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Johnny Hallyday est mort à l'âge de 74 ans



 
La plus grande rock-star que la France ait jamais connue, est mort dans la nuit de mardi à mercredi à 74 ans, des suites d'un cancer du poumon, a annoncé à l'AFP son épouse Laeticia."Johnny Hallyday est parti. J'écris ces mots sans y croire. Et pourtant c'est bien cela. Mon homme n'est plus. 
Il nous quitte cette nuit comme il aura vécu tout au long de sa vie, avec courage et dignité", écrit-elle dans un communiqué. "Jusqu'au dernier instant, il a tenu tête à cette maladie qui le rongeait depuis des mois, nous donnant à tous des leçons de vie extraordinaires. Le coeur battant si fort dans un corps de rocker qui aura vécu toute une vie sans concession pour son public, pour ceux qui l'adulent et ceux qui l'aiment", poursuit-elle à propos de son mari, Jean-Philippe Smet dans le civil.





Emporté par un cancer

Il n'y avait plus trop d'espoir, ces derniers jours, après son hospitalisation pour détresse respiratoire il y a un mois. Après six jours passés dans la clinique Bizet du 16e Arrondissement de Paris, Johnny Hallyday avait décidé de rentrer à son domicile de Marnes-la-Coquette et depuis Laeticia n'avait plus communiqué via les réseaux sociaux. Un mauvais signe, alors que c'est elle qui s'est régulièrement employée à donner des nouvelles rassurantes de Johnny, depuis qu'il avait annoncé début mars être traité contre la maladie. Un cancer dont il savait déjà qu'il était métastasé.

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Détecté dans les poumons de la star en novembre 2016, ce cancer aura terrassé en un an celui que tous ses fans croyaient invincibles et que son ami Eddy Mitchell avait même surnommé "Robocop". Il a lutté de toutes ses forces face au cancer, montrant ses derniers signes de bonne vitalité cet été lors de sa dernière tournée des Vieilles Canailles, avec ses copains Eddy Mitchell et Jacques Dutronc. Il était lourdement traité par chimiothérapie, mais c'est bien la scène et son fervent public qui lui ont donné la force de tenir. Tout comme ce 51e album qu'il espérait bien finir.
En 57 ans de carrière, celui qui restera à jamais "l'idole des jeunes" pour des millions de fans français, a vendu plus de 100 millions de disques et traversé les époques: celles des débuts du rock'n'roll, des yé-yés, puis de la variété des années 80, avant de revenir ces dernières années aux sources du blues et du rock. Ses succès sont innombrables, Le Pénitencier, Noir c'est noir, Retiens la nuit, Que je t'aime, Gabrielle, La musique que j'aime, Ma gueule, Quelque chose de Tennessee, Allumer le feu, Marie...





Ces villes et villages sur des falaises sont spectaculaires


1- Riomaggiore, Italie




2- Manarola, Italie




3- Vernazza, Portugal




4- Santorin, Grèce




5- Pitigliano, Italie




6- Rocamadour, France




7- Azenhas Do Mar, Portugal




8- Ronda, Espagne




9- Wadi Dawan, Yemen




10- Al Hajarah, Yemen




11- Météora, Grèce




12- Piodao, Portugal




13- Veliko Tarnovo, Bulgarie




14- Civita di Bagnoregio, Italie




15- Clovelly, Angleterre




16- Bonifacio, France




17- Positano, Italie




18- Harza, Yemen




19- Gordes, France




20- Valparaiso, Chili

Mohammed VI s’oppose aux idées de Trump.

La Maison-Blanche avait annoncé lundi le report de la décision très attendue et hautement symbolique du déménagement de l’ambassade américaine à Jérusalem.


L’écrivain et académicien Jean d’Ormesson est mort

Jean d’Ormesson est mort d’une crise cardiaque dans la nuit de lundi à mardi, à l’âge de 92 ans, a annoncé sa famille à l’Agence France Presse. 




Tout en étant obligé de s’inscrire dans la lignée des comtes d’Ormesson, il s’était fait son propre nom, en forme de sourire, qui reflétait bien son caractère facétieux : Jean d’O. Plus il vieillissait, plus Jean d’Ormesson – qui est mort dans la nuit du 4 au 5 décembre à l’âge de 92 ans – était charmant et charmeur, avec son œil si bleu et son air à jamais espiègle. « Il a toujours dit qu’il partirait sans avoir tout dit et c’est aujourd’hui. Il nous laisse de merveilleux livres », a déclaré sa fille, Héloïse d’Ormesson. Il pensait avec raison que la gaieté est une politesse et voulait mériter un qualificatif presque perdu, « dans un siècle où règne le ressentiment » : délicieux. 

