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Les meilleurs événements d'Asie.

Déstabilisante par sa grandeur, dépaysante par sa culture, l'Asie attire de nombreux voyageurs venus à la recherche d'authenticité. Pour découvrir au mieux ce continent et s'imprégner de ses coutumes, participer aux différentes festivités qui sont organisées est indispensable ! Il est souvent difficile de choisir tant chaque jour propose son lot de festivals ou de fêtes populaires...




  • Festival des lanternes de lotus de Séoul, un anniversaire traditionnel.
Chaque année, au mois de mai, le festival des lanternes de lotus célèbre l'anniversaire de Bouddha en Corée du Sud. Pendant un mois, des lanternes en papier décorent les rues et les temples. Elles symbolisent Bouddha, dans toute sa sagesse, et surtout la lumière qu'il a apporté au monde. Le jour de son anniversaire, une grande parade est organisée dans la ville. Les Coréens revêtent l'habit traditionnel - le hanbok, des repas et du thé sont servis à tous les visiteurs dans les temples et des spectacles ont lieu partout dans Séoul.




  • Fête des singes à Lopburi, la terre sainte des primates.
En Thaïlande, Lopburi est connue pour abriter des habitants un peu particulier... En effet, des singes en liberté ont élu domicile un peu partout dans la ville pour le plus grand bonheur des touristes ! Des sites historiques au fils électriques, ces derniers sautillent dans tous les recoins. Chaque année, les habitants rendent hommage à ses descendants du dieu-singe Hanuman lors d'un rituel sacré qui a lieu le dernier dimanche de novembre.  Festin gargantuesque et ambiance festive assurés !


  • Festival du désert de Jaisalmer, culture et héritage du Rajasthan
Surnommée la Cité d'Or, Jaisalmer se dresse aux portes du désert indien du Thar. Cette somptueuse ville fortifiée accueille chaque année le festival du désert. Au programme : chevaux, éléphants et dromadaires parés comme des princes, musiciens nomades, compétition de roulage de turbans et même concours de la plus belle moustache ! Une véritable plongée dans la culture indienne ! 


  • Fête et gadoue au festival de la boue de Boryeong
Aucune signification spirituelle ni culturelle pour ce festival sud-coréen qui n'est autre qu'un rassemblement de grands enfants tous venus pour devenir le plus sale possible... tout en se purifiant ! On connaît, en effet, les vertus thérapeutiques de la boue. Pendant deux semaines, de nombreuses activités, souvent loufoques, sont organisées : ski sur la boue, concours de lutte et glissades en tout genre sont au programme avant de conclure le festival par un feu d'artifice... de boue bien sûr ! Tous à Boryeong fin juillet ! 

 

  • Féerie et magie au festival des lumières d'hiver de Kuwana
Chaque année, pour accueillir l'hiver, le jardin botanique de Nabana No Sato, à Kuwana au Japon, se pare de ses plus belles parures ! Au total, plus de 7 millions d'ampoules LED illuminent ses allées de manière élégante et stupéfiante. Toutes les batteries des ampoules se rechargent durant la journée grâce à des panneaux solaires... Un spectacle merveilleux et respectueux de l'environnement, en plus ! 


  • Le Naadam, fête nationale mongole
C'est une véritable institution ! Les Mongoles célèbrent la Révolution de 1921 dans une ambiance festive et chaleureuse. Du 11 au 13 juillet, les plus grandes festivités ont lieu à Oulan-Bator, la capitale. Des compétitions populaires de lutte, courses de chevaux et tir à l'arc sont organisées. Le spectacle d'ouverture est splendide : moines, danseurs folkloriques et athlètes défilent sous les applaudissements du public ! 


  • Le Nouvel An chinois à Pékin, au coeur de la tradition
Premier jour de la nouvelle lune, la " fête du printemps " est célébrée par les communautés chinoises du monde entier. Parades de dragons, défilés folkloriques et encens embaument les rues. Le rouge, couleur du bonheur en Chine, est mis à l'honneur dans les lanternes, les lampions et les costumes. C'est certainement l'une des fêtes asiatiques les plus connues. Célébrer le Nouvel An chinois à Pékin est une expérience incomparable.  Le ciel de la capitale chinoise s'illumine de mille feux et le spectacle des danseurs traditionnels au temple du ciel est inoubliable ! 


