Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

SONGKRAN en Thaïlande: La plus grande fête de l'eau et du nouvel an thaï

Pour célébrer la fête de l'eau en Thaïlande, les habitants de Bangkok n'hésitent pas à organiser de véritables batailles d'eau dans les rues, parallèlement aux rites traditionnels.





Comme toujours la fête de l’eau est l’occasion de faire des énormes batailles d’eau. C’est aussi un moment clé de la culture thaïlandais avec des festivités plus traditionnelles.
Beaucoup d’évènements sont organisés pour fêter Songkran, mais la vraie fête est avant tout dans les familles. En effet, elle est en quelque sorte le socle de la communauté et des familles. C’est pendant cette période que l’on honore les anciens et que l’on vient chercher leur bénédiction. Par leur longévité, ils montrent le chemin à suivre, la sagesse à acquérir et la force vitale qu’ils possèdent en eux. Songkran est donc un moment propice pour réunir la famille autour des anciens. Les festivité de Songkran sont de fait de deux ordres, celles gardant et respectant l’aspect traditionnel. Ici il y a une primauté donnée à la famille et à l’aspect religieux de la fête. On se rend aux temples et l’on va honorer Bouddha. L’autre concerne surtout des fêtes un peu plus « vulgus pecus », c’est-à dire des moments totalement ludiques et festifs comme l’illustrent parfaitement les batailles ou les fêtes d’eau. Elles sont souvent mémorables et il faut le reconnaître à faire au moins une fois … bref à ne pas les louper !




Des saumons traversent une route inondée

La scène s'est déjà produite auparavant dans cette région, lors de crues de la rivière Skokomish aux état-unis d'Amérique.


Reporters


 Habituellement, les saumons doivent franchir des gués pour réussir à remonter les cours d'eau. Mais des poissons de l'Etat de Washington (Etats-Unis) ont fait face à un obstacle d'un autre genre : une route. Plusieurs saumons ont été filmés début novembre alors qu'ils traversaient une chaussée inondée par la rivière Skokomish, près de Seattle.
eLLE entre en effet régulièrement en crue, à cause du climat très arrosé de l'Etat de Washington. Si le phénomène météorologique coïncide avec la migration des saumons, qui remontent les rivières pour se reproduire, il arrive de voir des poissons tenter la traversée de routes inondée comme le montre cette vidéo :


Birmanie : ils brûlent des défenses d'éléphants pour lutter contre les trafics

Une méthode radicale pour un fléau planétaire : le braconnage et le marché du trafic d'animaux rares pèsent 20 milliards de dollars dans le monde. En Birmanie, où les braconniers investissent de nouvelles régions pour répondre à la forte demande en Chine, les autorités ont décidé de prendre le problème à bras le corps, en brûlant aux yeux de tous la marchandise saisie. Ainsi, dans la capitale Naypyidaw, ce sont 850 kilos de carcasses de léopards, d'os de tigres ou encore de défenses d'éléphant (la "marchandise" la plus rentable) qui ont été brûlés, jeudi 4 octobre. Le tout pour une valeur de 1,3 million de dollars.



« Putain de guerre 14-18 » …

Au centième anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, on pouvait croire que tout avait été montré de ce massacre. Mais les archives avaient encore de la ressource... Un certain nombre de sites britanniques et américains ont récemment livré des images jusqu'alors inédites. En voici quelques unes.

Ces tueries de masse de 1914-1918 avaient préparé la mort industrielle de la guerre suivante 39-45. On sait aujourd'hui que la " der des der" n'existe pas. Le sang sèche donc bien vite en entrant dans l'histoire...Les seules variantes seront les nouveaux moyens de tuer. Les images de cette séquence ne serviront donc à rien, qu'à mesurer l'horizon infranchissable de notre éternelle condition humaine...




Au Japon, le phénomène des « kodokushi », ces morts solitaires

Ce sont ces personnes dont on retrouve le corps des mois plus tard et qui sont de plus en plus nombreuses.



Une telle situation est loin d'être un cas isolé au Japon, où les plus de 65 ans représentent déjà 27,7% de la population et où le nombre de personnes seules explose. Le phénomène a même un nom: "kodokushi", littéralement "mort solitaire".

Les murs rose pâle aux interstices noircis par la poussière évoquent le Japon des années 1950. La rouille suinte des attaches métalliques d’un miroir fatigué. Le lavabo menace de s’effondrer. Le liquide noirâtre du « furo » (bain traditionnel) a pleuré sur le carrelage bleu pastel. Le fenestron de la modeste salle de bain a renoncé à laisser passer la lumière.
Un homme est mort ici. Quand les services sociaux ont forcé la porte de son petit appartement, ils ont retrouvé son corps, où ce qu’il en restait, dans le furo.Le décès d’un arrêt cardiaque remontait à deux mois.
L’histoire est vraie, mais le décor est reconstitué en miniature. Il est l’œuvre de Miyu Kojima, 26 ans. La jeune femme travaille pour la société ToDo-Company, spécialisée dans le nettoyage d’appartements des « kodokushi », les « morts solitaires », souvent des personnes âgées modestes vivant seules, n’ayant plus de contact avec leur famille, et dont le décès passe inaperçu jusqu’à ce que le voisinage s’inquiète d’une odeur désagréable, du courrier qui s’amoncelle dans la boîte aux lettres, d’une lumière qui reste allumée, ou d’une porte qui ne s’ouvre plus.
Une fois son travail terminé, Miyu Kojima récupère des photos prises pour les éventuels héritiers et réalise des miniatures ultra-réalistes de ces scènes de mort, qu’elle expose au salon des produits de l’industrie des pompes funèbres, organisé chaque année à Tokyo à la fin du mois d’août.

