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La découverte qui bouleverse l’histoire d’« Homo sapiens »

Des restes, trouvés au Maroc, de cinq individus datant d’environ 315 000 ans pourraient repousser de 100 000 ans l’âge de notre espèce, et plaideraient pour son origine « panafricaine ».


Le plus ancien représentant connu de notre espèce, Homo sapiens, vivait il y a environ 315 000 ans au Maroc. La découverte, due à une équipe internationale dirigée par Jean-Jacques Hublin (Institut Max-Planck d’anthropologie évolutionniste de Leipzig et Collège de France), est exceptionnelle.
Elle déplace nos origines vers le nord-ouest du continent africain, alors que les fossiles les plus anciens trouvés jusqu’alors provenaient d’Afrique du Sud et de l’Est. Et elle les fait considérablement reculer dans le temps, puisque les premiers ossements humains jusqu’alors unanimement reconnus comme anatomiquement modernes, découverts en Ethiopie, avaient moins de 200 000 ans.

Reconstitution d’un crâne à partir de scans sur plusieurs fossiles originaux d’« Homo sapiens » trouvés sur le site marocain de Djebel Irhoud.

Le Maroc serait donc le nouveau berceau de l’humanité ? « Bien malin qui pourrait donner un point d’origine », a répondu Jean-Jacques Hublin, mardi 6 juin, lors d’une conférence de presse au Collège de France, à Paris, où les travaux étaient présentés juste avant leur publication, jeudi 8 juin, dans deux articles de la revue Nature.
Rappelons d’emblée qu’on est bien loin dans le temps de nos premiers ancêtres putatifs – Toumaï (Tchad, 7 millions d’années) et Orrorin (Kenya, 6 millions d’années) – et des australopithèques comme Lucy (Ethiopie, 3,2 millions d’années). Ou même des premiers représentants du genre Homo, comme habilis (Afrique orientale, 2,5 millions d’années), dont certains comme erectus étaient déjà sortis d’Afrique il y a 1,8 million d’années.

Outils de pierre taillée

Le site marocain de Djebel Irhoud, où les fossiles ont été trouvés, marque un nouveau jalon dans l’histoire humaine la plus récente, à une époque où plusieurs espèces apparentées coexistent sur la planète – Néandertaliens en Europe, Dénisoviens et erectus en Asie, Florès en Indonésie… De ce buissonnement du genre Homo ne subsiste aujourd’hui qu’une seule espèce, la nôtre, Homo sapiens, et la découverte marocaine repose la question de son enracinement initial. 

Au cours des derniers 900 000 ans, le genre « Homo » comportait plusieurs espèces. Seule la nôtre, « Homo sapiens », a survécu.
« Notre idée est qu’en fait, l’émergence de l’homme moderne est plus ancienne encore, et qu’il s’agit d’un phénomène panafricain », indique M. Hublin. Même s’il dit se réjouir que le Maroc, et le Maghreb avec lui « se retrouvent au centre des débats sur l’origine de l’homme actuel ».
Deux cartes projetées au Collège de France résument à elles seules les incertitudes qui subsistent sur cette question. La première montre une Afrique quasiment vierge de découvertes paléoanthropologiques : des pans entiers du continent n’ont pas été explorés, et il serait présomptueux de penser qu’aucun autre fossile d’Homo sapiens ancien ne pourrait s’y trouver. La seconde montre cette même région du globe il y a 300 000 ans. Elle est encore plus spectaculaire : à l’époque, l’Afrique est intégralement verte, le Sahara est absent, il n’existe nulle frontière géologique du nord au sud et de l’est à l’ouest.

 Il y a plus de 300000 ans, le Sahara était vert et ne constituait pas une barrière géologique.


« On peut donc imaginer des connections entre groupes humains, qui échangent des gènes par métissage, et des éléments culturels », indique le directeur de l’équipe de recherche.
La première carte révèle aussi la présence dans de nombreux sites africains datant de 300 000 à 130 000 ans, d’outils de pierre taillée dits du « Middle Stone Age » ou « levallois ». « Petits, pointus et façonnés pour la chasse, notamment à la gazelle », a rappelé l’archéologue Shannon McPherron, de l’Institut Max-Planck, ils témoigneraient de ces échanges panafricains.

