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Le Temple d’Or, lieu de culte sikh, en Inde.

L’organisation de la ville d’Amritsar semble être entièrement tournée vers le Golden Temple ou le Temple d’or et à chaque coin de rue on tombe sur un temple sikh !



Il faut savoir qu’Amritsar se situe dans l’état du Punjab, état accueillant la plus grande communauté sikh du pays, et qu’Amritsar en elle-même est considérée comme étant la capitale de la  religion sikh. En ce rendant dans cette ville, on met donc les deux pieds dans le sikhisme et il est absolument impossible d’ignorer ce fait. La ville entière semble être peuplée d’hommes grands, costauds, impressionnants portant un turban,


Le Temple d'or :








Le Golden Temple est le plus beau lieu de culte dont l’espace est gigantesque, les couleurs sont pures, les lignes des bâtiments se fondent à merveille les uns dans les autres et les gens semblent tous passer un bon moment : ils discutent en famille, se baignent dans le bassin sacré, prient dans le temple central… Ils vaquent tous à leurs occupations d’une manière bien plus « libre » et détendue .
L’entrée est gratuite, il faut simplement laisser ses chaussures à la consigne et se recouvrir la tête d’un foulard. Ensuite, vous êtes libres de déambuler dans le complexe à votre guise.

Si vous voulez vivre l’expérience Temple d’Or à 100%, on vous conseille de loger (gratuitement !) dans les dortoirs du temple et de manger à la cantine du temple qui chaque jour met à disposition, grâce à des centaines de bénévoles, des milliers de repas gratuits. Peu importe qui se présente, il peut prendre son assiette, s’asseoir sur le sol et profiter d’un bon repas chaud. Sachez que c’est le cas dans tous les temples sikhs, alors si une petite faim vous prend lorsque vous êtes à proximité de l’un d’eux, n’hésitez pas à tester !

Même si le Temple d’Or est clairement le centre d’intérêt principal, cela vaut aussi le coup de se balader un peu dans les ruelles de la ville. C’est un peu comme n’importe quelle ville indienne : bruyant et grouillant !


Autre chose intéressante à faire à Amritsar : se rendre à la frontière pakistanaise. Le Pakistan n’est en effet qu’à 50km de là, et tous les soirs est organisée une cérémonie de fermeture de la frontière Indo-Pakistanaise


Un moment de pure folie, de nationalisme bête et méchant, durant lequel indiens et pakistanais s’affrontent à coup de slogans patriotiques. Avant la partition de 1947, le Punjab n’était qu’un seul état et ce sont donc aujourd’hui des « frères » qui partagent la même culture, la même histoire, la même religion, qui s’affrontent tous les soirs…

Le Triangle de Corail ou L’Amazone des mers.

Surnommé "l’Amazone des mers", le Triangle de Corail est une région qui regroupe les côtes et fonds marins de six pays : l’Indonésie, les Philippines, la Malaisie, la Papouasie Nouvelle Guinée, les Îles Salomon et le Timor Oriental. Poissons multicolores, coraux de toute beauté, coquillages à profusion… S’étendant sur six millions de kilomètres carrés, le Triangle de Corail est un extraordinaire écosystème marin abritant l’une des biodiversités les plus riches au monde. Le Triangle de Corail est l'épicentre de la biodiversité marine de notre planète. 



UN ÉCOSYSTÈME FASCINANT AU CŒUR DU BASSIN INDO-PACIFIQUE

Un paradis marin dans l’Indo-Pacifique
Le Triangle de Corail abrite 76% des types de coraux connus, six des sept espèces de tortues de mer, d’innombrables sortes de baleines et de requins, ainsi que de nombreux dauphins. Cet espace maritime va de la Malaisie à l’Indonésie, en passant par les Philippines, le Timor oriental, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et les Iles Salomon.






Une exploitation massive
Le Triangle de Corail assure la subsistance de plus de 120 millions de personnes – et la population ne cesse de croître. Cette situation entraîne surpêche et appauvrissement de la biodiversité, alors même que la sauvegarde des stocks de poissons et l’équilibre de l’écosystème conditionnent largement les revenus des habitants du littoral.



LE TRIANGLE CORAIL EN VIDEOS









Le triangle Bleu.