  • Romantisme au festival des lanternes Pingxi de Taïwan
Dans la Chine ancienne, les hommes croyaient voir les esprits dans le ciel grâce à la lumière de la première pleine lune de l'année... Dérivé de cette croyance, le festival Pingxi de Taïwan est l'un des lâchers de lanternes célestes les plus splendides d'Asie. Chargés de voeux en tout genre, ces lampions envahissent le ciel et annonce l'année nouvelle. Le festival se déroule tous les ans, à partir du quinzième jour du premier mois lunaire, soit fin février ou début mars. 


  • Songkran ou le festival des eaux, nouvel an à la thaïlandaise
Songkran est l'une des fêtes les plus importantes du pays. Elle marque le début de l'année d'après le calendrier lunaire, il s'agit donc du Nouvel An bouddhique. Le cérémonial authentique se restreignait à baigner les mains des anciens. Aujourd'hui, dans les rues des villes et des villages de Thaïlande, tout le monde se livre à de gigantesques batailles d'eau, pour effacer toutes les traces de l'année passée ! En plus, Songkran a lieu mi-avril, pendant la période la plus chaude, c'est donc l'idéal pour se rafraîchir ! 


  • Holi, la fête indienne aux mille couleurs
Fêtée dans toute l'Inde, du Nord au Sud, Holi célèbre l'arrivée du printemps. Pour cette occasion, les participants, habillés en blanc, se jettent tous des pigments de couleur dans la joie et la bonne humeur ! La ville se transforme vite en un véritable arc-en-ciel, mais attention, toutes ces couleurs ont une signification : le vert pour l'harmonie, le rouge pour la joie et l'amour, l'orange pour l'optimisme et le bleu pour la vitalité ! Cet événement est célébré pendant la pleine lune de Phâlguna, en février ou mars.

 

C'est quoi "l'effet spectateur" ou "bystander effect"



L’effet spectateur : au plus nous sommes nombreux, au moins nous aidons.

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, un homme en détresse a plus de chance d’être secouru s’il n’y a qu’une seule personne près de lui que s’il y en a 4 ! Il s’agit de l’effet spectateur.
Historiquement, c’est une histoire horrible qui a mis en évidence cet effet. Le 13 mars 1964, Kitty Genovese fut violée et assassinée en pleine rue à New York. Malgré ses cris, aucune personne n’est venue à son aide.
Les voisins qui avaient entendu l’agression ont répondu plus tard qu’ils ne souhaitaient pas être impliqués ou qu’ils ne savaient pas vraiment pourquoi ils n’étaient pas intervenus.
Des exemples plus récents en France, au Maroc ou ailleurs, attestent de la réalité de phénomène psycho-sociologique.


if you see something do something

Ne voulant pas en rester là face à ce cas, les psychologues ont mené des tests et ont établi le processus d’intervention d’un individu devant une situation nécessitant son aide.

Des chercheurs en psychologie sociale ont théorisé le \"bystander effect\", pour expliquer pourquoi certaines personnes ne réagissent pas quand elles sont témoins d\'un accident ou d\'une agression.  

Une femme accouche dans une rame d'autobus et seulement deux personnes parmi les nombreuses présentes lui viennent en aide. Une autre se fait sexuellement agresser sur un quai de métro et aucun des dix témoins ne réagit... Etonnant ?


Un témoin doit :

1) remarquer le fait.
2) comprendre le degré d’urgence.
3) se sentir responsable d’intervenir.
4) être persuadé de posséder les compétences nécessaires à la réussite de l’intervention.
5) décider d’aller aider


Ce processus est parasité par la présence d’autres personnes pour plusieurs raisons :
1) la diffusion de la responsabilité : pourquoi moi plutôt qu’un autre ?
2) la peur du jugement d’autrui : et si je ne parviens pas à aider, que vont penser les autres spectateurs ?
3) l’influence sociale : j’attends de voir ce que vont faire les autres.
Ces 3 points paralysent les réactions.


Comment endiguer ce phénomène et sauver des vies ?

Tout d’abord, il est nécessaire de connaitre l’effet spectateur. Cela permet de prendre conscience de la teneur de nos blocages et de les dépasser.
La deuxième solution est que la victime montre un individu et l’appelle à l’aide. Cela balaie les 3 freins.
Alors n’hésitez pas à partager cet article autour de vous, l’information pourra sauver des vies.

