Parmi les habitudes à Ain Défali, la rénovation des maisons construites en pizés est essentielle et se fait au début de l'été chaque année avec de la marne (bayyada).
Souvent au mois de Mai, les femmes et filles vont extraire du site d'Aouf la marne dite (Bayyada) qui est un mélange de calcaire et d'argile dans des proportions respectives de 35% et 65%.
Elles font dissoudre cette marne (Bayyada) dans de l'eau pour obtenir une peinture blanche naturelle. Avec un balai (ou Chattaba) à manche courte fait à partir de Doum (palmier nain) qu'elles trompent dans la solution, elles blanchissent les murs internes et externes de leurs maisons qui deviennent très blanc et qui refléchissent très bien l'intense lumière d'été.
Elles utilisent également un autre produit naturel de couleur bleue-violette, extrait de la terre pour la décoration de la façade interne des murs des maisons. Elles ornent cette marne qui blanchit les murs d'une bande de couleur Bleue-violette, appelée lahzam, la partie basse de ces murs.
D'autres enrichissent leur décors, de tableaux d'art, les faces internes des murs avec d'autres couleurs naturelles (rouge, vert, noir, etc....). Des formes variées de décors (oiseaux, plantes, animaux, insectes, etc) embellissent davantage certaines maisons.
L'extraction de marne (bayyada) est souvent l'apanage des familles pauvres.
Il ne faut pas oublier que certains enfants mangent cette bayyada, dans leur jeune âge, ce qui est à l'origine de l'apparition d'une anémie sévère à l'âge adulte.
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Rétrocession de Hong Kong à la Chine le 1er Juillet 1997.
Après plus d'un siècle et demi sous contrôle britannique, l'île de Hong Kong est rétrocédée à la Chine. Ce geste fait suite à une entente conclue entre Londres et Beijing en 1984.
La domination britannique terminée, Hong Kong prend le statut de région administrative spéciale de la Républiquepopulaire de Chine. Une disposition de l'entente lui permet toutefois de conserver un modèle de développementcapitaliste, selon le concept « un pays, deux systèmes ». Un Conseil législatif provisoire gouvernera cet État insulaire de 6,3 millions d'habitants dont le dirigeant (« chief executive ») sera Tung Chee Hwa. Ce dernier a été choisi par un comité de sélection électoral spécial qui, comme le conseil législatif provisoire, a reçu l'aval de Beijing. Cette procédure, qui est contestée par leRoyaume-Uni et les États-Unis, suscite des inquiétudes relativement à l'avenir de la démocratie dans l'île. Le dernier gouverneur britannique de Hong Kong, Chris Patten, et le prince Charles, fils de la reine Elizabeth II, assistent aux cérémonies marquant cette rétrocession. Des milliers de soldats chinois entreront dans Hong Kong par la suite, alors que le président Jiang Zemin se réjouit de l'événement qu'il perçoit comme un présage à une éventuelle réunification avec Taïwan.
La domination britannique terminée, Hong Kong prend le statut de région administrative spéciale de la Républiquepopulaire de Chine. Une disposition de l'entente lui permet toutefois de conserver un modèle de développementcapitaliste, selon le concept « un pays, deux systèmes ». Un Conseil législatif provisoire gouvernera cet État insulaire de 6,3 millions d'habitants dont le dirigeant (« chief executive ») sera Tung Chee Hwa. Ce dernier a été choisi par un comité de sélection électoral spécial qui, comme le conseil législatif provisoire, a reçu l'aval de Beijing. Cette procédure, qui est contestée par leRoyaume-Uni et les États-Unis, suscite des inquiétudes relativement à l'avenir de la démocratie dans l'île. Le dernier gouverneur britannique de Hong Kong, Chris Patten, et le prince Charles, fils de la reine Elizabeth II, assistent aux cérémonies marquant cette rétrocession. Des milliers de soldats chinois entreront dans Hong Kong par la suite, alors que le président Jiang Zemin se réjouit de l'événement qu'il perçoit comme un présage à une éventuelle réunification avec Taïwan.
Jiang Zemin |
JORF EL MELHA, une ville nouvelle près d'Ain Défali.
Jorf El Melha tire son nom d'une grotte saline située dans un ravin.
Il s'agit d'une ville de création nouvelle, des années quatre vingt. Son fondateur est le Caid El Hajjoubi installé par le premier Gouverneur de la Province de Sidi Kacem (région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen).
Distante d'Ain Défali de 14 kilomètres, elle est située sur des monticules, de part et d'autre d'une petite vallée, à trois kilomètres du pont de l'oued ouergha qui a été inauguré par le père de la nation Mohamed V, juste après l'indépendance du Maroc. Elle se trouve à égale distance de Fès et de Meknès (80 km).