Dans les jours qui suivent la chute de Barcelone le 26 janvier 1939 et la fermeture de la frontière le 13 février 1939, on estime à 450000 le nombre de réfugiés espagnols civils et militaires qui refluent vers la frontière française et s’entassent dans des camps d’internement des Pyrénées orientales (Argelès sur Mer, Saint Cyprien, Barcarès, Agde, Bram, Septfonds, Elne, Rivesaltes, Le Vernet, Gurs). Certains hommes intègrent ensuite les Compagnies de travailleurs étrangers, d’autres sont militarisés et envoyés aux environs de la ligne Maginot. Au printemps 1940, face à l'invasion allemande, plus de 10000 espagnols sont faits prisonniers, dirigés vers des stalags en France et en Allemagne, avant d'être bientôt déportés au camp d'extermination de Mauthausen. Dans les camps, on les marque du triangle bleu des apatrides, Franco ayant interdit leur retour en Espagne. Aux premiers arrivés d'août 1940 qui découvrent avec stupeur l’organisation de l’horreur, succèdent des vagues quisavent et sont en quelques sorte formés à résister à cette vie faite de froid, de faim, d’humiliation et de mort


Ces Espagnols que la France avait livrés à Hitler...
Ils portaient le triangle bleu...


Mauthausen a été un camp où 118 000 déportés sur les 198 000 qui y ont été internés entre le 8 août 1938 et le 5 mai 1945 (1), ont été exterminés. « 80 mois consacrés à la mort » comme l’écrit un ancien häftlingen (détenu) dans ce que les rescapés appellent « la machine de destruction », « l’abattoir », « l’enfer » ou « le bagne dantesque ». 1475 morts par mois, 53 morts par jour et ce pendant près de sept ans ! Cette macabre et incertaine comptabilité est peut-être nécessaire pour donner une vague idée de l’horreur.
À leur arrivée, les déportés savaient vite ce qui les attendait : « Vous êtes entrés par cette grande porte et vous ne sortirez que par cette cheminée », assenait, en montrant la fumée qui s’échappait des fours crématoires, le commandant Franz Ziereis ou l’interprète allemand du camp surnommé « Enriquito » ou « Manolita » par les détenus espagnols.
Mauthausen était un camp d’extermination par le travail. « La célèbre carrière nommée : Wienergraben », carrière de granit, se trouvait en contrebas du camp. Un escalier de 186 marches, « le tragique escalier sur lequel périrent tant d’hommes » y donnait accès.
Déportés en convoi depuis le 6 août 1940 jusqu’à la fin de l’année 1943, les Espagnols ont été les premiers en France à être expédiés dans les camps de la mort, à y être broyés par le monde concentrationnaire nazi. À Mauthausen, un triangle bleu avec la lettre « S » (pour « Spanier », Espagnol) les distinguait des autres détenus.
Pour tuer, les bourreaux n’ont jamais manqué d’imagination : froid, manultrition, épuisement, vermines, tortures, sauvageries, humiliations, sadismes, bastonnades, morsures de chiens, pendaison, expériences médicales, chambres à gaz, crémation... La mort était partout et frappait à chaque instant, le sadisme était sans limites. « Personne, à part ceux qui l’ont vécu, ne peut imaginer jusqu’à quel point le fanatisme amène à des actes extrêmes. Personne ne peut imaginer que la férocité puisse atteindre de telles proportions ». Pourtant, il faut lire les témoignages, tous les témoignages pour, peut-être et seulement, se rappeler de quoi justement les hommes sont capables. « Pour eux, [les SS] il ne s’agissait pas de tuer des êtres humains mais d’exterminer des animaux nuisibles ». « Prolonger l’agonie de ces martyrs était leur amusement, leur jouissance. Nous nous demandions comment ces hommes, appartenant à un des pays les plus civilisés, comme c’est le cas de l’Allemagne, pouvaient-ils commettre quotidiennement tant de crimes et parvenir à la fin de leur journée à rentrer dans leur foyer pour se comporter en amants, époux ou pères affectueux avec leurs enfants ».


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Parmi les déportés du camp de Mauthausen libérés en mai 1945 par les soldats américains se trouvaient 2000 Espagnols, derniers survivants des 7300 combattants républicains réfugiés en France et que Vichy 

Philippe Pétain

avait abandonnés aux nazis.



