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Consommation de chewing-gum dans le monde.




La consommation mondiale de chewing-gum est de 0,49 kilo par personne et par an, soit un peu plus de 99 nouveaux kilos de chewing-gum mastiqués chaque seconde !

 


En un an, la consommation mondiale de pâte à mâcher s'élève donc à près de 3 millions de tonnes.
 


Cette consommation varie beaucoup selon les tranches d'âge et les pays : les Français sont les deuxièmes consommateurs de chewing-gum au monde, derrière les Américains.
 
 

QUI SONT LES NENETS ?

Nomadic Nenets woman in the tundra 100km north of Yar-Sale, Yamal Peninsula, Arctic Siberia
 Femme Nenet
Les Nenets ont quitté la région d’Altaï-Sayan, près de la Mongolie, durant le premier millénaire avant J-C pour arriver en Arctique. Jusqu’au 17ème après J-C., ils étaient  de simples chasseurs et cueilleurs et avaient quelques rennes pour le transport. Ils étaient en contact avec les revendeurs de fourrures Russes jusqu’au 11ème siècle après J-C. A la fin du 15ème siècle, début 16ème, les premières réglementations Russes apparurent sur le territoire des Nenets. Beaucoup d’entre eux entraînèrent des troupeaux de rennes nomades et fuirent vers le nord, dans le Yamal. La chasse est, alors, devenue non viable. Plusieurs avis ont été émis et sont encore débattus, sur les raisons de ce problème : le contact avec les Russes ou simplement le changement de climat et la diminution du nombre de rennes sauvages.

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Les Nenets sont réparties sur une large zone. Nombre d’entre eux ne vivent pas dans la Péninsule du Yamal même. Leur territoire s’étend de la Péninsule du Kanin à l’Ouest à la Péninsule du Taymyr à l’Est. Chaque groupe de nomades est officiellement enregistré dans le village le plus proche. Beaucoup de nomades ont de la famille dans les villages. Dans la péninsule de Yamal, la moitié des Nenets sont des nomades et l’autre moitié vivent dans des villages.

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Les Nenets nomades vivent dans des tchoums, des tentes coniques recouvertes de peaux de rennes. Ils portent deux épaisseurs de fourrures de rennes qui leur servent de manteau. Les gants en fourrure de rennes sont attachés au manteau. Leur capuche et leurs cuissardes sont elles aussi en fourrure de rennes.  Les femmes cousent de nouveaux vêtements (en se servant des tendons de rennes comme fil) tout l’été pour tous ceux qui vivent dans leur tchoum. 


Les lassos et les cordes sont faits grâce au cuir tirer des peau de rennes. Les traîneaux sont en bois. Ils sont faits à la main, sans métal ni clou. Il existe quelques outils traditionnels Nenets qui sont utilisés à ce jour  pour construire leur traîneau. Les traîneaux sont tirés par les rennes. Les harnais des rennes sont faits à partir de la peau de rennes et certaines parties grâce à leur os.
Le plat préféré des Nenets est la viande et le sang de rennes. Ils le boivent et le mangent en l’extrayant directement de la carcasse du renne fraîchement tué. Des cordes sont attachées autour du cou du rennes. Sa tête est tournée vers l’Est et il est étranglé par deux ou trois personnes, chacun tirant sur l’une des cordes. Ensuite, ils le dépècent et étendent la peau pour qu’elle sèche. Les vêtements seront faits grâce à cette peau. Ensuite, les femmes ouvrent le renne. Tout le monde est assis par terre autour du renne. Alors, ils commencent à extraire le foie, les reins, la viande, les poumons, le cœur pour les manger directement. Ils se passent un bol ou une tasse qu’il plonge dans la carcasse du renne pour récupérer le sang chaud de celui-ci et le boire.

