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La prise de certains médicaments associée à un risque accru de démence

La prise de médicaments dits anticholinergiques est associé à un risque accru de démence, d'après des chercheurs britanniques (photo d'illustration)
 La prise de médicaments dits anticholinergiques est associé
 à un risque accru de démence, d'après des chercheurs britanniques.


D'après une étude réalisée par des chercheurs britanniques sur 300 000 personnes au Royaume-Uni, certains médicaments dits anticholinergiques pourraient favoriser un risque accru de démence.
La prise de médicaments dits anticholinergiques, utilisés dans des cas de dépression ou d'incontinence, est associé à un risque accru de démence, selon des chercheurs britanniques, qui insistent toutefois sur l'impossibilité de conclure à un lien de cause à effet.
L'étude, parue dans la revue médicale BMJ, porte sur plus de 300 000 personnes au Royaume-Uni. Les personnes souffrant de démence étaient 30 % plus susceptibles que les autres d'avoir pris des médicaments anticholinergiques pour traiter des dépressions, des symptômes de la maladie de Parkinson ou une incontinence, dans une période comprise entre quatre et vingt ans avant le diagnostic.

Aucune « certitude » que le « traitement » en soit la « cause »

Même si l'étude montre un lien entre les deux, « ce que nous ne savons pas avec certitude, c'est si le traitement est la cause » de la démence, a nuancé l'un des auteurs de l'étude, George Savva, de l'université d'East Anglia.
Ce lien « pourrait aussi s'expliquer par le fait que ces traitements sont prescrits pour des symptômes très précoces indiquant l'apparition d'une démence », a-t-il poursuivi.
Les auteurs de l'étude estiment que les médecins devraient éviter de prescrire des médicaments anticholinergiques sur le long terme aux patients les plus âgés. Pour autant, ils appellent les patients qui prennent ces traitements à ne pas les interrompre d'eux-mêmes sans en avoir parlé à leur médecin.

« Plus de 50 millions de personnes souffrent de démence dans le monde »

Les médicaments anticholinergiques agissent en bloquant des mécanismes nécessaires aux impulsions nerveuses et sont utilisés pour combattre certains mouvements musculaires involontaires, dans le cas de l'incontinence ou de la maladie de Parkinson, par exemple.
Certains d'entre eux peuvent également être indiqués dans des cas de dépression, de maladies pulmonaires chroniques ou d'asthme.
« Plus de 50 millions de personnes dans le monde souffrent de démence et on estime que ce nombre pourrait monter à 132 millions d'ici 2050. C'est pourquoi mettre au point une stratégie pour prévenir ce phénomène est une priorité mondiale », selon George Savva.
En 2015, une étude américaine avait déjà établi un lien entre la prise de médicaments anticholinergiques à haute dose ou pendant de longues périodes et les démences (au premier rang desquelles la maladie d'Alzheimer).

 

IOURI BOUIDA, GRAND ROMANCIER RUSSE

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Louri Bouïda est né en 1954 dans la région de Kaliningrad. Après ses études secondaires et universitaires, il travaille pendant dix-sept dans le journalisme. En 1991 il se fixe à Moscou où il gagne sa vie comme correcteur aux éditions Kommersant.

La vie des migrants russes installés, après la déportation des allemands, dans « l’enclave de Kaliningrad » en Prusse orientale et leurs efforts pour s’y intégrer forment le sujet de son premier livre La Fiancée prussienne, paru en 1998 et depuis traduit en anglais, en français (La Fiancée prussienne, Gallimard, 2005, traduction Sophie Benech), en estonien, polonais, hongrois, etc.
Son roman Le Train zéro, d'abord paru en France (Gallimard, 1998) et en Grande-Bretagne, n’a été publié en Russie que plus tard. C’est, sous la forme d’une parabole, la peinture violente d’une société déformée et dégradée par le totalitarisme, impuissante à réagir.


Iouri Bouïda est aussi l'auteur de Yermo (1996), Le troisième cœur (2008, traduction française sous le titre Potemkine ou le troisième coeur 2012), Le Sang bleu (2011). Son art novateur, qui associe le familier et l’incongru, culmine dans la forme brève (en français : « Épître à madame ma Main Gauche », traduction Sophie Benech, publié chez Interférences, Paris, 2010).
Ses livres ont été traduits et publiés en France, en Angleterre, en Pologne, en Estonie, en Norvège, en Hongrie, en Slovaquie, en Turquie. Bouïda est lauréat du prix Apollon Grigoriev (1998), des prix des revues «Znamia» (1995, 1996, 2011) et «Oktiabr'» (1992), et du Grand Prix du livre pour son roman Le sang bleu (2011).


SES OEUVRES & ÉVÉNEMENTS :

