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Le nom du Canada est à l’origine d’un malentendu !

Le Canada a été nommé ainsi accidentellement, en effet, certains autochtones Iroquois ont tenté d’indiquer à l’explorateur Jacques Cartier un petit village qui était situé dans l’actuelle ville de Québec. Le nom de ce village était Kanata.


Jacques Cartier Navigateur malouin, premier explorateur du golfe ...

Cependant, l’explorateur n’a pas bien retenu ce mot et s’est trompé dans sa prononciation, il a en fait utilisé une consonance similaire qui n’est autre que Canada non seulement pour désigner le village mais aussi pour tout le territoire qu’il a exploré en 1535.

Quels sont les animaux qui vivent en Antarctique ?

L'antarctique héberge des centaines d'espèces animales. En voici les animaux les plus représentatifs.
  • Le manchot empereur :
L'oiseau endémique de l'Antarctique, le manchot empereur est le plus grand et le plus lourd de tous les manchots !
Le plumage du mâle et de la femelle sont très ressemblants, ils sont environ de la même taille (122 cm de hauteur) pour un poids qui peut varier de 20 à 40 kg. On les reconnait grâce à leur dos noirs et leur ventre de couleur blanche, le haut de leur poitrine est généralement jaune. On remarque aussi qu'ils ont deux marques jaunes vifs situées à la hauteur de ses oreilles. Le manchot empereur est parfaitement adapté pour la vie aquatique, en effet ses ailes sont bien plus des nageoires que des ailes car elles ne lui permettent pas de voler. C'est un sacré nageur capable de rester 18 minutes sous l'eau, il est aussi capable de plonger à une profondeur de 535 mètres !
Le manchot empereur est la seule espèce de manchot qui se reproduit durant l'hiver de antarctique, durant cette période, il réalise un périple de 50 à 120 km sur la glace ! Les manchots se regroupent en colonie de plusieurs milliers d'individus, les femelles pondent un seul et unique œuf qui sera couvert par le mâle pendant que la femelle est à la recherche de nourriture. Une fois qu'elle sera revenue, les parents iront chercher de la nourriture en mer à tour de rôle.
Les manchots empereurs ont en général une espérance de vie d'une vingtaine d'années, même si certains experts pensent que certains individus peuvent atteindre l'âge de 50 ans.


  • Le manchot adélie :
Le manchot Adélie ou Pygoscelis adeliae est une espèce sud-américaine de manchot que l'on retrouve au pôle sud.
C'est un manchot très reconnaissable grâce à son dos noir, son ventre blanc et ses plumes de la queue saillantes, ce qui lui a valu le magnifique surnom de "manchot à longue queue". Sa tête est très significative, elle est de couleur noire et ne se distinguent que son bec, plus marron, et ses yeux, dont la pupille est noire. Ce manchot doit son nom au fait que les premiers naturalistes qui les ont découverts l'ont fait sur la terre Adélie. Le manchot Adélie mesure environ entre 60 et 70 cm pour un poids maximum de 7 kg, pour les mâles, et un poids maximum de 6,5 kg pour les femelles.
En fonction de la latitude ainsi que de l'extension des glaces, le temps de la formation des colonies varie, au niveau des basses latitudes, la reproduction peut commencer vers fin septembre alors que dans les latitudes plus grandes, elle ne commencera que mi octobre. Les manchots Adélie se reproduisent durant environ 125 jours. Les manchots qui arrivent trop tard, c'est à dire vers le mi novembre, ne se reproduiront pas. Les mâles peuvent commencer à se reproduire dès qu'ils sont âgés entre 4 et 8 ans, quant aux femelles, elles peuvent commencer à se reproduire dès qu'elles ont atteint un âge situé entre 3 et 7 ans. Ils construisent leur nids avec des galets afin d'éviter que les œufs ne soient au contact de l'eau.


  • Le manchot papou
Le machot papou ou Pygoscelis papua est un magnifique manchot au ventre blanc qui illumine le reste de son corps de couleur noire, des petites rayures blanches apparaissent sur ses ailes et une petite tache blanche fait office de couronne, son bec, plus orange, vient compléter cette merveille de la nature. C'est un oiseau originaire des îles Malouines et de l'antarctique. Il mesure entre 76 et 81 cm pour un poids oscillant entre 4,5 et 8,5 kg. Il est caractérisé par son incroyable rapidité sous l'eau, en effet, avec ses 35 km/h, c'est le plus rapide des manchots sous l'eau !
C'est une espèce monogame, les couples formés restent ensemble durant toute la durée de la saison de reproduction. Certains spécimens peuvent être amenés à changer de partenaire d'une année sur l'autre, alors que d'autres se retrouvent, inlassablement, tous les ans. Leur saison des amours s'étend de décembre à mars.


  • Le cormoran :
Le Cormoran que l'on retrouve en Antarctique arbore un magnifique plumage orné de noir et blanc, nous avons là un oiseau expert en plongé sous-marine, en effet, il est capable d'atteindre des profondeurs de plus de 40 mètres ! C'est un oiseau aussi bien à l'aise dans les airs que dans les fonds marins
Lorsqu'il est en période de reproduction il s'établit sur le continent austral ainsi que dans l'archipel de Kerguelen, Crozet, Macquarie ou en Géorgie du Sud.
Il n'est pas rare de voir des cormorans apprivoisés et élevés pour la pêche !