Résultat de recherche d'images pour "kodokushi"

Vieillissement accéléré de la population
On y retrouve des intérieurs étroits, au mobilier daté fleurant l’ère Showa(Période du règne de l’empereur Hirohito, entre 1925 et 1989). Ses créations montrent aussi des appartements encombrés d’ordures diverses, boîtes de bento, pots de nouilles instantanées, accumulées le plus souvent, selon elle, en raison de stress ou de dépression.

Résultat de recherche d'images pour "kodokushi"





Les villages abandonnés en France

La France est un vieux pays, chargé d’histoire et parsemé de belles pierres, fait de jolis villages et de métropoles modernes, parsemé de campagnes rieuses et de forêts séculaires. Raconté de cette façon, ça a plutôt l’air joli. Sauf que parfois, ça déraille. Les belles demeures et splendides châteaux sont parfois laissés à l’abandon, certains sites industriels et usines qui tournaient à plein régime au milieu du siècle dernier sont délaissés et deviennent des friches qui font la joie des graffeurs et des amateurs d’exploration urbaine. Mais plus encore que les châteaux et usines abandonnés, désormais connus de tous et largement documentés sur internet, ce qui m’a étonné, c’est que des villages entiers puissent se retrouver à l’abandon. Evidemment, la centralisation forcenée en France, et l’urbanisation qui amènera 70 % de la population mondiale à vivre en ville d’ici 2050 n’y sont pour rien. Mais ce n’est pas tout : guerres, épidémies, isolement, catastrophes naturelles ou projets de barrage : à chaque fois, il y a une raison pour que des villages entiers soient abandonnés, et cela constitue autant d’histoires intéressantes à raconter… Combien de ces villages, disparus ou encore recensés sur une carte, ont été abandonnés. 

Rochecolombe, le village abandonné :

Le vieux village abandonné de Rochecolombe est situé en Ardèche méridionale sur un piton calcaire. Le château date du 11ème siècle. Autour de lui, le bourg castral a été habité jusqu'en 1914, les habitants l'ayant progressivement déserté pour raison de commodité.



Village abandonné au bord de mer :




Celles : Village abandonné dans l'herault en France

Le village a été exproprié lors de la mise en eau du barrage du Salagou, à la fin des années 1960. L'ensemble des habitations a été acquis par le département de l'Hérault. À l'époque, il était prévu de réaliser le plan d'eau en deux étapes, d'abord à la cote 139, puis ultérieurement à la cote 150. Celles étant à 144 m d'altitude en moyenne aurait donc dû être submergée, d'où son maintien à l'état de ruines pendant longtemps.




Village fantôme de Clédat en Corrèze :
Village du XIVème siècle qui fut à l'origine un hospice. Les derniers habitants quittent le village en 1963, isolé et abandonné au milieu de l'immense forêt de résineux de Larfeuil. Clédat renaît en 2001 lors de la restauration de la Chapelle Ste Madeleine qui aujourd’hui trône au milieu des ruines ainsi que la chaumière (dernière habitation sur pied). A voir aussi la bonne fontaine Ste-Madeleine, le point de vue "le rocher",... 






Thines, le village perdu :
On ne va pas à Thines par hasard. Le seul chemin escarpé monte entre les rochers et la rivière dans une nature encore intacte. Mais pourquoi les hommes ont voulu vivre ici dans un lieu si exigeant ?





Village en ruine de Rochecolombe :
Le château de Rochecolombe, dominant le village a été construit au XIe siècle. Il est mentionné pour la première fois dans la documentation en 1170, concédé à la famille d'Ucel par les comtes de Toulouse. Le village est en fait un bourg castral , regroupement de maisons autour du château. Le château est incendié pendant les guerres de religion et il est resté en ruine depuis. De 80 habitants au XVe siècle la population du village passe à 300 habitants depuis 1650 jusqu'à la Révolution et atteint 627 habitants en 1851 ; à partir de cette date la population abandonne peu à peu le vieux village pour des raisons de commodité. Les dernières maisons sont désertées au début du XXe siècle. Jusqu'au XVe siècle, les toitures des maisons étaient recouvertes de paille de seigle, les tuiles ne sont apparues sur les maisons populaires qu'à partir du XVIe siècle.





Le Poil :
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1056 (Poium). Son nom s'écrivait le Poir jusqu'au XIXe siècle. Les Castellane en était seigneurs du XIVe au XVIIe siècle. Jusqu'au XXe siècle, les habitants du Poil cultivaient la vigne dans les communes voisines (notamment Mézel) et emportaient le raisin dans la montagne pour y fabriquer leur vin. Le village a été déserté dans les années 70. Une association culturelle a entrepris la rénovation de plusieurs bâtiments.





SALIGNAC :
Le village étant sur la rive gauche de la Durance,il appartenait au comté de Provence lors de la période d’existence du comté de Forcalquier. Le nom du village,tel qu’il apparaît la première fois vers 1200 (castrum de Saliniaco) est interprété comme dérivant du gentilice romain Sallinius ou Salinus,et indique un domaine appartenant à un Salinius. Dans l’Antiquité,le territoire de Salignac fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii). La communauté relevait de la baillie de Sisteron. Le territoire de la commune compte plusieurs tumulus, ainsi que quelques vestiges d’époque romaine. Une villa d’importantes dimensions a été retrouvée. Dans l’Antiquité, le territoire de Salignac fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii). Dès 1906, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841.




Village abandonné de Chaudun :
Randonnée depuis Rabou jusqu'au village abandonné de Chaudun par le sentier des bans.






