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Quelques oiseaux au bec remarquable

  • Le calao rhinocéros
Le calao rhinocéros est très facilement reconnaissable grâce à son long bec surmonté d’un casque courbé qui se termine en pointe. Si le bec de cet oiseau qui vit entre Malaisie et Indonésie est naturellement blanc, il doit sa couleur orangée à une glande que possède le calao et contre laquelle il frotte souvent son bec. C’est le liquide sécrété par cette glande qui colore le bec de l’oiseau, lui donnant cet aspect des plus exotiques. Le calao vit dans les grands arbres et se nourrit principalement de fruits. Toutefois, son régime alimentaire peut comporter de petits animaux, comme des lézards ou des oiseaux.


  • Le casoar à casque
Le casoar à casque est un des oiseaux les plus grands du monde. Comme son nom l’indique, ce volatile que l’on trouve dans la région indonésienne est muni, au niveau du crâne, d’une protubérance de corne semblable à un casque. Dans le prolongement de cette coiffe étonnante se trouve le bec du casoar, plutôt court et puissant, dont il se sert pour consommer les nombreux fruits qui font partie de son régime alimentaire. Le casoar, relativement craintif et discret, est aussi réputé pour ses attaques défensives dangereuses. Chacune de ses pattes est en effet dotée d’un crochet particulièrement tranchant.

L'Oiseau Le Plus Dangereux Du Monde: Le Casoar | 2020
  • Le bec-en-sabot
Le bec-en-sabot est certainement l’un des oiseaux dont le bec est le plus surprenant. Tellement original qu’il vaut même à ce volatile d’Afrique centrale et tropicale d’avoir été nommé en fonction de cet attribut. Fruits et graines ? Très peu pour le bec-en-sabot, qui préfère de loin les poissons-chats, les serpents, les grenouilles ou même les petits oiseaux et les rongeurs. Son bec large, tranchant sur les côtés et crochu à son extrémité, ne laisse que de peu de chance à ses proies. Le bec-en-sabot est aujourd’hui menacé de disparition.


  • La huppe fasciée
Il n’est pas rare d’observer la huppe fasciée au sol, où elle trouve l’essentiel de sa nourriture : fourmis, chenilles et larves, mais aussi scarabées et escargots. La coquille protectrice de ces créatures n’effraie pas la huppe, qui se sert de son long bec pointu et recourbé pour accéder à ses petites proies. Ce bec lui est aussi utile pour picorer dans le bois mort, ou encore fouiller dans les déjections des animaux où fourmillent les organismes. La huppe fasciée, que l’on reconnaît grâce à la ligne quasi parfaite que dessinent son bec et sa pointe de plumes sur la tête, est un oiseau migrateur, qui vit entre l’Afrique et le sud de l’Europe.


  • Le macareux
Le macareux moine vit dans la région de l’Atlantique Nord, de la Norvège à l’Amérique du Nord en passant par l’Islande. Son bec, très visible, a la forme grossière d’un triangle parcouru de différentes stries colorées. A l’époque de la reproduction, la couleur du bec du macareux est bien prononcée, entre une pointe rouge et une base bleutée ponctuée de jaune. Cet oiseau marin, qui vole assez mal mais nage parfaitement, s’accouple dans l’eau. A l’approche de la pondaison, il creuse un nid profond à l’aide de son bec puissant et de ses pattes afin d’aménager un endroit où protéger le poussin des éléments extérieurs. Si le macareux moine a longtemps été chassé et menacé par l’introduction accidentelle de rats dans son habit naturel, les populations de ces volatiles attachants semblent aujourd’hui s’être stabilisées.


