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Sommet du G7 de 2019


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Le sommet du G7 2019 a lieu du 24 au 26 août 2019, en France à Biarritz (région Nouvelle-Aquitaine). Il réunit les participants permanents du sommet du G7 2018 (Canada), les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, la France, l'Allemagne, l'Italie et le Japon.


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 Le FMI, l'ONU et l'OCDE sont également représentés. La Russie n'est pas présente, en raison de son exclusion du G7 depuis la crise de Crimée de 2014, exclusion devenue définitive en 2017.

Au total, 13 200 policiers et gendarmes ont été mobilisés pour assurer la sécurité du sommet. En mer, sur la plage, au centre-ville, ils sont partout, tandis que les habitants et touristes désertent. Tout cela a un prix, près de 36 millions d'euros. Le tout est payé par l'État, en tout cas pour les frais de logistique et de sécurité. Mais pour le reste, impossible de chiffrer le manque à gagner pour les commerçants en pleine saison estivale. 





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Quelques inventions récentes

Le monde évolue constamment. Ces dernières inventions rendront notre planète plus propre, plus sûre et plus conviviale. 
  • Rue de panneaux solaires. 


Nous ne parlons pas de toits solaires, mais bien de rues faites de panneaux solaires. Recouvertes d'une résine à base de silicone pouvant supporter le poids de grands véhicules, elles génèrent suffisamment d'électricité pour alimenter les réverbères. Elles ne sont probablement pas encore très efficaces pour le moment, mais ce n'est qu'un début.
  • Nettoyage de l'océan.

Cet appareil est composé de barrières et de plates-formes flottantes, et a été conçu pour récupérer les débris de plastique flottant sur l'océan. Il utilise le principe de la passivité : au lieu de chercher les ordures dans toute la mer, il profite des courants océaniques et des vents déplaçant les déchets naturellement. On a estimé que cet appareil pourrait extraire 42% des déchets du Pacifique Nord en cinq ans, rendant les océans plus propres et plus sûrs.
  • Pneus sphériques.

"Il n'est pas nécessaire de réinventer la roue" disait-on. "Nous venons de le faire" a répondu Goodyear, en inventant un pneu sphérique permettant aux voitures de se déplacer dans de nombreuses directions, même latérales, afin de pouvoir entrer et sortir d'une place de stationnement, le tout à des vitesses et des angles différents.
  • Bras bioniques Disney.



L'imprimante 3D est une invention importante, mais ce que ces deux entreprises font est vraiment admirable. La société Walt Disney à généreusement offert des licences libres de droits à Open Bionics, une entreprise qui imprime des bras prothétiques en trois dimensions pour enfants, selon différents designs.
  • Camion de sécurité.

Cette idée semble si simple qu'on se demande bien pourquoi personne n'y a pensé avant. Une caméra située à l'avant du camion retransmet en direct des images à quatre écrans situés sur les portes arrières, ce qui donne aux conducteurs qui suivent le camion une vision claire de ce qui les attend. Cette fonctionnalité est très utile dans de nombreux pays aux routes sinueuses et étroites.
  • Jardin vertical.

Ce n'est pas seulement de la décoration ou une source d'oxygène. À l'extérieur, ces murs végétaux filtrent les métaux lourds, les gaz nocifs et retiennent la poussière. À l'intérieur, ils peuvent être utilisés comme de véritables fermes pour cultiver des herbes aromatiques ou des légumes.
  • Pacemaker.

Ce petit appareil médical est capable de maintenir une fréquence cardiaque adéquate là où un pacemaker ne fonctionne pas correctement. Les derniers modèles ayant la taille et la forme d'une petite pilule peuvent être insérés à travers un cathéter dans la jambe, évitant au patient une chirurgie invasive.
  • Bonus

Plus besoin de s'accroupir dans des toilettes publiques malsaines ! Cet objet est fait en silicone de qualité médicale, et permet aux filles d'uriner debout. Propre, discret et hygiénique. Voici à quoi ressemble la victoire féministe aujourd'hui !

