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Les bidounes du Koweït, étrangers dans leur propre pays


Les bidounes du Koweït, étrangers dans leur propre pays
Manifestation de Bidounes à Soulaibiya, à 25 kilomètres
 au sud-ouest de la capitale, Koweït City, le 19 février 2011.


Ils sont un peu plus de 100.000 au Koweït, mais on en trouve aussi en Arabie saoudite et dans les Emirats. Les bidounes sont apatrides dans leurs pays respectifs, car ils ont souvent été oubliés, lors des recensements qui ont suivi les indépendances. Ils sont désormais marginalisés, voire instrumentalisés comme, par exemple, dans la lutte contre l’Etat islamique.
Avec Claire Beaugrand, chercheuse au Centre d’études du Golfe à l’Université d’Exeter, en Grande-Bretagne.

Des catastrophes naturelles touchent le Japon et les États-Unis

Certaines régions du Japon sont frappées par des inondations meurtrières. Et des incendies continuent de ravager la Californie.

Des inondations terribles ont touché les régions d'Hiroshima et de Kyoto, au sud et à l'ouest du Japon. Des glissements de terrain ont piégé les habitants. Près de deux millions d'entre eux ont dû être évacués. Selon un bilan temporaire, au moins vingt personnes sont mortes et des dizaines sont portées disparues. Et aux États-Unis, les incendies ont repris en Californie. Les feux se propagent, notamment en raison de la canicule.





 

Rishikesh, haut lieu mondial du yoga


Des dizaines de milliers d’Occidentaux se rendent tous les ans à Rishikesh, une ville indienne considérée comme la capitale mondiale du yoga. Les Beatles ont largement contribué à sa renommée. Si l’aventure vous tente, voici à quoi vous attendre…


Nichée dans les collines verdoyantes du nord de l’Inde, sur les berges du Gange descendant de l’Himalaya, la ville de Rishikesh, popularisée par les Beatles il y a cinquante ans, reste une destination incontournable pour les adeptes occidentaux du yoga. « Le soleil est pour tous, la lune est pour tous, les rivières sont pour tous, de la même manière le yoga est pour tous », s’enthousiasme le gourou Swami Chidanand Saraswati, cheveux longs et barbe broussailleuse, qui y tient un ashram (retraite) alors que le monde marque ce jeudi la journée internationale de cette discipline antique.

Loin des foules, dans l’ashram Anand Prakash,
 des clients principalement jeunes et étrangers 
viennent pratiquer le yoga
Décrété en 2014 par les Nations unies à l’initiative du Premier ministre indien Narendra Modi, qui voit dans le yoga un levier d’influence culturelle de son pays, cet événement rassemble une nouvelle fois des dizaines de milliers de pratiquants à travers la planète. « Imaginez cela ! Le Premier ministre est allé à l’Onu et a parlé des bienfaits du yoga… Aujourd’hui le yoga est partout »,constate Saraswati, dans son ashram Parmarth Niketan, des assistants prostrés à ses pieds.
À Rishikesh, située à 250 kilomètres au nord de la capitale indienne New Delhi, des légions de touristes étrangers viennent pour les ashrams et écoles de yogas qui ont éclos comme des fleurs de lotus. Un engouement qui n’est pas étranger à la visite de quatre jeunes hommes de Liverpool pendant deux mois en 1968 : les Beatles.



Album blanc
Venus échapper un temps à la fièvre de la « Beatlemania », en quête d’éveil spirituel et d’immersion dans la culture indienne, les « Fab Four » et leurs familles ont séjourné dans l’ashram du Maharishi Mahesh Yogi – dont Ringo Starr est reparti au bout de dix jours, ne supportant pas la cuisine locale. « Ils ont écrit 48 chansons ici. Nombre d’entre elles figurent sur L’Album blanc, l’un de leurs enregistrements les plus populaires », explique Raju Gusain, 47 ans, un journaliste local et fin connaisseur de ce séjour mythique. « La visite a complètement transformé les Beatles. »
Le gourou Swami Chidanand Saraswati.
Le reste du groupe est parti au bout de huit semaines. Le site de leur ashram est à l’abandon depuis 2001, mangé par la végétation. Un programme de restauration et de protection du lieu est actuellement en cours. Le passage des Beatles à Rishikesh a contribué à placer l’endroit sur la carte mondiale du yoga et à la popularisation de la méditation en Occident.
Atta Kurzmann, 68 ans, une Américaine en visite à Rishikesh fait ainsi partie de ceux inspirés par leur exemple à l’époque. Elle travaille désormais comme professeure de yoga aux États-Unis. « Je suis rentrée dans la spiritualité indienne à cause de George Harrison en sachant qu’ils sont venus à Rishikesh. S’intéresser à des niveaux supérieurs de conscience qui n’impliquaient pas de drogues c’est attirant, raconte-t-elle. C’est ce qui m’a fait venir à l’origine en Inde dans ma vingtaine. 
L’ashram fréquenté par les Beatles tombe en ruines.
Aujourd’hui, Rishikesh accueille chaque année de 70 000 à 80 000 touristes étrangers et un grand nombre d’Indiens venus se purifier dans le fleuve sacré, visiter la région ou faire du rafting.