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Le 5 mai 1945, dans la matinée, les premiers détachements de la 11e division blindée américaine (armée Patton) pénètrent dans Linz, sur le Danube autrichien. Vers midi, une patrouille de deux véhicules blindés se présente à l'entrée du camp de concentration de Mauthausen, déserté par les gardiens SS. L'approche de cette patrouille suscite une intense effervescence à l'intérieur du camp. Pleurant de joie, criant et hurlant, les détenus encore valides sortent des blocks, envahissent la place d'appel, grimpent sur les toits et les miradors. Un drapeau aux couleurs de la République espagnole est hissé au grand mat. Une immense banderole est déployée sur le fronton du portail par des déportés portant sur leur chemise rayée un triangle bleu frappé de la lettre S, pour Spanier (Espagnol). «Los Españoles antifascistas saludan a las fuerzas liberadoras», lit-on sur cette bande de toile.
Pourquoi ce triangle bleu porté par ces Espagnols alors que la plupart des autres déportés arborent des triangles rouges réservés aux politiques et aux résistants? Pourquoi cette inscription en castillan? Pourquoi ce drapeau républicain espagnol ?
Dès la fin du printemps 1939, le gouvernement français, en quête de main-d'œuvre, recrute des réfugiés espagnols dans les camps où ils avaient été internés après la Retirada .

LA "RETIRADA"

 Il met ces compagnies de travailleurs étrangers (CTE) à la disposition des armées. Fin avril 1940, 55000 ex-miliciens sont intégrés dans ces unités. Ils se retrouvent dans la zone des combats, de Dunkerque à Belfort, affectés à des travaux de fortification. Lors de l'avancée des troupes allemandes au printemps 1940, plus de 10000 sont faits prisonniers et dirigés dans des stalags, en France ou en Allemagne.
Initialement, dans ces camps de prisonniers, les Espagnols sont mélangés avec leurs camarades français. Mais, en tant qu'antifascistes ressortissant d'une puissance amie du Reich, les Allemands les considèrent comme des ennemis politiques. Passibles de ce fait d'un traitement spécial, on les sépare des Français . La Gestapo, après des interrogatoires parfois brutaux, prend la décision de déporter ces «Rouges espagnols» en camp de concentration.
Le camp choisi est Mauthausen, Vernichtungslager, «camp d'extermination» réservé aux détenus jugés irrécupérables. Le 6 août 1940, moins de six semaines après la signature de l'armistice, le premier convoi de déportés arrive dans ce camp en provenance du Stalag VII-A de Moosburg. Il amène 398 Espagnols, anciens de différentes CTE. Immatriculés, ils reçoivent non pas le triangle rouge des déportés politiques mais un triangle bleu, celui des apatrides, n'étant pas reconnus comme ressortissants par le gouvernement espagnol. Ce sont les premiers des 7300 combattants républicains qui, de 1940 à 1945, seront déportés dans le camp central ou dans ses Kommandossatellites, dont le sinistre Gusen.




D'août 1940 à décembre 1941, avant l'arrivée des déportés politiques et résistants, 63 convois suivront, transportant 95% du total des déportés espagnols. Ils proviennent tous des stalags d'Allemagne et de France, sauf un, qui arrive du camp de réfugiés des Alliers, près d'Angoulême. Dans ce centre d'internement, 927 hommes, femmes et enfants sont embarqués le 20 août par les Allemands en direction de Mauthausen, où ils arriveront le 24. C'est le premier convoi de déportés civils en provenance de l'Europe de l'Ouest. Les SS font descendre des wagons 470 hommes et adolescents de plus de 13 ans. Les femmes et les enfants sont refoulés… vers l'Espagne. Une cinquantaine seulement de ces hommes survivront.











A Mauthausen, tout était organisé pour qu'il n'y ait pas de survivants. A l'arrivée, le commandant du camp accueillait les déportés par ces mots:«Vous qui avez franchi cette porte, perdez tout espoir de sortir d'ici. Votre sortie se fera par là», disait-il en montrant la fumée qui se dégageait de la cheminée du four crématoire. Sur les 7300 Espagnols déportés, seuls 2000 survécurent : une mortalité de 70%, un des taux les plus élevés des victimes de la déportation.
En cette année du soixantième anniversaire de la libération des camps, ces Espagnols, abandonnés de tous, méritent enfin d'être sortis de l'oubli; eux qui, surtout dans les prémices de la Seconde Guerre mondiale, furent les premiers à se dresser contre le fascisme. 