La forêt amazonienne en feu


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Depuis le début du mois de juillet, la forêt amazonienne est frappée par de violents incendies. Ces feux, qui ont empiré ces derniers jours, menacent de façon dramatique le "poumon de la planète", notamment au Brésil, pays qui possède 60% de sa surface. Il n'est pas encore possible d'évaluer pour l'heure l'étendue des dégâts
Ces dernières 24 heures, des centaines de feux étaient toujours actifs au cœur de la forêt amazonienne. Un désastre environnemental qui inquiète de plus en plus la communauté internationale.
La forêt amazonienne continue de brûler, sous le regard de plus en plus inquiet de la communauté internationale. Selon l'Institut national de recherche spatiale (INPE), environ 2 500 nouveaux départs de feu ont eu lieu en l'espace de 48 heures dans l'ensemble du Brésil.
Pour tenter de mesurer l'ampleur du phénomène, on a consulté les données satellites de la Nasa, qui surveille les incendies en cours à travers le monde en analysant les émissions infrarouges des feux. Sur notre carte ci-dessous, on s'aperçoit que des milliers de feux étaient toujours actifs (en orange) sur le continent sud-américain ces 24 dernières heures, particulièrement autour de la plus grande forêt du monde.


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La Bolivie et le Paraguay eux aussi en proie aux feux
Le Brésil n'est pas le seul concerné par les incendies, comme le montre notre carte. La Bolivie et le Paraguay sont eux aussi confrontés à d'importants feux de forêt, poussant les deux pays à s'unir pour combattre les flammes qui ont déjà causé des dommages "irréversibles" à la flore et la faune, selon les défenseurs de l'environnement.
Distincts des principaux feux qui affectent actuellement l'Amazonie brésilienne, ces incendies se situent plus au sud et sont provoqués par la pratique des cultures par brûlis, utilisée par les paysans qui affirment que cela améliore la qualité des sols pour les semailles.
Parmi les zones les plus touchées figure le "Bosque seco Chiquitano", une aire de biodiversité endémique, où se trouve la Réserve naturelle de Tucavaca. Dans la zone, les incendies ont provoqués des dommages sur plus de 500 espèces animales, selon plusieurs organisations écologistes citées par l'AFP.





L'Amazonie, "une crise internationale"
Mais depuis jeudi, c'est surtout la situation en Amazonie, souvent qualifié de "poumon du monde", qui inquiète. Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres s'est dit "profondément préoccupé" par les incendies sur place, rapidement suivi du président français Emmanuel Macron, qui dénonce "une crise internationale" dont "il faut parler d'urgence".
Ce vendredi matin, le porte-parole d'Angela Merkel a également déclaré que la chancelière soutenait "complètement le président français", affirmant que le sujet "doit figurer sur l'agenda des pays du G7 quand ils se réuniront ce week-end" à Biarritz.
Des déclarations qui ont eu le ton d'agacer Jair Bolsonaro qui a notamment dénoncé une "mentalité colonialiste" du président français. Le président brésilien a accusé son homologue "d'instrumentaliser une question intérieure au Brésil et aux autres pays amazoniens" avec "un ton sensationnaliste qui ne contribue en rien à régler le problème".


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L’origine des noms de quelques sites et villes côtières de l’Afrique du Nord

Dans une autre ère, le Maroc, l’Algérie et la Tunisie actuels constituaient une entité unie de sites historiques, ce qui dénote d’un passé politique commun qui remonte jusqu’aux Phéniciens (Xe siècle av. J.-C. – Ve siècle). 


