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Images inédites du « Terror » englouti dans l’Arctique, il y a 170 ans.

Le « Terror » est l’un des deux bateaux de l’explorateur John Franklin partis de Grande-Bretagne en 1845 à la recherche du passage du Nord-Ouest.

Vue de la vaisselle encore présente dans l’épave du « Terror », dans l’Arctique canadien.
Vue de la vaisselle encore présente dans l’épave
 du « Terror », dans l’Arctique canadien. 

Plus de 170 ans après la disparition du navire britannique HMS Terror dans l’Arctique canadien, des images inédites de l’épave ont été diffusées. Elles révèlent un intérieur bien conservé qui pourrait éclairer d’un jour nouveau le destin mystérieux de l’embarcation.
Le Terror est l’un des deux bateaux de l’explorateur anglais John Franklin partis de Grande-Bretagne en 1845 à la recherche du passage du Nord-Ouest, qui relie les océans Atlantique et Pacifique par l’Arctique. Surpris par le froid, les 129 marins présents sont restés coincés un an et demi dans les glaces avant de mourir de faim, de froid et de saturnisme.
Les circonstances de la plus grande tragédie de l’exploration arctique,  sont restées floues depuis. Le premier navire, le HMS Erebus, a été retrouvé en 2014 dans la même zone. 

Porte close
Les images prises par les plongeurs et le robot submersible téléguidé de l’agence Parcs Canada révèlent des artefacts intacts de la vie sur le navire. L’épave a été retrouvée en 2016 à 24 mètres de profondeur au large de l’île King William, dans le passage du Nord-Ouest, à l’est de Cambridge Bay dans le territoire du Nunavut.

Photographie prise à l’intérieur de l’épave du « Terror », publiée le 28 août.
Photographie prise à l’intérieur de l’épave
du « Terror », publiée le 28 août.

« Nous avions l’impression, en explorant le HMS Terror, qu’il s’agissait d’un navire récemment abandonné par son équipage, semblant avoir échappé au passage du temps », a expliqué dans un communiqué Ryan Harris, directeur du projet archéologique et pilote du véhicule utilisé pour les fouilles.
Au cours de 48 plongées, dont sept avec le robot, « dans une eau qui avoisinait le 0 °C ou moins », l’équipe a obtenu des images de plus de 90 % du pont inférieur du bateau. Le navire a été retrouvé posé droit sur sa quille au fond de la mer, l’hélice toujours en place, l’ancre levée, et les fenêtres de toit non couvertes, ce qui suggère un abandon rapide, a remarqué Harris.
Les sédiments qui ont recouvert la chambre du capitaine, Francis Crozier, ont permis la préservation de son bureau, dans lequel les chercheurs s’attendent à trouver des instruments scientifiques et des cartes.
Seuls les quartiers personnels du capitaine demeurent inaccessibles, en raison d’une porte close. Les chercheurs espèrent y trouver des documents écrits et scellés que l’eau froide et les sédiments pourraient avoir conservés. Les écrits pourraient éclaircir ce qui s’est passé, la chronologie des événements, quand les bateaux se sont séparés et comment ils sont arrivés là où ils ont été abandonnés.

Aucun survivant
Le Terror et l’Erebus sont partis de Grande-Bretagne équipés d’une coque recouverte de fer pour la glace, de machines à vapeur et de provisions pour trois ans dans l’Arctique. Un bateau commandité par la veuve de Franklin, Lady Jane, a retrouvé en 1859 sur l’île King William un message qui a levé le voile sur une partie du mystère.
Selon celui-ci, l’explorateur et 23 membres de l’équipage sont morts, le 11 juin 1847, dans des circonstances inconnues. Le 22 avril 1848, 105 survivants auraient quitté les navires à pied pour rejoindre la terre ferme par la glace, toujours selon ce message. Aucun n’a survécu.

Photographie prise à l’intérieur de l’épave du « Terror », publiée le 28 août.
L’intérieur de l’épave du « Terror »

Les recherches archéologiques ont été menées en partenariat avec des organisations inuits, dont les témoignages oraux transmis de génération en génération ont permis de localiser les épaves. Les communautés de l’Arctique seront les premières à voir les artefacts du Terror, dont elles sont légalement les copropriétaires.
Roald Amundsen, l’explorateur norvégien qui a traversé le passage du Nord-Ouest pour la première fois avec succès en 1905, a quant à lui passé deux hivers dans les glaces avoisinant l’île King William. Ryan Harris et son équipe espèrent retourner continuer les recherches l’année prochaine, notamment pour explorer la cabine du capitaine Crozier. « On ne sait jamais ce qu’on va trouver dans ce dernier espace inexploré. »

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