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Les Jarawas, un peuple au bord de l'extinction



L’un des derniers peuples afro-asiatiques refuse l’assimilation forcée.
Alors que New Delhi leur dénie le droit à l’autodétermination, des journalistes ont réussi à rencontrer les Jarawas pour leur donner la parole.
Les Jarawas sont des chasseurs-cueilleurs. Ils vivent depuis des dizaines de milliers d’années sur les îles Andamans en Inde. D’après des études récentes, ils auraient fait partie des premières migrations humaines depuis l’Afrique vers le reste du monde, il y a environ 70,000 ans. Mais cela fait une dizaine d’années seulement qu’ils sont entrés en contact avec les Indiens. Depuis leur situation s’est considérablement dégradée. Des femmes ont été enlevées et violées par des Indiens. Les Jarawas sont allés se plaindre à plusieurs reprises auprès des autorités des Andamans, en vain.



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Les Jarawas sont également victimes de safaris humains, organisés par les agences de voyage locales. Ils se déroulent le long de l’Andaman Truck Road, une route construite illégalement et qui traverse leur territoire. 


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Des dizaines de véhicules, escortées par l’armée indienne l’empruntent quotidiennement pour prendre des Jarawas en photos.


Les Jarawas : un peuple en danger


Pourtant, il est interdit de pénétrer sur leur territoire sous peine de prison. La réserve est sous le contrôle conjoint de l’armée, de la police locale et des gardes forestiers de l’AAJVS, un organisme d’état dépendant du ministère des affaires tribales indien. Une mesure censée protéger ce peuple fragile. Les Jarawas ne sont plus que 420.



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Mais cette interdiction a aussi un effet pervers. Celui d’empêcher les Jarawas de s’exprimer au sujet de leur avenir. En 2013, Bishnu Pada Ray, le député des Andamans a affirmé dans la presse qu’ils avaient exprimé le désir de rejoindre la communauté indienne. Or jusqu’à présent, personne n’est allé leur demander si tel était le cas.
Alexandre Dereims et Claire Beilvert, un journaliste et une photographe de presse français, sont parvenus à les rencontrer pour leur poser la question. Ils ont outrepassé l’interdiction de pénétrer dans la réserve. Ils ont pris toutes les précautions nécessaires afin de ne pas leur transmettre de maladies. Les Jarawas les ont autorisés à rester quelques jours avec eux afin de réaliser des interviews. C’est la première fois que des membres de ce peuple en danger parlent au monde extérieur.



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Leur réponse est sans ambiguïté. Les Jarawas refusent d’être assimilés.
« Votre monde est mauvais pour nous, on ne l’aime pas. Il y a trop de gens, trop de bruit, pas de paix, on n’aime pas ça. On ne veut plus avoir d’interaction et être trop proche de votre monde. On veut rester comme on est. Ici, c’est chez nous, c’est là que l’on veut vivre. », explique Abé, l’un des chasseurs.
Leur mode de vie a commencé à changer irréversiblement. Certains portent des habits. Ils possèdent des lampes torches, des outils, des ustensiles de cuisines. Des objets qui leur sont donnés par les gardes forestiers. Mais les Jarawas sont aussi victimes du braconnage. En effet, s’il est interdit de pénétrer sur leur territoire, tous les jours, des dizaines de braconniers viennent chasser sur leurs terres, en toute impunité.


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« Il y a des braconniers qui viennent avec des armes pour nous tirer dessus. Ils viennent pour nous voler. Ils cherchent à nous faire peur. Ils veulent nous acheter des cochons sauvages. Ils posent des pièges à cochons. Ils tuent tous nos cochons. Parfois, ils nous donnent un peu d’argent ou des habits. C’est comme ça qu’ils pillent notre gibier. Avant, on ne mangeait que des cochons. Mais il n’y en a presque plus. On a été obligé de chasser les daims pour manger. On ne sait plus quoi faire. On s’asseoit et on réfléchit à tout ça. On y pense tout le temps. », nous révèle Outa, un autre membre du clan.
Même les daims commencent à se faire rares. Les braconniers forcent les Jarawas à chasser pour leur compte, une quinzaine de bêtes à la fois. La viande sauvage est revendue sur les marchés locaux. Rien de tout cela ne serait possible sans la complicité des gardes forestiers de l’AAJVS, l’organisation gouvernementale en charge de la protection des Jarawas.






« Les braconniers nous donnent du tabac et ils veulent nous apprendre à chiquer. Ce n’est pas bon pour nous. Ils nous donnent de l’alcool. On n’en veut pas non plus. Mais ils essayent quand même de nous faire boire. On n’en veut pas, c’est mauvais. Mais ils essayent de nous influencer. C’est comme ça dans votre monde. »
L’alcool a commencé à faire des ravages dans la communauté des Jarawas. En quelques années, un autre peuple afro-asiatique des Andamans, les Onges, a quasiment disparu. Après avoir été assimilés de force par l’état indien, certains d’entre eux ont été empoisonnés par de l’alcool frelaté que des braconniers leur avaient donné.

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C’est la chronique d’une disparition annoncée, d’une assimilation forcée. Les Jarawas, affamés, n’auront bientôt plus d’autre choix que de sortir de leur territoire pour mendier de la nourriture le long de la route.
Pourtant dans sa charte, l’AAJVS, l’agence indienne en charge de la préservation des Jarawas, a écrit que sa mission est de « « satisfaire à son obligation et sa responsabilité de conserver l’écologie et l’environnement de la réserve constituée par le territoire tribal et de renforcer le soutien aux indigènes adivasi (les Afro-asiatiques) afin de leur permettre de continuer de vivre tel qu’ils l’entendent et de préserver ainsi un patrimoine unique pour l’Inde et pour le monde. »

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Les journalistes tirent la sonnette d’alarme. New Delhi a récemment décidé de faire de la capitale des Andamans, Port Blair, le plus grand port sur l’océan indien. Le gouvernement nationaliste de Narendra Modi veut booster le potentiel touristique de ces îles devenues l’équivalent des Seychelles ou des Maldives auprès de la nouvelle classe moyenne indienne. Il est devenu urgent de se poser la question de la survie du plus ancien peuple d’Asie.
Alexandre Dereims et Claire Beilvert ont lancé une pétition en ligne pour forcer le gouvernement indien a faire respecter l’ordonnance de la cour suprême indienne de 2013 de fermer l’Andaman Truck Road. Ils demandent également à ce que le territoire des Jarawas soit sanctuarisé et que l’AAJVS communique régulièrement sur le situation des Jarawas.


