent étalé à taille adulte et modérément pleureur.
  • Cèdre


Cedrus atlantica 'Pendula' est une variété au port pleureur et au feuillage vert qui se plante en isolé. L'arbre mesure entre 3 et 4 m de haut sur 8 à 10 m de large, il est rustique jusqu'à -23°C.
Cedrus atlantica 'Glauca Pendula' est une variété au port pleureur et au feuillage bleu qui se plante en isolé. L'arbre mesure entre 2 et 3 m de haut sur 6 à 8 m de large, il est rustique jusqu'à -23°C.
  • Tamaris :

Bel arbuste à la ramure touffue, le tamaris appartient au genre Tamarix qui compte une cinquantaine d'espèces et à la famille des Tamaricacées. Le port peut être buissonnant, arrondi et un peu pleureur. Il pousse naturellement dans le Sud, sur une grande partie de la côte atlantique ainsi qu'en Bretagne.
Cultivé en arbre, il s'élève couramment à 2 ou 3 m sur autant de large et peut atteindre 4 à 5 m.
  • Charme

Le charme présente des feuilles de 4 à 8 cm de long, dentées et plissées, vert tendre. Son écorce est lisse, brune et rayée de gris, avec des raies verticales.
Le charme pleureur (Carpinus betulus 'Pendula') mesure entre 2 et 3 m de haut. Cet arbre pleureur est un faible encombrement et se développe lentement.
  • Calocèdre ou libocèdre

Le calocèdre, ou libocèdre est un conifère californien cousin du thuya qui révèle toute sa splendeur avec l'âge lorsqu'il forme un obélisque au feuillage sombre et dense, de 40 m de haut.
La variété 'Pendula' est un arbre pleureur d'allure fantomatique avec des rameaux vert foncé pendant jusqu'au sol. Il mesure 5-6 m de haut sur 4-5 m d'étalement. Cet arbre craint les excès d'humidité et de chaleur.

Mimosa :


Au plus fort de l'hiver, le mimosa illuminera votre jardin ou votre véranda grâce à sa floraison d'un jaune éclatant au parfum enivrant. En pleine terre dans le Sud et sur la côte atlantique, ou en bac ailleurs, sa culture est possible partout en France.
Il se présente sous forme d'arbre ou d'arbuste, de formes diverses dont quelques espèces rampantes ou pleureuses, épineux ou non, à feuilles plates allongées ou très finement découpées.

Un cadavre semble bouger dans son cercueil lors d'un enterrement


La vidéo d'un cadavre qui bouge lors d'un enterrement a fait sensation en Indonésie. On y voit la main du défunt s'agiter à travers la vitre de son cercueil. Un phénomène étrange qui aurait toutefois des explications scientifiques.
Un cadavre qui se réveille en plein enterrement. D'habitude, ce genre de phénomène étrange ne se produit que dans les cauchemars ou les films. C'est pourtant ce qu'il s'est passé le 5 mai dernier en Indonésie, lors d'un enterrement à Manado (Sulawesi du nord).

En pleine cérémonie, ce qui ressemble à la main d'un cadavre a commencé à s'agiter dans le cercueil. Si personne ne s'est aperçu du "miracle" à ce moment-là, l'instant a été filmé et la vidéo, postée sur le web, a fait réagir de nombreux internautes. Effrayés, certains ont pensé que le défunt avait été enterré vivant. D'autres ont préféré évoquer la présence d'un animal - type souris - dans le cercueil. Possible.


Les insectes comestibles, une source de protéines meilleures que la viande ?