« J’étais déprimé »

Loin des foules, dans l’ashram Anand Prakash, des clients principalement jeunes et étrangers payent 1 050 roupies (13,3 €) par nuit pour le gîte et les repas – végétariens, bien sûr. L’un d’entre eux, le Mexicain Pablo Rueda a décidé de venir pour une semaine après avoir perdu son travail d’ingénieur aérospatial au Canada. « J’étais déprimé et me demandais que faire de ma vie », confie-t-il au sortir du petit-déjeuner, où les convives s’assoient sur le sol et mangent en silence à de petites tables individuelles. « Je voulais pratiquer le yoga, que j’adore, et méditer. »
Recueillement dans les eaux du Gange
La routine de l’ashram est stricte. Le lever à 5 h du matin est suivi par une demi-heure de méditation. Puis les résidents effectuent 90 minutes de yoga sur le toit, pour le lever du soleil, suivies d’une autre demi-heure de mantras (incantations) autour d’un feu avant le petit-déjeuner. Le reste de la journée est libre, consacré à la méditation, la lecture et aux visites du coin. À 18 h, nouvelle session de yoga, puis souper et extinction des feux de bonne heure.

Si on y pratique une discipline austère et pluri-millénaire, l’ashram n’est pas pour autant coupé de la modernité et est même équipé de wifi. « Je continue à regarder Facebook étant donné que j’aime bien partager des photos de mon voyage », reconnaît le voyageur mexicain.
C’est ce jeudi la journée mondiale du yoga. 
Le passage des Beatles à Rishikesh a contribué à placer l’endroit sur la carte mondiale du yoga.

Bientôt des drones pour réparer les routes ?

Une récente étude au Royaume-Uni a montré que le nombre de nids-de-poule sur les routes devenait inquiétant. Pour tenter d'améliorer les routes sans trop d'efforts, une entreprise va tester des drones capables de réparer les routes, grâce à l'impression 3D.

Bientôt des drones pour réparer les routes ?


Ceci pourrait être le futur. L'université de Leeds travaille en effet depuis plus de deux ans sur un projet assez inédit de drone capable de réparer les routes. Le principe est simple : l'engin volant scanne les routes, et dès qu'il détecte une irrégularité ou un nid-de-poule, il envoie un signal à un second drone, plus spécialisé, qui s'approche et vient combler le trou ou la fissure grâce à un système reposant sur l'impression 3D. Et le mieux dans tout ça est que l'opération ne prendra pas plus d'une minute, permettant ainsi d'enchaîner les réparations de bitume facilement.

Le projet, qui devrait durer au total cinq ans, en est donc déjà à la moitié, et nos confrères du Telegraph rapportent que les chercheurs seraient déjà quasiment prêts pour une première phase de tests grandeur nature.

L'enjeu est de taille pour les équipes à l'origine de ce projet puisqu'il sera ainsi possible de refaire les irrégularités de la route en un rien de temps, sans déploiement massif d'hommes et de machines, qui bloqueront évidemment le trafic le temps des travaux. La seule limite, selon les chercheurs, de ces drones serait qu'ils n'iront pas réparer les voies rapides et autoroutes, où la circulation est souvent trop dense, de jour comme de nuit.

Les DRH classent les Ecoles Marocaines et placent HEM au premier rang !


Le Baromètre DIORH - Campus Mag des diplômes marocains est né de l’initiative de Campus Mag, en partenariat avec le Cabinet DIORH - acteur de premier plan dans le conseil en ressources humaines.




Son approche prend un parti-pris fort en s’appuyant EXCLUSIVEMENT sur le point de vue des employeurs. Un questionnaire a donc été soumis à un panel de DRH et a porté sur 2 grandes dimensions : le classement de notoriété et le classement critériel (excellence technique, capacité d’intégration des lauréats, adaptabilité, aisance de communication & capacités de réflexion).

Les résultats du Baromètre DIORH - Campus Mag 2017 confirme la place de HEM comme Business School privée N°1 au Maroc aussi bien dans le classement global que dans le classement de notoriété.




Samia TERHZAZ, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Abderrahmane FARAJ, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Khalid Debbarh, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Bissane Lamrani, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Badr Benyoussef, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Meriem BORJA, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Aziz HORANI, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Younes AATIF, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


La Corée du Sud a inventé la ville 100 % sans voitures

Elle a tous les atouts d’une ville propre, du moins sur le papier. Des pistes cyclables, un réseau de transports en commun particulièrement bien développé, des espaces verts… Mais dans les faits, la « ville parfaite » n’est pas si agréable à vivre.