  • POTEMKINE OU LE TROISIÈME COEUR


Potemkine ou le troisième coeur

  • Éditeur : Gallimard (Editions)
  • Parution : 
Quelques années après la fin de la Première Guerre mondiale, des dizaines de milliers de Russes ayant fui la révolution bolchévique sont installés en France. Fiodor Zavalichine, aussi appelé Théo, en fait partie, mais contrairement à beaucoup de ses compatriotes il a plutôt réussi son intégration, et son travail de photographe lui permet de vivre correctement. Sa vie se déroule sans accrocs jusqu'au jour où il se rend dans une salle de cinéma parisienne pour assister à une projection du chef-d'oeuvre d'Eisenstein, Le Cuirassé Potemkine. Nous sommes en novembre 1926, et quand il découvre sur grand écran la reconstitution impressionnante de ce massacre dans le port d'Odessa, sa vie bascule. Car en 1905, il avait pris part en tant que militaire à la répression de la mutinerie au sein de la flotte russe, sans avoir conscience de la gravité des faits. Maintenant, en voyant les images de ce film mythique, il est soudainement convaincu d'avoir participé à un crime… Il se précipite au commissariat le plus proche pour faire des aveux - dont la police française ne sait que faire - puis essaie de soigner ses remords et sa culpabilité dans un hôpital psychiatrique. C'est là qu'il apprend dans les journaux le récit d'un horrible fait divers : sept femmes sont retrouvées égorgées dans une fosse commune à Deauville. Il attribue sans hésitation ce massacre à son ancien compagnon d'armes et grand mutilé, Ivan Domani, pour qui il avait justement accepté de faire des photos érotiques de sept jeunes créatures. Débute alors pour Théo un long périple chaotique, entre violence et rédemption, qui mettra notamment une jeune fille appelée Mado sur sa route… Potemkine ou Le troisième coeur est un livre stupéfiant, qui nous confirme plus que jamais que Iouri Bouïda occupe une place de choix dans la grande tradition littéraire russe. Traduit du russe par Sophie Benech.

  • LE TRAIN ZÉRO

  • Éditeur : Gallimard (Editions)
  • Parution : 
Une gare perdue au fin fond de la Russie, dans la boue, le froid, les relents de chou et de vodka. Et toutes les nuits, un train qui passe… Nul ne sait d'où il vient, où il va, ni ce qu'il transporte. Dans ce no man's land isolé du reste du monde vivent des gens qui aiment, espèrent, tuent et meurent, empoisonnés par l'attente d'une réponse qui ne vient jamais, par un mystère qu'il leur est interdit de chercher à connaître sous peine de mort. Il est difficile de qualifier ce récit court et puissant: trop cru, trop réaliste pour être une simple parabole, c'est pourtant du destin de la Russie et du destin de l'homme qu'il nous parle. Tout en plongeant le lecteur dans un monde concret de terre, de fer, d'odeurs, de bruits, de chair et de sang, il relève de la même veine mythique que Le Désert des Tartares et débouche insensiblement sur une dimension tragique qui nous dépasse. Traduit du russe par Sophie Benech.

  • LA MOUETTE AU SANG BLEU

La mouette au sang bleu

  • Éditeur : Gallimard (Editions)
Ida Zmoïro avait connu la gloire très jeune, dès sa première apparition au cinéma. La Seconde Guerre mondiale sévissait alors et les soldats soviétiques avaient été bouleversés par cette beauté juvénile portée à l'écran. Des sacs entiers de lettres d'amour lui parvenaient depuis le front, elle était la plus grande comédienne que l'Union soviétique connaîtrait. Mais en 1943, alors qu'Ida est en route vers un tournage, un terrible accident de voiture met brusquement fin à sa carrière : la splendide actrice est défigurée. 
Si elle remonte sur scène pour jouer La Mouette de Tchékhov, elle s'exile bientôt en Angleterre où elle passera plusieurs années avant de revenir en Union soviétique grâce à l'intervention de Staline, qui lui interdira pourtant de rentrer à Moscou ; elle finira par s'installer dans la petite ville de Tchoudov. Il est trois heures du matin lorsque Ida Zmoïro, à présent âgée de quatre-vingt-cinq ans, se traîne jusqu'au commissariat avant de s'effondrer. 
Sa mort inexpliquée intervient quelques jours seulement après la disparition de plusieurs «colombes», ces jeunes filles qui suivent les cortèges funèbres, un oiseau au creux des mains. Ida les connaissait bien, elle leur enseignait la danse, leur apprenait à se coiffer, à s'habiller et à se maquiller. Mais qui pourrait s'en prendre aux «colombes» et à la belle actrice au sang bleu ? Ce sang bleu et froid qui est la marque des plus grandes, ce sang bleu «qui oblige l'artiste à considérer son ouvrage d'un oeil critique, à supprimer le superflu et à rajouter l'indispensable». 
A travers cette enquête, Iouri Bouïda nous livre un récit foisonnant de destins violents, parfois déchirants, qui s'entrecroisent autour de la tragédienne au visage balafré. La mouette au sang bleu est un roman sombre et puissant, un texte construit avec maîtrise dans la grande tradition romanesque russe.

  • VOLEUR, ESPION, ASSASSIN

Voleur, espion, assassin


  • Éditeur : Gallimard
  • Parution : 
"Dans la vie, il n'y a pas de tragédies, il y a soit de l'amour, soit le vide. Et pour comprendre la vie des autres, il faut avoir vécu la sienne". Narrateur dans la plus belle tradition russe, intellectuel averti et fin connaisseur des vicissitudes soviétiques, Iouri Bouïda nous livre avec Voleur, espion et assassin une autobiographie d'envergure. De son enfance d'après-guerre dans la région de Kaliningrad jusqu'aux premiers bouleversements de la perestroïka, Bouïda n'évoque jamais la violence et la désolation du quotidien sans recours au burlesque : des toilettes gelées, de l'érotisme au milieu de ruines teutoniques et des discours que plus personne n'écoute. 
Puisque la plupart des autres préfèrent la vodka, notre héros monte rapidement l'échelle sociale. Il devient membre du Parti communiste, rédacteur en chef d'un quotidien au fin fond de la campagne, puis chargé de la communication au comité régional du Parti. C'est l'écriture qui va le sauver, même s'il doit s'y reprendre à plusieurs fois avant de saisir ce que sa grand-mère lui disait avant sa mort : "La liberté, c'est toi. 
Seulement, n'oublie jamais que la prison aussi, c'est toi". Né après la mort de Staline, marqué par un système politique et social en déclin, Bouïda dresse le portrait d'une société aussi défaillante que débrouillarde, aussi cruelle que capable de tendresse. Voleur, espion et assassin nous parle du courage individuel, de l'intégrité malgré tout, et d'une joie de vivre indéfectible.