 
  • L'albatros à sourcils noirs :
L'Albatros à sourcils noirs ou Thalassarche melanophris est un vaste oiseau des mers qui suit, indolent compagnon de voyage, le navire sur les gouffres amers. L'air d'être beau, Baudelaire avec ses écrits a marqué notre inconscient car être en capacité de pouvoir réciter après des dizaines d'années ce poème est une réussite.
Cet oiseau des mers est malheureusement menacée, son espèce est en effet classée sur la liste rouge des espèces en danger, il s'agit cependant de l'espèce d’albatros la plus répandue. C'est un oiseau qui mesure de 80 à 95 cm de long pour une envergure totale de 200 à 246 cm, malgré cette taille, il ne pèse qu'environ entre 3 et 5 kg.
C'est un grand oiseau blanc qui se singularise par le dessus de ses ailes qui sont d'un gris très sombre, l'albatros à sourcils noirs se réunit de manière très dense sur les sites de nidifications. À cause de la grande taille de ses ailes, le vol devient très vite épuisant, en effet, pour se déplacer il utilise les courants ascendants ainsi que la vitesse du vent et la résistance de l'air pour décoller et réaliser des vols planés. On comprend pourquoi on le trouve facilement dans les zones où il y a des vents puissants. C'est un oiseau qui bat rarement des ailes, on le voit souvent décriant de grands cercles dans le ciel, montant et descendant, afin de décoller l'albatros doit courir contre le vent sur une grande distance en terrain plat, il peut aussi se laisser tomber depuis le haut d'une falaise. Lorsque le vent tombe, il n'est pas rare de voir flotter les albatros sur la mer.
L'albatros commence à se reproduire à l'âge de 7 ans mais peut procréer jusqu'à ses 35 ans et vit en général jusqu'à 47 ans - 60 ans. L'albatros est monogame durant la totalité de sa vie, les couples retournent en septembre au même endroit sur le même nid. L'albatros se nourrit exclusivement de poissons, de poulpes, calamars etc... Il lui arrive d'être un charognard et de guetter les déchets de poissons rejetés par les bateaux de pêche. L'albatros est capable de boire l'eau de mer car il possède une glande lui permettant de dessaler l'eau.



  • Le léopard des mers :
C'est un animal réputés par son agressivité,
Le léopard des mers est une mammifère carnivore de la famille des phocidés et est l'unique représentant du genre Hydruga. Le léopard des mers doit son nom aux petites tâches qu'il a tout sur le long du corps ainsi qu'à sa réputation de prédateur le plus puissant du continent antarctique. C'est un prédateur puissant et imposant, en effet, la femelle peut mesurer 4,5 mètres pour un poids total de 600 kg ! L'agressivité de cet animal et son environnement de vie en font un des animaux les plus difficiles à étudier, c'est pourquoi les biologistes ne réussissent pas à connaître suffisamment son mode de vie pour pouvoir tirer des conclusions.




  • . L'éléphant de mer du sud :

  • L'éléphant de mer du sud ou Mirounga leonina est le plus grand des phoques existant, en effet, il pèse jusqu'à 3,7 tonnes ! Son museau a une sorte de forme de trompe, il est intéressant de savoir aussi que le mâle peut grandir jusqu'à 6 mètres de longueur et peut peser comme nous vous le disions précédemment 3,7 tonnes !
    On le voit arpenter particulièrement les mers australes depuis l'Antarctique jusqu'au sud des autres continents, il se reproduit sur terre au niveau des plages des îles sub-antarctiques.
    Grâce à des études satellites on s'est aperçu des incroyables capacités de plongeur de ces animaux, en effet, l'éléphant de mer ne reste pas bien longtemps en surface, juste le temps de faire le plein d'oxygène et il replonge à la recherche de sa nourriture, il peut passer aisément plus de 20 mn chassant sa nourriture qui se constitue essentiellement de calamars et de poissons. Des records de plongée ont été mesuré et un éléphant de mer est resté plus de 2 h submergé ! Il plonge à une sacrée profondeur aussi, il chasse de manière régulière à 1000 mètres de profondeur et le record mesuré est de 1 998 m de profondeur ! L'éléphant des mers ne comptent pas beaucoup de prédateurs mais parmi eux se trouvent, le léopard des mers, le grand requin blanc et les orques.
    Lorsque vient la saison des amours, le sous-marin de l'austral refait surface et s'établit sur les plages plusieurs semaines par an. Quand vient le début du printemps austral, les femelles gagnent les plages sub-antarctiques pour mettre bas un petit(e), la naissance est très rapide, l'allaitement dure 23 jours et les petits qui ne pesaient que 40 kg à la naissance en pèse plus de 120 une fois sevré !


  • La baleine Bleue :
La baleine bleue est aussi appelée rorqual bleu, il s'agit d'une espèce de cétacés de la famille des Balaenopteridae, elle peut atteindre et dépasser les 30 mètres de longueur et elle pèse plus de 190 tonnes ! La baleine bleue est le plus gros animal vivant à notre époque et elle est très certainement le plus gros animal ayant jamais vécu sur terre (avant deux grands sauropodes). Elle possède un corps long et mince qui peut prendre des teintes diverses et variées de gris-bleue et plus clair sur le dessous. On en dénombre trois sous-espèce, B. m musculus (atlantique nord et pacifique nord), B m intermedia de l'océan Antarctique et B m brevicauda de l'océan indien.
C'est une espèce malheureusement menacée à cause de la chasse intensive du XX ème siècle. En effet, avant cette période, les baleines bleues étaient abondantes dans tout les océans de la terre mais la chasse réalisée par les baleiniers a quasiment amené l'espèce au bord de l'extinction. C'est en 1966 que la communauté internationale a décidé de les protéger, en 2002 un rapport estimait que la population des baleines bleues étaient de 5 à 12 000 individus de par le monde.
La baleine bleue se nourrit presque exclusivement de Krill, bien qu'elle consomme aussi des copépodes, la baleine bleue vit dans des endroits où le krill est abondant car il en faut du krill afin de la nourrir ! En effet, elle peut arriver à manger plus de 3600 kg de Krill en une seule journée !
La période de reproduction de la baleine bleue débute à la fin de l'automne et se poursuit jusqu'à la fin de l'hiver, une femelle baleine met au monde un baleineau tous les deux / trois ans au début de l'hiver. Un baleineau qui est né récemment pèse environ deux tonnes et demi et mesure environ 7 mètres ! Les scientifiques estiment que la baleine bleue peut avoir une longévité de 80 ans !
Elles n'ont pas vraiment de prédateurs connus mis à part les orques.