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Le français, cinquième langue la plus parlée dans le monde


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L’Afrique est destinée à devenir l’espace comptant le plus de locuteurs en français, selon un rapport de l’Organisation internationale de la francophonie.


Au niveau mondial, la langue de Molière se porte plutôt bien, du moins en termes de diffusion. Mais elle pourrait faire beaucoup mieux. Le français est aujourd’hui la cinquième langue dans le monde, avec 300 millions de locuteurs, après le chinois, l’anglais, l’espagnol et l’arabe. « Une progression de 10 % depuis 2014 », se félicite le nouveau rapport de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), qui doit être présenté par la secrétaire générale sortante, Michaëlle Jean, lors de l’ouverture du 17e sommet à Erevan, jeudi 11 octobre. Il y a quatre ans, le français était en sixième position.

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« Présente sur les cinq continents, la langue française a toutes les caractéristiques d’une langue mondiale », souligne ce texte, relevant qu’elle est la langue officielle de 32 Etats et gouvernements, ainsi que dans la plupart des organisations internationales. Mieux encore : à en croire cette enquête, le français est aussi la quatrième langue la plus utilisée sur Internet et même la troisième en termes de trafic.
Cette augmentation est avant tout le résultat de la croissance démographique. « Le centre de gravité de la francophonie continue de se déplacer vers le sud, prolongeant une tendance mesurée depuis 2010 où l’on voit que sur les 22,7 millions de francophones qui sont venus grossir cette planète de la francophonie, 68 % se trouvent en Afrique subsaharienne et 22 % en Afrique du Nord », analyse le rapport.

« Francophonie ouverte »
Lors de son discours devant l’Académie française, le 20 mars, le président Emmanuel Macron s’était fait le héraut d’une « francophonie ouverte »,misant sur le plurilinguisme, tout en reconnaissant que « la France n’est qu’une partie de la francophonie agissante », « consciente de ne pas porter seule le destin du français ».
L’Afrique est destinée à devenir l’espace où il y aura le plus de locuteurs en français, du moins en valeur absolue. Les pourcentages de ceux qui utilisent quotidiennement cette langue restent pourtant souvent assez faibles. A peine 13 % au Niger et 17 % au Mali comme au Tchad. Mais ils sont 26 % au Sénégal, 33 % en Côte d’Ivoire, 51 % en République démocratique du Congo (RDC) et même 59 % au Congo-Brazzaville. Au Maghreb, le français est utilisé quotidiennement par 52 % des Tunisiens, mais seulement par 35 % des Marocains et 33 % des Algériens.


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Au sein de l’Union européenne, le français est la première langue de seulement 12 % des citoyens, contre 16 % pour l’allemand et 13 % pour l’anglais avant le Brexit. En revanche, selon le rapport de l’OIF, « le français demeure la deuxième langue étrangère la plus apprise dans le premier cycle de l’enseignement secondaire des Etats membres, avec 26,1 % du total des élèves qui l’apprennent, contre 96,2 % l’anglais, 16,8 % l’allemand et 12,6 % l’espagnol ».

Chine : une ville envisage d’envoyer une lune artificielle dans le ciel

Jugeant l'éclat de la Lune insuffisant, un entrepreneur chinois propose de placer une seconde lune artificielle dans l'espace afin de remplacer l'éclairage nocturne public de la ville de Chengdu et de faire des économies d'électricité. En effet, la presse chinoise rapporte que Wu Chunfeng, le président de Chengdu Aerospace Science and Technology Microelectronics System Research Institute Co. (Casc), a présenté ce projet un peu fou la semaine dernière lors d'une conférence.

La fausse lune prendrait la forme d'un énorme satellite doté d'ailes similaires à des panneaux solaires et serait recouvert d'un revêtement réfléchissant afin de renvoyer les rayons du Soleil sur la ville. Elle serait huit fois plus brillante que la Lune et serait capable d'éclairer une surface de 10 à 80 km de diamètre en diffusant une lumière crépusculaire. Selon Wu Chunfeng, la technologie serait déjà en test depuis des années et serait prête pour un lancement en 2020.



La ville chinoise de Chengdu envisage d’envoyer une seconde lune artificielle dans l’espace pour renforcer la lumière de la Lune afin de remplacer l’éclairage public. © Nasa
La ville chinoise de Chengdu envisage d’envoyer
 une seconde lune artificielle dans l’espace 
pour renforcer la lumière de la Lune afin 
de remplacer l’éclairage public.


En six ans, 259 personnes sont mortes en prenant un selfie

 La très grande majorité des victimes avait entre 22 et 23 ans, et plus de 72 % étaient des hommes…



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Les selfies font plus de morts que les requins dans le monde ! C’est le triste constat des chercheurs de l’Institut de science médicale basé en Inde qui ont comptabilisé dans une étude le nombre de personnes décédées dans le monde en voulant prendre un selfie. Entre octobre 2011 et novembre 2017, 259 personnes sont mortes en voulant se prendre elles-mêmes en photo, note cette enquête publiée dans le Journal of Family Medicine and Primary Care.
Ces chercheurs indiens sont parvenus à ce chiffre en compilant des données de la presse mondiale. Ils y ont recherché des mot-clés : « mort par selfie » ou encore « accident de selfie ». « Comme les selfies ne sont jamais indiqués comme cause de mort dans les bases de données officielles, les scientifiques pensent même sous-estimer le nombre de morts », précise Slate.

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Surtout des jeunes hommes

Selon cette enquête, trois personnes sont mortes en faisant un selfie en 2011, deux en 2013, 13 en 2014, 50 en 2015, 98 en 2016 et 93 en 2017. La très grande majorité des victimes avait entre 22 et 23 ans. Et plus de 72 % étaient des hommes, qui prennent plus de risques pour prendre un selfie, note l’étude.

Les pays les plus touchés par les « selfies de la mort » sont l’Inde, qui occupe la première place, suivie par la Russie, les Etats-Unis et le Pakistan.  L’Inde comptabilise à elle seule 50 % des décès, sûrement à cause de la jeunesse de sa population, estiment les scientifiques.

Mettre en place des « no-selfies zones » dans les endroits à risques

Dans les conclusions de cette étude, les chercheurs préconisent donc de mettre en place des « no-selfies zones » dans les endroits à risques. Par exemple au sommet des falaises, près de la mer ou en haut d’immeubles.

« Les selfies ne sont pas nocifs en soi, ce sont les comportements humains qui les accompagnent qui sont dangereux », conclut l’étude.