  • YERMO

Yermo 
  • Éditeur : Gallimard
  • Parution : 
La vie de l'écrivain américain George Yermo forme une extraordinaire matière romanesque. Né Guéorgui Yermo-Nicolaïev, en 1914, à Saint-Pétersbourg dans une famille de la grande aristocratie russe, il est élevé à New Salem en Nouvelle-Angleterre, sous le signe de Melville, d'Emily Dickinson et d'Henry James, tous originaires de cette région encore empreinte des valeurs puritaines des fondateurs des Etats-Unis. Après de brillantes études, une déception amoureuse le pousse à devenir correspondant pendant la guerre d'Espagne. Puis, au début des années cinquante, c'est la visite du palazzo de la famille Sanseverino à Venise qui changera le cours de son existence. ‘Yermo’ est une vaste réflexion sur la création, et un très bel hommage à Nabokov.

  • LA FIANCÉE PRUSSIENNE

La fiancée prussienne

  • Éditeur : Gallimard
  • Parution : 
Les nouvelles de Iouri Bouïda rassemblées ici explorent toutes ce territoire situé entre la Vistule et le Niémen qui fut autrefois la Prusse orientale. Le mythe d'un passé glorieux a laissé des traces dans la région de Kaliningrad, l'ancienne Königsberg, mais le quotidien de ses habitants est froid, noir et violent. La misère matérielle et affective est partout, et la violence n'est pas seulement physique. Le ton du présent recueil, dédié à la mémoire d'un territoire, est donc résolument tragique. Mais ces trente nouvelles - traversées par plusieurs personnages récurrents et que l'on peut donc lire comme un roman - nous font également penser au romantisme de E.T.A. Hoffmann, la démesure russe en plus.

CHRONIQUES & ANECDOTES, Salon du livre

  • ‘La fiancée prussienne’ était l’un des romans mis à l’honneur lors du 25e Salon du livre de Paris en mars 2005.

Automobile : Bosch annonce une « révolution » dans la technologie diesel

Le groupe a mis au point un système qui permet de réduire les émissions d’oxydes d’azote à un niveau jusqu’à dix fois inférieur aux normes qui entreront en vigueur en 2020. 

Test de la nouvelle technologie diesel conçue par Bosch, à Stuttgart, le 17 avril.
 Test de la nouvelle technologie diesel conçue par Bosch,
à Stuttgart, le 17 avril. 

Les chiffres semblent trop beaux pour être vrais. Mercredi 25 avril, Bosch, premier sous-traitant automobile du monde, a annoncé une avancée technologique majeure sur le moteur diesel : le système mis au point par ses ingénieurs permet de réduire les émissions d’oxydes d’azote (NOx) à un niveau jusqu’à dix fois inférieur aux normes qui entreront en vigueur en 2020 et ce, en situation de conduite réelle.
Pour convaincre les observateurs méfiants, après des mois de polémiques et de scandales sur le diesel, Bosch les a invités à conduire un véhicule équipé du nouveau système à travers un parcours dans Stuttgart et ses collines à une heure de pointe. Les résultats sont impressionnants : quels que soient l’heure et le type de conduite, les valeurs enregistrées par le dispositif de contrôle des gaz d’échappement tiré par la voiture se situent sous les 40 mg de NOx par kilomètre, soit bien en deçà des 168 mg actuellement exigés par la législation.

Coût minimal
Selon les ingénieurs qui ont participé au développement, le nouveau système n’implique pas de nouvelle pièce coûteuse, il repose essentiellement sur une meilleure organisation du moteur et sur l’intégration plus intelligente de pièces déjà disponibles en série. Le coût supplémentaire de ce système est minimal, assure le groupe, il peut être immédiatement intégré aux véhicules de norme Euro 6. « Nous voulons mettre un terme, une fois pour toutes, au débat sur le diesel », affirme Volkmar Denner, président du directoire du groupe, qui insiste sur l’avantage de cette motorisation en matière d’émissions de CO2, qui seraient inférieures de 15 % à celles d’un véhicule essence.
Selon le groupe, une centaine d’ingénieurs travaillent depuis cinq ans à l’élaboration de cette solution. Et le groupe veut aller encore plus loin : grâce à l’intervention de l’intelligence artificielle, le moteur à explosion pourrait, à terme, n’avoir plus aucune incidence sur la qualité de l’air.  

Le tueur en série du "Golden State" écroué après 40 ans d'enquêtes.

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Joseph James DeAngelo a été arrêté après avoir terrorisé l'Amérique. Pendant les années 70 et 80, l'homme, surnommé le "tueur du Golden State", a violé une cinquantaine de personnes et en a assassiné douze, en plus de 120 cambriolages.

C'était l'un des hommes les plus recherchés d'Amérique, qui a mystérieusement échappé aux autorités pendant quarante ans. Pendant les années 70 et 80, le "tueur du Golden State" a violé une cinquantaine de personnes et en a assassiné douze, en plus de 120 cambriolages. Après avoir terrorisé la Californie et horrifié l'Amérique, Joseph James DeAngelo, un ancien policier, vient d'être arrêté mercredi dans la nuit, le moment où il commettait la plupart de ses forfaits.