  • L'Orque :
L'orque aussi appelé épaulard est une espèce de mammifère marin du sous-ordre odoncètes. Les orques sont facilement reconnaissables grâce à leur peau noir et les cercles blancs qu'ils ont au niveau des yeux, leur ventre est aussi complètement blanc, il ressemble un petit peu à un panda des océans. Son aileron dorsale est très grand et mesure plus de 2 mètres 30 d'envergure ! Les mâles mesurent de 6 à 9 mètres de long et pèsent environ 8,5 tonnes, les femelles sont plus petites et ne mesurent que de 6 à 7 mètres pour un poids situé de 3 à 4 tonnes. L'orque est le dauphin le plus grand du monde et à la différence de la plupart des dauphins la nageoire caudale d'une orque est large ainsi qu'arrondie.
L'océan antarctique est l'endroit où il y a le plus de type différents d'orques vivant :
   - Type A : orques plus nomades qui se nourrissent exclusivement de baleines de Minke.
   - Type B : les orques du type B sont subdivisés en grand type et petit type. Le grand type est habitué ice killer whales en honneur à leur habitude de chasser le phoque sur la banquise dérivante. Celles issues du petit type sont appelées orques de Gerlache car elles sont légions dans le détroit de Gerlache où elles chassent le manchot.
   - Type C : on les appelle aussi les orques de la mer de Ross, il s'agit des plus petits orques connues.
   - Type D : on les connait aussi sous le nom d'orques subantarctiques.
Les orques sont ce que l'on appelle des super-prédateurs et ils ne craignent absolument personnes dans les fonds marins, ils chassent la baleine bleue, le léopard des mers etc...

Les orques sont très sociales, on a observé des populations composées de plusieurs familles matrilinéraires que l'on peut caractériser comme étant les plus stables de toutes les espèces animales. Avec l'Homme, les orques sont l'unique espèce à transmettre ce que l'on peut caractériser de manifestations culturelles, en effet, on a remarqué que les techniques de chasses et les comportements vocaux (qui sont souvent spécifiques à un groupe particulier) se transmettent au grès des générations.
La manière de reproduction des orques se rapprochent de la nôtre, la saison des amours débutent de Mai à Octobre et une fois fécondée un petit naîtra après une période de gestation de 12 à 16 mois.



  • Le krill :
C'est une petite crevette qui peut aisément paraître insignifiante mais qui ne l'est pas le moins du monde.
Le krill est le mot que l'on utilise pour appeler les petites crevettes des eaux froides de l'ordre des euphausiacés. Dans l'océan austral, le krill est essentiellement constitué d’Euphausia superba, ce krill n'a pas de courbure dorsale et possède des yeux noirs de grande taille. Il est peut-être très petit mais il est un maillon essentiel de la chaîne alimentaire, en effet, comme nous l'avons vu plus haut, il est la source de nourriture la plus importante des baleines bleues. Il est aussi la proie préférée des calamars, de certains oiseaux.

Sous le terme de Krill on regroupe à peu près 85 espèces différentes dont les adultes vivent en essaims gigantesques dans les couches supérieures de l'océan, les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes et s'étendent sur plus de 450 km ! On estime qu'il y a à peu près 650 millions de tonnes de krill sur la terre, il s'agit là d'une des espèces les plus abondantes après les copépodes !



ROUMANIE : Festival « B-Fit in the Street » à Bucarest



Le Festival International de Théâtre de Rue commence dans la capitale de la Roumanie, au mois de juillet de chaque année,  y participent des centaines d’artistes internationaux, et les compagnies viennent de France, Colombie, Italie, Allemagne, Pays-Bas, Autriche, Espagne et de Roumanie.
Il se déroulera tous les week-ends de ce mois, du vendredi au dimanche, de 19h à 23h.







On utilisera bientôt des bananes pour fabriquer des voitures

On utilisera bientôt des bananes pour fabriquer des voitures

Des chercheurs Sud-Africains ont trouvé de nouvelles qualités 
à la banane plantain en lien avec l'industrie automobile..

À l'université de Johannesburg en Afrique du Sud, une étude a été récemment menée sur la banane plantain. Plusieurs chercheurs ont réalisé que sa fibre solide et économique pouvait être utilisée comme matériel pour la fabrication des voitures. Une solution a priori écologique et durable.
Connue pour ses qualités gustatives et souvent cuite au four à la poêle ou flambée, la banane plantain est consommée comme un légume. Elle est à différencier de la banane "classique" qui en plus d'être un fruit, peut être transformée en fibres naturelles pour les vêtements. Récemment, des chercheurs ont trouvé de nouvelles qualités à la banane plantain en lien avec l'industrie automobile.

La banane plantain s'invite dans les véhicules.
Parue dans la revue Journal of Materials Reseach and Technology en juin 2020, l'étude de l'université de Johannesburg en Afrique du Sud sur les bananes plantains prend en compte cette variété de banane en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud. Les chercheurs ont établi que mélanger leurs fibres avec de la résine époxy qui durcit sous l'effet de la chaleur et des nanotubes de carbone plus résistants que l'acier, peut donner un matériel solide, ayant également un impact positif sur l'isolation phonique, car celui-ci peut réduire les bruits et les vibrations. La fibre pourrait ainsi être utilisée pour la fabrication de pièces de voitures comme les capots, le moteur, les portes ou l'intérieur du véhicule.