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La plupart des groupes ont des pâturages d’été au Nord et des pâturages d’hiver dans le Sud. Ils changent de campement grâce à leurs traîneaux tirés par les rennes. Généralement, un homme conduit un traîneau tiré par cinq rennes, qu’il dirige grâce à une longue perche de bois appelée khorei. Les femmes et les enfants conduisent un ensemble de six ou sept traîneaux attachés entre eux qu’ils appellent argysh. Quelques rennes tirent chacun des traîneaux de l’argysh.
Les Nenets du Sud de Yamal, avec lesquels les futurs visiteurs pourront passer du temps, ont les plus grand troupeaux (plus de 10 000) et la migration la plus longue (1 200km) de tous les Nenets. Durant l’été, on les retrouve loin au Nord de la Péninsule de Yamal alors que durant l’hiver, on peut les trouver au Sud-Est de la Péninsule, dans le Golfe d’Ob dans la région de Nadym.

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Lorsqu’ils changent de camp, ils commencent par démonter les tchoums et les mettre sur les traîneaux. Ensuite, les éleveurs attrapent au lasso et équipent les rennes “de transport” pour tirer les traîneaux. Les hommes conduisent le troupeau depuis leur traîneau. Les femmes et les enfants commencent à migrer sur l’argysh. Le convoi serpente dans le paysage et peut s’étendre sur 2km de long. Lorsqu’ils trouvent un endroit adapté à l’établissement du campement, c’est-à-dire un terrain arboré, à proximité d’une surface plane permettant de regrouper facilement le troupeau, les personnes en tête du groupe plantent leur khorei dans le sol à l’endroit où ils veulent que soit placé le centre de leur tchoum. Ensuite, chacun commence à décharger les traîneaux, à déharnacher les rennes et à monter les tchoums. Le haut de la tente doit se trouver à l’extrême droite vu de derrière, et les entrées des tchoums sont toujours tournées vers le même coté.

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Il existe des douzaines de types de rennes différents que les Nenets reconnaissent facilement, même au milieu d’un troupeau de milliers d’entre eux. Pour chacun, il existe un nom dans la langue Nenets. Par exemple, il existe le renne sacré : chaque personne et chaque dieu possède son propre renne sacré qui ne doit jamais être tué avant qu’il ne soit trop vieux pour marcher. Lorsqu’un renne sacré est finalement tué, ils trouvent un autre renne qui ressemblait à l’ancien pour le remplacer et répandent le sang du renne mort sur lui.

Un autre exemple, est le renne orphelin (élevé par l’humain). Les Nenets amènent ces rennes dans leurs tchoums et les élèvent parmi eux jusqu’à ce qu’il soit assez grand pour se débrouiller seul. Ces rennes ne seront jamais tués. Lorsqu’ils sont trop vieux pour marcher, les Nenets donnent leurs rennes “orphelins” à d’autres familles. Cette famille pourra tuer le renne et donnera un autre renne élevé par l’homme en échange. Tout au long de leur vie, les rennes élevés par l’homme peuvent vivre avec le troupeau ou avec les Nenets dans les tchoums. Ils grandissent à l’intérieur, et une fois grands, ils sont libres de venir dans les tentes ou de rester avec le troupeau. Ce sont les seuls rennes qui mangent la même nourriture que les humains, comme le pain par exemple.

Pour les étrangers, il est incroyable de voir les Nenets reconnaître aussi facilement leurs rennes parmi un troupeau de 10 000 bêtes. Chaque personne dans le camp, mêmes les enfants  de 6 ans, sont capables de reconnaître instantanément quels sont les rennes élevés par l’homme ou quels sont les rennes sacrés qui doivent être libérés. Ils reconnaissent aussi les différents types de rennes des autres familles. J’ai vu deux petites filles de 6 ans, qui devant leur tchoum regardaient le troupeau de 10 000 rennes galoper à 30 mètres d’elles. Quand les deux petites ont repéré les rennes élevés par leur famille, elles ont commencé à danser et sautiller en criant de joie.

Le renne ancêtre est aussi reconnu par les Nenets. Il est assimilé aux grandes idoles (d’environs 60 cm de haut), des plus puissants et importants ancêtres des leurs, que les Nenets gardent dans leur tente. Ces idoles sont vêtues d’habits Nenets et les familles fabriquent de nouveaux vêtements pour elles tous les ans. Il y a aussi beaucoup d’idoles de dieu.