Appelé le "tueur du Golden State", d'après le surnom de la Californie, ou encore "le tout premier harceleur nocturne", il a été retrouvé par analyse d'ADN près de Sacramento, la capitale californienne où se sont déroulés le plus grand nombre de ses crimes. Il y vivait paisiblement dans un beau quartier, selon les autorités. "Mardi, un mandat d'arrestation a été déposé" à l'encontre de Joseph James DeAngelo, et des chefs d'accusation de meurtres et viols avec circonstances aggravantes ont été déposés dans plusieurs comtés de Californie, l'Etat le plus peuplé des Etats-Unis, a indiqué la procureure de Sacramento, Anne Marie Schubert, lors d'une conférence de presse.

Victimes âgées de 14 à 41 ans

"Nous avons trouvé l'aiguille dans la botte de foin. Et elle était ici, dans le district de Sacramento", a-t-elle ajouté. DeAngelo est suspecté d'avoir commis 12 meurtres, environ cinquante viols et 120 cambriolages en Californie entre 1976 et 1986, selon le FBI. Il risque désormais de finir ses jours en prison. L'âge de ses victimes allait de 14 à 41 ans. La plupart de ses crimes avaient eu lieu aux alentours de Sacramento, mais certains s'étaient déroulés dans la baie de San Francisco, et tout au sud de la côte californienne, jusque dans le comté d'Orange.

Il entrait par effraction la nuit chez ses victimes, les attachait, puis les violait. Les deux premiers meurtres ont eu lieu en février 1978. "Tout le monde avait peur", "certains dormaient avec un fusil, d'autres achetaient un chien", explique l'agent du FBI Marcus Knutson sur le site de la police fédérale. Joseph James DeAngelo a été policier en Californie dans les années 70, renvoyé pour vol à l'étalage. Autre révélation détonante: "il est possible qu'il ait commis ces crimes lorsqu'il était employé en tant qu'agent de police", a déclaré le shérif de Sacramento Scott Jones lors de la conférence de presse, ajoutant que les autorités tentaient de déterminer si c'est le cas ou non.

"Il est temps pour toutes les victimes de respirer et (...) de mettre fin à l'anxiété dont elles ont souffert ces quarante dernières années" et "de guérir", a déclaré Bruce Harrington, la voix tremblante, lors de la conférence de presse. Son frère et sa belle-soeur ont été assassinés en 1980 chez eux, et Joseph James DeAngelo est suspecté d'être leur meurtrier. L'enquête devenue "froide" pendant des décennies a bénéficié d'un retournement spectaculaire lors des six derniers jours, a souligné Mme Schubert, sans donner plus de détails.

Deux millions de profils

Le shérif a fait valoir que la frustration des autorités face à leur incapacité à trouver ce tueur et violeur en série pendant si longtemps a largement joué dans le développement d'une base de données californienne d'ADN qui comporte maintenant "deux millions de profils". Le "Golden State Killer" était le sujet du livre de l'écrivaine américaine Michelle McNamara, "Et je disparaîtrai dans la nuit", publié cette année et qui va être adapté en docu-série par HBO.

Le shérif Jones, interrogé sur le rôle qu'a pu jouer cet ouvrage dans le rebondissement de l'enquête, a dit qu'il n'avait pas eu d'impact tout en reconnaissant qu'il a braqué de nouveau les projecteurs sur ces crimes non résolus et avait entraîné "un flot d'informations" aux autorités. Patton Oswalt, époux de Michelle McNamara, décédée sans avoir pu voir la capture du tueur présumé, a écrit sur Twitter que "s'ils ont vraiment capturé le tueur du Golden State, j'aimerais lui rendre visite. Pas pour faire le fier ou me stupéfier, mais pour lui poser les questions" auxquelles sa femme "voulait le voir répondre".

Les pires aliments pour le foie

Même si votre foie est en bonne santé, certaines habitudes alimentaires peuvent endommager son fonctionnement. Certains aliments et boissons sont à consommer avec modération pour
préserver l’état de cet organe.




Le foie est un organe du système digestif. Il y est connecté via la veine porte, qui apporte au foie du sang chargé en substances issues de la digestion. Les cellules du foie absorbent ces substances et les traitent de différentes façons selon leur nature : elles vont organiser le stockage des nutriments et au contraire la dégradation des toxines. Le foie est également chargé de fabriquer la bile nécessaire à la digestion des graisses. C’est pourquoi notre nourriture peut avoir un impact sur la santé du foie. Mais entre aliments et santé du foie, c’est souvent une question de quantité. La clé d’un bon fonctionnement hépatique est donc de consommer avec modération les aliments mauvais pour le foie.

Les lasagnes : une inflammation du foie

Les plats qui contiennent du fromage ou des sauces à base de produits laitiers associent généralement des glucides (des sucres) et des protéines. A haute température, comme lors d’une cuisson au four ou d’une cuisson industrielle, ce mélange est le siège d’une réaction chimique appelée réaction de Maillard. Cette réaction, qui confère notamment à la viande son bon goût rôti, correspond en réalité à la formation d’acrylamides, des radicaux libres à l’origine d’une inflammation du foie.




Les aliments concernés sont par exemple les gratins, les tourtes ou les lasagnes qui associent viande, béchamel et fromage. Consommez-les avec modération.


La viande : pas plus de 500 grammes par semaine.





