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Le trafic de bois de rose à Madagascar.

Présentation et historique du bois de rose


Pour commencer, sachez que le bois de rose est connu en botanique sous plusieurs noms, selon les régions d'où il provient. En effet, on le trouve plus particulièrement au Brésil et en Guyane. Il est également dénommé « Dalbergia nigra », quand il provient de Rio. Il est à noter que cette appellation renvoie également au palissandre de Rio. En Inde orientale, il est aussi appelé « Dalbergia sissoo ». En Amazonie, son nom botanique est « Aniba parviflora Mez ».
Sachez que le bois de rose est également trouvable en Afrique, plus spécialement sur l'île de Madagascar où son nom botanique est « Dalbergia maritima ». Par ailleurs, le bois de rose est classé dans la famille des Lauracées. Une autre famille appelée les Fabaceae, comprend des espèces de bois qui ont également emprunté le nom de bois de rose. Parmi ces espèces, citons le « Pterocarpus indicus » qui désigne le bois de rose provenant de la Birmanie. Le « Thespesia populnea » de la famille des Malvacées est lui aussi désigné par bois de rose
Ainsi, de par la diversité de ses origines, le bois de rose possède de nombreuses vertus différentes. Toutefois, on le reconnaît à des critères spécifiques. Premièrement, il est de couleur rose et présente souvent des veinules de teinte rosée. Le deuxième critère qui permet de reconnaître le bois de rose est son parfum qui lui est incontestablement unique.
En ce qui concerne troisièmement les arbres fournissant le bois de rose, ceux-ci présentent généralement une taille moyenne, un feuillage ordinaire et des fleurs jaunâtres. A propos de son histoire proprement dite, notons que le bois de rose a été découvert en 1925 par des spécialistes de la botanique, à Juriti Velho, dans la forêt amazonienne et dans le Para pour être plus précis.


Le trafic de bois de rose à Madagascar


La Grande île de Madagascar est un « hot spot » mondial de la biodiversité. 80% des espèces y sont endémiques, c’est-à-dire qu’elles n’existent nulle part ailleurs. Mais, cette richesse naturelle est menacée, notamment par les trafics.


Ce qui est intéressant, c'est le trafic de bois de rose. Ce bois précieux, lourd et dur est très prisé en Chine pour la fabrication de meubles traditionnels de luxe qui se vendent des centaines de milliers d’euros. Seulement à Madagascar, la coupe, le transport, et l’exportation de ce bois sont interdits par la loi depuis 2010. Il existe même un embargo international sur le bois de rose malgache depuis que la ruée incontrôlée a causé d’importants dégâts dans les forêts. Mais, malgré ces interdictions, le trafic continue.




Une fois coupé, le bois de rose est évacué du parc de Masoala sur des radeaux fabriqués avec des chambres à air de camion
Une fois coupé, le bois de rose est évacué du parc de Masoala
 sur des radeaux fabriqués avec des chambres à air de camion  

Dans le nord-est de Madagascar, c’est toute une économie mafieuse qui s’est imposée.


