Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Les villes les plus et les moins chères du monde.

  • Tokyo, la capitale du Pays du Soleil levant, remporte donc la palme de la ville la plus chère au monde pour les expatriés,
  • talonnée de près par sa voisine Osaka.
  • Moscou qui détenait le record en 2008 est repassée en 3e position,
  • devant Genève (4e),
  • et New-York (12e).

La chèreté concerne les biens et services comme le logement, la nourriture, l’habillement, les transports, les appareils ménagers et les loisirs.

Si vous souhaitez vous expatrier dans une ville où le coût de la vie est encore bas, misez plutôt sur les villes des pays fraîchement entrés dans l’UE comme:
  • Ljubljana en Slovénie,
  • Vilnius en Lituanie,

  • Bucarest en Roumanie,
  • ou Limassol à Chypre.

  • Hors Union Européenne, c’est à Asuncion au Paraguay que le niveau de vie est le moins cher !


Les villes les plus dangereuses de la planète.

  • En tête, Caracas (3,2 millions d’habitants), la capitale du Venezuela, devenue en quelques années la reine des capitales du crime de sang (130 homicides/100 000 habitants/année), détrônant Bogotá et Rio en Amérique du Sud.


  • Sur le continent africain, la ville du Cap (3,5 millions d’habitants), en Afrique du Sud, avec une moyenne de près de six meurtres par jour, effraie. La plupart ont lieu dans les townships. Or Le Cap abrite le plus grand bidonville du pays.


  • Comparée à Caracas ou au Cap, Moscou (10,5 millions d’habitants) paraît plus sage. Mais la capitale russe se distingue sur le Vieux-Continent avec près de dix meurtres, quand à Rome, à Londres ou Paris, on est à deux.

  • Bienvenue à Port Moresby, capitale de Papouasie-Nouvelle-Guinée, situé dans le golfe de Papouasie, sur le district de la Capitale nationale, ses gangs, «les raskols», sa police corrompue, ses 80% de chômeurs et ses mafieux chinois!



Y a-t-il des vacances pour les pauvres ?


Dans les grandes villes du Maroc, tout le monde ne parle que de vacances ces jours-ci, les hommes d’affaires, les fonctionnaires, les ingénieurs, les médecins,, les journalistes, etc… Mais ceux qui n’en parlent même pas, sont tout aussi nombreux. Ils sont plus de la moitié de la population marocaine ceux qui vont rester chez eux pendant les vacances. Parmi ceux-ci, il y en a qui ne partent nulle part du fait des difficultés économiques dues à la crise financière mondiale. Il y en a aussi d’autres qui ne partent jamais. Ceux-là qui, crise ou pas, ne peuvent pas se permettre un voyage, toujours trop coûteux pour eux.




L’égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux loisirs et aux vacances, devrait être un objectif national pour garantir l’exercice effectif de la citoyenneté. La réalisation de cet objectif passe par le développement économique et social mais également par l’optimisation des aides au départ en vacances des familles et des personnes en situation d’exclusion à travers le renforcement et le soutien aux structures d’hébergement du tourisme associatif et solidaire. Ce soutien est nécessaire pour ce ces structures puissent offrir des vacances à un coût accessible et qu’elles puissent pleinement poursuivre leurs objectifs de mixité sociale en proposant des séjours pour tous.


L’excision est totalement interdite par l’islam.

Les mutilations génitales féminines, plus communément appelées excisions, désignent l'ablation totale ou partielle des organes génitaux féminins extérieurs ou toute autre lésion des organes génitaux féminins qui sont pratiquées pour des raisons non médicales.


L’excision est une pratique totalement interdite par l’islam, en raison des preuves formelles sur ses multiples effets néfastes sur le corps et l’esprit des femmes. Exciser une femme, par l’ablation ou la réduction d’une partie de son corps, sans qu’il y ait de justification ou de nécessité est prohibé par l’islam.
L’excision des femmes est une coutume sociale contrairement à la circoncision des hommes qui est un rite.


En Egypte, La pratique remonte au temps des pharaons. Elle touchait un fort pourcentage (jusqu’à 80 ) des Egyptiennes, chrétiennes comme musulmanes. L’excision existe également dans certains pays africains.

