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L'Islande est le seul pays européen à ne pas avoir de train

Les amateurs de voyage en train seront déçus : en Islande, il n'y a pas de réseau ferroviaire ! C'est le seul pays européen à ne pas avoir de train, même si plusieurs tentatives eurent lieu. Il est probable que la faible densité de population ou bien la rudesse de la météo rendirent la tâche compliquée. On misera alors sur l'excellent réseau de bus pour se déplacer, ou bien on louera une voiture. 

C'est un enfant qui a dessiné le drapeau de l'Alaska

Au total, plus de 700 écoliers avaient proposé leur dessin pour le drapeau du nouveau gouvernement de l'Alaska en 1927, et c'est celui de Benny Benson qui fut choisi ! L'Alaska est le seul pays à avoir un drapeau imaginé par un enfant. Alors qu'il n'avait que treize ans, l'auteur du dessin imagina ces huit étoiles dorées qui forment la constellation de la Grande Ourse et à droite, l'étoile Polaire. 

Albert Einstein, 1879 - 1955.


Albert Einstein est certainement le scientifique le plus célèbre de la planète. Et pour cause, ses travaux sur la relativité restreinte et la relativité générale ont bouleversé notre conception et notre perception du monde. En établissant le principe d'équivalence entre masse et énergie, en postulant la vitesse finie de la lumière, en prouvant l'existence du photon, en déterminant la courbure de l'espace-temps, il a redonné une nécessaire impulsion à la physique qui se trouvait dans une impasse.

Enfance et scolarité d'Albert Einstein.
Albert Einstein est né le 14 Mars 1879 à Ulm, Wurtemberg, Allemagne, dans une famille juive peu pratiquante. Son père, Hermann Einstein, était patron d’une usine électrochimique. Sa mère, Pauline Koch, était musicienne. La famille vivait également avec l’oncle d’Albert, un ingénieur. C’est son oncle, et non son père, qui donnera le goût au jeune Albert des mathématiques.
Une curiosité scientifique précoce
A 5 ans, son père lui offre un cadeau qui le marquera toute sa vie : une boussole. Tout gamin qu’il est, il est très impressionné par le mystère qui fait rester immobile l’aiguille, toujours pointée vers la même direction, alors qu’il tourne l’objet dans tous les sens … Il prend conscience de l’action à distance.A 6 ans, poussé par ses parents, il prend des cours de violon. Au début, il manifeste assez peu d’intérêt pour cette musique, jusqu’au jour où il découvre les sonates de Mozart. Il gardera cette passion pour le violon jusqu’à la fin de sa vie.


Un élève irrégulier
Il entre au même âge à l’école élémentaire de sa paroisse. Einstein n’est pas un modèle de réussite scolaire … Très fort en mathématiques, il est mauvais dans les autres matières, notamment en langues vivantes. S’il apprend les mathématiques par goût pour ceux-ci, il se force tant bien que mal à apprendre les autres matières par obligation pour l’obtention de l’examen. Einstein souffre même d’un retard de langage, il avait mis très longtemps à apprendre à parler et est encore la cible de difficultés d’élocutions, qui le gêneront jusqu’à l’âge de 9 ans.
Une rigueur disciplinaire mal vécue
A 10 ans, il quitte son école primaire pour le Luitpold gymnasium de Munich. Einstein vit alors assez mal la rudesse de la discipline qui y est appliquée. Ces gymnases (entendre lycée) allemands sont d’une sévérité militaire en cette fin de XIXème siècle. Einstein dira : « Les professeurs m’ont fait à l’école primaire l’effet de serpents, et au gymnase de lieutenants ».
A 13 ans, il lit la « petite bible » de la géométrie. Cet ouvrage le marque profondément, il lui inculque la rigueur du raisonnement logique et lui fait abandonner toute croyance religieuse dogmatique.


Un échec, fruit de ses lacunes
Ses études au gymnase terminées, il quitte l’Allemagne pour entrer, après avoir au préalable rejoint ses parents en Italie, à l’école Polytechnique Fédérale Suisse de Zurich… Mais échoue à l’examen d’entrée ! Il paie là ses lacunes dans les matières qu’il juge inintéressantes, telles les langues, les sciences naturelles … Il fait néanmoins sensation sur ses connaissances en mathématiques, et le directeur de polytechnique lui propose d’obtenir le diplôme dans une autre école suisse, située à Aarau. Il est donc accepté à l’école à sa deuxième tentative.