Le chant inquiétant de la glace de l’Antarctique




Des fréquences sonores émises par la barrière de Ross, une plateforme de glace en Antarctique, ont été enregistrées par des scientifiques américains qui ont publié le 16 octobre le résultat de leurs recherches.
“Les fréquences [des sons enregistrés] sont trop basses pour être perçues naturellement par l’homme mais, quand on les accélère, on croirait entendre le son sinistre qui annonce l’arrivée d’un monstre dans un film d’horreur.” Ainsi le site Quartz décrit-il les curieuses plaintes d’un plateau de glace de l’Antarctique.




La barrière de Ross, d’une taille comparable à celle de l’Espagne, a livré de nouveaux secrets à des scientifiques de l’université d’État du Colorado. Équipés de sismographes, ils ont repéré par hasard puis étudié, pendant deux ans, “la fréquence sonore émise par la neige alors qu’elle vibre sous les effets du vent et de la fonte”, détaille Quartz. Ces sons pourraient même permettre d’établir des prévisions sur de possibles ruptures d’iceberg liées à la fonte des glaces. Devant les perspectives inquiétantes du réchauffement climatique, particulièrement pour la hausse du niveau des océans, “peut-être le son de la vibration de la neige est-il un sinistre augure tout à fait approprié”, conclut le site d’information.

Le Canada devient le second pays au monde à légaliser le cannabis


Depuis le 17 octobre, il est possible d’acheter du cannabis en toute légalité au Canada. Trois ans après son élection, le gouvernement libéral de Justin Trudeau réalise l’un de ses engagements de campagne les plus symboliques. Le Canada est seulement le deuxième Etat de la planète à autoriser la marijuana récréative, après l’Uruguay en 2013. Une réforme historique saluée par de longues files d’attente de consommateurs levés aux aurores pour être parmi les premiers servis. D’autres pays ont fait un pas dans ce sens. Aux Etats-Unis, la consommation récréative de cannabis a été légalisée dans huit Etats. Parallèlement, nombre de pays comme les Pays-Bas ou l’Espagne ont dépénalisé la marijuana ou légalisé le cannabis thérapeutique. 



La «femme aux plus gros seins du monde» n'est plus

Liliane Blondieau, une Belge connue dans le monde entier, pour avoir été qualifiée de «femme aux plus gros seins du monde», est décédée il y a peu, à Charleroi.


Madame Irta est décédée à l'âge de 78 ans, 
du côté de Charleroi, en Belgique.

Elle était qualifiée de «femme aux plus gros seins du monde» par la presse belge. À l'âge de 78 ans, le quotidien La Meuse a annoncé, ce jeudi, le décès de Liliane Blondieau, une dame originaire de Marcinelle, «véritable phénomène de foire doté de deux seins de 35 kg chacun, tour de poitrine de 2,22 m et 245 kg sur la balance».
Repérée en 1978 par un forain de Charleroi, «alors qu'elle allait chercher un cornet de frites», rappelle La Meuse, celle qui allait devenir Madame Irta a connu un véritable succès international en se produisant durant une vingtaine d'années dans les fêtes foraines.

Attraction de la Foire du Trône
Inscrite dans le livre des records dans les années 80, elle a permis à toute sa famille et à ses sept enfants de parcourir le monde entier en participant à des «shows freaks» aux États-Unis, ou lorsqu'elle a reçu une récompense au Japon, où ses seins avaient été pesés lors d'une émission.
Très appréciée en France où elle avait presté à la Foire du Trône, Madame Irta avait également participé à de nombreuses émissions dans les années 80, en compagnie de Thierry Ardisson, ou encore de Patrick Sébastien, qui n'avait pas hésité à lui demander «s'il pouvait lui embrasser les seins».


San Francisco, ville sans déchets en 2020


Plus d’un millier de tonnes de détritus sont produites quotidiennement à San Francisco.
Plus d’un millier de tonnes de détritus 
sont produites quotidiennement à San Francisco.

Depuis les années 2000, l’État de Californie s’est lancé dans une guerre à grande échelle contre les déchets. Qu’il pourrait bien finir par remporter… À commencer par la bataille de San Francisco où 80 % des déchets produits chaque année sont aujourd’hui recyclés. Et ce n’est qu’un début !

Une poubelle bleue pour le recyclable, une poubelle verte pour le compost, et enfin, une noire, pour les déchets non traitables. Rien de révolutionnaire en apparence. Sauf que ce système de tri des déchets a permis à la ville de San Francisco et à ses 860 000 habitants d’atteindre, en moins de 10 ans, l’objectif de retraiter 80 % du contenu de leurs poubelles.

Surtout, pour la première fois, le recyclage et le compostage devenaient obligatoires pour tout le monde. Avec un système d’amendes comprises entre 100 et 1 000 dollars et un système de location avec des tarifs variables. Évidemment, la poubelle noire était la moins abordable possible afin d’inciter les habitants à opter pour le plus petit modèle et surtout, à vérifier et à revérifier si les déchets ne pouvaient pas être encore mieux exploités.


Recycler plutôt qu’incinérer
Dans le même temps, la ville a interdit certains polluants comme les sacs plastiques et les emballages en polystyrène imputrescibles. De même que la vente de bouteilles d’eau sur l’espace public. Les professionnels, eux, ont fortement été encouragés à adopter des pratiques plus vertueuses. Soit par la contrainte comme ce fut le cas pour les entreprises de la construction (obligation de recycler pour être habilité à travailler dans la ville) soit par la création d’une filière de compostage performante. Une aubaine les restaurateurs et les agriculteurs locaux. Même la Napa Valley qui abrite les plus grands domaines viticoles américains s’est convertie à l’utilisation de ce compost !

Clé de voûte de ce dispositif : la mise en place de la filière de recyclage. Exit donc les décharges publiques et les incinérateurs. Recology, la coopérative en charge de la collecte des ordures de la ville a dès lors fait l’acquisition du plus gros centre de tri de la planète : le Pier 96. Dans cet immense hangar maritime de 20 000 m2, ce sont plus d’un millier de tonnes de détritus qui sont traités chaque jour. Enfin, du côté de Vacaville, Recology a aussi investi dans un immense champ de compostage qui gère 650 tonnes de compost par jour. Lequel est aujourd’hui entièrement revendu aux fermes de la région.