Outils lithiques de type « Middle Stone Age » trouvés au Jebel Irhoud (Maroc).


Mais revenons aux fossiles, et à la façon dont ils ont été découverts. C’est une longue histoire. Le site de Djebel Irhoud, situé entre Marrakech et l’océan Atlantique, a d’abord été une mine, dans laquelle les carriers ont trouvé un premier crâne, en 1961. Conservé dans une boîte en carton emplie de paille par un médecin chef, il sera récupéré par l’université de Rabat.
Cinq autres fossiles émergeront dans les années 1960, mais ils laissent les spécialistes perplexes : datés de 40 000 ans, ils semblent pourtant plus archaïques que les Homo sapiens contemporains. « On a alors émis des hypothèses assez extravagantes, rappelle Jean-Jacques Hublin. On a fait d’eux des Néandertaliens, des hybrides… »

Une idée fixe

La première rencontre de M. Hublin avec Irhoud date du début des années 1980, lorsque le professeur Jean Piveteau, figure de la paléoanthropologie, le croise au sortir de son bureau dans les couloirs de l’université Paris-VI, et lui confie une petite mandibule à étudier, « Irhoud 3 ». Premier article publié en 1981.
Puis il part sur d’autres terrains, en Europe et ailleurs, en quête de Néandertaliens, mais reste « obsédé » par les questions irrésolues du Djebel Irhoud, « saccagé par l’exploitation minière ». Pourquoi cette idée fixe pour cette extrémité du Maghreb, alors que la grande majorité des fouilles internationales se trouvent aux antipodes du continent ? « Peut-être parce que je suis né en Afrique du Nord, que j’ai dû quitter dans des conditions un peu tragiques, et que j’y retrouve des odeurs, des ambiances, des lumières de mon enfance », raconte-t-il. « Chercher plus à l’ouest, c’est un peu s’inscrire dans une continuité de l’Empire », note Yves Coppens, qui a fouillé au Tchad.

Vue du site de Jebel Irhoud, au maroc. Lors de son occupation humaine, il y a plus de 300 000 ans, il s’agissait d’une grotte, détruite par l’exploitation minière.


En 2004, avec son ancien collègue du laboratoire d’anthropologie de Bordeaux, Abdelouahed Ben-Ncer, professeur à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine à Rabat, Jean-Jacques Hublin monte enfin une coopération scientifique : son institut de Leipzig a les reins assez solides pour financer l’enlèvement de 200 mètres cubes de blocs de pierre pour dégager le site, et assurer les datations – « ce qui coûte le plus cher en archéologie », note M. Ben-Ncer.
La chance est au rendez-vous : trois mètres d’épaisseur de dépôts anciens ont été préservés, au sein desquels seize ossements humains supplémentaires seront exhumés année après année. Au total, cinq individus, dont un ado et un enfant de 7 à 8 ans. Mais on trouve aussi de nombreux éclats de silex brûlés, ce qui permet d’établir des datations par thermoluminescence. Une autre méthode – la résonance de spin électronique – a pointé la même période.

Jean-Jacques Hublin pointe vers le crâne écrasé dit « Irhoud 10 » en phase d’extraction: les orbites sont visibles juste sous l’extrémité de son doigt.


« Quand nous avons reçu les premières dates, nous avons été incroyablement secoués », se souvient Jean-Jacques Hublin. Même si des premières tentatives de datations laissaient penser que le site était plus ancien qu’on ne l’avait d’abord considéré, cette plongée si loin dans le passé – l’ensemble des fossiles a 315 000 ans, plus ou moins 34 000 ans si l’on tient compte de la marge d’erreur – était inattendue. De quoi « changer les manuels » sur l’origine humaine, se réjouit le paléoanthropologue.
« C’est une très belle découverte, qui semble confirmer un foyer africain pour l’origine humaine, commente Yves Coppens. Cela invite à repenser de nombreuses fouilles sous un nouveau jour. »
La découverte, en 1932, d’un crâne fragmentaire à Florisbad, en Afrique du Sud, daté il y a vingt ans à 260 000 ans, prend ainsi un nouveau relief. James Brink, responsable du site de Florisbad, n’est pas surpris de la découverte marocaine : « On trouve aussi des pierres taillées de type Levallois datant de près de 500 000 ans à Kathu Pan, en Afrique du Sud, et au Kenya. Je pense qu’on peut associer ces outils aux premiers Homo sapiens, donc il est probable que les premiers représentants de notre espèce avaient une distribution panafricaine, et que celle-ci est intervenue il y a moins de 500 000 ans. »