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 Les idoles des ancêtres sont gardés dans la tente et les icônes de dieu sont laissés sur le traîneau sacré avec le matériel servant à fabriquer de nouveaux vêtements. Quand ils changent de campement, toutes les icônes doivent être mises sur le traîneau sacré. Personne ne doit s’asseoir sur celui-ci. Lorsque le traîneau sacré est usé et casse il est laissé sur le site sacré le plus proche.

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On peut trouver une centaine de sites sacrés dans tout le Yamal. Ceux-ci peuvent simplement être des sites naturels comme une colline ou une rivière, un bois sur une colline ou encore des crânes de rennes sacrifiés pour les idoles de bois se trouvant dans la toundra, ou alors de grandes étendues couvertes d’idoles, de crânes d’ours, de traîneaux sacrés et autres objets sacrés.

Il existe une certaine force dans la vision du monde Nenets appelée sya mei. Cette force est connectée avec l’autre monde, celui de la naissance et de la mort, qui peut être maléfique quand elle entre en contact avec notre monde. Les femmes post-pubères sont en permanence affectées par cette force, il en est de même pour les nouveaux nés ou encore les personnes ayant récemment assistées à des funérailles. Le sujet des personnes touchées par sya mei reste un grand taboo et beaucoup de restrictions leur incombent. Elles ne doivent pas toucher le traîneau sacré, elles ne doivent pas passer au dessus des choses touchées par un rennes, ni passer le harnais au dessus de leurs têtes ou passer en dessous d’eux; elles ne doivent pas franchir une ligne imaginaire qui passe par le point central jusqu’au point sacré à l’arrière de la tente; elles ne peuvent pas sortir de la tchoum et se mettre à vue; elles ne peuvent pas visiter les sites sacrés et participer aux sacrifices; elles ne peuvent pas préparer certains poissons, traverser les routes des ours qui sont considérées comme sacrées, passer au dessus d’une chienne enceinte, porter les cuissardes fourrées des hommes, passer au dessus d’un homme ou encore accrocher leurs vêtements n’importe où car les hommes pourraient être amenés à passer dessous. Les femmes Nenets doivent prendre toutes ces restrictions en considération et font face tous les jours à ce type de situations. Si vous n’êtes pas au courant de ces pratiques, beaucoup des gestes ou des actions des femmes Nenets au travail peuvent paraître incompréhensibles. Des rituels doivent être réalisés pour nettoyer quelques choses affectées par sya mei. Le plus courant consiste à passer plusieurs fois au-dessus d’un feu. Après qu’un enfant soit né dans une tente, un renne doit être sacrifié devant l’entrée.

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Au quotidien, les Nenets doivent regrouper les rennes, s’assurer qu’ils ne s’éloignent pas trop, couper du bois pour le feu, ramasser des blocs de glace pour récupérer de l’eau, trouver un endroit idéal pour installer les tchoums et le troupeau, tuer les rennes pour la viande, enlever les amoncellements de neige autour des tentes, réparer le matériel, cuisiner, s’occuper des enfants, coudre des vêtements et des couvertures en peau de rennes, fabriquer le plancher et les poteaux pour les tchoums, construire de nouveaux traîneaux, collecter de la mousse en guise de papier toilette, pêcher en été.

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Les enfants Nenets de Yamal ne connaissent que la langue Nenets. Ils commencent à apprendre le russe quand ils vont à l’école du village à partir de 7 ans. A 14 ou 15 ans ils le parlent couramment. En général, les personnes nées durant les années 50 ou avant ne parlent pas très bien russe, car ils sont nés avant l’obligation d’aller à l’école imposée par les Soviétiques.

