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Vienne, capitale du "tourisme macabre"

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Des catacombes obscures arborant des corps momifiés, un cimetière comptant pas moins de trois millions de morts, un bébé dans le formol surnommé «Le Diable»: bienvenue à Vienne, capitale autoproclamée du tourisme macabre.

Ville de la valse et de la grande musique, la capitale autrichienne se pique également de ses curiosités funèbres, dont elle a entrepris de faire un axe de développement touristique unique en son genre.
«Les aspects sombres, voire morbides de Vienne sont un atout hors du commun pour promouvoir la ville», souligne Florian Wiesinger, de l'office du tourisme, qui vient de mettre en ligne une vidéo invitant notamment à rendre visite aux «compositeurs décomposés» reposant au cimetière central.

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Berceau de la «pulsion de mort» théorisée par Sigmund Freud, l'ancienne capitale des Habsbourg a toujours cultivé un rapport privilégié au macabre. Le dicton y souligne que «la Mort doit être viennoise» et que le but ultime d'une vie réussie y est «un bel enterrement».
Pour Helga Böck, directrice du musée des Pompes funèbres de Vienne, cette tradition a été initiée par la noblesse elle-même. «Pour la cour impériale, les funérailles étaient une occasion de montrer son pouvoir. Le peuple a adopté cette coutume, ce qui explique la particularité de la culture funéraire à Vienne».
D'où un patrimoine funèbre inégalé qui fait les délices de centaines de milliers de visiteurs chaque année.
À tout seigneur tout honneur, la crypte impériale regroupant les sarcophages de pas moins de 149 têtes couronnées - parmi lesquelles l'impératrice Sissi et son époux François-Joseph, dont le pays célèbre le 100e anniversaire de la mort le 21 novembre 1916 - attire à elle seule quelque 200 000 visiteurs par an.
«Chasseurs de fantômes»
Mais Vienne compte aussi des aspects lugubres moins connus, comme un labyrinthe de dizaines de kilomètres de galeries construit au fil des siècles sous la ville et dont les oubliettes contiennent encore des corps naturellement momifiés.
Au Moyen-Âge par exemple, «on y enfermait les nonnes qui avaient le malheur de tomber enceintes», rappelle Gabriele Lukacs, auteure d'ouvrages sur le Vienne macabre et guide à ses heures.
«À Vienne, il existe une sorte d'énergie qui ramène tout dans les caves ou dans les cercueils», souligne-t-elle.
Selon cette spécialiste, certaines de ces oubliettes sont encore si chargées «d'âmes prisonnières» que «personne n'ose s'y aventurer». «Les gens prétextent que les escaliers sont trop raides», sourit-elle.
S'il en est deux à qui les spectres ne font en principe pas peur, c'est Dominik Creazzi et Willi Gabler, «chasseurs de fantômes» de leur état.
Bardés d'appareillages électroniques, ils arpentent le cimetière central en une brumeuse journée d'octobre. «Il y a quelqu'un Willi Gabler? Voulez-vous entrer en contact avec nous?», lance Dominik Creazzi, 26 ans, avec le plus grand sérieux.
Willi Gabler, son patron, l'assure: «En 15 ans nous avons réuni une grande quantité de matériel où l'on voit vraiment des fantômes».
Selon lui, des Viennois font régulièrement appel à son association pour débusquer des esprits. «Certains de nos clients se sentent seuls et ont besoin de parler. Mais il y a aussi des gens qui entendent des bruits de pas et qui voient des ombres, et qui nous demandent d'intervenir».
Pour les amateurs, le fin du fin du macabre viennois se trouve cependant dans le très officiel Musée des malformations anatomiques, hébergé dans un ancien asile.
Parmi les milliers de bocaux exposés, on y trouve le corps d'un enfant surnommé «Le Diable» ainsi que les intestins d'un pensionnaire décédé en essayant de manger le contenu de sa cellule, à commencer par sa paillasse en crin de cheval.
«Les Viennois craignent la mort comme tout le monde», note Peter Hohenhaus, créateur d'un site consacré au tourisme macabre.
Selon lui, le fait de jongler avec le funèbre est pour eux simplement «une façon de conjurer cette peur».

