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Intoxications au Maroc : Principales causes

Les piqûres de scorpions et envenimations scorpioniques (PES), les médicaments, les gaz et les aliments restent les principaux facteurs d’intoxication au Maroc.

Les piqûres et envenimations scorpioniques se placent en tête des causes d’intoxications au Maroc. Les principales régions à risque sont Marrakech-Tensift-Al Haouz, Souss-Massa- Draa, Tadla-Azilal , Doukkala-Abda et Chaouia-Ouardigha.


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Les intoxications médicamenteuses sont la deuxième cause d’empoisonnement au Maroc. Rabat-Salé-Zemmour-Zaër et le Grand Casablanca arrivent en tête des régions les plus touchées par ce type d’intoxication. Ces deux régions sont suivies, un peu plus loin, par Marrakech-Tensift-Al Haouz et Meknès-Tafilalt. 

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Les intoxication par les gaz viennent en troisième position, les intoxication par les gaz dont la majorité des cas ayant été empoisonnés par le monoxyde de carbone (CO).

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En ce concerne les intoxications alimentaires,  on  incrimine principalement la viande et les produits carnés , les produits laitiers, le poisson et les produits de pêche puis les fruits et légumes.


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D’autres types d’intoxication ont été également relevés notamment le cas des intoxications par les pesticides, les produits d’entretien ménagers et les plantes et produits de la pharmacopée traditionnelle.


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La Bataille de Berlin du 16 avril 1945 au 2 mai 1945

La bataille de Berlin se déroula du 16 avril 1945 au 2 mai 1945. Elle opposa ce qui restait des forces du Troisième Reich à l'Armée rouge. Staline donna une portée symbolique à ce dernier coup porté au régime nazi, après les lourdes pertes subies par les Soviétiques pour inverser le flux de l'invasion.


En février 1945, les allemands mettent au point, après l’effondrement des défenses le long de la Vistule, l’ultime tentative pour arrêter l’avancée soviétique. Ils construisent à cet effet trois lignes de résistance autour de Berlin: 
-La première se trouve sur la rive gauche de l’Oder et de la Neisse.
-La deuxième est construite 10 à 20 km en arrière.
-Enfin la troisième, consistant en une série de points d’appuis solidement fortifiés, mais isolés les uns des autres, est organisée à la lisière de la banlieue de Berlin.

Pour occuper ses défenses, hitler dispose du groupe d’armée « vistule » (heinrici), et du groupe d’armée « centre » « Schörner », qui ont été durement éprouvés durant les derniers mois, et qui en tout comprennent 37 divisions, soit environ un million d’hommes, 1500 chars, 10 400 pièces d’artillerie, et 3300 avions. Mais ces troupes sont hétéroclites, et les nouvelles recrues n’ont reçues qu’un entraînement sommaire. Néanmoins leur détermination est forte pour défendre le dernier bastion du reich agonisant. Hitler prononce, devant l’imminence de la bataille : « Si chaque soldat fait son devoir sur le front de l’Est, dans les jours et les semaines à venir, le dernier assaut de l’asie sera brisé. Berlin restera allemande. Vienne redeviendra allemande et l’Europe ne sera pas russe. »




En face se trouvent trois fronts soviétiques : le 1er front biélorusse (Joukov),le 2ème front biélorusse (Rokossowski), et le 1er front ukrainien (Koniev), qui eux comportent 140 divisions, soit 2,5 millions d’hommes, 6250 chars, 41600 pièces d’artillerie, et 7500 avions. Le plan soviétique repose sur l’écrasante supériorité numérique de l’armée rouge, et prévoit que les défenses allemandes soient enfoncées par une attaque frontale, et que les unités allemandes stationnées sur l’oder soient encerclées, puis détruites. Puis les soviétiques prendraient en tenaille par le nord et par le sud la capitale, qu’ils réduiraient, quartier par quartier. Qui en revanche sera le vainqueur de Berlin ? Staline, pour cela, met en compétition koniev et joukov : que le plus rapide l’emporte !