Les fibres naturelles en automobile.
Même si elles sont écologiques et durables, les fibres de bananes plantains doivent toutefois être améliorées au niveau de la résistance aux chocs, aux fortes chaleurs ou encore à l'absorption de l'eau.
À noter que des matières naturelles sont déjà utilisées dans certaines automobiles comme la fibre de carbone, le lin ou le chanvre : celles-ci servent par exemple à l'isolation interne du moteur. Elles peuvent être mélangées avec du composite de polymère thermoplastique polypropylène qui résiste aux hautes températures, aux produits chimiques, à la graisse, et qui est caractérisé par une faible absorption d'eau.

Le Maroc produit plus de 15.000 tonnes d'escargots par an

85% de la production nationale d’escargots est destinée essentiellement à l’exportation. Le Maroc table sur une production de 40.000 tonnes à l'horizon 2024.

La production nationale d’escargots s’élève à plus de 15.000 tonnes par an, dont 85% est destinée essentiellement à l’exportation.

De cette quantité le consommateur national ne mange qu’une petite partie, soit 15 %. 

En 2024, la filière hélicicole devra englober près de 10.000 exploitations, avec une surface d’élevage dédiée de 1.000 ha, qui permettra de produire 40.000 tonnes d’escargots par an et générer un chiffre d’affaires annuel de 1,6 milliard de DH.

Les principales espèces exploitées au Maroc sont Helix Aspersa Aspersa (Petis Gris), Helix Aspersa Maxima (Gros Gris), Eobania vermiculata (Mourguette) et Otala lactea.


Naturagency - Escargot petit gris. Helix aspersa aspersa


Le Petit-Gris
Helix aspersa


ESCARGOT GROS GRIS (Helix aspersa maxima) | Photothèque Peuriot ...
ESCARGOT GROS GRIS 
Helix aspersa maxima


Eobania vermiculata (Müller, 1774)

Eobania vermiculata



Otala lactea - Google Search

Otala lactea

Pourquoi la face cachée de la Lune est-elle si différente de sa face visible ?

Le 10 avril 2019, des chercheurs dévoilaient la toute première image d’un trou noir supermassif. Une image à couper le souffle. Mais qui restait un peu floue. Pas de quoi en tirer des informations précises. Pour cela, préviennent les astronomes, il faudra agrandir l’Event Horizon Telescope. En construisant un radiotélescope sur la Lune !


Les origines de la Lune demeurent à ce jour entourées de mystères, bien que les théories à ce sujet abondent. La plus répandue de nos jours est que notre satellite serait le fruit d'une collision entre notre Planète, alors dans ses jeunes années, et un autre corps d'une taille approximant celle de Mars. La Terre, plus massive, aurait été capable de conserver suffisamment de chaleur pour avoir sa propre activité tectonique, tandis que le menu astre lunaire aurait refroidi jusqu'à devenir géologiquement inactif, caractérisé par une faible quantité d'eau et une activité tectonique quasi nulle. Néanmoins, les données collectées au fil des décennies, en conjonction avec de tout nouveaux résultats, semblent défier cette hypothèse en soulignant la dichotomie entre la face visible et celle cachée de la Lune.

Cette carte créée grâce à la spectrométrie gamma révèle la répartition de l'élément thorium sur la Lune, démontrant clairement que celui-ci est plus abondant sur sa face visible. © Nasa
Cette carte créée grâce à la spectrométrie gamma révèle 
la répartition de l'élément thorium sur la Lune, démontrant
 clairement que celui-ci est plus abondant sur sa face visible.

Mers lunaires et volcanisme
L'asymétrie entre les deux faces de la Lune est notable. Du côté visible, les maria, ou mers lunaires, constellent la surface de taches sombres, observables à l'œil nu. Ne vous laissez pas tromper par leur nom cependant : si les astronomes les prenaient pour de vastes étendues d'eau par le passé, nous savons aujourd'hui qu'elles sont les vestiges de coulées volcaniques provoquées par l'impact de météorites massives.
Formant 31 % du paysage lunaire côté Terre, ces reliefs caractéristiques sont néanmoins quasiment absents de la face cachée de la Lune, constituant à peine 1 % de sa surface. Cette asymétrie ne manqua pas de surprendre les scientifiques lorsque, dans les années 1950 et 1960, les premières images de « l'arrière » du satellite furent collectées par des missions russes.
Grâce aux avancées récentes de la science, une combinaison d'observations, de manipulations et de modélisation informatique a permis aux chercheurs d'y voir enfin un peu plus clair quant à l'origine de cette différence notable et, par extension, l'origine de la Lune elle-même. Les maria se distinguent par une signature rocheuse spécifique baptisée Kreep, acronyme des principaux éléments qui la constituent : potassium (K), terres rares (« Rare Earth Elements ») et phosphore (P). Or, il se trouve que le potassium, l'uranium et le thorium présents dans ce type de roches sont tous les trois radioactifs, une particularité non négligeable lorsqu'il s'agit d'expliquer les mécanismes sous-tendant la géodynamique lunaire.

Radioactivité sur la Lune
La chaleur produite par la radioactivité de ces éléments est suffisante pour faire fondre la roche qui les contient et même faire baisser sa température de fusion. Ce phénomène permettrait alors de justifier l'existence d'un volcanisme lunaire, alimenté par des processus à l'échelle atomique et non tectonique. Des expériences menées en laboratoire ont permis d'explorer les implications de ce fonctionnement et de mieux cerner la chronologie des événements volcaniques survenus sur la Lune par le passé.
« Du fait de l'absence relative de processus d'érosion, la surface de la Lune porte encore les vestiges des événements qui ont marqué le Système solaire dans sa jeune histoire, explique Matthieu Laneuville, coauteur de l'étude parue dans la revue Nature Geoscience. En particulier, les régions de la face visible présentent des concentrations d'éléments radioactifs comme l'uranium et le thorium supérieures à toute autre partie de la Lune. Comprendre l'origine de ces zones riches en U et Th peut nous aider à élucider les premières étapes de la formation de la Lune et, par là même, les conditions sur Terre lorsque celle-ci était encore jeune. »

Maroc : Am El Boun ou la grande famine du 20ème siècle ..