Caresser son chat peut nuire gravement à la santé selon une étude !

Caresser son chat peut nuire gravement à la santé selon une étude !

Caresser peut nuire gravement à la santé. Voilà ce qu'a établi cette toute récente étude américaine, en analysant avec précision tous les symptômes associés à la Cat Scratch Disease, la maladie des griffes du chat en français. D'après le très sérieux institut en charge de l'étude, le Center for Disease Control, une exposition prolongée aux poils de chats peut suffire à transmettre la maladie, alors que jusqu'à présent, on pensait qu'il fallait se faire griffer pour l'attraper.
L'information est donc à prendre avec beaucoup de sérieux. Cette zoonose (infection transmissible à l'homme) peut provoquer des complications graves. Si elle se guérit généralement en trois semaines, la maladie des griffes du chat s'avère parfois bien plus résistante. Elle a notamment provoqué des atteintes oculaires, neurologiques ou cardiaques chez certains patients, voire la mort de certains d'entre eux dans certains cas très rares.
40% des matous européens sont porteurs de la bactérie responsable de l'infection. Les chercheurs du CDC conseillent donc de se laver les mains après chaque contact avec son chat. 

C'est comment ailleurs ? Les enlèvements au Mexique

Alors que la femme d'affaire niçoise Jacqueline Veyrac a été retrouvée saine et sauve deux jours après son enlèvement, coup de projecteur sur le Mexique, LE pays des kidnappings.

La police mexicaine à la recherche du fils du narcotrafiquant El Chapo après son enlèvement en aout 2016.
La police mexicaine à la recherche du fils du narcotrafiquant
 El Chapo après son enlèvement en aout 2016.
 
Les enlèvements contre rançons sont très courants au Mexique, d’après le ministère français des Affaires étrangère qui conseille la plus grande prudence aux voyageurs.
Il y a des dizaines de milliers d'enlèvement chaque année dans ce pays. Seule une petite partie est déclarée. On pourrait presque dire que tout le monde enlève tout le monde au Mexique.

Multiples kidnappeurs…
Les kidnappings sont pratiqués par plusieurs catégories de Mexicains. En premier lieu, les policiers. D'après la société Control Risks, spécialisée dans le conseil sur la sécurité dans le monde entier, la police mexicaine serait responsable de 70% des enlèvements. La police au Mexique est particulièrement corrompue et les enlèvements permettent de gagner de l'argent facilement.
En dehors de la police, le crime organisé est responsable de multiples rapts. Les narcotrafiquants se diversifient depuis que la guerre contre la drogue s'est intensifiée. Mais on trouve aussi des délinquants isolés de petite envergure, qui demandent des rançons de quelque milliers d'euros.

… Et multiples victimes
Tout le monde est victime des enlèvements. D'abord des Mexicains fortunés. Et également des étrangers, qui voyagent ou vivent dans le pays. Quand il s'agit d'expatriés assez aisés, il vaut mieux qu'ils habitent dans des résidences super protégées. Les employeurs y veillent en validant eux-mêmes le logement des "expats" en fonction des moyens de protection.
Parmi les victimes de ce fléau, on se souvient aussi des 43 étudiants disparus en 2014 dans la ville d'Iguala. La police municipale les aurait enlevés pour les livrer ensuite à un cartel de la drogue. On ne sait toujours pas s'ils sont vivants ou morts.
En fait, vraiment personne n’est à l'abri, même dans les familles de grands malfaiteurs puisque le propre fils du baron de la drogue "El Chapo" a été kidnappé l'été dernier pendant une semaine.

Années 80
Les enlèvements se sont multipliés depuis une trentaine d’années. Un homme qui a considérablement développé cette activité criminelle dans les années 80. Il s'appelait Modesto Vivas Urzúa, surnommé "la Vipère". Sa cible, de riches Mexicains en vacances.
Le mode opératoire était très séquencé. Enlèvement le lundi, négociation de rançon du mardi au vendredi, réception de l'argent le samedi et libération de l'otage le dimanche. Le lundi suivant, ça recommençait.