La viande hors volaille, c’est-à-dire le bœuf, le veau, le porc, l’agneau… constitue un risque pour le foie quand elle est consommée en excès. En effet, les graisses de la viande ont besoin de bile pour être digérées. Comme c’est le foie qui fabrique la bile, la digestion de quantités importantes de viande représente une surcharge de travail pour cet organe. De plus, la graisse consommée en excès s’accumule dans les cellules du foie et augmente le risque de dyslipidémie telle que l’excès de cholestérol et de triglycérides.

Une consommation maîtrisée de viande hors volaille (bœuf, veau, porc, agneau, etc.), ne devant pas dépasser 500 g par semaine. S’en tenir à cette limite supérieure protégera votre foie.

Et la charcuterie ? La charcuterie n’est désormais plus considérée comme une viande. Il ne faut pas en consommer plus de 150 grammes par semaine.




Le jambon blanc est l’aliment de ce groupe à privilégier.





Les frites : "Un des pires aliments"




Les aliments qui combinent des mauvaises graisses – saturées et polyinsaturées – cuites à température élevée et des glucides (des sucres) sont difficiles à digérer et fatiguent le foie.. Les aliments frits, tels que les frites qui associent de l’huile de cuisson et le sucre contenu dans les pommes de terre sous forme d’amidon, en sont un bon exemple. Les frites sont en réalité l’un des pires aliments car elles ne sont pas seulement mauvaises pour le foie : elles favorisent également l’excès de cholestérol et nuisent à la bonne santé cardiovasculaire.
Le problème réside principalement dans la consommation excessive de ces aliments car c’est lorsque la quantité de graisse consommée est trop élevée par rapport aux besoins du corps que les cellules du foie sont surchargées.
Consommez les aliments frits de manière très occasionnelle. Attention surtout au piège des restaurations collectives où l’on pourrait facilement se laisser tous les jours tenter par le célèbre steak-frites.

Les pâtisseries industrielles : un danger à long terme



Les aliments qui contiennent du sucre ajouté en excès représentent dans un premier temps un problème pour le pancréas. Mais, à long terme, quand le pancréas fatigue, le foie fatigue aussi
Consommez avec modération les aliments sucrés tels que les pâtisseries et les viennoiseries, notamment celles qui sont industrielles car elles combinent des mauvaises graisses industrielles cuites à des températures élevées et du sucre, un mélange délétère pour la santé.

Le café : pas plus de deux tasses par jour


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L’impact de la consommation de café sur le foie dépend de la quantité mais aussi de chaque personne. En effet, le café contient de la caféine et chacun y est plus ou moins sensible.Pour un foie en bonne santé, le café ne pose généralement pas de problème quand on adopte une consommation modérée d’environ deux tasses par jour.

Les sodas, un risque de maladie du "foie gras"

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 Le fructose est un sucre qui, dans certaines conditions, représente un risque pour le foie. On ne parle pas ici du fructose contenu naturellement dans les fruits car, dans ce cas, le fructose est lié aux fibres du fruit. Il est donc transformé dans l’intestin et ne cause pas de dommage sur le foie. Le fructose qui doit alerter est celui ajouté aux boissons et aux aliments industriels, notamment sous l’appellation 'sirop de glucose-fructose'. Ce type de fructose est alors présent en trop grande quantité pour être uniquement transformé dans l’intestin et le sera donc dans le foie. Dans cet organe, il est converti en graisse, elle-même stockée dans les cellules du foie. Cette situation augmente le risque d’excès de cholestérol mais aussi de maladie du foie gras, également appelée stéatose hépatique. Or la maladie du foie gras peut évoluer en fibrose, en cirrhose voire en cancer du foie si elle n’est pas traitée.
Limitez votre consommation d’aliments qui contiennent du sirop de glucose-fructose. Pour cela, lisez bien les étiquettes, notamment celle des sodas, des limonades, des chocolats industriels et des viennoiseries industrielles.

Les boissons alcoolisées : toxiques pour le foie


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Les boissons alcoolisées contiennent de l’alcool (de l’éthanol) qui, une fois ingéré, est principalement transformé par le foie. C’est en effet dans les cellules du foie que l’éthanol est converti en acétaldéhyde, un composé hautement toxique qui altère le fonctionnement des cellules, notamment des cellules hépatiques. 
À noter : Le foie est d’autant plus agressé par l’éthanol que la quantité de boissons alcoolisées consommées est élevée et que l’absorption est réalisée sur un temps court. 
On ne saurait trop le répéter : l’alcool est à consommer avec modération ! L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a ainsi fixé une limite supérieure de 14 verres par semaine (soit 2 verres/jour maximum) pour une femme et de 21 verres par semaine pour un homme, seuil au-delà duquel la consommation d'alcool devient dangereuse pour la santé, et pas seulement pour le foie. Un verre standard d’alcool correspond à 2,5 centilitres (cl) d’alcool fort à 45° ou 7 cl d’alcool à apéritif à 18° ou 25 cl de bière à 5° ou 12 cl de vin à 12,5°.

Cheddar Man, le plus vieux britannique, n’était pas un homme blanc, mais noir est considéré aujourd’hui comme l’ancêtre des britanniques.

Le plus vieux britannique n’étais pas blanc, mais noir avec des yeux bleus. C’est le résultat d’un test ADN mené par des spécialistes sur les squelettes de Cheddar Noir, considéré aujourd’hui comme l’ancêtre des britanniques.