  • Le toucan
Le toucan est un des plus beaux représentants ailés d’Amérique du Sud, et plus particulièrement de la forêt amazonienne. Le nom « toucan » désigne en réalité plusieurs espèces d’oiseaux de la famille des ramphastidés. Le toucan à carène (à l’image) figure parmi les ambassadeurs les plus spectaculaires de ces volatiles au bec imposant et multicolore. Ce dernier leur sert non seulement à se nourrir, grâce à une langue adaptée pour attraper insectes et graines, mais aussi à réguler leur température. En effet, le bec du toucan agit comme un véritable « climatiseur » qui évacue la chaleur du corps de l’oiseau lorsque la température ambiante est trop importante, ou qui au contraire conserve cette chaleur quand la météo le nécessite.


  • Le pygargue à tête blanche
A première vue, le pygargue à tête blanche n’inspire pas vraiment la sympathie, mais plutôt le respect et la crainte. Et pour cause : cet aigle, emblème des Etats-Unis d’Amérique, est un des prédateurs les plus redoutables du monde. Son bec jaune et massif, qui se termine en un crochet très marqué, permet au pygargue d’attraper facilement ses proies, prises de surprise par la vitesse d’attaque du volatile. Contrairement à la plupart des aigles, dont le régime alimentaire est composé de petits et moyens mammifères, le pygargue, surnommé « l’aigle pêcheur », se nourrit de poissons. On le retrouve donc naturellement près des lacs et des rivières.


  • Le flamant rose
Si le flamant rose attire immédiatement l’attention grâce à son extraordinaire plumage coloré et à sa silhouette tout en finesse, ce grand oiseau migrateur qui apprécie les zones marécageuses se distingue aussi par un bec singulier. De taille imposante, le bec du flamant est courbe et bien innervé. Sans cet outil qui lui permet de filtrer l’eau saumâtre et vaseuse dans laquelle il trouve ses aliments, le flamant ne pourrait se nourrir correctement. Aplati sur les côtés, le bec de cet échassier est rose et marqué de noir aux extrémités. La langue du flamant, couverte de petits poils, contribue à capter les organismes au menu de l’oiseau.


  • L'harfang des neiges
Le harfang des neiges, superbe hibou originaire du grand Nord, est un chasseur hors pair. Ses yeux, particulièrement grands, lui permettent de scruter de loin lemmings et autres rongeurs, ses proies favorites. Son plumage, blanc immaculé chez le mâle et tacheté ou strié de brun chez la femelle, est idéal pour se fondre dans le décor glaciaire de la toundra arctique. La panoplie du parfait oiseau prédateur est complétée par un bec noir, à la fois court et discret, mais surtout crochu et acéré.


Harfang des neiges 
  • Le paon
Rarement oiseau n’a autant inspiré les arts et la culture. Renommé à travers le monde pour son plumage aux couleurs fascinantes et la fameuse « roue » du mâle en parade, le paon semble tout droit sorti d’un conte fabuleux. Les ocelles de ses plumes, semblables à d’étranges yeux, a longtemps séduit les créateurs. Au-delà de cette image de raffinement extrême, le paon n’en reste pas moins un oiseau de la famille des phasianidés, qui regroupe notamment perdrix et faisans. Son bec, contrairement à son plumage, est à la fois modeste, pratique et puissant : il lui permet d’attraper à terre les insectes et les graines dont il se nourrit.



  • Le manchot royal
Le manchot royal, grand oiseau originaire de la région sub-antarctique, étonne par sa morphologie. Debout sur deux courtes pattes, doté d’une paire d’ailes qui lui servent de nageoires, cet animal qui se nourrit en mer est bien plus habile dans l’eau que sur la terre ferme, où il se déplace de façon maladroite. On le distingue des autres manchots par son bec fin, long d’une quinzaine de centimètres et marqué par une mandibule inférieure orange. Ce bec lui permet d’attraper avec dextérité les poissons qu’il consomme. En comparaison, le manchot empereur, plus grand et plus lourd que le manchot royal, possède un bec long d’une dizaine de centimètres seulement.

