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Cet octogénaire émeut le monde avec son chat



Alors que sa maison venait de brûler, Ali Mese, un vieil homme turc, a retrouvé son chat. Le moment a été immortalisé et a fait le tour du monde grâce aux réseaux sociaux.
L’image a fait le tour du monde. Dans les ruines de sa maison détruite par les flammes, un vieil homme en larmes, appuyé sur une canne, tient son chat contre lui. Il s’agit d’Ali Mese, 83 ans, un Turc qui habite dans le village de Ordular, à Mudurnu, dans la province de Bolu, dans le nord-ouest du pays.


Il y a quelques jours, alors qu’il essayait d’allumer son poêle à bois avec de l’essence, car les bûches étaient humides, le vieil homme a accidentellement déclenché l’incendie qui a ravagé sa maison de bois. Au sous-sol, ses treize poulets ont péri, raconte Ali Mese au quotidien turc Hürriyet. Les pompiers, prévenus par les voisins ont réussi à sauver le vieil homme, sa femme et leurs deux enfants.
En constatant les dégâts, Ali Mese a retrouvé un de ses chats, Sarikiz, son préféré raconte-t-il aux médias turcs locaux.




Solidarité internationale

La découverte du chat a été filmée par les journalistes sur place et a rapidement été reprise. La chaîne américaine CNN a partagé une capture d’écran bouleversante du vieillard et de son chat dans les décombres. Elle a été « aimée » par les internautes plus de 100 000 fois. L’animatrice humoriste américaine Ellen DeGeneres de l’Ellen Show, a posté une courte vidéo de l’événement. Celle-ci a été vue près de 10 millions de fois !
Des internautes du monde entier ont été touchés par cette histoire et ont décidé d’aider la famille Mese à retrouver rapidement une vie
normale. Plusieurs cagnottes ont été ouvertes sur des sites de financement participatif. L’une d’entre elle a déjà atteint son objectif de 7 000 dollars en six jours.


Sur place aussi, l’aide pour Ali Mese s’organise. Le vieil homme a d’abord passé quelques jours à l’hôpital pour soigner une brûlure à la main. Là, il a reçu la visite de membres de l’association turque Croissant Rouge (qui appartient au Comité international de la Croix-Rouge). Ils lui ont offert un lit pour son chat ainsi qu’une caisse de transport. La fondation d’assistance sociale et solidaire du district de Mudurnu a déjà lancé la construction d’une nouvelle maison pour la famille Mese.


Hyayna

Hyayna (en arabe: حياينة) est une confédération tribale marocaine d'origine arabo-berbère dont le territoire historique se situe au nord-est de Fès, représentant l'une des plus importantes ethnies de la région prérifaine. Elle est formée de trois tribus: les Oulad Amrane, les Oulad Aliane et les Oulad Riab.

Territoire :
Le « pays Hyayna », qui s'étend sur une superficie de près de 1 600 km2, est situé à l'extrémité occidentale du couloir de Taza, limitrophe des territoires des Cheraga à l'ouest, des Jbala au nord et au nord-est, des Ghiata à l'est et des Berbères du Moyen-Atlas (Aït Warayn, Aït Sadden et Aït Seghrouchen) au sud.
Il s'agit d'une formation complexe où les surfaces planes et les montagnes ne représentent souvent qu'un pourcentage limité, comprenant un ensemble de collines marneuses qui ont des sommets très étroits et d'une altitude comprise en moyenne entre 350 et 600 m, où domine la céréaliculture.



 


Origine :

La formation des Hyayna date de la seconde moitié du XVIe siècle. Elle résulte de la « greffe » de tribus guich à un ensemble originel Sanhaja, la tribu des Beni Ouamoud. Lesdites tribus guich sont installées dans la région par le pouvoir saadien dans le but de protéger Fès, à la fois des turbulentes tribus zénètes établies à l'est du couloir de Taza, ainsi que des invasions ottomanes, dans la région où, en 1558, a eu lieu la bataille de Wadi al-Laban contre ces derniers.