Le défi a été relevé haut la main. À Songdo, une ville sud-coréenne située à plus d’une soixantaine de kilomètres à l’ouest de Séoul, presque aucune voiture ne circule. C’était l’idée de départ : bâtir une ville propre afin de limiter la pollution et la consommation d’énergie. À l’endroit où il n’y avait qu’un terrain vague, un polder gagné sur la mer Jaune, se dressent aujourd’hui des immeubles de verre et d’acier et d’autres buildings encore en chantier.

Lancée en 2003, la construction de Songdo est le résultat d’un partenariat public/privé avec des compagnies coréenne (le constructeur Posco) et américaines (le promoteur Gale et la banque Morgan Stanley), soutenues par la municipalité de la province de Incheon. L’objectif était de créer un centre d’affaires en Asie du Nord-Est, pour attirer des investissements du monde entier et offrir une qualité de vie inégalée, servant de modèle à exporter. 
Au total, l’aménagement de Songdo a coûté 35 milliards de dollars (soit 30 milliards d’euros). À terme, la ville devrait accueillir 265 000 personnes. Pour le moment, presque dix ans après son ouverture officielle, le nombre d’habitants tourne autour de 100 000. Surtout des Sud-Coréens, car les loyers sont moitié moins chers que dans certains quartiers de Séoul.

Big brother vert ?
En théorie, cette « smart-city » a de quoi séduire : un réseau de transport pensé pour qu’aucun appartement ou bureau ne soit à plus de 15 minutes à pieds d’un arrêt de bus ou d’une station de métro, 145 km de piste cyclable sécurisée, dont 25 km qui parcourent le quartier d’affaires, 40 % de la superficie de la ville constituée d’espaces verts, des buildings peu gourmands en énergie, certifiés LEED, couverts de toits végétaux et de panneaux solaires, des taxis fluviaux, un métro qui ne rejette pas de CO2.
Même le service de ramassage des ordures est ultra moderne : comme les rues sont piétonnes, plus de camions-bennes, mais des tubes pneumatiques qui aspirent les déchets ménagers qui arrivent par le biais de souterrains dans une grande plateforme de tri sélectif où ils sont revalorisés. Tous ces aménagements devaient permettre à la ville d’émettre 30 % de gaz à effet de serre en moins, par rapport à une ville de la même taille.

Lorsque Songdo était en construction.


Pourtant, sur place, la réalité semble différente. L’électricité qui sert à faire fonctionner la ville provient, comme pour les autres villes sud-coréennes, de centrales à charbon. Une habitante de la ville que les « bâtiments sont tout en transparence et [qu’] il est impossible d’ouvrir les fenêtres. L’été et l’hiver, la clim’fonctionne à fond ».
Autre ombre au tableau : les caméras. La ville en compte 500 qui surveillent la circulation et les comportements suspects. Les immenses parkings souterrains placés à des endroits stratégiques de la ville sont équipés de lecteurs qui scannent les plaques minéralogiques des voitures pour, apparemment, réguler le trafic et éviter les embouteillages. Les habitations sont aussi truffées de capteurs qui indiquent en temps réel la consommation du logement en eau et en énergie, qui alertent si des déchets se trouvent dans les mauvaises poubelles. Bientôt, les appartements seront équipés pour bénéficier de la télémédecine.
En plus des dizaines de capteurs qui truffent
les immeubles, 500 caméras quadrillent la ville.


Une « ville perturbante », selon les
reporters qui sont allés sur place

Finalement, ceux qui se promènent dans la ville cherchent un peu « son âme », rapportent les journalistes qui y sont allés en reportage. Ce n’est pas une ville fantôme, mais on ne croise pas grand monde. Ceux qui comptent déjà plusieurs séjours dans la ville intelligente voient quelques améliorations – des commerces, un peu plus de piétons dans les rues – mais persistent : C’est une ville perturbante.



Des méduses géantes venimeuses débarquent sur les plages britanniques




Habituellement surtout présentes dans les eaux froides, les méduses à crinière de lion pullulent près des côtes du Pays de Galles. Ces géantes des mers, de 2 mètres de circonférence et 30 mètres de long, sont de plus en plus grosses et peuvent provoquer la mort. Les changements climatiques pourraient les rapprocher des côtes françaises.
Les baigneurs des côtes galloises ont intérêt à se méfier cet été. Les méduses à crinière de lion débarquent en force, et c’est une mauvaise nouvelle pour eux, voire pour les Français.






