Une catastrophe naturelle est un événement d'origine naturelle, subi et brutal, qui provoque des bouleversements importants pouvant engendrer de grands dégâts matériels et humains.Si les catastrophes naturelles sont provoquées par des causes météorologiques, sismiques ou autres sur lesquelles l'homme n'a pas de prise, leurs bilans dépendent fortement du facteur humain.
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Les gens qui rient plus tolèrent mieux la douleur à la fois physique et émotionnelle !
Une étude a été menée par des chercheurs de l’Université d’Oxford a montré qu’un bon rire diminue la sensation de douleur. En effet, les rires stimulent la libération des hormones endorphines qui provoquent une sensation de bien-être et qui agissent comme des analgésiques naturels.
La série d’expériences a testé la tolérance à la douleur de personnes qui ont participé à des activités qui provoquent des rires comme regarder des vidéos comiques ou des spectacles, d’autres ont participé à des activités qui ne font pas rire. Ceux qui ont regardé des comédies et qui ont ri étaient capables de tolérer 10 % plus de douleur que les autres personnes. L’endorphine libérée lorsqu’ils ont ri les a aidés à résister à la douleur physique et émotionnelle.
Les 10 phobies les plus partagées au monde
La phobie est un handicap réel. Malaise vagal, crise de panique, nausées, palpitations, nœud à l’estomac, tachycardie, tremblements, impression de ne plus pouvoir bouger ni réfléchir, etc… Les phobies peuvent nous mettre dans des situations invivables, voire même nous gâcher la vie…
Ou la peur d'interagir avec autrui. Inclus la téléphonophobie (peur de répondre au téléphone) qui est très répandue.
Ou la peur des endroits publics ou de se retrouver dans des espaces ouverts ou des lieux publics, d’être "pris au piège" (par exemple dans une salle de concert ou de cinéma).
Ou la peur de vomir ou de voir quelqu’un vomir.
Soit la peur de rougir en public
Soit la peur de conduire une voiture
La peur d’être malade. Certaines personnes développent une nosophobie (peur d’être contagieux) ou une latrophobie (mot qui désigne la peur d'aller chez le médecin).
Ou la peur de l'avion
Soit peur des araignées
La peur des animaux (avec les serpents en tête de liste puis les chiens et même les oiseaux)
Ou la peur des endroits clos (comme un ascenseur ou lieu exigu avec beaucoup de personnes autour de soi)
D’où viennent les phobies ?
Spécialiste des phobies, Alexandra Sénéchal nous a expliqué l’origine des phobies, en majorité issues de l’enfance et même de la vie pré-utérine, et qui se développent notamment à l’adolescence : « Ca peut subvenir suite à un événement traumatique bien sûr, mais souvent c’est plus profond. A l’adolescence, on est plus sensibles, il y a beaucoup de changements, physiologiques, on a également prouvé que les casques d’orthondonthie tirent sur les muscles du crâne, que ça développe des phobies par un mécanisme encore étrange… Et c’est aussi souvent un changement hormonal ».
Certaines phobies comme la peur des araignées par exemple, seraient plus « culturelles », répétées et transmises de générations en générations par « mimétisme »…
Comment s’en séparer ?
Dans son ouvrage « En finir avec les phobies », Alexandra Sénéchal raconte – à la première personne – son parcours de phobique et comment elle s’en est sortie : « J’étais agoraphobe depuis l’âge de 13 ans, j’avais des sensations de vide, même dans ma chambre, mais j’ai décidé à à 20 ans de m’en sortir. J’ai tout essayé ou presque : la psychanalyse, l’hypnose mais je ne suis pas réceptive, et les théories comportementales. C’est l’EMDR, la désensibilisation par les yeux, cumulée avec autres techniques qui a fini par fonctionner. Mais surtout, il faut se confronter à soi-même. Je me parlais dans une glace, en faisant les questions et les réponses. Je m’en suis sortie comme cela ».
« Il faut faire de ses phobies une force. »
Exprimer ses émotions au moment précis où l'on est confronté(e) à une peur pourrait aider à réduire cette dernière, selon une étude publiée dans la revue Psychological Science. Il y a une région du cerveau, le cortex préfrontal ventrolatéral droit, qui semble être impliquée à la fois dans la capacité de nommer les émotions et dans la régulation de ces dernières.