Le bois de rose, outre l’étrange couleur et la senteur florale qui lui donnent son nom, possède une texture d’une pureté et d’une densité qui en font l’un des bois précieux et les plus convoités par la Chine, où les rêves des nouveaux riches n’ont pas de prix. À Shanghaï ou à Pékin, débourser quelques centaines de milliers de dollars pour dormir dans la réplique d’un lit des empereurs Ming ou Qing n’a rien d’incongru. C’est même devenu depuis quelques années une fantaisie très prisée. 
À ce tarif, à Madagascar comme en Chine, les volontaires ne manquent pas pour piller les forêts classées au patrimoine mondial de l’Unesco et acheminer les rondins par containers entiers jusqu’aux portes de la deuxième économie mondiale, en empruntant les circuits bien huilés de la corruption.
Des ruelles misérables d’Antanandavehely à la prospère Xianyou, une ville nouvelle d’un million d’habitants de la province méridionale de Fujian, la route principale de  trafic de ce bois de rose dont les escales passent par l’île de Zanzibar (Tanzanie), le port de Mombasa au Kenya et Hongkong. Il en existe d’autres mais celle-ci est probablement l’une des plus importantes de ce réseau de destruction organisée, dont les ramifications plongent dans les plus hautes sphères de l’administration et du pouvoir politique malgache. À Madagascar, personne n’ignore l’existence de la « bolabolacratie » : elle désigne cette caste de trafiquants du bolabola – le bois de rose en malgache – qui possède le pouvoir et l’argent. Ex-ministres, députés, hauts fonctionnaires, entrepreneurs… Ils sont souvent issus de vieilles familles chinoises installées au XXe siècle pour la construction du chemin de fer. Le nom de la plupart d’entre eux est connu. Les journalistes, au risque d’être emprisonnés comme deux d’entre eux en ont fait l’expérience en juillet 2014, dénoncent leurs méfaits depuis plusieurs années. Mais aucun baron n’a jamais été inquiété. 

Une plante tueuse de frelons asiatiques


 la Sarracénie ou Saracène.
Sarracenia leucophylla 'Red'

Des plantes carnivores capables d’attirer et de tuer en quantité des frelons asiatiques ? C’est ce qu’a mis au jour le Jardin des plantes de Nantes (ouest de la France), une découverte qui intéresse les scientifiques à la recherche d’une arme de destruction massive de cet insecte, fléau des apiculteurs. 
Attiré par le nectar et les phéromones situés sur la lèvre de la plante, le frelon à pattes jaunes a plongé dans le long tube de la feuille, puis a perdu pied et glissé dans le toboggan, et est resté piégé au fond où il a été mangé par des sucs digestifs. 

 

Source : Ould Lablad

Source : Ould Lablad

LE JAPON ASSIÉGÉ PAR DES PARAPLUIES CASSÉS



Le Japon est un pays qui aime ses parapluies. Pluie ou soleil, lolita ou homme d’affaires, tout le monde bénéficie de la sécurité d’une bande de plastique ou de tissu au-dessus de sa précieuse tête.

 Mais cette période de l’année pose problème aux amateurs de parapluies, puisque Mère Nature a décidé de jeter des typhons sur l’Asie de l’Est comme autant de boulettes de papier sur un tableau noir de la zone Pacifique.
Le résultat est, pour la plupart des piétons, une combinaison de vents très violents et de pluie, ce qui fait que tourner au mauvais coin de rue peut instantanément se traduire par un parapluie qui devient le plus grand et le plus déprimant volant de badminton du monde.
Après avoir entendu le « pffft », le son déchirant d’un parapluie qui vient de mourir, les japonais semblent agir de deux façons différentes : 

  • S’accrocher jusqu’à arriver au niveau d’une poubelle

Cela semble être le comportement le plus poli, d’autant plus que vous êtes obligés de vous promener avec votre morceau encombrant et inutile de métal et de plastique comme un clochard.
Cependant, comme l’a souligné le site internet Byokan Sunday photos à l’appui, la taille trop petite des poubelles force ces Buster Keatons des temps modernes à appuyer ou accrocher leurs parapluies aux poubelles, comme s’il s’agissait d’un témoignage de leur inutilité dans cette situation.

  • Laisser tomber le parapluie et continuer d’avancer

Ils abaissent le bras sur le côté, laissent tomber le parapluie et continuent de marcher en évitant tout contact visuel avec d’autres personnes.
Ces deux comportement vis-à-vis des parapluies détruits par le vent ont attisé le mépris des internautes qui ont pleuré la perte des mœurs japonaises et qui craignent pour leur vie dans le cas où une grosse bourrasque leur enverrait un bout de métal tordu avec du plastique translucide dessus au visage.
Malheureusement, la « bonne manière » de s’occuper d’un parasol mutilé n’est pas si claire pour beaucoup de gens. Leur taille peu commode et leur châssis affûté peuvent les rendre difficiles à jeter en suivant des moyens conventionnels.
Néanmoins, quelque chose doit être fait pour enrayer cette épidémie de comportements légèrement criminels qui menace de défaire le tissu même de la société japonaise.
Si certains entrepreneurs courageux pouvaient mettre en place un programme de recyclage rentable spécialement pour les parapluies, ils pourraient gagner pas mal d’argent.