Une datation réfutée par certains

Tout le monde n’est cependant pas convaincu, comme Jean-Jacques Jaeger, professeur émérite à l’université de Poitiers, qui a travaillé sur des fossiles animaux du Djebel Irhoud pour sa thèse, soutenue en 1975.
« La faune de rongeurs d’Irhoud que j’ai pu étudier correspond à une date plus récente que 125 000 ans. Je réfute donc la datation obtenue par les techniques utilisées », dit le chercheur, qui n’est pas non plus convaincu par l’hypothèse panafricaine. Jean-Jacques Hublin invoque des études sur les rongeurs plus récentes, qui avaient déjà vieilli le site.
Dans un article de commentaire publié dans Nature, Chris Stringer et Julia Galway-Witham, du Muséum national d’histoire naturelle de Londres, sont eux d’accord avec l’équipe de Jean-Jacques Hublin : « Ces spécimens constituent probablement des représentants précoces de la lignée Homo sapiens », écrivent-ils. Mais ils se demandent si l’aspect moderne de leur visage, partagé avec le fossile de Florisbad, ne pourrait pas être hérité d’un ancêtre « non sapiens » de notre arbre de famille – plutôt que dû à une parentèle traversant l’Afrique entière.

Superposition de deux reconstitutions de la face des fossiles Irhoud 10 (beige) et Irhoud 1 (bleu), parmi plusieurs possibles: toutes se situent dans la variabilité des visages retouvés chez les hommes actuels.

A quoi ressemblaient donc ces premiers humains ? « Leur visage n’était pas différent de celui de n’importe qui dans le métro », dit Jean-Jacques Hublin. Leur boîte crânienne était aussi volumineuse mais moins globulaire que la nôtre, et leur cervelet moins développé.
« L’évolution ne s’arrête pas, nous évoluons encore », souligne le chercheur, pour qui toute la différence entre les premiers sapiens et nous tient probablement dans l’organisation interne du cerveau, sa connectivité. Malheureusement, la génétique, une spécialité de l’institut de Leipzig, ne sera d’aucun secours pour en savoir plus : il fait trop chaud au Maroc pour espérer récupérer de l’ADN ancien sur ces fossiles.




Et leurs ancêtres, qui étaient-ils ? Les points d’interrogation sur les arbres phylogénétiques proposés par les paléontologues sont la réponse la plus prudente : il faut accumuler plus de données.
Va-t-on assister à une ruée vers l’os au Maroc ? « Nos collègues marocains sont sollicités par des équipes anglo-saxonnes », note Jean-Jacques Hublin, qui s’amuse de cet intérêt nouveau après une longue traversée du désert « pour des raisons historiques et linguistiques circonstancielles ».
Le Djebel Irhoud n’a sans doute pas dit son dernier mot. « Après une interruption pour publier ces résultats, indique Abdelouahed Ben-Ncer, on espère – inch’allah – reprendre rapidement la campagne de fouilles ! »

Les Saperas, une caste de charmeurs de serpents en Inde.

En Inde, les Saperas charment des serpents depuis des siècles. Aujourd’hui, leur mode de vie est menacé.


les Saperas sont chasseurs et charmeurs de serpents. Membres d’une très ancienne caste indienne, ils vivent à la périphérie des villes, pour la plupart dans l’Etat de l’Uttar Pradesh dans le nord du pays.


Ils forment une communauté très sollicitée car ils savent aussi guérir des morsures de serpents. Ils connaissent tous les secrets des venins et comment fabriquer des antidotes.