Il y aurait en effet un lien entre le taux de sérotonine (« hormone du bonheur ») et les phobies : elle agit dans la régulation de certains comportements comme l’humeur ou l’émotivité, et des troubles psychiques tels que stress, anxiété, phobies, ou dépressions. Les pensées positives ou négatives impactent également le taux de sérotonine. La pratique d’un sport régulier, l’exposition à la lumière, la consommation d’aliments riches en tryptophane tels que riz complet, chocolat, banane ou noix de cajou, aideraient à réguler la sérotonine.
Il faut surtout éviter l’évitement, la stratégie principale des phobiques. Mais certaines personnes ont peur de cet « après », les phobies sont devenues un élément de leurs personnalités. Pour Alexandra Sénéchal : « On s’habitue, on a l'impression que ça fait partie de nous même si ça nous gâche la vie. Mais il faut plutôt faire de ses phobies une force, comme par exemple apprendre le contrôle de soi, l’art de prendre le dessus. Les phobiques ont des personnes très sensibles, très créatives, il faut dériver la phobie au profit d'autre chose de plus positif pour s’en débarrasser ».
- La phobie sociale
- L'agoraphobie
- L'émétophobie
- L'éreutophobie ou érythrophobie
- L'amaxophobie
- L'hypocondrie
- L'aérophobie
- L'arachnophobie
- La zoophobie
- La claustrophobie
D’où viennent les phobies ?
Spécialiste des phobies, Alexandra Sénéchal nous a expliqué l’origine des phobies, en majorité issues de l’enfance et même de la vie pré-utérine, et qui se développent notamment à l’adolescence : « Ca peut subvenir suite à un événement traumatique bien sûr, mais souvent c’est plus profond. A l’adolescence, on est plus sensibles, il y a beaucoup de changements, physiologiques, on a également prouvé que les casques d’orthondonthie tirent sur les muscles du crâne, que ça développe des phobies par un mécanisme encore étrange… Et c’est aussi souvent un changement hormonal ».
Certaines phobies comme la peur des araignées par exemple, seraient plus « culturelles », répétées et transmises de générations en générations par « mimétisme »…
Comment s’en séparer ?
Dans son ouvrage « En finir avec les phobies », Alexandra Sénéchal raconte – à la première personne – son parcours de phobique et comment elle s’en est sortie : « J’étais agoraphobe depuis l’âge de 13 ans, j’avais des sensations de vide, même dans ma chambre, mais j’ai décidé à à 20 ans de m’en sortir. J’ai tout essayé ou presque : la psychanalyse, l’hypnose mais je ne suis pas réceptive, et les théories comportementales. C’est l’EMDR, la désensibilisation par les yeux, cumulée avec autres techniques qui a fini par fonctionner. Mais surtout, il faut se confronter à soi-même. Je me parlais dans une glace, en faisant les questions et les réponses. Je m’en suis sortie comme cela ».
« Il faut faire de ses phobies une force. »
Exprimer ses émotions au moment précis où l'on est confronté(e) à une peur pourrait aider à réduire cette dernière, selon une étude publiée dans la revue Psychological Science. Il y a une région du cerveau, le cortex préfrontal ventrolatéral droit, qui semble être impliquée à la fois dans la capacité de nommer les émotions et dans la régulation de ces dernières.
Il y aurait en effet un lien entre le taux de sérotonine (« hormone du bonheur ») et les phobies : elle agit dans la régulation de certains comportements comme l’humeur ou l’émotivité, et des troubles psychiques tels que stress, anxiété, phobies, ou dépressions. Les pensées positives ou négatives impactent également le taux de sérotonine. La pratique d’un sport régulier, l’exposition à la lumière, la consommation d’aliments riches en tryptophane tels que riz complet, chocolat, banane ou noix de cajou, aideraient à réguler la sérotonine.
Il faut surtout éviter l’évitement, la stratégie principale des phobiques. Mais certaines personnes ont peur de cet « après », les phobies sont devenues un élément de leurs personnalités. Pour Alexandra Sénéchal : « On s’habitue, on a l'impression que ça fait partie de nous même si ça nous gâche la vie. Mais il faut plutôt faire de ses phobies une force, comme par exemple apprendre le contrôle de soi, l’art de prendre le dessus. Les phobiques ont des personnes très sensibles, très créatives, il faut dériver la phobie au profit d'autre chose de plus positif pour s’en débarrasser ».