Une découverte inédite. Des tests d’ADN ont démontré que le Cheddar Man, le vieux britannique, n’était pas blanc, mais noir. L’homme est âgé de 10 000 ans. C’est en tout cas les conclusions d’un test ADN qui ajoute le Cheddar Man avait des yeux bleus et des cheveux bouclés.
Pour Mark Thomas, scientifique à l’Université de Londres, il n’y a rien de surprenant. « Cela surprendrait le public, mais pas les généticistes », explique Thomas Thomas. Le test a été mené par le Centre Natural History Museum. Le Centre a commenté le test ce mercredi février 2018.

« Ils avaient une peau noire et beaucoup d’entre eux avaient des yeux colorés ».
Tom Booth, chercheur britannique ayant participé au projet, nous en dit un peu plus. « Jusqu’à récemment, on a défendu l’idée que les humains ont adopté une peau plus claire après leur entrée sur le sol européen il y a 45 000 ans. La peau claire permet d’absorber la lumière UV et permet d’éviter la carence en vitamine D dans des pays moins chauds ».
Tom ajoute : « c’est juste une seule personne, mais qui donne des idées sur la population européenne de l’époque. Ils avaient une peau noire et beaucoup d’entre eux avaient des yeux colorés, bleus ou verts et avaient des cheveux châtains foncés ». Pour Tom, il est évident que les préjugés raciaux sont récents.

« Cheddar Man aurait plus de 10 000 ans »

« Cette découverte nous montre que les catégories raciales imaginaires que nous avons aujourd’hui sont des constructions très modernes, ou des récentes constructions, qui n’étaient vraiment pas applicables dans le passé », a-t-il souligné. Les squelettes de Cheddar ont été découverts en 1903 dans un lieu portant le même nom (Cheddar).

Qui était-il ? Cheddar était un chasseur. Il était noir aux yeux bleus et serait mort à ses 20 ans. D’après certains, il aurait 40 000 voire 80 000 ans. Le média The Guardian nous apprend que Cheddar serait originaire du Moyen-Orient. Ses parents avaient quitté l’Afrique pour se rendre au Moyen-Orient avant de prendre la route vers l’Europe, en traversant le Doggerland qui reliait la Grande-Bretagne à l’Europe. De nos jours, d’après The Guardian, seuls 10% des Britanniques appartiennent à cette population.

Trois trous dans l’Arctique intriguent la Nasa



La Nasa a découvert trois trous mystérieux dans la mer de Beaufort, au nord du Canada. Ces trous dans la banquise, visibles du ciel, intriguent les spécialistes de l’agence spatiale américaine qui ignorent comment ils ont pu se former.

De mystérieux trous ont été découverts dans les glaces arctiques au cours d’une mission de la Nasa. En survolant la mer de Beaufort au nord du Canada, à l’embouchure du fleuve Mac Kenzie, des spécialistes de l’agence spatiale américaine ont pris d’intrigantes photos de la banquise, le 14 avril dernier.



« Je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà vu ça quelque part », explique au Washington Post, John Sonntag, le scientifique responsable de la mission Icebridge. Pour le moment, les spécialistes ignorent les origines de ces trous. Ils sont notamment intrigués par leur forme circulaire. Ils supposent que des glaces sont entrées en collision pour former ce relief découpé. Un autre fait qui attesterait de la fragilité de la glace est la couleur grise qu’elle a, ce qui prouve que la couche de neige n’est pas très épaisse.

Des phoques ou le réchauffement climatique ?

Dans le journal américain, un spécialiste évoque l’hypothèse de phoques. « Il est possible que les cercles autour des trous sont dus à l’accumulation d’eau ramenée par les phoques quand ils montent à la surface au cours de leur partie de chasse. On a déjà vu ça au Groenland notamment », explique Walt Meier, scientifique au Centre national de données de la neige et des glaces des États-Unis.




Autre possibilité, les trous sont l’une des conséquences du réchauffement climatique. Ils pourraient être causés par des courants chauds. « L’eau est généralement peu profonde dans cette zone, explique Chris Shuman glaciologue à l’Université du Maryland qui travaille pour la Nasa. Il est possible que des sources d’eaux chaudes ou des bouffées d’eau souterraines venant de la montagne fragilisent la couche de glace dans cette zone. »
La Nasa poursuit son enquête.

La position dorsale est la meilleure position pour dormir

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Sur le ventre, sur le dos, sur le côté, en boule, en étoile de mer... Pas toujours facile de trouver la position qui nous sied quand on tombe dans les bras de Morphée. Mais rassurez-vous : les scientifiques ont trouvé la meilleure position pour dormir.
Quand vient l'heure de s'endormir, vous vous retournez pendant des heures dans l'espoir de trouver la bonne position. Quand vous l'avez trouvée et que vous parvenez à tomber paisiblement dans le sommeil, vous vous dites que passerez forcément une bonne nuit. Pourtant, vous vous réveillez le lendemain fatiguée, mal fichue, et parfois avec le dos légèrement endolori. Et oui, car même avec une température optimisée, un matelas confortable et un bon oreiller, il arrive que vous connaissiez une nuit agitée. D'ailleurs, la meilleure position n'est pas toujours celle que l'on pense, ni la plus confortable.
Alors, quelle est cette fameuse position idéale ? D'après les scientifiques, dormir sur le dos en maintenant les bras le long de notre corps serait la meilleure posture. Pourtant, seuls 8% de la population adoptent cette position. Il faut dire que dormir sur le dos s'avère bien moins confortable qu'en position fœtale, même si les médecins déconseillent d'adopter cette position lorsqu'on tombe dans les bras de Morphée. Mais quels sont les bienfaits de dormir sur le dos au juste ?