Einstein entre dans la vie active.
Premier emploi à l'office national des brevets de Berne
A la fin de ses études, Einstein se met à la recherche d’un emploi, non sans difficulté. Ne trouvant pas dans son domaine, il se rabat sur un emploi d’agent de brevet, examinant les inventions apportées. Il s’installe à Berne et épouse une camarade d’études (au Polytechicum), Mileva Maritch. En fait, il l’épouse peu après la mort de son père, car celui-ci était hostile à ce mariage. Ils auront ensemble deux fils, Hans-Albert (1904) et Eduard (1910). Liersel, leur fille née avant leur mariage, a été abandonnée, car cela aurait pu, selon les critères de l’époque, l’obliger à quitter l’office des brevets.
Parallèlement à son travail, qu'il juge alimentaire, il s'adonne à son intérêt premier : la physique théorique.


La physique de l'époque en crise.
En ce début de XIXème siècle, la physique traverse une grave crise. Les deux théories expliquant les phénomènes physiques se contredisent et sont incompatibles. D’un côté, la mécanique, basée sur la relativité de Galilée qui dit : rien n’est immobile, tout dépend du référentiel dans lequel on se place. A l’opposé, la théorie de l’électromagnétisme de Maxwell établie dans les années 1850, décrivant la lumière comme une onde évoluant dans l’éther.
L’éther (explication du vide avant la découverte du rayonnement fossile, vestige du Big Bang), théoriquement parfaitement immobile, ne sera jamais décrit physiquement. C’est cette immobilité qui est en complète contradiction avec le principe de relativité. De plus, une autre contradiction vient semer le trouble dans une science déjà ébranlée : La matière est constituée d’atomes, elle est donc discontinue. Or d’après Maxwell la lumière est continue. Comment quelque chose de discontinu peut-il engendrer un phénomène continu ? Aucun physicien de l’époque ne peut répondre à cette question et la physique est dans l’impasse.


Einstein publie sa théorie de la Relativité restreinte
Une publication qui révolutionne la physique.

En 1905, Einstein publie le résultat de ses recherches dans Annalen der Physik : quatre articles qui se révèleront révolutionnaires.
Le premier expose une nouvelle théorie de la nature corpusculaire de la lumière (étude de l’effet photoélectrique). Elle est constituée de grains minuscules de matière (ou « photons »), mais se comporte comme une onde : La lumière est à la fois d'une nature ondulatoire et corpusculaire, elle est donc ni continue ni discontinue, mais les deux à la fois !!
Le deuxième article est ce qu’on connaît sous le nom de la relativité restreinte, théorie basée sur les travaux de Hertz, Poincaré et Lorentz. Pour Einstein, l’éther n’a pas lieu d’être, la seule donnée permettant de décrire la lumière est sa vitesse c, constante quelle que soit la vitesse de l’observateur. Il unifie donc les théories de la matière et de la lumière. De plus, il apparaît que le temps n’est plus un invariant, mais il devient lui aussi une donnée relative. Cette théorie introduit bien une équivalence entre la matière et l’énergie, c’est elle qui sera à l’origine du développement de la technologie nucléaire, à des fins civiles ou militaires … Le troisième démontre l’équation la plus célèbre du monde : E = mc². L’énergie est égale au produit de la matière et de sa vitesse au carré.
Le quatrième article parle du mouvement brownien.


