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Les 10 plus beaux déserts de la planète.

Partez à la découverte des dix plus beaux déserts au monde !
De l’Atacama au Désert du Thar… en passant par le Sahara, ces grands espaces qui atteignent parfois des températures extrêmes vont vous émerveiller…
Attention les yeux ! 

L’Atacama: L’Atacama est un désert situé au Chili… les températures peuvent y varier de 45 degrés à -25 degrés ! Attention au choc thermique ! 

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 Des lagunes du salar d'Atacama : une immense région où les eaux descendues de la montagne se sont chargées en sel formant des oasis de couleurs dans l'immensité de sable. Derrière la beauté de ces paysages, des énormes enjeux économiques se cachent avec la présence dans le sol de lithium, un composant essentiel pour les batteries de nos portables... Plus loin, ils aperçoivent les antennes du radiotélescope Alma tournées vers le ciel...




le Chili atacama le désert des fleurs : quelle beau phénomène ces fleurs dans le désert vraiment sublime a voir




Le désert de GobiLe désert de Gobi est situé, lui, entre le nord de la Chine et le sud de la Mongolie, englobant ainsi environ un tiers de la surface de la Mongolie….

Les températures peuvent ici descendre jusqu’à -43 degrés… 

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Le désert des Mojaves: Situé dans l’ouest des Etats Unis, au sud de la Californie.

On y trouve d’ailleurs l’un des endroits les plus merveilleux de la planète… « La vallée de la Mort ». 

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Le désert du Namib :  Le désert du Namib est, quand à lui, situé dans le sud-ouest de la Namibie.

Il est considéré comme le plus vieux désert du monde… et est inscrit depuis 2013 au patrimoine mondiale de l’Unesco ! 




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Le Sahara : Le plus emblématique,  et le plus connu ! Le plus grand aussi avec ses 8 600 000 km2… Il s’étend sur près de dix pays : de la Mauritanie au Soudan ! 


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Sand dunes illuminated at sunrise, Erg Chebbi,  Sahara Desert, Morocco

Ce désert, le plus vaste de la planète, n'est pas recouvert que par des dunes. C'est à 80% un désert de pierres.

Le Wadi Rum :  Un désert de sable rouge ! Avec des canyons, des arches naturelles, des falaises et des grottes….

Situé au sud de la Jordanie, c’est un immanquable du pays ! 

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Après les premières sensations à cheval dans le Wadi Rum, on monte sur les sommets pour entrer dans un autre monde qui ressemble étrangement à la planète Mars : c'est le monde des bédouins de Jordanie !

Le désert du Sinaï : Le désert du Sinaï s’étend, lui, de l’Égypte à l’Israël.

C’est un désert sacré car c’est là, au sommet du Mont Sinaï, que Moïse aurait reçu de Yahvé les « Tables de la Loi » dans « l’Ancien Testament ».
Chrétien, Musulmans et Juifs vénèrent cet endroit… 

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Le désert Lybique : Ce désert est découpé entre plusieurs pays : l’Égypte, la Libye et le Soudan…

Ce désert est, en fait, une partie du Sahara, mais avec la particularité  d’être recouvert de calcaire ! Ce qui lui donne cet aspect de sable blanc. 

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Un voyage émotionnel bref dans le Désert Blanc. Une magique désert du Sahara égyptien.


Le désert du Thar : Désert de la région du Rajasthan, au nord-ouest de l’Inde !

De tous les déserts au monde, c’est le plus densément peuplé malgré des températures qui peuvent monter jusqu’à près de 43 degrés ! 

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 En Inde, dans la province du Rajasthan, le désert du Thar a été surnommé « le Pays de la mort » tant les conditions de vie y sont extrêmes. C'est pourtant là qu'a choisi de vivre Capucine, une jeune française de 32 ans. Il y a 7 ans, elle a tout quitté pour y rejoindre Pabu, membre d'une caste « d'intouchables ».

