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Abderrahman Youssoufi n'est plus.


Abderrahman Youssoufi, ancien résistant, figure emblématique de la gauche marocaine et ancien Premier ministre qui a représenté la transition politique au Maroc, est décédé, à l’âge de 96 ans, dans la nuit de jeudi à vendredi, des suites d’une longue maladie à l’hôpital Cheikh Khalifa, Casablanca, où il était admis en réanimation.


Abderrahman Youssoufi aura marqué l’histoire contemporaine du Royaume. Il est né le 8 mars 1924 à Tanger, cette ville dont l’une des plus grandes artères porte son nom, sur instructions du roi Mohammed VI.
Nationaliste dès sa jeunesse et militant du parti de l'Istiqlal, il avait également pris fait et cause pour les revendications de la classe ouvrière, et s'était syndicalement engagé, avant la fin du Protectorat.
Avocat, après avoir accompli des études de Droit en France, il prend activement part au mouvement de résistance et de l'Armée de libération. 
A l’indépendance du Maroc, il a été parmi les fondateurs de l'Union nationale des forces populaires (UNFP), ancêtre de l’actuelle USFP. 
Son militantisme lui a valu de nombreuses arrestations et des condamnations sous le règne de feu Hassan II. Il s'est ensuite exilé en France et en Algérie pendant de longues années.
A la faveur d’une grâce royale, il regagne sa patrie en 1980 et prend la tête de l’USFP, après le décès de Abderrahim Bouabid. Au début des années quatre-vingt-dix, il repart en exil volontaire en France, mais pour rentrer quelques années plus tard et reprendre son poste de Premier secrétaire de l’USFP.
Un sacre électoral, en septembre 1997, octroie à cette formation politique la première place. L’éternel opposant est alors nommé Premier ministre, au printemps de l'année 1998, en charge de conduire le gouvernement d’Alternance.
Le 28 octobre 2003, il démissionne de son poste à la tête de l'USFP et décide de prendre sa retraite politique après la nomination du gouvernement Jettou.
Refusant les interviews et fuyant les médias, il vivait entre la France et le Maroc avec Hélène, sa compagne de toujours.

Déconfinement: qu'est-ce que le "syndrome de la cabane" ?

 C'est cette angoisse que certains ressentent depuis le début du déconfinement. Lui-même a d'ailleurs un peu de mal à sortir de chez lui !

"Le syndrome de la cabane". C'est cette angoisse que certains ressentent depuis le début du déconfinement.
"Le syndrome de la cabane". C'est cette angoisse 
que certains ressentent depuis le début du déconfinement.

Il s'agit d'un état émotionnel observé au début du siècle dernier chez des chercheurs d'or aux Etats-Unis. Après des mois confinés dans leurs cahutes, ils étaient paniqués à l’idée de revenir à la civilisation. Phénomène qu'on a pu observer également chez des gardiens de phare.
Pour résumer, il s'agit donc de la peur de quitter un lieu d'enfermement pour retrouver la vie normale. Les symptômes peuvent être les suivants : fatigue, engourdissement des jambes et des bras, difficulté à se lever le matin, longues siestes durant la journée, sentiment de tristesse. 


Finalement, pour certains, le confinement avait de nombreux aspects rassurants. Parce qu’on nous a seriné que dehors, c’était dangereux, et que c’est en restant chez nous que l’on se protégeait tout en protégeant les autres. Sachant que pour le reste, on a vraiment entendu tout et son contraire : que les masques ne servaient à rien, puis qu’on pouvait en mettre, puis qu’on devait en mettre. Messages contradictoires pas très sécurisants.
Au moins, lorsqu’on est chez soi, on maitrise à peu près les choses.


Chez soi, on est dans son cocon, recroquevillé dans sa coquille
D’où ce syndrome de la cabane qui touche, semble-t-il, bon nombre de personnes dans les pays qui ont entamé le déconfinement. 
Pour certains, la raison, c’est avant tout la peur d'être contaminé en sortant, le danger étant toujours là… Pour d’autres, c’est plutôt la difficulté de s’adapter à cette nouvelle façon de vivre avec le coronavirus : plus de bises ni de serrage de mains, garder ses distances y compris avec les amis…
Enfin, certains ont réellement pris goût au confinement : arrêter les transports, s’habiller n’importe comment, ne plus voir ses collègues mais davantage ses enfants, faire semblant de se mettre au jogging, s’empiffrer, rater son pain, lire ou - c'est plus chic - relire Proust, ou bien regarder des dizaines de séries sur Netflix. 