Le talent d'Albert Einstein révélé.
N’oublions pas qu’Einstein est toujours simple fonctionnaire à l’office des brevets ! Cette publication fait alors un tel émoi que, pour les physiciens des universités suisses, l’auteur n’est pas à sa place dans une fonction si primaire. Il est alors nommé professeur « extraordinaire » à l’université de Zurich, en 1909. Entre temps, en 1907, il réfléchit beaucoup à sa théorie de la relativité générale, qui explique la chute des corps. Cette théorie nécessite néanmoins de plus grandes connaissances en mathématiques modernes, notamment en géométrie non euclidienne.
En 1910, c’est la chaire de physique théorique de l’université de Prague qu’Einstein ambitionne. En effet, celle-ci vient de se libérer, mais un autre physicien désire également cette place : Gustave Jaumann. Par choix politique, c’est ce dernier qui est accepté pour remplir ces fonctions, même si Einstein était le premier choix. Pour faire face aux critiques sur son élection, Jaumann répondra : « Si Einstein a été proposé le premier à votre choix, parce qu’on croit qu’il a une œuvre plus importante à son crédit, je n’ai alors rien à faire avec une université qui court après la modernité et n’apprécie pas le mérite vrai. ».
En 1912, il devient professeur à l’école polytechnique de Zurich, et retrouve un ancien camarade du nom de Marcel Grossmann. Il obtient auprès de lui l’aide dont il avait besoin en mathématiques pour entreprendre les travaux sur sa théorie.
Les offres se multiplient et, en 1913, il est nommé à l’Académie des sciences de Prusse, à cette époque il a déjà la nationalité suisse, il doit en plus adopter la nationalité prussienne. On l’invite au Congrès Solvay, en Belgique, il fait là-bas la connaissance de plusieurs scientifiques éminents : Marie Curie, Max Planck, Paul Langevin …
L’année suivante, il retourne en Allemagne, à Berlin, afin de se concentrer sur ses recherches. La première guerre mondiale éclate et Einstein profite de sa notoriété pour prêcher le pacifisme. A cette époque, il se sépare de sa femme Mileva, et fréquente une cousine berlinoise.



Théorie de la Relativité générale.
Après une erreur dans sa théorie qui lui fait perdre trois années, il sort, en 1915, sa théorie de la relativité générale. Einstein y remplace la force d’attraction empruntée à la théorie de l’attraction universelle de Newton par une déformation de l’espace autour des corps.
On peut aisément se matérialiser cette idée en la comparant à une bille de plomb placé sur un drap tendu. La bille crée un creux de par sa masse et chaque corps qui s’y approche suffisamment près tombe avec la même accélération. Chaque corps suit la même ligne de plus grande pente du creux formé dans l’espace. Autre point capital de la théorie, Einstein énonce le fait que l’espace et le temps sont indissociables de la présence de matière. Par exemple, si une étoile déforme l’espace autour d’elle, alors la lumière émise par une autre étoile placée derrière sera déviée et son image ne sera pas à l’endroit où elle devrait être.
Sir Arthur Eddington, astronome britannique, validera cette expérience après l’observation d’une éclipse. Cette théorie étant désormais avérée, une tempête médiatique déferle et offre à Einstein la reconnaissance et la gloire qu’il mérite.


La théorie de la relativité générale prévoit une expansion infinie de l’Univers, idée que réfute en bloc Einstein. En effet, Einstein est de ceux qui ne croient pas au Big Bang, à la singularité initiale. Il crée donc un moyen de la contrer en établissant ce qu’il appelle la constante cosmologique. Une théorie qu’il niera ensuite en disant qu’elle a été la plus grande erreur de sa vie. Aussi respecté et écouté qu’il est, il se met en marge de la jeune génération de physiciens comme Heisenberg, Pauli et Bohr. En effet, Einstein vient de poser les bases d’une nouvelle théorie, la théorie quantique (notamment en expliquant l’effet photoélectrique), qu’il n’accepte pas. Il ne veut pas admettre le fait que cette théorie interdit toute représentation physique des briques élémentaires de la matière, comme les électrons, les protons etc … Ils ne peuvent être décrits qu’en terme de probabilité ! Probabilité de trajectoire, de position, de vitesse. Einstein n’accepte décidemment pas cette vision probabiliste de la réalité. Pour lui, la mécanique quantique est sinon inexacte, du moins incomplète. On peut dire en ce sens qu’il est le dernier physicien classique. Pour justifier ses pensées, il dit : « Dieu ne joue pas aux dés ». Exprimant son désaccord, Bohr répondra : « Qui êtes-vous Albert Einstein pour dire à Dieu ce qu’il doit faire ? »..



Albert Einstein : Un scientifique engagé et persécuté.
Militant pour la cause juive
Engagé politiquement, Einstein profite de sa notoriété soudaine pour promouvoir son idéal de paix. Défenseur de la cause juive, il milite en faveur de la création d’une université de haut niveau en Palestine. En 1921, il récolte les fonds nécessaires lors d’un voyage aux Etats-Unis (il reçoit la même année le prix Nobel de physique). Einstein réside alors toujours en Allemagne, à une époque où monte la pensée nationaliste et anti-sémite. Juif, pacifiste et mondialiste, il subit alors les foudres des extrémistes national-socialistes, plus connus sous le nom de nazis. En 1928, il est nommé président de la ligue des Droits de l’Homme.