Il existe en Inde 270 espèces de serpents, dont une soixantaine sont très dangereux pour l’homme. 8.000 Indiens décèdent chaque année suite à une morsure de serpent venimeux. Les habitants des villages reculés font toujours appel aux Saperas pour chasser les reptiles de leurs maisons et de leurs champs.


Mais pourtant, aujourd’hui, les Saperas suscitent des réactions mitigées parmi la population. Certains les admirent. Mais les défenseurs des animaux les accusent de maltraiter les reptiles, de coudre leur bouche, d’arracher leurs crochets ou encore de percer leurs glandes à venin.
Sous la pression des associations de défense des animaux, la Loi de protection de la vie sauvage a déclaré illégale, en 1991, l’activité des Saperas. Mais malgré cet interdit, 800.000 charmeurs de serpents continuent d’exercer leur activité.
Les Saperas réfutent totalement les accusations de maltraitance. Pour eux, blesser un serpent serait comme maltraiter leurs dieux. La plupart sont hindouistes (une petite minorité s’est convertie à l’islam) et vénèrent Shiva, un dieu représenté avec un cobra royal autour du cou, ainsi que Shakti, la déesse serpent.
Ils réclament à l’Etat indien de supprimer cette loi de 1991 qui menace leur mode de vie ancestrale, transmis de génération en génération.
Si la loi continue à être appliquée, les Saperas demandent au gouvernement de leur octroyer une compensation financière car ils ne connaissent pas d’autres métiers. Et réclament également à l’Etat le droit de vendre le venin à des fins médicales.
Cette loi pose un autre problème. Depuis des années, ayant de plus en plus de difficultés à survivre, les Saperas pratiquent la contrebande et le braconnage. Ils mettent ainsi en péril des espèces de reptiles menacées.
Mais cette activité et ce mode de vie sont peut-être condamnés à disparaitre dans l’Inde moderne. Beaucoup de jeunes veulent suivre des études. Destinés à devenir charmeurs de serpents, certains d’entre eux préfèrent travailler sur les chantiers ou dans les usines. Des métiers qui rapportent plus d’argent pour faire vivre une famille.

Comment se forme la grêle ?


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Lorsqu’un orage éclate, même par forte chaleur, il n’est pas rare d'être témoin d'une averse de grêle.
Cette précipitation, souvent brève, locale et violente, obéit à des conditions climatiques particulières pour se former. L’air doit être tout d’abord très humide et les courants ascendants très puissants.


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Les gouttes d’eau contenues dans un cumulonimbus, qui retomberaient normalement sous forme liquide, finissent par former de petites billes de glace parce qu’elles restent à très haute altitude, là où les températures sont inférieures à -10°C.
Plus le courant ascendant est fort, plus la grêle, prise dans des tourbillons, devient imposante en gelant et dégelant à plusieurs reprises. Jusqu'à ce que, trop lourds, les grêlons finissent par tomber.
En s’accumulant, ces morceaux de glaces peuvent dépasser la dizaine de centimètres. Et faire de gros dégâts.

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Un mini-tsunami déferle sur une plage des Pays-Bas

Un météo-tsunami, phénomène rare, a été observé cette semaine entre Katwijk et Zandvoort, aux Pays-Bas. La grosse vague a déferlé sur la plage, entraînant tout sur son passage. Aucune victime n’est heureusement à déplorer. Ces tsunamis, similaires à ceux provoqués par les séismes sous-marins, ont une origine météorologique (variations brutales de pression atmosphérique, vents violents…). Ils passent généralement inaperçus, mais le 21 juin 1978, à Vela Luka, en Croatie, la vague avait dépassé les six mètres. 