L'ancien village abandonné de Noyer le Haut :
la localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1168, sous le nom de de Nogueriis, dérivé de l’occitan nougié (désignant le noyer), qui a plus tard été francisé en Noyers. La localité est citée pour la première fois à l’occasion de la victoire de saint Bevons sur les Maures au Xe siècle à Peyrimpi, selon Michel de la Torre. L’ancien village abandonné situé à 1000 mètres,se trouvent notamment les restes du château du XIIIe siècle, les ruines de l’ancien village,et l’église Notre-Dame-de-Bethléem et Sainte - Euphémie,ou de Haut-Noyers. Le plus ancien moulin à eau de Noyers existait déjà en 1342. La seigneurie appartient aux d’Agoult du XIVe au XVe siècle, et aux Clermont aux XVIIe-XVIIIe siècles. En 1516, les habitants de Noyers et de Ribiers s’opposent à propos du bornage de leurs terres : la dispute dégénère en combat sanglant, qui donne lieu à un procès de longue haleine. Cette dernière, ancienne dépendance du prieuré de Ganagobie, est construite du XIIIe siècle. C’est l’une des plus grandes églises du département (32 x 12 m). Sa cloche date de 1549. Elle a été restaurée dans les années 1970 et est classée monument historique. L’habitat se déplace progressivement dans la vallée, vers un village qu’on appelle alors Noyers-le-Bas, plus proche de la route départementale et de de sources. En 1844, sur les 1194 habitants, 340 vivaient dans le vieux village, et 854 dans le nouveau (et les écarts). L’école est construite dans la vallée en 1855, suivie d’une église en 1866 et finalement de la mairie en 1913.






Périllos village abandonné :

À la lisière de l'Aude et des Pyrénées-Orientales était le village de Périllos. Qui se vida peu à peu de ses habitants jusqu'à devenir un village fantôme, perdu au bout de la route. Qui se souvient des hommes ? écrivait Jean Raspail à propos d'un peuple disparu à la pointe de la Patagonie ! Qui se souvient des hommes et des femmes qui ont grandi à Périllos, qui y ont vécu, qui y ont connu leur lot de joies et de peines, les petits bouts d'ordinaires qui font qu'une vie est une vie. Qui se souvient de l'homme qui le dernier mit la clef sous la porte, chargea le peu d'affaires qui lui restait et s'en fut ? Quittant définitivement le village de Périllos, tournant le dos à son passé et à son histoire et à ses ancêtres pour aller s'installer à Opoul, un peu plus bas. Dix kilomètres d'un chemin de croix déchirant, sur une route étroite qui serpente dans la garrigue. Des pierres si sèches et si blanches qu'elles vous feront cligner les yeux pour ne pas que vous puissiez les regarder en face. A-t-il laissé les volets ouverts ? A-t-il pris la peine de fermer le verrou une dernière fois… Depuis 1971, Périllos n'a plus d'existence légale en tant que village. Il fait partie de la commune d'Opoul. Et a rejoint la liste des villages abandonnés. Un long déclin Selon les données historiques, on retrouve trace du village aux alentours de 1 215. Des documents attestent de la présence de l'église et de quelques habitants. Le château n'est pas loin et offre une vue incomparable sur la baie de Perpignan. Mais cette terre est hostile, éloignée des axes commerciaux. Est-elle pour autant maudite ? Les habitants s'accrochent vaille que vaille sur ce versant des Hautes Corbières qui connaîtra guerres, épidémies, famines et grandes sécheresses. La démographie du village ne sera jamais extraordinaire. Ne dépassera jamais d'ailleurs la centaine d'habitants. Des valeureux qui s'accrochent à leurs racines. Qui lutteront. Mais dans ce pays ou il peut geler à pierre fendre l'hiver, ou l'été transforme le paysage en sierra quasi désertique, la terre sera plus forte que les hommes. Et dévorera avec un appétit insatiable chacun de ses petits. Un long déclin que les deux saignées laissées par les guerres mondiales n'arrangeront pas.... ....Abandonné dans les années 1970 par le dernier habitant, le village va devenir un décor de ciné grandeur nature..... ....Depuis quelques années, la courbe du destin s'est inversée sous l'impulsion de quelques courageux. L'été, avec de la chance, vous pourrez vous attabler à la buvette. Quelques tentes dans un jardin, un chantier au pied de l'église redonnent vie à cette terre qui un jour fut oubliée des hommes, de Dieu, de tous…» A la mémoire de toutes celles et ceux qui ont fait la vie de ce village et en hommage à tous les bénévoles qui œuvrent, en été, à la réhabilitation de ce très attachant village...



Le village abandonné de Comes :
Perché à 800 mètres d'altitude au-dessus de Prades et d'Eus, le village de Comes est abandonné depuis 1920. L'église a toutefois été restaurée ces dernières années grâce au travail d'une association et surtout grâce à l'énergie d'une jeune femme de 79 ans, c'est elle qui nous sert de guide pour la découverte de ce village.



Vietnam : Dà Lat, ville de l’éternel printemps


Dà Lat, ville de l’éternel printemps
La ville offre un environnement agréable

Dà Lat est le chef-lieu de la province de Lâm Dông (hauts plateaux du Centre). Elle se trouve à environ 300 km au nord-est de Hô Chi Minh-Ville. Cette station climatique a été surnommée "ville du printemps" ou "petite France au Vietnam" en raison de son climat hors du commun car doux, clément et tempéré, en contraste avec le climat tropical du pays.
Dà Lat a été découverte en 1893, lors d’une expédition du célèbre médecin français Alexandre Yersin sur le haut plateau de Lang Biang. Une jolie contrée perchée à 1.500 m d’altitude qui regorge de chutes d’eau écumeuses, de lacs aux eaux limpides, de collines couvertes de pins, de massifs de fleurs...
La ville s’étend sur une série de collines avec plusieurs lacs naturels et artificiels tels que Xuân Huong, Than Tho, Da Thiên ou encore Tuyên Lâm, tous entourés de pinèdes. Elle est également connue pour ses belles chutes d’eau comme Voi (Éléphant), Cam Ly, Pongour, Prenn, pour n’en citer que quelques-unes.
Entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe , une série d’ouvrages, d’hôtels et de maisons arborant un style architectural à la française y ont vu le jour.
De nos jours, Dà Lat est une ville très développée sur le plan touristique. Les autobus d’excursion sont nombreux à grimper et descendre les collines. Beaucoup de petits hôtels s’égrènent le long des routes. C’est une destination idéale non seulement pour les couples en quête de romantisme, mais aussi pour tous les voyageurs vietnamiens comme étrangers.