L’attaque commence le 16 avril 1945 par un intense pilonnage de l’artillerie. Sur le front de Joukov, c’est la VIIIème armée de tchouikov qui lance l’attaque. Au deuxième jour de l’offensive, Koniev est déjà sur la spree. En revanche Joukov piétine devant les hauteurs de Seelöw, redoutablement défendues par l’artillerie allemande, qui se trouve malheureusement hors de portée de l’artillerie soviétique. Le maréchal Joukov exige alors que tous les commandants dirigent leurs unités à l’assaut, sous peine de limogeage. Le 19 avril, les 3 lignes de défense allemandes commencent à céder. Le 20, Joukov fait bombarder les rues de Berlin, par la 6ème division d’artillerie, tandis que Koniev donne l’ordre à ses troupes de rentrer dans la ville.


A Berlin, les principaux chefs de l’armée allemande quittent la ville : Keitel et Jodl s’installent à Neuruppin, Dönitz à Flensburg, Himmler à Ziethen, et Göring rejoint sa résidence sur les montagnes bavaroises de l’Obersalzberg. La bataille finale s’annonce extrêmement dure, car la deuxième ligne de défense est organisée sur les usines, très bien défendues, et donc difficiles à réduire pour les Soviétiques, d’autant plus que chaque bouche dégout, chaque immeuble, chaque station de métro, deviennent de redoutables points d’appui. Les rues sont barricadées, et coupées de fossés antichars. Près de 400 bunkers renferment armes lourdes et mitrailleuses. L’ensemble de Berlin, devenue ville-forteresse, s’organisent en 9 secteurs intérieurs, et 9 secteurs extérieurs.


La garnison de berlin est placée sous le commandement du général Weidling, et comprend 200 bataillons de Volkssturm, un ensemble hétéroclite de grandes unités, des débris des IXème et IIIèmes armées blindées, la division « Münchenberg », des formations de DCA et de police, et enfin quelques groupes de combat SS, dont la division SS « Charlemagne ». Toute la défense de Berlin compte 300 000 hommes, dont beaucoup n’ont reçu qu’un entraînement sommaire, mais qui, tous, sont prêts à résister farouchement.


Le 21 avril, au matin, les chars de Joukov pénètrent dans la banlieue nord de berlin. Les amres lourdes annihilent les points d’appui, puis les fantassins s’occupent d’investir les bâtiments, souvent étage par étage. Chaque étape est précédée de bombardements d’artillerie, dont les fameux lance-fusées Katioucha, émettant un miaulement strident, démoralisant pour les défenseurs. Les combats de rue sont extrêmement violents. Les pertes Soviétiques sont très lourdes, particulièrement pour les chars, vulnérables en milieu urbain : ceux-ci sont la cible des Panzerfaust, armes antichars légères individuelles, tirant un projectile à charge creuse.



Les Allemands gardent malgré tout espoir : la XIIème armée de Wenck, mettant à profit l’arrêt des armées américaines, pourra attaquer koniev, et ainsi attaquer la capitale. De plus la IXème armée allemande reçoit également l’ordre de marcher sur Berlin, ainsi que le général SS Steiner, commandant un groupement blindé, qui lui attaquera par le nord. La contre-attaque commence le 23 avril, mais Koniev fait intervenir la Vème armée Soviétique, et les Ière et IIèmes armées polonaises, qui stoppent les Allemands.

Le 24 avril, Koniev et Joukov font leur jonction au sud est de Berkin. Joukov continue l’investissement des faubourgs du nord de la ville, tandis que Koniev approche de l’aérodrome de Tempelhof, et parvient à franchir le canal de Tetow, malgré la résistance de la divison « Münchenberg ». Le centre de la ville se retrouve encerclé.



Le 26 avril, 500 000 hommes se préparent à lancer l’assaut final, appuyés par une préparation d’artillerie jamais égalée : 650 canons au kilomètre, soit environ un canon tous les 15 mètres, pour pilonner une poche longue de 15 kilomètres pour 5 kilomètres de largeur. Les abords de la chancellerie sont défendus par des débris de la divison SS « Charlemagne », débris des unités étrangères. Le 27 avril, les espoirs des défenseurs sont définitivement brisés : l’avance de l’armée de Wenck est brisée, et la IXème armée n’a pas réussi à se dégager.