Francisco Boix, est le seul espagnol qui a témoigné contre des membres éminents du gouvernement nazi dans le processus de Nuremberg. Le documentaire raconte la vie du photographe, que l'exil après la guerre civile espagnole a pris fin dans le camp de concentration de Mauthausen.
Destiné au laboratoire photo du champ, a réussi à obtenir de négatif sur 2000 Photos servent plus tard comme preuve à charge dans le célèbre procès.
Francisco Boix, un photographe dans l'enfer est géré par Llorenç Soler, un administrateur accrédité de plus de 30 documentaires. Ses films ont remporté des prix dans divers festivals internationaux.

Le Triangle d'Or en Asie.

Le Triangle d’or, zone de plantation de pavots la plus étendue au monde, s’étend sur 150 000 km2 à 200 000 km2, à cheval sur le Myanmar, la Thaïlande et le Laos.


Le pays des Wa, que contrôle Bao Youxiang, en constitue le cœur et aussi la zone la plus influente. La plus grande partie du Triangle d’or se situe en région montagneuse, à plus de 1 000 mètres d’altitude, ce qui convient tout à fait à la culture du pavot. La présence de forêts denses, la rareté des voies de communication et la situation de la région hors de portée des gouvernements des trois pays sont autant de conditions politiques, économiques, géographiques et climatiques idéales pour la culture du pavot qui occupe plus de la moitié des terres arables, voire plus de 80 % en certains endroits.


En raison de son excellente qualité, la majeure partie de l’opium produit dans le Triangle d’or est transformée sur place en héroïne. 


L’héroïne du Sud-Est asiatique portant la marque des “deux lions entourant un globe” est désormais synonyme d’héroïne de qualité supérieureet s’écoule dans le monde entier. 




Les 10 kilogrammes d’opium se vendent dans la région de production entre 17 000 et 20 000 yuans [de 1 700 à 2 000 euros] et permettent d’obtenir 1 kilo d’héroïne, lequel se négocie 30 000 yuans [3 000 euros] sur le marché local, explique le journal chinois Waitan Huabao. Introduite clandestinement en Chine, dans la province du Yunnan, la drogue voit son prix grimper à 40 000, voire 60 000 yuans, et peut même atteindre 100 000 à 150 000 yuans [15 000 euros] à Shanghai, Canton ou Pékin. A Hong Kong, le kilo d’héroïne se revend 500 000 dollars hongkongais [53 000 euros] et entre 80 000 et 150 000 dollars [entre 66 000 et 120 000 euros] aux Etats-Unis. 

Les bénéfices intermédiaires colossaux encouragent de nombreuses personnes à rejoindre les rangs des narcotrafiquants armés. Proche du Triangle d’or, la Chine est désormais la cible des trafiquants. Selon le rapport annuel 2005 du Programme des Nations unies pour le contrôle international des drogues, la République populaire de Chine s’est placée au troisième rang mondial des saisies de substances opiacées, en particulier d’héroïne, après le Pakistan et l’Iran.  La province de Hainan, une île du sud de la Chine, est devenue une étape importante pour le trafic de drogue, en provenance du Myanmar par le Yunnan, du Vietnam par le Guangxi, ou du Guangdong. 

L'eucalyptus, une nouvelle piste pour trouver de l'or ?

Des chercheurs australiens ont découvert des particules d'or dans les feuilles d'un eucalyptus poussant 35 mètres au-dessus d'un véritable trésor. Ils estiment que cela pourrait constituer une nouvelle technique pour localiser d'autres mines d’or éventuelles. 



A  Ain Défali, il y a de grandes forêts d'eucalyptus qui pourraient faire office de bon repère de mines d'or sous-jacentes. Les eucalyptus sont capables d'aller chercher de l'or dans des dépôts à plus de 35 mètres de profondeur alors même qu'ils sont à la recherche d'eau, lors des périodes de sécheresse. Dans ces conditions, Béni Sennana et Laâmirate seront dans l'avenir en-tête de la bourse des valeurs de la région du Gharb. 

De superbes photos de la Terre prises par un astronaute de l’ISS




Alexander Gerst, astronaute allemand de l’ISS est en effet resté six mois dans l’espace, dans le cadre de la mission Blue Dot, période durant laquelle il n’a cessé de photographier la Terre par le hublot. 


             

En tout, il a ainsi pris 12500 photos. 



La Terre est ainsi magnifiée à travers ce voyage calme et contemplatif qui transporte le spectateur au cœur de l’espace en lui proposant des vues inédites de la planète bleue. Il peut ainsi admirer des aurores boréales, des levers et couchers de soleil, des orages ou encore des villes du monde entier magnifiquement illuminées. Ces images, comme celles de l’orage, surprennent par leurs angles de vue, totalement inimaginables pour un Terrien qui n’a jamais quitté le sol.