Composition tribale :



Localisation des territoires des tribus Hyayna
  • Oulad Aliane, tribu occupant le centre du territoire Hyayna, composée de 6 fractions:
    • Bsabsa
    • Douama
    • Mtalsa
    • Oulad Ajana
    • Sedrata
    • Tissa
  • Oulad Amrane, tribu occupant le nord du territoire Hyayna, composée de 6 fractions:
    • Jafra Foukia
    • Jafra Tahtia
    • M'harrine
    • Oulad Benghnia
    • Oulad Jamouh
    • Oulad M'hammed
  • Oulad Riab, tribu occupant le sud du territoire Hyayna, composée de 5 fractions:
    • Ghoual
    • Hbarja
    • Houara
    • Oulad Ayad
    • Oulad Bouzian


Langues :
Les Hyayna sont entièrement arabophones. Leur parler est rattaché aux dialectes hilaliens





Emmanuel Macron à Davos : "France is back"


Netanyahou a rencontré Emmanuel Macron au Forum mondial de Davos.




Le président de la République s'est exprimé mercredi dans un discours en anglais et en français pendant le forum économique mondial de Davos. Il a notamment exalté la grandeur de la France, au sein de l'UE et sur la scène internationale.
"Mon premier message, c'est que la France est de retour." Ou plutôt, "France is back", en version originale. Emmanuel Macron ne pouvait pas faire plus clair, mercredi, en fin d'après-midi, lors de son intervention au forum économique mondial de Davos. Le président de la République, qui s'est exprimé en anglais avant de passer au français, a mis en avant le rôle que la France avait à jouer sur la scène internationale, sans oublier de toujours l'inscrire dans un prisme européen.
L'Europe porteuse d'un "équilibre des valeurs". "La France est de retour au cœur de l'Europe", a poursuivi Emmanuel Macron. "Il n'y aura jamais de succès français sans succès européen." De fait, le président français est bien conscient qu'il ne peut rivaliser, tant économiquement que politiquement, avec des puissances comme les Etats-Unis ou la Chine qu'avec un cadre plus large et l'appui de ses partenaires européens. Il a donc ardemment défendu l'Europe, seul endroit au monde où, selon lui, "vous avez un équilibre entre les valeurs" que sont la liberté, la justice et l'équité. "Si je souhaite que la France trouve pleinement sa place dans la compétition mondiale, je pense que la condition, c'est que l'Union européenne soit plus forte et trouve une ambition."

"Plus d'ambition" pour l'Europe. Pour l'Européen convaincu qu'est Emmanuel Macron, "il faut une Europe plus forte si nous souhaitons éviter la fragmentation du monde". Le président français a prôné la conception d'une "stratégie sur dix ans" pour que "l'Europe soit un acteur social, scientifique, écologique" ainsi qu'une "puissance politique". "C'est ce que nous devons bâtir. Il nous faut plus d'ambition."

Union européenne à deux vitesses. La tâche semble immense, alors que l'Europe à 27 patine sur nombre de sujets, de la défense à l'euro en passant par l'accueil des réfugiés. Mais Emmanuel Macron, qui l'avait déjà esquissé lors de son discours à la Sorbonne en septembre dernier, l'a assumé une nouvelle fois : il n'est pas contre une Europe à deux vitesses. "Nous n'y arriverons pas à 27 [membres], mais il nous faut plus d'ambition pour une avant-garde ouverte de l'Europe. La porte est ouverte en permanence. Mais ceux qui ne veulent pas avancer ne doivent pas bloquer les plus ambitieux dans la pièce."

Une certaine vision de la mondialisation. Ce faisant, Emmanuel Macron a tenté, une nouvelle fois, de s'imposer comme la figure motrice de l'Union européenne. Une position facilitée par le contexte international : Angela Merkel n'est pas encore sortie de la séquence politique délicate dans laquelle elle est plongée depuis les élections législatives et la Grande-Bretagne est toute entière concentrée sur la gestion du Brexit.

En incarnant le premier politique européen, le président français espère peser sur la scène internationale en prônant une vision du monde alternative à celles de Donald Trump ou Xi Jinping. Une large partie de son discours a ainsi été consacrée à adapter son célèbre "en même temps" à la mondialisation : d'un côté, Emmanuel Macron se montre ouvert au libéralisme ("personne ne pourra me suspecter de ne pas être 'business friendly'") ; de l'autre, il entend "reconnaître" et "être à côté de ceux qui ont été oubliés de la mondialisation". "La croissance économique, ce n'est pas une finalité en soi", a-t-il déclaré.