C’est le 28 avril que les Soviétiques investissent le quartier officiel de Berlin, où se trouvent le Reichstag, l’Opéra et le ministère de l’Intérieur. Portes et fenêtres sont murées, et abondamment garnies de mitrailleuses et de canons. Tous les bâtiments deviennent de véritables forteresses. Les rues sont barricadées, et les carrefours minés. L’ensemble est relié par le réseau souterrain du métropolitain.


Le 29 avril, les Soviétiques parviennent à 300 mètres du bunker d’Hitler, le Führerbunker, situé sous la Chancellerie. Au matin du 30 avril, Hitler tient sa dernière conférence, se retire avec sa femme, Eva Braun, qu’il a épousée la veille, et se suicide. Göbbels, nommé chancelier du Reich, se suicide avec sa famille peu de temps après. Au même moment, les soldats de la 150ème division, et de la IIème armée de choc, investissent le Reichtag, défendu par 5 000 soldats. Les combats se poursuivent jusqu’au soir. Peu après 22 heures, le drapeau soviétique est fixé sur la coupole du Reichstag.


Ce n’est que le 2 mai que le général Weildling se rend, et signe l’acte de capitulation de la ville. A son appel, les derniers carrés de résistance se rendent. Seules quelques unités, comme la division « Münchenberg », continuent de combattre dans l’espoir de briser l’encerclement, et de rejoindre les lignes américaines. C’est ainsi que se termine la bataille de Berlin, suivie, six jours après, de la capitulation du reich tout entier, signée dans le château de Postdam, le «Schloss Sanxsoucis" 





















LA BATAILLE DE BERLIN EN VIDEOS :




Source : Ould Lablad

10 ponts et viaducs étonnants !

Comment visiter des monuments sans dépenser un sou ? Et bien aller voir des ponts ! Je vous propose un tour du monde en 10 ponts qui ne sont sans doute pas les plus beaux ni les plus prestigieux, mais chacun par son architecture unique mérite largement le détour. Inutile d’aller à l’autre bout du monde pour en voir un, l’un d’eux se situe dans le sud de la France, même s’il a été récemment construit son nom est déjà très connu : le viaduc de Millau.


Pont langkawir
Pont Langkawir 

pont akashi
Pont Akashi (Japon)

pont golden gate
Pont du Golden Gate à Los Angeles (USA) 

Pont helix
 Pont Helix (Singapour)

pont Henderson Waves
 Pont Henderson Waves (Singapour)

Pont Magdeburg
 Pont Magdeburg (Allemagne)

Si-o-se Pol
 Si-o-se Pol (Iran)

viaduc de Millau
 Viaduc de Millau (France)

pont de stari most
 Pont de Stari Most (Bosnie-Herzégovine)

pont du Gard
Pont du Gard (France) 

La Suède va interdire la vente du paracétamol dans les supermarchés





L'Agence suédoise du médicament vient d'annoncer qu'elle allait retirer de la vente libre dans les supermarchés les comprimés de paracétamol, et ceci à partir de novembre 2015. Elle a en effet constaté, suite a une étude menée de 2009 à 2013, que depuis qu'elle avait autorisé la vente sans ordonnance de ce médicament hors pharmacies, il y a 6 ans, le nombre d'intoxications, y compris volontaires, avait augmenté de 40% . 



Pour l'Agence cette décision a donc pour but de limiter l'accès à ce médicament et de protéger la santé publique contre un facteur de risque qu'elle estime "considérable".

Au Maroc, le paracétamol est très largement consommé en auto- médication pour traiter la douleur et la fièvre (Doliprane, Dafalgan, Efferalgan, Humex, Actifed, etc....)






Consommation de paracétamol : Surtout ne pas dépasser la dose prescrite !