Plus d’une personne sur trois dans le monde 
est également victime de mal-nutrition.
Les carences dues au manque de nourriture touchent 
en priorité les enfants et les femmes enceintes.
Parmi les voies d’avenir prometteuses, les insectes 
comestibles constituent d’excellentes sources
 alimentaires potentielles à développer.
Les insectes comestibles, une source alimentaire de bonne qualité et disponible partout.
Actuellement près de 2,5 milliards d’individus en Afrique, en Asie et en Amérique du sud se nourrissent quotidiennement d’insectes. Soit en substitut soit en alternance avec le poisson ou la viande. Il faut dire que les insectes sont littéralement bourrés de protéines et d’éléments nutritifs excellents pour la santé et on en trouve en abondance un peu partout sur la planète.
Les insectes arrivent à proliférer un peu partout sur le globe et à s’adapter à quasiment tous les climats et à toutes les surfaces (désert, eau, montagne, forêts…).

Les chenilles, des insectes comestibles particulièrement
 appréciés en Afrique pour leur apport en protéines
Un millier le nombre d’espèces d’insectes consommées par l’homme sur terre. Cela va de la larve de ver au criquet en passant par le scorpion… Excellents compléments protidiques et sources de nutriments, les insectes comestibles constituent également une source de revenus pour ceux qui se lancent dans l’élevage ou dans la collecte de ces petits animaux. Un travail qui est particulièrement bienvenu pour des populations locales qui font souvent face à de grandes difficultés financières.
Une forte demande en protéines pour l'alimentation humaine et animale.


La superpopulation engendre des nouveaux enjeux alimentaires

Avec une augmentation constante de la population mondiale conjuguée à un nombre croissant de personnes sous-alimentées, la production mondiale en aliments riches en protéines doit être elle aussi revue à la hausse. Or, on le sait déjà, la viande d'élevage traditionnelle coûte de plus en plus chère à produire. De plus, produire du boeuf nécessite de grandes quantités d’eau. Les spécialistes estiment par ailleurs que pour produire 1 gramme de viande, il faut en moyenne 8 grammes de nourriture alors que pour produire 1 gramme d’insecte, il en faut moins de 2.
Il n’en faut pas plus pour que les nutritionnistes en soient venus à considérer les insectes comestibles comme une alternative réelle et sérieuse de substituts protidiques à la viande traditionnelle dans les prochaines années.
Les insectes tels que les mouches et les asticots sont déjà employés comme substituts aux graines et à certaines matières grasses de base rentrant dans le régime alimentaire du bétail comme du poisson. Une alternative de plus en plus sérieusement envisagée par les éleveurs de bétail et les pisciculteurs au vue de l’augmentation croissante des prix des aliments. Il n’en fallait pas plus à certains pour envisager sérieusement le développement d’élevages adjacents d’insectes sous forme de véritables fermes capables de nourrir de façon durable le bétail et les poissons.

Les insectes comestibles, une solution pour nourrir la planète ?
Se nourrir avec des insectes comestibles constitue une voie à suivre pour l'avenir, surtout si l'on prend en compte la courbe de croissance mondiale en terme de population. Une alimentation à base d’insectes comestibles pourrait permettre à chacun de manger à sa faim tout en se montrant soucieux de l'écologie.
Le développement de l’entomophagie et la diversification de la production alimentaire pourrait ainsi stopper la malnutrition sévissant dans certains pays du tiers monde exposés à ce fléau. En trouvant d’autres sources de protéines et en permettant à chacun de se lancer dans l'élevage d’insectes comestibles, nous pourrions arriver à une auto-suffisance salutaire pour la planète. L’aide au tiers monde n’aurait alors plus de raison d’être, chaque État se montrerait maître de ses sources alimentaire. Nous limiterions la surconsommation actuelle et nous conserverions d'autres ressources naturelles sur-exploitées actuellement.
Il est à noter qu’en Orient, l’alimentation à base d’insectes comestibles est déjà très développée. Certains insectes sont même considérés comme des mets savoureux, servis lors des grandes occasions et considérés comme des plats de rois, de la même façon que le caviar, le homard ou le chevreuil en Europe.





Le volcan Puhahonu, situé à Hawaï, est le volcan bouclier le plus grand et le plus chaud du monde

Le volcan Puhahonu, situé à Hawaï, au milieu du Pacifique, aurait un volume de 150 000 kilomètres cubes de roche. Ce qui fait de lui le volcan bouclier le plus grand du monde, loin devant l’ancien détenteur du titre, le Mauna Loa, un autre volcan hawaïen.