L’espèce fait partie des plus grandes méduses au monde : son diamètre varie de 50 cm à 2 m, et ses filaments peuvent atteindre plus de 30 m de long. Leur piqûre et le caractère urticant de leurs filaments peuvent provoquer de graves irritations, des crampes, voire des arrêts respiratoires chez l’être humain.
Depuis quelque temps, les témoignages de leur arrivée affluent au Pays de Galles, dans l’eau, ou échouées sur les plages : il y a quelques jours, à Llandudno, mais aussi à Anglesey, Conwy ou encore à Caernarfon… rapporte le journal gallois The Daily Post.
Elles ne sont pourtant pas des habituées du Royaume-Uni. Plus à l’aise dans les eaux froides, on les trouve habituellement plus au nord, dans les eaux scandinaves ou de l’Atlantique Nord. « Mais elles sont présentes dans tout l’hémisphère nord, précise Maureen Midol, soigneuse technicienne en aquariologie à Océanopolis, à Brest (Finistère). Cette méduse vit et se développe en pleine mer, plutôt en profondeur. Mais de temps à autre, il peut arriver qu’elles arrivent sur les côtes. »

De plus en plus nombreuses





Les méduses se déplacent verticalement, 
mais ne choisissent par leur direction horizontalement.

Et ce n’est pas un phénomène volontaire : les méduses se déplacent verticalement, mais ne choisissent par leur direction horizontalement. Elles se laissent porter par les courants. « Ce n’est donc pas une invasion, mais plutôt la conséquence des changements climatiques. Elles sont poussées par les vents et les courants changeant. »

Un phénomène que les scientifiques ont encore du mal à évaluer. Le Dr Peter Richardson, à la tête de la société de conservation marine britannique constate dans le Daily Post que « les données de veille dont nous disposons montrent une hausse significative des espèces de méduses dans nos eaux. La question à un million de dollars est : pourquoi cela arrive ? Pour l’instant on ne sait pas vraiment ».

Et cette espèce, impressionnante et dangereuse, pourrait très bien se retrouver sur les côtes françaises. « C’est de toute façon très difficile à prévoir, puisque c’est la conséquence de phénomènes météorologiques, estime Maureen Midol. En France, l’année dernière, nous avons assisté à une recrudescence de physalies, notamment dans le Finistère… Elles étaient originaires des eaux caribéennes mais sont arrivées là après des tempêtes. »

Bientôt en France ?

Un spécimen de méduse à crinière de lion, au muséum
 d’histoire naturelle de Washington, aux États-Unis.

Les méduses à crinière de lion sont de plus en plus nombreuses, mais aussi de plus en plus grosses : « C’est lié à la chute du nombre de leurs prédateurs, comme les thons ou les tortues. Là encore, c’est une conséquence des changements climatiques, ou de la surpêche. »

Quant à leur taille plus importante, elle serait liée à deux facteurs : d’abord, la hausse de la température de l’eau déclenche leur naissance plus précocement. Et une luminosité accrue augmente les quantités de phytoplancton, puis de zooplancton, dont elles se nourrissent. Là où c’est problématique pour l’homme, c’est que « plus une méduse est grosse, plus elle est dangereuse », poursuit la spécialiste. La concentration en venin toxique augmente avec la taille du spécimen.

Le phénomène a aussi été constaté sur les côtes anglaises et irlandaises, où plusieurs nageurs ont dû être hospitalisés à la suite de piqûres. Le Dr Tom Doyle, spécialiste en zoologie à l’université de biologie de Cork estime, dans The Irish Times, que les méduses repérées, qui ne vivent normalement qu’aux alentours de huit mois, pourraient être des spécimens adultes dans leur deuxième année.

En France, les scientifiques sont aux aguets. Maureen Midol donne quelques conseils : « Ceux qui constateraient plusieurs méduses sur un même site peuvent le signaler aux autorités. Si vous trouvez une méduse échouée sur une plage, n’y touchez surtout pas, elle reste urticante. La petite astuce, c’est de la recouvrir de sable. Celui-ci va absorber l’eau qu’elle contient, elle finira par se désagréger. »

Etats-Unis: Un homme avale 74 hot-dogs en dix minutes et bat son propre record mondial

La tactique de Joey Chesnut consiste à ingurgiter les saucisses deux par deux et à tremper le pain dans l’eau avant de le manger…

Un hot-dog. Illustration.


En douze ans, Joey Chestnut vit sa onzième victoire. Chaque année, à l’occasion de la fête nationale américaine, se tient le concours du plus grand mangeur de hot-dogs à Coney Island, dans l’Etat de New York.


Le champion a avalé 74 hot-dogs en dix minutes seulement, battant son propre record du monde. C’est deux de plus que l’année passée. « J’ai trouvé le bon rythme », a expliqué l’Américain de 34 ans. « Je me sentais bien aujourd’hui ». Arrivé en seconde position, Carmen Cincotti a ingurgité 64 hot-dogs.