  • La mésange
Sous nos latitudes vivent aussi des oiseaux dont la morphologie, et notamment le bec, méritent qu’on s’y attarde. Les mésanges, que l’on trouve aussi bien en Europe qu’en Amérique, égayent les jardins et les sous-bois où elle se rassemblent, notamment en hiver, pour trouver leur nourriture ou chercher un abri dans les nichoirs. Malgré leur petite taille, les mésanges sont des oiseaux très énergiques qui se servent de leur bec court mais très résistant pour se nourrir : percer une coque, picorer un fruit ou débusquer larves et insectes sous l’écorce des arbres est le quotidien de ce petit passereau.


  • L'ara
Sera-t-il possible d’observer pendant longtemps encore l’ara amazonien dans son milieu naturel ? Rien n’est moins sûr, puisque ce magnifique oiseau d’Amérique du Sud est en voie de disparition. Captures abusives et réduction drastique de son habitat sont à l’origine de son sort désormais très inquiétant. Ce grand perroquet au plumage chatoyant se nourrit principalement de graines. Son bec, en forme de pince robuste, lui permet de briser sans problème les fruits à coque.


  • La spatule rosée
La spatule rosée concourt sans aucun doute pour le titre de l’oiseau au bec le plus remarquable. Il fait d’ailleurs partie de ces oiseaux que l’on nomme en fonction de cette particularité anatomique. La spatule vit essentiellement en Amérique du Sud. Elle se nourrit de petits poissons et d’amphibiens, qu’elle trouve dans les eaux peu profondes. Son bec est adapté à cette alimentation : d’une part, la forme de spatule permet à l’oiseau de remuer la vase et d’en dégager les petits organismes dont il se nourrit ; d’autre part, le volatile se sert de la faculté tactile de son bec pour détecter les animaux cachés dans l’eau trouble.


  • Le colibri
Comment faire pour atteindre en toute facilité le délicieux nectar emprisonné dans les fleurs ? Le colibri ne se pose pas la question. Grâce à son bec très fin, il s’introduit dans le calice et se sert de sa langue agile et bifide pour en récupérer le précieux liquide. Ces petits oiseaux-mouches aux espèces variées présentent des anatomies différentes, particulièrement au niveau du bec, plus ou moins long et courbé. Le colibri, qui joue un rôle important dans la pollinisation de certaines espèces de fleurs, peut adapter librement son vol en fonction de son approche des plantes : il s’agit par exemple du seul oiseau capable de voler en marche arrière.


  • Le vautour fauve
Le vautour fauve est un charognard qui est incapable de chasser lui-même, en raison de son corps inadapté. Il se nourrit donc des cadavres d’animaux tués par d’autres prédateurs. Grâce à son bec crochu et massif, il déchire sans problème la chair des carcasses qu’il repère. D’une envergure qui peut dépasser les 2,50m, le vautour fauve utilise les vents pour planer sans se fatiguer grâce à ses grandes ailes. On trouve notamment cet oiseau impressionnant dans les Pyrénées françaises.


  • La cigogne blanche
Grande et longiligne, d’une envergure pouvant atteindre les 1,80m, la cigogne blanche est un superbe échassier qui vit entre l’Europe et l’Afrique, où elle passe l’hiver. Le bec long et fin de la cigogne lui permet d’attraper ses proies avec précision en eau peu profonde et dans les herbes hautes. Lézards, grenouilles et petits rongeurs n’échappent pas à ce bec qui agit comme une pince. La cigogne, qui ne peut pas crier, se sert aussi de son bec pour communiquer avec ses congénères. On dit qu’elle claquète, ou qu’elle craquette.


  • Le héron cendré
Contrairement à la cigogne, le héron n’hésite pas à utiliser son bec long et fin pour transpercer les proies qu’il chasse. Cet échassier qui vit dans les zones humides peut rester longtemps immobile en attendant qu’un poisson ou un batracien s’approche à portée de bec. Il détend alors son cou plié en forme de « s » et projette son bec vers sa proie. On retrouve le héron en Europe, en Asie ainsi qu’en Afrique.