Les écrits historiques sur le passé lointain de l’Afrique du Nord montrent que des populations de différentes origines, comme les Amazighs, se sont installées depuis longtemps dans la région. Ces groupes ont posé les jalons d’une construction politique, sociale et culturelle particulière, suscitant jusqu’à aujourd’hui l’intérêt et la curiosité d’historiens, de chercheurs et de spécialistes.
Cette genèse des entités politiques dans l’Afrique du Nord fut principalement marquée par le royaume libyen numidien, l’empire carthaginois et les royautés berbères. Par ailleurs, la région a vécu sous l’influence de l’empire grec et romain, entre autres, avant de connaître l’intervention d’armées arabes. C’est pourquoi, plusieurs noms de villes sont aujourd’hui inspirés de termes rappelant ces époques.
Dans ce sens, «L’économie et la société dans l’ancienne Afrique du Nord», du chercheur algérien Akoun Mohamed Elaraby, souligne que «les villes nord-africaines étaient les points centraux de la civilisation prédominante, qui était souvent celle de la colonisation ; de ce fait, les considérations tribales dans ces villes se sont fondues dans cette civilisation».

Des appellations à consonnance phénicienne
Dans le deuxième volume de son ouvrage «Histoire de l’ancienne Afrique du Nord», l’archéologue et historien français Stéphane Gsell donne plusieurs exemples de ces noms de villes et de sites au Maroc ayant diverses origines. En deuxième partie de son livre, il écrit ainsi : «L’on remarque une prédominance des appellations d’origine phénicienne sur les côtes nord-africaines dans les premiers siècles après Jésus-Christ. Ces noms ont probablement été donnés à des villes et à des espaces commerciaux fondés par les Phéniciens orientaux et les Carthaginois. Ils ont par ailleurs su conserver les nominations libyennes d’autres sites qu’ils ont contrôlés. Les Africains locaux ont également désigné ces endroits par des termes étrangers à leur langue maternelle. Beaucoup parmi eux ont été influencés par la civilisation punique. Pourtant, certaines villes n’ont connu l’usage officiel de la langue phénicienne qu’après la chute de Carthage. En effet, les pièces de monnaie locales ne sont pas à elles seules une preuve du long passé phénicien de ces cités.»

Rusadir oui Melilla

Ainsi, selon Gsell, l’ancienne appellation de Melilla est Rusaddir, un nom d’origine phénicienne signifiant «le Cap fort» ou «majestueux», de par la forme péninsulaire de cette ville voisine à Nador. Aussi trouve-t-on cette ancienne appellation inscrite en lettres puniques sur les pièces de monnaie produites là-bas après la chute de l’empire carthaginois. La rivière connue aujourd’hui comme l’Oued de Martil a quant à elle été baptisée l’Oued de Tamuda. 

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Oued de Tamuda ou Oued de Martil

Un nom inspiré du terme local «Tamdat», retrouvé également en lettres puniques dans les pièces de monnaie de la région. Sur les côtes de M’diq, des plaines de Ceuta à Cap Spartel, le Mont Acho s’étend par ailleurs jusqu’à la péninsule. Appelé Apilux, il est désigné comme étant un fief naturel de singes.
L’entrée est de M’diq, elle, laisse voir en demi-cercle la citadelle tangéroise. Dite autrefois Tingis, la vieille ville était nommée également Titga et Tinga sur des pièces de monnaie puniques. Cela dit, rien ne prouve que Tingi ait connu une réelle occupation phénicienne. D’ailleurs, son appellation ne tient probablement pas sa source du langage phénicien, d’autant plus que certains récits évoquent sa création par le roi tribal Antée.