Elle est réputée par son grand souk hebdomadaire du lundi. Elle porte également le nom de Souk El Tnine. Dans les prochaines années, elle sera reliée par l'autoroute Fès -Tétouan.
La grotte de Friouato à Taza
Elle est située à 20Km de la ville de Taza au Maroc et considéré parmi les plus
profondes grottes du monde, plus de 3,5 km souterraine. Les spéléologues et les aventuriers admireront l'ampleur et les merveilles de cette grotte.
Un escalier descend jusqu’à un un un véritable palais souterrain. Salles et galeries semblent hantées d’étranges stalactites et stalagmites et les concrétions dont se hérissent les paroies.
Après les charmes de l’histoire, les beautés naturelles, la région de Taza est
magnifique. Forêt de chênes-lièges, cèdres, hautes fougères, rousses,
cascades et lacs, le djebel Tazzeka est si enchanteur qu’il fut consacré parc national.
L’ascension de son sommet (1980 m) est joliment récompensée par un
sensationnel panorama sur les monts boisés du Tazzeka et les crêtes
enneigées du Moyen - Atlas.
La Grotte de Friouato est un magnifique outil éducatif adapté à tous les niveaux d'âges : La visite guidée est en elle-même une formidable façon de découvrir l'univers souterrain. Présentée comme un voyage au centre de la terre, qui fera rimer nature et culture. La visite guidée d’une heure environ permettra d'aborder, sous des angles différents selon les âges, de multiples thèmes :
science et vie de la terre, géologie, histoire, contes et légendes…
La Grotte de Friouato est au service des enseignants et de leurs élèves qui souhaitent observer, découvrir, étudier la plus célèbre cavité naturelle aménagée au nord du Maroc .
Rendre accessible à tous, petits et grands, un site d'une extrême richesse, tant sur le plan patrimonial qu'environnemental, est l'un des principaux objectifs de l'équipe pédagogique de la Grotte de Friouato.
Quel que soit le niveau d'étude considéré, de la maternelle au lycée, ou encore à l'enseignement supérieur, quelle que soit la discipline enseignée (Français, Histoire, Géographie, Science et vie de la terre, Arts plastiques, Géologie…), et quelle que soit l'origine géographique, la Grotte de Friouato peut vous proposer une façon originale et vivante d'appréhender un sujet.
profondes grottes du monde, plus de 3,5 km souterraine. Les spéléologues et les aventuriers admireront l'ampleur et les merveilles de cette grotte.
Un escalier descend jusqu’à un un un véritable palais souterrain. Salles et galeries semblent hantées d’étranges stalactites et stalagmites et les concrétions dont se hérissent les paroies.
Après les charmes de l’histoire, les beautés naturelles, la région de Taza est
magnifique. Forêt de chênes-lièges, cèdres, hautes fougères, rousses,
cascades et lacs, le djebel Tazzeka est si enchanteur qu’il fut consacré parc national.
L’ascension de son sommet (1980 m) est joliment récompensée par un
sensationnel panorama sur les monts boisés du Tazzeka et les crêtes
enneigées du Moyen - Atlas.
La Grotte de Friouato est un magnifique outil éducatif adapté à tous les niveaux d'âges : La visite guidée est en elle-même une formidable façon de découvrir l'univers souterrain. Présentée comme un voyage au centre de la terre, qui fera rimer nature et culture. La visite guidée d’une heure environ permettra d'aborder, sous des angles différents selon les âges, de multiples thèmes :
science et vie de la terre, géologie, histoire, contes et légendes…
La Grotte de Friouato est au service des enseignants et de leurs élèves qui souhaitent observer, découvrir, étudier la plus célèbre cavité naturelle aménagée au nord du Maroc .
Rendre accessible à tous, petits et grands, un site d'une extrême richesse, tant sur le plan patrimonial qu'environnemental, est l'un des principaux objectifs de l'équipe pédagogique de la Grotte de Friouato.
Quel que soit le niveau d'étude considéré, de la maternelle au lycée, ou encore à l'enseignement supérieur, quelle que soit la discipline enseignée (Français, Histoire, Géographie, Science et vie de la terre, Arts plastiques, Géologie…), et quelle que soit l'origine géographique, la Grotte de Friouato peut vous proposer une façon originale et vivante d'appréhender un sujet.
Notre ville voisine : HAD KOURT.