Quelques animaux parmi les plus colorés de la planète

La nature regorge d’animaux magnifiques : 
amphibiens, insectes, oiseaux et mammifères 
aux couleurs étonnamment vives… comme ceux-ci !

  • Le poisson combattant
Également connu sous le nom de combattant (betta), ce magnifique poisson à longue queue possède un caractère belliqueux que les éleveurs exploitent à des fins de combats en aquarium.
Ses couleurs vives résultent aussi de l’élevage, car, selon l’International Betta Congress, elles sont carrément ternes dans la nature.

  • Le « jewel bug »
Membre de la famille des scutelleridae, cette punaise possède des pièces buccales de type suceur. Originaire de l’Asie du Sud-Est, cette beauté psychédélique tachetée y fait des ravages dans les cultures de pois cajan.
Sa teinte iridescente vient d’une bande pigmentaire située sous des couches claires reflétant la lumière.

  • Le rollier à longs brins
Le plumage blanc, bleu, mauve, turquoise, vert et noir de l’oiseau national du Kénya et du Botswana égaie ses prairies natales.
Fait inhabituel, la femelle est aussi colorée que le mâle. Malgré toutes ses couleurs,The Spruce rapporte que les œufs du rollier sont platement blancs.

  • Le caméléon du Yémen
Connu aussi sous le nom de caméléon casqué, ce reptile vert de 60 centimètres de long arbore des rayures bleues, brunes et jaunes. Fidèle à sa nature, il peut changer de couleur selon son humeur.
Son système nerveux envoie un message aux cellules pigmentaires (chromatophores) dans sa peau pour qu’elles prennent de l’expansion ou se contractent. Résultat : elles deviennent brunes, bleues, rouges ou jaunes, selon Wired.

  • L’ara macao
Croyez-le ou non, les plumes de la plus grande espèce de perroquet l’aident à se confondre avec les fruits et les fleurs aux couleurs vives de sa forêt tropicale sud-américaine, rapporte le National Geographic.
Parmi les 17 espèces différentes d’aras, d’autres — comme l’ara à calotte rouge et le grand ara vert — sont presque (mais pas tout à fait!) aussi colorés que l’ara macao.

  • Le colibri insigne
Ce petit oiseau néotropical natif du Costa Rica et du Panama est carrément éblouissant en raison de ce que le Cornell Lab of Ornithology appelle ses reflets cuivrés et bleu-vert.
Comme le faisait remarquer un photographe amateur, si les photos le font paraître brillant, le spectre complet de ses couleurs n’est visible que sous certains angles.

Animaux colorés : le colibri insigne
  • Le diamant de Gould
Fait amusant sur l’oiseau : en plus de leurs plumes mauves, vertes, bleues et orange recouvrant leur corps, la tête des oisillons peut être rouge, noire ou jaune. Et même s’ils sont tous membres de la même espèce, ils préfèrent s’accoupler avec d’autres diamants de Gould arborant la même couleur de tête.
Selon les scientifiques, ceux à tête rouge sont plus agressifs que ceux à tête noire.

  • Le martin-chasseur gurial
Ce qui frappe le plus chez cet habitant des bords de lacs et de rivières du sud de l’Asie? Son long bec rouge pointu qui s’harmonise avec ses pieds. Il s’en sert d’ailleurs avec beaucoup d’adresse pour attraper et manger poissons et petits mammifères.
Le martin-chasseur gurial est également assez agressif pour éloigner les oiseaux de proie, tels les aigles.

  • La mante orchidée rose
Cette mante religieuse de Malaisie est habituellement blanche, mais certaines peuvent prendre une teinte rose et mauve dans la nature, selon la World Association of Zoos and Aquariums. Elle ressemble tellement à l’orchidée qu’elle tente d’imiter qu’un des premiers voyageurs occidentaux à Java l’avait confondue avec une plante carnivore.
Les insectes que la mante orchidée prend au piège grâce à son camouflage sont davantage dupés par sa couleur que par sa véritable ressemblance avec les fleurs qu’ils butinent, selon un article dans The Conversation.