La famille des nuages s’enrichit de 11 nouvelles espèces


L’organisation météorologique mondiale publie lors de la journée mondiale de la météo le classement rafraîchi des genres de nuages. Une dizaine de nouvelles espèces apparait. La moitié a des origines humaines plus que climatiques.
Les nuages se rangent par genre, comme les espèces animales. Le "Linnée" des nuages ? Le britannique Luke Howard : il fut en 1803 l'auteur d’un essai sur la modification des nuages. Le 1er atlas international date de 1896. Depuis, à intervalles d'une à trois décennies, le classement est réactualisé. Et c’est donc aujourd’hui le premier à ne pas être imprimé mais publié sur le web. On note l'apparition du célèbre "Asperitas"... mais pas seulement. A ses côtés, "Cavum", "Cauda", "Murus", "Flumen"... Nouveauté de l’OMM : elle a ajouté une nouveauté, 5 formes « spéciales » qui ont tout à voir avec l’activité humaine et peu avec la météo. "Caractagenitus" se forme lors de pluies intenses des tropiques le long des fleuves à partir d’un renvoi d’air en hauteur. "Silvagenitus" est issu de la rencontre des particules émises par les feux de forêts et les masses d’air humides tandis que "flammagenitus" est issus d’autres types de combustion. Et puis il y a "Homogenitus", le nom désormais des traînées produites par le passage des avions de ligne. "Homomutatus" est constitué des brumes provoquées par les îlots de chaleur des mégapoles.

Fluctus
apparaissait auparavant comme la "vague de Kelvin-Helmholz". Cette forme à la durée de vie très brève est provoquée par les vents.

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Praecipitatio

La pluie est visible au bas du cumulo-nimbus et crée une forme nouvelle

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Mamma
Des protubérances en forme de mamelles se forment au dessous du nuage
VirgaDes traces de pluies se forment sous la surface du nuage sans atteindre le sol

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Virga
Des traces de pluies se forment sous la surface du nuage sans atteindre le sol

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arcus
Un rouleau horizontal dense à l'avancée du nuage forme un arc menaçante

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TubaUn nuage en cône à la base d'un vortex plus ou moins puissant

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asperitas
Le nuage aux "aspérités" dont la forme a été photographiée partout dans  le monde par des amateurs éclairés

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Homomutatis
L'entrée dans le catalogue des nuages des traces faites par les avions dans le ciel

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cavum
Formation d'un trou circulaire dans des nuages de gouttelettes glacées en haute altitude

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Murus

Le mur se voit à l'avant des cumulo-nimbus les plus puissants
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Cauda

nuage en forme de queue qui suit l'avancée d'un orage ou d'une perturbation violente.

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Nishiyama Onsen Keiunkan : l'hôtel le plus ancien du monde, a 1312 ans et voici à quoi il ressemble !




Le Nishiyama Onsen Keiunkan est l'hôtel le plus ancien de la planète. Situé dans la petite ville d'Hayakawa au Japon, il a toujours appartenu à la même famille, ayant été construit en 705 il a donc connu 52 générations différentes. Il a fêté ses 1311 ans en 2016
Même s'il a été entièrement rénové en 1998, l'intérieur de l'hôtel est toujours aussi authentique, décoré dans un style japonais des plus traditionnels. Dédié au repos du corps et de l'âme, vous pourrez profiter des nombreuses activités qu'offre la région, telles que les baignades dans les sources chaudes ou bien encore les virées trekking dans les montagnes. Cependant, même si vous disposerez de tous les avantages du confort moderne, l'hôtel vous coupera un peu du monde extérieur : peu de réseau, pas d'internet et pas de télévision.
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Le mont Muchu Chhish est l'endroit le plus inaccessible de la planète




Situé au Pakistan, du haut de ses 7.453 mètres le Muchu Chhish est très probablement le sommet le plus dangereux de l'Himalaya. Les conditions pour accéder à son somment sont si extrêmes que personne n'a jamais réussi à l'atteindre, et on estime qu'une personne sur 5 est décédée dans l'ascension de cette force de la nature indomptée. Les derniers aventuriers ayant tenté l'expérience ont dû rebrousser chemin à 6.000, le reste de l'ascension leur paraissant physiquement impossible.

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Ainsi, même si l'homme n'a jamais posé les pieds sur quelques autres endroits présents sur le globe, le sommet du Muchu Chhish est très probablement l'endroit le plus isolé et inaccessible de la planète.

Lac Bosumtwi : perdu en pleine forêt ghanéenne, voici le lac mystérieux de plus d'1 million d'années


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Situé à 30 kilomètres au sud de Kumasi, une des principales ville du Ghana, le lac Bosumtwi est un endroit très prisé par les touristes et les locaux. Totalement naturel, ce lac s'est créé dans un cratère formé par les impacts de météorites.