Délicieux, il l’était. Bon écrivain, aussi. Mais, admirateur des grands auteurs, il se montrait sans illusion sur son œuvre – sans doute en attendant un démenti. Il a poussé ce jeu sur la littérature jusqu’à écrire un roman intitulé Presque rien sur presque tout (Gallimard, 1996). Lorsqu’on lui demandait si ce « presque rien sur presque tout » n’était pas l’inverse de ce que doit être la littérature, « presque tout sur presque rien », il partait d’un grand rire, en laissant au lecteur le soin de conclure.
Il pratiquait à merveille un art en voie de disparition, celui de la conversation. Il était brillant, jamais ennuyeux, parlait vite et bien. On avait envie de l’inviter sur tous les plateaux de télévision. On ne s’en privait pas, et il y avait pris goût.

« Longtemps, je me suis demandé ce que j’allais faire de ma vie », affirmait-il au début de C’était bien, en 2000 (Gallimard) : un retour sur son passé et sur les contradictions de sa vie. Car, bien qu’appartenant à une « grande famille », tout n’avait pas été toujours facile pour lui.
Jean d’Ormesson est né le 16 juin 1925. Son père, André d’Ormesson, est diplomate, bientôt (en 1936) ambassadeur de France. Sa mère, née Marie Anisson du Perron, descend des Le Peletier. Comme il l’évoque dans Au plaisir de Dieu (Gallimard, 1974), il a passé une partie de son enfance au château de Saint-Fargeau, qui appartenait à sa mère. La famille suivant son père dans ses différents postes, il a aussi vécu en Roumanie et au Brésil.

Pour échapper à Sciences Po Jean d’Ormesson entre en hypokhâgne, puis intègre l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm, juste après la seconde guerre mondiale. Il passe l’agrégation de philosophie et se résout à enseigner. On lui propose un poste à l’université américaine de Bryn Mawr, près de Philadelphie, université de jeunes filles, ce qui l’amuse plutôt. Mais il tombe gravement malade.
Il entre en 1950 à l’Unesco, où il devient l’assistant de Jacques Rueff au Conseil international de la philosophie et des sciences humaines nouvellement créé – qu’il dirigera plus tard. Il fait aussi, avec Roger Caillois, la revue de sciences humaines Diogène, dont le premier numéro est sorti en 1953. Il déclarait détester les réunions et les comités de rédaction, ce qui ne l’empêchera pas de diriger Le Figaro entre 1974 et 1977.

« Au revoir et merci »

Il devient donc directeur du journal et, à ses chroniques, s’ajoutent des éditoriaux politiques qui ne manquent pas de susciter des polémiques à gauche. Lorsque Robert Hersant – qui avait été frappé d’indignité nationale pendant dix ans pour faits de collaboration – rachète Le Figaro, en 1975, Jean d’Ormesson, comme Raymond Aron, reste. Mais tous deux partiront deux ans plus tard.
Jean d’Ormesson va enfin pouvoir consacrer plus de temps à son œuvre littéraire, commencée en 1956 et ayant connu des fortunes diverses. René Julliard avait aimé (et publié) son premier texte, L’amour est un plaisir. Mais, après plusieurs échecs, ayant peu de goût pour le masochisme, Jean d’Ormesson faisait ses adieux à la littérature en publiant Au revoir et merci, en 1966 (réédité chez Gallimard en 1976).
Un an plus tard survient un événement pour lui dramatique : il doit se résoudre à vendre le château maternel de Saint-Fargeau. Et, au début des années 1970, tout change dans son existence : il écrit La Gloire de l’Empire, un pastiche de récits d’historiens. Roger Caillois s’enthousiasme et porte le manuscrit chez Gallimard, où il est publié (1971). Pour ce livre, Jean d’Ormesson reçoit le Grand Prix du roman de l’Académie française. En 1973, à 48 ans, il entre sous la Coupole au fauteuil de Jules Romains – il est alors le benjamin de l’Académie.
On le retrouve en 1974 avec un texte plus grave, Au plaisir de Dieu, qui raconte la fin d’un monde, celui de sa famille. Le succès, ensuite, ne le quittera plus. Dix livres en quinze ans – toujours sur les listes des meilleures ventes –, jusqu’à cette Histoire du Juif errant, en 1990, suivi de La Douane de mer en 1994 puis de Presque rien sur presque tout, en 1996, trois romans (Gallimard) dans lesquels Jean d’Ormesson tente une explication du monde.
On sait, par ses articles du Figaro – il a continué à y collaborer après avoir abandonné la direction –, que Jean d’Ormesson n’a jamais dédaigné les combats et les polémiques. Ses attaques contre ceux qu’on désignait à droite comme les « socialo-communistes » lui ont même valu, pendant la guerre du Vietnam, d’être la cible d’une chanson de Jean Ferrat, Un air de liberté (1975). On en oublie parfois qu’il a magnifiquement écrit sur les écrivains. Parmi ses milliers d’articles, il en a choisi certains pour les réunir en volumes.