Qui n’a pas sa boîte de paracétamol à la maison, sinon carrément dans le sac ? Qui peut jurer qu’il n’a pas pris ce médicament récemment à l’occasion d’un mal de tête ou de dos?
Consommée “comme des bonbons”, le succès mondial de cette molécule - aussi appelé acétaminophène -, repose en effet sur sa faible toxicité gastro-intestinale et sur le fait qu’elle ne provoque pas de réactions d’hypersensibilité. Comparé à l’aspirine, le paracétamol est largement plébiscité pour ces deux raisons, ce qui en fait le produit le plus couramment utilisé dans l’automédication pour lutter contre la douleur et la fièvre, faisant de cette molécule l’analgésique et antipyrétique le plus utilisé dans le monde.
Attention au dosage
Lorsqu’il est utilisé à la posologie recommandée, le paracétamol a l’avantage d’avoir peu de contre-indications, de pouvoir être prescrit à tout âge et d’être dénué d’effets indésirables sérieux.
Est-il nécessaire de rappeler que malgré tout, il reste un médicament et qu’à ce titre, il a des doses limites, des effets indésirables et aussi des incompatibilités avec d’autres médicaments?
Il faut savoir que, sans qu’on en connaisse les raisons exactes, le paracétamol présente une toxicité pour le foie dès lors que l’on dépasse les doses usuelles. Or, les cas de surdosage sont courants et ont des conséquences graves: le paracétamol peut être responsable, comme dans le cas de Zakaria Zerouali, de décès par hépatite fulminante.
Sur de longues périodes, les doses efficaces (quatre grammes par jour) peuvent devenir des doses toxiques, et provoquer des lésions hépatiques permanentes, surtout pour les sujets dont les fonctions hépatiques sont altérées.
 Les doses à ne pas dépasser
• Adultes: 500 à 1.000 mg par prise, en espaçant les prises de 4 heures minimum. Il n’est généralement pas nécessaire de dépasser la dose de 3 g par jour mais exceptionnellement (en cas de douleurs intenses non complètement contrôlées par 3 g par jour, et sur avis médical), on peut atteindre un maximum de 4 g par jour (soit 4 × 1.000 mg ou 8 × 500 mg).
• Enfants: La dose quotidienne recommandée est de 60 mg/kg/jour, à répartir en 4 ou 6 prises, soit environ 15 mg/kg toutes les 6 heures ou 10 mg/kg toutes les 4 heures.
Dans tous les cas, il faut veiller à identifier la dose ingérée: à ce titre il faut rappeler que les boites dosées à 500 mg peuvent être confondues avec celles dosées à 1.000 mg.
La dose totale maximale de paracétamol ne devrait pas dépasser 80 mg/kg/jour chez l’enfant de moins de 37 kg et 3 g par jour chez l’adulte et le grand enfant au-delà de 38 kg.
Attention aux associations de médicaments
Rappelons que le paracétamol peut être associé à d’autres antalgiques au sein d’un même médicament. Présent dans de nombreux médicaments, et mélangé à d’autres molécules, le risque de surdosage involontaire est d’autant plus grand. Peu de personnes réalisent en effet qu’elles consomment trop de paracétamol en prenant par exemple un médicament pour soigner un mal de tête, tout en associant un produit contre le rhume.
Pour éviter le surdosage, il est utile de discuter avec un pharmacien pour connaître les médicaments contenant du paracétamol ou bien de regarder la composition des médicaments pour détecter la présence de paracétamol.
Que faire en cas de surdosage ?
Les symptômes sont difficiles à cerner en cas de surdosage de paracétamol. La phase initiale de l’intoxication peut même passer inaperçue, ou manifester des symptômes banals comme des nausées, des vomissements, une anorexie ou encore des douleurs abdominales. Il n’existe pas de corrélation entre la présence ou non de symptômes dans les premières heures et la gravité de l’intoxication.
Conduite à tenir
La prise en charge rapide est cependant très importante: un dosage du paracétamol permet la mise en route précoce d’un traitement qui est généralement efficace. Le lavage gastrique n’est pas indiqué. Un conseil auprès d’un centre antipoison et de toxico-vigilance est hautement conseillé.
Centre anti-poison et de pharmacovigilance du Maroc: 0801 000 180

Nous gaspillons deux mois de notre vie à chercher des objets perdus.


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Nous perdons entre 30 minutes et 2 heures 30 à essayer de retrouver les objets que nous essaimons un peu partout.

Téléphone, clés, lunettes, doudou, médicaments... la liste des objets qui peuvent cruellement nous faire défaut quand nous les avons égarés est longue. Et l'énergie dépensée à les retrouver est tout aussi démesurée.


En une vie, nous passons en moyenne deux mois à essayer de mettre la main sur ces choses qui ne sont pas à leur place.