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Variole du singe : comment se transmet-elle, quels sont les symptômes ?

                                     

Cette maladie rare tropicale est observée de près par les épidémiologistes, mais sa progression reste relativement contenue et son tableau clinique, peu inquiétant en Occident, pour le moment.

Virus de la variole de singe.

Au niveau mondial, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a comptabilisé, au 4 juin, 780 cas dans vingt-sept pays. La récente progression observée est inédite dans l’histoire de cette maladie tropicale, habituellement cantonnée à certaines zones du continent africain.
  • Qu’est-ce que la variole du singe ?
La variole du singe (monkeypox, en anglais) est une maladie infectieuse et contagieuse causée par un virus du genre orthopoxvirus, famille dont fait partie la vaccine ou la variole humaine (déclarée éradiquée en 1980 par l’OMS après une large campagne vaccinale). Ce virus est répandu parmi une vingtaine d’espèces animales, dont certains primates et rongeurs, et se transmet épisodiquement aux humains depuis 1970.
La maladie est appelée « variole du singe » parce qu’elle a été découverte en 1958 au Danemark chez des macaques crabiers de Singapour et que sa symptomatologie est très proche de la variole humaine. Elle est néanmoins beaucoup moins virulente, contagieuse et mortelle que celle-ci.
La variole du singe est endémique de deux régions tropicales de l’Afrique subsaharienne, c’est-à-dire qu’elle circule de façon plus ou moins permanente dans ces deux zones :
     - le bassin du Congo, principalement en République démocratique du Congo ;
     - l’Afrique de l’Ouest, principalement au Nigeria.
En Afrique, les deux clades du virus circulent dans deux zones distinctes:
     - Afrique de l'Ouest 
     - Bassin du Congo  
     - Zone mixte
Contrairement aux virus à ARN comme le SARS-CoV-2, celui de la variole du singe est à double brin d’ADN, ce qui signifie que sa réplication se fait quand il pénètre dans le noyau des cellules infectées. Il est assez gros, de forme ovale et protégé par deux membranes. Son génome est lui aussi assez long, ce qui complique les analyses génomiques.
Les virus à ADN mutent moins que ceux à ARN. Néanmoins, deux variants (ou « clades ») existent dans les zones où il circule naturellement : le clade ouest-africain et le clade du bassin du Congo.
Une comparaison des génomes de ces deux clades réalisée en 2005 par une équipe nord-américaine a conclu à une différence d’environ 0,55 %, ce qui suffit à leur conférer une virulence et une mortalité différentes.
  • Quels sont les symptômes de la variole du singe ?
Comme tous les virus du genre orthopoxvirus, le virus de la variole du singe provoque une maladie à pustules. Après une période d’incubation de cinq à dix jours pendant laquelle la personne infectée n’est pas contagieuse, la maladie se manifeste d’abord par une forte fièvre, une grande fatigue, des maux de tête et des courbatures. La grande majorité présente aussi un gonflement prononcé des ganglions lymphatiques à certains endroits (sous la mâchoire, dans les cervicales et dans l’aine).
Au bout de deux jours, elle entre dans sa phase « éruptive » et contagieuse avec l’apparition de lésions sur la peau, sous forme de boutons qui connaissent quatre formes successives :des macules, plates et rouges (un à deux jours) ;
     - des papules, solides et en relief (un à deux jours) ;
     - des vésicules, contenant un liquide clair (un à deux jours) ;
     - des pustules, avec un liquide purulent (cinq à sept jours), contenant une grande quantité de virus vivant, qui peut occasionner des contaminations par contact si les pustules sont arrachées.
Le nombre de boutons varie selon les individus, mais ils évoluent tous en même temps sur une période de deux à quatre semaines vers un dessèchement, ce qui entraîne la formation d’une croûte, jusqu’à disparition totale. Ils peuvent néanmoins laisser des traces visibles sur la peau pendant quelque temps.
En Afrique, ces boutons se concentrent sur le visage et aux extrémités (paume des mains, plante des pieds, parties génitales) et dans une moindre mesure sur le tronc.