Le Maroc à l’heure des communales et des régionales. Les Marocains ont rendez-vous aujourd’hui avec l’histoire

 Les electeurs et les électrices décident aujourd’hui de leur sort. En effet, plus de 14 millions de Marocains sont appelés à se rendre aux urnes pour choisir leurs élus et partant, renouveler les instances dirigeantes des conseils communaux et régionaux. 
Le portail des listes électorales générales donne des informations sur les inscrits dans ces listes. En ce qui concerne le genre, ces listes sont composées de 55% d’hommes et 45% de femmes, alors que les inscrits sont répartis entre 55% en milieu urbain et 45% en milieu rural. 
En termes de tranche d’âge, 10% des inscrits sont âgés entre 18 et 24 ans, 22% entre 25 et 34 ans, 23% entre 35 et 44 ans, 19 % entre 45 et 54 ans, 8% entre 55 et 59 ans, tandis que les inscrits qui dépassent les 60 ans représentent 18%. 



  
L’importance de ce rendez-vous électoral n’est plus à démontrer. Cette élection communale et régionale s’inscrit, en effet, dans le cadre des réformes entreprises depuis l’adoption de la nouvelle Constitution en 2011 et dans le cadre de la régionalisation avancée qui constitue une étape importante dans la démocratisation et la décentralisation du Maroc. S.M le Roi Mohammed VI avait, lors de son discours commémorant le  62ème anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple souhaité de voir la mise en œuvre de la régionalisation avancée «s'ériger en véritable pilier du Maroc, de l'unité nationale, de l'intégrité territoriale, de la solidarité inter-catégorielle, de la complémentarité et de l'équilibre inter-régionaux ». Le Souverain a affirmé que « les prochaines élections, qui se tiennent dans à peine quelques jours, seront décisives pour l'avenir du Maroc, surtout au regard des vastes compétences que la Constitution et la loi réservent aux Conseils des régions et aux collectivités locales ». Et de s’adresser aux électeurs et  électrices : «Le vote est un droit et un devoir national. C'est une lourde charge qu'il vous incombe d'assumer. C'est un moyen que vous détenez entre les mains pour modifier la méthode de gestion quotidienne de vos affaires, ou de maintenir et consacrer la situation déjà en place, bonne ou mauvaise. Vous devez savoir que l'élection au suffrage direct du président et des membres du Conseil de la région vous confère un pouvoir décisionnel dans le choix de votre représentant. Vous devez vous en remettre à votre conscience et faire le bon choix. Car vous n'aurez pas le droit, demain, de vous plaindre de la mauvaise gestion ou de la faiblesse des prestations qui vous seront fournies ». 