En hawaïen, son nom, Puhahonu, signifie « tortue remontant à la surface pour respirer ». Situé à Hawaï, ce serait le plus gros volcan bouclier au monde : c’est ce que vient de mettre en évidence une étude publiée le 8 mai 2020 par des scientifiques hawaïens dans la revue Earth and Planetary Science Letters.

D’apparence, pourtant, il n’est pas très impressionnant. Seuls deux affleurements rocheux, les Gardner Pinnacles, qui ont été découverts 2 juin 1820 au beau milieu du Pacifique par un baleinier américain, rapporte le média Géo, sont visibles en surface. Sauf qu’en réalité, Puhahonu est comme une immense montagne sous la surface : au total, il atteint 4 500 mètres de hauteur.


Des chiffres déjà impressionnants, mais pas autant que ceux de son volume, l’indicateur qui lui fait exploser tous les records. En effet, il ferait au total 150 000 kilomètres cubes de roche, comme l’ont révélé les résultats d’une analyse réalisée au sonar en 2014 et des analyses des roches.

Une seule source de roche en fusion
Tel un iceberg, c’est donc sous l’eau que se révélerait le gigantisme de cet énorme volcan, dont seul un tiers de la surface est émergé. Sa masse est telle, que la croûte terrestre, la couche solide de la Terre, s’est enfoncée sous son poids à des centaines de mètres alentour.
Pour les chercheurs, de telles caractéristiques pourraient s’expliquer par le fait que le volcan est formé sur une seule source de roche en fusion, à une température extrêmement élevée. Ce qui en ferait non seulement le plus grand volcan bouclier de la terre, mais aussi « le plus chaud », affirme l’étude.
Jusqu’à présent, le volcan considéré comme étant le plus grand du monde était le Mauna Loa, situé également à Hawaï. Son volume est estimé à 83 000 kilomètres cubes de roche. Bien moins, donc, que le nouveau détenteur du titre.

Coronavirus: entretien exclusif avec le professeur Didier Raoult

Efficacité du traitement à la chloroquine ou ralentissement du virus avec l'arrivée de l'été, le professeur marseillais Didier Raoult est devenu, avec ces déclarations chocs, incontournable face à la crise mondiale du coronavirus.

Souvent accusé de propager des "fake news", notamment sur l'efficacité de la chloroquine, le professeur est revenu sur i24NEWS sur la crise médiatique suscitée par la pandémie. "Les médias traditionnels sont en train de rentrer en conflit frontal avec les réseaux sociaux", a-t-il déclaré dans l'émission spéciale de Valérie Perez consacrée au coronavirus. 

"Les informations sont de meilleure qualité sur Youtube que dans les médias traditionnels, il y a une révolution à faire", a-t-il lancé. L'infectiologue français évoque également une "mise en danger" des médias traditionnels qui se traduit "par beaucoup de violence".

Le pays Mosuo, le royaume des femmes




À l'orée de l'Himalaya, tout près du Tibet, se trouve le pays des Mosuo. Ce peuple d'anciens nomades vit sur les rives du lac Lugu. Minorité ethnique unique au monde, ils sont une des dernières sociétés matriarcales de la planète.


L'organisation sociale des Mosuo fait figure d'exception. Ce sont les femmes qui décident de tout. Il n'y a ni autorité paternelle, ni devoir ou droit marital. Le mariage n'y existe pas. Dans le monde des Mosuo, les hommes n'ont pas de propriété et ne lèguent pas leur nom. Tous les privilèges reviennent aux femmes, notamment aux plus âgées qui sont les cheffes de clan. En Chine, on surnomme cet endroit le royaume des femmes.