L'isolement n'est pas toujours simple à supporter, mais en sortir peut être encore plus compliqué.
Cela dit, qu’on se rassure : ce n’est pas une maladie. Et normalement, l’angoisse diminue avec le temps. Peu à peu, on arrive à s’extraire de sa cabane.

Qu'est-ce que le syndrome de Stockholm

Le syndrome de Stockholm, c'est cette relation étrange qui se tisse parfois entre un ou plusieurs preneurs d'otages et les victimes. Explications et historique de ce phénomène psychologique étonnant.
Le syndrome de Stockholm désigne un « processus d’attachement » réciproque entre ravisseurs et otages. Autrement dit, il est possible que des otages et des ravisseurs développent des sentiments positifs réciproques, qui aideraient les victimes à « traverser » leur captivité.

Pourquoi parle-t-on de « syndrome de Stockholm » ?

Le concept de « syndrome de Stockholm » est apparu il y a une quarantaine d’années, à la suite d’une prise d’otages à Stockholm.
En août 1973, un détenu en permission, Jan-Erik Olsson, braque une banque et retient quatre employé·es en otage. À la fin des 6 jours, les négociations aboutissent à la libération des otages sains et saufs.
Pendant ces jours, le ravisseur raconte que, si au début de la prise d’otages, ses victimes étaient très effrayées, leurs sentiments ont rapidement évolué et la situation est devenue pour lui quasiment « amicale ».
Par la suite, les otages ont refusé de témoigner contre leur agresseur. Ils sont allés le voir en prison et l’une des victimes aurait même entretenu une relation amoureuse avec Jan-Erik Olsson.



Dans Buffalo ’66 de Vincent Gallo, un ex-détenu kidnappe une jeune femme et une relation complexe se développe entre eux.

Le syndrome de Stockholm, comment ça marche ?

La caractéristique principale du syndrome est qu’il apparaît dans une situation de tension extrême entre deux parties.
C’est le point commun entre les otages et leurs ravisseurs. En effet, chacune des parties est en danger de mort, même si leurs chemins sont évidemment très différents.
Lorsque la prise d’otage débute, les victimes subissent un choc psychologique extrêmement puissant. En quelques secondes, leurs vies basculent et deviennent subitement menacées.
D’un coup, leur sécurité est remise en question et leur survie est menacée à court terme, alors même que quelques minutes auparavant, leur vie était tout à fait ordinaire.
Imaginez. Vous sortez de chez vous pour aller poster un truc, passez dans votre banque… Et soudainement, votre vie se transforme, et peut se terminer d’un instant à l’autre.
Cette situation mène à un stress psychologique extrême. Souvent, face à un stress intense, nous pouvons passer par un état de sidération.
Notre cerveau doit alors gérer un trop grand nombre d’informations, nous devenons incapables de réagir, de prendre des décisions…


inside man prisonnier ravisseur otage
Après ce premier temps, les otages traversent une « réorganisation » psychologique. Ils doivent alors s’adapter à la nouvelle situation et à toutes ses nouvelles données.
Lors d’une prise d’otages, les victimes perdent tous leurs repères. Non seulement leur vie est menacée à court terme, mais en plus, elles sont complètement dépendantes de leurs ravisseurs.
En fin de compte, elles n’ont plus aucune autonomie. Elles ne peuvent plus gérer leur temps et sont dépendantes de leurs bourreaux pour tous leurs besoins. C’est « grâce » à leur bourreau qu’elles peuvent bouger, manger, aller aux toilettes…
Face à ces nouvelles données, le psychisme des otages doit se réorganiser, s’adapter, et la seule personne qui est en face d’eux, outre les éventuels autres otages, c’est le ravisseur.
Dans certains cas, le sentiment de dépendance peut s’accompagner d’un sentiment de gratitude envers le bourreau.
Finalement, le preneur d’otages devient quelqu’un qui choisit de ne pas vous tuer – qui ne serait pas reconnaissant pour ça ?