 Officiellement, le nombre de candidatures déposées au titre de ces élections a atteint respectivement 130.925 et 7.588  candidatures, ce qui constitue, selon la MAP, un indice positif sur l'adhésion globale pour assurer le succès à ces élections. Avec une proportion de 70 % de nouveaux candidats, ce scrutin donne un signal sur l'émergence d'une nouvelle élite  locale. 
Les électeurs pourront voter lors des élections communales et régionales ce vendredi 4 septembre avec la carte d’identité nationale au lieu de la carte d’électeur. 
Ils pourront, ainsi, s'informer sur les bureaux où ils peuvent voter en envoyant un SMS gratuit au numéro 2727, accompagné  uniquement du numéro de la CIN, en appelant gratuitement ledit numéro ou  en téléchargeant l'application MonBV de géolocalisation du bureau de vote sur le téléphone portable. 
Par ailleurs, les électeurs peuvent s'informer sur les bureaux de  vote qui leur sont consacrés en s'adressant aux bureaux de renseignements mis en place au niveau des préfectures, provinces et des autorités  administratives locales proches de leur lieu de résidence, selon la même source. 
Les électeurs peuvent également consulter le portail des listes électorales générales (https://www.listeselectorales.ma/) où ils peuvent avoir des informations sur le bureau de vote où ils devront voter le 4 septembre 2015. Les électeurs doivent cliquer sur « Services électroniques », et saisir le numéro de la carte d’identité accompagné soit de la date naissance ou du nom et prénom en arabe. Résultat : le portail indique le numéro d’électeur, la préfecture ou province, la commune, le nom et le prénom, la date et le lieu de naissance, le numéro de la carte d’identité nationale, le nom du bureau de vote et l’adresse de ce dernier. Les électeurs peuvent aussi y télécharger l'application MonBV. 





Quant à l’annonce des résultats de cette élection, la Commission gouvernementale de suivi des élections avait affirmé au cours de cette semaine, que la proclamation des résultats préliminaires est prévue dans la soirée du vendredi. 
« La Commission gouvernementale de suivi des élections annonce que toutes les dispositions relatives à la proclamation des résultats du scrutin ont été prises et il est prévu que les résultats préliminaires seront annoncés vendredi soir», a expliqué la Commission dans un communiqué. 
« De par le caractère local et régional de ces élections, des soirées seront organisées au niveau de chaque région du Royaume pour le suivi des résultats de ces élections», ajoute la même source.

Quels sont les signes qui alertent d'un accident vasculaire cérébral ?

Souvent, la population a du mal à détecter les signes avant-coureurs. Une personne qui fait un accident vasculaire cérébrale, c'est quelqu'un qui va brutalement avoir une faiblesse, voire une sorte de paralysie d'un membre comme la main qui tombe, la main qui devient flasque, le bras qui s'engourdit, des difficultés à trouver les mots et la bouche qui va se déformer. 



Surveiller la pression artérielle
Ces gens ont peut-être reçu de violents maux de tête avant, mais sont saisis brutalement. Dans ce cas-là, il faut immédiatement transporter les personnes d'urgence dans des unités neuro-vasculaires pour tenter de déboucher l'artère en quelques minutes. Pour avoir une chance de récupérer le plus possible, il faut être dans les 4-5 heures à l'hôpital.
Afin de prévenir ces risques, mieux vaut surveiller sa pression artérielle. Il est possible de faire une MAPA : mesure ambulatoire de la pression artérielle. Il faut également porter attention à son rythme cardiaque.

Qui était Aylan Kurdi, le petit Syrien retrouvé mort sur une plage de Turquie ?

Le garçon de trois ans est mort noyé, avec son frère et sa mère. Avec leur père, ils tentaient de se rendre au Canada, en passant par l'Europe. 

Un enfant syrien de 3 ans gît sur une plage à Bodrum (Turquie), après le naufrage de son embarcation à destination de l'île de Kos (Grèce), le 2 septembre 2015.
Un enfant syrien de 3 ans gît sur une plage à Bodrum (Turquie),
 après le naufrage de son embarcation à destination
de l'île de Kos (Grèce), le 2 septembre 2015
 
En moins de vingt-quatre heures, la photo a fait le tour du monde. Elle montre le corps sans vie d'un petit enfant syrien gisant sur une plage de Bodrum, en Turquie. Face contre terre, le petit Aylan, 3 ans, a été retrouvé par les autorités turques, mercredi 2 septembre, non loin de deux autres corps : ceux de Galip, son frère de 5 ans, et de sa mère, Rehan. Seul Abdullah, son père, a été retrouvé vivant, raconte le GuardianAu total, 12 personnes se seraient noyées après le naufrage de leur embarcation, qui faisait cap vers l'île grecque de Kos.

