Ces clichés ont été pris sur la planète Rouge depuis l'arrivée du robot de la Nasa, le 6 août 2012
Curiosity cible Marimba
Curiosity cible Marimba
La NavCam de Curiosity a photographié la cible Marimba et le bras du rover. Celui-ci va broyer la roche pour l'analyser.
Curiosity traverse le plateau Naukluft
Le plateau Naukluft traversé en mars et avril 2016.
Curiosity : un autoportrait
Ce fameux autoportrait de Curiosity a été réalisé grâce au bras articulé du rover sur lequel est placé MAHLI.
Gros plans sur la roue de Curiosity
Cette photo prise le 30 avril 2015 montre la pierre coincée entre les rainures d'une des 6 roues de Curiosity.
Curiosity laisse sa trace
A 70 mètres de son site d'atterrissage, Curiosity constate qu'il pourra être suivi à la trace. Mais par qui ?
Les caméras de Curiosity
Curiosity ? Ou Big Brother ? Avec pas moins de 17 caméras embarquées, il n'y a pas grand chose qui échappe à la vigilance du rover. Les martiens n'ont qu'à bien se tenir !
La "carte d'identité" de Curiosity
La signature de Barack Obama, celle du vice-président Joe Biden... La carte d'identité de Curiosity est à jour !
Le drapeau américain sur la carcasse de Curiosity
Ce médaillon en aluminium fait 66 millimètres de diamètre. Curiosity en possède trois autres : un de la NASA, l'autre représentant le logo du JPL. Le dernier est celui de sa mission martienne.
Les roues de Curiosity
C'est par un effet de mosaïque que Curiosity a pu livrer ce gros plan de ses trois roues de gauche avec en arrière plan les monts martiens.
CHEMCAM, un instrument de Curiosity
Outre la flexibilité des suspensions qui permettent à Curiosity de travailler sur des terrains accidentés, cette vue d'artiste montre l'utilisation du CHEMCAM. Le CHEMCAM est un instrument d'analyse élémentaire des roches et des sols autour du rover jusqu'à 9 mètres. Il utilise la technique d'analyse spectroscopique induite par ablation laser (LIBS). Après avoir envoyé le faisceau laser, l'instrument collecte la lumière émise par l'échantillon visé pour en faire une analyse spectrale permettant d'en déterminer la composition chimique.
Le bras de Curiosity
Long d'1,90 m et capable de mouvements dans toutes les directions, le bras articulé est l'instrument essentiel à Curiosity pour son exploration du sol martien. Au bout de celui-ci une "main" multitâches.
Le porte-outils de Curiosity
Filmer, forer, brosser, collecter, analyser, les nombreux instruments qui composent ce porte-outils de haute technologie sont d'une grande précision et permettent d'ausculter le sol martien sous toutes ses coutures.
Au bout du bras de Curiosity, l'APXS
Du bout du bras robotique du rover, l'APXS (Alpha Particule X-Ray Spectrometer) s'approche des échantillons à analyser pour les bombarder de particules alpha (des noyaux d'hélium chargés) et de rayons X, afin d'étudier les propriétés de l'énergie émise en retour par l'échantillon. L'analyse complète d'un échantillon, visant à déterminer les éléments qu'il contient, prend de deux à trois heures. Une analyse plus rapide peut être effectuée en une dizaine de minutes.
MAHLI : une caméra pour Curiosity
En rose, MAHLI (Mars Hand Lens Imager) est une caméra microscope capable de caractériser la composition et la microstructure des roches à une échelle comprise entre le micron et le centimètre. C'est aussi cet instrument qui capte les plus belles images prises par Curiosity. A droite, la brosse qui permet de déblayer le sol martien de sa poussière.
Curiosity : un coup de brosse !
Et quand Curiosity a passé le balai, pas besoin de repasser derrière lui.
Curiosity utilise MAHLI même de nuit
MAHLI peut être utilisée de nuit grâce à quatre LEDs qui éclairent la cible en lumière blanche. Des LEDs émettant dans l'ultraviolet peuvent également être utilisées pour étudier la fluorescence de certains minéraux.