Au festival Photo Phnom Penh, les regards d’ici et d’ailleurs se croisent

Créé en 2008 à la demande d’Alain Arnaudet, alors directeur du Centre culturel français, le festival Photo Phnom Penh (PPP) reste cette année fidèle à ses principes : soutenir et favoriser l’émergence d’une scène photographique cambodgienne – en élargissant ses frontières jusqu’à l’Asie du Sud-Est. « L’idée centrale est celle de rencontres et d’échanges entre créateurs européens et asiatiques. Même si cela s’avère de moins en moins facile au niveau des autorisations, l’installation d’expositions dans l’espace public est essentielle pour toucher un large public qui, généralement, n’ose pas pousser la porte d’une galerie ou d’un centre culturel », nous a confié Christian Caujolle, le commissaire du festival depuis ses débuts, et qui a programmé 14 expositions cette année. Réalisée avec le soutien de l’Institut français, cette 9e édition, qui mélange des photographes asiatiques et des artistes européens ou américains, propose également des lectures de portfolios, des conférences, des ateliers, des rencontres, des visites d’expositions avec les artistes et des concerts.
  • Floriane de Lassée, « How Much Can You Carry ? », 2010-2018
Avec sa série « How Much You Can Carry ? », la Française Floriane de Lassée a parcouru une dizaine de pays pour demander à ses sujets de se mettre en scène avec ce qu’ils ont de plus cher. C’est avec curiosité, amusement et souvent orgueil que les modèles ont pris la pose. Pour la photographe, la série est un hommage à ces habitants, surtout des femmes, qui portent au quotidien sur la tête d’invraisemblables charges.

Avec sa série « How Much You Can Carry ? », la Française Floriane de Lassée a parcouru une  dizaine de pays pour demander à ses sujets de se mettre en scène avec ce qu’ils ont de plus cher. C’est avec curiosité, amusement et souvent orgueil que les modèles ont pris la pose. Pour la photographe, la série est un hommage à ces habitants, surtout des femmes, qui portent au quotidien sur la tête d’invraisemblables charges.

  • Lim Sokchanlina, « Wrapped Future », 2015-2018
Avec sa série « Wrapped Future », le Cambodgien Lim Sokchanlina interroge le paysage changeant de la capitale cambodgienne, où les sites en construction fleurissent, entourés de palissades de métal. L’artiste les photographie de façon abstraite, sous la lumière vive, pour mettre en question leur promesse de changement, souligner la coupure qu’ils représentent entre espace public et propriété privée, passé et futur, connu et inconnu.

Avec sa série « Wrapped Future », le Cambodgien Lim Sokchanlina interroge le paysage changeant de la capitale cambodgienne, où les sites en construction fleurissent, entourés de palissades de métal. L’artiste les photographie de façon abstraite, sous la lumière vive, pour mettre en question leur promesse de changement, souligner la coupure qu’ils représentent entre espace public et propriété privée, passé et futur, connu et inconnu.

  • Mak Remissa, « From Hunting to Shooting », 2016-2017
Le photographe cambodgien Mak Remissa, photojournaliste reconnu, réalise aussi des séries plus personnelles, comme celle-ci, « From Hunting to Shooting ». Avec ses images colorées, il compose un poème qui met en scène des oiseaux dans un somptueux théâtre d’ombres.

Le photographe cambodgien Mak Remissa, photojournaliste reconnu, réalise aussi des séries plus personnelles, comme celle-ci, « From Hunting to Shooting ».  Avec ses images colorées, il compose un poème qui met en scène des oiseaux dans un somptueux théâtre d’ombres.

  • Olivier Culmann, série «  The Others ‒ Inde », 2009-2013
Le Français Olivier Culmann, qui a longtemps vécu en Inde, s’est inspiré du goût des habitants pour la photo de studio et se met en scène chez les photographes de quartier, en incarnant différents personnages de la société. Il explore aussi, dans cette série hilarante, les talents de retoucheur des photographes locaux, et les teste sur lui-même, devenant un drôle de personnage qui n’a plus grand chose d’humain.

Le Français Olivier Culmann, qui a longtemps vécu en Inde, s’est inspiré du goût des habitants pour la photo de studio et se met en scène chez les photographes de quartier, en incarnant différents personnages de la société. Il explore aussi, dans cette série hilarante, les talents de retoucheur des photographes locaux, et les teste sur lui-même, devenant un drôle de personnage qui n’a plus grand chose d’humain.


  • Ly Min, 2018
Le Cambodgien Ly Min s’est attaché, dans des images très pures, à documenter les inondations à Phnom Penh, depuis son balcon. Sur fond noir, c’est une série de tranches de vie, des écoliers rentrant de cours aux ménagères transportant leurs emplettes sur des radeaux improvisés, qui défile devant nos yeux.


Le Cambodgien Ly Min s’est attaché, dans des images très pures, à documenter les inondations à Phnom Penh, depuis son balcon. Sur fond noir, c’est une série de tranches de vie, des écoliers rentrant de cours aux ménagères transportant leurs emplettes sur des radeaux improvisés, qui défile devant nos yeux.

  • Yang Ming, 2010-2018
Le Chinois Yang Ming livre des images apparemment classiques, en noir et blanc, mais qui traquent pourtant les aberrations de son pays dont il estime qu’il a totalement perdu ses racines culturelles. Des images étranges, troublantes, mystérieuses.


Le Chinois Yang Ming livre des images apparemment classiques, en noir et blanc, mais qui traquent pourtant les aberrations de son pays dont il estime qu’il a totalement perdu ses racines culturelles. Des images étranges, troublantes, mystérieuses.