Had Kourt (en arabe : حد كورت) tire son nom d'une montagne "Jbel Kourt" située à environ 5 km de la ville, au pied de laquelle coule une source d'eau pure "Ain Ouazzif" et dont le sommet présente une grotte (site archéologique important, lieu de découverte de contours de pieds) avec une vue extraordinaire sur toute la région. Distante d’Ain Défali de 23 kilomètres, il s’agit d’une ville de la province de Sidi Kacem et de la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen.
Le Saint Soufi Sidi El Hadi Ben Aissa ou Sidi M’hammed Ben Aïssa ou Moula Meknasse est surnommé Cheikh El Kamel.
Originaire de la tribu Fahd, Sidi El Hadi Ben Aïssa, de son nom entier, Abou Abd-Allah M’hammed ben Aïssa Fehdi Soufiani Mokhtari est né en 1465, dans la région du Souss et mort à Meknès, vers 1523, soit l’an 933 de l’hégire. Il est plus connu sous le nom de Cheikh El Kamel, une appellation qui veut désigner un homme complet ou parfait. El Hadi Ben Aissa a vécu durant le règne des Ouatassides qui ont conquis la ville de Meknès au XVème siècle. Disciple de Sidi Ahmed Harthi à Meknès, il perfectionne son enseignement sur le jazoulisme à Marrakech auprès de Sidi Abd-el-Aziz Tebbaâ.
Il parcourait le Maroc, prêchant la doctrine islamique, et avait beaucoup de disciples, qui lui témoignaient obéissance et respect. Il a effectué des voyages canoniques en Orient, avant de professer à Fès et à Meknès où il fonde sa zaouïa. Ses adeptes dépassent largement les centres classiques du Aïssaouisme pour fleurir du nord au sud du Royaume, ainsi qu’en Algérie, en Tunisie, en Libye, au Caire, à La Mecque ou en Syrie... Ces zaouïas envoyaient encore au début du XXe siècle d’importantes délégations pendant le Moussem renommé pour ses fameuses Lilas. Le mausolée de Cheikh El Kamel, qui se situe à Bab Siba à Meknès, à 26 km au sud de Volubilis, est le cœur de la rencontre des Aîssaoua. Il fut édifié par le Sultan Sidi Mohamed Ben Abdellah en 1776. Ce bel et superbe édifice, qui fut restauré et embelli, se signale à l’attention des visiteurs. Le tombeau de Cheïkh El Kamel est devenu le lieu annuel de pèlerinage de milliers de fervents des Aîssaoua, qui considèrent le Mouloud comme un passage de l’obscurité à la lumière.
La cité Ismaïlite, Meknès, abrite la zaouia des Aissaouas où est enterré le saint surnommé Cheikh El Kamel, de son vrai nom Sidi El Hadi Ben Aïssa, symbole de délivrance pour des milliers de fidèles qui viennent se recueillir dans ce lieu saint spécialement durant la fête du Mouloud.
La fête du Mouloud, anniversaire de la naissance du Prophète Sidna Mohammed, revêt un caractère particulier à Meknès. C’est l’occasion où les Aîssaoua de tous les coins du Maroc et même d’Algérie, de Tunisie et de Libye, se rassemblent autour du mausolée du cheikh, lieu du pèlerinage. A cette occasion, de nombreuses processions et diverses manifestations religieuses, musicales, folkloriques et commerciales sont organisées dans les parages du mausolée de Cheikh El-Kamel et à travers toute la ville de Meknès. Cette tradition réunit des centaines de milliers de fidèles, aussi bien de la confrérie des Aissaouas que d’autres confréries religieuses, qui accomplissent en groupe les rites de la Zyara (visite) du mausolée du Cheikh et se livrent durant toute la période du Moussem, à de longues nuits de musiques et de danses processionnaires. Les Aîssaoua donnent libre cours à leurs expressions corporelles qui se transforment en transe. A la fin, ils se dirigent vers le mausolée avec les offrandes destinées au Cheikh El Kamel, tout en murmurant des voeux. La légende raconte qu’à la mort du Cheikh, l’un de ses disciples, en état de choc, entra en transe, lacéra ses vêtements et dévora même un mouton cru. Ceci est à l’origine des deux pratiques spécifiques aux Aîssaoua. La «hadra», pratique collective de la transe, et la «frissa», qui consiste à dévorer un animal vivant. Les Aîssaoua peuvent également se rendre à domicile la nuit pour célébrer la lila. Cette danse qui commence après la dernière prière du soir et se termine à l’aube est l’occasion pour les Aîssaouas de danser, de se purifier, de pleurer, de rire et de se soigner. Nombreuses sont les personnes qui participent à cette pratique, notamment les femmes qui veulent célébrer un événement heureux, résoudre un problème ou encore invoquer la bénédiction du Cheikh.