Le riz en plastique se répand en Asie

Tous les produits alimentaires provenant de Chine doivent être particulièrement et minutieusement vérifiés, car ils sont souvent faux et artificiels. Si vous avez déjà entendu parler de l’histoire des œufs ou de l’ail artificiel, voici la véritable histoire du riz asiatique en plastique…
Au tout début de cette histoire, internet avait foisonné, sur Facebook et WhatsApp, de rumeurs affirmant qu’il y a du riz en plastique qui se vend dans les grandes surfaces. Peut de temps après, les grands médias du monde entier ont saisi l’affaire pour mettre les choses au clair.

Des produits artificiels Made In China :
Après avoir révélé l’existence des œufs artificiels provenant de Chine, les médias occidentaux, notamment américains, ont dévoilé récemment la présence de produits en plastique qui sont commercialisés et vendus dans le marché international. Le produit remis en question dans cette affaire est le riz en plastique.
Ce type de riz est apparu au sud de l’Inde Kerala, comme l’affirme des médias locaux asiatiques. On a dit qu’il provient de Chine et qu’il s’est ensuite répandu dans d’autres pays d’Asie, dont l’Inde, l’Indonésie et le Vietnam.
Le pire danger de ce riz réside dans le fait qu’il est mélangé avec du riz normal pour camoufler sa présence, une tactile qu’utilise forcément les producteurs pour ne pas se faire prendre. La plupart de ceux qui ont déjà consommé ce type affirment avoir des douleurs d’estomac très graves.

Voici comment est produit le riz en plastique et comment il est exporté en dehors de la Chine :
Le riz est fabriqué à partir d’un mélange de patates douces, de pommes de terre avec de la résine de synthèse. C’est un vrai poison pour le processus digestif qui ne peut le transformer dans le corps pour provoquer une surcharge de toxines dans le corps. En premier, il a été identifié dans les marchés de la ville de Taiyuan et Shaanxi, en Malaisie, et les acheteurs n’arrivaient pas à se douter de sa nature car il était très similaire au riz normal.
Pour se défendre, le ministre de l’’agriculture et de l’agro-industrie malaisien, via un communiqué de presse, a affirmé que le riz malaisien est parfaitement comestible et n’avait aucun lien avec cette production de riz artificiel. Il a ajouté qu’il provient sûrement de petites mafias locales sans appartenir à la production officielle du riz malaisien.

Comment éviter ce riz en plastique : 
Du moment que le plastique brûle suite à son exposition à une forte chaleur, vous pourrez facilement identifier le riz en plastique en vérifiant cela. Par ailleurs, le riz en plastique reste dur en dépit de sa cuisson et aura un goût de plastique si vous le mangez.
En tout cas, avant de prendre votre riz au supermarché, n’oubliez jamais de vérifier son étiquette afin de vérifier sa provenance et ses ingrédients.



Festival du safran à Taliouine

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Ce festival créé en 2007 nous immerge dans les effluves de safran avec des visites de safranières et de coopératives, un forum des associations sur le commerce équitable, des démonstrations d’emploi de l’épice, des ateliers, et bien sûr des dégustations plats à base de safran préparés par des femmes villageoises. 

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Des manifestations sportives sont également organisées (marathon et tournoi de football).
Le festival du safran a pour objectifs de promouvoir la région de Taliouine (dans la province de Taroudant, à un peu plus de 200 km à l’est d’Agadir), et de favoriser la commercialisation du safran pour améliorer les conditions de vie des populations rurales de l'Anti-Atlas.




Ce rassemblement attire chaque année des centaines de personnes pour un moment d’échange et de convivialité : les gens chantent et le gnawa résonne dans les rues. 



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Sa période va du 20 octobre au 15 novembre 2016 

République fédérale démocratique d’Éthiopie - የኢትዮጵያ ፌዴራላዊ ዲሞክራሲያዊ ሪፐብሊክ (am) - YeItyopya Fédéralawi Dimokrasiyawi Ripeblik (am)

Situation géographique
Dotée d’une superficie de 1 104 300 km², la République d’Éthiopie est un État de la Corne de l'Afrique. Dépourvu d’accès à la mer, son territoire est voisin du Soudan à l'ouest, de la Somalie à l’est, du Kenya au sud, de l'Érythrée et de Djibouti au nord.



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Description de l'image Ethiopia (Africa orthographic projection).svg.