LES SEPT FAUX ALIMENTS QU'ON MANGE TOUS LES JOURS

Voici des aliments de tous les jours qui ne sont pas comme on croit.


La Chine n'accepte plus de déchets étrangers




Dans les ports de chine, une véritable traque s'organise. Celle des déchets venus de l'étranger. Ici, désormais, les camions passent même au rayon X. Depuis le début du mois de janvier, Pékin ne souhaite plus recycler les déchets envoyés par containers entiers. Les sanctions seront exemplaires : minimum cinq ans de prison. Les autorités chinoises préfèrent recycler leurs propres déchets : ces montagnes d'ordures qui s'entassent encore à ciel ouvert et ravagent la lisière des villes. Plusieurs millions de tonnes par an Beaucoup de professionnels qui vivaient du recyclage des déchets étrangers s'inquiètent, malgré la diminution de la pollution. Pour alimenter ses usines en matériaux recyclés, Pékin importait en moyenne 30 millions de tonnes de papier et de carton usagé chaque année et 8 millions de tonnes de déchets plastiques venus des États-Unis ou d'Europe. Rien qu'en France, 170 000 tonnes de plastique usagé exportées chaque année devront s'entasser chez les recycleurs de l'Hexagone.

La Hongrie

                          


Fiche signalétique

Capitale : Budapest


Population : 9,8 millions (2016) / Superficie : 93 000 km²

Membre de l’UE depuis 2004 / Monnaie : forint

Taux de croissance : 2,9 % en 2015 / Taux de chômage : 6,8 % en 2015

Système politique : république parlementaire

Président : Janos Ader depuis 2012 / 1er ministre : Viktor Orban depuis 2010

Langue majoritaire : hongrois

Religion majoritaire : catholicisme

Hymne national : Isten áldd meg a magyart (Dieu honore les Hongrois)

Indicatif téléphonique : +36 / Code ISO : HU

Présentation

Au cœur de l’Europe centrale, la Hongrie se situe dans le bassin des Carpates formé de vallées et de plaines. Principal fleuve du pays, le Danube traverse la Hongrie de part en part. Le lac Balaton est le plus grand d’Europe (596 km2). Il est surnommé « la mer intérieure hongroise ».
L’Union européenne considérait le pays comme un pays modèle parmi les anciens pays de l’Est, notamment au moment de la transition économique à la fin du système soviétique. Le pays rejoint l’Otan en 1999 et participe à la guerre en Irak aux côtés des États-Unis en 2003. La Hongrie intègre l’Union européenne en 2004. Elle a même failli rejoindre la zone euro en 2010, mais la crise financière handicape trop le pays pour atteindre cet objectif. Le pays fait partie du groupe de Visegrad, groupe informel comprenant la Pologne, la République Tchèque et la Slovaquie.
La relation avec l’UE se complique à partir de la fin 2011. Des réformes institutionnelles importantes proposées par le Premier ministre Viktor Orban visent les médias, la justice et la banque centrale. Ces réformes sont jugées négativement par les partenaires européens de la Hongrie. De nouvelles incompréhensions apparaissent au moment de la mise en place de barbelés à la frontière avec la Serbie et la Slovénie au plus fort de la crise des réfugiés en 2016.

Le saviez-vous : 3 millions de « Hongrois » vivent en dehors du pays

À la fin de la Première Guerre mondiale, le traité de Trianon fixe une partie des nouvelles frontières en Europe, du fait de l’éclatement des Empires austro-hongrois, allemand et ottoman. En Hongrie, il s’agit d’un souvenir douloureux car le Royaume de Hongrie est alors amputé de deux tiers de son territoire. Cela explique la présence d’importantes communautés hongroises dans les pays limitrophes : la Slovaquie, la Roumanie, l’Ukraine, la Slovénie, la Croatie et la Serbie.
Ce lien avec l’ancienne patrie provoque des tensions récurrentes avec ces pays. En 2001, la Hongrie vote une loi accordant des papiers d’identité à la minorité magyarophone vivant chez ses voisins. Le mythe de la Grande Hongrie revient régulièrement dans le débat politique national.

Les grandes personnalités politiques 

Viktor Orban, le Premier ministre

 Son principal opposant est le socialiste László Botka. 