Il parcourait le Maroc, prêchant la doctrine islamique, et avait beaucoup de disciples, qui lui témoignaient obéissance et respect. Il a effectué des voyages canoniques en Orient, avant de professer à Fès et à Meknès où il fonde sa zaouïa. Ses adeptes dépassent largement les centres classiques du Aïssaouisme pour fleurir du nord au sud du Royaume, ainsi qu’en Algérie, en Tunisie, en Libye, au Caire, à La Mecque ou en Syrie... Ces zaouïas envoyaient encore au début du XXe siècle d’importantes délégations pendant le Moussem renommé pour ses fameuses Lilas. Le mausolée de Cheikh El Kamel, qui se situe à Bab Siba à Meknès, à 26 km au sud de Volubilis, est le cœur de la rencontre des Aîssaoua. Il fut édifié par le Sultan Sidi Mohamed Ben Abdellah en 1776. Ce bel et superbe édifice, qui fut restauré et embelli, se signale à l’attention des visiteurs. Le tombeau de Cheïkh El Kamel est devenu le lieu annuel de pèlerinage de milliers de fervents des Aîssaoua, qui considèrent le Mouloud comme un passage de l’obscurité à la lumière.
La cité Ismaïlite, Meknès, abrite la zaouia des Aissaouas où est enterré le saint surnommé Cheikh El Kamel, de son vrai nom Sidi El Hadi Ben Aïssa, symbole de délivrance pour des milliers de fidèles qui viennent se recueillir dans ce lieu saint spécialement durant la fête du Mouloud.
La fête du Mouloud, anniversaire de la naissance du Prophète Sidna Mohammed, revêt un caractère particulier à Meknès. C’est l’occasion où les Aîssaoua de tous les coins du Maroc et même d’Algérie, de Tunisie et de Libye, se rassemblent autour du mausolée du cheikh, lieu du pèlerinage. A cette occasion, de nombreuses processions et diverses manifestations religieuses, musicales, folkloriques et commerciales sont organisées dans les parages du mausolée de Cheikh El-Kamel et à travers toute la ville de Meknès. Cette tradition réunit des centaines de milliers de fidèles, aussi bien de la confrérie des Aissaouas que d’autres confréries religieuses, qui accomplissent en groupe les rites de la Zyara (visite) du mausolée du Cheikh et se livrent durant toute la période du Moussem, à de longues nuits de musiques et de danses processionnaires. Les Aîssaoua donnent libre cours à leurs expressions corporelles qui se transforment en transe. A la fin, ils se dirigent vers le mausolée avec les offrandes destinées au Cheikh El Kamel, tout en murmurant des voeux. La légende raconte qu’à la mort du Cheikh, l’un de ses disciples, en état de choc, entra en transe, lacéra ses vêtements et dévora même un mouton cru. Ceci est à l’origine des deux pratiques spécifiques aux Aîssaoua. La «hadra», pratique collective de la transe, et la «frissa», qui consiste à dévorer un animal vivant. Les Aîssaoua peuvent également se rendre à domicile la nuit pour célébrer la lila. Cette danse qui commence après la dernière prière du soir et se termine à l’aube est l’occasion pour les Aîssaouas de danser, de se purifier, de pleurer, de rire et de se soigner. Nombreuses sont les personnes qui participent à cette pratique, notamment les femmes qui veulent célébrer un événement heureux, résoudre un problème ou encore invoquer la bénédiction du Cheikh.
Moulay Abdeslam Ben Mchich Alami, un auguste soufi, descendant de la dynastie idrisside.
Abdeslam Ben Mchich Alami (عبد السلام بن مشيش العلمي) est un saint soufi (1163 - 1228 soit 559-626 de l'hégire), originaire de Jbel Laâlam dans la région de Béni Arouss au Maroc. Du XIIe siècle jusqu'au XIIIe siècle, il se retira à jbel Laâlam au sud de Tanger où est situé actuellement son mausolée modeste de forme carrée construit en pierres et briques et blanchi à la chaux lui offrant un cachet rustique, et couvert des branchages d’un arbre centenaire.
Il est estimé comme étant l’initiateur de plusieurs maîtres du soufisme et parmi eux le très célèbre Alime Al Chadila. Peu de choses sont connues sur la vie de ce personnage.
Moulay Abdeslam ben Mchich Alami est de descendance Idrisside (descendant d’Al Hassan).