Un diabète sur sept lié à la pollution de l’air

Fumée au Texas, aux Etats-Unis, le 26 août 2017.

Un nouveau cas de diabète sur sept est aujourd’hui dû à la pollution de l’air, ont estimé des chercheurs dans une étude publiée samedi 30 juin, dans la revue The Lancet Planetary Health.
« La pollution a contribué à 3,2 millions de nouveaux cas de diabète dans le monde en 2016, ce qui représente environ 14 % des nouveaux cas », ont annoncé les auteurs, de la faculté de médecine Washington à Saint-Louis (États-Unis). Le lien entre pollution atmosphérique et le diabète avait déjà été avancé par des recherches antérieures.
« On pense que la pollution réduit la production d’insuline et provoque des inflammations, empêchant le corps de convertir le glucose du sang en énergie », ont résumé les chercheurs, qui publient l’étude dans la revue The Lancet Planetary Health. L’estimation de 14 % est issue de données médicales de 1,7 million d’anciens combattants américains, suivis sur une durée médiane de huit ans et demi. Tous au départ avaient été choisis parce qu’ils n’avaient pas de diabète.
Les chercheurs ont bâti un modèle statistique pour voir dans quelle mesure la pollution de l’air dans leur lieu de résidence pouvait expliquer qu’ils devenaient diabétiques. Et la comparaison a été faite avec une autre affection où cette pollution n’est pas en cause, les fractures des membres inférieurs. Des facteurs favorisant le diabète comme le surpoids et l’obésité ont été pris en compte.

Une étude qui fait face aux lobbies économiques
« Notre recherche démontre un lien significatif entre pollution de l’air et diabète dans le monde », a affirmé dans un communiqué le professeur de médecine Ziyad Al-Aly. « C’est important car beaucoup de lobbies économiques affirment que les niveaux actuels [de rejets de polluants dans l’atmosphère autorisés] sont trop stricts et devraient être relevés. Des preuves montrent que ces niveaux actuels ne sont toujours pas suffisamment sains et doivent être abaissés ».
Par ailleurs, la part de diabètes dus à l’air pollué est estimée comme plus forte dans des pays où la réglementation est moins stricte et moins bien respectée, comme l’Inde, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, l’Afghanistan et le Guyana. Sont cités en exemple à l’inverse « des pays plus riches tels que la France, la Finlande et l’Islande ».

Royaume-Uni : le "Novitchok", une arme chimique redoutable à l'origine d'un nouvel empoisonnement

Deux Britanniques ont été exposés, samedi 30 juin, au même agent innervant, le Novitchok, qu'un ancien agent double russe en mars dernier. Une substance mal connue aux effets ravageurs.



Quatre mois après l'empoisonnement de l'ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille, le poison Novitchok a fait deux nouvelles victimes au Royaume-Uni. Deux britanniques ont été exposés samedi 30 juin à Amesbury, une petite ville située à une douzaine de kilomètres de Salisbury, où habitait l'ancien agent russe. Si la thèse d'un accident liée à la drogue a d'abord été envisagée, la police a finalement reconnu dans la soirée du mercredi 4 juillet qu'il s'agissait du Novitchok. Une arme chimique redoutable, élaborée dans les années 1930.
Ces substances ont en effet été synthétisées pour la première fois par l'Allemagne nazie, dans le cadre de recherches sur les insecticides. Les soviétiques, eux, sont parvenus à le concevoir aux années 1970-1980. Une époque où la guerre froide battait son plein et où le régime souhaitait se procurer ces substances hautement toxiques aux effets parfois très rapides. Et pour cause : ces agents pénètrent l'organisme par inhalation ou à travers la peau. Ils s'attaquent à une enzyme cruciale pour le fonctionnement du système nerveux, l'acétylcholinestérase. Parmi les symptômes, on constate une diminution du diamètre des pupilles, des nausées, une incontinence, des tremblements, des convulsions et des difficultés respiratoires.


Un policier le 5 juillet 2018 à Salisbury
où deux personnes ont été empoisonnées.