  • Alexey Shlyk, 2017
Le jeune photographe biélorusse Alexey Shlyk évoque dans ses souvenirs ce qu’était la vie quotidienne en Union Soviétique, et plus précisément la créativité et le bidouillage nécessaires en ces temps de pénurie. Entre portrait et nature morte, avec énormément d’humour, c’est aussi une réflexion sur l’histoire, le temps, le quotidien.


Le jeune photographe biélorusse Alexey Shlyk évoque dans ses souvenirs ce qu’était la vie quotidienne en Union Soviétique, et plus précisément la créativité et le bidouillage nécessaires en ces temps de pénurie. Entre portrait et nature morte, avec énormément d’humour, c’est aussi une réflexion sur l’histoire, le temps, le quotidien.


  • Charles Fréger, « Yokainoshima », 2013-2015
Le Français Charles Fréger, connu pour ses recherches photographiques sur les costumes et les uniformes, fait ici dialoguer les traditions populaires anciennes en Europe et en Asie : sa série « Wilder Mann » explore les rituels très souvent liés aux solstices en Europe tandis que « Yokainoshima » (photo) inventorie au Japon les pratiques et les costumes traditionnels dans l’archipel.


Le Français Charles Fréger, connu pour ses recherches photographiques sur les costumes et les uniformes, fait ici dialoguer les traditions populaires anciennes en Europe et en Asie : sa série « Wilder Mann » explore les rituels très souvent liés aux solstices en Europe tandis que « Yokainoshima » (photo) inventorie au Japon les pratiques et les costumes traditionnels dans l’archipel.


  • JH Engström, 2015-2017
Le Suédois JH Engström joue avec les négatifs en couleur. Bagages scannés à l’aéroport, arbres et paysages, détails de corps, tout devient étrange, poétique et en même temps presque inquiétant. Un questionnement profond sur la façon dont nous percevons le monde et dont la photographie le transcrit.

Le Suédois JH Engström joue avec les négatifs en couleur. Bagages scannés à l’aéroport, arbres et paysages, détails de corps, tout devient étrange, poétique et en même temps presque inquiétant. Un questionnement profond sur la façon dont nous percevons le monde et dont la photographie le transcrit.


  • Daesung Lee, « Futuristic Archaeology», 2014
Dans sa série « Futuristic Archaeology », le Coréen Daesung Lee présente des mises en scène en grand format, prises dans les paysages de Mongolie pour attirer l’attention sur la disparition de la culture traditionnelle. Les photos d’élevages de vaches, de courses de chevaux, de chasse avec des aigles pratiquées par les populations nomades, menacées par la désertification, deviennent ici des tableaux bientôt accrochés dans des musées.


Dans sa série « Futuristic Archaeology », le Coréen Daesung Lee présente des mises en scène en grand format, prises dans les paysages de Mongolie pour attirer l’attention sur la disparition de la culture traditionnelle. Les photos d’élevages de vaches, de courses de chevaux, de chasse avec des aigles pratiquées par les populations nomades, menacées par la désertification, deviennent ici des tableaux bientôt accrochés dans des musées.

  • Michael Vickery, années 1960
Michael Vickery, chercheur et historien américain passionné par le Cambodge, mort en 2017, a laissé derrière lui un travail inédit sur ce pays dans les années soixante. Le festival expose ce témoignage très rare ‒ puisque toute la documentation de cette époque a été détruite par les Khmers Rouges.


Michael Vickery, chercheur et historien américain passionné par le Cambodge, mort en 2017, a laissé derrière lui un travail inédit sur ce pays dans les années soixante. Le festival expose ce témoignage très rare ‒ puisque toute la documentation de cette époque a été détruite par les Khmers Rouges.



Traditions et coutumes insolites à travers le monde

Chaque pays possède différentes traditions et coutumes, et parfois, elles peuvent s’avérer vraiment surprenantes : recouvrir la mariée d’immondices, prendre la pose aux côtés d’un proche décédé ou encore cracher sur les nouveau-nés… Découvrez toutes ces traditions plus insolites les unes que les autres.

Au Japon de nombreuses personnes fêtent Noël en mangeant… KFC

Noël au Japon via Shutterstock


Au Japon, de nombreuses personnes fêtent Noël en allant chercher du poulet dans un célèbre fast-food américain ! Une étonnante tradition qui remonte aux années 70.
Pour fêter la fertilité, il existe un festival dédié au pénis au Japon

Toujours au Japon, chaque printemps, les habitants de Kawasaki fêtent la fertilité grâce à un festival dédié au pénis !

festival-penis


Dans le Vermont aux USA, certaines maisons ont des fenêtres posées en diagonale

Dans le Vermont, aux États-Unis, certaines maisons ne sont pas posées verticalement ou horizontalement, mais en diagonale, à 45 degrés. Selon la légende, il s’agirait de protéger les habitations des sorcières, qui ne pourraient ainsi pas y entrer en volant sur leur balai.

fenetre-sorciere

Aux Pays-Bas, il est déconseillé de chanter à table et de prêter son sel à son voisin

Aux Pays-Bas, il est déconseillé de chanter à table. C’est comme si vous chantiez avec le diable. D’ailleurs, là-bas, on ne prête pas son sel à son voisin. Ça porte malheur.

Sel via Shutterstock

À Seattle, la tradition veut que les gens collent leur chewing-gum sur un mur dédié à cet effet

Voici peut-être le mur le plus sale du monde. Il est situé à Seattle, dans une petite rue. Si à Paris, la tradition voulait jusqu’à il y a peu que les amoureux déposent un cadenas sur le pont des Arts, là-bas, il s’agit de coller un chewing-gum sur ce mur.

Seattle-mur
En Inde, les bébés sont jetés d’un bâtiment pour atterrir sur un drap tendu

Voici l’une des coutumes les plus dangereuses du monde. Dans la partie sud de l’Inde, depuis plusieurs siècles, les bébés sont jetés du haut d’un bâtiment pour qu’ils atterrissent plusieurs mètres plus bas sur un drap tendu. Si cette coutume insensée commence à disparaître, elle est toujours pratiquée dans certaines villes.