Le peuple Moso a été déclaré peuple modèle au 50ème anniversaire de l'ONU...
Les Moso sont le dernier peuple matriarcal intact
Cette société parfaite aux pieds de l'Himalaya est structurée sans père ni mari, mais pas sans oncle.
Les principes de vie Moso : - pas de mariage : les enfants restent vivre chez leur mère toute leur vie.
- la sexualité est libre : chacun est libre d'avoir (en secret) autant d'amants qu'il le désire, et de changer à volonté.
- pas de paternité : les enfants sont élevés par les oncles, pas de complexe d'oedipe. - tout passe par la mère : nom, propriété...
- ils vivent en communisme familial : la propriété appartient à tout le clan familial, il n'y a pas d'héritage.

Face au mondialisme forcé, que deviennent-ils ?...
Aujourd'hui, leur mode de vie est encore menacé. Le gouvernement chinois cherche par tous les moyens à le faire disparaître...par le biais de la finance. Le tourisme se développe dans cette région. Des prêts bancaires avantageux sont accordés aux couples mariés.
La propagande est aussi une arme redoutable : école, TV, cinéma, magasines...Le mariage est désormais un phénomène de mode chez les Moso, contaminant 25% de leur population...

Californie: un troupeau de chèvres sème la panique

Mardi, des habitants de San José, en Californie, ont été surpris de voir des centaines de chèvres courir dans leur rue.


Les animaux se sont échappés d’un enclos, à la faveur du confinement,  le mercredi 13 mai. Ils étaient censés rester parqués sur une colline environnante durant deux ou trois jours, pour brouter les herbes mortes, dans une région sujette aux incendies.
C’est la chose la plus folle qui soit arrivée en quarantaine! Elles ont sauté et ont franchi la clôture !
Les chèvres qui ont envahi les rues ont causé quelques dégâts. Les animaux ont piétiné les pelouses, bousculé les poubelles et brouté certaines plates-bandes, sous les yeux des passants médusés
Finalement, elles se sont échappées dans la rue et ont commencé à manger toutes les plantes devant les maisons! Elles ont également fait leur besoin dans les plates-bandes devant les maisons. 

Zika, Ebola, chikungunya, Sras… Mais d’où viennent les noms des virus ?

Certains tirent leur nom des symptômes qu’ils provoquent, d’autres de leur zone géographique d’apparition. Comment sont baptisés les virus qui donnent lieu à des épidémies mondiales ? Retour sur les origines, parfois oubliées de ces infections.

Alors que le nouveau virus venu de Chine n’a pas encore été officiellement baptisé, revenons sur l’origine des noms de virus comme Zika, Ebola, Sras…, toutes de graves épidémies mondiales.

  • Coronavirus chinois
Des cas ont été confirmés en France, en Allemagne ou encore aux États-Unis. Tout le monde l’appelle pour l’instant le coronavirus chinois. Son nom est, en réalité, « 2019-nCoV ». Une appellation provisoire formée par : l’année de son apparition (fin décembre 2019), n pour novel (nouveau car le virus était jusqu’alors inconnu), et CoV pour le type de virus auquel il appartient, c’est-à-dire les coronavirus.



Cette catégorie d’agents infectieux est ainsi appelée en raison de la couronne (corona en latin) de protubérances que l’on observe au microscope autour de l’enveloppe du virus.
On ignore pour l’instant comment ce nouveau venu sera baptisé, mais certains médias comme la chaîne américaine CNN l’ont déjà renommé « Wuhan virus » (prononcer Wou-ranne) du nom de la mégalopole chinoise où l’épidémie a fait son apparition.

  • Le Sras
Le Sras signifie syndrome respiratoire aigu sévère (en anglais Sars, severe acute respiratory syndrome). Cette maladie infectieuse est causée par un virus qui, comme le « Wuhan virus », appartient à la famille des coronavirus. Leurs ADN sont d’ailleurs similaires à 80 %. Son nom complet est le Sars-CoV.