"Les premiers symptômes surviennent 20 à 30 minutes après l'exposition initiale"

La rapidité d'action, elle, dépend du mode d'administration. Une inhalation à forte dose peut provoquer la mort en quelques minutes. Le processus est plus long si l'agent pénètre dans le corps non pas via le système respiratoire mais via la peau. Dans ce cas, "les premiers symptômes surviennent 20 à 30 minutes après l'exposition initiale et ensuite, le processus d'empoisonnement peut être rapide si la dose est élevée", relève l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC). Dans des conditions normales, les agents innervants se présentent sous forme liquide, plus ou moins fluide.
Si le terme Novitchok est peu connu du grand public, certains agents innervants sont en revanche plus connus. Par exemple le sarin et le VX.. Le premier a été utilisé à plusieurs reprises en Syrie depuis 2013, et dans un attentat dans le métro de Tokyo en 1995. Le second a servi à assassiner le demi-frère du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un en février 2017.
Selon les experts, la procédure de soins classique dans le cas d'un empoisonnement avec un agent innervant est de stabiliser les fonctions vitales du corps (respiration, battements du cœur). Parallèlement, il faut administrer au patient de l'atropine, médicament de base utilisé pour combattre les symptômes des agents innervants. Celle-ci bloque les récepteurs de l'acétylcholine pour empêcher son accumulation dans le système nerveux. Le temps, si le traitement fonctionne, de permettre au corps d'évacuer l'agent innervant et de produire à nouveau l'enzyme qu'il ciblait.

Jusqu'à quel âge peut-on envisager un appareil dentaire chez un adulte ?



Il est courant de procéder à des soins en orthodontie chez l’enfant, pour des raisons esthétiques ou fonctionnelles. Mais le port d’un appareil dentaire peut aussi être envisagé à l’âge adulte, de façon discrète grâce aux appareils invisibles. Jusqu’à quel âge envisager un appareil dentaire ?

Port d’un appareil dentaire : pourquoi ?
La consultation en orthodontie a pour principal motif des considérations esthétiques, qu’il s’agisse d’un jeune patient ou d’un adulte. Elle a aussi pour but le réalignement des dents, la suppression ou la création d’espaces entre les dents ou le remplacement d’une dent perdue. Ainsi, les appareils dentaires assurent une bonne santé des dents et permettent de limiter les risques de caries et de maladies parodontales.

L’appareil dentaire pour adulte
Le port d’un appareil dentaire peut être envisagé de 7 à 77 ans, il n’y a pas d’âge limite. Pour un adulte, l’appareil répond à des buts esthétiques ainsi qu’à la nécessité de restaurer un équilibre entre les dents pour la mastication. Cependant, contrairement à l’enfant sur lequel les corrections sont apportées alors qu’il est en pleine croissance, les corrections chez l’adulte interviennent sur des structures qui ont achevé leur croissance. Le résultat chez l’adulte ne sera donc pas stable et nécessitera une contention permanente, sinon les dents risquent de reprendre leur place initiale. On aura recours notamment à des appareils invisibles, comme des bagues métalliques côté lingual ou des gouttières transparentes. La durée des soins d'orthodontie varie de 1 an pour les traitements simples à 3 ans pour des traitements plus complexes.

États-Unis : les traditions du 4 juillet, jour de l'indépendance américaine


L'"Independance Day", célébré chaque 4 juillet outre-Atlantique, contient quelques similitudes avec le 14 juillet en France.Le 
Jour de l'Indépendance" ("Independance Day") est la fête nationale qui célèbre la déclaration d'indépendance des treize colonies d'Amérique vis-à-vis de la Couronne britannique. C'était le 4 juillet 1776. On retrouve certains ingrédients de la fête nationale en France. Il y a beaucoup de parades patriotiques. Certaines remontent au XIXe siècle. Mais ce ne sont pas des défilés militaires. Cependant le 4 juillet, il y a beaucoup de messages de remerciements aux troupes - notamment celles qui sont déployées à l'étranger - ou aux vétérans. Il y a près d'un million et demi de personnes dans les forces armées américaines.

Autre point commun : le feu d'artifice. Il y en a un peu partout. Mais le plus grand, diffusé en direct à la télévision, est tiré à New York, entre Manhattan et Brooklyn. Il est intéressant de noter que depuis près de soixante ans, c'est une chaîne de grand magasin, Macy's, qui finance et donc lui donne son nom. Cela marque aussi une période de soldes. Il faut près de deux semaines aux artificiers pour mettre en place les 60.000 feux d'artifice sur cinq grandes barges flottantes.


Le feu d'artifice du 4 juillet 2016 à New York


Ils entendent montrer leur fierté d'être Américains. On trouve des tenues spéciales pour l'occasion dans les magasins. Alors certes dans les rues de New York ou Los Angeles, vous en croisez peu. Mais dans des petites villes, dans des États plus conservateurs, c'est très courant.

Autre tradition qui va vous sembler un peu curieuse, et pourtant elle dure depuis plus d'un siècle : un grand concours annuel organisé près de la plage de Coney Island, à New York, et diffusé sur une chaîne sportive. Il s'agit du concours du plus gros mangeur de hot-dogs ! L'an passé, le gagnant en a empiffré 70 en dix minutes.