Toutes les informations mentionnées ci-dessus sont vraies en ce qui concernent les Nenets de la Péninsule de Yamal. Ils ont su, remarquablement bien, conserver leur culture, ce que pourront voir les visiteurs voyageant avec Yamal Peninsula Travel. Par exemple, en Russie européenne, certains groupes de Nenets Autonomes d’Okrug, travaillent trois mois dans la toundra, qu’il déteste, puis ils passent trois mois à consommer de l’alcool frelatée dans le village le plus proche. Ils ont complètement oublié le langage Nenets et les croyances spirituelles. Cependant lorsqu’ils travaillent, ils vivent encore dans des tchoums, utilisent les rennes pour les traîneaux et portent des vêtements de fourrure.
A l’opposé, les Nenets de la Péninsule de Yamal, sont accueillants. Ils aiment la toundra et tiennent à leur identité culturelle forte.

Le Kabaddi : un sport pakistanais dans lequel il faut savoir donner des baffes !

Ce sport de combat très populaire au Pakistan et dans le sous-continent indien a droit à une variante, le slap kabaddi, où le but est simplement... de se mettre des claques, jusqu'à l'abandon d'un des deux adversaires.
Vous aimeriez être payé pour donner des claques à longueur de journée ? Le slap kabaddi est fait pour vous : cette pratique pakistanaise permet à deux hommes de s'affronter dans un match où le seul but est de claquer le corps de l'adversaire tout en esquivant les baffes de son rival.

Une dérive d'un sport populaire, le kabaddi
Le kabaddi est à l'origine un sport de combat collectif qui oppose deux équipes de 7 joueurs : à tour de rôle, un "raider" de l'un des deux camps doit passer dans le camp adverse, toucher le maximum d'adversaires et revenir dans son camp en trente secondes.
S'il y parvient, les joueurs touchés sont éliminés, mais s'il est plaqué dans le camp adversaire, il est lui-même éliminé, jusqu'à ce qu'une élimination effectuée par son camp lui permette de revenir sur le terrain. L'équipe gagnante est celle qui, à la fin du temps réglementaire, a remporté le maximum de points octroyés par les éliminations.


Le Lac Titicaca.

 
Situé dans les Andes (la plus grande chaîne de montagnes du monde, orientée nord-sud tout le long de la côte occidentale de l'Amérique du Sud) à plus de 3800 mètres au-dessus du niveau de la mer, le lac Titicaca s'étend sur environ 4700 km² au Pérou et 3800 km² en Bolivie, pour une longueur de 204 kilomètres, avec une profondeur pouvant atteindre 284 mètres. Il abrite 41 îles, dont certaines sont habitées ou exploitées, et est alimenté par plus de 25 rivières. Sa profondeur maximale atteint 280 mètres                                                                                                                      
 
Le bassin du lac Titicaca (la plus grande étendue d'eau navigable du monde) est ainsi un très ancien foyer de civilisation, et c'est depuis ses rives boliviennes ainsi que des vastes plateaux qui les surmontent que la civilisation de Tianhuanaco s'est mise à rayonner entre l'an 600 et 1000 de notre ère, dont les Incas se sont largement inspirés par la suite.                    
Les îles flottantes des Uros constituent un endroit unique au monde, du nom des Indiens qui les occupaient jadis. Elles sont toujours habitées par de nombreux autochtones.
 
Celles-ci sont construites sur des pilotis faits de troncs d'eucalyptus, tout le reste étant constitué de roseaux, première ressource de l'endroit puisqu'ils sont aussi comestibles. Les maisons, les écoles, le sol lui-même sont en roseau. Les habitants vivent principalement de la pêche, de la chasse aux oiseaux ainsi que de la récolte de plantes lacustres.                                                                           
Parmi les autres îles, on retiendra l'île de Taquille, dont les habitants gèrent eux-mêmes toute l'activité touristique de façon à ne pas nuire à leur propre mode de vie.
 






Elle ne comporte pas d'hôtel mais on peut y passer la nuit chez l'habitant, les Taquilles étant réputés pour leur extrême hospitalité.