Viktor Orban : désigné Premier ministre en 1998, il perd les élections de 2002 et retrouve le pouvoir en 2010 lorsque son parti, le Fidesz obtient la majorité des deux tiers au Parlement hongrois. Cette ancienne figure de l’opposition libérale au régime communiste prend un virage très conservateur. Ses réformes institutionnelles sont contestées par l’opposition et ses partenaires européens. Il se rapproche alors de Vladimir Poutine et développe l’idée en 2014 d’un État « illibéral », citant comme modèle la Russie et la Chine, par opposition aux États aux valeurs libérales, notamment à l’ouest de l’Europe.

László Botka : désigné par le Parti socialiste pour porter ses couleurs aux élections législatives de 2018. Ce jeune avocat n’avait que 29 ans quand il a pris les rênes de la mairie de Szeged, troisième ville du pays, en 2002. Le candidat socialiste a donné un grand coup de barre à gauche à son camp, fortement concurrencé dans les milieux populaires par le parti d’extrême droite Jobbik. Le slogan phare de Botka est limpide : « Faisons payer les riches ! »

Quelques dates historiques récentes

1947 : nouvelle constitution consacrant le pouvoir soviétique.
1956 : soulèvement de Budapest réprimé par l’armée soviétique. L’insurrection fait plus de 3 000 morts et marque l’arrivée au pouvoir de Janos Kadar en tant que chef du gouvernement.
1989 : avec l’ouverture de la frontière avec l’Autriche, des dizaines de milliers de gens fuient, notamment des Est-Allemands. Le 23 octobre, la IIIe République est instituée et met fin à l’ère soviétique.
1991 : toutes les troupes soviétiques quittent le territoire.
1999 : adhésion à l’Otan
2003 : participation à la guerre en Irak au côté des États-Unis.
2004 : entrée dans l’Union européenne.
2008 : crise financière mondiale, la Hongrie est obligée d’accepter un plan de sauvetage de 20 milliards d’euros du FMI, de l’UE et de la Banque mondiale.
2010 : large victoire du Fidesz de Viktor Orban qui accorde la nationalité hongroise à toutes les minorités hongroises des pays voisins.
2011 : nouvelle constitution, fortement critiquée par l’opposition et les partenaires européens de la Hongrie.
2016 : le gouvernement Orban met en place des barbelés à sa frontière en raison de la crise des réfugiés.

Fêtes et jours fériés

1er janvier : jour de l’An.
15 mars : fête nationale en référence à la révolution hongroise de 1848.
Mars - avril : fête de Pâques (dimanche et lundi).
1er mai : fête du Travail.
Mai – juin : lundi de Pentecôte.
20 août : fête de Saint-Etienne, considéré comme le fondateur du royaume de Hongrie en 1001. C’est sa couronne qui surplombe les armoiries du pays.
23 octobre : fête nationale en souvenir de l’insurrection de 1956.
1er novembre : Toussaint.
25 décembre : Noël.

Médias

Magyar Nemzet : quotidien diffusé à 56 000 exemplaires, proche du gouvernement. Fondé en 1938, il était l’organe de presse de l’insurrection de Budapest en 1956.

hvg: hebdomadaire d’opposition (ex-Heti Világgazdaság) diffusé à 55 000 exemplaires, comparé à The Economist.

168 óra: "168 heures" fait référence au nombre d’heures d’une semaine. Hebdomadaire d’opposition de centre gauche diffusé à 26 300 exemplaires.
Figyelő: hebdomadaire diffusé à 13 000 exemplaires considéré comme indépendant.
Magyar Hírlap : quotidien proche du gouvernement, antimondialiste et patriotique, diffusé à 7 600 exemplaires.
Magyar Narancs: « MaNcs » commente l’actualité avec un ton familier et ironique. 
Népszabadság : journal d’opposition le plus lu en Hongrie, il a été fermé du jour au lendemain en octobre 2016. 

Il vivait dans les bois en 2017, il démarre 2018 avec un emploi et un logement


Le couple avait planté sa tente dans une forêt non loin de Nogaro.  
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C’est un conte de Noël qu’a vécu Sébastien pour lequel les années de galère semblent bien terminées. Au début de l’hiver, cet homme âgé de 38 ans vivait dans une grande précarité, avec sa compagne Daisy, 37 ans. Le couple avait planté la tente dans une forêt sur la commune de Nogaro : abri dérisoire dans lequel le froid et l’humidité venaient les assaillir chaque nuit. L’hiver s’annonçait long.