Drapeau

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Armoiries :

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Capitale : Addis-Abeba (3,4 millions d'habitants)








Régime politique : République fédérale

Démographie


Population : 91 millions d'habitants



Densité : 83,07 hab./km²
Indice de fécondité : 4,6
Croissance démographique : 2,9 %
Espérance de vie : Femmes : 64,6 ans - Hommes : 61,4 ans

Société



Répartition ethnique de la population éthiopienne

Ethnies : Oromos, Amharas, Somali, Tigréens, Sidama, Guragués, Welaita, Hadiya, Afars


L'Éthiopie constitue une mosaïque de plus de 80 ethnies. Les Oromo 34.5%, Amara 26.9%, Somalie 6.2%,
Tigraway 6.1%, Sidama 4%, Gurage 2.5%, Welaita 2.3%, Hadiya 1.7%, Affar 1.7%, Gamo 1.5%, 
Gedeo 1.3%, autre 11.3%. (recensement 2007 de la population éthiopienne).




Langues : amharique (officielle), oromo, somali, arabe
Religions : musulmans 45 %, orthodoxes 45 %, religions traditionnelles 10 %
Alphabétisation : 39 %
Développement humain : 173e / 187 pays (PNUD 2014)

Economie
Monnaie : birr
Croissance : 7 % (2012)
Inflation : 22,9 %
PIB par habitant : 470 $
Dette publique : 22,16 % du PIB

Chronologie
26 octobre 1896 : reconnaissance de l’indépendance éthiopienne par l'Italie après une tentative de conquête déclenchée en 1895.
1930 : le régent Tafari Mekonnen devient empereur sous le nom d’Hailé Sélassié Ier.
1936 : début de l'occupation italienne. Exil d’Hailé Sélassié Ier en Angleterre.
1941 : capitulation des troupes italiennes suite à la reconquête entreprise par les Alliés. Hailé Sélassié Ier est restauré sur son trône.
1962 : annexion de l'Érythrée. Début de la guérilla du Front de libération de l'Érythrée (FLE).
1973 : famine dans le centre et le nord du pays (100 000 morts).
1974 : soulèvement général de la population. Le Derg (Comité de coordination des forces armées) renverse Hailé Sélassié Ier. Il sera assassiné lors de sa détention en 1975.
1975 : abolition de la monarchie et vague de nationalisations.
1976-1977 : la répression contre les opposants, appelée la « terreur rouge », fait des dizaines de milliers de morts.
1977-1978 : guerre de l'Ogaden contre la Somalie, suite à la tentative d'annexion de la région de l'Ogaden par les troupes somaliennes.
1984-1985 : une grande famine fait plus d'un million de morts.
1987 : en septembre, proclamation de la République démocratique populaire d'Éthiopie. Le colonel Mengistu Hailé Mariam est élu président par le Parlement.
1991 : en janvier, début de la guérilla du Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien (FDRPE). En mai, démission du président Mengistu Hailé Mariam, qui sera condamné à mort par contumace en 2008. Soutenu par les indépendantistes érythréens, le FDRPE s'empare de la capitale. Meles Zenawi devient président du gouvernement de transition.
1993 : proclamation de l'indépendance de l'Érythrée.
1995 : proclamation de la République fédérale démocratique d'Éthiopie. Negasso Guidada est élu président par l'Assemblée fédérale.
1998-2000 : guerre contre l'Érythrée (100 000 morts).
2001 : victoire de Girma Woldé Giorgis à l'élection présidentielle. Il est réélu en 2007.
2002 : fixation de la frontière avec l'Éthiopie par la Cour internationale de justice de La Haye.
2005 : en mai, premières élections législatives libres remportées par le parti au pouvoir. En octobre, Meles Zenawi est reconduit à son poste de Premier ministre. Répression des manifestations contestant les résultats (200 morts).
2010 : en mai, l'opposition rejette les résultats des élections législatives remportées par le pouvoir. En novembre, vague d’arrestations contre un mouvement d’opposition.
2011 : en janvier-février, remaniement ministériel sous la pression internationale. En mars, censure des médias et vague d’arrestations de journalistes. En avril, le Premier ministre annonce que l’Éthiopie « va aider le peuple érythréen à se débarrasser du régime dictatorial de Issayas Afeworki » qui soutient les groupes rebelles éthiopiens.
2012 : le 21, le Premier Ministre Meles Zenawi, homme fort de l'Ethiopie depuis 1991, décède. Ses obsèques ont lieu le 2 septembre et son successeur désigné, Hailemariam Desalegn, investi le 21 septembre, promet de poursuivre son œuvre.
2013 : les travaux entrepris début mai par le pays sur le Nil pour la construction du "grand barrage de la Renaissance" provoquent une réaction du gouvernement égyptien. Le 10 juin, le président Morsi déclare : "Si une seule goutte du Nil est perdue, notre sang sera la seule alternative". Le 7 octobre, Mulatu Teshome est élu président.
2014
17 février : un avion assurant la liaison entre Addis-Abeba et Rome est contraint de se poser à l'aéroport international de Genève, après avoir été détourné par le copilote, qui voulait déposer une demande d'asile.
20 avril : violente répression de civils Afar par la police fédérale à Awash, à 160 km d'Addis-Abeba. Cet incident aurait fait une dizaine de victimes. Ce type d'affrontements est récurrent dans cette région où les Afars s’opposent à l’expulsion de leurs terres ancestrales, à leur déplacement et à l'éloignement des points d'eau qu'ils utilisent pour leur bétail le long de la rivière Awash.
23 avril : manifestation de centaines d'étudiants de Samara, capitale de l'Afar Regional State, pour protester contre la répression à Awash et plus généralement contre l'accaparement de terres afars. Une dizaine de manifestants ont été emprisonnés.
2015
20 mars : le gouvernement brûle six tonnes d'ivoire, la totalité de son stock, lors d'une cérémonie officielle dans un parc près d'Addis Abeba.
23 mars : signature d'un accord de principe entre l'Egypte, le Soudan et l'Ethiopie pour la construction d'un immense barrage sur le Nil bleu.
19 avril : le groupe Etat islamique (EI) diffuse une nouvelle vidéo qui menace les chrétiens en montrant l'exécution d'au moins 28 hommes, chrétiens d'Ethiopie, par des jihadistes en Libye.
24 mai : victoire écrasante de la coalition au pouvoir aux élections législatives et régionales. L'opposition éthiopienne dénonce "un déni de démocratie".
17 décembre : la police réprime violemment des manifestations dans la région d’Oromia, alors qu’elles protestaient contre un projet d’agrandissement de la capitale Addis Abeba. Les autorités qualifient ces manifestants de « terroristes » pour justifier la répression.
2016
8 janvier : selon l'ONG Human Rights Watch (HRW), au moins 140 personnes ont été tuées ces deux derniers mois au cours de la brutale répression de manifestations antigouvernementales, déclenchées par des craintes d'expropriations liées à un projet d'agrandissement de la capitale.