Un recueil dédié à sa fille Héloïse

En 2007, à 82 ans, il a fait cadeau d’un nouveau recueil à sa fille Héloïse, qui avait créé sa propre maison d’édition. Dans cette Odeur du temps (éd. Héloïse d’Ormesson), on mesure tout son amour de la vie, on comprend mieux ses passions, ses enthousiasmes. C’est finalement une sorte d’autobiographie détournée, avec ce qu’il faut de souvenirs de famille, de voyages.
Dans ces articles, on aime le style énergique, le sens des formules, des croquis, des portraits aigus, rapides. Et on découvre que Jean d’Ormesson possède une autre qualité trop rare : il sait admirer. Ainsi, François Mauriac occupe une large place, peut-être parce qu’en lui « s’incarnaient tous les talents d’un esprit à la fois classique et moderne et le génie de la langue porté à sa perfection. C’est cette rencontre si rare qui donne à François Mauriac, écrivain et journaliste, toutes ses chances d’éternité ». Paul Morand, au contraire, détestait le journalisme. Surprenant, quand on a écrit des livres sur des villes, « tant de reportages de génie où le monde moderne brillait de tous les feux nouveaux de l’automobile de sport, du cinéma et du jazz ».
Comprendre, aimer : deux mots qui sont le moteur de Jean d’Ormesson dans ces articles. Il célèbre Aragon. Totalement préservé de la jalousie et du ressentiment qui font détester ses contemporains, il sait aussi rendre hommage à ses cadets. Patrick Besson, qui a « plus de talent que les autres, et peut-être plus que personne ». Gabriel Matzneff, « un sauteur latiniste, un séducteur intellectuel, un diététicien métaphysique ». Et qui est donc ce « classique rebelle et farceur, doué comme pas un » ? Jean d’Ormesson lui-même ? Non, Philippe Sollers, qui, comme lui, se rallie à ce mot de Stendhal : « L’essentiel est de fuir les sots et de nous maintenir en joie. »

« Je dirai malgré tout que cette vie fut belle »

Il a su aussi aider Marguerite Yourcenar à forcer la porte de l’Académie française, avec « cette œuvre éclatante écrite dans ce style suprême qui rejette dans la préhistoire les fadaises et les mièvreries de la prétendue écriture féminine ». Cela n’a pas été une mince affaire. On est en 1979, et Jean d’Ormesson, qui était alors, à 54 ans, un « jeune » à l’Académie, a l’idée, à l’époque loufoque, de faire entrer une femme sous la Coupole. Alors, les académiciens perdent leurs nerfs. Les plaisanteries graveleuses abondent. Yourcenar est-elle vraiment une femme ? – allusion à sa vie sexuelle. Peut-être peut-on l’élire car elle écrit comme un homme. Contre toute attente, Marguerite Yourcenar est élue le 6 mars 1980 au fauteuil de Roger Caillois. En janvier 1981, c’est Jean d’Ormesson qui la reçoit.
Dans les dernières années de sa vie, Jean d’Ormesson a connu une consécration qui lui a certainement fait plus de plaisir que son élection à l’Académie française. En 2015, la prestigieuse « Bibliothèque de la Pléiade » de Gallimard a publié un volume de ses romans. Il en a fait le choix lui-même. Mais il n’a pas pour autant renoncé à écrire. En janvier 2016, paraissait chez Gallimard un excellent Jean d’Ormesson, sans doute l’un de ses meilleurs, Je dirai malgré tout que cette vie fut belle : une traversée, non pas du siècle mais des siècles, de Racine à Paul Morand, de Saint-Simon à François Mitterrand et bien d’autres. Livre testamentaire ? Jean d’Ormesson le reconnaît dans les dernières pages. Toutefois, en octobre 2016, co-édité par Gallimard et Héloïse d’Ormesson, il a publié un bref Guide des égarés.