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Une bienfaitrice, une Gersoise, émue par leur histoire, n'a jamais rencontré Sébastien. Elle souhaite rester dans l’anonymat pour éviter des lauriers dont elle n’a pas besoin. Son seul objectif : pouvoir donner une chance à quelqu’un afin qu’il puisse s’en sortir.
Cette main tendue, Sébastien l’a saisie. Sa bienfaitrice lui a trouvé un emploi, dans une jardinerie bio de Cahuzac-sur-Adour, près de Riscle et s’est mise en quête d’un logement pour lui.
Pour Sébastien, 2018 marque donc le départ d’une nouvelle vie. Il a commencé à travailler le 3 janvier. Sa bienfaitrice lui a trouvé un appartement, au village de Cahuzac, qu’il occupera dès que tous les documents seront réunis pour finaliser son dossier. Pour le moment, l’ancien SDF loge seul dans un local à Riscle, dans lequel il «se sent bien». La mairie l’autorise à y rester, le temps d’aménager à Cahuzac.

Il cherche un vélo ou une mobylette 

Mais, comme d’autres salariés, Sébastien est confronté à la question du mode de locomotion. Il prend le bus le matin pour se rendre à la jardinerie, par contre, faute de véhicule personnel, il doit attendre le bus près de 2 heures le soir pour rentrer chez lui. Il est donc obligé de faire 6 km à pied sur une route assez dangereuse. «Si je pouvais trouver un vélo ou une mobylette, ça me simplifierait les choses», reconnaît-il.
Mais, ce détail mis à part, sa nouvelle situation lui procure beaucoup de satisfaction. «Je dors mieux et je suis heureux de me lever le matin pour aller travailler », confie-t-il. Chez son employeur, il trouve une bonne ambiance et ses nouveaux collègues l’ont bien accueilli. Certains d’entre eux étaient d’ailleurs dans la même situation que lui mais, dit-il, «ils ont repris désormais goût à la vie».
Pour Sébastien, faire la manche devant les supermarchés de Nogaro, c’est bien fini. Quant à Daisy, elle a quitté elle aussi la forêt de Nogaro pour revenir dans sa famille, loin du Gers.

Voici les endroits glacés les plus froids du monde.


Voici les endroits glacés les plus froids du monde.

Si les basses températures du matin vous donnent des frissons, consolez-vous : il y a des endroits bien pires. Dans ces villes de Russie, des États-Unis ou de Norvège, le thermomètre descend souvent très en dessous de zéro degré. La température y est polaire, pourtant, ça ne refroidit pas les habitants qui y vivent.

  • Verkhoïansk, Russie


 
Température record : -67,8 °C, les 5 et 7 février 1892. Cette petite ville du nord-est de la Sibérie, sur le fleuve Iana et près du cercle Arctique, compte environ 1 200 habitants. Elle est un des lieux les plus froids de l’hémisphère nord. La température moyenne annuelle y est de -14,7 °C. La région détient le record mondial d’amplitude thermique annuelle, avec un écart de 105 °C entre les -67,8 °C hivernaux et les 37 °C estivaux.

  • Oymyakon, Russie

 
 À Oymyakon, les habitants s’amusent à jeter de l’eau bouillante dans l’air,
 elle solidifie immédiatement.

Température record : -71,2 °C, en 1926. Pour vivre dans le village d’Oymyakon, à 350 kilomètres au sud du cercle polaire Arctique, la population (entre 500 et 900 habitants) a dû accepter certaines contraintes : dehors, les moteurs des voitures tournent en permanence, sous peine de voir l’essence se solidifier ; pas de téléphone portable, à ces températures, il serait endommagé. Moins de 30 secondes après être sortis du fleuve, les poissons sont congelés. Les écoles restent ouvertes jusqu’à -52 °C.

  • Hell, Norvège

 

Température record : -26 °C, le 1er janvier 1979. Cette petite ville norvégienne a bâti sa notoriété sur son nom (« Enfer » en anglais) et ses températures glaciales. La combinaison des deux a donné la blague récurrente « l’enfer est gelé », qu’on retrouve sur les cartes postales de la ville. En moyenne, il y fait -25 °C en janvier. Pour une population qui ne dépasse pas les 1 500 habitants, la ville compte une gare, un centre commercial avec une épicerie, une station essence et un restaurant grill.