Prévenir les douleurs au niveau du dos
Dormir sur le dos présente de nombreux avantages, car il permet notamment de prévenir les douleurs au niveau du cou et du dos. Cette position reste la meilleure option pour la gestion de la douleur dorsale et pour éviter les brûlures d'estomac. En effet, le fait de dormir sur le ventre appuie sur l'estomac exerce une pression sur l'ensemble de leur corps, ce qui peut provoquer des engourdissements et des picotements. De plus, le fait de tourner la tête d'un côté ou d'un autre pendant la nuit pour mieux respirer contribue à augmenter les risques de souffrir de douleurs au niveau des muscles du cou et des articulations.
Pour optimiser un maximum votre posture, calez l'oreiller contre le mur afin de relever légèrement votre tête. Si le caractère inconfortable de la position vous rebute un peu, vous devriez toutefois vite vous y faire. 
En effet, notre mémoire musculaire permet de procurer une sensation de confort à notre corps après seulement quelques nuits passées à dormir sur le dos.

Une passagère Américaine ne déclare pas sa pomme à la douane, a écopé 500 $ d’amende



De retour de Paris, une passagère américaine a écopé d’une amende salée à la douane. Son tort ? Avoir mis dans son sac et emporté avec elle une pomme qui lui avait été offerte par une hôtesse de l’air durant le vol.
Crystal Tadlock rentrait d’un séjour à Paris à bord d’un vol de la compagnie aérienne américaine Delta. Durant le trajet, une hôtesse de l’air est passée dans les rangs pour distribuer gratuitement des pommes aux passagers. L’Américaine n’ayant pas très faim à ce moment-là, a préféré garder le fruit pour la dernière partie de son voyage, vers Denver (Colorado). Mais à son arrivée sur le sol américain, la passagère a subi un contrôle aléatoire d’un douanier. En regardant dans son sac, l’agent est tombé sur la pomme qui se trouvait toujours dans son sachet d’origine fourni par Delta.

Le cynisme de l’intransigeant douanier
Il a alors demandé à Crystal si son voyage dans la capitale française lui avait coûté cher. Interloquée par la question, l’Américaine s’est contentée d’un laconique : « yes. » « Eh bien il sera encore plus cher une fois que je vous aurai fait payer 500 dollars », lui aurait rétorqué le douanier. Crystal a désespérément tenté d’échapper à l’amende. Elle a demandé à son interlocuteur si elle pouvait simplement jeter le fruit ou le manger. En vain. L’agent n’a rien voulu savoir et lui a infligé la prune.
L’Américaine ne décolère pas depuis sa mésaventure. Elle l’a raconté à la chaîne de télévision KDVR (filiale de la FOX), qui a relayé l’histoire. Elle est surtout très remontée contre la compagnie Delta, qui n’a pas sensibilisé ses passagers aux risques d’emmener avec soi de la nourriture distribuée dans l’avion. « C’est vraiment déplaisant d’être traitée comme une criminelle pour un simple fruit qui plus est offert par la compagnie aérienne durant le vol… », déplore-t-elle.
De son côté, la compagnie aérienne a réagi à l’affaire en se contentant de conseiller à ses clients de « se conformer aux politiques et aux exigences des douanes et de la protection aux frontières ». La douane américaine a, de son côté, rappelé que « tout article issu de l’agriculture doit être déclaré » et que les amendes peuvent atteindre 1 000 dollars. Crystal, elle, veut désormais intenter une action en justice. Elle n’apprécie guère d’avoir été pris pour une pomme…

Le corps du Chah d'Iran enfin retrouvé ?

Le corps du Chah d'Iran aurait-il enfin été retrouvé ? Au cours de travaux d'agrandissement d'un sanctuaire islamique, un squelette momifié sur le site d'une ancienne tombe du Chah aurait été découvert. Depuis la révolution de 1979 et les destructions des autorités islamiques qui avaient notamment visé la tombe de Reza Chah Pahlavi, la dépouille de l'empereur était introuvable. C'est le directeur du Comité du patrimoine culturel et du tourisme du Conseil de Téhéran Hassan Khalilabadi qui l'a annoncé ce lundi 23 avril à l'agence de presse officielle Irna, relayée par plusieurs médias dont Le Parisien. Mais pour le bureau de presse du sanctuaire Abdol Azim, il ne s'agirait que d'une rumeur. "La zone entourant le sanctuaire était auparavant un cimetière. Découvrir un corps dans cette zone est donc naturel" a expliqué son directeur des relations publiques, Mostafa Ajoorloo, cité par l'agence de presse semi-officielle Isna. Rien de sûr donc pour le moment. "Cela sera examiné par les organes responsables", précise à l'agence Irma le Conseil de Téhéran, laissant ainsi le mystère entier.

Le maire paraplégique a dompté le mur d’escalade

Les conseils de Michel Plesse, l’entraîneur local, à Yann Jondot.
Les conseils de Michel Plesse, l’entraîneur local, à Yann Jondot. 

Du Kilimandjaro au mur d’escalade du palais des sports, Yann Jondot, maire de Langoëlan (Morbihan), poursuit un combat pour venir en aide aux handicapés.

Ils ont tous les visages tendus. Lui, sourit et bavarde. Ils sont tous spécialistes d’escalade, lui, découvre. Ils sont sportifs confirmés et, lui, paraplégique déterminé.