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Le syndrome de Stockholm, mécanisme de survie psychologique

Pour le docteur Franck Garden-Breche, le syndrome de Stockholm est un mécanisme adaptatif qui permettrait aux otages de survivre et de composer avec leur nouvelle situation.
Certain·es professionnel·les de la santé mentale font un parallèle entre la prise d’otage et la relation parents-enfants.
Pour eux, lorsqu’on est un jeune enfant, on expérimente également une dépendance totale par rapport à nos parents. Les otages vivraient cette même dépendance, et revivre ce lien pourrait les mener à vivre à nouveau un schéma affectif « parents-enfant ».
Dans ce cas, les otages adopteraient les attitudes d’un enfant vis-à-vis de ses parents (ils pourraient ainsi ressentir des sentiments positifs à l’égard de leur bourreau, s’identifier à lui…).
Pour aller plus loin, dans un papier pour Cerveau&Psycho, le médecin Eric Torres souligne que l’otage craint, plus ou moins consciemment, un assaut des forces de l’ordre.
Cet assaut pourrait mettre sa vie en danger, et dans ce cas, le coupable devient son défenseur… Ce qui pourrait expliquer que certains otages finissent par adopter les points de vue de leurs bourreaux.


die hard otage prisonnière
Ainsi, dans une prise d’otages, les victimes perdent leurs repères, mais ce n’est pas tout. Ils deviennent également une monnaie d’échange entre les ravisseurs et les autorités.
Ils sont déshumanisés, cette situation leur enlève leur identité et, lorsque le ravisseur s’adresse à eux, il leur rend leur humanité…
Somme toute, le syndrome de Stockholm serait marqué par deux mécanismes : tout d’abord, les otages sont victimes d’un choc psychologique extrême qui fout en l’air tous leurs repères et valeurs.
Ensuite, ils reconstruisent une nouvelle manière d’appréhender une situation dans laquelle ils dépendent entièrement de leur agresseur.
Collaborer avec le bourreau et développer des sentiments positifs à son égard, ce serait peut-être la stratégie qui donnerait à l’otage les meilleures chances de survie…



USA : Mort en Direct d'un noir par 4 policiers

État Unis : Un homme noire meurt étouffé sous le genou d’un policier blanc durant une interpellation.
Une vidéo montrant un officier de police, agenouillé sur le cou d'un homme noir, a été diffusée mardi sur les réseaux sociaux. Le décès de cet homme, identifié comme George Floyd mardi après-midi, a suscité une vive émotion dans la ville de Minneapolis. Une enquête du FBI est en cours et les quatre policiers impliqués dans cette affaire ont été licenciés.Sa famille dénonçant un usage excessif et inhumain de la force et le racisme de la police de cette ville du Minnesota.
Le maire de Minneapolis, Jacob Frey, a déclaré lors d’une conférence de presse mardi un acte horrible, accusant le policier d’avoir manqué d’un sens de l’humanité fondamental … et de rajouter " Etre Noir en Amérique ne devrait pas être une peine de mort ".


Quelques animaux de compagnie

Les animaux de compagnie sont nos fidèles amis. Toujours présents, ils nous accompagnent durant notre vie. Chien, chat, hamster, perroquet… Il arrive même que nous ayons du mal à choisir tant, ils sont mignons.
  • Le Caniche

  • Le Cavalier King Charles


  • Le Bouledogue Français : Il est de plus en plus apprécié du monde entier !

  • Le Golden RetrieverIl est sur la quatrième marche du podium des chiens préférés.

  • Le Yorkshire Terrier, séduisant par sa petite taille

  • Le Labrador, réputé pour son bon caractère
  • Le Berger Allemand, 

  • Le chat

  • Le chaton, adoré par son sourire

  • Le poisson rouge

  • Le lapin

  • Le lapin nain

  • Le Cochon d’Inde

  • Le Hamster

  • Le Perroquet

  • Le Canari

  • La Perruche

  • Le Furetfait partie de ces nouveaux animaux de compagnie de plus en plus convoités

  • Le « mini » poney
 

Quelques beaux bébés du monde

Toutes les mamans diront que le plus beau bébé du monde c'est le leur.
Bien que la beauté soit subjective, il faut avouer que ces poupons sont adorables. Yeux à la couleur unique, cheveux ultra lisses ou aux boucles parfaites, joues rondes adorables ou encore sourires craquants, on parie qu'en voyant ces photos vous allez avoir envie de pouponner.



Les 25 plus beaux bébés du monde (Photos)

Les 25 plus beaux bébés du monde (Photos)

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Les 25 plus beaux bébés du monde (Photos)

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