Une influence étendue jusqu’au sud
Quant à Cap Spartel, réputé pour sa grotte d’Hercule, il a été baptisé Ampeloussia chez les Grecs et Cotès en Afrique. Quant à la population de Zili, actuellement dite Assila, elle a utilisé des pièces de monnaie portant des inscriptions puniques. Plus loin, sur Oued Loukos, appelé également Lexus, se situerait actuellement Larach selon les historiens. Les pièces utilisées là-bas porteraient également des inscriptions en lettres puniques modernes, avec les expressions Shemesh et Maqom Shemesh. En effet, Lexus a été décrite comme «la cité du soleil», probablement pour les fortes croyances de sa population locale Malqart, un dieu du soleil.
Plusieurs écrivains indiquent également la présence d’une péninsule golfique sur les côtes atlantiques, appelée Cotès par le Pseudo-Scylax. Elle s’étendrait jusqu’aux hauteurs d’Hermès et sud-est de l’embouchure du Bouregreg. Dans ce sens, un ancien ouvrage romain évoque la ville de Salé, dont le nom a une consonnance phénicienne et où des pièces de monnaie aux lettres puniques modernes ont été frappées. Elle aurait été située à Chella, sur les hauteurs ouest de Rabat, où les bateaux jetaient l’ancre dans une rivière qui portait le nom de la ville : Sala ou Salat.
A 331 km de Lexus, entre la rivière de Salat et les hauteurs de Solis (Promunturium Solis), dites Cap Cantin, se trouve finalement Mazagan (El Jadida), appelée également Rospesis. Cap Cantin, lui, était appelé Soloeis chez les Phéniciens et aurait accueilli un mausolée honorant l’un des dieux de la mer. Plus au sud, Essaouira s’étend sur une île appelée autrefois Junon, ou encore Astarti. Agadir a quant à elle conservé son nom d’origine punique jusqu’à nos jours.
Du côté des terres, entre l’Oued Tansift (Puth) et le Grand Atlas (Cap Gir) se trouve un site baptisé Oussadion Acron qui correspond à Cap Sim. Tels sont quelques exemples de sites énumérés par Stéphane Gsell sur la base de données conservées depuis l’époque. Cet historique témoigne des influences civilisationnelles antéislamiques, qui ne s’illustrent pas uniquement par les appellations puniques de ces villes. L’influence phénicienne dans la région ne se ressent pas uniquement en Afrique du Nord, mais dans tout le bassin sud et est-méditerranéen, notamment l’Espagne qui en est encore marquée.

Hongkong: Pékin finira-t-il par intervenir?




Depuis deux mois, des manifestations prodémocratiques se déroulent à Hongkong, ancienne colonie britannique revenue en 1997 dans le giron de la Chine, avec néanmoins un «haut degré d’autonomie» garanti par l’accord de rétrocession. Le mouvement, lancé en réaction à une nouvelle loi sur l’extradition vers la Chine, s’est depuis élargi, avec plusieurs revendications, notamment pour des élections libres. Cette exigence d’une réforme de la loi électorale inquiète les autorités chinoises qui ont déclaré sur un ton martial que «ceux qui jouent avec le feu périront avec le feu». Une intervention militaire chinoise changerait radicalement la donne, raison pour laquelle les manifestants se gardent prudemment de faire toute référence à une indépendance d’Hongkong, ce qui représenterait une ligne rouge pour Pékin.  

Pour la Chine, le séparatisme est une véritable ligne rouge

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Pékin a publié son nouveau Livre blanc sur la défense dans lequel il réaffirme la nécessité de lutter contre le séparatisme. Taïwan, Hongkong, Xinjiang, Tibet… Pour le Parti communiste chinois, le principe d’unité de la Chine est indépassable.
La Chine a publié la semaine dernière son dixième Livre blanc sur la défense, qui met particulièrement l’accent sur la lutte contre le séparatisme. Que peut-on en retenir?
Ce Livre blanc peut se résumer par deux termes: une mise en scène et une mise en garde. Il y a d’abord une mise en scène qui vise à rassurer la communauté internationale en insistant sur un certain niveau de transparence, sur des dépenses militaires par habitant plus faibles qu’aux États-Unis ou en Russie, ou encore sur les différentes coopérations de défense avec le reste du monde. Mais, dans le même temps, Pékin émet une mise en garde très claire au sujet du séparatisme, une véritable ligne rouge.