Désormais, l’espace est grâce aux réseaux sociaux à la portée de tous et n’est plus réservé aux seuls astronautes qui ont le privilège de voyager dans l’espace. Chacun peut ainsi partager un peu de leur quotidien. Le rêve à portée de clic…

Très Joyeux Noel.

Salut à tous !
Même si l’on fête Noël dès le 24 au soir, le véritable jour de Noël est le 25, c'est à dire aujourd'hui.
Alors que le Père Noël est en plein tour du monde et officie toute la nuit, il est temps de vous souhaiter du fond du cœur un Très Joyeux Noël.
Que vous soyez en famille, avec des amis ou seul chez vous, je souhaite à vous tous de très Joyeuses Fêtes, un Joyeux Noël, et tout plein de bonnes choses. Du chocolat, par exemple. C’est bon, le chocolat…enfin, je m’égare, un peu… Vous comprenez le fond de ma pensée : passez un très joyeux réveillon de Noël, mangez bien, portez-vous bien, et Joyeux Noël !


Ecoutez bien la Chanson du "Petit Papa Noel".





Paroles: 

1. C'est la belle nuit de Noël
La neige étend son manteau blanc
Et les yeux levés vers le ciel
A genoux les petits enfants
Avant de fermer les paupières
Font une dernière prière

refrain:

Petit Papa Noël
Quand tu descendras du ciel
Avec tes jouets par milliers
N'oublie pas mon petit soulier

2. Mais avant de partir,
Il faudra bien te couvrir
Dehors, tu vas avoir si froid
C'est un peu à cause de moi. 

Il me tarde tant que le jour se lève
Pour voir si tu m'as apporté
Tous les beaux joujoux
Que je vois en rêve
Et que je t'ai commandés 

3. Le marchand de sable est passé
Les enfants vont faire dodo
Et tu vas pouvoir commencer
Avec ta hotte sur le dos
Au son des cloches des églises
Ta distribution de surprises

4. Et quand tu seras sur ton beau nuage
Viens d'abord sur notre maison
Je n'ai pas été tous les jours très sage
Mais j'en t'en demande le pardon

Le Tatouage


Un petit documentaire sur le tatouage, les tatoueurs et 
maitres tatoueurs.




Au Japon, la tradition du tatouage est menacée. Proche de l'estampe, cet art exige patience, argent et endurance à la douleur. Démonstration avec le maître Horiyoshi III.






Le Mondial du Tatouage 2014 et ses Femmes

Bouteflika, mensonge d'Etat permanent !

C'est devenu le sport algérien national. L'activité la plus pratiquée dans les foyers et dans les rédactions algériennes. Surveiller les apparitions du président Abdelaziz Bouteflika, scruter les images de la télévision d'Etat pour comprendre l'air du temps, parier sur sa possible participation à tel ou tel événement d'une ampleur nationale ou d'une symbolique historique. Et par conséquent décoder la communication présidentielle. 


Bouteflika, mensonge d'Etat permanent !

Autant ses apparitions à la télévision font débat, autant ses sorties du territoire pour raison médicale font polémique. Son dernier déplacement en avion médicalisé vers Paris n'a pas dérogé à la règle. Les médias et les réseaux sociaux s'en sont donnés à cœur joie. Entre des informations qui filtrent savamment pour signaler la présence de Bouteflika en France et des efforts gigantesques des médias officiels algériens pour nier les évidences, adossés à une volonté manifeste de la France officielle de détourner le regard d'une réalité de plus en plus embarrassante, le cocktail devient médiatiquement explosif. 
Bien avant le début du quatrième mandat, les Algériens étaient suspendus à l'état de santé de leur président, partagés qu'ils étaient entre ceux qui dénonçaient avec amertume cet entêtement à s'accrocher au pouvoir et ceux qui se cachaient le regard sous des œillères aux effluves patriotiques, considérant contre vents et marrées que Bouteflika a le droit de siéger et donc de gouverner, tout malade et handicapé qu'il puisse être. 
D'une manière générale, Cette situation, limite schizophrène, oblige les Algériens à vivre dans une situation de mensonge d'Etat permanent où les illusions d'optique, les postures fabriquées font office de mode de gouvernement et de gestion, dans l'attente d'une issue pour rabattre le cartes et relancer le jeu politique.