Au Japon, on évite de planter ses baguettes verticalement

Au Japon, il est de tradition d’éviter à tout prix de planter ses baguettes verticalement dans sa nourriture. Cette position ferait trop penser à des bâtons d’encens, qui sont utilisés pour rendre hommage aux morts.

baguette-japon

Avant le mariage, les Écossais recouvrent la mariée de diverses immondices

En Écosse, avant qu’une femme ne se marie, ses amis et ses proches la recouvrent de diverses immondices, toutes plus répugnantes les unes que les autres. Poissons pourris, sauces, lait tourné, boue, tout est bon pour rendre la mixture la plus répugnante possible. On dit que si la future mariée peut survivre à ça, elle pourra survivre aux affres du mariage.

Mariage écossais via Shutterstock

En Indonésie, pour rendre hommage aux morts, les cadavres sont habillés puis promenés dans le village

Sur l’île de Sulawesi, en Indonésie, le peuple Toraja a pour habituded’exhumer ses morts pour les laver et les habiller. Lors de ce rituel intitulé Ma’ne’ne, certains cadavres sont même relevés pour qu’ils fassent le tour du village accompagnés par leur proches.

Cérémonie funéraire en Indonésie via Shutterstock

À l’époque les familles prenaient la pose en compagnie de leurs proches décédés

Au XIXe siècle, quelque temps après l’invention des tout premiers appareils photo, l’une des traditions voulait que les familles prennent la pose en compagnie de leurs proches décédés. Une façon de commémorer les défunts et d’éviter de commander des peintures qui, à l’époque, étaient beaucoup plus coûteuses et plus longues à réaliser que ces daguerréotypes.

photo-mort

Les chats noirs portent bonheur au Japon


Contrairement aux Occidentaux, dans la culture japonaise le chat noir porte bonheur. En effet le chat a une grande place dans leurs traditions, on peut observer des statues de chat en porcelaine ou en céramique levant la patte dans les magasins qui ont pour but d’attirer la fortune. La patte gauche est censée attirer les clients et la patte droite l’argent.

chat-noir

Les pieds bandés en Chine

La coutume des pieds bandés a été pratiquée en Chine pendant plus de mille ans. Son origine remonterait à la fin des Tang, au Xe siècle, quand l’empereur demanda à sa femme de se bander les pieds pour exécuter la danse traditionnelle du lotus. Un siècle plus tard, la coutume devient très à la mode chez toutes les femmes de l’empire qui symbolise la richesse et la distinction. En effet, seules les femmes riches ont les pieds bandés car cette particularité ne leur permet de faire que des tâches domestiques simples.

pied-coutume

Avant de se marier, les filles du peuple Tujia en Chine doivent pleurer

Avant un mariage, les épouses et les filles du peuple Tujia en Chine commencent à pleurer un mois avant pour montrer leur joie. La mariée doit pleurer 1 heure tous les jours, ensuite 10 jours après la mère la rejoint, et enfin après 10 jours encore la grand-mère se mêle au rituel. À la fin du mois, toutes les femmes de la famille pleurent aux côtés de la mariée, formant ainsi une sorte de chanson.

mariage-chine

Au Kenya on crache sur les nouveau-nés

Au Kenya, on célèbre la naissance d’un nouveau-né en le faisant passer dans les bras de toutes les femmes pour qu’elles lui crachent dans la bouche.

bebe-kenya

Deux bébés sinon le divorce !

Au Soudan du Sud, les gens de la tribu Neur pensent que le mariage n’est pas complet tant que la femme n’a pas eu deux enfants. Si elle ne le fait pas, le marié est en mesure de demander le divorce.

enfants-soudan

Réhabilitation du Grand Sofar Hotel, palace de l’âge d’or du Liban



Résultat de recherche d'images pour "Le Grand Sofar Hotel, palace de l’âge d’or du Liban"


Plus de quarante ans après que la guerre civile l’a obligé à fermer, l’établissement, fréquenté par le Tout-Beyrouth depuis la fin du XIXème siècle, bénéficie d’une réhabilitation.




 Le Grand Hôtel-Casino de Aïn Sofar a été construit vers la fin du XIXe siècle par la famille Sursock. Cet hôtel a été le témoin de l'âge d'or du Liban jusqu'en 1975 qui marque le début de la très longue guerre civile. Les murs de ce palace racontent un pan de l'histoire du pays qui fut le pays du miel et de l'encens, la Suisse du Moyen-Orient. Tel un phénix, le Liban a su sortir de sa guerre civile, et l'hôtel, à l'image du pays, a été ressuscité par le grand talent de Tom Young, un artiste-peintre anglais qui a su tirer le meilleur d'un patrimoine laissé à l'abandon depuis longtemps.
Lieu de rencontres des grands de ce monde ; têtes couronnées, artistes, stars du cinéma et de la chanson et classe dirigeante, les couloirs du Grand Hôtel foisonnent d'évenements tant politiques qu'artistiques si bien illustrés par Young. Une lieu nostalgique pour les uns, une découverte pour les autres...




Les 10 plus belles villes de Belgique

La Belgique c'est Tintin, les frites, les gaufres et les blagues potaches. C'est aussi Bruxelles et son rayonnement culturel international, Bruges et ses canaux, Ostende et son bord de mer... À seulement quelques kilomètres de la France, la culture et les paysages belges savent surprendre et charmer les visiteurs. De la Wallonie aux Flandres, partons à la découverte de ce plat pays :
  • BRUGES : est l'étape incontournable de tout voyage en Belgique. La bien nommée «Venise du Nord», chef lieu de la province de Flandres occidentale, a conservé son charme d'antan malgré le tourisme qui s'y est développé. Un véritable havre de paix où circulent très peu de voitures : ici, on se déplace en vélo ou en calèche ( un peu touristique, mais tellement romantique !)