En 1834, la peste laissera place au Choléra. «La maladie avait fait son apparition en Algérie avant d’atteindre le Maroc. Cette catastrophe s’est succédée pour frapper à plusieurs reprises, soit en 1854, 1858, 1868 et 1878».

Mais l’une des catastrophes naturelles des plus sévères dont les Marocains se rappellent jusqu’à aujourd’hui est sans doute le rationnement drastique des produits alimentaires entre 1940 et 1947. «Après la défaite de la France en 1940 lors de la Seconde Guerre mondiale, les pays colonisés par l’Hexagone, ce dernier puisait dans les ressources de ses colonies, dont le Maroc», raconte Ahmed Asrifi. Une mesure qui avait impacté la production nationale et l’économie du royaume.

Mais afin de faire face à cette situation, le gouvernement de Vichy entreprend le rationnement, «fait sur une base ethnique avantageant les Français au détriment des Juifs puis des Musulmans», raconte David Bensoussan dans «Il était une fois le Maroc» (Editions iUniverse, 2012). Mais les conditions météorologiques auraient également contribué à accentuer cette crise.



Un souk au Maroc. / Ph. DR

Un souk au Maroc

Le manque d’hygiène et de nourritures sévit d’abord dans les campagnes où apparaissent rapidement les trois grands fléaux que sont la peste, le typhus et la fièvre. Les Marocains étaient tellement désespérés qu’ils «émigraient» vers des «régions davantage épargnées telles que les zones de débarquement américain où les soldats offrent des provisions à la population.

Si les chiffres français font état de 200 000 morts à cause de cette crise, l’historien Daniel Rivet estime que la seule année 1945 déplore plus de 300 000 morts.

L'histoire maudite d'un Maroc victime de peste et de choléra

Si les Marocains d’aujourd’hui se rappellent toujours de la grande famine de 1940-1947, le Maroc a connu assez de catastrophes naturelles et épidémies. Plusieurs historiens remontent le temps pour évoquer les premières «colères de mère nature» en 1493 où famine et maladies contagieuses faisaient ravages parmi les Marocains.

Tout au long de son histoire millénaire, le Maroc a fait face à plusieurs catastrophes naturelles qui ont menacé sa stabilité et la survie de sa population. Si la majorité des Marocains se rappellent du rationnement drastique des produits alimentaires entre 1940 et 1947, appelé «Aâm El Boun» (l’année du bon), le royaume a bien connu d’autres misères par le passé. Famine, peste et «épidémies inconnues» étaient au menu dès 1521.

Dans un article intitulé «Population et crise au Maroc aux XVIe et XVIIe siècles. Famines et épidémies» (Cahiers de la Méditerranée, 1977), l’historien français Bernard Rosenberger est revenu sur certaines catastrophes naturelles et épidémies ayant frappé le Maroc dès le 15ème siècle. Ainsi, «en 1493, une épidémie [est] apportée par les Juifs expulsés de Grenade». Ayant sévi à Fès, cette maladie contagieuse aurait «peut-être été étendue ailleurs». D’autres épidémies non identifiées par les historiens auraient touché le royaume.

«En 1502 ou 1503, en tout cas avant 1505, une nouvelle épidémie fait des victimes en nombre suffisant pour affaiblir le souverain Wattasside. En 1511-1512 dans le Sous, une épidémie est signalée. Mais elles ne sont pas comparables à la crise de 1521-1523 qui est restée longtemps dans les mémoires.»
Bernard Rosenberger

Illustration. / DR

Les visites successives de la peste
L’historien français raconte comment cette famine exceptionnelle avait eu des «conséquences extrêmement sévères» sur les Marocains. «La misère fut atroce dans les plaines atlantiques où les parents vendaient leurs enfants pour l’équivalent de quelques mesures de grain. Le prix de l’homme atteint un taux dérisoire», rapporte-t-il.
Dans des conditions pareilles, la famine ne venait généralement pas seule. Elle aurait été accompagnée par «la maladie, vraisemblablement la peste» et ce, dès 1521. Pour illustrer, Bernard Rosenberger raconte aussi comment la famine, combinée à la peste, causèrent la mort de «milliers et milliers de personnes». «La cavalerie du souverain Wattaside se trouvait diminuée de 90% sans qu’il soit bien clair si c’était à cause du décès des hommes ou du manque de montures», ajoute-t-il.
Trente-six ans plus tard, la peste revient pour freiner la reconstitution de la population marocaine. A partir d’août 1557, elle sévissait déjà dans les montagnes du Rif et le long de la côte méditerranéenne après avoir fait son apparition en Algérie voisine dès 1553. «En janvier 1558, elle est à Fès-le-Vieux, en février au Mellah où elle fait périr de nombreux juifs. Dans la ville de Fès, il y aurait eu à certains moment, 1 000 à 1 500 morts par jour et même 3 000 selon certaines sources», poursuit l’historien.

Ce n’est qu’à l’été 1559 que la maladie cesse de faire des morts après avoir couté la vie à près de 300 000 victimes. En 1580, le couple famine-maladie est de retour. Appelée «année de la toux», une «grippe» s’était associée à la famine pour intervenir au lendemain de la Guerre des Trois rois et aurait duré moins d’un an.

Mais de 1597 à 1608, plusieurs catastrophes «effroyables» fondent sur le Maroc. «Peste, famine, guerre civile se succèdent ou se combinent», plongeant le pays dans le chaos. Un document espagnol, datant de mai 1597 et cité par l’historien français fait état de 450 000 morts. La sécheresse et la famine se succèdent alors, en 1604, entre 1603 et 1606 puis en 1607-1608.