TOURISME EN ETHIOPIE :
Perchée à 2500m d'altitude, Addis Abeba, la capitale de l'Ethiopie, cache le plus grand marché africain, une véritable ville dans la ville. Au bord d'une autoroute, Thomas croise une jeune créatrice en plein shooting photo et découvre dans ses pas une génération en plein essor. Il poursuit son voyage chez le peuple Hadiya, là où la justice se rend depuis toujours sous un arbre et où le café tient lieu de religion. Au cours de son voyage, Thomas découvre qu'au pays des hauts plateaux, les chercheurs d'or sont des coureurs de fond et déniche au fond d'une gare désaffectée le dernier trésor de l'Empereur Haïlé Sélassié.






Le Danakil est un désert situé dans la Corne de l'Afrique, au nord-est de l'Éthiopie et au sud de l'Érythrée – où il forme le district du sud de la mer Rouge.
Centré sur le bloc Danakil et la dépression de Dancalie faisant partie de la dépression de l'Afar, ses précipitations annuelles sont de l'ordre de 100 à 200 millimètres.
Malgré l'aridité de la région et la présence de gisements de sel, principale ressource exploitée de la région (les dépôts de sel atteignent par endroits 2 000 mètres d'épaisseur, constituant des réserves quasi inépuisables), de nombreux animaux, essentiellement herbivores tels le zèbre de Grévy, la gazelle de Soemmering ou encore l'âne sauvage d'Afrique, y vivent.