Fuyant l'Allemagne et le nazisme
En 1932, il apprend que sa maison de Berlin a été pillée par les nazis. L’année d’après, Hitler prend le pouvoir, plus exactement il est élu démocratiquement par son peuple. Einstein rentre alors d’un nouveau voyage aux Etats-Unis et, conscient du danger qui découle de cette élection et craignant pour sa vie, il décide de ne pas rentrer pas à Berlin mais de rejoindre les savants de l’Institute for Advanced Study de Princeton.
Développant le programme atomique
En 1940, il prend définitivement la nationalité américaine. Il décide alors de convaincre le président Roosevelt de développer le programme de la bombe nucléaire, de peur que l’Allemagne n’y parvienne avant eux. Il lui réécrira plus tard pour demander d’abandonner ce projet, contraire à ses idées de pacifiste … Malheureusement, les programme nucléaire est lancé, et deux bombes sont lâchées à la fin de la guerre sur Hiroshima et Nagasaki, en 1945.
Einstein regrettera son geste toute sa vie et soutiendra jusqu’à sa mort l’action du Comité d’Urgence des savants atomistes, qui vise à limiter les ingérences de l’état dans la recherche scientifique.

Albert Einstein meurt le 18 Avril 1955 d’une rupture d’anévrisme.


Citations célèbres d’Albert Einstein.
  • Un être humain est une partie du tout que nous appelons "Univers"... Une partie limitée dans le Temps et dans l'Espace."
  • "Ne t'inquiète pas si tu as des difficultés en maths, je peux t'assurer que les miennes sont bien plus importantes !"
  • "Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue."
  • "Ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu'ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement."
  • "Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité."
  • "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !"
  • "Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."
  • "Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, et par ceux qui les regardent sans rien faire."
  • "Dieu ne joue pas aux dés."
  • "Ce qui fait la vraie valeur d'un être humain, c'est de s'être délivré de son petit moi."
  • "Une personne qui n'a jamais commis d'erreurs n'a jamais tenté d'innover."
  • "La valeur d'un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir."
  • "La science sans religion est boiteuse, la religion sans science est aveugle."
  • "Je veux connaître les pensées de Dieu ; tout le reste n'est que détail."
  • "L'imagination est plus importante que le savoir."
  • "La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le mystère des choses."

Sélection de videos sur l'astronomie :




Connaissez-vous les mochis ?

Cette petite douceur qui a traversé les frontières nipponnes commence à avoir des adeptes aux quatre coins du monde. Pourtant, attention si vous vous laissez tenter par cette petite boule de riz gluant qui, paraît-il, porte bonheur : chaque année, plusieurs personnes sont victimes d'étouffement ! On vous conseille donc de bien mâcher, il serait dommage de gâcher son voyage au Japon pour un petit mochi ! 




Les moyens de prévention contre le coronavirus ?

  • Bien se laver les mains, le premier geste-barrière
    Comme pour toute épidémie, un lavage régulier et efficace des mains est indispensable pour réduire les risques de contamination.

Selon les recommandations du ministère des Solidarités et de la Santé, pour bien se laver il est recommandé de :
  • - Les passer sous l’eau ;
  • - Les savonner de préférence au savon liquide puis les frictionner pendant 30 secondes ;
  • - Un lavage complet doit comprendre les ongles, le bout des doigts, les paumes et l’extérieur des mains, les jointures et les poignets ;
  • - Les rincer à l’eau claire ;
  • - Se sécher les mains sur une serviette propre ou à l’air libre.
Ce réflexe permet d’inactiver le virus s’il est présent sur vos mains. Pour la fréquence, répétez ce geste dès que nécessaire, soit :
- Dès que vous arrivez chez vous ou au bureau ;
- Après avoir pris les transports en commun ;
- Après chaque passage aux toilettes ;
- Avant de vous occuper d’un enfant et après l’avoir changé ;
- Avant de cuisiner ou de passer à table,
- Après avoir toussé ou éternué.

  • Le gel hydroalcoolique, un allié face aux épidémies
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À défaut d’eau et de savon, utilisez un gel hydroalcoolique pour vous nettoyer les mains. Les règles sont les mêmes, le geste est à répéter à chaque fois que nécessaire. Le gel est tout aussi efficace qu'un lavage à l'eau et au savon.  