La famille voulait rejoindre le Canada

Cette famille kurde est originaire de la ville syrienne de Kobané, située à la frontière avec la Turquie. Via l'Europe, la famille Kurdi espérait rejoindre la sœur d'Abdullah, au Canada. Cette dernière, prénommée Teema, s'est installée à Vancouver il y a vingt ans, indique le National Post (en anglais). Dans ce journal canadien, elle explique avoir été alertée par un autre membre de la famille, Ghuson Kurdi, l'épouse d'un autre frère. "Elle avait reçu un appel d'Abdullah, et tout ce qu'il lui a dit, c'est que sa femme et ses deux garçons sont morts", raconte la tante du petit Aylan.
Teema Kurdi assure au National Post que la famille faisait l'objet d'un programme d'accueil de réfugiés. Selon la procédure G5 (pour "groupe de cinq"), "cinq citoyens canadiens ou résidents permanents du Canada[prennent] des mesures en vue de parrainer un réfugié de l’étranger, pour lui permettre de venir au Canada", explique le gouvernement canadien. Ces personnes doivent alors s'engager à soutenir financièrement les réfugiés. 
"Je tentais de les parrainer, raconte Teema. Mes amis et mes voisins m'ont aidée financièrement, mais nous n'avons pas pu les faire venir, et c'est pour cela qu'ils ont pris le bateau. J'ai même payé leur loyer en Turquie, mais la façon dont ils traitent les Syriens là-bas est horrible."

Le père d'Aylan veut retourner à Kobané,
pour enterrer sa femme et ses enfants

La demande de parrainage de la famille Kurdi a échoué parce qu'ils n'étaient pas enregistrés en tant que réfugiés auprès du HCR. "Un G5 peut uniquement parrainer les personnes auxquelles le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés ou un Etat étranger a reconnu la qualité de réfugié", précise le site internet du gouvernement canadien.
Pour cela, les Kurdes syriens doivent disposer d'un passeport, ce que leur refuse régulièrement le gouvernement. De son côté, "la Turquie refuse de délivrer des visas de sortie aux réfugiés non-enregistrés qui ne disposent pas de passeport", explique le National Post. 
Toujours selon le journal canadien, le père du petit Aylan a confié à sa famille qu'il souhaitait désormais retourner à Kobané, pour enterrer sa femme et ses deux enfants, et pour être inhumé à côté d'eux. 

Cette piscine extraordinaire permet de nager dans le ciel

Un projet de piscine suspendue entre deux immeubles a été lancé à Londres. Il devrait être réalisé d’ici trois ans.

Cette piscine extraordinaire permet de nager dans le ciel


Nager dans le ciel à plus de 35 mètres de haut. Cela devrait être possible en 2018 à Londres. Un projet de piscine en verre suspendue entre deux immeubles de dix étages a été validé par la ville. Le bassin de 25 mètres, entièrement transparent grâce à une couche de verre de 20 centimètres, sera perché à l’Embassy Garden, dans le quartier de Nine Elms.

Les touristes français sont les plus radins du monde en matiere de pourboire.