  • La mygale ornementale de Gooty
Connue sous les noms de mygale ornementale de Gooty, mygale ornementale saphir ou encore Poecilotheria metallica, cette énorme tarentule bleu métallique des forêts de l’Andhra Pradesh, en Inde, est en voie de disparition.
Même si le National Geographic rapporte que les scientifiques soupçonnent sa teinte d’avoir une fonction évolutionniste, cela n’aide malheureusement pas beaucoup cette étonnante créature.

  • La crevette-mante paon
Ce crustacé est non seulement extrêmement coloré avec sa carapace vert-rouge-bleu-orange et ses pattes avant tachetées, mais ses yeux sont apparemment les plus puissants du règne animal pour détecter les couleurs, selon le National Aquarium de Baltimore.
Grâce à ses 16 cônes sensibles aux couleurs (comparativement à nous qui n’en avons que 3), la crevette-mante paon peut en détecter 10 fois plus que l’être humain, incluant la lumière ultraviolette.

  • Le doris de Loch
Le bleu criard et les trois rayures foncées du doris de Loch peuvent sembler inquiétants, mais cette limace de mer de l’Indo-Pacifique ne représente un danger que pour les éponges dont elle se gave.
Comme les autres nudibranches (des limaces de mer dépourvues de coquille) qui sont aussi colorés, hermaphrodite et doté d’un motif élaboré, le doris lance un avertissement visuel à ses prédateurs potentiels indiquant qu’il a terriblement mauvais goût.

  • Le calliste septicolore
Cet oiseau bigarré noir, bleu, vert et rouge semble presque trop parfait — et parfaitement bizarre — pour être vrai.
Si vous tombez un jour sur un groupe de ces oiseaux frugivores et insectivores dans la forêt amazonienne, vous croirez que vos yeux vous jouent des tours !

  • Le poisson-perroquet
Le National Geographic fait référence à la coloration de ce poisson des récifs tropicaux comme « un cauchemar à classifier, cette coloration variant considérablement même parmi les mâles, les femelles et les jeunes de la même espèce ».
Et ce n’est pas la seule chose étrange à son sujet : le poisson-perroquet change également de sexe au cours de ses sept ans d’existence, vit dans un environnement sableux constitué en grande partie de ses propres déjections et se tisse lui-même un cocon muqueux transparent pour y dormir la nuit.

  • L’anisote de l’érable
Salué comme le plus beau de tous les papillons de nuit par certains amoureux des insectes, Dryocampa rubicunda ou l’anisote de l’érable a l’apparence d’un minuscule triangle de sorbet rose et jaune lorsqu’il volette dans les forêts de l’est de l’Amérique du Nord.
Le projet Butterflies and Moths of North America explique que sa teinte rosée varie d’un insecte à l’autre, couvrant la totalité des deux ailes chez certains individus, mais pas du tout chez d’autres.


  • La méduse Olindia formosa
Cet animal marin rare, délicat et diaphane ressemble à une tulipe à fines rayures arborant des tentacules vert, bleu et rose fluo pouvant s’enrouler et se dérouler d’eux-mêmes. Méfiez-vous de ses airs angéliques, car la méduse Olindia formosa peut tuer et manger des poissons entiers! Et son venin est assez puissant pour vous infliger des brûlures, selon Live Science.

  • Le grand cérianthe
Avec ses tentacules de 30 centimètres de long servant à capturer ses proies, le grand cérianthe délicatement coloré incarne à la fois la belle et la bête! Présent dans les profondeurs des récifs de coraux, il ressemble à une fleur rose pâle ou à un pompon vert étincelant.
Cette ressemblance lui a malheureusement valu un statut privilégié auprès des aquariophiles qui encouragent une industrie qui l’arrache à son milieu naturel.