Tous ses combats, comme tous ses livres, sont dominés par une passion qui oriente un destin, celle de la lecture. Jean d’Ormesson savait qu’il y aurait toujours quelques fous pour s’abstraire un moment du jeu social et entrer dans l’univers d’un écrivain. Alors, « tant qu’il y aura des livres, des gens pour en écrire et des gens pour en lire, tout ne sera pas perdu dans ce monde qu’en dépit de ses tristesses et de ses horreurs nous avons tant aimé »

Biographie de Jean d'Ormesson :





Ce mouton aux cornes collées est l'animal le plus proche de la licorne





on sait que la licorne est censée être un équidé. Mais une corne frontale et quatre pattes munies de sabots devraient suffire, non ?
On pensait que la licorne était devenue un café ou qu'elle était en fait un pachyderme préhistorique à l'allure du cheval légendaire. Mais non : un mouton islandais vient nous rappeler que lorsqu'il s'agit de licorne, il existe toujours mieux.
Voilà un mouton, tout ce qu'il y a de plus normal. Né au printemps et élevé par la fermière Erla Porey Olafsdottir et son mari, Bjarni Bjarnason, à Kraunkot en Islande, il aime gambader dans la prairie avec ses petits camarades. Mais ce mouton a quelques particularités.


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Prénommé Unicorn (soit licorne en Français et Einhyrningur en islandais), ses deux cornes ont fusionné sur sa tête en une seule super-corne, lui donnant l'apparence de la créature mythique du même nom dont tout le monde semble raide dingue. Licorne vient du latin et signifie logiquement une seule corne. Il ne s'agit donc pas d'une licorne parfaite, vu que les deux cornes collées se séparent à leur extrémité. Mais bon, on va pas chipoter.

Yémen : l’ancien président Saleh tué par des rebelles Houthis

 

L’ancien dirigeant yéménite a été tué dans des combats entre ses troupes et celles des chiites Houtis. Les deux camps rebelles ont rompu leur alliance le 2 décembre dans la capitale Sanaa.

La crise au Yémen s’envenime encore un peu plus. L’ancien président Ali Abdallah Saleh a été tué dans des affrontements à Sanaa, indique lundi plusieurs sources. Tout d’abord annoncée par les rebelles chiites Houthis, l’information a été confirmée par le parti de Saleh. Les deux partis se livrent à des affrontements meurtriers depuis la rupture le 2 décembre de leur alliance dans la capitale Sanaa.
«Il est tombé en martyr en défendant la République», a déclaré Faïka al-Sayyed, une dirigeante du Congrès populaire général (CPG), attribuant son meurtre aux Houthis. La mort de l’ex-président yéménite, 75 ans, pourrait constituer un tournant majeur dans le conflit qui ensanglante le pays depuis son départ du pouvoir en 2012.
Au centre de la « pire crise humanitaire au monde » selon l’ONU, la guerre au Yémen avive les tensions régionales et la rivalité entre l’Arabie saoudite sunnite et l’Iran chiite, accusé par Ryad de soutenir militairement les rebelles Houthis, ce qu’il réfute. 8 750 personnes sont mortes depuis l’intervention de l’Arabie saoudite et de ses alliés en mars 2015.

Les Houthis accusent l’ex-président de trahison

Le président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi, à la tête du gouvernement reconnu par la communauté internationale, a annoncé une opération pour reprendre Sanaa et appelé les Yéménites à «ouvrir une nouvelle page» de l'histoire du pays. Une vidéo remise à un journaliste par les rebelles Houthis montre le cadavre de ce qui semble être l’ancien président Saleh.
Des combats font rage depuis mercredi dans la capitale Sanaa, que les deux parties rebelles contrôlaient conjointement depuis 2014 au détriment du gouvernement internationalement reconnu d’Abd Rabbo Mansour Hadi réfugié à Aden, dans le sud. Ils avaient fait jusqu’à lundi matin au moins 100 morts et blessés -des combattants mais aussi des civils-, selon des sources de sécurité et hospitalières.
Dans un développement spectaculaire, Ali Abdallah Saleh avait tendu la main à l’Arabie saoudite samedi, proposant à Ryad de « tourner la page » en échange d’une levée du blocus qui étrangle la population. Les Houthis avaient dénoncé une « grande trahison ».

Le président veut marcher sur Sanaa

Face à la fin de l’alliance rebelle, l’actuel président Hadi a de son côté « donné pour ordre à son vice-président Ali Mohsen al-Ahmar, qui se trouve à Marib (100 km à l’est de Sanaa), d’activer la marche […] vers la capitale », a annoncé lundi un membre de son entourage.
Baptisée « Sanaa l’Arabe », l’opération -à l’issue plus qu’incertaine- consisterait, selon le membre de l’entourage de M. Hadi, à prendre la capitale en tenailles sur plusieurs fronts, notamment à l’est et au nord-est.
Selon des sources militaires loyalistes à Marib, sept bataillons ont reçu l’ordre de marcher sur Sanaa sur le front est. Outre le soutien de la coalition sous commandement saoudien, les militaires loyalistes se sont assuré l’appui des tribus de Khawlane qui contrôlent l’est de Sanaa, ont ajouté les mêmes sources.
Afin d’affaiblir les Houthis, le gouvernement Hadi a dans le même temps annoncé sa volonté d’offrir une amnistie à tous ceux qui cessent de collaborer avec ces rebelles. Cependant, à Sanaa, les Houthis donnaient l’impression lundi de prendre le dessus sur les forces de M. Saleh, selon des journalistes sur place.


