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Faire du vélo sur l’eau

Faire du vélo sur l’eau sans se mouiller c’est désormais possible avec ce prototype de waterbike équipé d’un système de foiler. La commercialisation de ce prototype n’est pas prévue mais ça devrait donner des idées aux industriels.



Indonésie : il crée des sacs plastiques tellement bio qu'ils se boivent

Les sacs sont fabriqués avec du manioc, une racine tropicale comestible, très répandue dans le pays.



À chaque fois qu'il surfe ou plonge dans les eaux turquoises de son île paradisiaque natale, Kevin Kumala enrage. Sacs et déchets en plastique  ternissent son plaisir. Las de répéter "Il faut faire quelque chose", cet Indonésien a décidé d'agir. Il a donc développé des sacs à base de manioc qui se décomposent en quelques mois, contre 400 ans pour les sacs en plastique conventionnel. 
"Nos sacs sont tellement écologiques qu'ils ont réussi les tests de toxicité alimentaire. Cela donne de l'espoir aux animaux marins qui n'étouffent plus ou n'ingèrent plus de matières qui peuvent être dangereuses" affirme le co-fondateur d'Avani Eco, qui commercialise ces sacs.

Aucune aide publique

Créée en 2015, la société fabrique environ trois tonnes de sacs par jour, achetés essentiellement par des magasins et groupes hôteliers basés à Bali. Mais le prix - 30 centimes d'euros de plus que les sacs plastiques - est dissuasif, d'autant plus qu'"il n'y a aucune aide publique dédiée à la réduction des déchets en plastique", reconnaît un responsable du ministère de l'Environnement. 
Kuta beach, Bali, Indonésie, le 19 décembre 2016
Selon lui, les autorités projettent d'instaurer une obligation pour les magasins de faire payer aux consommateurs les sacs en plastique conventionnels, de quoi freiner la quantité astronomique de déchets déversés dans les océans et les fleuves. Après la Chine, l'Indonésie est le pays qui rejette la deuxième plus grosse quantité de plastique dans l'océan.
Au niveau mondial, les océans pollués contiendront bientôt plus de plastique que de poissons si des mesures ne sont pas prises d'urgence, avaient averti 40 des plus grands groupes industriels mondiaux en marge du forum de Davos, en janvier dernier. 



Japon. Une "société sans âge" où les retraités meurent à la tâche


Au Japon, une personne de plus de 65 ans sur cinq travaille encore. Toru Yamanaka/AFP
Au Japon, une personne de plus de 65 ans sur cinq travaille encore.

En 2025, un tiers de la population japonaise devrait avoir 65 ans ou plus. De ce fait, le gouvernement japonais vise à créer une « société sans âge où les gens de toutes les générations peuvent être actifs selon leurs souhaits » en mettant en place un plan.
« La tendance générale à considérer les personnes âgées de 65 ans et plus comme des personnes âgées perd de sa crédibilité », a indiqué un aperçu du plan. Il vise ainsi à encourager ces personnes à travailler et à rester en bonne santé.
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Un projet de politique gouvernementale : objectifs

Actuellement, les personnes âgées reçoivent leurs pensions publiques entre 60 et 70 ans, 65 ans étant la moyenne de départ. Cette nouvelle politique ambitionne de retarder cet âge à plus de 70 ans.
Egalement, le projet espère atteindre un taux d’emploi supérieur chez les personnes âgées : passer de 63,6% en 2016 à 67% en 2020. Bien évidemment, cette politique visera aussi à prendre des mesures pour faciliter le réemploi des aînés déjà à la retraite.
Enfin, niveau santé, le projet aura pour but d’améliorer le bien-être des personnes âgées, réduire leurs besoins en soins infirmiers et prendre des mesures pour prévenir leur isolement dans les collectivités.
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L’avancée du projet

Le Japon, conscient du vieillissement de sa population, aspire à revoir sa politique concernant les personnes âgées. Ce projet serait donc la première révision en cinq ans de ce changement politique, approuvé mercredi dernier par le comité du Parti libéral-démocrate au pouvoir. Ce mois-ci, le cabinet du Premier ministre Shinzo Abe devrait ratifier le plan.