Le Barrage de la discorde :





TOUT SUR L'ETHIOPIE :









Les Moyens de communication en Ethiopie :

Le train s'enfonce dans le continent africain jusqu'à Djibouti, république située dans la Corne de l'Afrique. Ce pays, qui brasse une population très métissée, est l'un des plus pauvres du monde. Pourtant, cette terre de contrastes a attiré de nombreux aventuriers venus pour découvrir les déserts de pierres et de sable, les paysages volcaniques et la faune sous-marine exceptionnelle.A la découverte du continent africain, depuis l'Ethiopie, pays où cohabitent 76 groupes ethniques différents, jusqu'à Djibouti, terre de légende.



Le Train moderne qui relie Adis Abeba à Djibouti





Les meilleures endroits au Portugal

Entre Lisbonne et Porto, la côte atlantique réserve ses surprises aux visiteurs curieux. De palais rococo en oeuvre Street art, d’hôtel décalé en boutique insolite, découverte du nouvel eldorado déco.


Joyeux mélange de palais restaurés, de Street art et d’adresses trendy, la ville aux sept collines affiche ses multiples visages.
La boutique Fabrica Features Direction le dernier étage de la boutique Benetton. Fabrica, sa cellule design, a aussi une antenne portugaise. Logique : son directeur artistique, Sam Baron, partage sa vie entre l’Italie et Lisbonne. Sur les étagères, des produits imaginés par l’équipe de Fabrica donc, mais également une petite sélection d’objets estampillés Hay, Pantone ou Pijama.



La star portugaise des fourneaux, le chef José Avillez, jongle entre shows radio et télé, livres et plusieurs restaurants à Lisbonne et Porto. Ici, coup de projecteur sur le menu découverte qui vous emmène à la rencontre de saveurs inédites (en tête, billes de caipirinha qui éclatent en bouche).


A elle seule, l’étonnante piscine rouge avec vue sur le Tage vaut le détour! Ce boutique-hôtel de 42 chambres, installé dans un bâtiment du XIXe siècle, se fond dans le paysage tortueux du quartier d’Alfama.


Les boîtes de conserve se serrent comme des sardines dans cette échoppe habillée de carrelage blanc. Qu’ils soient à l’huile d’olive ou au piment, les seiches, les poulpes et les sardines s’exposent dans des boîtes au design graphique et coloré.


En 1994, Wim Wenders succombait au charme désuet de ce palais et en faisait le décor de son film “Lisbonne Story”. Il abrite aujourd’hui une petite dizaine de chambres surdimensionnées et une soixantaine de panneaux d’azulejos du XVIIIe siècle. Bluffant!


Avis de transformation pour cette ancienne usine de sucre : depuis quelques années, le quartier est devenu le QG des bobos portugais. Y ont poussé terrasses de café un peu déglinguées, boutiques de jeunes créateurs, studios de graphistes, échoppes de déco. Ici, le Street art s’affiche à tous les coins de rue : démonstration avec le décor de Derlon, artiste peintre brésilien inspiré par la tradition du « cordel » (gravure sur bois aux figures simples, en noir sur blanc).
 

Cet ancien siège de banque sert d’écrin brutaliste au musée dédié au design et à la mode. Entre mobilier, scooters, robes et accessoires de quotidien, il raconte la création de façon chronologique. En photo, oeuvre de Samuel torres de Carvalho qui, avec sa table et ses chaises surdimensionnées, nous donne l’impression d’être Alice au Pays des merveilles.


Alexandre Farto, alias Vhils, star du Street art portugais installé à Hong Kong, a laissé son empreinte sur plusieurs murs de la ville. Sa marque de fabrique? Creuser les façades pour créer des portraits gigantesques. La plate-forme Under Dogs permet de le suivre à la trace, via le site internet qui recense toutes les interventions de Street artistes à Lisbonne. Ici, Rua de Cascais.


Murs sombres et grande table chargée de trouvailles en tout genre – lettres d’enseigne, carreaux de ciment anciens, typographies d’imprimerie, brosses… —, cette brocante au charme d’antan s’approvisionne au Portugal exclusivement.