En Europe, les lésions cutanées se trouvent davantage sur les zones génitales et périanales, sans se propager aux autres parties du corps, selon les remontées faites à l’OMS. 
  • La variole du singe est-elle dangereuse ?
Certains cas peuvent présenter des symptômes plus graves, comme une infection du derme, des poumons (pneumonie), du cerveau (encéphalite), de la cornée (avec perte de la vue) ou plus rarement un sepsis (un dysfonctionnement des organes secondaires à la suite d’une infection grave). Dans les zones endémiques, ces complications touchent surtout des sujets fragiles – enfants en bas âge, personnes très âgées, immunodéficientes ou touchées par une maladie mettant à rude épreuve le système immunitaire (certains cancers ou maladies du sang, par exemple).
Néanmoins, au 2 juin, aucun décès lié à la variole du singe n’a été enregistré en Amérique du Nord ou en Europe, selon l’OMS. Très peu de malades ont été hospitalisés, en dehors de ceux admis pour traiter une infection secondaire ou pour être mis à l’isolement. En France, sur les 85 cas objets de recherches, deux personnes immunodéprimées ont été hospitalisées mais ne le sont plus, et aucune n’est morte. Cela étant, au vu du rythme d’augmentation des nouveaux cas, « ça risque d’arriver, estime le Dr Davido. Je ne pense pas qu’on soit face à une souche qui n’a aucune virulence ».
En Afrique, le taux de mortalité varie entre 3,6 % et 10,6 %, selon une revue publiée par une équipe de chercheurs américains en février 2022. Entre 1970 et 2019, la variole du singe a provoqué la mort de 78 personnes, dont 68 liées au clade du bassin du Congo. Et depuis le début de l’année 2022, les autorités sanitaires ont recensé 66 morts supplémentaires, sur 1 408 cas (au 1er juin), dont 58 morts rien qu’en République démocratique du Congo (RDC).
En Europe, la maladie n’ayant jamais circulé avant 2018, il n’est pour l’instant pas possible d’y connaître sa mortalité réelle. Les différences de systèmes de santé entre les continents pourraient expliquer les écarts de virulence. L’OMS relève ainsi qu’« avec des soins appropriés, la plupart des patients se rétablissent ». Il faudra néanmoins du temps et des analyses génomiques du virus pour en savoir davantage.
  • Comment se transmet la maladie ?
Les transmissions des animaux aux humains peuvent se produire par contact direct avec le sang, les fluides corporels, les muqueuses ou la peau d’un animal infecté, ou en consommant de la viande insuffisamment cuite. Les transmissions interhumaines sont aussi possibles, mais moins observées par les chercheurs. Il est bien établi que le pathogène se transmet par contact avec des lésions cutanées ou des sécrétions respiratoires (les postillons émis lorsque l’on parle), mais probablement après une interaction prolongée en face-à-face.
Les virus du genre orthopoxvirus survivent assez longtemps en dehors du corps humain, et peuvent se transmettre par les surfaces. Il est donc risqué de manger ou de boire dans la même vaisselle, ou dormir dans la même pièce qu’une personne malade.
Selon Santé publique France, la majorité des personnes atteintes de variole du singe en France sont des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, et pour beaucoup, avec « des partenaires sexuels multiples ». Mais il n’existe jusqu’à présent aucune preuve d’une transmission par voie sexuelle. La contamination s’explique plus probablement par le contact proche et prolongé qu’implique une relation sexuelle. Des travaux sont néanmoins en cours pour savoir si le virus a pu s’adapter.
  • Le vaccin contre la variole protège-t-il de la maladie ?
Les orthopoxvirus ont des protéines de surface, et donc des « signatures », très proches les unes des autres. Ils sont assez sensibles aux anticorps développés contre d’autres virus de la même famille ; on dit qu’ils génèrent une immunité croisée. Le virus peut ainsi être combattu avec des vaccins existants contre d’autres virus du même genre.

Le vaccin contre la vaccine, maladie communément appelée « variole de la vache », utilisé mondialement dans les années 1960 et 1970 pour éradiquer la variole humaine, est efficace à 85 % pour lutter contre l’infection au virus de la variole du singe. En France, cette vaccination antivariolique était obligatoire jusqu’en 1979, ce qui fait que les 34 millions de personnes de plus de 43 ans (soit la moitié de la population) sont en principe bien protégées contre la variole du singe. « Même les gens qui ont été vaccinés il y a de nombreuses décennies maintiennent un très, très haut niveau d’anticorps et la capacité de neutraliser le virus », assure Luigi Ferrucci, directeur scientifique de l’Institut national sur le vieillissement, à Baltimore (Maryland), dans le New York Times. Des travaux publiés en 2007 dans le New England Journal of Medicine montraient que la quantité d’anticorps antivarioliques déclinait très lentement. Cet effet protecteur s’observe dans les données sur les malades : les personnes non vaccinées représentent entre 79 % et 96 % des cas.
A l’heure actuelle, il n’est pas prévu de vacciner tout ou partie de la population avec ce vaccin, tant le nombre de cas est réduit et la contagiosité faible. D’autant que les stocks actuels sont limités et ne permettent pas une vaccination à large échelle, le dernier cas de variole humaine datant de 1977. La stratégie actuelle est plutôt de vacciner les contacts de personnes infectées, celles qui ont le plus grand risque d’être contaminées, conformément à l’avis de la Haute Autorité de santé rendu le 20 mai.

Principaux Pays Producteurs De Blé

  • Ukraine (24 millions de tonnes métriques)

Le blé est cultivé partout en Ukraine, la majorité des rendements étant apportés par les régions du centre et du sud du pays. La culture est plantée à l'automne et récoltée entre juillet et août de l'année suivante. Autrefois communément appelée «le grenier de l'Europe», l'Ukraine produit principalement la variante dure et rouge du blé d'hiver utilisé dans la fabrication du pain. Une augmentation de la production de blé entre 2013 et 2014 a entraîné une augmentation de 41 de 2014 des exportations ukrainiennes de cette récolte.
  • Australie (25 millions de tonnes métriques)

Le blé est l'une des principales cultures d'hiver en Australie. L'Australie occidentale, Victoria, la Nouvelle-Galles du Sud et le Queensland sont les principaux États producteurs de blé du continent. La récolte est semée en automne et récoltée au printemps ou en hiver, en fonction des conditions environnementales. L'Australie-Occidentale est le plus grand exportateur de blé, en particulier vers ces pays d'Asie et du Moyen-Orient, générant des recettes d'environ X milliards de dollars par an grâce à ces ventes. Au cours des dernières années 2, la production annuelle de blé de l’Australie occidentale a connu une hausse annuelle constante de 30%. En revanche, la côte est de l’Australie produit du blé destiné à la consommation intérieure et aux matières premières.

  • Pakistan (26 millions de tonnes métriques)

Le blé au Pakistan est la principale céréale alimentaire et un aliment de base dans le régime alimentaire des Pakistanais. La superficie cultivée à partir de la culture du blé a augmenté de 4.4% entre 2013 et 2014. Le blé est cultivé dans toutes les régions du Pakistan, les rendements maximaux étant obtenus dans les provinces du Pendjab et du Sindh. Les dépôts alluviaux du fleuve Indus contribuent à la fertilité du sol dans ces provinces et encouragent la culture de céréales, y compris le blé, à grande échelle.