Le désert de Nazca :  Situé au Pérou, ce désert a la particularité d’être couvert de dessins ! Représentant de nombreux animaux : singe , colibri, chien, araignée et autres mystères de l’archéologie… les scientifiques se battent toujours pour découvrir leur origine et signification… 


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Découverts en 1926 dans le sud du Pérou, les géoglyphes de Nazca (ou de Nasca) sont de grandes figures tracées sur le sol (géoglyphes), souvent d'animaux stylisés, parfois simples lignes longues de plusieurs kilomètres, qui se trouvent dans le désert de Nazca.

Le sol sur lequel ils se dessinent est couvert de cailloux que l'oxyde de fer a colorés en rouge. En les ôtant, les Nazcas ont fait apparaître un sol gypseux grisâtre, découpant les contours de leurs figures.

Ces géoglyphes sont le fait de la civilisation Nazca, une culture pré-incaïque du Sud du Pérou qui se développa entre 300 av. J.-C. et 800 de notre ère. Ils ont été réalisés entre 400 et 6501.

Les lignes et géoglyphes de Nazca et de Pampas de Jumana sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1942.

Bon Om Touk, la fête de l'eau au Cambodge


Bon Om Touk, la fête de l'eau à Phnom Penh

 Le Tonlé Sap est un lac mais aussi un fleuve d’un genre particulier puisque son cours d’eau change de sens ! À l’occasion de cet étonnant phénomène hydraulique, les Cambodgiens célèbrent Bon Om Touk, la « fête de l’eau », qui rend hommage à la fertilité des eaux du Tonlé Sap et du Mékong. À Phnom Penh, du 23 au 25 novembre, des centaines de milliers de Cambodgiens assisteront aux festivités, dont les très populaires courses de pirogues. 


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Un curieux phénomène naturel

Comment s’explique ce phénomène d’inversion du cours d’eau ? Le Tonlé Sap, situé entre Angkor et Phnom Penh, est un lac étonnant. Organe vital du Cambodge, il se remplit et se vide au gré des moussons. Il est relié au Mékong à la hauteur de Phnom Penh par une rivière d’une centaine de kilomètres, qui porte le même nom. Chaque année à la saison des pluies (entre juillet et novembre), le Mékong en crue atteignant un niveau supérieur à celui du lac force le courant de la rivière Tonlé Sap à s’inverser pour aller remplir le lac en amont ; le Tonlé Sap accueille alors les volumes d’eau du Mékong que la mer ne peut plus contenir. C’est le bon vieux système des vases communicants. Le cours d’eau remonte vers les terres au lieu de continuer vers la mer. Étonnant ! Le lac voit alors sa superficie quadrupler.
En saison sèche, à partir de la fin novembre, c’est l’inverse qui se produit : le Tonlé Sap déverse dans le Mékong les réserves accumulées pendant la saison des pluies. Le cours de l’eau s’inverse à nouveau. Et c’est à ce moment-là que se déroule Bon Om Touk, la « fête de l’eau », en l’honneur de l’eau et de la nature qui apportent la prospérité. Les paysans célèbrent la fertilité de la terre, les pêcheurs celle du Mékong.