Le zero waste, la nouvelle tendance
Les résultats ainsi obtenus par la ville de San Francisco ont par ailleurs favorisé l’émergence d’une sensibilité écologique et d’un esprit de compétition dans la communauté « friscaine ». Bref, une nouvelle tendance est apparue : celle du zero waste dont assurément, Bea Johnson est devenue l’icône.
Pour dire les choses simplement, le zero waste c’est d’abord un mode de vie. Presque une philosophie en même temps qu’un rapport nouveau à la société de consommation. L’idée, c’est de se désencombrer du superflu, des objets inutiles, de réinterroger la question des « besoins »… Bref, de consommer moins mais mieux tout en prenant son temps et en se concentrant sur l’essentiel. C’est en quelque sort ce que Pierre Rabbhi, l’auteur de La part du colibri, appelle « la sobriété heureuse. »
En 2013, Béa Johnson a démocratisé le concept avec la publication de son ouvrage Zéro déchet. Dans ce dernier la Californienne d’origine française raconte comment le déménagement d’une maison à un appartement a littéralement changé sa vie… Et simplifié au sens strict comme au sens littéral, son quotidien.
À tel point que la production totale de déchets de sa petite famille en un an tient tout en entière dans un bocal de conservation alimentaire de taille moyenne.






Esclavage en Mauritanie




Alors que l’IRA indique que 20 % de la population mauritanienne est touchée par le phénomène de l’esclavage, Amnesty brandit un taux de 1 %, soit un nombre estimé à 43000 individus, composé essentiellement de harratines. Qui a raison entre les deux mouvements de défenses des droits humains ?
Ce qui est sûr, c’est que cette pratique existe bel et bien en Mauritanie à l’aube du 21ème siècle. La communauté internationale est à l’affût.
Beaucoup d’activistes de l’IRA dénoncent souvent le mutisme de certaines ONG et la complicité des Etats africains, qui, clament-ils, restent muets comme une carpe face à cette pratique, encore en vigueur dans certains coins et recoins du pays.



Aboli officiellement depuis 1981, criminalisé en 2007 puis renforcé par une loi en 2015, considérant cette pratique comme un crime contre l’humanité avec une peine de 20 ans, l’esclavage n’a pas pour autant disparu. Les autorités essayent tant bien que mal de contenir ce fléau.
Dans ce sens, une Journée nationale de lutte contre l’esclavage a été instituée, le 6 mars de chaque année pour contribuer à éradiquer ce phénomène. En attendant, la lutte contre l’esclavage avance à pas de tortue. Ainsi , en 2016 , sur 47 dossiers déposés pour des affaires d’esclavages devant la justice , seulement 2 personnes ont été condamnés , soit un taux de 4%.

Que de la poudre aux yeux ?
Les autorités mauritaniennes veulent, en plus de leur volonté à éradiquer l’esclavage, convaincre la communauté internationale qu’il n’y pas de discrimination contre les noirs du pays. Et que des efforts sont en train d’être faits. Hélas, les chiffres parlent d’eux même. Plus de 96% des postes ministériels sont occupés par une seule Communauté. Des 19 banques commerciales autorisées, aucune n’appartient à un negro-africain. Un des leaders de cette communauté, Sarr Ibrahima, président de l’AJDMR et ancien prisonnier politique du bagne de Oualata, a décliné récemment qu’à ce rythme il n’y aura plus de negro-africain dans l’administration d’ici cinq ans.
Le rapport élaboré par les Nations Unis sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, montre que la communauté noire continue d’être marginalisée dans les sphères de décisions et de l’armée. Selon le document, la communauté noire de Mauritanie ne représente que 10 % des officiers de l’armée nationale (7% harratines et 3% Afro-Mauritaniens) alors que les « beydanes » constituent les 90%.
En se basant sur les statistiques de 2014, « seuls 5 des 95 sièges à l’Assemblée Nationale étaient occupés par des Harratines et un seul sénateur sur 56 appartenait à ce groupe. De plus, 2 des 13 gouverneurs régionaux et 3 des 54 préfets départementaux sont Harratines ».
Des chiffres alarmants qui vont forcément faire croire que les noirs, notamment les harratines, ne sont pas bien intégrés dans la société mauritanienne, qui pourtant se glorifie de sa diversité.
Vrai ou faux, en tout cas une assise nationale s’impose pour faire le point sur cette situation, qui ternit l’image du pays …





Au Cameroun, 45% des décès des enfants de moins de 5 ans sont causés par la faim cachée



C’est pour tirer la sonnette d’alarme et trouver des mesures pour pallier le problème que le ministère de la Santé publique et l’entreprise agroalimentaire Nestlé Cameroun ont organisé le 16 octobre 2018 à Yaoundé un forum sur la nutrition.
Les travaux qui s’inscrivaient dans le sillage de la célébration de la journée mondiale de l’alimentation – qui a lieu tous les 16 octobre -, et qui a vu la participation d’éminents nutritionnistes et pédiatres avait pour thème: «La fortification alimentaire: enjeux et défis pour réduire la faim cachée d’ici 2035 au Cameroun».
La notion de faim cachée est encore ignorée des populations pourtant ses dégâts sont nombreux et bien présents chez les femmes, les enfants et les groupes déplacés. Il était question pour tous ces acteurs de combiner leur effort pour trouver les solutions au bien-être des familles camerounaises.
Cette notion soulève la notion de qualité de l’alimentation car certes les familles se nourrissent mais elles ne consomment pas tous les nutriments indispensables pour leur croissance et leur sante.
La faim cachée est une forme de malnutrition ayant un coût humain et économique exorbitant en termes de dépenses de santé et de perte de productivité sur la population. En effet la faim cachée touche plus de 2 milliards d’individus dans le monde.

Au Cameroun, plus de 68% des enfants de 0 à 5 ans souffrent d’anémie ferriprive et 39% des enfants de la même tranche d’âge souffrent de carence en vitamine A. Des données alarmantes pour Nestlé Cameroun qui partage les préoccupations du Cameroun face à ce sujet.
Les carences en micronutriments requièrent l’engagement de toutes les parties prenantes. Le secteur privé peut, et doit, faire partie de la solution. Mais il est utile que les professionnels de la santé, les organisations internationales, la société civile soient tous impliqués dans la recherche des solutions. C’est là la raison de cette rencontre pour débattre en profondeur afin d’identifier les écarts à combler pour lutter efficacement contre les carences en micronutriments.
Une initiative qui vient mettre sur la table la question de savoir si la fortification alimentaire se présente comme une option à prendre en considération. Pour le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda, «pour faire face à la faim cachée, il a été demande aux divers acteurs de la nutrition de fortifier les aliments. Il s’agit de la farine, les huiles végétales de cuisson, les laits et divers aliments de consommation quotidienne».
«L’enfant de 0 à 6 mois n’est pas concernée car il est censé être nourri au sein donc avoir tous les nutriments par sa maman. C’est l’alimentation de cette dernière qui doit être de qualité pour couvrir les besoins du petit», poursuit-il.
De nombreuses actions sont entreprises par les équipes du ministère de la Santé publique, à savoir les campagnes à domicile pour administrer des vitamines diverses et combler les carences diverses. Le Minsante fait son travail et s’associe à Nestlé aujourd’hui parce que cela cadre avec ses objectifs.
«Mais ce n’est pas tout car c’est une chaine et chacun doit jouer son rôle. La douane par exemple doit s’assurer que les populations ne reçoivent pas des produits de consommation de la contrebande, etc.», précise André Mama Fouda.
Depuis la création de Nestlé, il y a plus de 150 ans, a indiqué l’administrateur général de Nestlé Cameroun «la nutrition est au cœur de notre raison d’être, qui est d’améliorer la qualité de vie et contribuer à un avenir plus sain. Notre principale motivation est de permette à chaque individu et à chaque famille camerounaise de vivre une vie plus heureuse par une alimentation saine».
Malheureusement, a-t-il poursuivi, «la faim cachée, cette forme de malnutrition, continue aujourd’hui à avoir un coût humain et économique exorbitant en termes de dépenses de santé et de perte de productivité».