  • Allemagne (28 millions de tonnes métriques)
L'Allemagne est l'un des plus grands producteurs de céréales de l'Union européenne (UE) et, en tant que telle, ses pratiques agricoles sont contrôlées par la gestion du marché de l'UE et affectées par les règles et réglementations de l'UE. En 2013, l'Allemagne a exporté X millions de tonnes de blé. Selon les estimations, les minoteries allemandes transforment chaque année des millions de tonnes de blé. Le blé d'hiver est cultivé dans tout le pays, bien que concentré principalement en Allemagne centrale. Bayren (produisant 9.116% du blé total en Allemagne) et Niedersachsen (produisant 7.2% du blé total en Allemagne) sont les plus grands États producteurs de blé du pays. Si les conditions climatiques sont normales, la culture est plantée en octobre et récoltée en août l’année suivante.

  • Canada (29 millions de tonnes métriques)

Le blé est la culture la plus importante au Canada et plusieurs variétés de blé y sont cultivées. Celles-ci comprennent le blé d'hiver, le blé tendre du nord du printemps (blé DNS) et le blé dur. Les grains de blé sont utilisés à plusieurs fins, comme la production de farine pour l'industrie de la boulangerie et pour l'alimentation du bétail. La Saskatchewan est la plus grande région productrice d'ADN et de blé dur au Canada (55% du blé DNS total et 76% du blé dur produit ici), suivie de l'Alberta (26% de la production de blé DNS et 18% du blé dur). L'Ontario, quant à lui, représente 82% de la production totale de blé d'hiver au Canada.

  • France (39 millions de tonnes métriques)

La France est le plus grand producteur de blé en Europe, cette culture étant cultivée dans tout le pays. Il est cultivé au maximum dans les régions du nord de la France. L'État français du Centre est la première région productrice de blé du pays (représentant 16% de la production totale de blé en France), suivi de la Picardie (représentant 10% de la production de blé en France). Le blé d'hiver est la principale variété de blé cultivée dans ce pays. Il est semé à l'automne et récolté en août de l'année suivante.

  • USA (55 millions de tonnes métriques)

Le blé, principale céréale des États-Unis, est cultivé dans tout le pays. Près de X millions de tonnes métriques de blé sont produites aux États-Unis, qui se classent au quatrième rang mondial en termes de quantité de blé produite, et se classant souvent au cours des dernières années entre les États-Unis et la Russie, actuellement à 55rd. Selon la classification de l'USDA, il existe huit variétés de blé cultivées dans le pays. En particulier, les plus importants sont le blé dur (comme pour la fabrication de pâtes), le blé dur d’hiver, le blé de printemps rouge dur, le blé blanc tendre et le blé blanc dur. 3-70% du blé produit aux États-Unis appartient à la catégorie du blé d'hiver (souvent utilisé dans la fabrication du pain en raison de sa forte teneur en gluten). Selon les données de récolte de l'USDA, le Dakota du Nord (80 millions de boisseaux), le 
Kansas (347 millions de boisseaux) et le Montana (246 millions de boisseaux) étaient les plus gros producteurs de blé de 210. 2014% du blé du pays est exporté, générant des recettes d'exportation annuelles de milliards de dollars 50.
  • Russie (60 millions de tonnes métriques)

La Russie est le troisième producteur de blé au monde (X millions de tonnes métriques de cette récolte) et figure parmi les cinq premiers pays exportateurs de blé au monde, toutes années confondues, entre 60 et 2006. Le blé d'hiver est la principale variété de blé cultivée dans le pays. La récolte est principalement pratiquée dans l'ouest de la Russie autour de Moscou. La culture est plantée entre août et la première semaine d'octobre et récoltée entre juillet et août de l'année suivante.

  • Inde (95 millions de tonnes métriques)

Le blé est la deuxième culture vivrière cultivée en Inde (après le riz) et nourrit quotidiennement des centaines de millions d’Indiens. C'est un aliment de base particulièrement important dans les États du nord et du nord-ouest du pays, par exemple près de la frontière pakistanaise. L'Inde représente environ 8.7% de la production totale de blé dans le monde et 13% de toutes les terres cultivées en Inde est consacré à la culture de cette culture. En Inde, l'introduction du plan «Révolution verte» a entraîné une augmentation massive de la production de blé, avec un doublement des rendements nationaux de blé observé au cours de la seule décennie entre 1960 et 1970. L'Uttar Pradesh, le Punjab, l'Haryana et le Madhya Pradesh sont les principaux États producteurs de blé du pays.

  • Chine (126 millions de tonnes métriques)

En tant que premier producteur mondial de blé, la Chine joue un rôle important dans la dynamique des marchés céréaliers à travers le monde. Environ X millions de tonnes métriques de blé sont produites chaque année par le pays, sur une superficie de X millions d’hectares (comparable à la taille de l’ensemble du pays algérien. Le blé est l’un des aliments de base de la population chinoise. 126% de la consommation de céréales dans ce pays.Le blé est largement cultivé dans les vallées du fleuve Jaune et de la rivière Huai, en Chine, où la culture est tournée avec du maïs. riz.

Marocain condamné à mort en Ukraine: première réaction du département de Nasser Bourita

 

Brahim Saâdoun, 21 ans, un homme « gentil », « ouvert d’esprit » et « joyeux », enrôlé dans l’armée Ukrainienne de sa propre volonté, se trouve actuellement emprisonné par une entité qui n’est reconnue ni par les Nations Unies ni par le Maroc, précisent des sources de l’ambassade du Royaume à Kiev.