La curieuse manœuvre de la station spatiale chinoise Tiangong-2




Après la chute récente de la station spatiale chinoise Tiangong-1 dans le Pacifique, sa remplaçante Tiangong-2 aurait effectué une étrange manœuvre dans l’atmosphère en juin : elle aurait plongé de plus de 100 km vers la Terre avant de revenir à son orbite habituelle. Est-ce le signe d’un crash à venir ?
La station spatiale Tiangong-2 va-t-elle nous tomber sur la tête ? Son étrange manœuvre dans l’espace ces derniers jours pose en tout cas question. Le 13 juin, elle a plongé de plus de 100 km en direction de la Terre pour se placer en orbite à 290 kilomètres au-dessus du sol.
Il n’en fallait pas plus à certains observateurs pour évoquer l’idée que la Chine cherchait à se débarrasser de cette station spatiale. Un raisonnement paraissant plausible au regard du sort qu’a connu sa grande sœur Tiangong-1 : le 2 avril, cette station avait fini sa course incontrôlable en se désintégrant au-dessus du Pacifique Sud. De plus, Tiangong-2 n’est déjà plus utilisée par la Chine, à peine deux ans après son lancement.

Un test de l’appareil

Mais le 23 juin, Tiangong-2 est revenue à son orbite initiale à 390 kilomètres au-dessus de la Terre. Si la Chine n’a pas expliqué le but de la manœuvre, Jonathan McDowell a sa petite idée sur la question. « Je pense que l’objectif était de tester l’appareil pour vérifier sa fiabilité et observer le fonctionnement du système de propulsion, a confié cet astrophysicien du centre d’astrophysique Harvard-Smithsonian au site Live Science. En consommant du carburant, cela réduit aussi le risque d’explosion sur la phase de retour. »

La date de retour inconnue

Aucune information n’a filtré concernant la date de retour de Tiangong-2. Selon Jonathan McDowell, cette manœuvre montre que la Chine contrôle toujours cette station et qu’elle pourrait déjà programmer sa désorbitation. Elle éviterait ainsi de répéter sa gestion hasardeuse du retour sur Terre de Tiangong-1.
Les stations Tiangong, dont le nom signifie « Palais céleste » en mandarin, ont été conçues pour développer les compétences de la Chine dans la construction d’une station spatiale complète. Après avoir hébergé deux astronautes en octobre et novembre 2016, Tiangong-2 a continué à effectuer des manœuvres de ravitaillement jusqu’en septembre 2017. Depuis, cette station est en hibernation.

Coupe du Monde 2018 : : Croatie - Angleterre


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L'Angleterre s'est inclinée face à la Croatie, hier, sur le score de 2-1, après prolongation, en demi-finale de la Coupe du monde. Elle retrouvera la France en finale. Découvrez le résumé du match et les buts en vidéo.

En s'imposant face à l'Angleterre à Moscou au cours des prolongations, dans le cadre des demi-finales, la Croatie s'est qualifiée pour la suite de la compétition. Après 120 minutes, Ivan Perisic et Mario Mandzukic avaient inscrit les buts de la formation croate, et Kieran Trippier celui de la sélection anglaise. Ivan Perisic a égalisé pour l'équipe croate à la 68e minute, servi par Vrsaljko, et a permis à son équipe de participer aux prolongations. Kieran Trippier avait marqué le premier but pour l'Angleterre dès la 5e minute (0-1). L'unique but des prolongations a été inscrit à la 109e minute par Mandzukic, à la suite d'une offrande de Perisic. La Croatie a vu deux de ses joueurs écoper d'un carton jaune : Mandzukic (48e) et Rebic (96e), mais aussi Walker (54e) du côté de la sélection anglaise. Les Damiers se sont révélés plus dangereux que les Three Lions avec 7 tirs cadrés (sur un total de 17 tentatives) contre 1 (sur 7). Les Croates ont eu le bénéfice de la possession avec 55 % contre 45 % pour les Anglais. Ivan Perisic a joué un rôle capital pour sa formation en se montrant décisif à 2 reprises (1 but et 1 passe décisive). Les prochains matchs de la Croatie et de l'Angleterre : La sélection croate affrontera la France le 15 juillet 2018 à 17h00 (heure française) pour tenter de devenir championne du monde, tandis que l'Angleterre affrontera la Belgique le 14 juillet 2018 à 16h00 (heure française) pour la troisième place. Feuille de match
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  • Croatie - Angleterre : 1-1, 2-1 a.p. (1-1 à la fin du temps réglementaire)
  • Affluence : 78 011 spectateurs
  • Arbitre : Cuneyt Cakir
  • Buts : Ivan Perisic (68e) et Mario Mandzukic (109e) pour la Croatie, Kieran Trippier (5e) pour l'Angleterre
  • Avertissements : Mandzukic (48e) et Rebic (96e) pour la Croatie, Walker (54e) pour l'Angleterre
  • Aucun joueur expulsé
  • Composition de la Croatie : Subasic (23), Vrsaljko (2), Lovren (6), Vida (21), Strinic (3) [puis Pivaric à la 95e ], Rakitic (7), Modric (10) [puis Badelj à la 119e ], Brozovic (11), Rebic (18) [puis Kramaric à la 101e ], Mandzukic (17) [puis Corluka à la 115e ] et Perisic (4)