  • Barrow, États-Unis
 

Température record : -50 °C. Barrow, en Alaska, est la ville la plus au nord des États-Unis, elle est située à 550 km au nord du cercle Arctique. Le soleil s’y couche en novembre et ne réapparaît pas avant la fin du mois de janvier. Même durant l’été, les températures restent froides. En moyenne, il fait 12 °C en juillet. En 2010, Barrow comptait 4 212 habitants, une des plus grandes communautés d’Inuits du monde.

  • Snag, Canada

 

Température record : -64 °C, le 3 février 1947. Le village le plus à l’ouest de l’Alaska ne compte que dix natifs et un groupe de scientifiques et de météorologues. Leurs voisins ? Des ours bruns, noirs et polaires, des élans, des coyotes, des loups et des bisons.

  • Iakoutsk, Russie


 Pour rejoindre Iakoutsk, l’hiver, les habitants 
empruntent la rivière Lena gelée.

Température record : -64,4 °C. Dans cette ville située entre la Sibérie et Kamchatka, il gèle entre septembre et mai. Ses 200 000 habitants vivent surtout de l’industrie minière. En 2008, il a fait tellement froid que des tuyaux ont éclaté dans deux villages voisins. Les habitants ont dû se réchauffer auprès de poêles à bois improvisés. Lorsque les camionneurs ravitaillent les villages alentour, ils ne coupent jamais leurs moteurs durant les deux semaines que dure le voyage.

  • Base d’Amundsen-Scott, Antarctique

 

Température record : -82 °C. Au cœur de l’Antarctique, cette station scientifique américaine est située à environ 2 850 mètres d’altitude. Elle dévie chaque année de plus en plus vers le pôle Sud, à cause du déplacement de la couche de glace sur le continent antarctique. Malgré un climat particulièrement rigoureux (température moyenne annuelle de -50 °C) la base est habitée en permanence. Il fait parfois un peu plus doux… Le record de chaleur enregistré s’élève à -12,3 °C, température relevée en décembre 2011.

  • Fraser, Colorado, États-Unis


Température record : -47,2 °C, le 10 janvier 1962. Avec une température moyenne annuelle de 0,3 °C, Fraser est la ville la plus froide des États-Unis (hors villes d’Alaska). Il y fait moins de 0 °C plus de 300 nuits par an et -17 °C pendant près de 80 nuits par an, de quoi rivaliser avec l’autre ville habitée la plus froide des États-Unis : Barrow, en Alaska. Un peu plus de 1 200 personnes supportent ces conditions quasi-polaires et vivent à Fraser.

Budget militaire : avec moins d’argent, la Russie fait mieux que le Royaume-Uni


Budget militaire Russie Royaume Uni


Les deux pays ont sensiblement le même budget militaire. Mais curieusement, la taille et l’échelle des armées de la Russie et du Royaume-Uni diffèrent fortement : cinq fois et demi plus de soldats russes, dix fois plus de chars de combat… Cette petite analyse du Telegraph est fort intéressante en ce qu’elle montre qu’il faut placer les chiffres, donnés par les gouvernements, dans le contexte du pays auquel ils se rapportent.

Certains en sont bien conscients, tel le chef de l’armée britannique, le général sir Nick Carter, qui a très récemment plaidé pour un plus gros financement militaire, arguant que la Grande-Bretagne avait du mal à suivre, précisément, les progrès de l’armée russe…

Le Royaume-Uni dépense plus que la Russie
Les chiffres prouveraient pourtant l’inverse. Selon l’Institut international d’études stratégiques, le budget de la défense de la Russie était d’environ 46,6 milliards de dollars en 2016 et celui de la Grande-Bretagne d’environ 52,5 milliards de dollars.
Mais, nous dit le Telegraph, bien que la Grande-Bretagne dépense apparemment plus, la Russie comptait en 2017, 831 000 militaires actifs contre 152 000 au Royaume-Uni et cet écart se retrouve dans le volume d’équipement : 2 700 chars russes contre 227 chars britanniques, 4 900 véhicules d’infanterie de combat russes contre 623 britanniques, etc…
Certes, les commandants du Royaume-Uni affirment que la qualité d’une grande partie de l’équipement russe n’est pas comparable à la leur et que le pays s’est concentré sur des capacités de premier ordre plutôt que sur de simples chiffres. Mais ils disent aussi que le volume des forces russes peut donner un avantage.