Selon les mêmes sources, M. Saadoun « est capturé portant l’uniforme de l’armée de l’Etat d’Ukraine, en tant que membre d’une unité de la Marine ukrainienne ».
« Dans ses déclarations, l’intéressé a confirmé s’être enrôlé, de sa propre volonté, dans l’armée ukrainienne », explique-t-on de même source, ajoutant qu’il a même indiqué disposer de la nationalité ukrainienne, « information qui a été, par ailleurs, confirmée par son père ».

COVID-19 : 500 nouveaux cas en 24H

 

Un total de 500 nouveaux cas d'infection au nouveau coronavirus (Covid-19) et 233 guérisons a été enregistré au Maroc dans les dernières 24 heures, a indiqué dimanche le ministère de la Santé et de la Protection sociale.
Dans son bulletin quotidien sur la situation épidémiologique, le ministère a en outre précisé que le nombre de primo-vaccinés a atteint 24.841.824, celui des personnes ayant reçu deux doses s’élève à 23.324.384, alors que 6.477.429 personnes ont eu trois injections du vaccin.
Le nouveau bilan d’infections porte à 1.175.604 le nombre total des contaminations depuis le premier cas signalé au Maroc le 02 mars 2020, tandis que le nombre des personnes rétablies est passé à 1.153.738, soit un taux de guérison de 98,2%.
Les nouveaux cas d’infection ont été recensés dans les régions de Casablanca-Settat (236), Marrakech-Safi (110), Souss-Massa (51), Rabat-Salé-Kénitra (45), Fès-Meknès (25), Tanger-Tétouan-Al Hoceima (22), l’Oriental (06), Draâ-Tafilalet (04) et Béni Mellal-Khénifra (01). Le nombre total des décès est toujours de 16.082 (létalité 1,4%), avec zéro cas enregistré lors des dernières 24 heures.
Les cas actifs sont au nombre de 5.784 alors que les cas sévères ou critiques ont atteint 06 lors des dernières 24 heures, portant leur total à 33.
Quant au taux d’occupation des lits de réanimation, il se situe à 0,6%.

La Nasa va chercher à expliquer les ovnis

 

La possibilité de visites extraterrestres sur Terre est décidément de plus en plus prise au sérieux aux Etats-Unis : la Nasa a annoncé le lancement à l’automne d’une enquête de plusieurs mois portant sur les phénomènes aériens non identifiés – les fameux ovnis.
Après les tentatives du renseignement américain, puis du Pentagone, c’est ainsi au tour de la Nasa de se pencher sur la présence de ces objets, se mouvant par exemple de façon anormale ou très rapide dans notre atmosphère, et ne pouvant être expliqués en l’état actuel de nos connaissances.
Il n’existe aucune preuve que ces phénomènes aient une origine extraterrestre, a souligné d’emblée l’agence spatiale. Mais « si quelqu’un me demandait si je pense qu’il existe une preuve irréfutable de vie intelligente dans l’un de ces phénomènes, je donnerais une réponse tout à fait acceptable pour un scientifique, qui est que je ne sais pas », a déclaré lors d’une conférence de presse Thomas Zurbuchen, administrateur associé à la Nasa. Or le sujet est on ne peut plus important, car il concerne à la fois la sécurité nationale et celle du trafic aérien, a fait valoir l’agence américaine.

Cancer : le succès prometteur de l'immunothérapie.

Une réussite inédite a eu lieu dans le traitement du cancer du rectum. La totalité des patients d'un essai clinique réalisé dans un hôpital de New York, aux États-Unis, sont en rémission grâce à l'immunothérapie. Les résultats sont inespérés.


Un hôpital de New York (États-Unis) a mené un essai clinique sur 12 patients atteints d'une forme spécifique du cancer du rectum, dit "MSI". Les résultats sont spectaculaires. "Nous n'avons jamais vu une telle série de résultats de mémoire, dans l'histoire de la cancérologie. Tous les patients qui ont reçu le traitement ont été guéris, c'est-à-dire que la tumeur a totalement disparu", se réjouit Dr Andrea Cercek, oncologue.

Ongles striés : qu'est-ce que ça signifie ?

 

Vos ongles peuvent en dire long sur votre état de santé. Des conditions allant du stress aux maladies rénales ou thyroïdiennes peuvent causer des changements dans la structure de vos ongles. Un changement courant est l’apparition de stries verticales ou horizontales. Les stries verticales dans les ongles sont les plus communes et sont généralement inoffensives. Il y a des moments où les stries dans les ongles pourraient être un signe d’une condition sous-jacente, surtout si les stries sont horizontales.
Un diagnostic complet peut aider les gens et leurs médecins à décider d’un plan de traitement approprié dans chaque cas. Comme l’effet de la paupière qui saute, nous sommes nombreux à avoir rencontrer ce type de changement, nous allons aujourd’hui parcourir dans cette article les causes et traitements pour des ongles striés.
Les Causes
Les ongles sont faits de cellules de peau vivantes dans vos doigts. Ainsi, une affection cutanée comme l’eczéma peut entraîner la formation de stries ou de crêtes sur les ongles. Le dessèchement de la peau peut également causer ces crêtes. Si votre corps est pauvre en protéines, en calcium, en zinc ou en vitamine A, une carence peut parfois être révélée par des crêtes dans vos ongles.