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  • Entraîneur de la Croatie : Zlatko Dalic

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  • Composition de l'Angleterre : Pickford (1), Stones (5), Maguire (6), Walker (2) [puis Vardy à la 112e ], Lingard (7), Henderson (8) [puis Dier à la 97e ], Alli (20), Trippier (12), Kane (9), Sterling (10) [puis Rashford à la 74e ] et Young (18) [puis Rose à la 91e ]

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  • Entraîneur de l'Angleterre : Gareth Southgate

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Un engin inconnu trouvé sur une plage américaine




Depuis six mois, un objet massif, en fer, a fait son apparition sur une plage américaine. Un journaliste a fini par se demander de quoi il s’agissait… personne n’a été capable de lui répondre avec certitude.



Un objet extraterrestre ? Les restes d’un sous-marin russe ? Les thèses plus ou moins farfelues s’affrontent pour déterminer l’origine et la fonction de cet objet échoué sur le sable de Caroline du Nord, sur la plage de Corolla. Un journaliste local de la radio Outer Banks Voice a lancé l’affaire, en essayant de trouver une réponse au mystère : « Ce truc est là depuis janvier, sur la plage, et personne n’est capable de dire de quoi il s’agit », s’étonne-t-il dans une vidéo postée sur Youtube.

Clignote la nuit
Sa caméra fait le tour de l’étrange objet de fer, un peu plus haut qu’une table basse, visiblement assez lourd. L’objet, rouillé, est surmonté d’une tige métallique au bout de laquelle clignote une lampe, alimentée par l’énergie solaire, visible la nuit.
Personne ne sait quelle est la profondeur de l’objet, à quel point il est enterré dans le sable, ni à qui il appartient. Il se trouve loin des rampes d’accès à la plage… Résultat, les internautes rivalisent d’explications plus ou moins sérieuses : « On dirait un morceau de phare », tente Frances Russell dans les commentaires. « C’est l’antenne relais d’un sous-marin nucléaire russe de classe Z », pense plutôt Lee Miller. « On dirait une bouée, voyez avec la station locale des garde-côtes », suggère Belinda Godfrey. « Demandez à la Nasa, c’est un reste de navette ancienne », pense un autre internaute. « Les extraterrestres nous espionnent »…
Les ingénieurs de l’armée, et la marine américaine ont déclaré que l’objet n’est pas à eux. Si la thèse qui semble l’emporter est celle d’une bouée de navigation, reste que personne n’est capable de l’affirmer, ni de dire quelle est l’origine, ou le modèle du mystérieux objet.

La colombe de la paix transformée en drone-espion

Les drones chinois sont capables de reproduire environ 90 % des mouvements d'un véritable pigeon comme celui-ci.
Les drones chinois sont capables de reproduire 
environ 90 % des mouvements d'un véritable
 pigeon comme celui-ci.


Le South China Morning Post, journal en langue anglaise basé à Hong Kong, affirme que la Chine utilise des drones pour surveiller sa population. Et attention, pas n’importe quels engins : des drones déguisés en pigeons pour mieux se dissimuler dans le paysage environnant.