Repas figés dans la glace, en antarctique

Un repas par -65°C : les images incroyables du scientifique Cyprien Verseux en Antarctique - Carmen Possnig - ESA/PNRA/IPEV


Un repas par -65°C : les images incroyables
 du scientifique Cyprien Verseux en Antarctique 

Cyprien Verseux


L'astrobiologiste français Cyprien Verseux, en mission dans l'Antarctique, vient de publier sur Twitter d'étonnantes photos de ses repas figés dans la glace.
La vie par - 65°C n'est pas facile ! Ces images incroyables en sont la preuve. Travaillant actuellement à la base scientifique Concordia en Antarctique, le Français Cyprien Verseux vit dans un froid extrême.



Station franco italienne Concordia située
au coeur du continent Antarctique


Tentative (ratée) d'œufs brouillés à ConcordiaStation.


 Située à 3200 m d'altitude, la base est considérée comme la plus isolée au monde et les conditions climatiques y sont particulièrement éprouvantes. « Concordia est peut-être ce qui se rapproche le plus, sur Terre, d'une base sur Mars ou sur la Lune », a expliqué l'astro-biologiste, qui fait des recherches sur les micro-organismes capables de transformer les ressources naturelles présentes sur Mars en produits consommables par les êtres humaines.

Pour témoigner de son quotidien extraordinaire, Cyprien Verseux a dévoilé des photos saisissantes et drôles de ses repas de midi en ce début octobre. Le scientifique a tenté l'expérience de manger sur le toit de la base. Mais le bol de pâtes, les œufs au plat et le goûter au Nutella se sont aussitôt transformés en mets gelés. Les fourchettes et cuillères tiennent quant à elles seules dans les airs, suspendues en équilibre au dessus des plats. « Les températures sont remontées au-dessus des -70°C, mais il fait encore un peu frais pour manger dehors... », ironise le Français.


Les températures sont remontées au-dessus
des -70°C, mais il fait encore un peu frais
pour manger dehors.



Un petit déjeuner équilibré, sur le toit

 de ConcordiaStation



Grave accident ferroviaire entre Kénitra et Rabat

Un grave accident ferroviaire s’est produit ce matin vers 10 H 20 entre Rabat et Kenitra, au niveau du pont de Bouknadel, près de Salé. a fait sept morts. Le chef de train est décédé suite à l’accident, tandis que le conducteur et deux contrôleurs font partie des blessés.











Quelques destinations où le soleil est le plus fort

Lorsque l'hiver pointe le bout de son nez, une seule idée vous vient en tête, vous exiler sous le soleil exactement ! Mais mieux vaut vous méfier de ce bon vieil astre solaire qui répartit sa chaleur aléatoirement sur la Terre. Certaines parties du globe sont soumises à des températures quasiment infernales qui vous feraient rapidement regretter le mercure hivernal de ces derniers jours. Plusieurs critères entrent en jeu et certaines régions du monde, les déserts et les lieux peu ou pas peuplés par exemple, sont davantage soumis à ces conditions climatiques extrêmes. L'Organisation météorologique mondiale recense ces records de températures élevées et certaines de ces mesures font froid dans le dos !




  • Phalodi, la ville de tous les records
En 2016, l'Inde a connu une température extrême avec un mercure atteignant les 51 degrés ! Même si le pays est souvent confronté à des conditions climatiques infernales, la ville de Phalodi, située dans la région de Rajasthan, a battu cette année son propre record de 50,6 degrés obtenu en 1956. S'il n'est pas rare de voir les températures grimper considérablement aux mois de mai et juin en Inde, dépasser les 50 degrés reste un évènement météorologique de taille, vous en conviendrez !




  • Failaka, l'île brûlante
Au Koweït se trouve l'île sur laquelle a été recensée la température la plus élevée du pays. Il s'agit de la petite île de Failaka d'une superficie de 43 km2, qui a atteint en 2012 la température extrême de 51,8° ! Durant cette période de grande chaleur, le pays tout entier voyait le thermomètre décoller à certaines heures de la journée. Située à l'entrée de la baie de Koweït, la petite île de Failaka a tenu un rôle très important durant la Guerre du Golfe car d'importants dispositifs militaires y ont été installés (et les habitants ont été expulsés de leur terre !). Aujourd'hui, elle est très peu visitée et seulement quelques pêcheurs y habitent.

  • L'incandescent désert de Lout
Les déserts ont un net avantage dans cette course à la température la plus extrême. En Iran, le désert de Lout a enregistré une température à peine croyable en 2005 : 70,7° ! Il s'agit de l'un des déserts les plus chauds au monde avec des températures atteignant sans difficulté les 65°. Situé dans la province de Kermân, ce désert qui s'étend sur plusieurs centaines de kilomètres est classé au Patrimoine mondial de l'Unesco. La particularité de ce désert réside dans la présence de vents violents qui provoquent une gigantesque érosion éolienne, une oeuvre exceptionnelle de la nature !


  • Kébili, destination grand chaud
La Tunisie est l'une des destinations préférées des Français en manque de soleil et de chaleur. À Kébili, dans le sud du pays, ceux-ci ne risquent pas d'être déçus ! En juillet 1931, il a fait 55°, soit le record de chaleur de tout le continent africain. Une température qui a été frôlée à de nombreuses reprises entre 1920 et 1933. L'été est beau, l'été est chaud à Kébili, c'est une constante !