Quand Moulay Abdeslam est arrivé à l’âge d’apprendre, son père le fit entrer dans une école coranique. A l’âge de 12 ans, il a déjà appris le Coran dans sept versions phonétiques du saint vertueux Sidi Salim enterré dans la tribu Béni Youssouf. On rapporte également que parmi ses maîtres en matière de sciences religieuses, figure le vertueux faqih al-haj Ahmad sit Aqatrân enterré à proximité du village Aburj dans la tribu des Akhmâs, non loin de Bab Taza. Il a reçu de lui les sciences juridiques selon la moudawana, vulgarisant la doctrine malikite. Il a eu trois autres maîtres dans l’apprentissage du Coran, son frère Al-Haj Mûsa al Ridâ, le cheikh Muhammad ibn Ali al-Misbahi et al-Hasan al-Dawâlî enterré à la grande mosquée de Ouezzane. Quant à son initiation spirituelle, elle fut l’œuvre de Abd al-Rahman al-Madanî al-Hassanî surnommé al-Zayyât.
Les maîtres du soufisme considéraient Moulay Abdessalam comme leur initiateur. Sur le plan local, les Jbalas lui dédient une dévotion toute spéciale et le considèrent comme le protecteur de leur pays ce qui lui vaut le titre posthume de «Cheikh Jbala». La tombe où il est supposé reposer est aujourd’hui l’un des grands lieux de pèlerinage où affluent des centaines d’adeptes au mois de juillet de chaque année. C’est un moment d’intense recueillement religieux mais aussi l’occasion de faire la fête avec de la musique, des danses soufies ainsi que des fantasias.
Les enseignements de Moulay Abdessalam Benmchich Al Alami ont formé les bases de plusieurs écoles ou voies du soufisme et, de nos jours, ses disciples continuent d’en diffuser les principes. Il méditait et priait au sommet de sa montagne. C’est aussi là qu’il mourut. De là haut, il pouvait veiller d’un simple coup d’œil sur toute la région.
Pendant la décadence almohade, Ibn Abî Al-Taouâjin qui était le gouverneur du sultan Yahya al-Mutasim, s’est déclaré prophète et a vu en Moulay Abdessalam Benmchich un ennemi, et dans son activisme un sérieux obstacle à ses projets. Il l’a fait assassiner non loin de la source où il avait l’habitude de faire ses ablutions.
Il y a eu parmi ses descendants et ceux de ses frères et oncles un nombre incalculable de savants confirmés qui se sont arrêtés aux limites de ce qui a été rapporté à son sujet, et ils n’ont consigné que ce qui revient à sa généalogie, à sa voie, à ses vestiges à Jbel Alam, à sa tombe, aux circonstances de son assassinat, au désaccord sur la date de sa mort, et à ce qui a été rapporté par ceux qui ont fait connaître son disciple, le pôle Abû-l-Hasan al-Shâdili, concernant ses conseils et ses dires. Quant à sa prière authentifiée et connue dans toutes les régions du monde, la beauté de sa rhétorique frise l’inimitable, et tous ceux qui la récitent témoignent de ses effets bienfaisants.
Il est estimé comme étant l’initiateur de plusieurs maîtres du soufisme et parmi eux le très célèbre Alime Al Chadila. Peu de choses sont connues sur la vie de ce personnage.
Moulay Abdeslam ben Mchich Alami est de descendance Idrisside (descendant d’Al Hassan).
Quand Moulay Abdeslam est arrivé à l’âge d’apprendre, son père le fit entrer dans une école coranique. A l’âge de 12 ans, il a déjà appris le Coran dans sept versions phonétiques du saint vertueux Sidi Salim enterré dans la tribu Béni Youssouf. On rapporte également que parmi ses maîtres en matière de sciences religieuses, figure le vertueux faqih al-haj Ahmad sit Aqatrân enterré à proximité du village Aburj dans la tribu des Akhmâs, non loin de Bab Taza. Il a reçu de lui les sciences juridiques selon la moudawana, vulgarisant la doctrine malikite. Il a eu trois autres maîtres dans l’apprentissage du Coran, son frère Al-Haj Mûsa al Ridâ, le cheikh Muhammad ibn Ali al-Misbahi et al-Hasan al-Dawâlî enterré à la grande mosquée de Ouezzane. Quant à son initiation spirituelle, elle fut l’œuvre de Abd al-Rahman al-Madanî al-Hassanî surnommé al-Zayyât.
Les maîtres du soufisme considéraient Moulay Abdessalam comme leur initiateur. Sur le plan local, les Jbalas lui dédient une dévotion toute spéciale et le considèrent comme le protecteur de leur pays ce qui lui vaut le titre posthume de «Cheikh Jbala». La tombe où il est supposé reposer est aujourd’hui l’un des grands lieux de pèlerinage où affluent des centaines d’adeptes au mois de juillet de chaque année. C’est un moment d’intense recueillement religieux mais aussi l’occasion de faire la fête avec de la musique, des danses soufies ainsi que des fantasias.
