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Donald Trump reconnait Jérusalem comme capital d'israel

Malgré les mises en gardes du monde entier, Donald Trump a décidé de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël et d'y établir l'ambassade des États-Unis. Des appels à la grève ont été lancés pour jeudi dans les Territoires palestiniens.



La reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël par le président américain a suscité une vague de condamnations à travers toute la planète, alors que l'on redoute des violences lors de la prière du vendredi.

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Donald Trump a fait - une nouvelle fois - une quasi-unanimité contre lui en annonçant, mercredi soir, sa décision de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'État d'Israël. Cette initiative a même déclenché une levée de boucliers en Cisjordanie et à Gaza. Des heurts entre l'armée israélienne et des manifestants palestiniens ont éclaté, le Hamas appelant à une nouvelle intifada. Dans la communauté internationale, les réactions ont témoigné d'une très large réprobation teintée d'inquiétude face aux conséquences potentiellement explosives de l'annonce du président américain.
Pour la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, le risque est un «retour à des temps encore plus sombres que ceux que nous vivons aujourd'hui». La Russie, qui entretient avec Israël des relations diplomatiques actives, s'est dite «très inquiète». Ce même écho négatif a été propagé par nombre de capitales européennes: une décision «regrettable», selon Emmanuel Macron, tandis qu'Angela Merkel faisait savoir, avec un tweet de son porte-parole, que l'Allemagne «ne soutient pas la position» du président américain.
La Britannique Theresa May a témoigné de la dégradation de la «relation spéciale» du Royaume-Uni avec Washington, en déclarant tout net ne pas «être d'accord avec la décision américaine». Pour le Canada, le premier ministre Justin Trudeau, en visite en Chine, a affirmé que son pays ne déménagerait pas son ambassade à Jérusalem et la maintiendrait à Tel-Aviv, marquant ainsi clairement son désaccord avec M. Trump. L'ONU a rappelé son hostilité à «toute mesure unilatérale». Car l'initiative solitaire de Donald Trump a pris de biais une communauté internationale ayant toujours refusé de reconnaître en Jérusalem la capitale de l'État hébreu. «Il n'y a pas d'alternative à la solution de deux États», avec «Jérusalem comme capitale d'Israël et de la Palestine», a déclaré le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.

Critiques unanimes dans le monde musulman


Significativement, cette vague de réactions critiques a atteint le monde musulman. Traduisant l'embarras des alliés arabes de Washington, l'Arabie saoudite a exprimé ses «profonds regrets», via un communiqué officiel, rappelant que Riyad «a déjà mis en garde contre les graves conséquences que peut avoir cette décision injustifiée et irresponsable». L'Arabie saoudite, principal partenaire des États-Unis dans le Golfe, dit espérer «voir l'Administration américaine revenir sur cette décision» qui «va à l'encontre des droits historiques des Palestiniens à Jérusalem (...) et va compliquer le conflit entre Israël et les Palestiniens».
Selon le président turc, Recep Tayyip Erdogan, dont le pays est membre de l'Otan, la décision américaine inscrit la région dans «un cercle de feu». «Ô Trump, que fais-tu? Quelle est cette approche? Les responsables politiques doivent œuvrer pour la réconciliation et non pas pour le chaos», a dit le chef d'État turc avec force effets oratoires. L'effervescence est sensible dans le monde musulman où des rassemblements ont eu lieu dans plusieurs pays, du Pakistan à la Turquie en passant par la Jordanie et la Tunisie. De nombreux appels à manifester ont été lancés pour les prochains jours, par exemple en Algérie. À Amman, plusieurs centaines de manifestants ont scandé «Mort à Israël» et brûlé des portraits de Donald Trump.

Des vagues jusqu'en Chine


Au premier rang des détracteurs des États-Unis et d'Israël au Moyen-Orient, l'Iran a prédit une «nouvelle intifada». Le ministère iranien des Affaires étrangères a dénoncé une «provocation et une décision insensée de la part des États-Unis (...) qui va provoquer une nouvelle Intifada et pousser à des comportements plus radicaux et à davantage de colère et de violence». Les répercussions de l'annonce américaine ont été sensibles jusqu'en Chine où la préoccupation était palpable jeudi, conduisant le gouvernement à rappeler ses «tables de la loi» diplomatiques. Le statut de Jérusalem est une question «compliquée et sensible», qui doit être résolue «par le dialogue», a estimé le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Geng Shuang.
Ce dernier a rappelé que Pékin «soutient fermement le processus de paix au Proche-Orient» ainsi que les résolutions des Nations unies s'y rapportant, «y compris le statut de Jérusalem» et «un État indépendant de Palestine». L'Afrique n'a pas été en reste. Moussa Faki Mahamat, le président de la Commission de l'Union africaine, a ainsi souligné, dans un communiqué, que celle-ci «regrette cette décision qui ne fera qu'accroître les tensions dans la région et au-delà et compliquer davantage la recherche d'une solution au conflit israélo-palestinien».

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