Le concours 2016 du plus gros mangeur de hot-dogs


Le 4 juillet, c'est d'abord une fête où on mange, autour des barbecues, des hamburgers, des hot-dogs, beaucoup de bière, le tout en famille ou avec des amis. Car les Américains ont peu de vacances : certains ont seulement deux semaines de congés dans l'année. Donc ils profitent du pont du 4 juillet, qui est un moment important de retrouvailles familiales.

Dans l'UE, les plus riches vivent à Londres, les plus pauvres en Bulgarie


Résultat de recherche d'images pour "quartiers de l'ouest de Londres"
Les habitants les plus riches dans l'UE
 habitent les quartiers de l'ouest de Londres

Les résidents de l'ouest de Londres sont six fois plus riches que la moyenne des Européens, tandis que les habitants du nord-ouest de la Bulgarie sont trois fois plus pauvres, selon une étude publiée mercredi par l'institut européen de statistiques Eurostat. Il existe des différences considérables dans l'UE et au sein des Etats membres.
 Londres, Luxembourg et Bruxelles. Les habitants les plus riches dans l'UE habitent les quartiers de l'ouest de Londres, dont le PIB atteint 611% de celui de la moyenne de l'UE. Arrivent ensuite les habitants du Grand-Duché du Luxembourg (257%), de la région du sud-est de l'Irlande (217%), puis de Bruxelles et Hambourg, en Allemagne (200% dans les deux cas). "En 2016, 19 régions disposaient d'un PIB par habitant situé 50% ou plus au-dessus de la moyenne de l'UE : cinq en Allemagne, trois au Royaume-Uni, deux en Autriche, une respectivement en Belgique, en République tchèque, au Danemark, en Irlande, en France, aux Pays-Bas, en Slovaquie et en Suède, ainsi que le Grand-Duché de Luxembourg", résume Eurostat.

Bulgarie, Mayotte et Roumanie. A l'autre extrémité, le PIB régional par habitant représente 29% de celui de l'UE dans la région bulgare de Severozapaden (nord-ouest). Mayotte, île française de l'océan Indien (33%), puis deux autres régions bulgares (34%) et le nord-est de la Roumanie (36%) complètent la liste des régions les plus pauvres. "Parmi les 21 régions disposant d'un PIB par habitant en dessous de 50% de la moyenne de l'UE, cinq étaient situées respectivement en Bulgarie et en Pologne, quatre en Hongrie, trois respectivement en Roumanie et en Grèce, et une en France", précise Eurostat.
En France, les régions sous la moyenne de l'UE. Les régions françaises sont globalement situées en dessous de la moyenne de l'UE, à l'exception de l’Île-de-France (175%) et du centre-est (100%). A l'inverse, les régions allemandes sont majoritairement situées au-dessus de la moyenne.

Les serpents les plus gros, les plus longs et les plus dangereux de la planete !








Les Norvégiens préfèrent sucer du « snus » que fumer une cigarette

Le Snus, une pâte de tabac à placer sur les gencives interdite
à la vente dans l’UE à l’exception de la Suède.


Le tabac à sucer commercialisé en Suède et en Norvège est plus consommé que la cigarette, d’après une étude publiée jeudi de l’institut national de statistique basé à Oslo. Un résultat lié à la chute du nombre de fumeurs dans le pays depuis dix ans. Cependant, la consommation de tabac a augmenté.
Les Norvégiens sont désormais plus nombreux à consommer quotidiennement du « snus », un tabac à sucer spécifique à la Scandinavie, que des cigarettes, montrent des chiffres officiels publiés jeudi.

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Les statistiques risquent de relancer le débat sur les effets de ce tabac, interdit à la vente dans l’UE à l’exception de la Suède, sur la santé, une question qui fait débat.

Une forte baisse du nombre de fumeurs
Selon l’institut norvégien de statistique SSB, 12 % des Norvégiens consommaient quotidiennement du « snus » en 2017, une proportion pour la première fois plus élevée que celle des fumeurs quotidiens (11 %).
La Norvège a adopté une politique ambitieuse visant à réduire le tabagisme : elle a été l’un des premiers pays au monde à interdire la cigarette dans les lieux publics en juin 2004, le prix des cigarettes y est élevé (environ 11 € le paquet) et le paquet y est neutre depuis l’an dernier.
En 2007, la proportion de fumeurs quotidiens était encore de 22 % mais elle a été divisée par deux en dix ans, une désaffection qui a profité au « snus ».

Mais plus de consommation de tabac
« En dépit du recul du tabagisme quotidien, la proportion totale de la population qui consomme des produits liés au tabac a augmenté », a noté un conseiller de SSB, Joachim Wettergreen, dans un communiqué.
En 2016, 12 % des Norvégiens fumaient quotidiennement et 10 % utilisaient du « snus ».
Après avoir en partie gagné leur combat contre la cigarette, les autorités norvégiennes tentent d’enrayer la consommation de tabac à sucer.
En novembre, l’État a gagné un procès à Oslo contre le producteur Swedish Match qui protestait contre l’application au « snus » de la règle du paquet neutre. Le groupe suédois a fait appel.