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D'un diamètre de 10,5 km et possédant une surface de 49 km² remplie d'eau, l'âge de ce lac est estimé à plus d'1 million d'années. Bien plus âgé que la civilisation, ce lac est fortement respecté par les locaux qui y voient une source de foi inégalable... surtout qu'il s'agit du seul lac ghanéen.



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Reconnu comme «réserve biosphère» par l'UNESCO, ce lac est fortement utilisé pour la pêche par les locaux et les balades en pirogue.

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Retrait des Etats-Unis de l'accord sur le climat : quels sont les (deux) pays qui ne l’ont pas signé ?

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Le président américain Donald Trump vient d'annoncer le retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat. 194 autres pays sont actuellement signataires de cet accord.



C’est historique. Et, sans doute, cataclysmique. Le président Donald Trump a annoncé ce jeudi soir une sortie des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat. La décision risque de provoquer une onde de choc mondiale pour les 194 autres pays signataires de ce texte historique, qui vise à contenir la hausse de la température moyenne mondiale "bien en deçà" de 2°C par rapport à l'ère pré-industrielle.

Les Etats-Unis, deuxième émetteur mondial de gaz à effets de serre après la Chine, vont donc rejoindre le club très, très fermé des pays à n’avoir jamais signé cet accord. Lors de la COP 21 en 2015, sur les 197 pays reconnus par l’ONU, 195 Etats s’étaient en effet mis d’accord. 

Sur le coup, le jour même, "seuls" 117 pays avaient signé l’accord. La vingtaine restante l'a fait au fur et à mesure : les pays avaient en effet un an pour le parapher et le ratifier. Des pays pétroliers comme l’Arabie Saoudite, l’Irak, le Nigeria, le Yémen ou l’Azerbaïdjan, plusieurs pays africains comme le Bénin, la Botswana ou la Guinée Équatoriale, et en Amérique du Sud, le Chili et l’Équateur, se sont ainsi engagés l'année suivante. L’Ouzbékistan est le dernier pays à avoir signé le traité, le 19 avril dernier. A noter cependant : le texte, une fois signé, doit être ratifié par les parlements nationaux. Et à ce jour, 147 pays sont allés au bout de leur processus de ratification. Parmi les grandes économies, la Russie et la Turquie manquent à l'appel.

Mais il y a en revanche deux pays qui n’ont jamais signé : le Nicaragua et la Syrie. Les raisons sont très diverses. La Syrie est en pleine guerre civile depuis 2011, et Bachar al-Assad affiche clairement d’autres priorités que l’environnement. Le Nicaragua, petit pays d’Amérique centrale, a d’autres raisons, bien différentes, pour boycotter l'accord de Paris : le pays estime en effet que ce texte est largement insuffisant pour empêcher une catastrophe environnementale. "Nous ne voulons  pas être complices d'un processus qui entraîne le monde vers une augmentation de 3 à 4°C, ainsi que de la mort et de la destruction que cela représente", avait indiqué le pays lors de la COP 21

Kerry avait signé avec sa petite fille dans les bras  

C’est d’ailleurs l’analyse qu’en tirait en 2015 dans Le Monde Matthieru Wemaëre, avocat aux barreaux de Paris et de Bruxelles, expert en du climat et négociateur pour le Maroc lors de la COP21 : "Du point de vue du droit international, l’accord n’est pas à strictement parler contraignant dans la mesure où il ne prévoit pas de mécanisme coercitif ou de sanction pour les pays qui ne respecteraient pas leurs engagements." Un dispositif juridiquement peu contraignant, donc, mais toujours trop pour Donald Trump. 

C’était le secrétaire d’Etat John Kerry qui était venu signer l’accord au siège de l’ONU en avril 2016, venu signer avec sa petite fille dans les bras, sous les applaudissements. Ce jeudi, il a réagi sur Twitter à la décision de Donald Trump, avec un message en forme de condoléances : "Mes pensées vont à la grande erreur du président Trump de mettre l’Amérique à la dernière place du grand combat qu’il avait mené. Allons-y."  



Deux minutes magiques d'aurore australe en Nouvelle-Zélande.