  • Le momot à sourcils bleus
Décrit par le Cornell Lab of Ornithology comme un oiseau au « plumage flamboyant », le momot à sourcils bleus du Yucatán est une adorable boule de plumes duveteuses olive, orange et turquoise dotée d’une queue incroyablement longue en forme de point d’exclamation.
Selon TravelExperta, plus sa queue est longue, plus un mâle a des chances d’attirer une partenaire.

  • La sauterelle rose
L’insolite sauterelle rose semble avoir été plongée dans la même eau magenta qu’on utilise pour teindre les œillets. Elle est en fait plus près d’un criquet que d’une sauterelle (même si on l’appelle parfois sauterelle à longues cornes), selon l’Université de la Caroline du Nord à Charlotte.
En raison d’un problème de pigmentation lié à l’albinisme, appelé érythrisme, seulement une sauterelle sur 500 devient rose, d’où sa rareté. Les scientifiques avancent que sa couleur lui permet de se camoufler parmi les fleurs forestières.

  • L’abeille à orchidées
Le U.S. Fish and Wildlife Service appelle les abeilles à orchidées des « bijoux vivants ». Selon son site web, « la plupart des espèces sont d’un vert foncé luisant avec de rares poils, mais elles peuvent aussi être d’un bleu brillant, mauve, rouge, doré, d’un blond cendré, ou encore un mélange de ces couleurs sur la tête, le thorax et l’abdomen ».
D’autres espèces sont « très chevelues » avec des rayures jaunes, orange ou vertes sur leurs abdomens noirs. Originaires de l’Amérique du Sud et de l’Amérique centrale, les abeilles à orchidées, ou abeilles euglossines, ont récemment été acclimatées dans certaines zones de la Floride.

  • La rainette aux yeux rouges
Dotée de cuisses orange ahurissantes, cet amphibien de la côte australienne arbore un corps vert-jaune, des doigts et un ventre de couleur jaune. La rainette aux yeux rouges se reproduit pendant la saison des pluies, des groupes de mâles appelant les femelles pendant 12 heures consécutives.
Selon le ThalaBeach.com, les femelles pondent jusqu’à 1600 œufs à la fois dans des étangs profonds.

  • Le triton à ventre de feu
À première vue, cet amphibien semi-aquatique n’a rien de remarquable. Mais si vous exposez son ventre, sa couleur neutre brun-noir cède la place à un rouge moucheté pour le moins spectaculaire.
Bien que le triton à ventre de feu soit originaire de Chine et du Japon, deux espèces sont maintenant présentes en Floride et au Massachusetts, résultat du commerce d’animaux domestiques. Heureusement, le U.S. Geological Survey n’a trouvé aucune preuve qu’il nuise espèces locales.

  • Le mandrill
Les mammifères très colorés sont difficiles à trouver, et c’est ce qui fait de ce timide mandrill – le plus gros de tous les singes – une créature très rare. Plus rare encore maintenant qu’il est menacé en raison de la chasse et de la perte de son habitat dans toute l’Afrique équatoriale.
Son visage bleu et rouge ainsi que sa croupe en houppette prennent une teinte encore plus vive lorsque l’animal est excité, selon le National Geographic.

Les statues vandalisées à travers le monde par les manifestants antiracistes

Les manifestations antiracistes dans le monde ont donné lieu au déboulonnage ou à la dégradation de plusieurs statues de personnalités controversées
Les protestations antiracistes relancées après la mort de George Floyd aux mains de la police aux États-Unis ont donné lieu dans le monde au déboulonnage ou à la dégradation de plusieurs statues de personnalités controversées. Voici six cas emblématiques.