  • Le masque, dans certains cas seulement 

Depuis le début de l’épidémie, les pharmacies doivent faire face à une demande accrue de masques respiratoires, nombreuses se retrouvent en rupture de stock. En réalité, ce réflexe n’est pas utile pour se protéger de la maladie.
"Le port de ce type de masque par la population non malade afin d'éviter d'attraper la maladie ne fait pas partie des mesures barrières recommandées et son efficacité n'est pas démontrée", ont précisé les services du ministère.
En effet, le port du masque est utile pour ne pas diffuser la maladie par les postillons (toux, éternuements), mais pas pour éviter de l’attraper. 
Par ailleurs, en cas de contact prolongé avec une personne contaminée, ces masques en papier n'offrent pas une protection suffisamment efficace, notamment parce qu'ils laissent passer de l'air non filtré.
Il existe alors des masques "de protection respiratoire" (type FFP2), équipés d'un dispositif de filtration des poussières et des agents pathogènes. Ils sont indiqués pour "les personnes en contact avec des personnes malades, pour éviter de contaminer les infirmières ou les médecins qui les prennent en charge", selon le ministère. Pour ces derniers, le port de gants et de lunettes de protection est également prévu. 

  • Ne pas se toucher le visage

De manière générale et particulièrement en période d’épidémie, évitez au maximum de porter vos mains à votre nez, votre bouche ou encore vos yeux. En effet les mains ont pu être en contact avec des surfaces contaminées.

  • Nettoyer régulièrement les surfaces et les objets courants 

Une étude publiée le 4 mars dans la revue américaine JAMA a montré que les patients atteints par le virus contaminaient leur chambre et leur salle de bains. Pour éviter la propagation du virus, une hygiène rigoureuse est indispensable
En effet les scientifiques ont prouvé que si la contamination environnementale était un moyen de transmission potentiel, le virus ne survivait pas à un nettoyage à l'aide d'un désinfectant à usage courant, effectué deux fois par jour. 
L'étude a été menée par des chercheurs du Centre national des maladies infectieuses de Singapour et du DSO National Laboratories. De la fin janvier à début février, ils ont examiné les chambres de trois patients gardés en isolement. Ils ont testé l'une des chambres avant son nettoyage quotidien et les deux autres après des mesures de désinfection.
Pour la première chambre, le patient présentait une simple toux, alors que les deux autres montraient des symptômes plus graves avec de la toux, de la fièvre, des essoufflements pour l'un et du crachat de mucus pulmonaire pour l'autre.
Résultat, sur 15 surfaces analysées, le premier patient en avait contaminé 13, dont sa chaise, son lit, sa fenêtre et le sol. Dans sa salle de bains, 3 surfaces se sont révélées contaminées sur les 5 testées, dont son lavabo et sa cuvette. Cela suggère que les selles seraient une voie de transmission.
Les échantillons d'air de sa chambre se sont révélés négatifs, alors que ceux prélevés sur ses grilles d'aération étaient positifs. Les gouttelettes contaminées peuvent donc être transportées par les flux d'air. 
En revanche, les deux autres chambres testées après avoir été nettoyées ne présentaient pas de traces du virus.
En période d'épidémie et pour limiter au maximum les risques de contamination, gardez votre domicile propre et rangé en nettoyant régulièrement toutes les surfaces. Vous pouvez utiliser de l’eau savonneuse ou du vinaigre blanc. "Le virus peut rester sur les objets. Le mieux est d’utiliser l’eau de javel pour désinfecter son intérieur", ajoute la présidente de la Société Française de Médecine d’Urgence. Il est aussi conseillé de laver régulièrement le linge de maison et de penser à nettoyer les objets que vous utilisez et manipulez tous les jours comme votre téléphone portable par exemple. Pensez également à aérer régulièrement pour renouveler l’air. 

  • Eviter les contacts proches 

Le coronavirus se transmet par les postillons notamment par le biais de la toux et des éternuements. Un contact étroit est aujourd’hui considéré comme nécessaire à la transmission du virus. Il est recommandé de limiter les contacts humains proches. "On ne se fait plus la bise, on ne se serre plus la main", rappelle la médecin.

  • Eviter les lieux très fréquentés, en particulier les hôpitaux 

Afin de limiter les risques d’être exposé au virus, il est recommandé d’éviter les lieux très fréquentés et les rassemblements. Les hôpitaux sont également à éviter autant que possible pour des raisons évidentes. Si vous êtes contraints de vous y rendre, respectez scrupuleusement les mesures d’hygiène.
  • Et au travail ? 