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« L’idée peut sembler farfelue, mais les oiseaux robotiques sont une réalité, et la Chine les utilise pour surveiller les gens à travers le pays ». C’est ce qu’affirme le South China Morning Post, un journal de Hong Kong. Selon ce titre publié en langue anglais, plus de 30 agences militaires et gouvernementales chinoises auraient ainsi déployé des drones ressemblant à des oiseaux dans au moins cinq provinces au cours des dernières années.

Le quotidien affirme que la région autonome du Xinjiang, tout à l’ouest de la Chine, serait particulièrement ciblée. « Cette province, qui borde la Mongolie, la Russie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan, l’Afghanistan, le Pakistan et l’Inde, abrite une importante population musulmane et a longtemps été considérée par Pékin comme un foyer de séparatisme », souligne le South China Morning Post. En conséquence, la région et ses habitants ont été soumis à une surveillance accrue de la part du gouvernement chinois.

« Bon potentiel à grande échelle »
Ce nouveau programme des oiseaux-espions serait d’ailleurs baptisé « pigeon ». Il est dirigé par Song Bifeng, professeur à l’Université polytechnique de Xian. Auparavant, Song travaillait sur un programme de jets furtifs.
Yang Wenqing, professeur à l’école d’aéronautique du Nord-Ouest et membre de l’équipe de Song, a déclaré : « Nous croyons que la technologie a un bon potentiel pour une utilisation à grande échelle à l’avenir… » 
Ces drones d’un nouveau genre imitent l’action des ailes d’un oiseau pour monter, plonger ou tourner dans l’air. Ils seraient capables de reproduire environ 90 % des mouvements d’un véritable pigeon. De plus, ils produisent très peu de bruit, ce qui les rend très difficiles à détecter depuis le sol, et sont si réalistes que les oiseaux réels volent souvent à leurs côtés, affirme le quotidien hongkongais. Les drones pigeons ne pèsent que 200 grammes, ont une envergure d’environ 50 centimètres et peuvent voler à des vitesses allant jusqu’à 40 km/h pendant un maximum de 30 minutes.

Quelles suites pour le Brexit ?




Le 29 mars 2019, le Brexit, adopté en 2016 par référendum, devrait être mis en place au Royaume-Uni, actant le divorce définitif d’avec l’Union européenne. A ce stade pourtant, aucun accord n’a vraiment été conclu entre les Vingt-Sept et le voisin anglais. Face à la confusion persistante, deux ministres « pro-Brexit », Boris Johnson et David Davis, ont claqué la porte du gouvernement les 8 et 9 juillet. Une décision motivée par la direction prise par la première ministre, qui s’oriente vers un « soft Brexit », ou « Brexit doux », pour tenter de trouver un compromis. Pour Mme May, ces départs pourraient avoir un double effet : lui permettre de réaffirmer ses positions ou, au contraire, l’affaiblir. Côté européen, la crainte d’un « no deal » (pas d’accord) au matin du 30 mars 2019 commence à se faire sentir.


Dans ce bourg burkinabais, les villageois font des câlins aux crocodiles.


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A Bazoulé (Burkina Faso), la complicité entre l'homme et le crocodile est si forte qu'elle est devenue un ressort de développement pour le village.
Les crocodiles et les hommes dansent un improbable tango. Un saurien se dresse pour tenter d'attraper un poulet qu'on lui tend avec malice. Dans le village de Bazoulé, à l'ouest de Ouagadougou, plus d'une centaine de crocodiles vivent en harmonie avec les habitants. Nourris par la population locale, ces reptiles sont en quelque sorte domestiqués et ne représentent plus de danger pour les hommes. Mais les habitants ont une autre explication: ces crocodiles sont sacrés.
"On s'est habitué avec les crocodiles, quand on était petits, à nager dans l'eau avec eux et tout ça", affirme Pierre Kaboré, qui est né et a grandi à Bazoulé. "On peut toujours les approcher, les toucher, s'asseoir dessus... et, si on a le courage, s'allonger dessus. Il n'y a pas de problème, ce sont des crocodiles sacrés, ils ne font de mal à personne", assure-t-il à quelques mètres du sourire carnassier de l'animal qui n'a fait qu'une bouchée du poulet vivant.
Selon la légende, au XIVe ou le XVe siècle, des crocodiles auraient guidé les villageois qui vivaient dans un univers de sécheresse vers une source d'eau. "Les femmes faisaient des dizaines de kilomètres pour aller chercher de l'eau. Un jour, elles ont vu deux crocodiles qui se suivaient, elles les ont suivis et ils leur ont montré un étang", raconte Pierre. "Les villageois ont organisé une fête pour célébrer et remercier les reptiles". Depuis lors, chaque année, fin octobre, une fête nommée "Koom Lakré" leur est dédiée. Pendant les festivités, les habitants font des sacrifices et demandent aux animaux d'exaucer leur voeux de santé, de prospérité et de bonne récolte.