  • Au Royaume-Uni, des manifestants renversent la statue d'un marchand d'esclaves et la jettent à l'eau.
    Ce dimanche, des manifestants ont renversé à l'aide une corde la statue de Edward Colston, un marchand d'esclaves du XVIIe siècle, érigée dans la ville de Bristol au Royaume-Uni, avant de la jeter dans le canal du centre-ville en guise de protestation contre le racisme. L'homme se serait enrichi grâce au commerce triangulaire, avant de développer Bristol, ce qui lui vaudra d'être célébré comme un bienfaiteur de la cité portuaire. Cette statue en bronze se trouvait dans le centre-ville de Bristol depuis 1895. Ces derniers jours, une pétition réclamant qu'elle soit retirée par le conseil municipal de Bristol avait recueilli plus de 10.000 signatures. Depuis plus d'une semaine maintenant, des manifestants du monde entier battent le pavé pour dénoncer le racisme et des brutalités policières après la mort de George Floyd, asphyxié par un policier lundi dernier.
  • États-Unis: des statues de Christophe Colomb ont été décapitées, vandalisées dans plusieurs villes.
    À Boston (Massachussets), une statue de l’explorateur italien Christophe Colomb a été décapitée dans le parc qui porte son nom dans la nuit de mardi à mercredi. À Miami (Floride), une autre des statues à son effigie a été vandalisée dans un parc avec de la peinture rouge et des inscriptions comme "Black Lives Matter" ("Les vies noires comptent") et "George Floyd".
  • Jefferson Davis aux États-Unis
    Mercredi, une statue de Jefferson Davis, le président des États confédérés pendant la guerre de Sécession, qui a opposé le Sud au Nord abolitionniste de 1861 à 1865, a été déboulonnée à Richmond (Virginie).
    Le même jour, la présidente de la Chambre des Représentants (la chambre basse du parlement américain), la démocrate Nancy Pelosi, a appelé au retrait des 11 statues du Capitole représentant des soldats et des responsables confédérés, dont celle de Jefferson Davis.
    En 2017, l’ancien président américain Barack Obama a révélé être un lointain descendant par alliance de Jefferson Davis, ajoutant ironiquement que ce dernier "doit se retourner dans sa tombe".

  • Belgique: statue de Leopold II retirée
    La statue du l’ex-roi des Belges Leopold II à Anvers, avec sa longue barbe et sa veste à épaulettes a été vandalisée la semaine dernière, comme plusieurs autres en Belgique. Elle a été partiellement incendiée et recouverte de peinture rouge, symbolisant le sang versé par les Congolais, colonisés par les Belges. Mardi, elle a été retirée d’un square pour être transportée dans les réserves d’un musée, où son état doit être "examiné".
Une statue de Leopold II à Anvers.




  • Churchill tagué à Prague et à Londres
    À Prague, une statue de l’ancien Premier ministre conservateur britannique Winston Churchill a été taguée tôt jeudi matin avec les slogans "Black Lives matter" et "il était raciste", en solidarité avec le mouvement antiraciste américain.


    À Londres, la police fait partir des jeunes voulant protéger la statue de Churchill, après des dégradations lors d’autres manifs. Résultat ? La statue est taguée d’un « Churchill was a racist » peu après.

    À Londres, près du Parlement, l’inscription "il était raciste" a également été taguée dimanche sur le piédestal d’une statue de Winston Churchill, héros de la Deuxième Guerre mondiale, dont divers propos sur les questions raciales ont suscité la controverse.
  • Une statue controversée vandalisée à Lisbonne José Antonio Vieira, prêtre jésuite, prédicateur et écrivain, auteur de plus de deux cents sermons, est considéré comme l’une des grands auteurs de la littérature portugaise du XVIIe siècle.