L'Inde «manque» de 63 millions de femmes


Le pays, qui compte 1,3 milliard d'habitants, connaît un déséquilibre considérable du ratio hommes-femmes.
Le rapport présenté devant le Parlement indien estime que,
sur une tranche d'âge de 0 à 25 ans, 21 millions de filles
ne sont pas désirées par leurs parents.



L'Inde accuse un déficit de 63 millions de femmes, révèle un rapport concernant la situation économique du pays pour l'année 2017-2018 : c'est l'équivalent de la population britannique. Le chapitre consacré à ce problème, intitulé «Genre et métapréférence pour le fils: le développement est-il un antidote en soi?», met en avant un déséquilibre colossal du ratio hommes-femmes.

Ainsi, bien qu'il ne soit pas autorisé, en Inde, de révéler le sexe du futur bébé, il est courant qu'il soit annoncé lors de l'échographie, et qu'un avortement illégal le suive, quand il s'agit d'une fille. Selon l'Institut américain Guttmacher, 15,6 millions d'avortements auraient eu lieu en 2015 dans le pays. De même, nombre de familles décident de ne plus avoir d'enfants après la naissance d'un garçon.

Des données présentées dans ce document, il ressort par ailleurs que 21 millions de filles, sur une tranche d'âge de 0 à 25 ans, ne sont pas désirées par leurs parents, qui auraient préféré un garçon. Pour faire cette estimation, la différence a été calculée entre le sexe-ratio de référence et le sexe-ratio actuel des familles continuant à avoir des enfants.

Les filles bénéficient aussi de moins de soins et d'attention en matière de santé, d'alimentation et d'éducation, ce qui nuit à leur espérance de vie. Elles sont traditionnellement considérées comme un poids financier important, du fait de la dot dont les parents doivent s'acquitter lors du mariage. La préférence allant au fils est encore largement répandue dans le pays, se retrouve jusque dans les familles de la diaspora au Canada par exemple.

Alors que la croissance économique, évaluée à 7%, apporte une amélioration constante des conditions de vie des Indiens, la population féminine n'en bénéficie que partiellement. Bien que de nombreux points ont été améliorés, comme le recul de l'âge au premier enfant, l'écart se creuse quand il est question de l'accès à l'emploi.

Un combat inégal entre développement et tradition

Le rapport, supervisé par Arvind Subramanian, conseiller économique du gouvernement, préconise que «sur la question du genre, la société dans son ensemble - société civile, communautés, cadre familial - et non pas seulement le gouvernement, se reflète dans une préférence sociétale, voire une métapréférence pour les garçons, inhérente à la croissance». Le rapport évoque «un combat inégal entre les forces irrésistibles du développement, et les objets immuables que sont les normes culturelles», et prône de se préoccuper autant de la croissance économique que des résultats liés à l'égalité entre les genres.

Il s'achève en insistant sur le fait que l'Inde devrait laisser ces pratiques qui appartiennent au passé dans le passé, et mettre un terme au mauvais traitement des filles non désirées.

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L'Inde est par ailleurs le théâtre de graves violences exercées contre les femmes. Depuis le viol collectif d'une jeune fille de 23 ans dans un bus de New Delhi en 2012, morte de ses blessures quelques jours plus tard, le pays fait régulièrement la une à cause des violences pérennes envers les femmes. Dimanche, le viol d'une petite fille de huit mois par son cousin de 28 ans a déclenché l'ire des défenseurs des droits des femmes, appelant à la fin de la culture du viol. Lundi, la présentation de l'enquête entendait soutenir «le mouvement grandissant contribuant à éradiquer la violence envers les femmes, qui s'étend sur tous les continents».

La maison de l'horreur de l'Arizona

Quatre enfants adoptifs, qui vivaient dans des conditions déplorables, ont été retrouvés chez un couple de l'Arizona, un mois après la découverte de 13 frères et soeurs séquestrés en Californie.