Les Etats-Unis se retirent de l'Unesco
Le siège de l’Unesco, dans le VIIe arrondissement parisien. Le départ des Etats-Unis sera effectif à partir de la fin 2018. |
La menace planait depuis des semaines. Washington l’a mise à exécution jeudi. Dans un communiqué lapidaire, le département d’Etat américain a annoncé le retrait des Etats-Unis de l’Unesco, l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. «Cette décision n’a pas été prise à la légère et reflète les inquiétudes des Etats-Unis concernant l’accumulation des arriérés à l’Unesco, la nécessité d’une réforme en profondeur de l’organisation, et ses partis pris anti-israéliens persistants», précise la diplomatie américaine. Quelques heures après l’annonce, le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a annoncé à son tour le retrait de son pays, qualifiant la décision américaine de «courageuse et morale».
Représailles.
De la part d’un président peu friand de multilatéralisme, cette décision n’est guère une surprise. Mi-septembre à New York, lors de sa rencontre avec Donald Trump, Emmanuel Macron aurait tenté, selon la revue Foreign Policy, d’obtenir le soutien du président américain à la candidature d’Audrey Azoulay à la tête de l’Unesco. L’ancienne ministre française de la Culture fait partie des favoris pour succéder à la Bulgare Irina Bokova. En guise de réponse, le secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, aurait laissé entendre au président français que Washington envisageait de quitter l’Unesco. Conformément au règlement de l’organisation basée à Paris, le retrait des Etats-Unis - qui souhaitent conserver un statut d’observateur - ne sera effectif que fin 2018. Mais en pratique, Washington a déjà pris ses distances depuis qu’en octobre 2011, l’Unesco a admis la Palestine comme Etat membre. En vertu d’une loi américaine des années 90, qui interdit à Washington de financer une agence reconnaissant la Palestine comme Etat, l’administration Obama avait dû cesser les financements.
Les représailles américaines ont porté un coup à l’organisation, contrainte d’opérer avec un budget amputé de 22 % (la part de la contribution américaine, de loin la plus importante). En six ans, les arriérés de paiement des Etats-Unis n’ont cessé de croître, pour dépasser ce mois-ci 540 millions de dollars (457 millions d’euros). Quoiqu’importantes pour Donald Trump, qui milite pour une baisse du budget de l’ONU, ces considérations financières n’expliquent pas à elles seules le retrait américain. Grands alliés d’Israël, les Etats-Unis accusent depuis longtemps l’Unesco de parti pris propalestinien. Une accusation relancée en juillet par la décision du comité du patrimoine mondial de l’Unesco de déclarer la vieille ville d’Hébron, en Cisjordanie occupée, «zone protégée» et ville «islamique». «Un affront à l’histoire», avait dénoncé l’ambassadrice américaine à l’ONU, promettant de réexaminer les liens de Washington avec l’organisation. C’est désormais chose faite.
Regrets.
Les représailles américaines ont porté un coup à l’organisation, contrainte d’opérer avec un budget amputé de 22 % (la part de la contribution américaine, de loin la plus importante). En six ans, les arriérés de paiement des Etats-Unis n’ont cessé de croître, pour dépasser ce mois-ci 540 millions de dollars (457 millions d’euros). Quoiqu’importantes pour Donald Trump, qui milite pour une baisse du budget de l’ONU, ces considérations financières n’expliquent pas à elles seules le retrait américain. Grands alliés d’Israël, les Etats-Unis accusent depuis longtemps l’Unesco de parti pris propalestinien. Une accusation relancée en juillet par la décision du comité du patrimoine mondial de l’Unesco de déclarer la vieille ville d’Hébron, en Cisjordanie occupée, «zone protégée» et ville «islamique». «Un affront à l’histoire», avait dénoncé l’ambassadrice américaine à l’ONU, promettant de réexaminer les liens de Washington avec l’organisation. C’est désormais chose faite.
Regrets.
Dans un communiqué, la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, a dit regretter la décision américaine, «au moment où la lutte contre l’extrémisme violent appelle à un renouveau des efforts pour l’éducation et le dialogue des cultures». La France a également exprimé ses regrets, tout en soulignant son attachement à l’Unesco «et à ses domaines de compétence, en particulier dans les secteurs prioritaires de l’éducation, de la prévention de la radicalisation et de la protection du patrimoine en péril».
