Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Langage Animal

Une légende indonésienne raconte que les singes peuvent parler mais qu’ils préfèrent se taire. Les animaux parlent-ils des langues que nous ne comprenons pas? Est-ce simplement parce qu’il nous manqué le bon dictionnaire ou le langage est-il le propre de l’homme au sein du royaume animal? Les oiseaux chantent, les lions rugissent et les chimpanzés --, mais tous ces sons ont-il une signification? Ce documentaire d’une heure nous met à l’écoute de tous les sons produits par les animaux dans la nature et nous fait découvrir le travail de scientifiques qui passent leur temps à essayer d’établir des conversations avec les animaux. Des perroquets en passant par les orques le documentaire cherche à répondre à la question: existe-t-il un langage chez les animaux?

Immunité


L'immunité désigne la capacité de l'organisme à se défendre contre des substances étrangères, comme des agents infectieux. Elle se manifeste grâce à la réaction immunitaire.
L'organisme possède une immunité naturelle (immunité innée) et une immunité acquise.

  • Immunité naturelle (innée).

L'immunité naturelle n'est pas spécifique d'un agent infectieux et ne devient pas plus efficace quand l'organisme est confronté plusieurs fois au même agent. Cette immunité fait intervenir :
       - les barrières naturelles (peau, muqueuses que rencontre un agent infectieux avant d'entrer dans l'organisme) ;
       - les molécules du complément ;
       - des cellules (macrophages, cellules NK).
  • Immunité acquise : immunité cellulaire et immunité humorale
L'immunité acquise, contrairement à l'immunité innée, est spécifique de l'agent qui l'a induite dans le passé. L'organisme répond à chaque fois qu'il rencontre à nouveau cet agent. La deuxième réponse immunitaire à l'agent est généralement supérieure à la première.
L'immunité acquise se caractérise donc par une mémoire immunitaire et une spécificité. La vaccination repose sur le principe de cette mémoire immunitaire. De la même façon, le fait d'avoir déjà contracté une maladie comme la varicelle immunise l'individu grâce à l'immunité acquise.

       - L'immunité acquise utilise deux types d'immunités :
l'immunité à médiation cellulaire, ou immunité cellulaire, qui utilise les lymphocytes T ;
       - l'immunité à médiation humorale, ou immunité humorale, qui utilise des molécules solubles, les anticorps (immunoglobulines), produits par les lymphocytes B.

Autoroutes de l’espace


Un article publié dans la revue « Science Advances » fin novembre montre l’existence de structures invisibles, comme un réseau d’autoroutes cosmiques, qui permettraient le déplacement rapide d’objets dans l’espace.
Pas de limitation à 130 km/h. Pour qu’un objet, une roche ou une comète aille d’une planète à l’autre, et selon la distance qui sépare celles-ci, il faut souvent plusieurs milliers (voire millions) d’années. C’est par exemple le cas entre Jupiter et Neptune (on parle de plusieurs milliards de kilomètres).
Selon une équipe de chercheurs de l’Observatoire astronomique de Belgrade en Serbie, il existerait des « autoroutes célestes » dans l’espace, permettant à ces mêmes objets ou comètes de voyager beaucoup plus vite, et de ne mettre que quelques décennies. Ces structures, appelées « collecteurs spatiaux », sont invisibles à l’œil nu et seraient générées par les inter­ac­tions gravi­ta­tion­nelles des planètes du système solaire. Chaque planète génère ses propres collecteurs et ensemble elles formeraient donc un réseau d’arches qui relierait les planètes entre elles.
La voie rapide. Mais si ces structures sont invisibles, comment les astronomes ont-ils pu détecter ses autoroutes spatiales ? Comme l’explique l’article, ils ont utilisé l’in­di­ca­teur rapide de Liapou­nov (FLI) qui détecte en temps normal le chaos d’un système. Sur une période courte (moins de 100 ans), cet outil peut enregistrer « les insta­bi­li­tés qui agissent sur les échelles de temps orbi­tales ; c’est-à-dire que nous l’utili­sons pour défi­nir les régions de trans­port rapide au sein du système solaire ».
Ces recherches pourront également aider les chercheurs à mieux comprendre les déplacements des comètes et des objets au sein du système solaire : « La combinaison des observations, de la théorie et de la simulation améliorera notre compréhension actuelle de ce mécanisme », écrivent les astronomes. Ces derniers vont aussi pouvoir étudier ces mécanismes afin de voir s’ils peuvent éventuellement être exploités et envisagés pour des missions d’exploration spatiale. Au moins, sur ces autoroutes, il ne devrait pas y avoir de péages.