Courses de pirogues à Phnom Penh et Angkor

Cette année, c’est du 23 au 25 novembre que sera fêtée Bon Om Touk. Pendant ces trois jours, la capitale Phnom Penh vit au rythme des pirogues colorées qui défilent sous une pleine lune resplendissante. En 2006, près de trois millions de spectateurs rassemblés dans les environs du palais royal ont assisté aux régates. Tous applaudissent le changement de sens du cours d’eau, au moment où le lac se déverse dans le fleuve. Les eaux refluent du lac vers le Mékong. Pendant la mousson, les poissons viennent se reproduire dans cette mer intérieure, et la saison de la pêche peut alors commencer.
La régate de pirogues, face au palais royal de Phnom Penh, est l’un des grands moments de Bon Om Touk. Elle débute en fin d’après-midi et s’achève vers minuit. Quelque 300 bateaux traditionnels, qui peuvent contenir jusqu’à 60 rameurs, y participent. Ils sont décorés dans le style khmer traditionnel et présentent une ravissante profusion de couleurs. Les festivités débutent en réalité un mois plus tôt avec les sélections, organisées à Battambang, et tout autant appréciées par les Cambodgiens que la fête elle-même. Les courses sont suivies de danses et de feux d’artifice qui illuminent une bonne partie de la nuit. 
À Angkor, Bon Om Touk est également célébré. Les courses de pirogues se déroulent dans les douves d’Angkor Wat, devant une foule immense de paysans vêtus de leurs plus beaux habits. Dans la lumière de la pleine lune, le temple semble protéger la foule. Le spectacle est somptueux.
Le festival de l’eau inclut d’autres célébrations : le défilé de la flotte illuminée (Loy Pratip), au cours duquel on peut admirer sur le fleuve des bateaux éclairés aux lampions, et le salut à la lune (Sampeas Preah Khe), à l’occasion duquel on déguste du riz à la banane et au lait de coco (Ork Ambok).

Des origines incertaines

L’origine de Bon Om Touk demeure mystérieuse. Pour certains, la fête remonterait à l’époque de l’empire d’Angkor et des combats entre le roi du Champa qui, en 1177, avait envahi le Cambodge, et le roi khmer. Les anciens racontent qu’au XIIe siècle, le roi khmer Jayavaraman VII fit la guerre aux Chams qui avaient envahi le royaume. Grâce aux pirogues, le roi repoussa l’envahisseur. En effet, le Cambodge étant traversé par le Mékong, la guerre se joua en grande partie sur l’eau. Depuis, chaque année, des courses de pirogues honoreraient le souvenir de ce triomphe des Khmers. 
Une autre explication de l’origine de cette fête serait que l’armée organisait chaque année une compétition pour élire le meilleur navigateur afin de préparer des batailles. Enfin, pour d’autres, cette fête servirait à remercier les génies des eaux qui donnent une irrigation suffisante pour l’agriculture.

Ebola : maladie de l’année 2014

Incontestablement, l’épidémie de fièvre Ebola en Afrique de l’Ouest constitue l’événement sanitaire mondial majeur de l’année qui vient de s’achever. 
Depuis sa découverte en 1976, ce virus cristallise les inquiétudes et les fantasmes. Beaucoup notamment ont vu dans cet agent hautement létal une arme potentielle pour les bioterroristes, et c’est d’ailleurs dans ce cadre que de nombreux travaux lui ont été consacrés. Cependant, en l’absence de terroristes assez fous ou ingénieux pour faire d’Ebola leur outil de destruction, le virus n’avait été à l’origine jusqu’alors que d’épidémies très localisées, rapidement endiguées et n’entraînant jamais plus que quelques centaines de cas. 
L’épidémie de 2014 qui n’est nullement maîtrisée est hors norme à plus d’un titre : par sa localisation, son ampleur et sa diffusion sur un large espace. Si aujourd’hui la médiatisation accordée à ce drame sanitaire s’est émoussée et si certains font remarquer que les cassandres qui prédisaient des centaines de milliers de cas à l’aube de la nouvelle année n’ont heureusement pas vu leurs sombres prévisions se réaliser, Ebola reste un fléau pour la Sierra-Leone, le Liberia et la Guinée et une menace pour une grande partie de l’Afrique, voire du monde.

Situation explosive dès le mois de mars

Quand sont relayées les alertes venues de Guinée en mars, la situation revêt déjà un tour inquiétant et inédit par rapport aux précédentes épidémies. D’abord, c’est la première fois que le virus est identifié en Afrique de l’Ouest. Surtout, les autorités sanitaires signalent que la maladie s’est rapidement répandue dans plusieurs préfectures et paraît menacer la capitale Conakry, qui abrite plus de deux millions d’habitants. Les ONG sont sur le qui vive et les ambassades des pays riches présentes dans les états voisins commencent à recommander à leurs ressortissants d’éviter les séjours en Guinée. Très vite, pourtant, la maladie dépasse les frontières. Le Liberia et la Sierra-Leone recensent dès la fin mars leurs premiers cas : ces contaminations mettent immédiatement en lumière les risques liés à la réalisation de certains rites funéraires. Quelques jours avant le début du mois d’avril, Ebola fait son entrée dans la capitale guinéenne.