Direction le premier étage pour découvrir cette galerie d’art contemporain installée dans un immense appartement immaculé. Côté programmation, des expositions individuelles et collectives d’artistes actuels (c’est la galerie officielle de Vhils). Sur la photo, oeuvre de Susanne S.D. Themlitz.


De son passé – le plus fameux marché aux poissons d’Europe, au XIIIe siècle –, ce lieu garde le goût pour la bonne chère. Investie par la franchise portugaise du magazine culturel Time Out, cette halle couverte rassemble désormais tous les meilleurs produits de la ville (sardines, charcuterie, pasteis de nata…). A chacun son comptoir avec, au centre, de grandes tables d’hôtes.


Avec ses ruelles escarpées et son enchevêtrement de maisons blanches aux toits rouges, le quartier de l’Alfama est l’un des plus typiques de la capitale. Ici, le monastère de Saint-Vincent de Fora (patron de la ville) aux dimensions grandioses et au style austère, typique de l’architecture portugaise du XVIe siècle, domine le Panthéon national, bel exemple de réalisation baroque.


Sur la route vers Porto, quelques spots méritent un stop.
Le Palais Bussaco Niché dans une forêt quasi tropicale, à quelques kilomètres de Coimbra, ce palais, érigé au tout début du XXe siècle par l’architecte italien Luigi Manini dans un style néo-manuélin, a brièvement servi de pavillon de chasse au roi Carlos 1er, avant d’être transformé en hôtel et restaurant. A défaut d’y dormir, plusieurs promenades sont balisées dans le parc.


Un décor de cinéma ? Non, une station balnéaire! Située à quelques kilomètres d’Aveiro – rebaptisée la Venise portugaise avec ses canaux et ses gondoles –, Costa Nova est une curiosité : toutes les maisons qui s’alignent au bord de l’eau affichent des façades aux allures de marinières horizontales et verticales. Rouges, jaunes, noires ou bleues, elles évoquent les palheiros, anciennes maisons de pêcheurs en bois.


Perché sur les hauteurs du village, ce palais bâti en 1844 est digne des châteaux les plus fous de Disneyland avec ses façades jaune canari, ses azulejos et ses murs roses. Un cocktail détonnant de styles : coupole Renaissance, minaret arabe, tours gothiques et donjon de style manuélin.


L’ancestrale fabrique de porcelaine Vista Alegre, créée en 1824, s’offre une cure de jouvence. La maison de maître, attenante à l’usine, au musée et à la chapelle, vient d’être transformée en petit hôtel cossu (10 chambres). A quelques mètres de là, les architectes Paula Nunes et Tiago Araújo viennent de créer un bâtiment tout en béton qui abrite plus de 70 chambres à l’ambiance ultra-contemporaine. Pour la touche finale, le designer Sam Baron crée des scénographies mettant en scène le savoir-faire maison : à chaque palier, une ambiance différente (moules au premier, porcelaine blanche au deuxième et objets peints au troisième).


Sortir les mains vides de cette immense boutique fourmillant d’hirondelles en céramique, de boîtes de sardines colorées, de bols en forme de chou et autres curiosités portugaises ? Une ineptie!


Envie de dormir comme à la maison? Dans cette maison avec jardinet au cœur du quartier arty, six vastes chambres avec parquet qui craque, mobilier vintage et salle de bains ouverte. En prime, une petite boutique avec une sélection de produits locaux.


Une envie de chocolat? Direction cette boutique où le cacao se mêle aux saveurs fruitées, aux amandes et autres fantaisies dans des tablettes au packaging très graphique. On aurait presque envie de les garder telles quelles.


Erigée dans le plus grand parc de Porto, cette maison rose – chef-d’oeuvre Art Déco commandé dans les années 1930 par un industriel portugais, le comte de Vizela – a été réalisée par l’architecte français Charles Siclis. Détour obligatoire par la salle de bains de Madame, tout en marbre rose.


Que vous soyez plutôt « figuratif » ou « abstrait », cette boutique recouvre ses murs blancs d’illustrations de jeunes artistes. On fouille ensuite dans les catalogues pour hésiter devant les montagnes en noir et blanc de Daniel Moreira, les pin-up de Paula Bonet ou les natures mortes de Sara Louise Tucker.