Les enseignements de Moulay Abdessalam Benmchich Al Alami ont formé les bases de plusieurs écoles ou voies du soufisme et, de nos jours, ses disciples continuent d’en diffuser les principes. Il méditait et priait au sommet de sa montagne. C’est aussi là qu’il mourut. De là haut, il pouvait veiller d’un simple coup d’œil sur toute la région.
Pendant la décadence almohade, Ibn Abî Al-Taouâjin qui était le gouverneur du sultan Yahya al-Mutasim, s’est déclaré prophète et a vu en Moulay Abdessalam Benmchich un ennemi, et dans son activisme un sérieux obstacle à ses projets. Il l’a fait assassiner non loin de la source où il avait l’habitude de faire ses ablutions.
Il y a eu parmi ses descendants et ceux de ses frères et oncles un nombre incalculable de savants confirmés qui se sont arrêtés aux limites de ce qui a été rapporté à son sujet, et ils n’ont consigné que ce qui revient à sa généalogie, à sa voie, à ses vestiges à Jbel Alam, à sa tombe, aux circonstances de son assassinat, au désaccord sur la date de sa mort, et à ce qui a été rapporté par ceux qui ont fait connaître son disciple, le pôle Abû-l-Hasan al-Shâdili, concernant ses conseils et ses dires. Quant à sa prière authentifiée et connue dans toutes les régions du monde, la beauté de sa rhétorique frise l’inimitable, et tous ceux qui la récitent témoignent de ses effets bienfaisants.
Le "Hanji", le papier traditionnel coréen.
Le hanji fait partie intégrante de la vie des Coréens depuis leur naissance jusqu’à leur mort. Fleuron de l’artisanat du Pays du matin calme, ce papier traditionnel à l’histoire millénaire, d’une qualité réputée exceptionnelle, reste pourtant quasiment inconnu à l’étranger.
Le papier hanji est fabriqué avec la fibre que l'on trouve dans l'écorce du mûrier. Il est ensuite teinté à l'aide de colorants naturels (provenant de plantes) ou artificiels. La structure d'un objet ou d'un meuble est faite de carton ou de bois (le plus souvent du bois de paulownia ou du bois de pin). Le meuble ou l'objet est ensuite décoré par application de papier hanji coloré. Chaque feuille de papier hanji de la couleur choisie est découpée pour former les motifs de la décoration qui sont ensuite collés sur l'objet. Enfin, un vernis est appliqué pour protéger le papier hanji de l'usure et de l'humidité. Autrefois, on utilisait de l'huile (de sésame, de pignon ou de camélia) à la place du vernis pour protéger le papier contre les insectes et les moisissures.
Le papier hanji est fabriqué avec la fibre que l'on trouve dans l'écorce du mûrier. Il est ensuite teinté à l'aide de colorants naturels (provenant de plantes) ou artificiels. La structure d'un objet ou d'un meuble est faite de carton ou de bois (le plus souvent du bois de paulownia ou du bois de pin). Le meuble ou l'objet est ensuite décoré par application de papier hanji coloré. Chaque feuille de papier hanji de la couleur choisie est découpée pour former les motifs de la décoration qui sont ensuite collés sur l'objet. Enfin, un vernis est appliqué pour protéger le papier hanji de l'usure et de l'humidité. Autrefois, on utilisait de l'huile (de sésame, de pignon ou de camélia) à la place du vernis pour protéger le papier contre les insectes et les moisissures.
Moulay Bouchta Al-Khammar.
Le sanctuaire Moulay Bouchta Al-Khammar est situé à proximité de la montagne d'Amargou entre les oueds Ouargha et Sebou dans la tribu de Fechtala, relevant du cercle de Karia Ba Mohammed (province de Taounate), à 75 km de la ville de Fès et 80 km du centre de Taounate.
Moulay Bouchta Al-Khammar ou bien Haj M'hammed Ben Moussa Ben Abdallah Ben Ahmed, descendant des chorfas Idrissides, est un érudit du 16e siècle ayant étudié à Marrakech puis à l'université Al Qaraouyine de Fès, avant de s'installer au sein de la tribu de Fechtala dans le but d'enseigner les préceptes de l'Islam. Natif de la tribu de Ouled Saïd, dans la région de Chaouia, Moulay Bouchta Al-Khammar est décédé le mercredi 11 Chaoual 997 de l'Hégire, correspondant au 20 novembre 1588. Organisé par les chorfas Saffyines durant les mois de septembre ou octobre de chaque année, le Moussem de Moulay Bouchta Al-Khammar est l'un des plus importants rendez-vous religieux de la province. Son cachet religieux, traditionnel et touristique attire de nombreux visiteurs des quatre coins du Royaume.