Pérou, Bolivie, pays historiques de la pomme de terre

La pomme de terre a vu le jour dans les Andes, à la frontière entre la Bolivie et le Pérou, où elle poussait à l’état sauvage. Les premières traces de culture que l’on a retrouvées datent d’il y a 7000 ans. Seule culture résistant bien à la rudesse du climat de l’Altiplano péruvien, à plus de 3000 mètres d’altitude, sur les abords du lac Titicaca, des communautés de chasseurs cueilleurs domestiquèrent les nombreuses espèces qui y poussaient.



A l’époque, il existait près de 200 espèces sauvages de pomme de terre, mais les agriculteurs ont progressivement sélectionné et amélioré les spécimens les plus savoureux et les mieux adaptés à la culture, donnant ainsi naissance à une immensité de variétés différentes. C’est environ 2000 ans avant J.-C. que la pomme de terre a commencé à être domestiquée. Dans la « vallée Quechua » sur les flancs de la Cordillère centrale, à près de 3500 mètres d’altitude, la pomme de terre est la seule culture andine qui s’est véritablement adaptée au climat. Certaines variétés peuvent même être cultivées sur la steppe d’altitude, à 4300 mètres au-dessus du niveau de la mer.

C’est entre le 5e et le 10e siècle que la culture de la pomme de terre (la « papa ») est devenue l’une des plus importante culture vivrière (avec le maïs) des peuples andins. A partir du XIIIe siècle et de l’émergence de l’empire Inca, c’est surtout sous forme de chuño, tubercule déshydratée par exposition au gel et au soleil, qu’elle était consommée.



Avec l’arrivée des conquistadors espagnols, la pomme de terre a traversé pour la première fois l’Atlantique vers 1570. Timidement, elle fait son entrée en Italie puis en France et en Allemagne. Vers le milieu du 16e siècle, c’est grâce aux anglais qu’elle est adoptée par l’Europe du Nord. Pourtant, elle est encore essentiellement réservée à l’alimentation des animaux.
C’est au 18e siècle seulement, grâce à Parmentier, qu’elle devient enfin une culture d’ampleur en France. Ce pharmacien convaincu de ses qualités nutritives, fit planter aux alentours de Paris des pommes de terre gardées seulement le jour. Une mesure qui attisa la curiosité des habitants, qui venaient la dérober durant la nuit. C’est le début d’un succès qui ne s’est depuis, plus démenti.
Aujourd’hui, dans les Andes, on répertorie encore 7 espèces et plus de 5000 variétés de toutes les couleurs et toutes les formes, quand, dans le reste du monde, on ne cultive qu’une seule espèce : la Solanum Tuberosum. Près du lac Titicaca, la culture de la pomme de terre est l’une des principales activités de la saison agricole.


Ainsi, tout au long de l’histoire des civilisations andines, la pomme de terre est devenue un élément essentiel de la vie quotidienne : on mesurait par exemple le temps au temps nécessaire pour cuire les pommes de terre. Aujourd’hui encore, dans certaines régions des Andes, les agriculteurs mesurent les terres en topo, la superficie nécessaire à une famille pour couvrir ses besoins en pommes de terre.