Les employeurs doivent rappeler les règles d’hygiène et mettre à disposition des salariés des moyens de protection tels que du gel hydroalcoolique et masques le cas échéant.
Si un employé présente un risque de contamination, il ne doit plus se rendre sur son lieu de travail et rester en quarantaine chez lui. Un décret publié le 1er février 2020 au Journal Officiel annule le délai de carence pour les assurés non malades, les indemnités seront donc versées dès le premier jour d’absence. 
L’avis d’interruption de travail doit être fourni par un médecin de l’Agence Régionale de Santé. Ces mesures s’appliquent également aux parents dont l’enfant fait l’objet d’une mesure d’isolement et qui ne peuvent pas le faire garder et doivent donc rester à leur domicile. 

  • Eviter de consommer des produits d’origine animale crus ou mal cuits.

Cette mesure de précaution se justifie car la viande, le poisson et le lait lorsque ceux-ci sont consommés crus, présentent plus de risque de contamination. Si vous êtes amenés à vous rendre sur des marchés, veillez à bien respecter les règles d’hygiène en cas de manipulations d’animaux morts et évitez tout contact avec les animaux éventuellement présents sur ces marchés. 

  • Respecter les règles d’hygiène en cas de toux 

Si vous toussez ou éternuez, pensez à toujours vous couvrir la bouche, avec votre coude de préférence. Lavez-vous les mains à chaque fois, utilisez des mouchoirs propres et jetables dont vous disposez ensuite dans une poubelle couverte. 
  • Que faire en cas de risque d’exposition au virus ?
  • - Respectez la période d’incubation et restez en quarantaine, les symptômes peuvent mettre jusqu’à 14 jours pour se déclarer ;
  • - Dès les premiers symptômes comme une fièvre, toux ou dyspnée, appelez le  numéro vert "Allo Yakada" (0801004747) pour alerter les autorités.
  • - Ne vous rendez pas directement chez votre généraliste ni aux urgences ; 
  • Portez un masque anti- projections pour protéger votre entourage ;
  • -  Evitez les contacts humains, particulièrement avec les personnes fragiles (enfants, personnes âgées, immunodéprimées, femmes enceintes) ; 
  • - Restez chez vous jusqu’à la guérison. 

Aux États-Unis, pas de fève dans la galette des Rois !

Si en France, galette des Rois rime avec fève, aux États-Unis, il n'est pas rare que les boulangers préfèrent enlever ce petit objet cher aux collectionneurs. En effet, dans un pays où les poursuites sont très fréquentes, il vaut mieux éviter tout procès pour une dent cassée ! Aux États-Unis il est par ailleurs interdit de commercialiser des aliments contenant un élément non comestible. Vous ne trouverez donc pas d’œuf en chocolat contenant une surprise !

Des pigeons surgissent dans la cabine d’un avion et sèment la pagaille

Les oiseaux présentent un danger pour les avions car ils peuvent causer d’importants dommages à l’appareil ou même provoquer des accidents. 

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Cette fois-ci, des pigeons ont pénétré dans la cabine d’un avion de la compagnie GoAir et ont provoqué un retard au départ en semant la pagaille à bord.
Des pigeons sont entrés à bord d’un avion de la compagnie aérienne indienne GoAir et y ont semé la zizanie au point d’en empêcher le départ.

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Un homme a filmé cette scène et a publié la vidéo sur son compte Twitter. Sur la séquence on peut voir les stewards et les passagers qui tentent d’attraper les oiseaux à mains nues alors que ceux-ci volent à travers la cabine dans une course folle à travers l’avion.Après avoir remarqué des publications sur cet incident, les représentants de la compagnie aérienne ont déclaré sur le compte Twitter de l’entreprise que les membres de l'équipage «se sont immédiatement débarrassés des oiseaux à bord» et que l’avion s'est envolé pour la ville indienne de Jaipur conformément aux horaires prévus.

La face cachée de la lune


« Houston, we've had a problem. » La phrase prononcée par James Lovell, commandant de la mission Apollo 13, est aujourd'hui mythique. Mais le problème évoqué ici a tout de même offert aux astronautes l'opportunité de survoler la face cachée de la Lune. Et grâce à cette vidéo de la Nasa, cette même opportunité vous est offerte aujourd'hui.
En avril 1970, l'équipage d'Apollo 13 devait se poser sur la Lune. Mais l'explosion d'un réservoir d'oxygène a changé à jamais le cours de la mission. Après avoir survolé la face cachée de la Lune, les astronautes sont revenus sur Terre. Sains et saufs.
Grâce à des données renvoyées par la sonde spatiale Lunar Reconnaissance Orbiter, les chercheurs de la Nasa (États-Unis) vous proposent aujourd'hui de survoler la Lune comme si vous étiez à bord d'Apollo 13... le stress de la situation d'urgence en moins. Et à vitesse accélérée, bien sûr. Le tout en haute résolution.