A Perris, en Californie, le 15 janvier 2018, un couple
a été arrêté après la découverte par la police
d'une "maison de l'horreur", où 13 frères et
soeurs étaient enfermés, affamés par…


Une nouvelle "maison de l'horreur" mise au jour aux Etats-Unis. Plus d'un mois après la découverte de 13 frères et soeurs séquestrés par leurs parents en Californie, un couple originaire de Tucson, dans l'Arizona, a été arrêté plus tôt cette semaine, rapportent plusieurs médias américains dont ABCNews et le quotidien local Tucson News Now.
Carol et Benito Gutierrez, 64 et 69 ans, sont soupçonnés d'actes de maltraitance envers leurs quatre enfants adoptifs, âgés de six à douze ans.
Selon la chaîne américaine, c'est l'un des fils qui est parvenu à s'échapper, il y a une semaine, du domicile familial. Ce dernier s'est rendu dans un magasin et a demandé à utiliser le téléphone. Son allure échevelée a interpellé l'employé de la boutique qui a signalé cette visite à la police, explique le bureau du shérif de Pima. 

Sans nourriture, eau ou lumière

Une fois sur place, les policiers ont découvert les conditions déplorables dans lesquelles les enfants étaient contraints de vivre. "Les enfants étaient enfermés dans des chambres séparées, fermées de l'extérieur, raconte la police de Pima, dont les propos sont relayés par le journal Tucson News Now. Ils n'avaient pas accès à de la nourriture, de l'eau, à la lumière". Un seau, il faisait probablement office de toilettes, a par ailleurs été retrouvé dans l'une des chambres.
Aux enquêteurs, la mère de famille a assuré qu'elle enfermait ses enfants car ces derniers "volaient et mangeaient toute la nourriture", croit savoir l'Arizona Daily Star. Les enfants, tous adoptés par le couple, pouvaient être enfermés dans leur chambre jusqu'à 12 heures minimum. Ils n'avaient, selon les médias américains, pas conscience de leurs conditions.




Affaire Maëlys

L'affaire Maëlys est une affaire criminelle française qui a pour point de départ la disparition inexpliquée d'une fillette de huit ans, Maëlys de Araujo, le dimanche vers trois heures du matin, lors d'une réception de mariage dans la salle des fêtes de la commune de Pont-de-Beauvoisin, en Isère.

L'enquête s’oriente par la suite vers un enlèvement, suivi d'une séquestration et d'un possible meurtre. Un suspect, Nordahl Lelandais, âgé de 34 ans, est mis en examen pour enlèvement et séquestration d'un mineur de 15 ans. Celui-ci est écroué le . Le , les chefs d'inculpation concernant ce suspect ont été requalifiés de meurtre précédé d'enlèvement. L'arrestation de Nordahl Lelandais conduit les autorités à envisager son implication dans d'autres affaires non résolues.

Le , le suspect reconnait avoir tué Maëlys de Araujo et conduit les enquêteurs dans la forêt du massif de la Chartreuse où il a déposé le corps de l'enfant.
Maëlys de Araujo, née le , a huit ans et demi, les yeux marron et de longs cheveux châtain foncé ; elle est la fille de Joachim et Jennifer de Araujo. Ceux-ci, cousins des mariés, se sont installés à Mignovillard, commune du Jura. La mère est infirmière à l'hôpital de Pontarlier.

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À la fin de l'année 2017, il n'y a qu'un seul suspect déclaré, il s'agit d'un homme bisexuel âgé de 34 ans, Nordahl Lelandais, demeurant à Domessin (Savoie) avec ses parents.. L'homme, engagé dans l'armée à 19 ans, devenu maître-chien au 132e bataillon cynophile de l'Armée de terre de Suippes, a été réformé en 2007. En 2008, à la suite de son interpellation avec deux autres personnes, il est condamné à un an de prison ferme pour l’incendie du snack-bar La plage, à Paladru en Isère.  Il a purgé sa peine avec un bracelet électronique.