Deux nouveaux sites, italien et espagnol, classés au Patrimoine mondial de l'Unesco

La Médina Azahara, en Espagne, ainsi que le site industriel Olivetti d'Ivrea, en Italie, ont été ajoutés au Patrimoine mondial de l'Unesco le 01 Juillet 2018
L'Unesco a ajouté dimanche deux nouveaux sites au Patrimoine mondial, a annoncé l'agence des Nations unies réunie à Bahreïn : la Médina Azahara dans le sud de l'Espagne, et la cité industrielle Olivetti de la ville italienne d'Ivrea.

Symbole de la puissance du califat. Cité califale des 10e et 11e siècles, la Médina Azahara est avec l'Alhambra de Grenade, la mosquée de Cordoue et l'Alcazar de Séville - tous trois déjà classés - l'un des joyaux hérités des près de huit siècles d'Al-Andalus, quand les musulmans gouvernaient dans la péninsule ibérique du 8e au 15e siècle. Le site "apporte une connaissance approfondie de la civilisation islamique occidentale d'Al-Andalus, aujourd'hui disparue, au sommet de sa splendeur", justifie l'Unesco dans un communiqué. La Médina Azahara, de l'arabe Madinat al-Zahra ("la ville brillante"), est un héritage du califat de Cordoue. Sa construction a débuté sept ans après que l'émir Abd al-Rahman III s'autoproclama calife en 929. La ville, entourée de murailles, servait de résidence à la cour, qui y organisait de somptueuses fêtes et y recevait les ambassadeurs étrangers, et hébergeait également des bureaux administratifs. La médina a toutefois fonctionné pendant moins d'un siècle, détruite par les guerres qui mirent fin au califat de Cordoue au début du 11e siècle. Les vestiges, oubliés pendant près de mille ans, n'ont été redécouverts qu'au début du 20e siècle.




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Architecture industrielle en Italie. La cité industrielle Olivetti d'Ivrea, dans le nord de l'Italie, a elle aussi été ajoutée dimanche à la liste du Patrimoine mondial. Situé dans la région du Piémont, le site est constitué d'une grande usine, de bâtiments administratifs ainsi que d'édifices consacrés aux services sociaux et au logement imaginés entre 1930 et 1960 par le célèbre entrepreneur, ingénieur et politicien italien Adriano Olivetti (1901-1960). "Conçu par des urbanistes et des architectes italiens de premier plan, cet ensemble architectural reflète les idées du Mouvement communautaire (Movimento Comunità)", explique l'Unesco. "Projet social exemplaire, Ivrea exprime une vision moderne de la relation entre la production manufacturière et l'architecture", ajoute l'agence. La recherche et l'expérimentation étaient une priorité pour Adriano Olivetti qui cherchait à harmoniser le développement industriel avec le respect des droits de la personne et avec la démocratie participative. La cité industrielle devient le 54e site italien inscrit au Patrimoine mondial.


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Les bidounes du Koweït, étrangers dans leur propre pays


Les bidounes du Koweït, étrangers dans leur propre pays
Manifestation de Bidounes à Soulaibiya, à 25 kilomètres
 au sud-ouest de la capitale, Koweït City, le 19 février 2011.


Ils sont un peu plus de 100.000 au Koweït, mais on en trouve aussi en Arabie saoudite et dans les Emirats. Les bidounes sont apatrides dans leurs pays respectifs, car ils ont souvent été oubliés, lors des recensements qui ont suivi les indépendances. Ils sont désormais marginalisés, voire instrumentalisés comme, par exemple, dans la lutte contre l’Etat islamique.
Avec Claire Beaugrand, chercheuse au Centre d’études du Golfe à l’Université d’Exeter, en Grande-Bretagne.

Des catastrophes naturelles touchent le Japon et les États-Unis

Certaines régions du Japon sont frappées par des inondations meurtrières. Et des incendies continuent de ravager la Californie.