PÉROU – LE PAYS DE LA POMME DE TERRE, ON DIT MÊME QU’IL Y A AUTANT DE JOURS DANS UN AN QUE DE SORTES DE POMMES DE TERRE.

Qu'est-ce qu'une crypto-monnaie ?

 

 
Certains pays comme la Chine, l'Iran, l'Inde, le Bangladesh, le Maroc, la Thailande, l'Ouganda, le Nigéria et la Zambie ont pris diverses mesures de restriction contre les Crypto-monnaies.
Le bitcoin a été la première crypto-monnaie et les experts disent que Satoshi Nakamoto, qui reste anonyme et inconnu, l'a inventé et présenté au public en 2019.
Depuis lors, il y a eu des milliers de crypto-monnaies, comme le Litecoin, l'Ethereum, et même le Dogecoin.


La crypto-monnaie est une monnaie numérique ou virtuelle. Une monnaie qui ne peut être ni sentie ni vue.
Elle est fabriquée par codage et les transactions en crypto-monnaie sont stockées dans une sorte de base de données appelée blockchain.


La cryptographie est utilisée pour crypter et cacher les codes afin de protéger l'argent.

À quoi peut servir le système de crypto-monnaie ?
Pour beaucoup de choses. Vous pouvez l'utiliser pour acheter des produits, des services et même échanger avec d'autres devises physiques.
Des célébrités et des milliardaires comme Elon Musk, Lionel Messi et Mike Tyson ont montré publiquement leur soutien à cet argent virtuel.

Alors pourquoi certains pays n'ont pas pas confiance ?
Une chose qui rend la cryptomonnaie différente de la monnaie normale que vous connaissez est qu'il n'existe pas de banque centrale ou d'administration unique la réglementant. Et c'est là que réside le gros problème ou l'attrait de la monnaie virtuelle.
Alors que certains pays comme l'Amérique ont adopté une position positive sur l'utilisation de la cryptomonnaie comme le Bitcoin pour les transactions, d'autres sont toujours sur la sellette ou l'ont interdit à juste titre !
Depuis 2017, par exemple, la Banque centrale du Nigeria interdit aux banques de détenir, d'échanger ou d'utiliser la cryptomonnaie pour les transactions.
Leur dernier rappel a déclenché un tollé et a suscité de nombreuses réactions.
Mais attention, le Nigéria n'est pas le seul pays à avoir un problème avec la cryptomonnaie.
La Chine, Taiwan, l'Iran, même le Canada et d'autres pays ont imposé des restrictions sur l'utilisation de la cryptomonnaie pour les transactions.
En fait, en Chine, la cryptomonnaie est complètement interdite ! Les banques ne sont pas autorisées à traiter ou à effectuer des transactions avec.
Certains experts pensent que, puisque les transactions avec la cryptomonnaie sont largement non réglementées, anonymes et intraçables, elle est devenue une sorte d'aide pour des choses comme le blanchiment d'argent, le terrorisme, les activités criminelles, pour acheter des armes légères, des armes et même pour échapper à l'impôt.

Quel est donc l'avenir de la crypto-monnaie ?
Personne n'a de réponse claire pour l'instant.
Mais une recherche effectuée et publiée par la Deutsche Bank allemande indique qu'il est possible qu'à terme l'inflation devienne courante et constitue un gros problème pour l'argent et que si cela se produisait, la demande de devises alternatives sera probablement élevée d'ici 2030.
Mais tout le monde acceptera-t-il enfin la monnaie virtuelle comme la cryptomonnaie dans 10 ans, cela reste une grande question à laquelle les experts et les gouvernements devront répondre dans les prochaines années.

Production d’énergie par les plantes

 Créer de la bioélectricité à partir de plantes, c’est le défi que se lance l’entreprise Hollandaise Plant-e en 2015 qui met alors au point une pile microbienne qui permet de produire de l’électricité grâce aux interactions qui s’opèrent entre les racines des plantes et les bactéries du sol. 