Les scènes de violences se poursuivent

Les derniers développements font craindre des risques encore accrus pour la population, notamment à Sanaa : non seulement des affrontements entre rebelles se poursuivent, mais la capitale a été secouée dans la nuit de dimanche à lundi par des raids aériens.
Après plus de trente années de règne sur le Yémen, Ali Abdallah Saleh avait été contraint de céder le pouvoir à M. Hadi en février 2012, dans le sillage du Printemps arabe. Il avait scellé deux ans plus tard une alliance avec les Houthis, issus de la minorité zaïdite -une branche du chiisme-, après les avoir longtemps combattus.

Peut-on arrêter un missile balistique intercontinental ?

Un missile balistique intercontinental ou ICBM est un missile balistique à longue portée, soit : plus de 5 600 km. Dans cette vidéo, on vous parlera de la capacité réelle de ces types de missiles qui sont très difficile a détecter et à exploser à temps. Si vous souhaitez qu'on vous parle de ces sujets, alors n'hésitez pas à nous le demander dans la zone de commentaire : - missile wars - missile corée du nord - missile nucléaire - missile americain - missile M51 - missile milan - les missiles iraniens - les missiles français - les missiles balistiques - les missiles de la corée du nord - les missiles les plus puissants au monde :

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Fiche pays. Slovaquie

Les deux villes principales de la Slovaquie sont Bratislava et Košice



La Slovaquie fait partie de l’Union européenne depuis 2004. Ce pays est indépendant depuis 1993 avec la séparation de la République Tchèque. Les deux villes principales sont Bratislava et Košice.


Fiche signalétique :
Capitale : Bratislava


Population : 5,43 millions (2016) / Superficie : 49 000 km²
Membre de l’UE depuis 2004 / Monnaie : euro (2009)
Taux de croissance : 3,6 % en 2015 / Taux de chômage : 11,5 % en 2015
Système politique : république parlementaire
Président : Andrej Kiska depuis 2014 / 1er ministre : Robert Fico depuis 2012
Langue majoritaire : slovaque
Religion majoritaire : catholicisme
Hymne national : Nad Tatrou sa blyska (Au-dessus des monts Tatras brille l’éclair)
Indicatif téléphonique : +421 / Code ISO : SK

Présentation

La Slovaquie est montagneuse sur la moitié nord du pays avec les Carpates. Les plaines se situent au sud-ouest du pays le long du fleuve du Danube et au sud-est.
La Slovaquie est indépendante depuis le 1er janvier 1993 et le « divorce de velours » avec la République Tchèque, mettant fin à la Tchécoslovaquie. Plus tardivement que d’autres pays de l’Europe centrale et orientale, le pays entre dans l’Otan en 2004. La même année, la Slovaquie adhère à l’Union européenne, et adopte en 2009 l’euro. Elle fait partie du groupe de Visegrad, ce groupe informel réunissant quatre pays d’Europe centrale (Hongrie, Pologne, République Tchèque et Slovaquie).
Dans cette république parlementaire, le président tient un rôle représentatif. Premier ministre depuis plusieurs années, Robert Fico a effectué un tournant populiste. Après avoir marqué son mécontentement de devoir venir en aide financièrement à la Grèce, la Slovaquie a dit son désaccord pour recevoir des réfugiés lors de la crise des migrants. À l’occasion du conflit en Ukraine, Robert Fico s’est positionné contre les sanctions à l’encontre de la Russie.

Le saviez-vous : non, ce n’est pas la « croix de Lorraine » sur le drapeau slovaque


Il est vrai que, comme la croix de Lorraine, la croix sur le drapeau slovaque est une « double croix ». Elle fait ici référence à l’évangélisation de la région de Grande Moravie par les saints Cyrille et Méthode au IXe siècle.

Cette double croix représente l’influence de l’Empire byzantin à l’époque et figure également sur les armoiries de la Hongrie.

Les grandes personnalités politiques


Andrej Kiska : il est élu en mars 2014 contre le Premier ministre Robert Fico en se présentant sans étiquette. Il fonde des sociétés de microcrédits dans les années 1990 qui lui ont permis de devenir millionnaire.

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Robert Fico : Il devient Premier ministre en 2006 avec son parti social-démocrate, le Smer, grâce à une alliance avec l’extrême-droite (SNS). Arrivé en tête aux élections de 2010, il ne réussit pas à former de coalition et retourne dans l’opposition. En 2012, il remporte à la majorité absolue les législatives anticipées, puis arrive de nouveau en tête en 2016. Il doit néanmoins former une coalition allant du centre-gauche aux nationalistes. Il développe désormais un discours populiste anti-réfugiés et plutôt pro russe.