Qui sont les sauveteurs des ados piégés dans la grotte thaïlandaise ?




Les treize ados bloqués dans une galerie souterraine en Thaïlande depuis dix jours viennent enfin d’être retrouvés par une équipe de plongeurs-sauveteurs. Si l’opération est loin d’être terminée, les héros à l’origine de cet exploit n’en sont pas à leur premier coup d’essai.

C’est un grand soulagement pour les familles. Les jeunes âgés de 11 à 16 ans qui avaient disparu depuis le 23 juin dans une grotte thaïlandaise inondée viennent d’être retrouvés le 2 juillet, amaigris mais sains et saufs. Deux plongeurs-sauveteurs britanniques, Rick Stanton et John Volanthen, sont à l’origine du premier contact établi avec les ados de cette équipe de foot et leur coach.

Ces deux héros ont plus de 35 ans d’expérience en matière de sauvetage et de plongée souterraine. Ils font partie des meilleurs sauveteurs au monde lorsqu’il s’agit d’intervenir sur des opérations similaires. Par ailleurs, ils disposent tous les deux d’un emploi à plein-temps.


Rick Stanton
Rick Staton, 56 ans, est pompier à Conventry, une ville du centre de l’Angleterre. Expert en spéléologie et en plongée technique, il a déjà participé à différentes missions en tant que volontaire. En 2012, il a été fait membre de l’Ordre de l’Empire britannique en récompense de ses services. Rick Staton est aussi considéré comme un des meilleurs en Europe en plongée souterraine.

John Volanthen
Quant à John Volanthen, ingénieur informatique dans la ville de Bristol (sud-ouest de l’Angleterre), cet homme de 47 ans est réputé pour sa capacité à utiliser de manière optimale un recycleur, un appareil de plongée sophistiqué. Ces deux plongeurs, ainsi qu’un autre Britannique, Robert Harper, font partie du British Cave Rescue Council (BCRC), qui regroupe des secouristes experts en plongée et spéléologie. Ils étaient partis la semaine dernière en Thaïlande pour participer aux secours dans la grotte inondée.
Une tentative de sauvetage en France 
« John Volanthen et Rick Stanton sont de véritables experts en plongée souterraine, qui ont exploré bon nombre de réseaux de galeries en Europe. Ils savent très bien se servir de recycleurs, une technologie qui convient parfaitement à la situation rencontrée dans cette grotte thaïlandaise », confie Neil Bennett, un plongeur britannique interrogé par The Guardian.
En France, Rick Staton et John Volanthen sont connus pour avoir tenté de secourir Éric Establie en 2010. Ce spéléologue s’était retrouvé coincé à cause d’un éboulement en plongeant dans une grotte de l’Ardèche. Il n’avait malheureusement pas survécu. Le gouvernement français aurait réclamé ces deux plongeurs pour les opérations de sauvetage à l’époque.




Une Sud-africaine retrouvée vivante dans le réfrigérateur d’une morgue

Photo d'illustration.


Une femme déclarée « morte » après un accident de la route fin juin au sud-est de Johannesburg a été découverte en vie dans le réfrigérateur d’une morgue. Pourtant, d’après les services d’urgences, « tous les tests ont été faits ».
Elle est revenue d’entre les morts. Une Sud-Africaine avait été déclarée décédée après un accident de la route dimanche 24 juin. Mais la victime a été retrouvée quelques heures plus tard… vivante dans le réfrigérateur d’une morgue.
Les services d’urgence sont intervenus à la fin du mois sur le site d’un carambolage survenu à l’extérieur de Carletonville, au sud-ouest de Johannesburg. À l’extérieur d’un des véhicules, ils ont découvert les corps de ses trois occupants, apparemment décédés. « Nous avons suivi nos procédures, nous n’avions aucune idée de ce qui avait bien pu se passer », a plaidé Gerrit Bradnick, le chef des opérations de la société privée d’urgences médicales Distress Alert.


L’équipe de secours « est totalement anéantie ».
Selon lui, « tous les tests ont été faits ; la respiration, le pouls et donc la patiente a été déclarée morte ». Les trois victimes ont été évacuées sur la morgue. C’est en plaçant son corps dans un réfrigérateur qu’un des employés de l’établissement s’est rendu compte que l’une des trois respirait encore. La miraculée a été conduite à l’hôpital local pour y être soignée.
« L’équipe (qui est intervenue) est totalement anéantie, a commenté Gerrit Bradnick, notre travail ne consiste pas à déclarer les vivants morts mais à maintenir les gens en vie ». Distress Alert a ouvert une enquête pour comprendre les raisons de cette bévue.