  • OSTENDE : On aurait pu choisir Knokke le Zoute, le St Trop' belge, mais c'est vers Ostende que notre choix s'est arrêté. En plus d'avoir une plage magnifique (9km de sable !), Ostende est une vraie ville de bord de mer. Depuis quelques années, elle se modernise : la digue a été rénovée ainsi que plusieurs grandes rues et places du centre-ville. On y respire le grand air, celui de la mer du Nord, emmitouflé dans sa parka, un cornet de frites à la main. La dolce vita à la mode belge, on y prend goût !


  • BRUXELLES : coeur de l'Europe, Bruxelles (qu'on prononce Brussel s'il vous plaît !) est certainement l'une des capitales les plus accueillantes du Vieux Continent. Connue pour son Maneken-Pis et sa Grand-Place, c'est pourtant son art de vivre qui marque le plus. Pour y goûter, installez-vous dès votre arrivée dans un estaminet typique et commandez une Gueuze ou une Kriek. Ici, la bière fait partie du patrimoine ! Très active au niveau culturel, la capitale belge ne manque pas non plus de musées et festivals : chacun trouvera son bonheur ! Le Centre belge de la BD est un incontournable. Il vous en dira plus sur l'histoire du 9e art de manière ludique et pédagogique.
  • ANVERS : (ou Antwerpen en flamand) est le «diamant des Flandres». Certes il s'agit d'un petit bijou, mais ce surnom est surtout dû à l'industrie diamantaire qui s'y est développée. Anvers est une ville où il fait bon flâner : les rues et les ruelles du centre historique sont bordées de monuments à l'architecture remarquable. C'est aussi la première ville de Flandre. Très active culturellement, elle a accueilli de nombreux artistes et intellectuels qui ont été acteurs de son histoire.


  • WATERLOO est surtout connue pour la bataille qui s'y est déroulée en juin 1815. La fameuse butte du Lion est l'un des symboles de la ville. Cet amas de terre surmonté d'une statue de lion gigantesque a été érigée en 1826 pour célébrer la gloire nationale. À seulement quelques kilomètres de Bruxelles, c'est une ville verte entouré de vallons et de bois. Une escapade parfaite lors d'un séjour dans la capitale !


  • LIEGE est surnommée « la cité ardente » tant en référence à son industrie sidérurgique qu'à son ambiance bouillonnante. En effet, elle est réputée dans toute la Belgique pour la convivialité légendaire de ses habitants et leur sens de la fête. Mais ce n'est pas tout. Liège possède aussi un patrimoine plutôt riche qui vous fera marcher sur les traces de Charlemagne (il y serait né...) ou encore Simenon. On y trouve même des empreintes préhistoriques et les vestiges d'une villa gallo-romaine !


  • GAND : est l'un des trésors cachés de la Belgique. Souvent oublié au profit de Bruges, elle est pourtant une ville pleine de charmes. Elle aussi bordée de canaux, Gand séduit ses visiteurs. Pour une meilleure vue sur la ville, grimpez au sommet du donjon du Château des Comtes de Flandres. Cette forteresse monumentale voulue par Philippe d'Alsace était l'un des symboles de sa puissance. Gand a également une vie culturelle intense et abrite un musée d'art contemporain très réputé : le SMAK.


  • NAMUR : capitale de la Wallonie, Namur possède un patrimoine historique et architectural particulièrement intéressant. Ses nombreux monuments des siècles passés ont tous conservé leur apparence d'origine grâce au travail de rénovation engagé depuis plusieurs années. Le monument le plus notable est sans aucun doute la citadelle. Il s'agit de l'une des plus grandes forteresses d'Europe. La ville se découvre à pied, en prenant soin d'observer les nombreux édifices autour de soi. Une visite de la région permet aussi de découvrir les campagnes aux alentours car à Namur,la nature n'est jamais vraiment loin.


  • MONS : capitale Européenne de la Culture en 2015, Mons reste plutôt méconnue malgré son charme fou. Elle compte pas moins de trois sites classés au Patrimoine de l'Unesco. Un bien beau palmarès ! Son beffroi baroque est unique en Belgique. Il culmine à 87 mètres de hauteur et abrite un véritable trésor : un carillon de 49 cloches en bronze.


  • LOUVAIN : Autre capitale de la culture... universitaire cette fois : Louvain. C'est sans conteste la ville la plus jeune et la plus dynamique de Belgique. Elle accueille la plus ancienne université du pays et ses rues s'animent le soir venu. Louvain est d'ailleurs la capitale de la bière. En bordure du Dyle, la célèbre Stella Artois est brassée et la taverne-brasserie Domus vous sert ses bières depuis la cuve.

Le plus grand aéroport du monde ouvre ses portes à Istanbul

Un aéroport destiné à devenir « le plus grand du monde ». Le président turc Recep Tayyip Erdogan doit inaugurer en grande pompe, ce lundi, le nouvel méga-aéroport d’Istanbul, une vitrine des grands projets d’infrastructures qui ont transformé la Turquie depuis son arrivée au pouvoir.
Le nouvel aéroport d'Istanbul (Turquie) a été inauguré le 29 octobre 2018. L'aéroport devrait accueillir 90 millions de voyageurs, puis 200 millions de passagers en 2028.

Cet aéroport, qui remplacera celui d'Atatürk arrivé à saturation, aura, dans un premier temps, une capacité de 90 millions de passagers par an, puis 200 millions en 2028. Le président Erdogan a suivi de près la construction de cet aéroport sur la rive européenne d'Istanbul, près de la mer Noire, qui a été marquée par des retards et par une grève d’ouvriers demandant l’amélioration de leurs conditions de travail.




