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Retraité, il résout un des grands mystères de maths




Alors qu’il se brossait les dents, Thomas Royen, un retraité allemand, a élucidé un problème mathématique irrésolu depuis des décennies. Passée inaperçue en 2014, l’histoire fait aujourd’hui son chemin.
C’est une histoire hors du commun, et pourtant, elle a tardé à se faire connaître. Un matin de juillet 2014, Thomas Royen, un statisticien allemand âgé de 67 ans, trouve enfin la solution à l’inégalité de corrélation Gaussienne (GCI). Au carrefour de la géométrie, de la probabilité et des statistiques, la question gaussienne a occupé les experts pendant plusieurs décennies sans que jamais personne ne trouve la réponse.
Et c’est en se brossant les dents, tout simplement, que le retraité a finalement trouvé la solution du problème. Et à l’aide d’équations des plus classiques, à la grande surprise de ses collègues.

40 ans de recherches

« Je connais des gens qui ont travaillé sur le sujet pendant près de 40 ans », affirme Donald Richards, professeur en statistiques à l’université de Pennsylvanie. Interrogé par le magazine américain de physique Quanta, le mathématicien avait lui même étudié le problème ces 30 dernières années. « Je dois dire que quand j’ai vu le résultat, c’était un soulagement. Je me souviens m’être dit à moi-même que j’étais heureux de voir ça avant de mourir. »

Posé d’abord dans les années 50, le problème est regardé avec beaucoup d’attention par les statisticiens à partir de 1972. Thomas Royen commence à se pencher sérieusement sur la question lors de son installation à l’université allemande de Bingen, en 1985. La solution ne viendra que 30 ans plus tard, le 17 juillet 2014. « Le soir même, la première version de ma démonstration était écrite », raconte le mathématicien.

Publiée, puis oubliée
Postées sur un site académique, envoyées par mail à quelques collègues mathématiciens, les conclusions de Thomas Royen tombent pourtant dans l’oubli. Le statisticien se refuse à écrire un article dans une revue reconnue, estimant ne pas avoir de carrière professionnelle à construire, et se contente d’une brève publication dans un journal inconnu des experts.
Difficile de croire, au XXIe siècle, qu’une telle découverte puisse mettre tant de temps à faire surface. « C’était clairement un manque de communication dans une époque où il est très facile de communiquer, avance Bo’az Klartag, membre de l’École des sciences mathématiques de Tel Aviv, qui était passé à côté de la nouvelle. Mais qu’importe, nous avons fini par la trouver. Et c’est magnifique. » Thomas Royen espère quant à lui que cette « étonnamment simple solution » encouragera les jeunes étudiants à se servir de leur propre créativité pour trouver de nouveaux théorèmes mathématiques.

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