Les stries verticales :


Ce sont des sillons qui vont du bout de l’ongle jusqu’à la cuticule. On les appelle parfois striations ou bandes longitudinales. De légères crêtes verticales dans les ongles se développent souvent chez les personnes âgées, peut-être en raison d’un ralentissement du renouvellement cellulaire. C’est alors que de nouvelles cellules cutanées produites sous la surface de votre peau s’élèvent pour prendre la place des cellules mortes qui sont éliminées de la surface.
Dans d’autres symptômes comme des changements de couleur ou de texture dans vos ongles, cela peut être causé par un problème médical. Dans la dystrophie des ongles, les crêtes peuvent être accompagnées d’un changement de couleur à vos ongles, ou vos ongles peuvent devenir rugueux ou cassants. L’anémie ferriprive peut également déclencher des cimes verticales et des changements dans vos ongles qui les rendent concaves ou en forme de cuillère.

Les stries horizontales :

Les stries horizontales profondes, appelées lignes de Beau, sont souvent les symptômes d’une maladie grave. Ils peuvent en fait arrêter la croissance de l’ongle jusqu’à ce que l’affection sous-jacente soit traitée. Une maladie rénale aiguë peut également être présente si les rides de Beau apparaissent. En outre, quand les lignes de Beau se développent sur tous les 20 ongles, il pourrait être un symptôme des maladies suivantes :

  • - oreillons,
  • - maladie thyroïdienne,
  • - diabète,
  • - syphilis.
  • La chimiothérapie peut également causer les rides de Beau. Un traumatisme à vos ongles peut provoquer la formation de taches rouges ou brunes sous vos ongles. Cependant, si vous remarquez des changements de couleur brun foncé, noir ou rouge sous vos ongles et que vous n’avez pas subi de traumatisme de l’ongle, cela peut être un symptôme d’une affection plus grave, comme une endocardite ou un mélanome.

Zeus est le plus grand chien du monde selon le Guinness Book


Le Guinness Book des records vient de décerner le titre du plus grand chien du monde à Zeus, un grand danois, ou dogue allemand, âgé de deux ans. Alors qu’il pesait déjà 11 kg à seulement 3 mois, il dépasse aujourd’hui les 91 kg et mesure un peu plus d’un mètre de haut au garrot. S’il se dresse sur ses pattes arrière, il atteint même 2,10 m.

20 à 24 bols de nourriture sèche par jour

« Dire que j’ai été surprise était un euphémisme », a confié sa propriétaire Brittany Davis. Même si elle désirait un grand chien, elle a constaté que Zeus grandissait vite, très vite. C’est son frère qui lui a offert ce chien en février 2020.

Deux ans après, elle se retrouve donc avec le plus grand chien du monde. « Il a toujours aimé manger et maintenant il mange 10 à 12 bols de nourriture sèche deux fois par jour », a expliqué Brittany Davis. Zeus mange aussi des oeufs au plat ou encore des carottes.

« Il est si grand qu’il peut se mettre au niveau du comptoir »

Mais l'animal profite aussi de sa grande taille pour voler de la nourriture, notamment le petit déjeuner du fils de Brittany Davis. « Il n’a pas besoin de faire trop d’efforts, il est si grand qu’il peut se mettre au niveau du comptoir et prendre ce qu’il veut », a raconté la propriétaire.

Malgré son gabarit imposant, Zeus se comporte toujours comme un bébé et adore se mettre sur les genoux des gens. Un peu encombrant sur son canapé…

Qu’est-ce qu’un cookie ?

 

Un cookie est un fichier informatique qui fonctionne sur tous les sites internet. Cela permet d’enregistrer les informations des visiteurs dans les données des moteurs de recherche. Les informations récoltées permettent de connaître les différentes recherches effectuées par les utilisateurs et de répertorier leur historique de visites.

Qu’est-ce qu’un moteur de recherche ?

Comme son nom l’indique, un moteur de recherche représente un logiciel qui permet d’effectuer des recherches à l’aide d’une phrase ou d’un ou plusieurs mots-clés. Les moteurs de recherches les plus répétés sont YahooGoogle ou encore Bing. Grâce à l’indexation des pages des milliards de sites internet présents sur internet, les moteurs de recherche affichent les meilleurs résultats pour répondre à votre recherche.

Que faire en cas d’orage ?


Les experts de l’Organisation météorologique mondiale rappellent que la foudre « est un risque majeur » et que « de nombreuses victimes sont à déplorer chaque année ». « Ces nouveaux records d'éclairs mettent en évidence les graves préoccupations de sécurité publique que suscitent les nuages électrisés qui produisent des éclairs pouvant parcourir des distances considérables. »
Alors, quelle attitude adopter en cas d’orage ? « Dès que l’on entend le tonnerre, il faut se mettre à l’abri de la foudre. Selon les experts, les seuls endroits sûrs sont les bâtiments « en dur, de dimensions suffisantes, dotés d’une installation électrique et d’une tuyauterie, et surtout pas une plage ni un arrêt de bus. Ou bien à l’intérieur d’un véhicule entièrement fermé, mais pas sur une moto. »

Les plus belles ruines dans le monde

Un peu partout dans le monde, les civilisations anciennes ont laissé derrière leur passage un précieux héritage architecturale. Les événements de l'histoire ainsi que le temps qui passe ont parfois abîmé ces monuments ou les ont partiellement détruits, mais les ruines qui restent sont, pour certaines, encore très impressionnantes. Ce sont des châteaux, des temples ou bien encore des bâtisses pleins de mystères. Ils restent des édifices fascinants à découvrir et qui nous en apprennent plus sur la vie de ceux qui ont habité la terre lors des siècles passés. De l'Europe à l'Asie, en passant par l'Afrique ou bien encore l'Amérique du Sud, voici 10 des plus belles ruines que l'on peut encore contempler dans le monde.