Une ouverture prévue le 29 décembre

Ce projet s’inscrit dans la volonté du président turc de faire de l’ex-capitale de l’Empire ottoman un carrefour mondial entre trois continents, l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Recep Tayyip Erdogan doit annoncer, ce lundi, le nom du nouvel aéroport. Nombre d’observateurs s’attendent à ce que le président turc, nostalgique de l’Empire ottoman, le baptise d’après un sultan.
La construction, qui s’est faite à marche forcée, a pris du retard et le nouvel aéroport ne tournera à plein régime qu’à partir du 29 décembre. Jusqu’à cette date, seulement cinq vols quotidiens y seront assurés et l’aéroport Atatürk restera ouvert. Cette transition de deux mois permettra de tester l’aéroport et d'« identifier des points à améliorer », a expliqué Kadri Samsunlu, le PDG d’IGA, le futur opérateur de l’aéroport.
Lorsque les quatre phases de construction et d’expansion seront terminées, vers 2028, cet aéroport comptera six pistes et deux terminaux répartis sur un gigantesque site de 76 kilomètres carrés, selon l’IGA. Le nouvel aéroport pourra alors, selon l'IGA, accueillir jusqu'à 200 millions de passagers par an. Soit près du double de l’aéroport américain d’Atlanta qui occupe actuellement la première place avec 103,9 millions. L’édifice, d’une valeur de 10,5 milliards d’euros, présente un visage futuriste avec de nombreuses ouvertures vitrées, des lignes courbes et des équipements dernier cri.
Un défi de taille sera le transfert des équipements de l’aéroport Atatürk au nouveau site lors d’une opération délicate fin décembre qui durera 45 heures. Turkish Airlines, fleuron de l’économie turque, qui assurera mercredi le premier vol commercial du nouvel aéroport à destination d’Ankara, compte tirer parti des dimensions du nouvel aéroport pour élargir son offre. « L’an prochain, nous allons ajouter 40 appareils à notre flotte. D’ici 2023, nous transporterons 120 millions de passagers par an », explique un cadre de la compagnie ayant requis l’anonymat.

Racine carrée : le fabuleux destin de √2



Le fabuleux destin de √2 débute sur la tablette d'argile d'un scribe babylonien. Depuis, ce nombre hors du commun n'a cessé de marquer les esprits, donnant à voir une foule de richesses et de splendeurs mathématiques.
Lorsque l'on demande à un mathématicien de constituer une liste des nombres qui lui semblent les plus remarquables, il cite en général le nombre pi, puis le « nombre d'or », et enfin quelques autres plus « savants » comme e (base des logarithmes népériens), i (base des imaginaires purs) ou encore γ (constante d'Euler). Un peu curieusement, la racine carrée de 2, pourtant extraordinaire à plus d'un titre, est souvent oubliée.


La racine carrée de 2, une porte vers l'infini ? © David Vignoni, Wikimedia commons, DP
La racine carrée de 2, une porte vers l'infini ? 

Jair Bolsonaro élu président du Brésil


media

Le candidat d'extrême droite Jair Bolsonaro (g.)
 et son adversaire du Parti des travailleurs, Fernando Haddad.


D'après le Tribunal supérieur électoral, le candidat d'extrême droite a remporté la présidentielle brésilienne haut la main.



Résultat de recherche d'images pour "Jair Bolsonaro élu président du Brésil"
Le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro,
 a été élu dimanche président du Brésil.

Le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro, a été élu dimanche président du Brésil, avec 55,7 % des suffrages, devançant largement son adversaire de gauche Fernando Haddad, à 44,3 %, selon des résultats officiels non définitifs. Ces résultats portant sur 88,8 % des bulletins ont été communiqués par le Tribunal supérieur électoral (TSE), au soir du second tour de la présidentielle dans la plus grande puissance d’Amérique latine.
Quelque 147 millions de Brésiliens ont voté pour départager le sulfureux candidat d’extrême droite, qui était le grand favori, de son adversaire du Parti des Travailleurs (PT) de l’ex-président emprisonné Lula. Jair Bolsonaro succédera à Brasilia au président Michel Temer, pour un mandat de quatre ans, au 1er janvier 2019.

Des partisans de Jair Bolsonaro célèbrent sa victoire, devant le Congrès à Brasilia,  le 28 octobre.

Un choix plus par rejet que par conviction
Une foule de plusieurs milliers de ses sympathisants s’est réunie en début de soirée devant son domicile pour célébrer la victoire du député dans un quartier aisé de Rio de Janeiro. Après le scrutin du 7 octobre qui a vu Bolsonaro frôler une élection dès le premier tour (46 % des suffrages), les Brésiliens ont fait leur choix plus par rejet que par conviction : « Contre la corruption » pour le candidat d’extrême droite, « contre la haine » pour celui de gauche.
Après une dure campagne de l’entre-deux tours, alimentée par des discours de haine et émaillée de violences, le vote s’est déroulé dans le calme, a confirmé le ministre de la Sécurité publique, Raul Jungmann. Le président sortant Michel Temer a indiqué de son côté que la transition débuterait « dès demain », lundi.

Pays en crise
Dans un pays miné par une violence record, le marasme économique, une corruption endémique et une crise de confiance aiguë dans la classe politique, Jair Bolsonaro a réussi à s’imposer comme l’homme à poigne dont le Brésil aurait besoin.
Catholique défenseur de la famille traditionnelle, il a reçu le soutien crucial des puissantes églises évangéliques et a indigné, par ses déclarations outrancières, une bonne partie des Noirs, des femmes et des membres de la communauté LGBT.
Fernando Haddad, 55 ans, avait promis de « rendre le Brésil heureux de nouveau » comme sous les mandats de Lula dans les années de croissance (2003-2010). Mais il n’a pas fait l’autocritique du PT, jugé responsable par beaucoup des plaies actuelles du pays, notamment la corruption.


Résultat de recherche d'images pour "Jair Bolsonaro élu président du Brésil"