Avec une technologie plus durable et plus respectueuse de l’environnement, sans affecter la croissance de la plante, la bioélectricité par pile microbienne réussit là où la biomasse, pour l’instant, semble plus en difficulté.

Un principe novateur
Le principe de cette technologie est simple, la pile se nourrit de 70% des matières organiques produites par la photosynthèse que la plante n’utilise pas, excrétée par ses racines.
Au cours de ce processus, des électrons sont libérés. Ainsi, en plaçant une anode près des racines ainsi qu’une cathode dans de l’eau, il devient possible de produire de l’électricité.

Une énergie qui fonctionne toute l’année
L’atout principal de cette technologie, sa pérennité, la différencie des autres énergies renouvelables. En effet, la productivité de l’éolien et du solaire repose sur les saisons, sans vent ou sans soleil, elle est donc fortement réduite. Ici, avec les plantes, les interactions sont en continu, peu importe les conditions météorologiques, assurant une pérennité jusque-là jamais vue.

Une énergie multifonctionnelle
Marjolein Helder, la co-fondatrice de Plant-e explique que cette technologie pourra servir à produire de l’électricité mais aussi à isoler un toit ou même collecter de l’eau.
A plus large échelle, elle précise qu’il sera même envisageable de produire du riz et de l’électricité en même temps, afin de combiner les productions d’aliments et d’énergie…

Les 10 Tours les plus hautes du Maroc

 


La fleur de Nagapushpam s’ouvre une fois tous les 36 ans.


 

Une plume de mer, pas une fleur de l’Himalaya.
C'est un invertébré marin de la famille des anthozoaires, dont font partie les coraux et les anémones de mer.

Le Nagapushpam (en sanscrit), ou mesua ferrea (en latin), est un arbre toujours vert originaire de l'Asie tropicale, aux grandes fleurs blanches solitaires, très odorantes. Son bois dur est appelé « bois de fer de Ceylan ».

On trouve principalement cet arbre en Inde, au Sri Lanka, au Népal, en Indochine, en Malaisie et en Indonésie. Il peut pousser jusqu’à une altitude de 1.500 mètres.

Une spectaculaire éruption de l'Etna


C'est le plus haut volcan actif en Europe et l'un des plus actifs. En témoigne encore son entrée en éruption mardi, provoquant des chutes de cendre à des kilomètres à la ronde et des images sublimes.
Des pluies de cendres et de pierres volcaniques ont été observées jusqu'à Catane, ville portuaire et principale ville de l'est de la Sicile, où l'aéroport a été fermé.
L'éruption, certes impressionnante, n'a cependant présenté aucun danger pour la population et les pompiers ont indiqué qu'ils surveillaient l'évolution de l'éruption du cyclope sicilien.


Mars 2020 : le rover Perseverance s'est posé sur la Planète rouge

  

En quoi consiste Mars 2020 ?

La mission Mars 2020, qui a décollé fin juillet, a transporté Perseverance, le véhicule le plus gros et le plus avancé jamais envoyé sur la Planète rouge. Construit par la NASA, il pèse une tonne, est équipé d’un bras robotique de plus de deux mètres, de pas moins de 19 caméras et, pour la première fois, de deux micros. Arrivé à bon port, jeudi 18 février, c’est le cinquième rover à réussir le voyage depuis 1997.
Jeudi, à 21 h 55 (heure de Paris), Perseverance a posé ses six roues sur un site d’atterrissage « spectaculaire », le cratère de Jezero, au terme de « sept minutes de terreur », dixit la NASA, de la séparation du rover et de la capsule qui le transporte, au « touchdown », en passant par l’entrée atmosphérique.