Inconscience de l’OMS

Le nombre de morts ne se comptait encore que par dizaines, mais déjà les équipes présentes sur place et les scientifiques connaissant le virus Ebola dans le monde entier avaient identifié le fait que l’épidémie qui débutait n’avait rien de commun avec les autres. On constata ainsi très rapidement que la souche retrouvée n’était pas Taï Forest, présente dans les épidémies en Afrique de l’Est, mais le virus Zaïre. Surtout, débordée par la dissémination rapide de la maladie en Guinée, confrontée à l’hostilité des populations refusant les décisions de mise en quarantaine, l’association Médecins sans frontière (MSF) qualifiait dès le début du mois d’avril, la situation de « sans précédent ». L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pourtant se refusait à reconnaître le caractère d’urgence de la situation. Mais les chiffres la contraignirent rapidement à changer de discours. Ce revirement ne l’empêcha pas d’être durablement discréditée, tant auprès des ONG que des gouvernements de plusieurs pays africains qui allant à l’encontre de ses recommandations choisirent de fermer leurs frontières avec les états touchés. Ce fut notamment la décision du Sénégal.

Le monde a peur… mais tarde à se mobiliser

Cependant, au début de l’été, l’OMS retrouvait ses accents optimistes, voulant croire à la décrue de l’épidémie. On comptait alors 500 personnes touchées et 337 morts et la direction de l’OMS et les autorités guinéennes se félicitaient d’une gestion adaptée de l’épidémie. MSF continuait pour sa part à se montrer très inquiète évoquant une situation « hors de contrôle ». Un mois plus tard, le nombre de cas avait doublé et un premier médecin américain, infecté, était rapatrié aux Etats-Unis. Ce rapatriement spectaculaire, l’augmentation rapide du nombre de cas, les discussions politiques sur la pertinence de la fermeture des frontières et de la réduction des liaisons aériennes et les dénonciations des ONG quant à la lenteur de la mobilisation de la communauté internationale (qui finit par s’ébranler sermonnée par le président des Etats-Unis) contribuèrent à une sensibilisation massive (voire à l’inquiétude) des populations occidentales à la fin de l’été. Les semaines et les mois qui suivirent ne purent qu’attiser cette attention avec le rapatriement de plusieurs professionnels (dont une infirmière en France) et la contamination sur le territoire espagnol et américain d’infirmières ayant pris en charge des malades, instillant le doute sur l’efficacité des méthodes de protection. Grâce aux mesures de surveillance prises et en raison des caractéristiques spécifiques du virus, les contaminations ont cependant pu être quasiment systématiquement évitées chez les soignants en occident. Les restrictions du trafic aérien et cet automne le choix par plusieurs pays d’effectuer des contrôles des voyageurs venant des états touchés lors de leur arrivée sur leur sol permirent également de maîtriser le danger. Néanmoins, les Etats-Unis ont pris en charge (non sans commettre quelques erreurs et non sans éviter la mort de celui-ci) un ressortissant libérien ignorant au moment de son arrivée en Amérique son infection par le virus. Un médecin et une infirmière, ayant participé à des missions en Afrique de l’Ouest, se sont par ailleurs révélés infectés peu après leur arrivée aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.

Course contre la montre dans les laboratoires

L’attention de l’Occident braqua inévitablement également les projecteurs sur la course folle dans les laboratoires. L’épidémie d’Ebola a en effet entraîné une formidable accélération des recherches sur les vaccins contre ce virus, permettant, grâce à un assouplissement des contraintes réglementaires habituellement si rigides, le lancement de plusieurs essais prometteurs, conduits par des laboratoires américains, canadiens, britanniques, japonais et français. Néanmoins, à l’exception de l’administration de traitements expérimentaux à titre compassionnel aux personnels soignants occidentaux rapatriés (et apparemment  avec un certain succès sauf dans le cas des missionnaires espagnols plus âgés) ces prouesses scientifiques n’ont cependant pas encore permis aujourd’hui l’utilisation généralisé d’un traitement ou d’un vaccin efficace, seuls capables d’arrêter l’hécatombe.

