Peter Madsen, inventeur et propriétaire du sous-marin privé le Nautilus |
Le Nautilus. |
Devant la police, il a nié l'homicide. Une journaliste suédoise, un inventeur et un sous-marin coulé au large des côtes danoises… C'est le casting du polar scandinave de l'été. L'histoire défraie la chronique des faits divers internationaux depuis une dizaine de jours, mais l'identification mercredi d'un tronc humain comme étant celui de la journaliste Kim Wall précise les contours de cette affaire lugubre. Le scientifique excentrique semble le coupable idéal d'un meurtre pour l'instant sans mobile apparent. Peter Madsen est actuellement écroué pour «homicide involontaire par négligence». Après la découverte du cadavre, il est maintenu en détention pour meurtre.
Un tronc retrouvé au Danemark
Ce dernier a été secouru le 11 août par un plaisancier, avant le naufrage de son bâtiment qu'il est soupçonné d'avoir lui-même sabordé. Après d'intenses recherches en mer, le tronc lesté de Kim Wall, dont les membres et la tête ont été délibérément sectionnés, a été découvert lundi 21 août en baie de Køge, non loin de la capitale danoise, par un cycliste.
A 30 ans, la journaliste avait écrit pour les plus prestigieux quotidiens, du "Guardian" au "New York Times", couvrant tous les sujets sur tous les terrains. Des rescapés indigents du séisme en Haïti aux femmes journalistes en Ouganda, des athlètes américains obèses à l'essor du tourisme en Corée du Nord, Kim Wall parcourait inlassablement la planète en quête de destins aussi singuliers qu'universels.
C'est pourtant à quelques kilomètres de sa ville natale qu'elle a trouvé la mort. La disparition de la jeune femme avait été signalée le 11 août par son compagnon, avec qui elle devait s'installer à partir du 15 août en Chine.
Un tronc retrouvé au Danemark
Ce dernier a été secouru le 11 août par un plaisancier, avant le naufrage de son bâtiment qu'il est soupçonné d'avoir lui-même sabordé. Après d'intenses recherches en mer, le tronc lesté de Kim Wall, dont les membres et la tête ont été délibérément sectionnés, a été découvert lundi 21 août en baie de Køge, non loin de la capitale danoise, par un cycliste.
A 30 ans, la journaliste avait écrit pour les plus prestigieux quotidiens, du "Guardian" au "New York Times", couvrant tous les sujets sur tous les terrains. Des rescapés indigents du séisme en Haïti aux femmes journalistes en Ouganda, des athlètes américains obèses à l'essor du tourisme en Corée du Nord, Kim Wall parcourait inlassablement la planète en quête de destins aussi singuliers qu'universels.
C'est pourtant à quelques kilomètres de sa ville natale qu'elle a trouvé la mort. La disparition de la jeune femme avait été signalée le 11 août par son compagnon, avec qui elle devait s'installer à partir du 15 août en Chine.
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