Triste victoire pour la France: ses ressortissants seraient les plus radins au monde en matière de pourboire. Une étude de la compagnie d'assurance britannique Direct Line, rapportée par Le Parisien, ce 20 août, qualifie en effet les touristes hexagonaux de plus avares en tips du monde entier. 
L'assureur anglais aurait mené son enquête dans les bars et restaurants de zones très touristiques de la planète, à Barcelone, Las Vegas, Paris, Phuket, Sao Paulo et Ibiza. Un éventail de destinations peu étendu, qui relativise peut-être la parcimonie hexagonale.
Reste que les Français devancent les Britanniques, connus également pour leur pingrerie dans ce domaine, mais surtout, les Italiens. Les habitants de la péninsule, qui trustaient jusque-là les premières places de ces classements, semblent être devenus plus généreux puisqu'ils n'occupent désormais que la troisième marche du podium de la radinerie.
Une question de culture?
Du côté des plus généreux, on retrouve les Américains en tête. Sans vouloir dénigrer leurs largesses, il convient de rappeler que la pratique du pourboire est profondément ancrée dans leur culture. Les serveurs sont en effet très mal payés aux Etats-Unis, comme au Canada. Il est donc presque obligatoire -ne rien laisser est extrêmement mal-vu- de consentir un geste de 15% de la note, au minimum, pour le service. La majorité des ressortissants du pays laisse d'ailleurs plus souvent de l'ordre de 20% du prix de leur repas ou de leur verre.
En France, à l'inverse, donner un petit quelque chose au serveur est hautement facultatif et dépend surtout de l'amabilité et de la dextérité de ce dernier, ainsi que de la qualité des produits consommés. La rareté du sans-faute égalant celle du petit billet glissé sur l'addition.
Autre enseignement de l'étude: les touristes, quelle que soit leur nationalité, récompensent de moins en moins les petites attentions du serveur. Les champions de la générosité, les Américains et les Russes, n'auraient plus la main aussi lourde qu'auparavant sur les extras aux serveurs français. La faute, selon Le Parisien, aux guides touristiques étrangers, qui expliquent beaucoup mieux que par le passé à quel point le pourboire est peu courant en France, et conditionné à une prestation particulièrement satisfaisante.

Un traitement 100 % tunisien qui guérit le vitiligo

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C’est une première, une équipe de chercheurs tunisiens est parvenue à concevoir un traitement curatif du vitiligo. Le traitement à base d’huiles naturelles, dont le brevet d’invention a été obtenu en 2010, sera commercialisé sur le marché local et international d’ici peu.

Le vitiligo, une maladie de la peau qui touche près de 5 % de la population mondiale, n’avait jusqu’à l’heure actuelle aucun traitement capable de le guérir. Il s’agit d’une dépigmentation partielle ou totale de la peau due à une disparition progressive des mélanocytes ( impliqués dans la pigmentation de la peau) . Ainsi, des taches blanches apparaissent, sur le visage, les pieds, les mains et les articulations puis se généralisent avec le temps sur tout le corps.

Plusieurs origines ont été discutées telles que l’origine génétique, ou immunologique. Les travaux de recherche du Dr Rached Smida et de ses collaborateurs ont pu montrer que le vitiligo serait également d’origine nutritionnelle. En effet, la consommation de sucre et de sel raffiné, d’huiles riches en oméga 6 ou acide linoléique, entraîne une augmentation du taux de cortisol libre. Ce dernier perturbe le bon fonctionnement des cellules impliquées dans la pigmentation de la peau. Ainsi l’huile anti vitiligo contrecarre l’action du cortisol libre, assurant par conséquent un bon fonctionnement de cellules de la peau.

Les recherches entamées depuis 2006 ont abouti à la conception d’un traitement à base d’huile d’olive, de germe de blé, de lin et de tournesol ; testé sur un échantillon de 250 patients atteints de vitiligo en comparaison des 250 individus sains.

Les résultats présentés dans le premier congrès mondial sur le vitiligo tenu à Milan, du 23 au 25 septembre 2010, ont montré qu’avec la prise de l’huile anti vitiligo une repigmentation des zones touchées était observée chez 100% des patients et 43% des patients ont été complètement guéris. Les premiers résultats étaient obtenus au bout de huit semaines de traitement. La région génitale étant la première à être guérie, (neuf mois), suivie du visage (1 an) et les mains (2 à 3ans).

La découverte de cette équipe tunisienne est une preuve de plus que l’innovation scientifique ne se fait pas toujours et forcément à coups de grands moyens financiers mais surtout d’inventivité.