Un accord de réconciliation entre le Hamas et Fatah trouvé au Caire
L’annonce a été faite jeudi par les deux groupes rivaux palestiniens.
Le président palestinien Mahmoud Abbas effectuera une visite dans la bande de Gaza le mois prochain, une première depuis 2007, affirmant ainsi la réconciliation inter-palestinienne, a déclaré à la presse le responsable de son parti à Gaza.
Le chef du Fatah dans la bande de Gaza, Zakaria al-Agha, a annoncé que "le président Abou Mazen sera à Gaza dans moins d'un mois". Autre avancée du rapprochement, M. Abbas devrait lever "très bientôt" les mesures financières prises en 2017 pour forcer le Hamas à la conciliation, a souligné M. Al-Agha.
Le Hamas avait annoncé, peu avant, dans un communiqué qu'un "accord (avait) été trouvé jeudi entre le Hamas et le Fatah sous parrainage égyptien", ajoutant que la question de ses armes n'était pas négociable.
Toutefois, le contenu de l'accord n'a pas été dévoilé. Mais une conférence de presse est prévue au Caire en milieu de journée, a précisé Fayez Abou Eita, un porte-parole du Fatah et membre de la délégation de son parti au Caire.
Le Hamas et le Fatah ont engagé mardi des négociations entourées du plus grand secret au Caire pour concrétiser cette réconciliation annoncée en grande pompe la semaine précédente.
Les discussions sont censées porter sur les modalités pratiques du rapprochement entre les deux parties, tandis que les questions relatives au contrôle de la sécurité dans la bande de Gaza et le sort des 25.000 hommes du bras armé du Hamas seraient reportés à plus tard.
Les deux parties ont déjà annoncé que la finalisation de la réconciliation prendrait du temps étant donné que les dispositions tangibles d'un partage de pouvoirs sont annoncées comme extrêmement ardues tant les intérêts des uns et des autres semblent contradictoires.
Le Hamas a accepté, sous pression, en septembre le retour à Gaza de l'Autorité et de son gouvernement. Le raccommodement a été matérialisé la semaine passée avec le premier conseil des ministres se tenant à Gaza depuis 2014.
Les villes fantômes les plus terrifiantes de la planète
Les bâtiments en ruines, les rues désertes et les immeubles envahis par la végétation sont un vrai paradis pour les amateurs des vues apocalyptiques.
Retrouvez les villes fantômes les plus terrifiantes de la planète dans ce diaporama :
- En 1859 l’orpailleur William S. Bodey a découvert de l’or dans le comté de Mono en Californie. La ville fondée à cet endroit-là a été nommé Bodie. La ville a connu une croissance rapide au fur et à mesure de la découverte des nouveaux gisements d’or. Mais dès 1990 sa population a commencé à la déserter avec la chute des prix de l’or. Un grand incendie n’a fait que précipiter le départ des habitants. Depuis 1962 la ville est un parc historique où l’on trouve environ 170 bâtiments conservés intacts depuis leur construction il y a un siècle.
- Un village englouti par le sable – voici comment on peut décrire le village de Kolmanskop situé en Namibie. Comme Bodie en Californie, il a vu le jour grâce aux ressources naturelles, plus précisément aux diamants dont un gisement avait été découvert à cet endroit au début du XXe siècle. Mais lorsque le gisement a été épuisé, les gens ont abandonné le village. Pendant longtemps il était en proie à la désertification, avant de devenir un lieu touristique.
- Ha-shima, une ville-île située japonaise située en mer de Chine orientale, doit son apparition à la découverte d’un gisement houiller. Vers les années 1930 on y a construit une trentaine d’immeubles, une école, un hôpital et même un cimetière. Pendant quelques décennies Ha-shima était l’un des endroits les plus densément peuplés de la planète avec plus de 139.000 habitants par mètre carré. La ville est devenue déserte en 1974 en seulement quelques semaines avec l’abandon de la mine. Aujourd’hui on peut faire une excursion sur l’île. Ha-shima fait partie de la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco.