But de la mission.
Mars 2020 est la première mission ayant explicitement pour but de prouver qu’il y a eu de la vie sur la Planète rouge. Les chercheurs pensent que le cratère de Jezero abritait, il y a plus de trois milliards et demi d’années, un profond lac d’environ 50 km de large. « Les seuls environnements habitables que nous connaissons au-delà de la Terre », selon les scientifiques. A l’époque, « Mars était très similaire à la Terre sous de nombreux aspects. Elle avait une atmosphère conséquente, des lacs et des rivières ».
Perseverance devrait prélever des échantillons qui devront être analysés par les laboratoires les plus performants sur Terre pour y distinguer, peut-être, les traces microscopiques d’anciens organismes. Les tubes contenant les échantillons seront précieusement conservés sur Mars jusqu’à ce qu’une mission ultérieure soit capable de revenir les chercher, dans les années 2030.
La NASA veut également faire voler, pour la première fois, un engin motorisé sur une autre planète, un hélicoptère.



La mission va tenter de préparer de futures missions humaines en faisant l’expérience de production d’oxygène directement sur place.
Après l’atterrissage, des premières photos de la surface arriveront rapidement en basse résolution. Des vidéos, y compris de l’entrée dans l’atmosphère, sont attendues plus tard.


Tempètes de neige 2021


  • AUX ETATS-UNIS : Un manteau de neige recouvre les rues de Houston, au Texas​, Etat du sud des Etats-Unis plus habitué aux records de chaleur qu'à la glace. Une vague de froid historique s'abat depuis plusieurs jours sur le pays en raison d'un vent de l'Arctique​ qui fait s'effondrer les températures​.



  • EN ITALIE :

  • EN FRANCE :

  • EN ESPAGNE

  • EN RUSSIE :

  • EN EUROPE


  • EN GRECE

  • EN AMERIQUE DU NORD :

  • AU CANADA :

Cambodge : un rat géant détecteur naturel de mines antipersonnel

Le rat en question, Magawa, a été formé pour repérer les mines antipersonnel qui jonchent encore le Cambodge après des décennies de conflit.


Un héros… à quatre pattes. Magawa, un rat géant originaire d'Afrique, aide le gouvernement cambodgien à nettoyer le pays des mines antipersonnel, de munitions non explosées et d'autres restes d'explosifs de guerre qui tuent ou blessent encore des dizaines de personnes chaque année. Ce pays d'Asie du Sud-Est ayant été frappé par plusieurs décennies de conflit. Un travail de longue haleine difficile et dangereux auquel Magawa est préparé.
En effet, l'animal a été formé par l'organisation non gouvernementale APOPO  pour repérer les explosifs. Magawa est d'une grande aide comme d'autres rats formés par l'organisation fondée en Belgique et dont le siège est situé en Tanzanie. Les animaux en question peuvent détecter l'odeur des produits chimiques explosifs et avertir leur maître.


Formé dès son plus jeune âge
En sept ans, Magawa a découvert 39 mines antipersonnel et 28 munitions non explosées. Une performance qui en fait le rat le plus doué de tous. Il est si rapide qu'il peut ratisser une zone grande comme la taille d'un court de tennis en 30 minutes. Un humain y passerait quatre jours en utilisant un détecteur de métaux. Le rongeur a reçu une distinction pour son travail depuis sa formation, dès son plus jeune âge. Ainsi, son travail permet de sauver bien des vies au sein de ce pays confronté à de nombreux défis…

Energie du futur : quelles sources d'énergie pour demain ?



À l'heure de la transition énergétique, les énergies fossiles – charbon, pétrole, gaz naturel - n'ont vraiment plus la côte. 





Non renouvelables et polluantes, elles sont en train d'être supplantées par d'autres énergies beaucoup plus vertueuses : hydraulique, éolien, solaire... Où en est-on de cette nouvelle révolution énergétique ? Et surtout comment change-t-elle déjà nos vies au quotidien ?