Choléra, pestes et… criquets pèlerins au 17ème siècle
Le 17ème siècle est lui aussi marqué par une situation pareille. «De 1661 à 1663, une famine particulièrement meurtrière allait frapper le Maroc», raconte-t-on dans Hesperis Tamuda. 

«L'hiver 1660-1661 fut rigoureux : froid d'abord et sec ensuite. En décembre 1660 on vit la neige à Fez, phénomène assez rare pour être noté, mais par la suite il ne tomba pas d'eau pendant plus de deux mois, et à la fin de février, les gens faisaient des prières pour la pluie à la Qarawiyin.»
Hesperis Tamuda


La sécheresse compromit les récoltes, alors que le moment des moissons fut «marqué par des violences qui attestent les difficultés éprouvées dans les campagnes». Un épisode qui se répète plusieurs fois, notamment en 1722. Une année qui sera marquée par une «grande famine», comme le rapporte Haïm Zafrani dans son livre «Deux mille ans de vie juive au Maroc : Histoire et culture, religion et magie» (Editions Eddif, 1998). Emigration, guerres civiles et pillages étaient au menu. «Après le pillage de Fès par les Oudaya en 1727, et particulièrement celui de Meknès par les Abids en 1728, le tribunal rabbinique fut appelé à juger les litiges nés de la perte des biens appartenant aux associés dans des affaires en commandite commerciale», raconte Haïm Zafrani.

Illustration. / DR

De 1766 à 1774, le Maroc exportait du blé vers l’Europe suite à de meilleurs rendements. Mais dès 1779, des années de sécheresse se succèdent jusqu’en 1782, comme le rapporte le chercheur marocain Ahmed Asrifi. Il s’agit aussi d’une «invasion de criquets pèlerins» qui poussera les Marocains «à manger des herbes et à consommer de la viande porcine». Le retour des pèlerins marocains en 1798 favorisera à nouveau la propagation d’une nouvelle souche de la peste. Près de 20 ans plus tard, «la peste tangéroise» fera son apparition d’abord dans la ville du Détroit.

Ile Maurice : des habitants se font couper les cheveux pour lutter contre la marée noire



La marée noire à l'île Maurice a provoqué un élan de solidarité. Malgré les risques, des milliers de volontaires sont toujours sur les lieux de la catastrophe et ils donnent leurs cheveux, qui servent à confectionner des filets et des bouées.


À l'île Maurice, depuis quelques jours, on se presse chez les coiffeurs. Des centaines de clients sont venus se faire couper les cheveux pour lutter contre la pollution des eaux. Les cheveux retiennent les substances grasses. Ils sont triés et rassemblés dans des boudins. Une fois dans l'eau, ils captent les hydrocarbures.

Une idée venue d'un coiffeur varois.
Pour cette fabrication artisanale, les Mauriciens ont fait appel aux conseils d'un coiffeur français installé dans le Var. Il y a cinq ans, il a créé une association pour lancer un projet de recyclage de cheveux. Son idée a fait du chemin : 3 300 salons de coiffure ont adhéré à son association. Des sacs de cheveux sont envoyés dans toute la France. Avec son fils, ils les entreposent dans un hangar. La moitié des 40 tonnes amassées va partir pour l'île Maurice.

Quelques lieux insolites et secrets de Moscou

Beaucoup d'endroits merveilleux de la capitale russe, restent encore inconnus des touristes. Ce sont des monuments lyriques, leurs utilisations est beaucoup moins solennelles que beaucoup d’autres dans Moscou, pourtant ils occupent une place importante dans « l'âme » et l'histoire de la ville.
Ils reflètent, beaucoup plus, les humeurs et les préférences des habitants de Moscou, que les majestueux monuments officiels.

  • Le monument « Make Way for Ducklings »
Le monument «Make Way for Ducklings»
Le monument «Make Way for Ducklings»
L'un des plus beaux monuments de la ville a été inauguré en 1991. C’est Raïssa Gorbatcheva, qui, déplacement à Boston, est tombé amoureuse d’une sculpture d’une famille de canards et a toute de suite exprimé le désir d'avoir la même en Russie. Peu de temps après, la copie exacte de la sculpture a été livrée à Moscou et Raïssa Gorbatcheva a décidé de la mettre dans le parc près du couvent de Novodievitchi. Les habitants de la ville et les touristes sont eux aussi immédiatement tombés amoureux de cette sculpture. La cane, qui s'appelle Mme Mallard mène soigneusement ses canetons, qui essayent tant bien que mal de la suivre. Le monument « Make Way for Ducklings !» a souffert plus d'une fois des mains des vandales, mais les canards en bronze ont été remplacés à chaque fois.
D’après les moscovites, caresser le plus petit des canards vous apporterait de la chance.
Adresse : 1, passage Novodievitchi ; la station de métro Sportivnaïa
  • La composition sculpturale « Les enfants victimes des vices des adultes ».

Composition sculpturale « Les enfants victimes des vices des adultes »
Composition sculpturale 
« Les enfants victimes des vices des adultes »

Au centre de Moscou, sur la place Bolotnaïa, se trouve un ensemble sculptural unique « Les enfants victimes des vices des adultes ». Son auteur est Mikhaïl Chemiakine, un célèbre sculpteur et artiste.
La composition symbolique de Mikhaïl Chemiakine ne laisse personne indifférent. Elle effraie, étonne, et certainement, vous amènera à réfléchir. Au centre, se trouvent deux figures dorées d’enfants aux yeux bandés. Comme tous les enfants d’une dizaine d’années, ils jouent au ballon et se tiennent debout autour de livres.
Mais comme leurs yeux sont bandés, ils ne voient pas les 13 autres grandes figures terrifiantes autour d'eux. Chaque statue représente une sorte de vice qui peut corrompre à jamais les âmes des enfants.
Adresse : 1, place Bolotnaïa ; les stations de métro Novokouznetskaïa ou Tretiakovskaïa
  • Le parc de l'art « Museon »