C’est donc la maladie qu’il provoque (une pneumopathie atypique qui altère sérieusement les capacités respiratoires), qui a été privilégiée pour baptiser ce virus apparu également en Chine fin 2002.
L’épidémie mondiale qu’il a provoquée, en 2003, a engendré plus de 8 000 cas et près de 800 morts. Les scientifiques ont aujourd’hui établi que c’est une chauve-souris qui a d’abord transmis ce virus à un autre animal, la civette, qui l’a elle-même transmise à l’homme.
  • Le Mers
Découvert en 2012 en Arabie saoudite, le Mers est lui aussi un coronavirus qui provoque un syndrome respiratoire aigu. Il tire le début de son nom de la région du monde où il a fait son apparition, c’est-à-dire le Moyen-Orient (Middle East en anglais).
Son nom complet est ainsi MERS-CoV pour Middle East respiratory syndrome coronavirus. 


C’est le dromadaire qui, cette fois-là, aurait transmis le virus à l’homme. Mais cet animal pourrait l’avoir lui-même contracté auprès de chauve-souris, indique l’institut Pasteur qui rappelle que, lors de cette épidémie, 1 219 cas ont été détectés, provoquant 449 morts.

  • Ebola
L’Ebola est le nom d’une rivière de la République démocratique du Congo (RDC). En 1976, elle donna son nom au virus Ebola qui fut identifié lors d’une épidémie dans la ville de Yambuku près de laquelle passe cette rivière.



À l’origine, le virus s’appelait même « Ebola Zaïre » (ancien nom de la RDC). Sur les 318 cas de fièvre hémorragique recensés à l’époque, 280 en mourront.

Là encore, c’est une chauve-souris qui pourrait être à l’origine de la contamination. L’épidémie, qui a sévi en Afrique de l’Ouest en 2014 et 2015, a causé 11 323 morts sur 28 646 cas recensés. Des cas sont toujours recensés actuellement en RDC.
  • Zika
Le virus Zika tire son nom d’une forêt tropicale située en Ouganda (Afrique de l’Est) et peuplée par au moins quarante variétés de moustiques. En 1947, des scientifiques y ont isolé la première infection d’un singe par ce virus transmis par des moustiques.



De nombreux pays du monde ont connu depuis des épidémies dues à Zika, dont la Polynésie française en 2013. Apparu l’année suivante au Brésil, le virus a montré qu’il pouvait provoquer des symptômes neurologiques graves, comme la microcéphalie congénitale (bébés naissant avec des cerveaux atrophiés) et le syndrome Guillain-Barré.
  • Le chikungunya
Le chikungunya est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques infectés. Elle provoque de la fièvre et des douleurs articulaires sévères. C’est d’ailleurs de là qu’elle tire son nom : chikungunya signifie « devenir tordu » dans une langue du sud de la Tanzanie où le virus a fait une flambée en 1952.


  • La dengue
Deux hypothèses sont émises pour le nom de la dengue, cet autre virus également transmis par un moustique et qui provoque aussi des douleurs articulaires.

Le terme pourrait provenir de l’espagnol dengoso, qui signifie « maniéré, guindé, minaudier » et qui ferait référence à la démarche raide qu’ont les malades infectés par ce virus. L’autre origine possible serait une expression africaine en langue swahili : « ki denga pepo » qui signifie « crampe soudaine causée par un démon ».
  • La variole
Éradiquée depuis 1976, la variole (ou petite vérole) est causée par le virus variolique. Cette infection très contagieuse et potentiellement mortelle couvre les patients de pustules. Son nom vient du latin varus (qui signifie « pustule ») et de varius (qui signifie « moucheté »).