Des aurores polaires sont apparues dans le ciel néo-zélandais. Et c'est d'une magie rare.
Le ciel de la Nouvelle-Zélande s'est illuminé comme par magie dimanche. Une aurore polaire australe a fait son apparition dans ce pays d'Océanie, au sud-ouest de l'océan Pacifique, pendant plusieurs heures. Des volutes de couleur verte, rose ou bleue ont ainsi dansé avec les étoiles et l'obscurité néo-zélandaise.
Les aurores polaires sont australes lorsqu'elle se situent dans l'hémisphère Sud du globe. Ce phénomène naturel se caractérisent par des vagues très lumineuses et colorées dans le ciel nocturne. Il est possible de les regarder à certains moments particuliers de l'année.
Les spectateurs chanceux ont pu s'en mettre plein les mirettes et ont capturé cet événement avec leurs téléphones et autres appareils photos, jusqu'à réaliser des time-lapses pour les publier sur Internet. Magique, tout simplement.


FREESTYLE LIBRE : premier lecteur de glycémie sans piqûre

Le dispositif FREESTYLE LIBRE est un système d'autosurveillance de la glycémie de nouvelle génération : il permet de mesurer sans piqûre le taux de glucose dans le liquide interstitiel chez les personnes (âgées de 4 ans et plus) atteintes de diabète sucré.

Ce dispositif est conçu pour remplacer la mesure de la glycémie par prélèvement capillaire, sauf cas particuliers (femmes enceintes, personnes dialysées ou personnes âgées de moins de 4 ans).

Il se compose d'un capteur placé sur la peau pour une durée de 14 jours et d'un lecteur utilisé pour scanner le capteur par une liaison sans fil. Les données générées comprennent l'ensemble du profil glycémique (valeurs, tendances, variabilité glycémique, historique des 8 dernières heures, etc.).

Sa prise en charge est en effet exclusivement réservée aux patients atteints d'un diabète de type 1 ou de type 2 (adultes et enfants âgés d'au moins 4 ans) traités par insulinothérapie intensifiée (pompe externe ou nécessitant 3 injections ou plus par jour) et pratiquant une autosurveillance glycémique (ASG) pluriquotidienne (3 mesures ou plus par jour).
La prescription initiale de FREESTYLE LIBRE doit être établie par un diabétologue ou un pédiatre expérimenté en diabétologie. Après une période d'essai de 1 à 3 mois, le renouvellement peut être assuré par tout médecin.
Les patients et/ou leur entourage doivent avoir reçu une éducation spécifique leur permettant de maîtriser l'utilisation du capteur et l'interprétation des résultats pour optimiser leur traitement.



FREESTYLE LIBRE se compose d'un capteur placé sur la peau et d'un lecteur utilisé pour scanner le capteur et afficher les données de glycémie mesurées.

La chute du Mur de Berlin

Le responsable est-allemand Günter Schabowski le 9 novembre 1989, lors de la conférence de presse où ses mots improvisés ont précipité la chute du mur de Berlin.
Le responsable est-allemand Günter Schabowski
 le 9 novembre 1989, lors de la conférence 
de presse où ses mots improvisés 
ont précipité la chute
 du mur de Berlin.

La chute du Mur de Berlin le 9 novembre 1989 marque la fin du XXe siècle. Pendant trois décennies, le Mur a été l’emblème douloureux d’une ville mutilée, d’un pays déchiré, d’une Europe fracturée, d’un monde divisé. Un mur à Berlin, avec des images d’archives exceptionnelles et en couleur, avec des témoignages d’une bouleversante humanité, mêle, de la chute du nazisme à la chute du communisme, les histoires individuelles à la grande Histoire.


Le 9 novembre 1989, après des mois de manifestations massives, le secrétaire général du SED (Parti socialiste unifié) informe les principaux dirigeants du régime qu’une nouvelle législation sur les voyages à l’étranger vient d’être adoptée. Günter Schabowski, qui énumère face aux médias internationaux les dernières décisions du régime, attend la fin de son point presse pour annoncer l’ouverture des frontières, espérant « éviter les questions ».