Des inondations terribles ont touché les régions d'Hiroshima et de Kyoto, au sud et à l'ouest du Japon. Des glissements de terrain ont piégé les habitants. Près de deux millions d'entre eux ont dû être évacués. Selon un bilan temporaire, au moins vingt personnes sont mortes et des dizaines sont portées disparues. Et aux États-Unis, les incendies ont repris en Californie. Les feux se propagent, notamment en raison de la canicule.





 

Rishikesh, haut lieu mondial du yoga


Des dizaines de milliers d’Occidentaux se rendent tous les ans à Rishikesh, une ville indienne considérée comme la capitale mondiale du yoga. Les Beatles ont largement contribué à sa renommée. Si l’aventure vous tente, voici à quoi vous attendre…


Nichée dans les collines verdoyantes du nord de l’Inde, sur les berges du Gange descendant de l’Himalaya, la ville de Rishikesh, popularisée par les Beatles il y a cinquante ans, reste une destination incontournable pour les adeptes occidentaux du yoga. « Le soleil est pour tous, la lune est pour tous, les rivières sont pour tous, de la même manière le yoga est pour tous », s’enthousiasme le gourou Swami Chidanand Saraswati, cheveux longs et barbe broussailleuse, qui y tient un ashram (retraite) alors que le monde marque ce jeudi la journée internationale de cette discipline antique.

Loin des foules, dans l’ashram Anand Prakash,
 des clients principalement jeunes et étrangers 
viennent pratiquer le yoga
Décrété en 2014 par les Nations unies à l’initiative du Premier ministre indien Narendra Modi, qui voit dans le yoga un levier d’influence culturelle de son pays, cet événement rassemble une nouvelle fois des dizaines de milliers de pratiquants à travers la planète. « Imaginez cela ! Le Premier ministre est allé à l’Onu et a parlé des bienfaits du yoga… Aujourd’hui le yoga est partout »,constate Saraswati, dans son ashram Parmarth Niketan, des assistants prostrés à ses pieds.
À Rishikesh, située à 250 kilomètres au nord de la capitale indienne New Delhi, des légions de touristes étrangers viennent pour les ashrams et écoles de yogas qui ont éclos comme des fleurs de lotus. Un engouement qui n’est pas étranger à la visite de quatre jeunes hommes de Liverpool pendant deux mois en 1968 : les Beatles.



Album blanc
Venus échapper un temps à la fièvre de la « Beatlemania », en quête d’éveil spirituel et d’immersion dans la culture indienne, les « Fab Four » et leurs familles ont séjourné dans l’ashram du Maharishi Mahesh Yogi – dont Ringo Starr est reparti au bout de dix jours, ne supportant pas la cuisine locale. « Ils ont écrit 48 chansons ici. Nombre d’entre elles figurent sur L’Album blanc, l’un de leurs enregistrements les plus populaires », explique Raju Gusain, 47 ans, un journaliste local et fin connaisseur de ce séjour mythique. « La visite a complètement transformé les Beatles. »
Le gourou Swami Chidanand Saraswati.
Le reste du groupe est parti au bout de huit semaines. Le site de leur ashram est à l’abandon depuis 2001, mangé par la végétation. Un programme de restauration et de protection du lieu est actuellement en cours. Le passage des Beatles à Rishikesh a contribué à placer l’endroit sur la carte mondiale du yoga et à la popularisation de la méditation en Occident.
Atta Kurzmann, 68 ans, une Américaine en visite à Rishikesh fait ainsi partie de ceux inspirés par leur exemple à l’époque. Elle travaille désormais comme professeure de yoga aux États-Unis. « Je suis rentrée dans la spiritualité indienne à cause de George Harrison en sachant qu’ils sont venus à Rishikesh. S’intéresser à des niveaux supérieurs de conscience qui n’impliquaient pas de drogues c’est attirant, raconte-t-elle. C’est ce qui m’a fait venir à l’origine en Inde dans ma vingtaine. 
L’ashram fréquenté par les Beatles tombe en ruines.
Aujourd’hui, Rishikesh accueille chaque année de 70 000 à 80 000 touristes étrangers et un grand nombre d’Indiens venus se purifier dans le fleuve sacré, visiter la région ou faire du rafting.