Tous mes voeux pour cette nouvelle année 2010.
Après sa création en 1929 par la société française St. Louis : Cosumar fête ses 80 ans à Méchra Belksiri
Les sucriers SUNABEL et SURAC ont fêté, mercredi à Mechraâ Bel Ksiri, les 80 ans d'existence de la COSUMAR sous le signe "Des décennies d'engagement et de confiance mutuelle" en présence de plusieurs invités.
En 1929 naissait la COSUMA, raffinerie de Casablanca, créée par la Société française St Louis de Marseille. L'entreprise produisait alors 100 T de sucre par jour, exclusivement sous la forme de pains de sucre. En 1967, l'Etat marocain acquiert 50% de son capital et COSUMA devient la Société marocaine COSUMAR.
Depuis, COSUMAR va connaître un développement important en acquérant en 1993, les sucreries de Zemamra et de Sidi Bennour et, en 2005, les quatre Sociétés sucrières nationales, Sunabel, Surac, Suta, et Sucrafor, devenant ainsi l'unique opérateur industriel sucrier national.
Des documentaires ont été aussi projetés mettant à contribution des universitaires et des historiens marocains pour parler de l'histoire de la transformation et de la fabrication du sucre au Maroc. Selon le Pr. Abdelhadi Tazi, membre de l'Académie du Royaume, la reine Elizabeth 1ère d'Angleterre demandait à ses cuisiniers de n'utiliser que le sucre marocain. Les plantations de canne à sucre étaient surtout concentrées dans le Sud du Royaume. Des fabriques artisanales exploitaient alors la canne à sucre dans les régions du Souss et de Chichaoua. Mais c'est en 1929, que sa production s'industrialise avec l'ouverture de la première raffinerie Casablanca, COSUMA.
Le groupe, qui affichait en 2007 un chiffre d'affaires de 5,4 milliards de DH, dispose aujourd'hui de 11 sites industriels, compte 2500 collaborateurs, 80.000 agriculteurs producteurs de betterave et de canne à sucre et 10 millions de journées saisonniers par an et produit plus d'un million de tonnes de sucre par an.
La cérémonie de célébration a été marquée par l'organisation d'une table ronde sur les efforts des Sociétés SONABEL et SURAC pour développer et moderniser leurs unités de production et sur la politique d'incitation et d'accompagnement des agriculteurs, que le PDG de la SUNABEL, Mohamed Fikrat a qualifiés de partenaires stratégiques.
L'usine de Bel Ksiri a investi 50 millions de DH pour passer de la production du sucre brut au sucre blanc et les responsables de la SONABEL et de la SURAC prévoient une augmentation de 45 à 55 % des cultures sucrières dans la région du Ghrab et du Loukkos.
La cérémonie de célébration a été marquée par l'organisation d'une table ronde sur les efforts des Sociétés SONABEL et SURAC pour développer et moderniser leurs unités de production et sur la politique d'incitation et d'accompagnement des agriculteurs, que le PDG de la SUNABEL, Mohamed Fikrat a qualifiés de partenaires stratégiques.
L'usine de Bel Ksiri a investi 50 millions de DH pour passer de la production du sucre brut au sucre blanc et les responsables de la SONABEL et de la SURAC prévoient une augmentation de 45 à 55 % des cultures sucrières dans la région du Ghrab et du Loukkos.
Noël approche, le père Noël revient.
Froehliche Weihnachten
Merry Christmas
Frohe Weihnachten
Zalig Kerstfeest , Joyeux Noël
Jwaïeu Nouel
Jénwèl
Chestita Koleda
Mutlu yillar et Kala Christouyenna
Glaedelig Jul
Nollaig Chridheil
Feliz Navidad
Roomsaid Joulu Puhi
Iloista Joulua ou Huyvä Joulua
Joyeux Noël
Kala Christouyenna
Vroolijk Kerfeest
Kellemes karacsonyi unnepeket
Nodlaig mhaith chugnat
Gleðileg Jól
Buone Feste Natalizie, Buon Natale
Priecigus Ziemassvetkus
Linksmu Kaledu, su Kaledoms
Schéi Chrëschtdeeg Joyeux Noël
Il Milied it-tajjeb
Bòn nové
Gledelig Jul
Wesolych Swiat
Boas Festas
Veselé vanoce
Sarbatori vesele, un Crãciun fericit
Veselé Vianoce
Vesel božic / vesele božicne praznike
God Yul
Fröhlichi Wiehnacht, Joyeux Noël
Mutlu yillar
Voilà de quoi faire une bonne purée : une énorme pomme de terre pesant près de 11,3 kg.