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Quelques dates historiques récentes

1945 : entrée des troupes soviétiques à Prague.
1968 : « Printemps de Prague » écrasé par les chars soviétiques du Pacte de Varsovie. À cette occasion, la Slovaquie obtient plus de pouvoir face à la Tchéquie.
1989 : « Révolution de velours » faisant tomber le gouvernement communiste pacifiquement.
1993 : suite au « divorce de velours », la République Tchèque et la Slovaquie se séparent.
2004 : adhésion à l’Otan et à l’UE.
2009 : l’euro devient la monnaie nationale.

Fêtes et jours fériés

1er janvier : Jour de l'an.
6 janvier : Épiphanie.
Mars - avril : fête de Pâques (Vendredi saint et le dimanche).
1er mai : fête du Travail.
8 mai : fin de la Seconde Guerre mondiale
5 juillet : arrivée des saints Cyrille et Méthode évangélisant la région au Xe siècle.
29 août : jour anniversaire du Soulèvement national slovaque en 1944.
1er septembre : jour de la constitution république slovaque en 1992.
15 septembre : Fête de Notre-Dame des Sept Douleurs, sainte patronne du pays.
1er novembre : Toussaint
17 novembre : journée de lutte pour la démocratie, en référence au début de la Révolution de velours de 1989.
24-25-26 décembre : célébrations de Noël.

Médias

Pravda : quotidien de gauche diffusé à 66 000 exemplaires. Créé en 1920, il a été le journal officiel du Parti communiste dès 1925 avant d’être interdit entre 1930 et la fin de la Seconde guerre mondiale.

Sme : journal libéral diffusé à 72 000 exemplaires créé en 1993. Son édition web est très consultée.

Dennik N : le « N » fait référence au terme nezavisly (indépendant). Il a été créé en 2015 par une partie de la rédaction du journal Sme n’acceptant pas qu’un groupe d’investissement impliqué dans un scandale de corruption prenne des parts du groupe.

Hospodárske noviny : considéré comme un journal de qualité à la diffusion de 22 000 exemplaires. Il appartient au même propriétaire que le journal tchèque du même nom.

Týždeň : hebdomadaire créé en 2009 consacré aux questions culturelles et à la politique étrangère. Diffusé à 12 000 exemplaires.

L'empereur du Japon abdiquera le 30 avril 2019

Le très populaire empereur Akihito, âgé de 83 ans, avait exprimé l'an dernier son désir de se retirer, après un règne de près de trois décennies.


 


L'empereur du Japon Akihito se retirera le 30 avril 2019. C'est ce qu'a annoncé, vendredi 1er décembre, le Premier ministre Shinzo Abe, à l'issue d'une réunion spéciale du Conseil impérial organisée pour choisir la date d'abdication.
Le très populaire empereur Akihito, âgé de 83 ans, avait choqué le pays l'an dernier lorsqu'il avait exprimé son désir de se retirer, après un règne de près de trois décennies, invoquant son âge avancé et des problèmes de santé.

Le fils aîné de l'empereur appelé à lui succéder

Cette annonce surprise avait posé problème, car aucun texte de loi au Japon ne prévoyait le départ en retraite d'un empereur, une fonction censée durer à vie. Le débat sur le principe de succession strictement masculin du trône japonais avait aussi été relancé. En juin dernier, le Parlement japonais a adopté une loi autorisant Akihito à abdiquer en raison de son âge, dans les trois ans à compter de la promulgation du texte.
"Le gouvernement fera tous les efforts possibles pour que le peuple japonais puisse célébrer l'abdication de l'empereur et sa succession par le prince héritier", a ajouté Shinzo Abe. Le fils aîné de l'empereur, le prince Naruhito, âgé de 57 ans, devrait accéder au trône du Chrysanthème le jour suivant.


Un nouveau chocolat de couleur "rose"

 nouveau chocolat



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 Nouveau chocolat



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C’est le premier nouveau type de chocolat depuis 80 ans et il est… rose. Une couleur beaucoup plus naturelle qu’elle en a l’air puisqu’on la doit à une sélection de cabosses de cacao naturellement roses appelées Ruby. Conçue par la manufacture de chocolat suisse Barry Callebaut, cette révolution alimentaire présentée à Shanghai le 5 septembre est décrite par son fabricant comme “un délice sensoriel intense” et “une tension entre baie fruitée et douceur succulente”, sans ajouter de baies, de goût de baie ou de colorant. Espérons que le goût soit à la hauteur pour nous faire oublier l’impression que l’on s’apprête à croquer dans un morceau de savon.