« J’étais déprimé »

Loin des foules, dans l’ashram Anand Prakash, des clients principalement jeunes et étrangers payent 1 050 roupies (13,3 €) par nuit pour le gîte et les repas – végétariens, bien sûr. L’un d’entre eux, le Mexicain Pablo Rueda a décidé de venir pour une semaine après avoir perdu son travail d’ingénieur aérospatial au Canada. « J’étais déprimé et me demandais que faire de ma vie », confie-t-il au sortir du petit-déjeuner, où les convives s’assoient sur le sol et mangent en silence à de petites tables individuelles. « Je voulais pratiquer le yoga, que j’adore, et méditer. »
Recueillement dans les eaux du Gange
La routine de l’ashram est stricte. Le lever à 5 h du matin est suivi par une demi-heure de méditation. Puis les résidents effectuent 90 minutes de yoga sur le toit, pour le lever du soleil, suivies d’une autre demi-heure de mantras (incantations) autour d’un feu avant le petit-déjeuner. Le reste de la journée est libre, consacré à la méditation, la lecture et aux visites du coin. À 18 h, nouvelle session de yoga, puis souper et extinction des feux de bonne heure.

Si on y pratique une discipline austère et pluri-millénaire, l’ashram n’est pas pour autant coupé de la modernité et est même équipé de wifi. « Je continue à regarder Facebook étant donné que j’aime bien partager des photos de mon voyage », reconnaît le voyageur mexicain.
C’est ce jeudi la journée mondiale du yoga. 
Le passage des Beatles à Rishikesh a contribué à placer l’endroit sur la carte mondiale du yoga.

Bientôt des drones pour réparer les routes ?

Une récente étude au Royaume-Uni a montré que le nombre de nids-de-poule sur les routes devenait inquiétant. Pour tenter d'améliorer les routes sans trop d'efforts, une entreprise va tester des drones capables de réparer les routes, grâce à l'impression 3D.

Bientôt des drones pour réparer les routes ?


Ceci pourrait être le futur. L'université de Leeds travaille en effet depuis plus de deux ans sur un projet assez inédit de drone capable de réparer les routes. Le principe est simple : l'engin volant scanne les routes, et dès qu'il détecte une irrégularité ou un nid-de-poule, il envoie un signal à un second drone, plus spécialisé, qui s'approche et vient combler le trou ou la fissure grâce à un système reposant sur l'impression 3D. Et le mieux dans tout ça est que l'opération ne prendra pas plus d'une minute, permettant ainsi d'enchaîner les réparations de bitume facilement.

Le projet, qui devrait durer au total cinq ans, en est donc déjà à la moitié, et nos confrères du Telegraph rapportent que les chercheurs seraient déjà quasiment prêts pour une première phase de tests grandeur nature.

L'enjeu est de taille pour les équipes à l'origine de ce projet puisqu'il sera ainsi possible de refaire les irrégularités de la route en un rien de temps, sans déploiement massif d'hommes et de machines, qui bloqueront évidemment le trafic le temps des travaux. La seule limite, selon les chercheurs, de ces drones serait qu'ils n'iront pas réparer les voies rapides et autoroutes, où la circulation est souvent trop dense, de jour comme de nuit.

Les DRH classent les Ecoles Marocaines et placent HEM au premier rang !


Le Baromètre DIORH - Campus Mag des diplômes marocains est né de l’initiative de Campus Mag, en partenariat avec le Cabinet DIORH - acteur de premier plan dans le conseil en ressources humaines.




Son approche prend un parti-pris fort en s’appuyant EXCLUSIVEMENT sur le point de vue des employeurs. Un questionnaire a donc été soumis à un panel de DRH et a porté sur 2 grandes dimensions : le classement de notoriété et le classement critériel (excellence technique, capacité d’intégration des lauréats, adaptabilité, aisance de communication & capacités de réflexion).

Les résultats du Baromètre DIORH - Campus Mag 2017 confirme la place de HEM comme Business School privée N°1 au Maroc aussi bien dans le classement global que dans le classement de notoriété.




Samia TERHZAZ, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Abderrahmane FARAJ, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Khalid Debbarh, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Bissane Lamrani, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Badr Benyoussef, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Meriem BORJA, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Aziz HORANI, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc


Younes AATIF, HEM, Ecole de commerce - gestion - management, ingénieur – informatique, n°1 au Maroc