La vie des nomades du Grand Nord de la Russie par - 60 °

 

Les nomades Nenets vivent ici, dans la toundra de Yamal, à 100 km de la capitale de l'Extrême-Nord, Salekhard. Ce sont les petits gens de Russie. Il en reste environ 43 000. Ils vivent de l'élevage de rennes. Grâce aux cerfs, ils ont de la nourriture, un abri, des vêtements et un moyen de transport.
Ils vivent dans des habitations en forme de cône appelées copains. Il est récolté sur des perches et des peaux de cerfs. Au centre de l'habitation se trouve une cheminée à l'aide de laquelle la nourriture est préparée et la tente est chauffée.
Dans les montagnes de Mongolie, à la frontière avec la Russie, où vivent les éleveurs de rennes Tsaatan, au cœur de ce monde étonnant. Loin du bruit du monde moderne, ces peuples sont devenus les gardiens des anciennes traditions et coutumes de leur peuple. 
Leur activité principale est l'élevage de rennes, un métier traditionnel qui se transmet de génération en génération. Les rennes jouent un rôle important dans la vie des Tsaatans, leur fournissant de la viande, du lait et des peaux, ainsi qu'un moyen de transport sur le terrain accidenté et accidenté. Les Tsaatans gèrent habilement les troupeaux de rennes, en prennent soin et veillent à leur santé et à leur bien-être.
Les rennes constituent la principale source de survie des Tsaatans dans les montagnes. Ce sont des créatures inestimables qui aident les familles Tsaatan non seulement à trouver de la nourriture et à mener une vie normale, mais également à accomplir des rituels culturels et religieux associés à leur croyance dans le chamanisme.
Nous souhaitons apprendre comment vivaient nos ancêtres, étudier leurs traditions et maîtriser les métiers et les repas anciens.




Les animaux les plus petits au monde

  • L'hippocampe le plus petit du monde
Aussi connu comme l'Hippocampe denise, il ne mesure que 2,4 cm et vit à plus de 100 mètres de profondeur au cœur de l'océan pacifique, on le trouve plus particulièrement près des côtes indonésienne. Afin que vous puissiez vous faire une idée de sa taille, essayez d'imaginer un animal aussi petit qu'un de vos ongles ! Impressionnant n'est-ce pas ? Ces petits chevaux de mer ont un long cou et un tout petit nez, ils naissent de couleur blanche mais au fur et à mesure que le temps passe, la couleur de leur peau se couvre petit à petit d'un ton oranger qui leurs permet de pouvoir mieux se camoufler au sein des coraux.

  • Le primate le plus petit du monde, le Microcebus
C'est officiel, le Microcebus est un lémurien de Madagascar le plus petit au monde. Imaginez si on mettait ce mini primate qui ne mesure que 12 cm à côté des gorilles du film "La planète des singes" ! C'est incroyable comme la nature peut créer des animaux aussi proche mais en même temps si différents. Ces lémuriens sont des animaux nocturnes et vivent uniquement nichés dans la cime des arbres de Madagascar. Ils sont si bien cachés que pour le moment, nous ne connaissons que 8 espèces de ce petit primate.

  • Le singe le plus petit du monde
Afin de continuer à répondre à notre question quels sont les animaux les plus petits du monde, nous passons au ouistiti pygmée qui est connu comme étant le singe le plus petit du monde. Nous ne pensons pas qu'il existe quelque chose de plus mignon que le ouistiti pygmée. Ces singes miniatures viennent des terres tropicales et vivent au sein de la forêt brésilienne, équatorienne, colombienne et péruvienne. Ce sont des petites créatures très craintives, un petit peu plus grandes que les lémuriens, elles peuvent mesurer jusqu'à 35 cm et peser 100 grammes une fois l'âge adulte atteint. Les ouistitis pygmée ont un regard tendre et énigmatique qui a réussit à conquérir notre cœur.

  • Le caméléon le plus petit du monde
Les caméléons sont des animaux très intéressants, et ils le sont encore plus si ils ne mesurent que 4 cm ! C'est ainsi qu'est le Brookésie, qui est considéré comme étant le caméléon le plus petit au monde et un des reptiles les plus petits du monde. Ils vivent sur l'île de Madagascar et possèdent exactement les mêmes caractéristiques qu'un caméléon de taille normal mais en version mini. Ce sont des animaux diurnes qui passent leurs nuits en haut des arbres pour se reposer. Mais quand on fait cette taille, la hauteur n'a pas la même signification car ils ne se perchent qu'à 15 cm du sol.