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Le , Nordahl Lelandais se voit notifier sa mise en examen pour « meurtre, précédé d'enlèvement et de séquestration » par les juges d'instruction du tribunal de Grenoble. Il rejette ces accusations.
Alain Jakubowicz, avocat pénaliste originaire de la région (son cabinet est à Lyon), assure depuis le mois de la défense du suspect, à la demande de celui-ci.
Durant la nuit du samedi au dimanche , une fête de mariage est célébrée dans la salle des fêtes de Pont-de-Beauvoisin (Isère) et à laquelle participent entre 150 et 200 convives. Vers h du matin, les parents de la petite Maëlys de Araujo, (« qui va avoir neuf ans le  »), la perdent de vue. Ils donnent l'alarme à 3 h 57. Tous les invités se mettent à la rechercher, puis, faute de résultat, la gendarmerie est contactée. À ce moment, on ignore si la fillette s'est égarée dans la forêt avoisinante, si elle a été victime d'un accident, si elle a fait une fugue ou si elle a été enlevée.

Ce fait s'est déroulé sur le territoire de la commune de Pont-de-Beauvoisin qu'il ne faut pas confondre avec son homonyme, la commune du Pont-de-Beauvoisin, située dans le département de la Savoie, donc de l'autre côté de la rivière le Guiers.
La salle des fêtes communale (dénommée également « salle polyvalente ») est située près de la mairie de la commune, non loin du centre-ville. La mairie la tient à la disposition des associations locales et de ses administrés pour y organiser des festivités, des manifestations publiques et des cérémonies privées..
Lelandais n'était initialement pas prévu parmi les convives : connaissant le marié, il avait envoyé un SMS à ce dernier pour le féliciter, et avait alors été invité à l'apéritif. Ayant demandé avant le dîner s'il pouvait repasser dans la soirée, il avait été convié à venir partager le dessert.
Selon les déclarations du procureur de la République de Grenoble, Nordahl Lelandais aurait effectué, à bord de sa voiture, dans la nuit du samedi 26 au dimanche , trois trajets aller-retour entre la salle des fêtes de Pont-de-Beauvoisin et son domicile, puis enfin un unique trajet pour retourner chez lui. Les deux premiers trajets auraient eu lieu entre 21 h 49 et 22 h 8, puis entre 22 h 33 et 23 h 9, donc au moins trois heures avant l'heure supposée de la disparition de la fillette.
La disparition de la petite Maëlys se situe, selon l'estimation des enquêteurs, à h 45 du matin. Le suspect conteste cette évaluation et indique que l'enfant aurait pu disparaître à une heure plus tardive.
Une chronologie de la nuit du 26 au a été établie par le procureur de la République, selon ses propres déclarations effectuées lors de sa conférence de presse du ; elle est exposée ci-dessous :
  • h 46 : le suspect met son téléphone en « mode avion »;
  • h 47 : deux caméras de vidéosurveillance situées dans le centre-ville de Pont-de-Beauvoisin indiquent qu'une voiture, qui pourrait être l'Audi A3 du suspect (selon certains éléments précisés par le procureur, mais contestés par la défense), circule avec à son bord sur le siège passager une « silhouette frêle de petite taille, vêtue d'une robe blanche » ;
  • h 24 : le même véhicule est filmé en sens inverse, mais cette fois-ci sans aucune présence sur le siège passager ;
  • h 25 : le suspect désactive le « mode avion » ; dès lors, le « bornage » de son téléphone indique la zone de la salle des fêtes de Pont-de-Beauvoisin ;
  • h 57 : une Audi A3 est, pour la dernière fois, filmée avec un conducteur seul par les caméras de vidéosurveillance de Pont-de-Beauvoisin. Le téléphone du suspect aurait été, à ce moment, replacé en « mode avion ». Il n'a été remis en fonctionnement complet que trois heures plus tard à h 6, au domicile du suspect. Celui-ci déclarera, lors de son audition au tribunal, qu'il ne s'agissait pas de son véhicule.

Ce même dimanche, l'après-midi, le suspect est entendu, comme d'autres témoins, lors d'une première et brève audition dans le cadre classique de l'enquête. De 17 h 23 à 19 h 45, soit pendant plus de deux heures, la vidéosurveillance d'une station-service le filme en train de nettoyer de fond en comble sa voiture. Il emporte les lingettes qui lui ont servi à nettoyer le véhicule. Le lundi, il demande la résiliation de la ligne téléphonique de son portable. Le suspect aurait déclaré aux enquêteurs qu'il avait lavé son véhicule dans le but de le mettre en vente.