Jour polaire ou soleil de minuit

Le jour polaire (aussi appelé Soleil de minuit) est une période de l'année durant laquelle le Soleil ne se couche pas. Ce phénomène se produisant aux alentours du solstice d’été (juin dans l’hémisphère nord, décembre dans l’hémisphère sud) aux hautes latitudes situées au-delà des cercles polaires arctique et antarctique. Le nombre de jours de 24 heures de clarté pendant lesquels ce phénomène a lieu augmente avec la latitude. Il atteint son minimum (un jour) au niveau du cercle polaire, à 66° 34' et son maximum (six mois) au pôle (90°) et a lieu en été (mars à septembre dans l’hémisphère nord, septembre à mars dans l’hémisphère sud). Ainsi, le jour du solstice, aux pôles, le Soleil reste constamment visible à une hauteur d'un peu plus de 23° dans le ciel.






Explication du phénomène

Du fait de l’inclinaison de l’axe de la Terre sur le plan de son orbite, toutes les régions de la Terre ne sont pas éclairées de la même façon par le Soleil au cours de sa révolution annuelle. Entre l’équinoxe de mars et septembre dans l’hémisphère Nord, le Soleil éclaire le pôle Nord en permanence. Le même phénomène se produit au pôle Sud entre l’équinoxe de septembre et mars.


En réalité, en raison de la réfraction de la lumière du Soleil dans l’atmosphère, celui-ci est visible durant les 24 heures de la journée, au moment du solstice d’été, jusqu'à quelques dizaines de kilomètres en deçà du cercle polaire.
Les villes de Tromsø (69° 40' N) ou encore Hammerfest en Norvège (70° 40' N) présentent un site privilégié pour admirer leSoleil de minuit dans de bonnes conditions. Au Cap Nord (Nordkapp, 71° 10' N), le Soleil de minuit se produit entre le 13 mai et le 29 juillet, à Bodø (67° 17' N) il survient entre le 3 juin et le 8 juillet.
Dans l’hémisphère sud, ce phénomène n’est observable que sur le continent antarctique et dans les îles environnantes.
Le phénomène inverse se produit en hiver. Au-delà du cercle Arctique, pendant une période centrée autour du solstice d’hiver et située entre l’équinoxe d’automne et de printemps et dépendant de la latitude, le Soleil ne se lève pas : c’est la nuit polaire.

Nuit blanche. 


Aux latitudes situées en dessous des cercles polaires, jusqu'à environ 60° de latitude nord et sud, un autre phénomène se produit aux alentours du solstice d’été. Il s’agit de la nuit blanche, c’est-à-dire une nuit où le Soleil, bien que couché, ne descend pas suffisamment sous l’horizon pour permettre à la nuit de devenir totalement noire. Il peut parfois y faire suffisamment clair pour pouvoir lire un livre sans avoir besoin d’une lumière artificielle: dans ce cas, le crépuscule civil dure toute la nuit .
Le phénomène de la nuit blanche est observable notamment au nord de l'Écosse, à Reykjavik (Islande), Saint-Pétersbourg (Russie), Riga (Lettonie), Vilnius (Lituanie),Tallinn (Estonie) ou Helsinki (Finlande) et le long de toutes les côtes arctiques de la Russie, de la frontière finlandaise au détroit de Béring via le nord de la Sibérie, ou encore à Anchorage (Alaska) et le grand-nord du Canada ainsi que dans la majeure partie du sud du Groenland.
Le phénomène débute théoriquement à 48° 34' de latitude (légèrement inférieure à la latitude de Paris, qui est de 48° 51'). À cette latitude le Soleil s’abaisse tout juste à 18° sous l’horizon à minuit solaire le jour du solstice : c’est cette valeur de 18° qui définit la nuit noire (fin du crépuscule astronomique). Au-delà de cette latitude le Soleil reste à moins de 18° pendant une partie de la nuit plusieurs jours de part et d'autre du solstice. Plus on se rapproche du cercle Arctique, moins il s’abaisse sous l’horizon et plus ce nombre de jours augmente, et plus la nuit reste claire.