  • La chauve souris la plus petite du monde
La chauve souris bourdon a élu domicile dans les caves de Thaïlande et dans le sud-est de la Birmanie, elle ne pèse que 2 grammes et ne mesure pas plus de 3 cm bien que ses ailes étirées mesurent jusqu'à 15 cm ! Une terreur du ciel qui possède des oreilles considérablement grandes pour sa taille. Vous vous imaginez être un des mammifères les plus petits du monde ?
Beaucoup d'experts se demandent comment est ce que c'est possible qu'avec une si petite taille la chauve souris bourdon puisse voler. Ce qui a été déduit est qu'elle possède une sorte de sangle entre les pattes arrières qui agissent comme un genre de ruban adhésif et qui l'aide à maintenir le contrôle sur ses mouvements lorsqu'il vole.

  • Le poisson le plus petit du monde
La Carpa paedocypris est une espèce de poisson découverte dans les marécages de l'île de Sumatra, elle est considérée comme étant le vertébré le plus petit du monde. Ces mini poissons peuvent atteindre 8 cm à l'âge adulte et ont comme particularité physique de posséder un crâne qui laisse à découvert leur cerveau. Ils sont actuellement en danger d'extinction à cause de la destruction de son habitat naturel en Indonésie. Ils s'alimentent essentiellement de plancton et vivent une vie très tranquille et solitaire.

  • La couleuvre la plus petite du monde
Que ceux qui ont peur des serpents se rassurent car la Leptotyphlops carlae leur permettra de vaincre leur phobie. Nous sommes même sûr que les phobiques des serpents pourraient arriver à l'aimer juste pour être un des animaux les plus petits au monde. Ce minuscule serpent ne mesure pas plus de 10 cm et est aussi fin qu'un spaghetti ! C'est la petite sœur d'une grande famille de plus de 3000 espèces. Elle aime vivre dans la forêt et vit dans la Barbade des caraïbes, de plus elle n'est pas vénéneuse !

Le colibri abeille bien qu'il soit l'oiseau le plus petit du monde conserve toute son agiité et sa vivacité, étant donné qu'il est capable d'agiter ses ailes plus de 80 fois par seconde. Avec ses couleurs si vibrantes et sa toute petite taille, il est considéré comme étant un des joyaux du monde animal. Il a élu domicile à Cuba sur l'île de la Juventud et est aussi connu sous le nom "d'elfe des abeilles" pour son incomparable beauté et sa personnalité captivante. Ces colibris mesurent autour de 5 cm de la queue au bec et ne pèse pas plus de 2 gr.

  • La tortue la plus petite du monde
Nous avons nommé l'Homopus signatusi ! Cette toute petite tortue a bien gagné sa place dans notre article étant donné qu'elle ne mesure que 10 cm et pèse seulement 140 grammes ! Sa tête est de la taille de la partie supérieure d'un pouce moyen ! C'est une tortue africaine et son foyer se trouve au sud de la Namibie et en Afrique du Sud. Cette espèce de tortue est différente et particulièrement spécial si on la compare aux autres de son genre "Hompus" car elle possède 5 doigts au niveau des pattes avants, quand les autres tortues n'en ont que 4 !

  • La plus petite grenouille du monde
La Eleutherodactylus iberia est la grenouille la plus petite de l'hémisphère nord. Elles ont des tous petits doigts et se différencient des autres grenouilles car leur corps possède un motif caractérisé par deux lignes rouges ou jaunes qui partent de l'extrémité du museau et s'étendent sur tout le dos du corps et qui finisse en se dégradant du dorée au blanc. Les mâles peuvent mesurer jusqu'à 10 mm quand les femelles sont légèrement plus grandes et mesurent jusqu'à 10.5 mm. Elles adorent la pluie et pour cette raison on ne les a vu que dans les montagnes de Moa-Toa-Barbacoa de la partie orientale de Cuba.