Yann Jondot est maire de Langoëlan, dans le Morbihan. Condamné à passer sa vie en fauteuil roulant, il s’est mesuré, vendredi 20 avril, au mur d’escalade du palais des sports de Loudéac (Côtes-d'Armor), dans le cadre de son combat pour faire évoluer l’accessibilité des lieux publics aux personnes handicapées.

« Être handicapé, c’est une compétition »

De démarches en défis de toutes sortes, Yann Jondot multiplie les initiatives pour montrer aussi que « ce sont des tremplins pour aller vers tout le monde ». En octobre 2017, il a réussi l’ascension du Kilimandjaro, en compagnie d’Arnaud Chassery, aventurier, explorateur et épousant les mêmes idées que lui.

Déjà, des résultats tangibles se font jour dans son département. « Je suis intervenu auprès de trois sénateurs du Morbihan. » Des rampes mobiles s’installent à l’entrée des mairies, avec des autocollants précisant les niveaux d’accessibilité.

Sollicité pour participer au Cinescalade, le 26 mai, à Loudéac, il a accepté de venir présenter un film et une séquence sur ce qu’il vient de réaliser sur le mur d’escalade loudéacien. « Être handicapé, c’est une compétition. Je prouve qu’un club d’escalade peut recevoir des handicapés. On part vivre des choses, on reçoit un accueil humain génial pour partager des passions. »

Jusque sur le toit de l'Afrique

Pour Yann Jondot, un club d'escalade est bien plus qu'un simple club. « Cela devient un cadre de valorisation, de partage de richesses humaines, de générosité. Il y a 90 % de cas de handicaps invisibles en France. Le sport doit être le super-support pour pouvoir exister autrement. La différence est une richesse. La motivation, c’est d’apporter un message, montrer ce qu’on peut faire. J’invite les clubs, les entreprises pour partager avec moi. »

Préparé psychologiquement et physiquement, il a montré la voie, escaladé l’espérance avec toute la force de ses bras, de son cœur. « On ne part vivre des choses comme ça qu’avec des gens motivés, généreux, avec un grand sens du partage. » Comme ça s’est passé lors de l’ascension du Kilimandjaro, en Tanzanie, le sommet le plus élevé d’Afrique.

Installé dans un fauteuil spécial appelé joëlette, « des porteurs héroïques » l’ont entouré pendant ces journées. 

Découverte par hasard d'une enzyme mangeuse de plastique

En étudiant une bactérie, l’Ideonella sakaiensis, des chercheurs britanniques et américains ont trouvé une enzyme très gourmande. Une solution face à l’impossible recyclage des emballages ?

Et si les plastiques devenaient tous biodégradables ? Des chercheurs américains et britanniques ont conçu par hasard une enzyme capable de détruire ce type de matière, ce qui pourrait contribuer à résoudre le problème mondial lié à la pollution liée à certains emballages.

 Chaque jour sur la planète, des millions de contenants
en plastiquesont utilisés puis jetés.
Tous ne sont pas recyclés.
 

Si des millions de tonnes de plastique sont recyclées chaque année, des millions sont brûlés en fumées nocives. Malgré des efforts en matière de recyclage, la grande majorité de ces plastiques peut perdurer pendant un millier d’années. Quelque 9 millions de tonnes de plastiques aboutissent chaque année dans les océans, faisant grandir des poches de fragments plastiques appelées « gyres ». Le « septième continent » du Pacifique Nord ainsi créé est grand comme six fois la France.
De nombreux chercheurs sont donc en quête d’un moyen de lutter contre cette « immortalité » du plastique. Des scientifiques de l’université britannique de Portsmouth et du laboratoire national des énergies renouvelables du ministère américain à l’Energie ont concentré leurs efforts sur une bactérie découverte en 2016 au Japon : l’Ideonella sakaiensis.

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Vue microscopique de l’ideonella sakaiensis. 

L’Ideonella sakaiensis 201-F6 se nourrit uniquement d’un type de plastique, le polytéréphtalate d’éthylène (PET) qui entre dans la composition de très nombreuses bouteilles en plastique. Cet appétit lui vient de l’une de ses enzymes, la PETase. Une enzyme est une protéine qui facilite une réaction chimique dans un corps vivant.

Une déglutition très lente


L’équipe américano-britannique a découvert la structure de cette enzyme. « Ils ont été un peu plus loin en concevant par accident une enzyme qui est encore plus efficace pour désagréger les plastiques PET », que la PETase naturelle selon les conclusions publiées lundi dans les Comptes rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).

Les scientifiques s’activent désormais à en améliorer les performances dans l’espoir de pouvoir un jour l’utiliser dans un processus industriel de destruction des plastiques. « La chance joue souvent un rôle important dans la recherche scientifique fondamentale et notre découverte n’y fait pas exception », a commencé John McGeehan, professeur à l’école de sciences biologiques à Portsmouth. « Bien que l’avancée soit modeste, cette découverte inattendue suggère qu’il y a de la marge pour améliorer davantage ces enzymes, pour nous rapprocher encore d’une solution de recyclage pour la montagne en constante croissance de plastiques mis au rebut », a-t-il poursuivi.

L’étude ne dit pas – pas encore — comment utiliser l’enzyme à plus large échelle qu’en laboratoire. Ni ce qu’il adviendrait si ces enzymes étaient multipliées dans la nature. Une fois toutes ces questions réglées, il faudra également renforcer la rapidité de déglutition de l’enzyme, qui est actuellement très lente (0,13 mg par 24 heures).

Actuellement, le recyclage enzymatique le plus rapide est observé chez les larves de Galleria Mellonella, capables d’ingérer 92 mg d’un sac plastique en 12 heures.