La station spatiale internationale (ISS)


La station spatiale internationale (ISS) représente une étape majeure pour la connaissance et la maîtrise de ce mondefascinant en permettant de faire vivre et travailler l’homme dans l’espace, sa durée de vie étant d’une dizaine d’années au minimum.
Pour réaliser ce projet d’une ampleur inégalée, les Etats-Unis, la Russie, le Canada, le Japon, et l'Europe avec 11 pays membres de l'ESA ( Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, France, Italie, Norvège, Pays-Bas, Suède et Suisse) ont uni leurs compétences.
Le lancement du premier élément de l’ISS, le module russe Zarya, a eu lieu en 1998 et, depuis novembre 2000, deux ou trois spationautes occupent en permanence la station.


L'ISS est aujourd'hui le plus grand objet artificiel placé en orbite terrestre. Les dimensions de la station sont équivalentes à celles d’un terrain de football. Elle occupe un volume de 110 m. x 74 m. x 30 m. et pèse environ 420 tonnes. Le volume d'espace pressurisé est de 935 m³. Les panneaux solaires d'une superficie de 2500 m² fournissent 110 kw d'électricité. La station spatiale se déplace en orbite autour de la Terre à une altitude d'environ 350 kilomètres, à une vitesse de 27 700 km/h (7,7 km/s) , en faisant le tour de notre planète 15 fois par jour.




L’ISS représente un terrain d’expérimentation unique pour les sciences de la vie et de la matière, la physique fondamentale, mais aussi une plateforme d’observation de la Terre et de l’Univers.



Histoire des Émirats arabes unis

  • Au tout début : des bédouins marchands.
Les premières traces de civilisation aux Émirats remontent à plus de 7500 ans.
Les fouilles archéologiques montrent qu'il s'agissait déjà à l'époque d'un peuple qui pratiquait le commerce et qui était plutôt nomade que sédentaire. Car déjà à l'époque, le coin est un désert de sable, sans animaux à part quelques chameaux, et sans eau, donc sans végétation. Seuls de rares oasis permettent de faire pousser des palmiers et quelques rares cultures. Il faut donc se déplacer pour survivre et les habitants de la région sont très naturellement marchands et nomades.

  • Arrivée de l'Islam.

Premier gros changement au VIIe siècle. Les émissaires de Mahomet arrivent dans la région et tout ce petit monde se convertit à l'Islam. Avec l'Islam vient la langue arabe et toute la culture qui va avec : l'art islamique, l'écriture, mais aussi les mathématiques, l'astronomie ... 
Les Émirats, qui sont encore loin de s'appeler comme ça, servent même de base à la conquête islamique de la Perse (aujourd'hui l'Iran)

  • De très bons marins.

Comme l'emplacement est intéressant (les émirats sont à la porte du golfe persique), ils vont se développer par la mer.
Les arabes sont de très bons marins, et les tribus émiraties profitent de l'aide de leur frères musulmans ; ils savent calculer leur position en mer en fonction des étoiles bien avant les européens, et ils profitent d'une position assez centrale pour faire du commerce maritime, notamment avec les Indes et la Chine. On dit même que ce sont eux qui aiguillèrent Marco Polo au XIIIe siècle pour trouver le chemin jusqu'en Chine.

  • Les Européens s'en mêlent.

Mais rapidement, les Européens se mettent à voyager, à coloniser, et sont très intéressés par l'Inde et l'Asie. Au XVIIe siècle, ils se rendent compte que les tribus émiraties représentent une menace pour leurs flottes commerciales.
Les Britanniques, puis les portugais attaquent les ports émiratis. Bien sûr, ils ne se laissent pas faire, et par un jeu d'alliance tournante (comme c'était souvent le cas à l'époque), ils infligent même quelques belles défaites aux Européens. Mais ceux-ci sont plus riches et mieux armés. Les britanniques remportent une série de victoires, jusqu'en 1820, ou les Anglais imposent une trêve aux émirats. Ils s'engagent à les protéger en échange de l'arrêt des combats et de la piraterie.
Les États de la Trêve, précurseurs des Émirats, sont nés.

  • On enfile des perles ...

Sous protectorat britannique, les Émirats retrouvent la paix... mais toujours pas la richesse, les Anglais ayant mis le commerce maritime bien sous contrôle. Ils survivent grâce au commerce des perles, mais cela ne les rend pas très riches pour autant. 
Les deux guerres mondiales, la crise de 1929, et l'arrivée des perles de synthèse auront raison de l'industrie perlière des émirats, et ceux-ci retombent dans la pauvreté.