Les bombes à sous-munitions, un fléau toujours plus meurtrier pour les civils



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Ces «armes à dispersion» sont composées d'une bombe-mère qui contient plusieurs dizaines voire des centaines d'engins explosifs, des «sous-munitions», parfois appelés «bombelettes». 



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Lancée au sol par des canons, des lance-roquettes ou lâchée depuis des avions, la bombe-mère les libère avant l'impact, de sorte à couvrir une large surface pour renforcer la probabilité de détruire l'objectif visé.



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Les civils, principale cible.

Ce système dit «à effet de zone» fonctionne au prix d'un risque accru pour les populations civiles. Ainsi, sur les 971 victimes en 2016, 98% d'entre eux sont des civils. Au moment de l'impact, le risque de dommage collatéral est élevé du fait du large périmètre. Mais aussi après, voire longtemps après. 14% des victimes ont ainsi été tuées ou blessées par des «restes de sous-munitions». D'après le rapport, jusqu'à 40% des sous-munitions n'explosent pas lorsqu'elles touchent le sol, représentant alors pour les civils un danger équivalent aux mines terrestres.
Plusieurs années après, au moindre contact, elles peuvent encore tuer, mutiler ou brûler, d'autant qu'elles se trouvent souvent dans des endroits incongrues, dans des arbres, sur des toits ou au milieu de terres agricoles.
Avec la violence actuelle des conflits internationaux, ces armes continuent de faire des massacres.


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Les opinions publiques, les gouvernements et les ONG doivent stigmatiser les États qui emploient de telles armes.

En 2016, des bombes à sous-munitions ont aussi été employées au Yemen, en Libye, en Ukraine, au Soudan, en Somalie et dans le Haut-Karabakh, territoire disputé entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Des armes à sous-munitions auraient pu être utilisées par l'État islamique en Irak et en Libye depuis la mi-2016, sans que l'information ait pu être vérifiée jusqu'à présent.

Des «progrès énormes» grâce à la Convention d'Oslo

Face à ce fléau, la septième réunion des États parties à la Convention d'Oslo, qui interdit l'utilisation et la fabrication d'armes à sous-munitions, s'ouvrira le 4 septembre au Palais des Nations à Genève. En vue de cette conférence, Handicap International «appelle les États à appliquer le droit international et à faire pression sur les belligérants pour qu'ils cessent d'utiliser cette arme barbare». «Cette convention représente un énorme progrès. Elle crée une nouvelle norme internationale».
Les États parties devraient travailler avec diligence pour (...) convaincre davantage de pays de se joindre à l'interdiction internationale.
Les bombes à sous-munitions concernent particulièrement les enfants, qui comptent pour 41% des victimes en 2016.  De petite taille, souvent de couleurs vives, les «bombelettes» sont souvent manipulées par les enfants.  

Le festival de nuit de Chichibu au Japon

La petite ville de Chichibu, qui se situe à environ 90 minutes en voiture de Tokyo, accueille le festival de la nuit. Il a lieu chaque année entre le 2 et le 3 décembre, mais le spectacle le plus important se déroule le 3 décembre. Le principe? Des chars traditionnels sont recouverts de laque d'or. Ils représentent les 6 dieux protecteurs de la ville, et pèsent jusqu'à 20 tonnes.


Patrimoine mondial de l'UNESCO


300 000 visiteurs sont venus voir ce spectacle, qui est en réalité une fête de la moisson. Pour y assister, les citoyens revêtent un "happi", un costume traditionnel. Cette procession existe depuis plus de 300 ans. Décorés de lanternes et de tapisseries, les chars défilent, accompagnés par de la musique, essentiellement de la flute et des tambours. L'un des clous du spectacle? Le feu d'artifice, un événement rare en hiver pour les Japonais. Il s'agit de l'un des trois festivals de chars les plus importants du Japon. Le festival de nuit de Chichibu est entré au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2016.



Coupe du monde 2018 en Russie : Où et quand jouera l'équipe du Maroc ?

  Retrouvez le calendrier complet, 
jour par jour, de la Coupe du 
monde 2018 en Russie.