A 18h53, il sort de sa poche et lit d’une voix monocorde un document annonçant que des visas pour voyager ou émigrer à l’étranger seront délivrés « sans conditions particulières ou raisons familiales ». « A partir de quand ? », demande un journaliste. Schabowski improvise : « autant que je sache… immédiatement, sans délai ». Plusieurs correspondants bondissent hors de la salle et l’information crépite sur les fils des agences : « Les Allemands de l’Est peuvent se rendre à l’étranger dès maintenant »

La foule afflue alors devant le poste-frontière de la Bornholmer Strasse, qui relie Berlin-Est à Berlin-Ouest. Désorientés, les gardes, ne savent pas s’ils doivent les laisser passer. A 23h30, un officier finit par donner l’ordre : « Ouvrez la barrière ! ». Les barrières s’ouvrent, la foule grossit, affluant des deux côtés du mur. Allemands de l’Est et de l’Ouest, euphoriques, tombent dans les bras les uns des autres. Le Mur s’écroule en quelques jours, précipitant l’effondrement du régime est-allemand.
Pourtant Günter Schabowski n’avait rien prévu de tel. « Le 9 novembre, j’étais encore un communiste convaincu », confiait-il vingt ans plus tard à des journalistes étrangers. « Ouvrir le Mur n’a pas été une décision humaniste mais tactique, prise sous la pression de la population. L’existence de la RDA était en danger. Entre 300 et 500 personnes fuyaient chaque jour au-delà des frontières, c’était l’hémorragie », expliquait-il.
Schabowski, considéré comme un « traître » par les plus fervents communistes et qualifié de « repenti tardif » par la Frankfurter Allgemeine Zeitung, est l’un des rares dirigeants est-allemands à avoir choisi de se distancier du régime.

Visite complète de la station spatiale avec Thomas Pesquet


L'ISS, la Station spatiale internationale où Thomas Pesquet vient de passer six mois pour la mission Proxima, est sans doute la plus belle réalisation technologique de l'Histoire. Quelques chiffres : 420 tonnes, une surface de 108 mètres par 73, un coût de 133 milliards d'euros, et 15 modules pressurisés. Avec la caméra embarquée de Thomas Pesquet pour "Envoyé spécial", on peut la visiter. Extrait.
Grâce à ces images, on pénètre dans la pièce où sont entreposés les scaphandres, puis dans le module-laboratoire américain Destiny. Nous continuons vers le module Unity, avec son coin cuisine. En enfilade, un espace de stockage. Plus loin, les modules de recherche scientifique. Voici le module japonais : à son extrémité, il est pourvu d'un sas pour faire des expériences dans le vide spatial.

La Cupola, poste d'observation de la planète
Entrons dans la Cupola, un extraordinaire poste d'observation de la planète. C'est l'un des tout récents modules financés par les Européens. On distingue le vaisseau Soyouz qui relie la Terre à l'ISS, un cargo spatial qui ravitaille la station en vivre et matériel, et les panneaux solaires qui fournissent l'énergie à l'ISS.

L'ISS marche à l'énergie solaire. "Quand on est dans la partie ensoleillée de notre trajectoire orbitale, l'énergie est fournie directement aux systèmes et emmagazinée dans les batteries, explique Thomas Pesquet. Puis, quand on passe derrière la Terre, on utilise cette énergie stockée pour continuer à alimenter tous les systèmes de manière stable."

Ramadan : Un village du Golfe observe seulement 3 heures le jeûne



Le mois de Ramadan en cours détient le record du plus grand nombre des jours et d’horaires dans nombreux pays, en raison de la durée de la journée, par contre un village omanais, Wekan, se caractérise par 3 heures seulement de jeûne par jour.


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Wekan est un village de Sultanat d’Oman, situé à une altitude de 2000 m au-dessus du niveau de la mer dans la vallée de Moustil, dans la province du Sud-Batinah, et à 150 kilomètres de la capitale, Mascate.




Selon le site informatique, Ajil, cette région se caractérise d’une baisse température en été et faible en hiver. Le soleil se lève à 11 heures et se couche à l4.30 Heure locale, ce qui signifie que leur journée  ne dure que  3 heures et demie.