  • Et nous voilà en 1960

Cela nous amène en 1960. Alors que le reste du monde s'est développé, les émirats restent sous protectorat anglais, vivant majoritairement dans le désert du commerce en caravanes de chameaux.
Les bédouins vivent comme ils peuvent, et à peu près personne dans le monde ne s'intéresse à eux. Ils souffrent de la chaleur, de la soif, n'ont pas de ressources, une alimentation peu variée, quasiment pas de soins ni d'éducation, une durée de vie très courte. A cette époque, Dubaï est un petit village dont les habitations ne dépassent pas deux étages. Bref, c'est pas la joie ! En photo à droite, le front de mer d'Abu Dhabi en 1950 ; on est très loin de ce qu'on connaît aujourd'hui.
Jusqu'à ce que ...

  • On a trouvé du pétrole !


Jusqu'à ce que ... oh miracle ! Alors qu'on croyait que les Émirats n'avaient pas une goutte de pétrole, ils se trouvent qu'ils en ont. Et pas qu'un peu ; ils ont les troisièmes plus grosses réserves du monde.
A cette époque, il y a deux familles puissantes aux Émirats : les Al Maktoum et les Al Nahyan. Ils sont d'ailleurs cousins éloignés. Les Al Maktoum sont émirs de Dubaï, et les Al Nahyan émirs d'Abu Dhabi. Et comme souvent dans ce cas, ils sont rivaux. Et, pas de chance pour les Al Maktoum, c'est sur le territoire d'Abu Dhabi qu'on a trouvé du pétrole.
Déjà à cette époque, le pétrole se vend bien. La famille Al Nahyan devient donc très riche.
Zayed bin Sultan Al Nahyan (en photo) est alors un homme charismatique qui rêve de grandeur pour son peuple. Son frère lui laisse le trône pour mener à bien ses projets, et il met tout en place pour tirer parti de l'or noir.

  • Vers l'indépendance des Emirats

Rapidement, les Britanniques sont dépassés par le poids financier de Zayed. Ils acceptent de lever leur protectorat sur les Emirats en 1968. 
On se retrouve donc avec 9 émirats désormais indépendants : Abu Dhabi, Dubaï, Sharjah, Fujaïrah, Ras-al-Khaimah, Ajman, Umm-al Qaiwaïn, plus Bahreïn et Qatar. Comme Qatar et Bahrein ont aussi découvert du pétrole entre temps, ils ne parviennent pas à se mettre d'accord avec Zayed sur qui prendra le pouvoir. 
Du coup, ils font chacun un état de leur côté, et en 1971, Sheikh Zayed, qui a bien compris que l'union fait la force, prend sous sa coupe les 6 autres émirats qui composent aujourd'hui les émirats arabes unis. Il en est le président, et Sheikh Maktoum bin Rachid al Maktoum, émir de Dubaï, devient premier ministre. 
Il faut savoir que les revenus du pétrole reviennent en grande partie à la famille Al Nahyan. Aujourd'hui, cela représente 150 millions de dollars par jour. 
Donc, que faire de cet argent ?

  • En premier, les Emiratis développent tout ce qui leur manquait avant : des habitations, des hôpitaux, des écoles, de l'eau (par désalinisation), importer de la nourriture ...
  • Ensuite, répartir les richesses : parce que si une famille garde tout pour elle, ça fait un système bancal. Absolument aucun Émirati n'est pauvre, loin de là.
  • Se diversifier et ne pas dépendre que du pétrole, et ne pas retomber dans la pauvreté en cas de coup dur,
  • Enfin, exister sur la scène internationale, financière et militaire pour éviter les attaques de certains pays voisins. En effet, l'Iran a profité de la fondation des émirats pour leur piquer trois îles riches en pétrole, qu'ils n'ont jamais récupérées, et de telles richesse attirent les convoitises (rappelez-vous du Koweït avec Saddam Hussein en 1990).

En bref, ils veulent faire quelque chose de durable (mais ils donnent à ce mot un sens légèrement différent de celui qu'on lui donne en Europe).

Tout ça nous a amené à il y a quelques années, et quasiment toute la société découle de cette histoire particulière.



Le Maroc de l’huile d’Argan est un Maroc rural, féminin et authentique.