  • Le temple Ta Prohm, Cambodge
Construit au XIIe siècle, ce temple bouddhiste est l'un des plus incroyables du site d'Angkor. Bâti sous le règne de Jayavarman VII, il a notamment servi de monastère et d’université. Il est entouré d'une grande enceinte et on trouve un gopura orné des 4 visages typiques d’Angkor à chaque point cardinal. On y découvre des couloirs, des douves, et observer les détails sur la structure est un moment divin. On est également toujours surpris de voir la nature reprendre ses droits, et notamment les énormes racines d'arbres nommés fromagers, qui par endroits envahissent le monument.

  • Le site de Baalbek, Liban
C'est au nord-est de Beyrouth, dans la ville de Baalbek, que se trouvent de gigantesques vestiges de temples construits il y a près de 5 000 ans par les Phéniciens. Une cité antique libanaise qui accueille chaque année de nombreux visiteurs venus profiter de la splendeur des temples des Muses, de Bacchus, l'un des mieux conservés de l'époque gréco-romaine, ou bien encore de Jupiter, qui possède encore six impressionnantes colonnes d'un peu plus de 22 m de haut. Depuis 1955, Balbeek accueille chaque été un festival international où des artistes du monde entier, orchestres, ballets et autres chanteur lyriques, viennent se produire au cœur de ce site à la beauté rare.

  • L'ancienne Messène, Grèce
Tout le monde connaît la Grèce pour être un des pays d'Europe parmi lesquels les sites antiques sont d'une incroyable beauté. Dans le sud-ouest du Péloponnèse, c'est au IVe siècle av. J.-C. que l'ancienne cité de Messène a prospéré. Pour certains professionnels, les fouilles qui ont pris place jusqu'à aujourd'hui ont permis de révéler un peu plus d'un tiers des vestiges, dont des temples, des statues, des sanctuaires, un gymnase, un théâtre et une agora. Un passage par ce site de toute beauté marque les esprits, notamment aussi car il est entouré d'une sublime nature vallonnée et verdoyante.

  • Le Wat Ratchaburana, Thaïlande
Situé dans le parc historique d'Ayutthaya, le temple Wat Ratchaburana est l'un des plus beaux temples khmers du site. Ce sanctuaire vieux de 600 ans a été bâti pour être un lieu de culte, mais aussi un crématorium. On est toujours surpris par l'exceptionnelle beauté de son prang en pierre, qui témoigne de l'âge d'or de la cité et qui rappelle la grandeur et le prestige de l’empire disparu. Il est possible d'entrer à l'intérieur et de monter un escalier menant vers deux chambres où des peintures sont encore visibles sur les murs. À savoir pour informations que le Wat Ratchaburana se visite généralement en duo avec le Wat Mahathat, situé juste en face.

  • Les grottes d'Ellorâ, Inde
C'est à 30 km de la ville d'Aurangâbâd que se trouve les 34 monastères et temples creusés dans la paroi d'une haute falaise basaltique. Une sublime architecture troglodytique construit au début du VIIe siècle et dont les sanctuaires étaient consacrés aux cultes du bouddhisme, au jaïnisme et au brahmanisme, ce qui évoque parfaitement l'esprit de tolérance de l'Inde ancienne. Les détails sculptés dans la pierre sont très impressionnants, complexes, et le temple de Kailâsanâtha est très certainement le plus beau du site, excavé de la falaise et dont la taille est de deux fois celle du célèbre Parthénon d'Athènes.

  • Le château de Dunluce, Irlande du Nord
En Irlande du Nord, le château de Dunlunce a été bâti pour la première fois au XIIIe siècle en haut d'une gigantesque falaise surplombant la mer. Une position stratégique à l'époque pour surveiller les bateaux ennemis qui arrivaient à proximité des terres. Après être passé entre les mains de la famille MacQuillan jusqu'au XVIe siècle puis entre les mains des Anglais, sous le commandement de Sorley Bob McDonnell, le monument fut pris dans une terrible tempête en 1639, détruisant de nombreuses pièces et laissant derrière lui les ruines actuelles. Il est aujourd'hui possible de visiter l'intérieur et l'extérieur de l'un des plus beaux édifices du patrimoine nord-irlandais. 

  • La cité de Jerash, Jordanie
Après Petra, Jerash est la deuxième destination touristique de Jordanie, où les visiteurs viennent contempler l'un des sites gréco-romains parmi les plus spectaculaires et les mieux conservés au monde. Jerash fut donc occupée par les Romains avant d'être abandonnée vers le XIIe siècle. Elle est ensuite restée ensevelie sous le sable pendant des siècles, avant d'être redécouverte. Les éléments à ne pas manquer sont notamment les sièges du théâtre sud, le mur de la scène du théâtre, le temple de Zeus, le cardo Maximus ou bien encore la place Ovale. Jerash est une destination de choix pour les amateurs d'architecture ancienne.

  • Le site de Butrint, Albanie
Situées à seulement quelques kilomètres de l'agréable station balnéaire de Saranda en Albanie, les ruines du site archéologique de Butrint valent définitivement le détour. Pour les passionnés de l'Antiquité et de vestiges grecs et romains, le site dévoile des éléments très intéressants tels que les colonnes du baptistère d'une église du VIe siècle, une agora mais aussi un théâtre aux gradins et à la scène extrêmement bien préservés. Ce qui fait également le charme du lieu, au-delà des splendeurs architecturales et de la compréhension de l'organisation de la vie de l'ancienne cité, c'est sa situation exceptionnelle sur une colline, dans une presqu'île entre l'Adriatique et le canal Vivari.