Le Kremlin modernise ses forces
Sans compter que leur équipement s’améliore, car le Kremlin est en mesure d’utiliser son budget de défense pour mener à bien une vaste modernisation de ses forces. Pour le général sir Nick Carter, la Russie dispose même de capacités de combat que le Royaume-Uni aurait du mal à égaler.
Un ancien haut général britannique avait déjà déclaré aux députés, à la fin de l’année dernière, que l’armée britannique était maintenant dépassée depuis 20 ans…
Aujourd’hui, sir Nick Carter souligne la menace des missiles russes à longue portée, qu’on a vu à l’œuvre en Ukraine ou en Syrie, ou celle d’une force expéditionnaire de plus en plus agressive. Mais selon d’autres sources de l’armée les généraux s’inquiètent également de la domination russe dans des domaines tels que l’artillerie, la cyber-guerre, la guerre électronique et les opérations de drones (comme ceux qui avaient détruit deux bataillons d’infanterie mécanisés ukrainiens en l’espace de 15 minutes…).

Ce que cachent les chiffres
Comment les chiffres peuvent-ils autant être trompeurs ? Comment la Russie peut-elle manifestement tirer beaucoup plus de son budget de défense que la Grande-Bretagne et ses alliés occidentaux alors qu’il est actuellement quasiment le même… ?
Tout d’abord, explique dans le Telegraph le Dr Igor Sutyagin, expert sur la Russie au Royal United Services Institute, les chiffres du budget de la défense russe sont en partie faussés. La machine militaire russe est largement financée par des départements gouvernementaux autres que la défense : des domaines comme la défense civile, les retraites et les vétérans sont financés par des ministères civils. Ainsi, l’ampleur réelle des dépenses militaires russes pourrait être de 30 à 50 % plus élevée que celle du budget de la défense.
D’autre part, il faut prendre en compte le faible coût de la main d’œuvre et de la fabrication : les soldats et les ouvriers sont payés seulement quelques centaines d’euros par mois. Car l’approvisionnement de la défense reste quasi exclusivement entre les mains de l’Etat, qui veut travailler le moins possible dans ce secteur avec des compagnies privées, dites « irresponsables et peu fiables ». Par conséquent, la Russie ne paie pas les prix du marché, mais fixe les siens.
Ce qui lui permet, par ailleurs, de dépenser davantage pour l’équipement. L’analyste principale des budgets de la défense chez Jane’s (entreprise majeure de renseignement de sources ouvertes sur les thèmes de la défense, la sécurité, les transports et la police) a analysé qu’« en moyenne, la Russie consacre près de 30 % de l’ensemble de son budget de la défense à l’achat, tandis qu’au Royaume-Uni, la proportion est proche de 17 % ».
Le Royaume-Uni dépense généralement plus pour le personnel, les opérations et la maintenance, tandis que la Russie, avec des coûts de main-d’œuvre et de fabrication moins élevés, est capable de consacrer davantage de fonds à l’investissement et à la modernisation.

Des budgets militaires en baisse


Rien d’étonnant à ce qu’outre-manche, on s’inquiète. Et pourtant, il semble que le plan de modernisation de l’armée britannique et de son équipement ne soit pas pour demain. Tous les budgets sont réduits et Gavin Williamson, le secrétaire à la Défense, lutte actuellement avec le Trésor pour éviter de nouvelles coupes dans les forces armées.

Du côté russe, si le budget militaire sera aussi réduit en 2018, comme l’a annoncé Poutine, (en partie à cause de la crise économique et des sanctions toujours pesantes) le rythme du réarmement restera le même. Et la majeure partie du budget du ministère de la Défense sera consacrée aux systèmes militaires de nouvelle génération (entre autres, le missile balistique intercontinental RS-28 Sarmat, surnommé « Satan-2 »).