L'histoire de KÉNITRA

Kenitra fut utilisé à partir du printemps 1912 comme lieu de débarquement des approvisionnements du corps expéditionnaire, accroché par la résistance marocaine jusqu’en…1934 (Chaouia-Zaïen-Rif etc)
- La presse publia en 1934 dans ses colonnes l’information suivante :
« A la mort du Maréchal Lyautey, les habitants (Européens) de Kenitra, réunis dans un sentiment ému de reconnaissance, firent d’un accord unanime, une pétition destinée à demander au Gouvernement de vouloir bien changer le nom de Kenitra en Port Lyautey en hommage posthume à l’illustre créateur de leur ville. »
Ce n’est donc qu’en 1934, que le nom de la ville de Kenitra à été remplacé par celui de Port Lyautey. Les organisateurs de cette manifestation du centenaire devraient en principe attendre 2034!
- Dans la foulée, un comité « Franco-Marocain » du Souvenir au Maréchal Lyautey à été crée en 1934, son comité d’exécution comprenait soixante quatre membres dont … deux Marocains.
Ce comité avait pour objectif d’édifier une statue équestre pour le Maréchal.
Paul Guillemet Vice président de la Commission Municipale de Casablanca avait écrit :
« Les fonds recueillis par le Comité et dont pas un centime n’est distrait de ces buts, émanent des souscriptions publiques… Certes, nous nous réjouissons de souscriptions importantes, mais nous sommes émus des offrandes de modestes paysans moghrébins ( !) Quel pathétique dans ce noble geste d’une vieille femme des Zemmour, couverte de haillons ( !) :
« Je ne puis, dit-elle, porter ma pierre à la tombe de ce chef qui sut faire respecter nos coutumes, mais je viens de vendre deux œufs au marché, leur prix est toute ma fortune, la voici pour assurer à ce chrétien une sépulture décente »
Mr Guillemet ne manque pas d’humour ! Il a raté sa vocation de scénariste de bandes dessinées.




Les principales artères de la ville de Kenitra portaient les noms suivants :
- Albert 1er, la Somme, Champagne, le Mousquet, La Victoire…, Fort de Vaux, l’Yser-d’Arras, Cathédrale de Reims, République, Maquet de Terline, Capitaine Petitjean, Colonel Mouret, Capitaine Godart, Général Gouraud, Lieutenant Brazillac, Maréchal Joffre, Commandant Cros etc.
- Les statistiques de la population de Kenitra en 1938 :
Total général de la population 17.601 
Dont 4.617 Français, 617 Espagnols, 239 Italiens et 211 Autres nationalités.
Marocains 11.917
- Parmi les éléments significatifs d’appréciation de l’ « ambiance » qui régnait dans la ville de Port Lyautey il y avait 372 lignes téléphoniques dont 14 aux noms de Marocains de la Médina.
En termes d’éléments chiffrés, 60% de la population possède 4% des moyens de communications ! 
Un chercheur français écrit dans sa thèse sur l’histoire de Port Lyautey avec amertume :
« Dans la nomenclature des rues, aucun nom français n’a été gardé. Mais la rue Georges V est devenue la rue de la Reine Elisabeth ; l’avenue se Roosevelt est inchangée ; il existe une rue J. F. Kennedy et une rue Ghandi. Lyautey n’a laissé son nom à aucun quai du port, à aucune place, à aucune rue ni à aucun jardin de Kénitra. »

Le chemin le plus dangereux du monde

Le chemin du Roi est un chemin à flan de falaise, dans les Gorges d'El Chorro près de Alora (parc naturel de Los Ardales près de Malaga) dans le sud de l'Espagne. Ce Caminito del Rey (ou appelé plus courtement Camino del Rey), construit en 1901 par une société hydroélectrique pour les besoins de la construction d'un barrage fait à peine 1 mètre de large et surplombe le vide de plusieurs centaines de mètres par endroit. Le camino est tombé dans l'oubli depuis ce temps et tombe en lambeaux. Il est cependant devenu le lieu des adeptes du vertige, mais à leur risques et périls. 4 personnes y sont décédées en 1999 et 2000.