  • Athènes, capitale de la chaleur
Athènes est la plus grande ville de Grèce et attire chaque année des touristes du monde entier. Grâce à son architecture unique et chargée d'histoire, sa situation géographique privilégiée - les pieds dans l'eau - et son soleil généreux, la ville est une destination idéale pour des vacances farniente ! En effet, l'Europe n'a pas à rougir face aux chaleurs extrêmes recensées à travers le monde. En juillet 1977, la ville d'Athènes a atteint sans sourciller les 48°, la chaleur la plus élevée jamais enregistrée en Europe !



  • Caliente Rivadavia
Direction l'Argentine pour profiter de la chaleur de l'Amérique du Sud ! À Rivadavia, petite ville située au sud de Salta, on a pu relever en décembre 1905 une température de 49,6°. Située à plus de 527 mètres d'altitude, cette petite ville comptait un peu plus de 1 600 habitants en 2001. Depuis 1905, la température n'a jamais réitéré son exploit, bien que la région reste relativement chaude à certaines périodes de l'année - comme dans le reste du pays d'ailleurs !


  • Oodnadatta, point sec
L'Australie et ses kangourous affiche elle aussi ses records de chaleur. En janvier 1960, le pays a enregistré une température de 50,7° dans la petite ville atypique de Oodnadatta. Un panneau situé dans la ville annonce d'ailleurs la couleur : " La ville, l'État et le continent les plus secs de la planète. " Au moins vous ne pourrez pas dire que vous n'étiez pas prévenu ! Dans ce petit hameau de moins de 300 habitants, dont presque un tiers sont des aborigènes, on trouve une poste, une station-service, un magasin d'alimentation générale et un hôtel-restaurant, le tout concentré dans un seul et même établissement, The Pink Roadhouse, devenu aujourd'hui une attraction touristique.



  • Tirat Zvi souffle le chaud et le froid
En Asie également, certaines régions sont parfois soumises à des températures extrêmes ! À Tirat Zvi en Israël, le mercure est monté jusqu'à 53,7° en 1940 et ne descend que très rarement sous la barre des 40° en été. Sa situation géographique, sous le niveau de la mer, lui garantit également des températures très froides en hiver. Les habitants doivent s'adapter à ce grand écart de températures. Fondé en 1930, Tirat Zvi est le premier kibboutz religieux. Ses membres adaptaient alors leur travail en fonction de la météo, évitant les heures de chaleur extrême, et vivant au rythme de l'astre solaire.




  • Grosse chaleur en continu dans la Death Valley
Sans surprise, la Death Valley, située entre le Nevada et la Californie, est, depuis 2012, considérée comme l'endroit sur terre où le soleil chauffe le plus tout au long de la journée puisque la température moyenne journalière enregistrée est de 47°. Dans cette zone extrêmement aride, la température a atteint 56,7° en 1913. Le parc national de la " Vallée de la Mort" est situé à 85 mètres sous le niveau de la mer à Badwater et mesure plus de 13 600 km2 ! Situé dans le désert de Mojaves, il a été promu au rang de parc national en 1994, et est considéré comme l'un des endroits les plus secs de l'Amérique du Nord, où les températures estivales s'envolent ! Si vous désirez visiter la Vallée de la Mort, n'oubliez pas votre gourde !



  • El Azizia, le point le plus chaud ?

En 1922, le désert El Azizia, situé au nord de la Libye, à 55 km de la ville de Tripoli, a enregistré une température de 57,8° ! Un record qui ne sera finalement pas validé par l'Organisation météorologique mondiale étant donné les conditions et les instruments de mesure de l'époque. Des incohérences font douter de la véracité de cette montée du mercure. Cette région gardera malgré tout son titre durant près de 90 ans avant sa destitution.

30 innovations et inventions qui vont changer nos vies en 2018 !



Avoir accès à Internet partout dans le monde, rentrer dans sa maison ultra intelligente pour retrouver son compagnon robot, laisser sa voiture se garer seule, regarder un film avec son casque de réalité virtuelle…  
Innovation n°1 : les drones de loisirs, pour l’armée ou les entreprises

Delivery drone
Si on parle beaucoup des drones de loisir ou de l’armée, des géants pensent à s’en servir pour livrer leurs clients. En tête de gondole, bien entendu, Amazon qui expérimente la chose depuis quelques mois aux États-Unis et aux Pays-Bas notamment. Une véritable révolution qui demandera quand même encore un peu de temps à être mise en place. En effet les autorités sont extrêmement frileuses sur la question. Mais dans le cas d’une validation par les différents pays du monde, on est proche d’un bouleversement extraordinaire.

Innovation n°2 : Internet, accessible à tous


Google Loon
Internet partout, pour tout le monde, même dans les zones les plus reculées de la planète, c’est le rêve de Google avec les Google Loon. Il s’agit de ballons propulsés à la limite de la stratosphère et qui permettent la connexion à internet. Récemment, le Sri Lanka a annoncé qu’il devenait le premier pays à en bénéficier. Une avancée technologique immense qui pourrait permettre à certains états de rattraper leur retard économique et permettre une plus grande ouverture sur le monde.

Innovation n°3 : des villes de plus en plus intelligentes


limites villes intelligentes
Lentement mais sûrement nous avançons vers les “smartcities”, ou villes intelligentes. À New York, des ponts ont été équipés de capteurs afin de surveiller la santé des ponts et repérer d’éventuelles fissures ou des câbles endommagés. Du côté de Copenhague, ce sont les pistes cyclables qu’on équipe, avec des LEDs qui guidentles cyclistes afin de leur éviter de rencontrer un feu rouge.

Innovation n°4 : une autre façon de voir les choses avec les casques à réalité virtuelle et augment



Oculus-Rift, Hololens, Project Morpheus, retenez bien ces noms, car ils vont révolutionner le jeu vidéo, et pas que, dans les années à venir. Une immersion totale dans un monde virtuel, voilà la promesse de ces innovations. Si Hololens s’intéresse davantage à de la réalité augmentée, les exemples n’en sont pas moins impressionnants. Attendez d’avoir un casque sur la tête et vous comprendrez de quoi on parle. Une expérience à faire une fois dans sa vie !

Innovation n°5 : amener ses élèves visiter la Grande Muraille de Chine avec Cardboard




   
Moins cher que les casques VR et de réalité augmentée, Cardboard est un dispositif proposé par Google, afin de permettre aux professeurs de montrer à leurs classes la Grande Muraille de Chine comme s’ils y étaient ! Depuis une application tablette, l’enseignant est en mesure d’envoyer des panoramas 360° synchronisés au casque de chaque élève et dispenser son cours en s’aidant de ce qu’il est possible de voir. Une centaine de classes auraient déjà utilisé le dispositif, de quoi rendre les cours d’histoire géo passionnants !