Il y a quelques jours, un agriculteur libanais a eu la surprise de trouver dans son champ une énorme pomme de terre pesant près de 11,3 kg, ce qui représente environ la taille de 3 têtes humaines !
L’agriculteur affirme n’avoir jamais utilisé d’ingrédient chimique pour qu’elle atteigne ce poids. Du coup très fier de sa découverte il envisage de faire une demande auprès du Guiness book des records.
L’agriculteur affirme n’avoir jamais utilisé d’ingrédient chimique pour qu’elle atteigne ce poids. Du coup très fier de sa découverte il envisage de faire une demande auprès du Guiness book des records.
La plus grosse femme du monde accouche.
La britannique Leanne Salt, la femme la plus grosse du monde, a donné naissance à des triplés. L’accouchement ne fut pas un travail de routine. En effet, une équipe de 68 personnes a aidé à mettre au monde les bébés. Ses 230 kilos représentaient un risque pour Leanne et ses bébés. Avec son poids, accoucher d’un seul enfant était déjà risqué...
L’équipe présente autour du lit de la maman rassemblait, entre autres, 5 accoucheuses, 4 chirurgiens, 12 consultants post-cure, 6 anesthésistes et un grand nombre d’infirmières. Le miracle a eu lieu et Leanne a donné la vie à deux filles, Deanna (1,930 kg) et Daisy (1,843 kg) ainsi qu’à un garçon Finlee (2,552 kg). Comme la mère, les enfants sont en bonne santé.
Vol d'une grille de fer forgé, de 5 mètres de long, du camp d'extermination d'Auschwitz, portant l'inscription en allemand "Arbeit macht frei".
Il s'agit d'une enseigne métallique, portant la triste et célèbre inscription en allemand (Arbeit macht frei) c'est à dire (Le travail rend libre), qui ornait le portail d'entrée de l'ancien camp d'extermination d'Auschwitz, dans le sud de la Pologne, premier lieu de mémoire du génocide juif entrepris par l'Allemagne nazie durant la Seconde Guerre mondiale. Symbole connu dans le monde entier du cynisme des bourreaux hitlériens et du martyre de leurs victimes, elle a été dérobée hier, vendredi 18 décembre 2009, par des inconnus.Ce panneau métallique avait pour objet de faire croire aux détenus qui arrivaient à Auschwitz qu'ils entraient dans un camp de travail et non d'extermination.
L'Allemagne nazie a exterminé de 1940 à 1945 à Auschwitz-Birkenau environ 1,1 million de personnes, dont un million de juifs. Les autres victimes de ce camp furent surtout des Polonais non juifs, des Roms et des prisonniers soviétiques. Ce camp, également connu sous le nom de "Auschwitz II", abritait des chambres à gaz. Le camp a été libéré par l'armée soviétique en janvier 1945. Les nazis ont détruit nombre d'installations en prenant la fuite. Sur 191 hectares, le site compte 155 bâtiments et plus de 300 ruines.
L'Allemagne nazie a exterminé de 1940 à 1945 à Auschwitz-Birkenau environ 1,1 million de personnes, dont un million de juifs. Les autres victimes de ce camp furent surtout des Polonais non juifs, des Roms et des prisonniers soviétiques. Ce camp, également connu sous le nom de "Auschwitz II", abritait des chambres à gaz. Le camp a été libéré par l'armée soviétique en janvier 1945. Les nazis ont détruit nombre d'installations en prenant la fuite. Sur 191 hectares, le site compte 155 bâtiments et plus de 300 ruines.
Le monde musulman célébre le nouvel an musulman : Le 1er Moharram de l'an 1431 de l'hégire célébré vendredi 18 décembre 2009.
Aujourd'hui, le maroc célèbre le 1er Moharram de la nouvelle année de l'hégire 1431.
C’est le calife Omar (634-644) le deuxiéme aprés la mort du prophéte qui instaura le calendrier musulman, en prenant comme point de départ l’exil de Mohammed fuyant la Mecque vers Médine.
Je vous souhaite à toutes et à tous, une très bonne et heureuse année pleine de santé, de bonheur et de prospérité.
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Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
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Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était be...
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Le tango est une danse sociale et un genre rioplatense (c'est-à-dire du Río de la Plata, soit Buenos Aires et Rosario en Argenti...