Le parc de l'art «Museon» à Moscou
Le parc de l'art «Museon» à Moscou
C'est un musée unique en plein air de plus de 1000 sculptures. Les monuments de l'époque soviétique et du réalisme socialiste coexistent dans ce parc, ainsi que des œuvres d’artistes d'avant-garde nationaux, contemporains et de l'art public.
Au cours de ces dernières années, Museon est devenu l'un des sites culturels et éducatifs les plus dynamiques de la ville. Durant l’été, un cinéma en plein air est également installé. Vous pouvez vous balader des heures dans ce par cet en profiter pour regarder un film. C’est l'un des rares cinémas en plein air de Moscou. Sur les quais de Crimée, une piste cyclable avec des fontaines a été aménagées. Vous pouvez vous détendre dans un des nombreux cafés ou même participer à un cours de yoga ou de danse qui y sont donnés.
Aujourd’hui, le parc des arts Museon à Moscou n'est pas seulement un endroit pour exposer des sculptures ou diffuser des films, le parc accueille également des productions théâtrales, des festivals de musique, le centre d'autodidaxie et un grand nombre d’atelier de création. Vous n’aurez que l’embarras du choix.
Adresse : 10, rue Krymsky Val ; les stations de métro Park koultoury et Oktiabrskaïa

  • Le square Signes du Zodiaque

Square «Signes du Zodiaque»
Square «Signes du Zodiaque»
Le square Signes du Zodiaque a été inauguré en 2007. Les douze signes du zodiaques forment ensemble un cercle avec un télescope en son centre.
Toutes ces sculptures sont représentées de façon très originale avec une interprétation très intéressante. Par exemple, le Sagittaire est personnifié par un enfant, qui, malgré les passants, ne se gêne pas pour tirer sur les lampadaires à l’aide d’un lance-pierre, alors que le Poisson est représenté par deux poissons attablés, buvant de la bière et mangeant du poisson.
Adresse : Place Signes du Zodiaque, intersection de la rue Yeniseiskaya avec l'avenue Novy Beringov (station de métro Sviblovo)

  • La petite cour de Pierre le Grand

«La petite cour de Pierre le Grand» à Moscou
La petite cour de Pierre le Grand» à Moscou
Dans la cour de la maison №50 de la rue de l’Admiral Lazarev se trouve des copies (plus petites bien évidemment) de curiosités de Saint-Pétersbourg. Vous y trouverez les colonnes rostrales, les canons de la forteresse Pierre-et-Paul, les sculptures de lions, de nombreuses fontaines, ainsi qu’un buste du fondateur de Saint-Pétersbourg, regardant tout cela un peu sévèrement.
Il y a également un carrosse, de l'époque de Pierre le Grand, très aimée des enfants. Vous apprécierez les détails très travaillés de ses ornements.
De nos jours, la petite cour de Pierre le Grand est considérée comme un véritable point de repère de ce quartier et un lieu de visite obligatoire pour petits et grands. Si vous passez à côté, n’oubliez surtout pas d’y jetez un coup d’œil.
Adresse : 50, rue de l’Admiral Lazarev ; les stations de métro Oulitsa Gortchakova et Bouninskaïa alleïa

  • La cabine téléphonique de Tchebourachka

« La cabine téléphonique de Tchebourachka » à Moscou
La cabine téléphonique de Tchebourachka, à Moscou
Vous vous demandez surement qui est Tchebourachka ? Tchebourachka est un personnage soviétique inventé par l'écrivain Edouard Ouspenski. Il est l'un des personnages principaux de livres et de dessins animés. Il y a aussi quelques années de cela, il est devenu un symbole de l'équipe nationale russe olympique.
Comme vous l’aurez compris, Tchebourachka est toujours resté très populaire en Russie. À l'entrée du pavillon « Maison de la Culture », à VDNKh, se trouve une cabine téléphonique rose. Devinez qui est son hôte ? Regardez à l'intérieur et vous verrez que le petit favori du public habite cette cabine téléphonique. Pour tous les Russes, Tchebourachka évoque la tendresse et la nostalgie. À côté de cette cabine téléphonique se trouve le musée de l'Animation de Moscou, dans lequel vivent aussi Tchebourachka et d'autres héros de dessins animés soviétiques.
Si vous vous intéressez à la culture russe mais surtout aimez les dessins animés soviétiques, alors ce musée est fait pour vous.
Adresse : 119, bât. 84, avenue Mira, entrée du pavillon de la Maison de la Culture ; la station de métro VDNKh

  • Le mur de la mémoire du musicien Victor Tsoï sur Arbat

Mur de la mémoire du musicien Victor Tsoi sur Arbat
Mur de la mémoire du musicien Victor Tsoi sur Arbat
Sur la rue Arbat se trouve le mur de la mémoire du chanteur russe, Victor Tsoï. C’était une légende de la culture rock soviétique, un nom connu de chacun en Russie. Après sa mort en 1990, quelqu’un a écrit sur un mur : « Aujourd'hui, Viktor Tsoï est mort ». Le même jour quelqu’un a répondu : « Tsoï est vivant ! ».
Les autorités ont maintes fois tenté de repeindre le mur, mais à chaque fois les inscriptions sont réapparus. Alors, il a été décidé de garder le mur pour les fans.
Les gens apportent des fleurs au pied de ce mur, chantent des chansons et prennent des photos. Victor Tsoï est toujours l’idole de beaucoup de gens et le restera puisque « Tsoï est vivant ! »
Adresse : 37, rue Arbat ; les stations de métro Smolenskaïa ou Arbatskaïa

