20 ans après la disparition de la princesse de Galles lors d'un tragique accident à Paris, ce film documentaire choc, fait des révélations incroyables. On pensait tout savoir des circonstances qui ont entouré le décès tragique de la princesse Diana. Et pourtant, 20 ans après, ce film documentaire vous dévoile de nouveaux éléments qui jusqu'alors avaient été gardés secrets et qui viennent étayer un nouveau scénario du drame. Car aujourd'hui, après une longue enquête de l'agence de presse Tony Comiti et des journalistes de Paris Match, auteurs du livre « Qui a tué Lady Di ? », publié prochainement chez Grasset, nous sommes en mesure de révéler une nouvelle information, négligée à l'époque par les enquêteurs français et ceux de Scotland Yard. À partir du dossier d'instruction et des centaines de procès-verbaux que les auteurs ont pu consulter, ils ont repris toute l'enquête, procédé à des reconstitutions grandeur nature, sollicité les meilleurs experts et retrouvé des témoins qui n'avaient, jusqu'à présent, jamais parlé. Le 31 août 1997, une voiture percute à vive allure le treizième pilier du tunnel de l'Alma, à Paris. L'accident coûte la vie à la princesse Diana, à son compagnon, Dodi Al-Fayed, ainsi qu'au chauffeur du véhicule, Henri Paul. Seul le garde du corps du couple, Trevor Rees-Jones, parvient à s'en sortir. Sur les causes du drame, plusieurs hypothèses sont avancées, notamment sur la responsabilité des photographes qui suivaient alors Lady Di. Mais près de 20 ans plus tard, une nouvelle enquête met en lumière un élément crucial, qui, à l'époque, n'a pas été pris en compte par les policiers français et britanniques. Des témoins, qui jusqu'ici avaient gardé le silence, prennent également la parole pour éclairer les circonstances de l'accident...
Peer de Jong, vous avez occupé une fonction méconnue, voire inconnue du grand public. Quel est le rôle de l’aide de camp ?
La
fonction est effectivement méconnue. L’aide de camp est un homme de
l’ombre. Il n’existe pas de fiche de tâches, d’organisation écrite sur
ce qu’il doit faire. Il n’a qu’un chef, c’est le chef de l’État dont il
dépend directement. La première mission est de régler les affaires
privées du Président, c’est-à-dire tout ce qui concerne son
environnement immédiat. On prépare les voyages officiels, leur
sécurisation. On passe les commandes d’avions, on s’occupe des listes et
de la répartition des invités, etc. On assure la liaison avec les
armées, notamment sur le sujet de la dissuasion.