- La Seconde guerre mondiale a laissé pas mal de cicatrices sur la surface de la Terre. Il a été décidé de laisser intactes certaines d’entre elles. C’est le cas de la commune d’Oradour-sur-Glane dans la Haute Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine en France. La population du village a été massacrée par une division SS en 1944. Depuis le «village-martyr» est conservé en ruines.
- Les catastrophes naturelles peuvent en quelques minutes transformer une ville entière en mémorial. Ainsi la ville de Beichuan en Chine est devenue un amas de ruines suite au séisme de 2008 qui a fait plus de 90.000 morts. Le séisme a par ailleurs provoqué de nombreux glissements de terrain. Aujourd’hui on peut visiter la ville fantôme en touriste. A côté des bâtiments en ruines on voit des panneaux sur lesquelles sont affichés des photos de ces mêmes bâtiments avant la catastrophe.
- Les catastrophes anthropiques sont une des causes les plus terrifiantes de l’abandon et de la dégradation des villes. Le bourg japonais de Tomioka a été totalement évacué en 2011 à la suite à l’accident nucléaire de Fukushima. En 2017 les habitants ont commencé à revenir dans leurs maisons.
- Pripiat est une ville fantôme ukrainienne abandonnée en 1986 à la suite de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986. La radioactivité ambiante y est très forte voire mortelle dans certains endroits. Les touristes doivent impérativement porter des vêtements spéciaux de protection et s’y aventurer uniquement accompagné d’un guide.
L’œil d’une autruche est plus gros que son cerveau !
Les yeux de l’autruche sont de la taille d’une boule de billard, ils prennent tant de place dans le crâne de ce grand oiseau. Son cerveau est effectivement plus petit que l’un de ses globes oculaires.
Cela peut être la raison pour laquelle l’autruche, en dépit de sa vitesse de course formidable, n’est pas très bonne à éluder les prédateurs. L’animal a tendance à courir en rond.
Les sans-abris en Russie - Ces SDF Russes sont appelés des «BOMJi»
Dominique Derda nous parle des conditions climatiques extrêmes à Saint-Petersbourg et des difficultés pour les sans-abri.
Le désœuvrement des gamins des rues : La Russie compte environ 700 000 enfants des rues. Ils viennent pour une part d'anciennes républiques soviétiques et tentent de survivre dans les grandes villes comme Saint-Pétersbourg où ils sont souvent exploités.
Partout dans le monde il reste de l'humanité, ça fait vraiment plaisir
Un plongeon dans l'eau glacée pour ces Australiens et Néo-Zélandais vivant à Moscou. Une initiative pour lever des fonds pour les sans abris russes.
L’automne dans différents pays du monde
Retrouvez les photos de la saison la plus mystérieuse et romantique
dans ce diaporama :
- La rosée sur un arbre aux alentours de Bartlett, dans le New Hampshire, aux États-Unis.
- Des jeunes filles lors d’une session photo dans le parc Kolomenskoïe, à Moscou.
- Le brouillard peu avant le lever de soleil dans les alentours de Zalaszentbalazs, situé à 230 km au sud-ouest de Budapest, en Hongrie.
- Des feuilles d’automne dans un jardin à Petersdorf, dans le nord-est de l’Allemagne.
- Une femme sous un parapluie dans une rue de Berlin, en Allemagne.
- Dans les environs du village de Gnadenwald, dans l’ouest de l’Autriche.
- Une jeune fille en train de descendre le mont Wildcat sur une tyrolienne, dans le New Hampshire, aux États-Unis.
- La rivière Koïard, dans la région de Krasnoïarsk, en Russie.
- Des potirons dans un champ, à Oulens-sous-Echallens, en Suisse.
- Un canard dans un étang, au jardin Neskoutchni, à Moscou.
- Un arbre dans les alentours de Seyne-les-Alpes, en France.
- Une femme avant une baignade dans le lac Serpentine, à Londres.
- Un homme prend en photo la forêt automnale à Aspen, au Colorado, aux États-Unis.
- Le lac Tolvajarvi en République de Carélie, en Russie.
- Un groupe d’oiseaux dans le ciel, dans la région de Kemerovo en Russie.