Le spectacle fabuleux de la face cachée de la Lune
Un coucher de Terre. Un lever de Soleil. Puis le paysage lunaire. D'une beauté énigmatique. La découverte émouvante des secrets d'un côté de la Lune habituellement caché à notre regard par le jeu des rotations et des révolutions. Encore plus bouleversante lorsque l'on se rappelle les conditions dantesques dans lesquelles les astronautes d'Apollo 13 ont vécu le spectacle. La déshydratation, le manque de nourriture, le froid. Et des communications avec la Terre coupées pendant près d'une demi-heure.
Jusqu'à ce que la planète réapparaisse enfin et que le contact avec le centre de contrôle de mission soit rétabli. Ne restait alors plus qu'à rentrer à la maison.

Premier cas de Coronavirus au Maroc

*
L’ÉTAT DE SANTÉ DU CITOYEN MAROCAIN, DONT LE CAS D’INFECTION AU CORONAVIRUS A ÉTÉ CONFIRMÉ, EST JUGÉ STABLE, A AFFIRMÉ CE MARDI 3 MARS À RABAT, LE MINISTRE DE LA SANTÉ KHALID AIT TALEB.

Le patient, un jeune de 39 ans qui vient de rentrer de la ville italienne de Bergame, a présenté les symptômes de la maladie comme des difficultés respiratoires avec toux, sans souffrir de fièvre, a précisé le ministre lors d’une conférence de presse après l’annonce d’un premier cas confirmé du virus corona au Maroc.
« Admis à l’hôpital, le patient a subi des examens et une série d’analyses qui se sont révélées positives », a déclaré M. Ait Taleb. Ce citoyen est actuellement placé en isolement dans l’un des hôpitaux de Casablanca pour une durée de 14 jours, a souligné la même source.

À 1 000 mètres d’altitude debout sur une montgolfière

Rémi Ouvrard, un jeune français a battu le record du monde de vol debout sur une montgolfière à plus de 1 000 mètres du sol.


Grimpé en équilibre sur la toile d’une montgolfière, Rémi Ouvrard, un jeune français, a relevé un sacré défi, le 22 février dernier, dans la Vienne. Celui de battre le record du monde de vol debout sur une montgolfière, à 1 000 mètres du sol.
En équilibre sur une petite plaque d’un mètre cinquante carrés, et sécurisé par un harnais bien entendu, le jeune français s’est ainsi hissé dans les airs. Les conditions étaient idéales, le vent parfait. Car le risque, pour lui, c’était surtout à l’atterrissage : si la montgolfière n’arrivait pas debout, je pouvais tomber.
Tout s’est parfaitement déroulé. La montgolfière pilotée par son père, a même atteint 1 500 mètres d’altitude.


Le syndrome d’auto-brasserie




C'est un trouble qui rend ivre sans avoir bu une goutte d’alcool. Au cours des dernières années, les médias ont relaté plusieurs cas de cette maladie avec laquelle les glucides de l’alimentation sont convertis en alcool par des levures résidant dans le tube digestif. Des chercheurs américains viennent de mettre au jour un phénomène encore plus rare : le cas d’une Américaine de 61 ans qui présente un syndrome d’« auto-brasserie urinaire ».


Son histoire est relatée dans un article de la revue médicale Annals of Internal Medecine , publié mardi 25 février. À l’origine, cette femme souffrant de cirrhose du foie et d’un diabète mal contrôlé a fait les démarches pour être inscrite sur liste d’attente en vue d’une greffe de foie. Mais on lui a refusé cette possibilité. Motif : elle devait d’abord suivre un traitement pour son alcoolisme vu ses tests urinaires. Les analyses révélaient systématiquement un taux d’alcool très élevé.

Une mini-brasserie dans la vessie
Les dénégations de la sexagénaire concernant son penchant présumé pour la boisson et des examens plus poussés ont mis le doute aux médecins de l’université de Pittsburgh qui ont accepté de se pencher sur son cas. Ils ont découvert que la clé se situait au niveau de sa vessie. Elle renfermait en fait une véritable mini-brasserie avec une colonie de levures fabriquant de l’éthanol par fermentation du glucose, présent en grande quantité à cause de son diabète mal contrôlé.


