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La chute du Mur de Berlin

Le responsable est-allemand Günter Schabowski le 9 novembre 1989, lors de la conférence de presse où ses mots improvisés ont précipité la chute du mur de Berlin.
Le responsable est-allemand Günter Schabowski
 le 9 novembre 1989, lors de la conférence 
de presse où ses mots improvisés 
ont précipité la chute
 du mur de Berlin.

La chute du Mur de Berlin le 9 novembre 1989 marque la fin du XXe siècle. Pendant trois décennies, le Mur a été l’emblème douloureux d’une ville mutilée, d’un pays déchiré, d’une Europe fracturée, d’un monde divisé. Un mur à Berlin, avec des images d’archives exceptionnelles et en couleur, avec des témoignages d’une bouleversante humanité, mêle, de la chute du nazisme à la chute du communisme, les histoires individuelles à la grande Histoire.


Le 9 novembre 1989, après des mois de manifestations massives, le secrétaire général du SED (Parti socialiste unifié) informe les principaux dirigeants du régime qu’une nouvelle législation sur les voyages à l’étranger vient d’être adoptée. Günter Schabowski, qui énumère face aux médias internationaux les dernières décisions du régime, attend la fin de son point presse pour annoncer l’ouverture des frontières, espérant « éviter les questions ».


A 18h53, il sort de sa poche et lit d’une voix monocorde un document annonçant que des visas pour voyager ou émigrer à l’étranger seront délivrés « sans conditions particulières ou raisons familiales ». « A partir de quand ? », demande un journaliste. Schabowski improvise : « autant que je sache… immédiatement, sans délai ». Plusieurs correspondants bondissent hors de la salle et l’information crépite sur les fils des agences : « Les Allemands de l’Est peuvent se rendre à l’étranger dès maintenant »

La foule afflue alors devant le poste-frontière de la Bornholmer Strasse, qui relie Berlin-Est à Berlin-Ouest. Désorientés, les gardes, ne savent pas s’ils doivent les laisser passer. A 23h30, un officier finit par donner l’ordre : « Ouvrez la barrière ! ». Les barrières s’ouvrent, la foule grossit, affluant des deux côtés du mur. Allemands de l’Est et de l’Ouest, euphoriques, tombent dans les bras les uns des autres. Le Mur s’écroule en quelques jours, précipitant l’effondrement du régime est-allemand.
Pourtant Günter Schabowski n’avait rien prévu de tel. « Le 9 novembre, j’étais encore un communiste convaincu », confiait-il vingt ans plus tard à des journalistes étrangers. « Ouvrir le Mur n’a pas été une décision humaniste mais tactique, prise sous la pression de la population. L’existence de la RDA était en danger. Entre 300 et 500 personnes fuyaient chaque jour au-delà des frontières, c’était l’hémorragie », expliquait-il.
Schabowski, considéré comme un « traître » par les plus fervents communistes et qualifié de « repenti tardif » par la Frankfurter Allgemeine Zeitung, est l’un des rares dirigeants est-allemands à avoir choisi de se distancier du régime.

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