Chaos en Sierra Leone, au Liberia et en Guinée

Alors qu’Ebola devrait probablement continuer à répandre la peur et la mort en 2015, le virus a déjà fait sombrer dans le chaos les trois pays les plus touchés dont les situations politiques et économiques étaient déjà particulièrement fragiles. 
Les systèmes de santé sont notamment totalement anéantis : en Sierra Leone et au Liberia, qui comptaient déjà un nombre de médecins très faible, la mort de plusieurs dizaines d’entre eux est une épreuve qui sera très difficile à surmonter. Aujourd’hui, Ebola a touché plus de 20 000 personnes, en tuant plus de 7 500 et c’est souvent dans la confusion, l’affrontement et l’incertitude quant à l’avenir que se poursuit le combat.

Inquiétudes et victoires

Si Ebola a considérablement éclipsé les autres fléaux et virus qui assaillent la planète, 2014 a cependant vu d’autres agents pathogènes tenir la vedette, en raison de l’inquiétude qu’ils ont pu susciter ou parfois des victoires obtenues contre eux.
Ainsi, on se rappellera qu’avant Ebola, c’est le mystérieux nouveau coronavirus qui suscitait l’inquiétude, jusqu’à celle du président Barack Obama lui-même, si fortement engagé après dans la lutte contre le virus Ebola. Au titre des ennemis sournois qui attisent les préoccupations, on pourra également citer les bactéries multirésistantes aux antibiotiques, qui ont fait beaucoup parler d’elles en 2014 et dont plusieurs rapports ont signalé à quel point elles représentent une menace que les décideurs publics ont trop négligé.
Mais les victoires ont également été au rendez-vous. Un nouveau tournant dans la lutte contre le Sida a ainsi été franchi en 2014 avec la recommandation par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) d’une utilisation de la trithérapie à titre préventif pour tous les homosexuels à haut risque. C’est surtout et plus encore le virus de l’hépatite C qui a tremblé en 2014 avec la confirmation de l’arrivée des antiviraux à action directe (ADD) médicaments révolutionnaires offrant des perspectives totalement nouvelles pour les patients, même si on le sait la controverse économique (et idéologique) à leur propos n’est pas encore totalement éteinte.

Comment pièger les moustiques ?

Vous en avez assez des moustiques qui viennent vous dévorer la nuit ?

Heureusement, cette astuce de grand-mère va vous permettre de vous débarrasser des moustiques rapidement ! Avec ce piège, les moustiques seront attirés par les gaz de la fermentation du sucre. Ils seront ainsi coincés et ne pourront plus ressortir.

Comment pièger les moustiques ?

  1. Versez l’eau chaude dans le fond de votre moitié de bouteille.
  2. Ajoutez-y le sucre brun.
  3. Mélangez.
  4. Saupoudrez ensuite avec la levure de bière, sans mélanger.
  5. Retournez le goulot de la bouteille coupée sur la partie basse.
  6. Placez le piège à moustiques dans une pièce de la maison.

Ingrédients

  • 20 cl d’eau chaude
  • 50 g de sucre brun
  • 1 g de levure de bière (levure de boulangerie)

Équipement

  • Une bouteille en plastique coupée en deux
  • Une cuillère pour mélanger

Photos drôles et insolites à mourir de rire !

Voici une sélections de 24 photos animées
 toutes drôles et complètement inoubliables !


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Un Nouvel An pour un… Nouvel élan !




Que cette nouvelle aventure qui commence vous apporte son lot de joie, d’amour et de chance, que tous vos rêves et vos espérances se réalisent dans l’abondance et que chacune de vos résolutions annonce une nouvelle vie, pleine d'émotion ! Bonne et heureuse nouvelle année !












2015,bonne annee