No future pour les énergies fossiles !
Le constat est implacable : les jours (ou plutôt les années...) sont comptés pour les énergies fossiles qui représentent encore pourtant la quasi-totalité des énergies consommées sur la planète ! Qu'il s'agisse du pétrole, du charbon ou du gaz naturel, leurs réserves s'épuisent peu à peu.
Il faut bien avouer que les chiffres les plus variés circulent pour évaluer les quantités d'énergie fossile encore disponibles aujourd'hui. Ceux que nous vous donnons nous semblent correspondre à une juste moyenne des données recueillies ici ou là.
Voici donc à combien sont estimées ces réserves avant d'être épuisées :
Pétrole : environ 50 ans
Gaz naturel : environ 60 ans
Charbon : environ 160 ans
Bye bye les fossiles, vive les renouvelables !

Nous-mêmes, nos enfants et petits-enfants seront les premiers spectateurs de ce début d'épuisement des ressources fossiles.
"Bon débarras !" diront les défenseurs de la transition énergétique. Il est vrai que leur extraction et leur transformation provoquent une quantité démesurée de CO2, ce fameux dioxyde de carbone responsable de la pollution de l'air et du réchauffement climatique.
Il est donc légitime aujourd'hui de porter notre regard sur d'autres énergies, de préférence renouvelables et propres pour bâtir le "mix énergétique" de demain. Heureusement, ce chantier est aujourd'hui déjà largement engagé.

Place aux énergies du futur !
L'équation est donc complexe : nos besoins en énergie ne cessent d'augmenter et les ressources fossiles, principales pourvoyeuses d'énergie, se tarissent à vue d'œil.
Pour stopper cette dépendance au pétrole, au charbon ou au gaz naturel les hommes ont exploré depuis longtemps d'autres voies plus prometteuses, plus raisonnables : les énergies renouvelables.

Des énergies propres, inépuisables et gratuites !
Les énergies renouvelables sont des énergies qui se renouvellent naturellement et suffisamment vite pour être considérées comme inépuisables.
Une énergie renouvelable n'est pas par définition obligatoirement "propre" mais lorsqu'elle produit des polluants, ceux-ci sont éliminés rapidement et naturellement, sans dommages pour l'environnement.
L'idée est que toutes ces énergies renouvelables puissent à terme se substituer aux énergies fossiles.
Même si elles sont gratuites à la source, leur coût de transformation et d'exploitation est notablement plus élevé que les fossiles. Cependant, ces coûts devraient considérablement baisser à mesure que leur part dans le mix énergétique des nations prendra une importance croissante.

Place aux énergies du futur !
Parmi les énergies renouvelables les plus exploitées (et les plus efficaces) aujourd'hui on trouve :

L'énergie hydraulique : de l'eau et rien que de l'eau !


Energies hydraulique des barrages


En 2015, l'hydroélectricité représentait 71%* de la production mondiale d'énergie renouvelable.
Le principe de l'énergie hydraulique est "simplissime" il s'agit de transformer l'énergie mécanique du mouvement des eaux – vagues, marées, courants sous-marins, barrages... - en électricité.


Energie Houlomotrice ou des vagues


L'énergie éolienne : des moulins à vent de l'antiquité aux éoliennes aéroportées !



Deuxième source d'énergie renouvelable (15% de la production mondiale en 2015 et 21 % à l'horizon 2021*), l'éolien a le vent en poupe ! Grâce aux éoliennes terrestres et bientôt off-shore, cette énergie constitue un apport essentiel aux réseaux d'électricité.

L'énergie solaire : elle produit de la chaleur et de l'électricité.


Energie Solaire


L'énergie solaire est double : on parle d'énergie solaire thermique lorsqu'il s'agit des rayons du soleil captés pour réchauffer l'eau. C'est typiquement le solaire thermique qui est utilisé dans les chauffe-eaux solaires, déjà présents dans un nombre croissant de logements.


Il y a aussi l'énergie solaire photovoltaïque qui convertit directement le rayonnement du soleil en électricité par l'intermédiaire de panneaux photovoltaïques posés non seulement sur les toits, mais aussi dans les zones désertiques... et tous les endroits exposés au soleil.