                              L'île d'Amantani, quant à elle, est en passe de devenir un des hauts lieux touristiques d'Amérique du Sud et réputée pour ses patios et ses jardins décorés de plantes grimpantes. Elle abrite aussi quelques vestiges archéologiques.                                                                              
 
 
 
La dégradation biologique du lac est telle que les bancs de poissons qui hantaient habituellement les berges parsemées de roseaux ont disparu. Les eaux de la lagune, autrefois potables, ne le sont plus et il a été nécessaire de creuser des puits. Les vaches, qui paissent sur les îles du lac et dont le lait est utilisé pour fabriquer un fromage localement très apprécié, sont atteintes de la douve du foie, un ver parasite très pathogène. Elles n'en meurent pas, mais perdent leurs poils et diminuent leur rendement en lait.


EL ATTAR, le marchand ambulant d’autrefois.

 
Atar, Attar, aatar, âttar, ces mots proviennent de l’arabe dialectale. Ils désignent le marchand d’épices et de plantes médicinales.
Les changements se révèlent dans la perte progressive d’un savoir traditionnel  qui conduit de plus en plus de marocains à délaisser le attar au profit du pharmacien.
Voilà où est arrivé le petit marocain ambulant d’épices, le attar.de toutes les façons, que l’initiative vienne de l’épouse ou du mari, c’est toujours la femme qui se rend chez l’herboriste pour acheter une plante aphrodisiaque et qui cuisine le plat. La « tahmira » c’est surtout ce produit généralement vendu en vrac chez l’attar, le vendeur d’épices. Il avait, dans le but de mettre fin à ses jours, ingurgité un produit « le takaout » que les femmes achètent chez l’attar, pour l’employer comme fortifiant et colorant des cheveux.
Le plus connu à l’époque dans tous les villages était Ahmed El Attar. Il transporte sur sa monture, des produits manufacturés destinés essentiellement pour les femmes.
 

Des dizaines de petits enfants encerclent la bête et repêtent en chœurs et à vive voix :
-         Al Attar, andek chi hamra !
-         Al Attar andek chi safra !
-         Al Attar andek chi kehla !
Et tout ça pour faire allusion si el Attar aurait du piment rouge, du piment jaune ou du piment noir.
El Attar était réputé pour la vente du chewing gum rouge dans ses tournées d’autrefois dans les différents douars moyennant de la laine ou des hayons de laines.
Tout ça a disparu et Ahmed El Attar se retrouve dans son petit « hanout » à Ain Défali et revit son passé tout seul. 

La "SPORTIVA 2012", la voiture de sport, cent pour cent marocaine.


Les étudiants de l'Ecole polytechnique d'Agadir en collaboration avec l'Ecole Nationale Mohamedia d’Ingénieurs ont mis au point un petit bijou automobile, baptisé «  Sportiva 2012 ». Sa fabrication s’est étalée sur  18 mois de travail. Il s’agit d’une voiture  100 % marocaine.



Cette voiture de compétition sportive, qui renvoie une image de performance et de sportivité, a nécessité une enveloppe budgétaire de 600.000DH pour sa réalisation.
Par ailleurs, la Direction de l’Ecole polytechnique d’Agadir prépare le lancement d’un nouveau projet qui consiste en la fabrication d’un 4x4 de compétition, 100 % marocain.

Au Mexique, une fille de 9 ans accouche d’un enfant.

Au Mexique, une fillette âgée de neuf ans a donné le jour à un bébé de 2,7 kilos, le 27 janvier 2013.
 
 


Elle n'avait que huit ans et quelques mois quand elle est tombée enceinte. Le père est un jeune âgé de 17 ans.  



 

Un gros caillou, de la taille d’un terrain de football, va passer à 27700 kilomètres de la terre.


 Le 15 février prochain, un astéroïde va frôler la Terre, Baptisé «Astéroïde 2012 DA14».  Ce gros caillou, de 50 mètres de diamètre, passera à seulement 27 700 km de nous. En principe, il ne devrait pas toucher la Terre. Mais, il pourrait percuter sur sa route des satellites de navigation et de communication qui sont en orbite à 36 000 km de la Terre (par rapport à l’équateur).