La beauté des femmes marocaines du temps jadis

À croire certains articles de la presse marocaine, les femmes marocaines sont les plus belles femmes au Monde.
On pense souvent que la beauté est une notion qui a bel et bien évolué à travers les siècles. Avant, on préférait la femme ronde dont les mains et les pieds étaient décorées au henné ou au visage tatoué. Aujourd’hui, c’est une autre histoire. Les critères de beauté de la femme chez les Marocains ont changé. Il faut que la femme soit mince, classe, féminine, douce et dans une moindre mesure qu’elle ait un beau sourire et de belles dents. Bref, la liste peut s’allonger encore… :-)
En regardant ces images, vous verrez que les choses n’ont pas changé autant que cela… Et, vous allez sûrement regretter la beauté de ces femmes marocainesd’autrefois car elles ont de l’allure !
Quoiqu’il en soit, la beauté qu’elle soit relatif ou pas, une chose est sûre : nous avons trouvé 34 photographies de femmes marocaines d’antan… Des berbères, des fassis et des rifaines qui sont belles et qui ont surtout du charme à revendre.
  • Des jeunes femmes de Tanger en costume de cérémonie en 1980
  • Une jeune beauté berbère

Photographie prise en 19
  • Une Femme du Rif en 1880

  • Une juive marocaine qui porte lkeswa lkbira

  • Une autre femme parée, cette fois-ci elle porte un fekroun
La jeune femme porte des bijoux de fête en harmonie avec le beau caftan en soie à rayures, très en vogue dans les années 1920. Sur le front, un médaillon dit tabâh retenu par un simple cordon en soie tressée, et aux oreilles, une paire de boucles dites dawah en or et pierres précieuses.
La ceinture est garnie d’une boucle appelée fekroun. Le fekroun est cette boucle de ceinture portée dans plusieurs régions du Maroc. Elle doit son nom (tortue) à sa forme de carapace arrondie et est sensée porter bonheur, tout en préservant du mauvais œil.

  • Une femme de la montagne
L’archétype de la rifaine, telle qu’on peut en croiser encore aujourd’hui: large chapeau à pompons et serviette rayée autour de la taille. Mère courage aux pieds nus, mais au regard d’acier, exaltant la fierté et la détermination des montagnards du Rif.


  • Une danseuse des Aït Oussa
  • Voici des Jeunes femmes des Ida ou Zekri aux visages tatoués

Elles portent les boucles d’oreilles, tikhorsin, passées dans le lobe de l’oreille mais également soutenues par une attache au bandeau de tête. Le collier tour de cou est fait d’une enfilade de grosses bagues. Elles ont sur la tête la toukaït sur laquelle repose soit la taounza, le diadème, soit une volumineuse couronne obtenue par une quantité de laines vivement colorées.
Photographe : Besancenot Jean (1902-1992)
Date de prise de vue entre 1934 et 1939
Centre Anti-Atlas - Igherm. | Morocco, ca 1934 - 39 | ©Jean Besancenot

  • Portrait d’une femme fassi en 1925

  • Une Jeune femme de Tafraout en costume et bijoux traditionnels
  • Jeune femme de Chefchaouen.
  • Voici une musicienne marocaine qui a du charme. Une Musicienne marocaine en 1960

  • Femme des années 70 au regard perçant ! Moins loin dans le temps, une Casablancaise en 1980

  • Une marocaine citadine de Fès
  • Une jeune femme du sud marocain Tinjad
  • Une marocaine berbère de la région de Taza en janvier 1916

  • Une juive marocaine
  • Une femme marocaine se maquillant en 1936
  • Une jeune femme mauresque selon les critères de l’époque
  • Une muscienne de Tiznit
  • Des femmes marocaines de 1920
  • Une mariée de Tanger
  • Des femmes de casablanca des années 1920
  • Une jeune fille berbère

  • Une femme berbère

  • Une berbère du Moyen Atlas

  • Une femme du Tafilalt

  • Portrait d’une femme berbère

  • Une jeune femme de la région d'Ouarzazate

  • Une jeune femme berbère

  • Une femme berbère d’Ait Haddidou

  • Portrait d’une femme berbère

  • Une jeune femme du pays ZAÏAN à Ifrane