Cette énergie encore sous-utilisée pourrait réellement révolutionner la totalité du paysage énergétique. Une étude récente a par exemple montré que 80% des plus grandes villes du monde pourraient couvrir la totalité de leurs besoins en électricité avec moins de 10% de leur surface recouverte de panneaux photovoltaïques*. Voilà qui augure de grands avancées pour l'énergie solaire .
 
Les bioénergies : les bactéries, au premier rang sur la photo(synthèse) !
Moins médiatisées que d'autres énergies renouvelables, les bioénergies arrivent pourtant actuellement au même rang de production mondiale renouvelable que l'énergie solaire.
Elles désignent des énergies produites ou transformées par de la matière organique d'origine végétale –la biomasse - à partir de l'énergie lumineuse venue du soleil.


Parmi ces organismes vivants, les plus utilisées sont les végétaux forestiers, les déchets agricoles, industriels ou domestiques, les micro-algues.
Leur photosynthèse permet le plus souvent de créer des combustibles tels que l'éthanol ou le méthane. Ces bio-carburants sont utilisés essentiellement dans le transport routier.

L'énergie géothermique : cette chaleur qui vient des entrailles de la terre
Cette énergie représente moins de 2%* de la production mondiale d'énergie renouvelable et pourtant elle est vieille comme le monde. Les thermes antiques utilisaient déjà la géothermie sans le savoir !


Son principe consiste à récupérer la chaleur enfouie sous le sol pour pouvoir se chauffer et même, aujourd'hui, produire de l'électricité au moyen de turbines.
Le chauffage urbain de villes ou certaines pompes à chaleur installées dans nos maisons sont de parfaits exemples de systèmes recourant à la géothermie.

Les énergies du futur : déjà 23 % de l'énergie mondiale !
Les énergies renouvelables représentent aujourd'hui un quart de la production mondiale d'énergie. De son côté, la France s'est engagé à produire en renouvelable 40 %* de son électricité à l'horizon 2030.
Autant dire que rien ne semble à présent pouvoir arrêter la progression de ces énergies du futur, propres, renouvelables et inépuisables ! 

Les taxis volants.

 
Une nouvelle catégorie d'aéronefs légers, silencieux, tout électrique et pouvant décoller et atterrir à la verticale s'apprête à transformer la mobilité des grands centres urbains.Plus sûrs et silencieux que les hélicoptères et fonctionnant pour certains sans pilote, ils seront d'ici à 2030 au cœur de services de taxis volants. Tour d'horizon de cette révolution à venir.


Les voitures volantes sont un élément classique des œuvres de science-fiction, de « Blade Runner » à « Retour vers le Futur » en passant par « Le Cinquième Élément ». Mais cette vision du futur héritée du début du XXe siècle ne s'est jamais matérialisée dans le monde réel. Pourtant, la technologie progresse, et un nouveau type d'aéronef se dessine peu à peu. Léger, peu bruyant, entièrement électrique et équipé de multiples hélices, il est en grande partie automatisé, voire complètement autonome.

S'il ne venait probablement pas à remplacer la voiture telle qu'on la connaît, cet «hélicoptère du futur» représente un changement de paradigme pour le transport aérien sur de courtes distances. Et son avènement pourrait être plus proche qu'on ne le pense. Depuis quelques années déjà, les annonces se succèdent concernant le développement de nouveaux appareils, des essais en vol et d'importantes levées de fonds. Un marché semble se dessiner, et il intéresse aussi bien les start-up que les grands groupes de l'aéronautique et de l'automobile. Alors, la «voiture volante» sera-t-elle au final l'une des révolutions du XXIe siècle ? Petit tour d'horizon des innovations technologies au cœur de ce mouvement, les projets les plus prometteurs, les enjeux économiques et sociétaux, et les défis qu'il faudra surmonter.