  • Le site archéologique de Tiwanaku, Bolivie
Le site de Tiwanaku se trouve à 3 850 m d'altitude à environ 15 km au sud du lac Titicaca en Bolivie. C'est un lieu deréférence pour tous ceux qui s'intéressent à l'architecture pré-colombienne. On y trouve un ensemble d'édifices remarquables formant l'ensemble cérémoniel de la civilisation Tiwanaku. Le monument le plus impressionnant parmi les vestiges se trouve être le temple d'Akapana, une pyramide de 18 m de hauteur composée de sept plates-formes. Mais il ne faut pas non plus manquer d'aller voir la porte du Soleil et ses sublimes motifs, la pyramide de Puma Punku ainsi que les différents monolithes. Celui de Ponce est une statue de 3 m de hauteur représentant un prêtre, et recouvertes de gravures représentatives de l'iconographie Aymara. 

  • Les pyramides de Méroé, Soudan
Il n'y a pas que l'Égypte et l'Amérique du Sud qui dévoilent des pyramides de toute beauté. Dans le désert du Soudan, les pyramides et vestiges de Méroé sont les mieux préservés de l'ancien royaume de Koush. Leur construction date du IIIe siècle av. J.-C., mais c'est en 1822 qu'elles ont été découvertes par les deux explorateurs français Pierre-Constant Letorze et Frédéric Cailliaud. Cette ancienne capitale de Nubie prend fièrement place parmi les collines de sable de couleur ocre et invite les visiteurs à flâner entre ses sépultures et ses ruines. Si la construction des pyramides s'inspire de celles que l'on trouve en Égypte, on note tout de même quelques différences : elles sont dotées de fortes pentes, sont moins imposantes et ne possèdent qu'une seule chambre destinée à accueillir le cadavre royal. Le site est inscrit au patrimoine mondiale de l'Unesco depuis 2011.

Combien de temps met la lumière du Soleil pour atteindre les planètes (et Pluton) ?

Lorsqu’elle voyage de l’étoile vers les différents astres du système solaire, combien de temps faut-il à la lumière pour les atteindre ? En une seconde, elle parcourt 299 792 kilomètres. Il lui faut 449 secondes pour voyager du Soleil vers la Terre, en parcourant une distance qu’on appelle l’unité astronomique — qui équivaut à environ 150 millions de kilomètres, la distance Terre-Soleil.

Et pour atteindre les autres planètes du système solaire, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune, ainsi que la planète naine Pluton ? Cette animation créée par Nino Barbey, motion designeuse chez Numemara, apporte la réponse.
Planète (ou planète naine)Distance (unités astronomiques)Distance (kilomètres)Temps
Mercure0,3957 900 0003,2 minutes
Vénus0,72108 200 0006 minutes
Terre1149 600 0008,3 minutes
Mars1,52227 900 00012,6 minutes
Jupiter5,2778 600 00043,2 minutes
Saturne9,541 433 500 00079,3 minutes
Uranus19,22 872 500 000159,6 minutes
Neptune30,064 495 100 0004,1 heures
Pluton39,445 900 140 0005,5 heures

D’une certaine façon, ces chiffres permettent de se rendre compte de la « lenteur » de la vitesse de la lumière, à l’échelle du système solaire. C’est ce que montrait déjà cette autre animation du déplacement de la lumière entre la Terre et Mars. On se représente un peu mieux l’immensité de l’espace en songeant qu’il faut plus de 5 heures à Pluton pour recevoir la lumière émise par le Soleil.

Le premier cas confirmé de variole de singe fait l'objet d’une surveillance médicale minutieuse (Baitas)

 

 Le premier cas confirmé de variole du singe enregistré au Royaume fait actuellement l’objet d’une surveillance minutieuse de la part des autorités marocaines, a affirmé, jeudi, le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas.

Ce cas, en provenance d’un pays européen, a été pris en charge conformément au protocole sanitaire en vigueur, a précisé M. Baitas lors d’un point de presse à l’issue du Conseil du gouvernement, réuni sous la présidence du Chef du gouvernement Aziz Akhannouch, faisant savoir que les cas contacts ont subi des analyses de laboratoire en application des mesures sanitaires préventives.

La détection de ce premier cas s’est faite grâce au système de vigilance mis en place par le ministère de la Santé et de la protection sociale, relevant que la détection se fait de manière précise et sérieuse.

Le ministère de la Santé et de la protection sociale oeuvre avec le sérieux requis, d’autant plus qu’on est à la veille d’une saison touristique qui s’annonce importante, a-t-il souligné.

QU'EST-CE QUE LA 3-MMC , CETTE DROGUE PRÉSENTÉE COMME LA "NOUVELLE COCAÏNE"?

 

Son nom complet est 3-méthylméthcathinone, mais elle est surtout appelée 3-MMC. La consommation de cette drogue, connue depuis le début des années 2010, s'est répandue dans la population ces dernières années, et est parfois présentée comme une alternative moins chère à la cocaïne. "C'est la nouvelle coke", déclare dans Le Parisien un consommateur récent, qui a essayé pour la première fois ce produit il y a quelques mois.
Dans son dernier rapport, l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies parle d'un "phénomène marquant" et cette drogue fait partie des substances qui "suscitent des inquiétudes en Europe", écrivait l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) en mars dernier.


