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Déconfinement: qu'est-ce que le "syndrome de la cabane" ?

 C'est cette angoisse que certains ressentent depuis le début du déconfinement. Lui-même a d'ailleurs un peu de mal à sortir de chez lui !

"Le syndrome de la cabane". C'est cette angoisse que certains ressentent depuis le début du déconfinement.
"Le syndrome de la cabane". C'est cette angoisse 
que certains ressentent depuis le début du déconfinement.

Il s'agit d'un état émotionnel observé au début du siècle dernier chez des chercheurs d'or aux Etats-Unis. Après des mois confinés dans leurs cahutes, ils étaient paniqués à l’idée de revenir à la civilisation. Phénomène qu'on a pu observer également chez des gardiens de phare.
Pour résumer, il s'agit donc de la peur de quitter un lieu d'enfermement pour retrouver la vie normale. Les symptômes peuvent être les suivants : fatigue, engourdissement des jambes et des bras, difficulté à se lever le matin, longues siestes durant la journée, sentiment de tristesse. 


Finalement, pour certains, le confinement avait de nombreux aspects rassurants. Parce qu’on nous a seriné que dehors, c’était dangereux, et que c’est en restant chez nous que l’on se protégeait tout en protégeant les autres. Sachant que pour le reste, on a vraiment entendu tout et son contraire : que les masques ne servaient à rien, puis qu’on pouvait en mettre, puis qu’on devait en mettre. Messages contradictoires pas très sécurisants.
Au moins, lorsqu’on est chez soi, on maitrise à peu près les choses.


Chez soi, on est dans son cocon, recroquevillé dans sa coquille
D’où ce syndrome de la cabane qui touche, semble-t-il, bon nombre de personnes dans les pays qui ont entamé le déconfinement. 
Pour certains, la raison, c’est avant tout la peur d'être contaminé en sortant, le danger étant toujours là… Pour d’autres, c’est plutôt la difficulté de s’adapter à cette nouvelle façon de vivre avec le coronavirus : plus de bises ni de serrage de mains, garder ses distances y compris avec les amis…
Enfin, certains ont réellement pris goût au confinement : arrêter les transports, s’habiller n’importe comment, ne plus voir ses collègues mais davantage ses enfants, faire semblant de se mettre au jogging, s’empiffrer, rater son pain, lire ou - c'est plus chic - relire Proust, ou bien regarder des dizaines de séries sur Netflix. 

L'isolement n'est pas toujours simple à supporter, mais en sortir peut être encore plus compliqué.
Cela dit, qu’on se rassure : ce n’est pas une maladie. Et normalement, l’angoisse diminue avec le temps. Peu à peu, on arrive à s’extraire de sa cabane.

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