Innovation n°6 : il n’y a pas que les Jedis qui utilisent les hologrammes !


Encore mieux que dans Star Wars
Vous vous souvenez des conseils Jedi dans Star Wars et des hologrammes super réalistes ? Même si on en est encore loin actuellement, les progrès faits dans le domaine sont impressionnants. Au Japon, une chanteuse virtuelle et représentée par un hologramme lors des concerts a fait des milliers d’adeptes. Encore une fois, outre le côté fun les débouchés d’une telle technologie sont nombreuses et devraient intéresser les industriels au moins autant que les particuliers.

Innovation n°7 : une nouvelle approche de la sexualité


Robot Sexe
Le sexe allait forcément être touché et les relations humaines ébranlées. Car oui, si les SMS remplacent les conversations au téléphone, les robots pourraient bientôt remplacer votre partenaire sexuel. Les innovations dans le domaine sont de plus en plus nombreuses. Entre la réalité virtuelle, les robots censés vous faire du bien ou encore les sex-toys connectés, inutile de préciser que la croissance de la population mondiale risque d’en prendre un coup.

Innovation n°8 : quand on a la technologie dans la peau avec les puces NFC


Implant party puce NFC
La technologie dans la peau. Sans doute avez-vous entendu parler des puces NFC. Nos “nous du futur” seront peut-être équipés de cette technologie qui pourrait nous permettre de devenir les maîtres des objets connectés. À la manière des héros de science-fiction, nous serons peut-être capables d’interagir sans contact avec les objets autour de nous. Ce concept vient tout droit de Suède où 400 employés un implant pour pouvoir entrer dans les locaux de leur entreprise, payer leurs repas ou encore faire des photocopies.

Innovation n°9 : l’arrivée des voitures autonomes

voiture autonome embrace
2020 est une date clé dans le domaine de l’automobile. Les grands constructeurs se sont fixé pour objectif de proposer leurs modèles de voitures autonomes. Plus aucun effort à fournir de la part du conducteur, il lui suffira de laisser faire la voiture. Aux États-Unis, une ville test a été construite, afin de tester les véhicules de demain dans un environnement sans danger pour l’homme.

Innovation n°10 : place aux robots, les nouveaux membres de la famille


robot buddy maison
Les robots vont prendre une place de plus en plus importante dans nos vies. Des hôtels s’équipent déjà de robots standardistes ou porteurs de bagages comme le Hen na Hotel, au Japon. Ces machines débarquent aussi au sein du foyer, comme Buddy ! Le petit compagnon de la maison réagit à la voix de ses possesseurs et fait également office de gardien de la maison. Commencez dès à présent à leur faire une place dans la famille !

Innovation n°11 : robots chirurgiens et super ordinateurs


ibm watson medecine
Du côté de la santé, les robots seront également présents, que ce soit pour assister les opérations et recoudre avec précision une plaie, ou pour le suivi des patients au sein de l’hôpital. Des superordinateurs plancheront également sur comment soigner les maladies, exactement comme le fait en ce moment Watson. L’invention d’IBM tente de venir à bout du cancer. Pour cela, Watson compare les données de chaque patient sur l’ensemble des cas déjà traités.

Innovation n°12 : des implants pour redonner la vue


Close-up of blue eye
Des solutions afin de permettre aux personnes aveugles ou malvoyantes de voir vont également se démocratiser. Deux implants (Alpha IMS et Argus II) ont été créés afin de venir en aide aux personnes atteintes de Dégénérescence Maculaire Liée à l’Âge et de Rétinite Pigmentaire.

Innovation n°13 : jamais sans nos exosquelettes


L'entreprise japonaise Honda va bientôt mettre en location ses exosquelettes
Les exosquelettes ont longtemps été un mythe de science-fiction, comme beaucoup des objets présents dans cette liste. Reste qu’en quelques années les progrès ont été tout simplement bluffants. Les premiers prototypes arrivent et excitent tous les technophiles. Dernière trouvaille en date, un petit robot contrôlé à distance directement depuis un exosquelette. Les fonctions restent pour l’instant assez limitées, mais on image déjà les possibilités dans les années à venir. L’industrie, mais aussi l’armée pourraient être très intéressées.

Innovation n°14 : la maison intelligente de la fiction à la réalité


maison connectée smart home
La maison se connecte toujours un peu plus. Depuis son smartphone, il est maintenant possible de contrôler son détecteur de fumée, thermostat, l’ouverture et la fermeture des portes… Et pour ceux qui souhaiteraient toujours garder un oeil sur leur foyer, des caméras comme la Nest Cam se connectent au téléphone de leur utilisateur, afin de leur permettre de voir la maison à tout moment. Des notifications peuvent être envoyées en cas de visite impromptue.

Innovation n°15 : smartphones plus autonomes et rapides à recharger


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Il n’est un secret pour personne que l’autonomie n’est pas une force de nos smartphones et autres objets connectés. Mais c’est peut-être bientôt terminé. Des chercheurs bossent d’arrache-pied pour proposer une meilleure autonomie ou du moins une vitesse de rechargement réduite au minimum. Certains prototypes seraient capables d’être rechargés en moins de 3 minutes. Autant dire que le calvaire est bientôt terminé !

Innovation n°16 : des trackers d’activité pour surveiller sa santé

bracelet connecte google noir
Les smartwatches arrivent sur le marché. D’une manière générale, ces montres intelligentes vont faciliter nos vies et regrouper à nos poignets toutes les applications nécessaires pour éviter de sortir nos smartphones. Elles trôneront près de nos trackers d’activités qui promettent de se perfectionner de plus en plus, et peut-être à terme d’être utilisés dans le domaine médical. C’est en tous cas le projet de Google, qui souhaiterait créer un bracelet exclusivement dédié à la santé en collectant les données nécessaires au suivi des patients.

Innovation n°17 : cuisiner oui, mais en 3D !


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L’impression 3D s’est démocratisée ces dernières années, mais si vous pensiez qu’on pouvait créer seulement de la matière plastique vous vous mettez le doigt dans l’oeil. En janvier dernier, une équipe d’ingénieur a commercialisé la première imprimante 3D alimentaire. En gros, vous intégrer des ingrédients, passez commande et en quelques minutes votre plat est préparé. C’est un petit peu déroutant, mais il y a fort à parier que dans 10 ou 20 ans ce sera une chose commune.