Mochi, le chien à la langue la plus longue du monde
À chaque fois, le "Guinness des records" offre son lot de surprises. Ce mardi 3 octobre, Mochi, une femelle St. Bernard a reçu la distinction de "la plus longue langue de chien". Très officiellement mesurée par un vétérinaire, elle mesure, de la pointe au museau, plus de... 18,58 centimètres. Imbattable."Ça vaut le coup! Cette récompense vaut bien toute l'eau et la bave qu'on a dû nettoyer", s'est amusée sa famille originaire de Dakota du Sud, aux États-Unis, à l'annonce du prix.Les propriétaires de Mochi ont décrit leur chien ...
Il y a une île abandonnée au Japon qui avait auparavant une densité de population de 108 000 personnes par kilomètre carré !
L’île de Hashima est une ville fantôme abandonnée située à moins de vingt kilomètres au sud-ouest de la ville de Nagasaki au Japon. Jusqu’en 1974, Hashima était une installation minière de charbon achetée par Mitsubishi en 1890.
L’île de 60 000 mètres carré a atteint son apogée de population en 1959 avec 5259 habitants. Cela se traduit par environ 108 000 personnes par kilomètre carré. Dans les années 1960, le pétrole a pris la place de l’extraction du charbon et les mines ont fermé dans tout le Japon dans les années 1960.
Mitsubishi a officiellement fermé les mines en 1974 et l’île est devenue désertique. Et après avoir été fermée pendant 35 ans, les visites ont été rendues possibles à Hashima à partir de 2009.
Les sports étranges et insolites à travers le monde
1. Hurling
Un sport collectif irlandais qui se joue à 15 contre 15. Les joueurs ont une crosse qu’ils doivent utiliser pour se passer une balle. Le but du jeu est de marquer le plus de buts.
2. Sepak Takraw
Le principe du Sepak Takraw est comme celui du tennis ballon sauf que le filet est celui du volley ball. Les participants n’ont pas le droit d’utiliser les mains mais les pieds, les genoux, la poitrine ou la tête.
3. Headis
Un sport qui remplace la balle de ping-pong par un ballon. De plus, les participants ne peuvent se servir que de la tête.
4. Botaoshi
Deux équipes de 75 joueurs s’affrontent pour contrôler un poteau. La défense doit protéger le poteau et l’homme qui est placé dessus alors que l’attaque doit le faire tomber et incliner le poteau à plus de 30 degrés.
5. Caber (lancer de tronc d’arbre)
En Ecosse, les hommes les plus costauds tentent de faire un demi-tour complet à un tronc d’arbre ou à une poutre de plus de 4 mètres.
6. Recouvrement d’abeilles
Venez tester votre courage en Chine en étant recouvert de la tête aux pieds par des abeilles. Sans protections, le record est de 350 000 abeilles.
7. Football avec une noix de coco enflammée
Sur l’île de Java, vous pouvez assister à des matchs de football insolites. Le ballon est remplacé par une noix de coco enflammée.
8. Saut de chameau
Placez un chameau et tentez de sauter par dessus. Voici le principe du saut de chameau. Une discipline qui demande souplesse et un physique particulier.
9. Cheese Rolling
Des milliers de participants essayent d’attraper un fromage qui dévale une pente. Le vainqueur est la personne qui arrive la première en bas.
10. Fierljeppen
11. Kabaddi
Le Kabaddi est un sport populaire en Asie. Deux équipes de sept joueurs s’affrontent sur un terrain. Un membre de chaque équipe joue le rôle de l’attaquant (raider). Son but est de toucher un membre de l’équipe adverse pour l’éliminer. Il doit également retenir sa respiration. La défense doit constituer une chaîne et empêcher le raider de rentrer dans son camp.
12. Calcio florentin (calcio storico)
Ce jeu ancestral italien est un jeu de balle qui consiste à marquer des buts. Il n’existe pas vraiment de règles si bien que les joueurs (27 dans chaque équipe) peuvent utiliser des prises de lutte pour freiner les adversaires.
13. Hockey subaquatique
Le principe du hockey subaquatique est le même que celui du hockey sur glace ou du hockey sur gazon sauf que l’action se passe au fond d’une piscine et en apnée.
14. Baisers sous l’eau
Avec votre partenaire, tenez votre respiration le plus longtemps possible et embrassez-vous. Les vainqueurs sont ceux qui ressortent les derniers.