L’Arganeraie, une forêt unique au monde, une forêt pas comme les autres.
Elle abrite nombre de trésors naturels et humains dont la principale est bien sûr l’huile d’Argan, que l’on s’arrache à prix d’or dans l’Hexagone et partout dans le monde depuis quelques années. Le précieux et endémique arganier pousse, entre Essaouira, Taroudant et Agadir.
Essaouira est la porte d’entrée la plus au nord de l’arganeraie. Sur l’unique route reliant Marrakech à Essaouira, les herbes grillées laissent vite place à un interminable et monotone désert rocailleux. Les quelques oliviers clairsemés sur les petites collines commencent à se mêler aux arganiers plus touffus, et les enseignes attirant le chaland vers de petites échoppes d’huile d’argan se multiplient. L’arganeraie, qui compte environ vingt millions d’arbres et s’étend sur plus de 800 000 hectares, n’est pas une forêt comme les autres. Loin des forêts tropicales et des forêts tempérées, elle se présente comme une savane clairsemée de petits arbres touffus et ramifiés entre lesquels la paille, la roche ou la terre brute forment de petites clairières. Des paysages uniques, agrémentés d’images surprenantes, comme celles de ces chèvres acrobates que l’on trouve perchées en nombre sur les maigres branches, dévorant goulûment les épines de l’arganier.




L’Argan, une histoire de femmes :


A une vingtaine de kilomètres d’Essaouira, dans la coopérative féminine d’Ajddique, une soixantaine de femmes s’emploient à produire cette huile aux multiples vertus. Il en est ainsi dans toute la région : ce sont les femmes qui tiennent dans l’ombre les rennes de ce commerce lucratif, aux travers d’une soixantaine de coopératives comme celle-ci. Une économie solidaire, qui permet à près de dix mille marocaines de travailler dans les conditions qu’elles choisissent et de supporter l’économie locale là où les touristes ne s’aventurent que très peu. Quand on sait l’engouement et les recettes générées par le commerce de cette huile, on ne peut être que dubitatif face à la simplicité des lieux et des méthodes utilisées.




Devant un bâtiment de plein pied de quelques pièces seulement, perdu au milieu du désert, quelques femmes abritées sous des voiles colorés et assises à même le sol perpétuent des gestes ancestraux. Certaines s’occupent de faire griller au soleil le fruit tout entier avant d’en extraire la noix, pendant que d’autres s’affairent à casser cette dernière pour en extraire l’amandon. Ce sont ensuite les machines qui prennent le relais pour la pression à froid permettant d’extraire l’huile . Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. Les cosses et débris de noix sont brûlés dans les poêles et l’amandon desséché de son huile est servit au bétail. On ne repart bien sûr pas sans quelques flacons de la précieuse huile, pour quelques euros l’unité, soit trois fois moins chère que dans les circuits classiques.

Sur la route de Takoucht.




Au creux d’une vallée, dans le minuscule village de Takoucht, un projet étonnant, une coopérative féminine semblable à Ajddique est à l’œuvre. Car si ce village ne voit quasiment jamais de touristes, la coopérative est en revanche sponsorisée par le mécénat d’un Français, à la tête des produits cosmétiques naturels d’Argan.


Juste derrière la coopérative, se tient chaque mercredi le souk hebdomadaire qui rassemble les villageois éparpillés dans les collines alentours. On y trouve les épices, matières premières, tissus et ustensiles de cuisines authentiques. Au fond des ruelles, au détour d’un muret, s’entassent les ânes aux selles bleus, jaunes et vertes.


L’huile d’Argan : un remède miracle ?
L’huile d’Argan s’est imposée en une dizaine d’années comme un produit cosmétique bio anti-âge particulièrement efficace. L’huile est exceptionnellement riche en Acides Gras insaturés, Oméga 6 et Oméga 9, en Vitamine E (2 fois plus concentrée que dans l’huile d’Olive) et polyphénol. La Vitamine E et les polyphénols sont de puissants anti-oxydants qui permettent de lutter contre les radicaux libres et de participer au renouvellement cellulaire de la peau. L’huile d’Argan permet d'apporter des nutriments et joue un rôle majeur dans la fonction barrière de l’épiderme, qu’elle nourrit, protège et hydrate. Elle aide ainsi à lutter contre les signes de vieillissement et de relâchement prématurés de la peau.