De quoi est composée la 3-MMC?
Cette drogue fait partie de ce qui est appelé les cathinones de synthèse. Il s'agit d'une "famille de substances de synthèse dérivées de la cathinone naturelle", issue de la plante de khat (Catha edulis), explique le site Drogues Info Service. "Elles imitent plus ou moins les effets de la cocaïne, de la MDMA/ecstasy et des amphétamines."
La 3-MMC a été officiellement identifiée et catégorisée comme une nouvelles substance psychoactive par l'OEDT en septembre 2012, après "une saisie douanière de 51,1 grammes de poudre effectuée le 27 juin 2012 à Göteborg", explique l'organisation européenne. La circulation de cette substance est depuis surveillée, et des saisies de cette drogue sont de temps à autres annoncées.
Ce produit peut se présenter sous la forme de poudre, de cristal mais aussi de comprimés. Il est "ingéré, sniffé, plus rarement injecté (slam) ou consommé par voie rectale", écrit l'OFDT. Il est "sniffé ou ingéré, mais l'injection est également signalée dans des contextes à haut risque, tels que les soirées 'chemsex'", explique l'OEDT.

Quels sont ses effets?
La 3-MMC "a pour but de lever les inhibitions, d’augmenter le plaisir" et était jusque-là "presque exclusivement" consommée "parmi des hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HSH) dans des contextes mêlant sexualité, le plus souvent en groupe, et consommation de produits psychoactifs de synthèse", ce qui est appelé le chemsex, explique l'OFDT.

La 3-MMC est "à la fois stimulante, euphorisante et empathogène", continue l'organisme français. Les usagers définissent ses effets "comme une combinaison de ceux de la cocaïne, de la MDMA et des amphétamines", des produits déjà connus dans le milieu festif.
Pourquoi se produit se propage-t-il davantage dernièrement?

Depuis quelques années, cette drogue s'est propagée dans d'autres groupes et est utilisée par d'autres personnes, homosexuelles ou hétérosexuelles, dans des contextes festifs. "On observe une extension non-négligeable des usages de la 3-MMC en dehors d’un contexte sexuel, montrant des signes de diffusion à l’extérieur des communautés gay et HSH", peut-on lire dans un rapport de mars 2022 sur le Chemsex, à destination du ministère de la Santé.
Alors que les quantités de poudres de cathinones étaient en diminution depuis 2016, "en 2020, il y a eu une augmentation significative, avec environ 3300 kg de poudres saisies", contre environ 1800 kg en 2016, écrit l'OEDT.
"Il semble qu'au moins en partie, cette augmentation ait été due au 3-MMC qui représentait près du quart de la quantité de poudres saisies en 2020."

Appel du Pape François

 

« S’il vous plaît, n’utilisez pas le blé, un aliment de base, comme une arme de guerre ! »

Le pape François a appelé ce mercredi à mettre fin au blocage des exportations de céréales de l’Ukraine, défendant le « droit universel à l’alimentation » et rejetant l’utilisation du blé comme « arme de guerre ». « Le blocage des exportations de céréales de l’Ukraine, dont dépend la vie de millions de personnes, notamment dans les pays les plus pauvres, est très préoccupant », s’est-il inquiété.

Les Nations Unies avertissent qu’une crise alimentaire mondiale se profile, indique Vatican News en anglais de ce mercredi. Le prix des céréales, de l’huile de cuisson, des engrais et de l’énergie a grimpé à mesure que la guerre se poursuit et que l’Occident impose des sanctions à la Russie en réponse à son invasion de l’Ukraine.
Pour aider à éviter la crise, l’Ukraine tente d’exporter ses réserves de céréales par route, fleuve et voie ferrée, mais elle n’a aucune chance d’atteindre ses objectifs à moins que la Russie ne lève son blocus des ports ukrainiens de la mer Noire.

Le spectre de la famine


La brutale diminution des exportations céréalières ukrainiennes et les sanctions imposées à Moscou provoquent la hausse des prix sur les marchés. Les pays importateurs cherchent de nouveaux fournisseurs tandis que près de 1,7 milliard d’individus pourraient subir des pénuries.


Depuis le début de la guerre en Ukraine, le 24 février, le risque d’une immense crise alimentaire provoque l’inquiétude. De nombreux indicateurs confirment la gravité de la situation. Aux États-Unis, les cours du blé tendre sur le Chicago Mercantile Exchange — l’une des places de référence pour les contrats céréaliers — sont ainsi passés de 275 euros la tonne au 1er janvier au seuil symbolique des 400 euros en avril. Sur tous les marchés à terme où s’échangent les produits céréaliers, les indices de volatilité des prix sont au plus haut, les cours fluctuant dans une même séance au gré des nouvelles du front et de l’avancée des négociations entre Moscou et Kiev. De façon plus générale, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’indice des prix des produits alimentaires a atteint son plus haut niveau depuis sa création en 1990 en raison de l’inflation concernant les céréales et les huiles végétales.


Pour comprendre les raisons de cette flambée, il faut examiner les caractéristiques du commerce mondial de blé, céréale consommée, depuis l’Antiquité, par la quasi-totalité de l’humanité sous différentes formes d’aliments essentiels : pain, pâtes, gâteaux, etc. Depuis quelques années, la planète produit en moyenne entre 780 et 800 millions de tonnes de cette céréale, contre 600 millions en 2000.


Les producteurs demeurent très nombreux, mais rares sont ceux capables d’accompagner la croissance de la consommation en dégageant des surplus pour en exporter une partie à destination de pays qui ne sont pas autosuffisants. Bon an mal an, en tenant compte des épisodes climatiques ici ou là (sécheresses, inondations) qui génèrent de faibles récoltes ou des récoltes de mauvaise qualité, les échanges mondiaux portent sur 200 à 230 millions de tonnes. La Russie et l’Ukraine contribuant à hauteur du tiers de ces échanges, on comprend la nervosité des importateurs. Depuis le début du conflit, 6 millions de tonnes de blé ukrainien sont bloquées dans les ports de Mykolaïv, d’Odessa et (...)