 
De nombreux astéroïdes sont déjà passés plus près de la surface terrestre et ne mesurant que quelques mètres : 2011 MD est passé à 12 000 km seulement de la Terre en juin 2011 ; 2008 TS26 à 7100 km, et 2011 CQ1 a seulement 5500 km.
Si par malheur un tel objet devait s’écraser sur Terre, l’impact pourrait être dramatique. Il y a 50 000 ans, un astéroïde de cette taille avait touché la Terre, créant un cratère d’environ 1,5 km de diamètre et profond de 190 m dans le désert de l’Arizona. Plus récemment, en 1908, un astéroïde de taille similaire a explosé au-dessus de la Sibérie, provoquant un souffle rasant des milliers d’hectares de forêt.  

Les arbres les plus vieux du Monde.


  • Le plus vieil arbre de France : l’olivier de Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes) qui serait vieux de plus de 2 000 ans. 
                                                                       
 

  • Le grand cèdre du japon situé à Yakushima, un site du patrimoine mondial de l’humanité, au Japon. C’est le plus vieil arbre de l’île et son âge est estimé selon les spécialistes entre 2100 et 7200 ans ! 
      
 

  • Lolivier le plus vieux du monde serait situé à Vouves à l’ouest de la Crète. Il serait âgé d’approximativement 3000 ans. A cette époque Rome n’était pas fondée et les phéniciens établissaient leurs premiers comptoirs en Italie. L’arbre produit toujours des olives. Les oliviers sont très résistants aux maladies et au feu ; un des critères qui leur assure une grande longévité. 
      
 

  • Le Sénateur est le plus grand (58 mètres de haut) et le plus vieux des cyprès chauves des Etats-unis. Cet arbre est situé dans le Big Tree Parc en Floride. Bien qu’un cyclone ai détruit sa cime, il reste très impressionnant. Il serait vieux de 3500 ans.
      
 

  •  Les forêts pluviales du Chili ont connu une déforestation massive. Il reste cependant des parcs nationaux protégés contenant des arbres parmi les plus majestueux : les Alerces (Fitzroya cupressoides). Certains spécimens d’Alerces ont été évalués (par carottage) à 3625 ans. A l’époque de la naissance de ces arbres débutait le puissant Nouvel Empire Egyptien, où les souverains étaient ensevelis dans des tombeaux creusés dans le roc de la vallée des Rois .
     
 
·        Le cyprès d’Abarqu, aussi appelé Zoroastrian Sarv, est un arbre de la province de Yazd en Iran. Ce monument national iranien serait vieux de 4000 ans. C’est le plus vieil arbre d’Iran et probablement le plus vieil organisme vivant d’Asie. Il serait donc né 2000 ans avant JC, à l’époque de la toute première dynastie royale Chinoise et au moment où les Olmèques apparaissaient dans le golfe du Méxique.
 
                
 
·         Cet if hors du commun situé dans le village de Llangernyw au nord du Pays de Galles serait vieux de 4000 ans environ. L’arbre a pris racine pendant l’âge de bronze et il croît toujours. C’est à cette époque, que sur la même île sont érigés les structures en pierres dressées comme le célèbre Stonehenge (site mégalithique). 
 
·        Le pin de Bristlecone Mathusalem pousse à plus de 3000 m d’altitude dans les White Mountains en Californie, USA. Son âge a été évalué à 4842 ans (en 2010) par dendrochronologie. Son aspect tortueux a rendu cet arbre célèbre. Bien qu’il n’ai pas de feuilles, les scientifiques affirment que l’arbre est toujours vivant et continue sa très lente croissance. Son emplacement exact est tenu secret ; en effet, Prométheus un autre pin de Bristlecone avait 5000 ans lorsqu’il fût abattu en 1963 dans des circonstances inexpliquées. Il reste à ce jour, le plus vieil arbre non clonal connu sur Terre.
  



·        Un epicéa de la province de Dalarna, Suède : 9550 ans. Situé au nord-ouest de Stockholm en Suède, dans une zone montagneuse de la province de Dalécarlie (Dalarna en suédois), cet épicéa atteint l’âge incroyable de 9550 ans ! Les épicéas peuvent se multiplier avec leurs branches au contact du sol formant des racines adventives, produisant ainsi des clones. La racine mère de cet arbre peut donc vivre très longtemps, alors que de nouvelles pousses apparaissent régulièrement. Elle a pu ainsi survivre à des changements climatiques radicaux à travers les âges. 
 
