Au troisième et dernier jour d'audience, les juges ont entendu les arguments des avocats de l'ex-Premier ministre John Major ainsi que des gouvernements gallois et écossais et du militant des droits de l'Homme nord-irlandais, Raymond McCord, qui tous contestent la légalité de la suspension.
John Major affirme que Boris Johnson n' a agi que par "intérêt politique". Pour lui, les raisons exposées par le Premier ministre ne peuvent être vraies. Le chef du gouvernement britannique, lui, ne cesse de répéter que cette suspension était justifiée afin de préparer et de présenter ses priorités politiques nationales.
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