15. Plongée en marécage
Des compétitions sont organisées dans lesquelles les participants doivent nager sans faire usage de leurs bras. Ils peuvent néanmoins se servir de leurs palmes.
16. Pacu Jawi
Une course de vaches sur la boue où le principe est de tenir le plus longtemps possible. Une tradition qui perdure en Indonésie.
17. Tir de petits pois
En utilisant votre souffle et une sarbacane, vous devez lancer un petit pois sur une cible et marquer des point. Un sport que l’on retrouve le plus souvent en Angleterre.
18. Charmeurs de vers
Vous avez 30 minutes pour faire sortir les vers de la terre. Il est interdit de les déterrer. Vous pouvez par exemple utiliser des vibrations ou de la musique pour qu’ils viennent à la surface.
19. Slamball
Comment faire les gestes les plus spectaculaires du basket-ball plus souvent ? Installez un trampoline. Le slamball est un match où les deux équipes sont sur un trampoline géant. Le but étant de marquer le plus de points.
20. Course de tondeuse
Les tondeuses qui possèdent un siège et un volant sont utilisées pour faire des courses. Une discipline qui devrait plaire aux travailleurs du dimanche.
21. Le Chessboxing
Le principe est très simple. Vous mettez en place un ring avec deux boxers mais au centre vous installez également deux chaises et un échiquier. Les deux participants ont alors 11 rounds pour se départager en jouant les gros durs puis en faisant fonctionner les méninges.
22. Combat de dromadaires
Encore un duel d’animaux avec cette fois-ci des dromadaires. Un spectacle que l’on retrouve en Turquie depuis plus de 2000 ans. Comme dans tout combat, celui qui arrive mettre l’autre au tapis remporte la victoire.
23. Course de cochons
Les animaux ont également le droit à des courses. On connait par exemple les courses de chevaux, de lévriers ou d’escargots. Maintenant, il existe également des courses de cochons. On retrouve plus particulièrement cette discipline aux Etats-Unis où les bêtes s’affrontent sur la terre ferme mais aussi dans l’eau.
24. Repassage de l’extrême
Cette tâche ménagère se transforme en discipline sportive. Pour cela, vous devez repasser sous l’eau, en haut d’un falaise ou encore en plein milieu d’une forêt.
25. Combat d’orteils (ou « toe-wrestling »)
Le principe est le même que pour un bras de fer. Il suffit alors de faire basculer le pied de l’autre contre le sol. Il va vous falloir de l’entrainement avant de tenter votre chance.
26. Street Luge (Course de luge de rue)
Que faire quand vous aimez pratiquer la luge mais qu’il n’y a pas de neige ? Vous pouvez choisir la rue comme terrain de jeu. C’est le principe de la street luge. Bien entendu lors des compétitions, les rues sont sécurisées pour éviter aux participants de tomber nez à nez avec une voiture.
27. Porter de femme
Que feriez-vous pour un peu de bière ? Partez en finlande participer à une course où les hommes doivent porter leurs femmes. Le vainqueur reçoit le poids de sa coéquipière en bière.
28. Bras de fer
Vous connaissez sûrement cette discipline mais vous ne saviez peut-être pas que c’était un sport. Des compétitions sont régulièrement organisées pour déterminer l’homme qui a le bras le plus performant. Pour rappel, il faut battre son adversaire en plaquant son bras sur la table.
29. Les Jeux Olympiques de la boue (Wattoluempiade)
En Allemagne, dans la ville de Brunsbuettel, on peut assister aux Jeux Olympiques de la boue. Le principe est exactement le même que des JO classiques sauf qu’ils se déroulent dans la boue. Au programme handball, football ou encore volley-ball.
30. Prison Rodeo
Aux Etats-Unis, on peut assister à des épreuves de Prison Rodeo. Des prisonniers sont installés dans une arène et commence à jouer au poker mais très vite un taureau fait son apparition. Bien entendu la partie subit quelques temps morts.
31. Onbashira
Au Japon, tous les six ans on peut assister au festival Onbashira. Un pin est coupé et le tronc est ensuite monté en haut d’une colline. Les participants se placent alors dessus et dévalent la pente.
-
Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
-
Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était be...
-
Le palmier marcheur, palmier à échasses ou Socratea exorrhiza de son nom scientifique est un arbre capable de se déplacer de plus d’un mèt...