    La statue d’un missionnaire catholique portugais, qui participa à la conversion d’indigènes du Brésil pendant la période coloniale, a été vandalisée à Lisbonne avant d’être rapidement nettoyée, a annoncé la mairie vendredi. La statue, qui met en scène ce prêtre entouré de trois enfants amérindiens du Brésil, une ancienne colonie portugaise, a été aspergée jeudi soir de peinture rouge, et le socle barré de l’inscription "Décolonise !". La statue, qui se dresse devant l’église Sao Roque, à quelques mètres du quartier du Bairro Alto, avait été inaugurée en 2017 pour rendre hommage à ce penseur portugais qui avait défendu les peuples indigènes au Brésil. Un groupe de citoyens s’était toutefois opposé à cette initiative, accusant Antonio Vieira d’être un "esclavagiste sélectif" car il n’avait pas condamné l’esclavage des peuples africains.

L’aspirine : elle est magique dans la maison !

Le comprimé magique bouillonne d’idées sympas pour faire disparaître toutes sortes de petits embarras quotidiens.


  • Éliminer les tâches de transpiration

Ne laissez pas le temps à ces traces jaunâtres de s’incruster dans votre linge. Trempés une nuit dans une bassine avec deux comprimés d’aspirine, les vêtements perdent leurs auréoles de sueur.
  • Se débarrasser des pellicules

Réduisez en poudre deux comprimés et ajoutez–les à votre shampoing. Laissez agir une ou deux minutes puis rincez abondamment. Adieu les pellicules !
  • Prolonger la vie des fleurs coupées

Un cachet dans l’eau du vase et vos fleurs gardent leur splendeur plus longtemps !
  • Faire disparaître les cors aux pieds

Écrasez un cachet d’aspirine et confectionnez une pâte en y ajoutant quelques gouttes de citron et d’eau. Appliquez cette pommade sur la zone à traiter et maintenez-la en place avec du sparadrap ou une serviette chaude. Laissez reposer au moins 10 minutes puis frottez le cor ramolli avec un pierre ponce.
  • Soulager les courbatures

Vous vous sentez courbaturée, fatiguée, sans énergie ? Deux cachets dans un bon bain chaud et ça ira mieux !
  • Faire briller les bijoux

Une fois plongés dans une bassine additionnée d’un ou deux comprimés, vos bijoux en or reprennent des couleurs !
  • Nettoyer un vêtement taché de sang

Laissez tremper au moins dix minutes le vêtement dans une bassine d’eau fraîche avec un cachet d’aspirine. N’oubliez pas de le passer ensuite en machine.

Covid-19: un test salivaire rapide bientôt commercialisé


Un test de dépistage salivaire du Covid-19 sera disponible à partir du 19 juin. Son efficacité serait très proche de la méthode PCR, mais beaucoup plus rapide et moins désagréable.
Un test salivaire de dépistage du SARS-Cov-2, appelé EasyCov, sera mis en circulation le 19 juin à l’échelle internationale. Il a été développé par les scientifiques du laboratoire Sys2diag (CNRS/Alcen) et les médecins du CHU de Montpellier. Jusqu’à présent, la méthode RT-PCR était la plus fiable en cas de symptômes. Celle-ci consiste à prélever des cellules nasales à l’aide d’un écouvillon, un long coton-tige, inséré profondément dans les narines.

Les résultats disponibles en 1 heure
La méthode EasyCov promet d’être plus simple et plus rapide. "Le prélèvement de salive n’est pas désagréable, décrit le professeur Jacques Reynes, chef du service de maladie infectieuse au CHU de Montpellier. Il nécessite très peu de matériel ce qui le rend facilement transportable et permet d’obtenir un résultat en une heure" contre 24 heures maximum pour le test PCR.

Le test salivaire est-il aussi efficace que le prélèvement nasal?
"Les performances sont très similaires. L’efficacité du PCR est un peu dégradée par un prélèvement difficile à faire, vante Franck Molina, chercheur au CNRS. Parfois les tests salivaires sont plus efficaces que les tests nasopharyngés et inversement. Aucune technique ne permettra de détecter 100% des patients infectés".