La levure identifiée, Candida glabrata, est très courante dans l’environnement et très proche de la levure de bière (Saccharomyces cerevisiae)


Elle est naturellement présente dans la flore microbienne de la bouche, du tractus gastro-intestinal, du vagin ou de la peau. Un traitement antifongique pour éliminer cette levure de la vessie a été prescrit à cette femme, mais il n’a pas eu d’effet. En revanche, son dossier a été reconsidéré en vue d’une greffe de foie.
Si ce syndrome d’« auto-brasserie urinaire avait échappé aux premières équipes de transplantation hépatique qui ont reçu cette patiente américaine, c’est parce qu’il n’avait été rapporté qu’à seulement deux reprises dans la littérature scientifique : un cas post-mortem en 2005 et un cas ante-mortem en 1994, probablement lié à une péritonite consécutive à une plaie par arme blanche.

Covid-19: comment savoir si vous êtes malade?

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Une prise de température deux fois par jour 
est recommandée pour les personnes 
revenant de zone à risque.

Voici tout ce qu’il faut savoir.

Comment se transmet le coronavirus ?

Le Covid-19 se transmet par la salive, les gouttelettes dues à la toux ou aux éternuements, par contacts rapprochés avec des malades comme des poignées de main ou des embrassades et par contact avec des surfaces contaminées. Un lavage de mains régulier (toutes les heures environ) permet de se prémunir en grande partie contre la transmission.
  • Quels sont les symptômes ?

    Il est difficile voire impossible de différencier les symptômes du Covid-19 de ceux d’une grippe saisonnière. À savoir une fièvre d’apparition brutale, une toux d’ordinaire sèche qui peut se prolonger, des maux de tête, des courbatures, le nez bouché et une irritation de la gorge. Ces symptômes n’apparaissent pas nécessairement tous, ni de manière simultanée. On considère que deux tiers des personnes infectées sont peu symptomatiques, voire asymptotiques.

Comment être sûr que je n’ai pas la grippe ?

  Si vous présentez ces symptômes et que vous n’êtes pas de retour d’une zone à risques, il n’y a pas de raison que ce soit le coronavirus. Vous avez sûrement la grippe ou un syndrome grippal.  

Qu’est-ce qu’une zone à risque?

Ce sont les pays ou régions dans le monde où le nombre de malades est très important : la Chine, Hong Kong, Singapour, la Corée du Sud, le nord de l’Italie (Vénétie et Lombardie), mais aussi l’Iran. Pour toutes les personnes de retour d’une de ces zones, il est conseillé de surveiller sa température deux fois par jour et de réduire au maximum les activités extérieures non indispensables et la fréquentation de lieux où se trouvent des personnes fragiles (Ehpad, maternité, etc.).

Que faire si vous pensez être malade?

Si vous présentez des symptômes et que vous revenez d’une zone à risques, il est très important de ne pas se rendre aux urgences ou chez le médecin généraliste pour ne pas contaminer les autres patients. Le port du masque est vivement recommandé: il permet d’éviter de contaminer vos proches. Si vous êtes jugé susceptible d’être infecté, vous serez conduit dans un établissement habilité à accueillir des patients malades pour y subir un test. Vous serez maintenu à l’isolement le temps d’obtenir le résultat.

Les autorités ont mis à la disposition des citoyens un numéro vert pour les cas de besoin 0801004747.
Coronavirus: comment bien se laver les mains 

Le point sur le coronavirus en Chine.

L’épidémie a atteint son plafond en Chine, selon l’OMS.

La Chine reste le principal foyer de l’épidémie, concentrant 79 824 cas et 2 870 morts, avec 35 morts et 573 nouveaux cas de contamination dans les dernières 24 heures. Le nombre de nouveaux décès et contaminations continue, globalement, de diminuer grâce aux mesures de quarantaine visant plus de 50 millions de personnes dans la province de Hubei. Selon le directeur général de l’OMS, l’épidémie a atteint son sommet dans l’Empire du milieu entre le 23 janvier et le 2 février.

L’épidémie semble d’ailleurs chaque jour davantage cantonnée au Hubei : tous les décès annoncés dimanche sauf un y sont à déplorer, ainsi que tous les nouveaux cas de contamination sauf trois.