"Le coq, le chien, le klaxon, la musique, c'est le dossier du bruit", avait affirmé Me Vincent Huberdeau, avocat des plaignants.
Tout refus impliquait immédiatement 150 euros d'astreintes quotidiennes ainsi que 1.000 euros de dommages et intérêts aux retraités.
Symbole des difficultés de cohabitation dans les campagnes entre les gens du cru et les néo-ruraux de tout poil - retraités, vacanciers ou urbains fuyant les villes - le conflit du coq Maurice avait débuté par une plainte banale pour trouble anormal du voisinage.
Elle avait été déposée par un couple d'agriculteurs retraités domicilié en Haute-Vienne, incommodés par le chant trop matinal de Maurice près de leur résidence de vacances.
Les plaignants devront même verser 1.000 euros de dommages et intérêts à la propriétaire de l'animal.
Le procès n'est en tout cas pas le dernier du genre puisque dans les Landes, le tribunal de Dax se penchera début octobre sur le cas de canards et d'oies accusés de caqueter trop fort.
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