Phase de groupes

Jeudi 14 juin
(17h00) Russie - Arabie Saoudite, à Moscou (Loujniki)
Vendredi 15 juin
(14h00) Egypte - Uruguay, à Ekaterinbourg
(17h00) Maroc - Iran, à Saint-Petersbourg
(20h00) Portugal - Espagne, à Sotchi
Samedi 16 juin
(12h00) France - Australie, à Kazan
(15h00) Argentine - Islande, à Moscou (Spartak)
(18h00) Pérou - Danemark, à Saransk
(21h00) Croatie - Nigéria, à Kaliningrad
Dimanche 17 juin
(14h00) Costa Rica - Serbie, à Samara
(17h00) Allemagne - Mexique, à Moscou (Loujniki)
(20h00) Brésil - Suisse, à Rostov sur le Don
Lundi 18 juin
(14h00) Suède - Corée du Sud, à Nijni Novgorod
(17h00) Belgique - Panama, à Sotchi
(20h00) Tunisie - Angleterre, à Volgograd
Mardi 19 juin
(14h00) Pologne - Sénégal, à Moscou (Spartak)
(17h00) Colombie - Japon, à Saransk
(20h00) Russie - Egypte, à Saint-Petersbourg
Mercredi 20 juin
(14h00) Portugal - Maroc, à Moscou (Loujniki)
(17h00) Uruguay - Arabie Saoudite, à Rostov-sur-le-Don
(20h00) Iran - Espagne, à Kazan
Jeudi 21 juin
(14h00) France - Pérou, à Ekaterinbourg
(17h00) Danemark - Australie, à Samara
(20h00) Argentine - Croatie, à Nijni Novgorod
Vendredi 22 juin
(14h00) Brésil - Costa Rica, à Saint-Petersbourg
(17h00) Nigéria - Islande, à Volgograd
(20h00) Serbie - Suisse, à Kaliningrad
Samedi 23 juin
(14h00) Belgique - Tunisie, à Moscou (Spartak)
(17h00) Allemagne - Suède, à Sotchi
(20h00) Corée du Sud - Mexique, à Rostov-sur-le-Don
Dimanche 24 juin
(14h00) Angleterre - Panama, à Nijni Novgorod
(17h00) Japon - Sénégal, à Ekaterinbourg
(20h00) Pologne - Colombie, à Kazan
Lundi 25 juin
(16h00) Arabie Saoudite - Egypte, à Volgograd
(16h00) Uruguay - Russie, à Samara
(20h00) Espagne - Maroc, à Kaliningrad
(20h00) Iran - Portugal, à Saransk
Mardi 26 juin
(16h00) Danemark - France, à Moscou (Loujniki)
(16h00) Australie - Pérou, à Sotchi
(20h00) Nigéria - Argentine, Saint-Petersbourg
(20h00) Islande - Croatie, à Rostov-sur-le-Don
Mercredi 27 juin
(16h00) Corée du Sud - Allemagne, à Kazan
(16h00) Mexique - Suède, à Ekaterinbourg
(20h00) Serbie - Brésil, à Moscou (Spartak)
(20h00) Suisse - Costa Rica, à Nijni Novgorod
Jeudi 28 juin
(16h00) Japon - Pologne, à Volgograd
(16h00) Sénégal - Colombie, à Samara
(20h00) Angleterre - Belgique, à Kaliningrad
(20h00) Panama - Tunisie, à Saransk

Coupe du monde 2018

Huitièmes de finale

Samedi 30 juin
(16h00) 1er groupe C - 2e groupe D, à Kazan (H1)
(20h00) 1er groupe A - 2e groupe B, à Sotchi (H2)
Dimanche 1er juillet
(16h00) 1er groupe B - 2e groupe A, à Moscou (Loujniki) (H5)
(20h00) 1er groupe D - 2e group C, à Nijni Novgorod
(H6)
Lundi 2 juillet
(16h00) 1er groupe E - 2e groupe F, à Samara (H3)
(20h00) 1er groupe G - 2e groupe H, à Rostov-sur-le-Don (H4)
Mardi 3 juillet
(16h00) 1e groupe F - 2e groupe E, à Saint-Petersbourg (H7)
(20h00) 1er groupe H - 2e groupe G, à Moscou (Spartak) (H8)

Quarts de finale

Vendredi 4 juillet
(16h00) Vainqueur H1 - Vainqueur H1, à Nijni Novgorod (Q1)
(20h00) Vainqueur H3 - Vainqueur H4, à Kazan (Q2)
Samedi 5 juillet
(16h00) Vainqueur H7 - Vainqueur H8, à Samara (Q3)
(20h00) Vainqueur H5 - Vainqueur H6, à Sotchi (Q4)

Demi-finale

Mardi 10 juillet
(20h00) Vainqueur Q1 - Vainqueur Q2, à Saint-Petersbourg
Mercredi 11 juillet
(20h00) Vainqueur Q3 - Vainqueur Q4, à Moscou (Loujniki)

Match pour la 3e place

Samedi 14 juillet
(16h00) Match pour la 3 place, à Saint-Petersbourg

Finale

Dimanche 15 juillet
(17h00) Finale, à Moscou (Loujniki)