Petite réflexion soudaine : si la Grande-Bretagne s’inquiète d’une Russie qui arrive à mieux avec un budget inférieur, que penser de la Chine, avec ses 191 milliards de dollars de budget, et un système communiste qui lui permet de payer une misère ses soldats ? L’ampleur réelle des dépenses militaires chinoises doit bien aussi prendre 30 à 50 % supplémentaires…

19 frontières internationales étranges et insolites

Les frontières en disent long sur les relations qu’entretiennent deux pays

La politique entre deux (voire trois) pays a conduit à certains sites plutôt étranges. En effet, chaque pays (sauf les pays insulaires) sont limitrophes d’un autre pays et les frontières en résultant peuvent être quelque peu insolites ou intéressantes. Voici les 19 frontières les plus insolites dans le monde !
  • Entre les Pays-Bas et la Belgique


Frontières internationales étranges et insolites


Frontières internationales étranges et insolites


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Frontières internationales étranges et insolites

La frontière belgo-néerlandaise s’étend sur 450 km. La frontière dans la ville de Baarle est la frontière la plus déroutante dans le monde. La ville entière est entourée par les Pays-Bas, mais 26 morceaux séparés de la ville appartiennent à la Belgique. Pour plus de précisions et dans l’intérêt des touristes, la frontière est visible dans toutes les rues de la ville. De cette façon, il est toujours clair que l’on est soit en Belgique (Baerle-Duc) soit aux Pays-Bas (Baarle-Nassau). La dernière photo montre le contraste entre les routes néerlandaises et belges.
  • Entre la Norvège et la Suède


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Des motoneigistes s’apprêtent à prendre le chemin qui a été déforesté et qui compose la frontière entre les deux pays nordiques.
  • Entre la Corée du Nord et la Corée du Sud


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  • Entre les Etats-Unis (à droite) et la Russie (à gauche)


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  • Entre les Etats-Unis (à gauche) et le Mexique (à droite)


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La frontière États-Unis-Mexique est la frontière la plus souvent franchie dans le monde et s’étend sur près de 3200 kilomètres de long.
  • Entre les Etats-Unis et le Canada


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De l’autre côté, au Nord, la frontière est naturelle et ouverte entre les deux grandes nations.
  • Entre le Portugal et l’Espagne


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Le Portugal est connu pour son mauvais réseau routier. La tyrolienne entre les deux pays existe véritablement.
  • Entre Haïti et la République dominicaine


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Haïti, sur la gauche, et la déforestation, par rapport à la République dominicaine sur la droite.
  • Entre la Pologne et l’Ukraine


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Ces deux poissons, conçus par l’artiste Jaroslaw Koziara symbolisent l’unité et le commerce entre les deux pays.
  • La triple frontière entre l’Argentine, le Paraguay et le Brésil


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Une « Triple Frontière » est l’un des nombreux tri-points à travers le monde qui relie trois pays voisins.
  • Entre l’Allemagne et la République tchèque


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  • Entre le Royaume-Uni et l’Espagne


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« The Frontier », montrée du côté espagnol avec le rocher de Gibraltar au second plan, est la frontière des deux pays européens. C’est la plus petite frontière internationale du monde avec seulement 1,2 kilomètre de longueur.
  • Entre l’Inde et le Pakistan


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Sur la première photo, on voit le contraste entre l’Inde et le Pakistan depuis l’espace, tandis que sur la seconde photo, on peut voir la nette frontière naturelle entre les deux pays au niveau de la chaîne de l’Himalaya.
  • Entre le Brésil et l’Argentine


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Les chutes d’Iguazú se trouvent à la frontière entre l’Argentine (80 %) et le Brésil (20 %). Ceci en fait l’une des plus belles frontières naturelles au monde, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.
  • Entre le Venezuela, le Brésil et le Guyana

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Le mont Roraima est une montagne d’Amérique du Sud, ou un tepuy, qui est également un tripoint entre les frontières brésiliennes, guyaniennes et vénézuéliennes.
  • Entre le Brésil (à gauche) et la Bolivie (à droite)


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Cette frontière choquante montre les différents niveaux de protection de la forêt tropicale dans chacun des deux pays.
  • Entre l’Autriche et la Slovénie


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  • Entre l’Espagne et le Maroc


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La barrière de Ceuta est une barrière physique de séparation entre le Maroc et la ville autonome espagnole de Ceuta, sur la côte africaine. Son but est d’arrêter l’immigration illégale et la contrebande. Elle a été construite par l’Espagne à partir de 2001.
  • Entre le Pakistan et l’Afghanistan


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Le poste frontière de Torkham est un point de passage clef entre le Pakistan et l’Afghanistan, et c’est l’un des postes les plus importants entre les deux pays.