·        Le Pin Huon de Tasmanie : 10.500 ans. Un groupe d’arbres, des Pins Huon situés au nord-ouest de la Tasmanie a révélé un âge de 10.500 ans. Chacun des arbres du bosquet est un mâle génétiquement identique à tous les autres, de sorte que ce bosquet peut être considéré comme formé d’un seul individu. Pas assez protégés, ces conifères restent très menacés par les compagnies minières qui les entourent. A la naissance de cet arbre, vers 8500 avant JC, la ville de Er Riha (Jéricho) est une des premières villes au monde à voir progressivement le jour. L’homme se sédentarise.
 
·        Le créosotier King Clone en Californie, USA : 11.700 ans.  King Clone est un créosotier poussant dans le désert des Mojaves en californie, USA. L’âge de la souche de cet arbuste a été estimé au carbone 14 à 11.700 ans. A cette époque, en 10.000 avant JC, c’est la fin de la période glaciaire et le réchauffement important entraîne la montée des eaux dans l’atlantique faisant sortir les hommes des grottes et cavernes. C’est la fin de l’art pariétal.
 
·        Un chêne de Palmer en Californie, USA : 13.000 ans.  Un chêne de Palmer trouvé sur la colline de Jurupa en Californie, USA a été estimé à au moins 13.000 ans. Là encore, il entre dans la catégorie des arbres clonaux. L’ensemble des repousses émanent bien d’une unique racine. Cet arbuste s’étend sous la forme d’un buisson de 28 mètres par 5 ne dépassant pas 1 mètre de haut. La ville s’étend à ses pieds et grignote chaque jour du terrain, il y a peu de chance qu’il subsiste encore longtemps. 11.000 ans avant JC, les hommes sont encore des chasseur-cueilleurs et les céramiques font leur apparition au Japon.
 
·        Pando, une colonie clonale de peupliers faux-trembles, Utah, USA : 80.000 ans !  Pando est le nom donné à une immense colonie clonale de peupliers faux-trembles située à l’ouest des États-Unis dans l’Utah. Cette colonie de 40 hectares est considérée comme lorganisme vivant le plus lourd et le plus vieux de la planète, avec un poids estimé à 6 millions de kilogrammes, et un âge de 80.000 ans. Toutes les pousses sont issues d’un immense système racinaire unique. Voilà 80.000 ans sur Terre débutait la quatrième glaciation dite glaciation de Würm et les jeunes Homo Sapiens pouvaient croiser les hommes de Néandertal. Toute l’histoire de l’humanité résumée dans une plante : voilà qui laisse songeur.

Les paroles accompagnées de la merveilleuse chanson de Pierre Bachelet : Elle est d'ailleurs .

Le regard triste en dépit d’un visage souriant, Pierre Bachelet a l’image d’un artiste modeste et humain. Débutant sa carrière musicale en composant la Bande Originale du torride Emmanuelle de Just Jaeckin, il a su se constituer un univers musical qui n’appartenait qu’à lui, mélange d’intimité et de pudeur d’un homme simple à la carrière aussi riche que personnelle. 

 
Pierre Bachelet, né le 25 mai 1944 à Paris et mort le 15 février 2005 à Suresnes dans les Hauts-de-Seine, est un auteur-compositeur-interprète français.
 
                                                           

Parc Automobile de l’Etat.

Selon un rapport la Société nationale des transports et de la logistique (SNTL), publié en juillet 2012, l’État marocain dispose d’un parc automobile de 115.000 véhicules dont 38.000 motos,  estampillés du célèbre “M rouge”. 
À titre de comparaison, le parc de l'État marocain fait plus de 38 fois celui du Japon (3.000 véhicules), avaient, il y a quelque temps, noté nos confrères de Yabiladi.