Innovation n°18 : place aux nanomatériaux


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Grâce à des machines semblables à des imprimantes 3D, la chercheuse à Caltech Julia Greer a réussi à modifier la structure moléculaire de certains matériaux et céramiques. Ces modifications ont permis de les rendre ultralégers et hyperrésistants. Cette technique pourrait permettre de concevoir de grandes quantités de ces matériaux, et tout ceci pour un prix très bas.

Innovation n°19 : anticiper les maladies en partageant tous les codes génétiques


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Anticiper, voire traiter des maladies dont l’origine serait la mutation génétique ?C’est en tout cas ce que souhaiterait faire un bio informaticien américain. David Haussler, directeur du Center for Biomolecular Science and Engineering à l’université de Californie, aimerait encourager les scientifiques à partager l’ensemble des codes génétiques déjà référencés, ainsi que ceux à venir. Le bio-informaticien et sa société ont lancé Beacon, un moteur de recherche dont la base de données contient l’ensemble des ADNs rendus publics.

Innovation n°20 : transformer des cellules de peau en neurones !


Cerveau
Cette technologie existe déjà, et a été mise au point par des chercheurs de l’Institut de Biotechnologie Moléculaire de Vienne, et de l’Université d’Édimbourg, en Écosse. Des cellules de peau prélevées sur des patients adultes peuvent ensuite être transformées en neurones, rendant ainsi possible l’étude des connexions entre les cellules du cerveau humain et de leur développement.

Innovation n°21 : presque plus besoin d’eau et de fertilisant ?


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L’année dernière, une équipe de généticiens philippins a réussi à faire en sorte que des plants de riz modifiés effectuent une photosynthèse beaucoup plus efficace. Une croissance plus rapide que la normale, qui n’a nécessité que peu d’eau et de fertilisant. Outre les plants de riz, cette modification est également applicable sur des plants de blés. Une telle solution pourrait bien aider à faire reculer la faim dans le monde.

Innovation n°22 : déceler les cancers avant les premiers symptômes


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Quelques gouttes de sang suffisent. C’est en tout cas ce dont à eu besoin Dennis Lo, professeur à l’Université de Hong Kong pour pouvoir être en mesure de déceler les cancers, avant même que les premiers symptômes ne fassent leur apparition. Après de longues années de recherche, le professeur a enfin touché son but grâce à quelques gouttes de sang, et en utilisant le séquençage de l’ADN.

Innovation n°23 : modifier son humeur grâce aux ondes


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Contrôler et faire changer son humeur grâce aux ondes. Le casque Thync se connecte au smartphone de son utilisateur, afin que celui-ci puisse décider de l’intensité des ondes que va produire le casque et qui vont arriver au cerveau. Le dispositif est pour l’instant destiné à être utilisé par des personnes ayant subi un traumatisme crânien engendrant une perte de la mémoire.

Innovation n°24 : des chaussures qui grandissent en même temps que leur propriétaire


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Permettre aux enfants des zones les plus pauvres du monde de posséder une paire de chaussures durable. C’est le projet de Kenton Lee, qui a conçu des sandales dont la taille s’ajuste au fur et à mesure de la croissance d’un enfant. Le modèle peut grandir de cinq tailles en cinq ans, grâce à un système de crans à l’avant et sur les côtés, évitant ainsi aux jeunes de marcher pieds nus.

Innovation n°25 : Transports intelligents et plus rapides


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En Asie, 2018 devrait être l’année du l’Hyperloop, un projet initié par Elon Musk. Ce train ultrarapide qui ferait l’équivalent de Paris-Marseille en 35 minutes, avec une vitesse de 1200km/h. En Europe, et notamment en France, à Lyon plus précisément, on se concentre davantage sur l’amélioration des bus. Non pas pour les rendre plus rapides, mais plus intelligents, au moyen de capteurs capables d’analyser la qualité de l’air.

Innovation n°26 : vers une baisse de la criminalité avec Knightscope k5 ?


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On ne fera sans doute pas les malins devant le robot policier. Si comme ça Knightscope K5 a l’air tout à fait inoffensif, limite mignon, il n’est pas là pour faire joli. Le robot a pour mission de surveiller ce qu’il se passe autour de lui en analysant des informations sur son environnement. En cas de souci, il se charge de prévenir les autorités. Il est équipé de matériel de pointe, par exemple des caméras capables de filmer tout ce qu’il se passe à 360°. Si pour le moment il ne surveille que le campus de Microsoft situé en Californie, attendez-vous à le voir débarquer un jour dans les rues !

Innovation n°27 : quand les vêtements se connectent aussi



Recharger son téléphone, transmettre des émotions à une personne qui n’est pas avec nous, protéger du froid… Le tissu qui nous maintient au chaud, et à l’abri d’une atteinte à la bienséance, n’est plus uniquement une matière sans vie. Les vêtements connectés sont capables de récolter un grand nombre de données, comme la combinaison de sport Tracky, capable de déterminer le rythme cardiaque, la température corporelle, les calories brûlées… de son utilisateur ! Les habits peuvent également protéger nos informations, en empêchant le vol de données. c’est le cas des vêtements proposés par Norton, capables de bloquer les ondes.

Innovation n°28 : de l’eau potable pour tout le monde


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Encore une invention qui pourrait résoudre un grand problème dans le monde : l’accès à l’eau potable. Grâce au filtre personnel LifeStraw, il est possible de changer de l’eau souillée en eau potable, le tout sans utiliser de produits chimiques. Il suffit de placer le tube dans l’eau non traitée et d’aspirer. Un filtre de carbone et d’iode va se charger de la rendre buvable.

Innovation n°29 : des vitres intelligentes dans les maisons

Les vitres du futur seront connectées. Le but, laisser passer la chaleur ou non pour faire des économies d’énergies. Tout ça est rendu possible par un film transparent invisible à l’oeil nu qui s’opacifie en fonction de la lumière extérieure. Une vraie petite perle qui devrait faire plaisir à tous ceux qui dépensent beaucoup dans l’énergie de leur habitation.

Innovation n°30 : respirer sous l’eau grâce à un cristal !


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Harry Potter ne sera plus le seul à se targuer de pouvoir respirer sous l’eau après avoir mangé un drôle de truc. Si bien entendu la Branchiflore n’existe pas, des chercheurs danois ont réussi à mettre au point un matériau cristallin carrément incroyable puisqu’il permet de capter l’oxygène du milieu dans lequel on se trouve et de le stocker en grande quantité. En plus de stocker trois fois plus d’oxygène qu’une bouteille contenant de l’air comprimé, le matériau peut également en dispenser, à condition de le placer dans le vide ou de lui apporter un peu d’énergie par chauffage.