  • Les décorations « Moscou du XIXème siècle » sur Mosfilm

Décorations «Moscou du XIXème siècle» sur Mosfilm
Décorations «Moscou du XIXème siècle» sur Mosfilm
Voulez-vous vous balader le long des rues de Moscou au XIXème siècle ? Alors, vous devez aller à la société de production cinématographique Mosfilm, qui est l'une des plus grandes sociétés de production cinématographique en Europe.
Habituellement tous les décors sont détruits après les tournage, mais ceux de « Moscou au XIXème siècle » ont été gardé pour leurs qualité et leur beauté. En marchant dans les rues de cette ville, vous ne sentirez pas qu’elle est fictive. Il manque juste des carrosses et des personnes dans des tenues élégantes du XIXème siècle.
Mais vous pourrez voir cela dans d’autres salles de Mosfilm (inclus dans l’excursion). Vous y découvrirez une collection de voitures rétro, des carrosses, de costumes et d'autres décors.
Notez, qu’il vous faudra vous inscrire à l’excursion en avance.
Adresse : 1, rue Mosfilmovskaya ; la station de métro Kievskaïa

  • Le parc Zariadié

Parc « Zariadié »
Parc « Zariadié 
En plein centre de Moscou, à côté du Kremlin et de la Place Rouge, a été ouvert en septembre 2017, le parc Zariadié. Ce parc a immédiatement conquis le cœur des habitants et des touristes. Il est vraiment unique par l'organisation de ces zones paysagères. Vous ne vous y ennuierez pas une seconde. Vous pourrez voir une forêt mixte, la steppe avec des herbes parfumées, des prairies avec des réservoirs d’eau et un paysage de terres arctiques avec des mousses et des genévriers.
N’oubliez pas de monter au second niveau, où se trouve le « Pont flottant ». Vous y aurez une vue imprenable sur certaines attractions de Moscou, comme la cathédrale Saint-Basile-le-Bienheureux, par exemple.
Au centre des médias vous attendent des expositions intéressantes, des spectacles interactifs et des projections de films. La salle de concert est tout aussi intéressante puisque vous aurez l’occasion d’assister à des performances de grands musiciens et acteurs de théâtre.
L'entrée au parc est libre. La station de métro la plus proche, Kitaï-gorod, est à 5 minutes de marche environ et à 10 minutes à pied des stations de métro Plochtchad Revolioutsii, Okhotny Riad et Teatralnaïa.

Une espèce très rare de tortue jaune capturée en Inde

Une tortue jaune a été aperçue par des habitants de la ville de Balasore, en Inde. Elle a ensuite été capturée par des gardes forestiers, qui soupçonnent une mutation albinos d'être à l'origine de la couleur jaune de l'animal. Cette espèce rarissime est considérée comme étant en danger. 

Explosions au Liban

Le Liban, ce pays qui se trouve à la croisée des chemins, dans un point névralgique du Moyen-Orient a été foudroyé mardi par deux déflagrations successives dans le port de Beyrouth, la capitale. Selon les derniers chiffres, ces explosions spectaculaires aussi importantes que celles de Hiroshima ou Nagasaki ont causé la mort d’au moins 150 personnes, et fait quelque 5.000 blessés et des milliers de sans-abris.

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Liban : les terribles explosions de Beyrouth en dix photos - Le ...

Immeubles éventrés ou détruits, des centaines de blessés au sol ou sous les décombres, et tout un pays sous le choc, voici le bilan des déflagrations ayant été causées par une cargaison 2.750 tonnes de nitrate d’ammonium, stockée dans un entrepôt du port de la capitale, le plus important du pays.

De son propre aveu, le Premier ministre libanais Hassan Diab a déclaré que la cargaison était stockée depuis 6 ans « sans mesures de précaution ». Aussitôt la catastrophe annoncée et les images ont fait le tour du monde grâce aux médias et réseaux sociaux, et plusieurs pays ont répondu présent pour aider, notamment la France, les Etats-Unis, les pays arabes et du Maghreb, les pays du Golfe avec qui Beyrouth entretient de très bonnes relations, y compris avec le Qatar. Le Liban a également assisté à la main tendue de la Turquie et d’Israël.

Coronavirus : un vaccin enregistré en Russie et administré à la fille de Poutine.

Le président russe Vladimir Poutine a annoncé mardi 11 août que l'une de ses filles s'est fait inoculer le vaccin que la Russie dit avoir développé contre le nouveau coronavirus.

Vaccin anti-covid: Poutine fait une grande annonce - LesEco.ma

Le président russe Vladimir Poutine a annoncé mardi que la Russie avait développé le "premier" vaccin contre le nouveau coronavirus, assurant qu'il donnait une "immunité durable".
Dans les semaines précédant cette annonce, des scientifiques étrangers ont exprimé leur préoccupation face à la rapidité de la mise au point d'un tel vaccin et l'OMS avait appelé au respect de "lignes directrices et directives claires" en la matière.
"Ce matin, pour la première fois au monde, un vaccin contre le nouveau coronavirus a été enregistré", a dit Vladimir Poutine, en ajoutant: "je sais qu'il est assez efficace, qu'il donne une immunité durable".

Brève | Poutine affirme que la Russie a développé le premier ...

Le président a même affirmé qu'une de ses filles s'était fait inoculer le vaccin qui a été développé par le Centre de recherches en épidémiologie et microbiologie Nikolaï Gamaleïa, avec le ministère russe de la Défense.
"Elle a participé à l'expérience", a-t-il indiqué, selon les agences russes affirmant qu'elle avait eu un peu de température après les deux inoculations, "et c'est tout".

Spoutnik V″ : le vaccin russe contre le coronavirus ...

Le ministère de la Santé a affirmé que la double inoculation "permettait de former une immunité longue", estimant qu'elle pouvait durer "deux ans".
"Le plus important bien sûr est que nous puissions assurer à l'avenir une sécurité inconditionnelle quant au recours à ce vaccin et quant à son efficacité", a encore dit Poutine, "j'espère que ce sera le cas".