Curiosity, photographe de nuit
Photo prise de nuit grâce aux LEDs de MAHLI.
Curiosity cible un rocher martien
Un rocher martien pris en haute définition par la caméra MAHLI qui équipe le bras robotique de Curiosity.
Un taxi pour Curiosity
Au Kennedy Space Center de la NASA en Floride l'assemblage de la capsule qui transportera Curiosity jusque sur la planète Rouge se fait dans un environnement stérile.
Le bouclier de Curiosity
En plus du rover, le bouclier arrière contient le parachute qui se déploira après l'entrée de la capsule dans l'atmosphère et l'étage de descente qui prendra en charge la dernière phase de la descente en déposant en douceur Curiosity grâce à ses réacteurs.
Gros plan sur le bouclier thermique de Curiosity
Le bouclier thermique avant est une structure de 4,5 m de diamètre. Il est recouvert d'un assemblage de tuiles faites d'un matériau ablatif, le PICA, qui évacue la chaleur en s'évaporant progressivement. Les ingénieurs effectuent les dernières vérifications sur le bouclier qui devra résister à l'entrée dans l'atmosphère de Mars, au risque de perdre le rover. Lourde responsabilité.
Curiosity pendant son "encapsulage"
L'assemblage du bouclier arrière et du bouclier thermique laisse apercevoir les roues de Curiosity. La prochaine fois que le rover verra le jour, ce sera sur Mars.
Curiosity, avant le décollage
Dans son écrin, Curiosity attend d'être embarqué à bord de sa fusée. En espérant qu'il n'ait rien oublié...
La fusée de Curiosity
Le carénage de la fusée Atlas V est conçu pour protéger la capsule des vibrations, de la pression et de la chaleur qui surviendront au moment du décollage et de l'ascension de la fusée à travers l'atmosphère terrestre.
Décollage de l'Atlas V, qui va conduire Curiosity vers Mars
Le 26 novembre 2011, la fusée Atlas V décolle de Cap Canaveral en Floride, emportant avec elle le précieux robot.
Une vue d'artiste de la fusée de Curiosity
Une fois la fusée sortie de l'atmosphère, ses différents étages sont largués dans l'espace. (Vue d'artiste)
La sonde transportant Curiosity
Le module transportant Curiosity fera le voyage de 9 mois à l'aide de l'étage de croisière, structure cylindrique en aluminium de 4 mètres de diamètre. C'est cet étage qui permet les ajustements de direction pendant le trajet. Il sera abandonné juste avant l'entrée dans l'atmosphère martienne.
Des ingénieurs travaillent sur un modèle de Curiosity
Des ingénieurs travaillent sur un modèle de Curiosity au Jet Propulsion Laboratory, le 2 août 2012, 3 jours avant l'atterrissage du "vrai"
Curiosity, Opportunity et Spirit
C'est la photo de famille. Chacun des 3 rovers envoyés sur Mars possède sa réplique sur Terre. Elles permettent aux ingénieurs de simuler sur Terre les éventuelles complication rencontrées sur Mars. Ici,malgré son jeune âge, Curiosity fait office de grand frère devant Opportunity et Spirit.
Le plan d'atterrissage de Curiosity
Schéma décrivant les différentes étapes de l'atterrissage. Entrée dans l'atmosphère, déploiement du parachute, largage du bouclier thermique et prise en charge du rover par l'étage de descente.
La chute du bouclier thermique en HD
La chute du bouclier thermique de Curiosity en HD.
Curiosity : la chute en image de synthèse
Vue d'artiste de l'atterrissage après le largage du bouclier thermique et le déploiement du parachute.
La descente de Curiosity vue par l'instrument HiRISE
La descente de Curiosity vue par l'instrument HiRISE, un appareil de prise de vue du satellite MRO, en orbite autour de Mars.
Curiosity : un atterrissage en image de synthèse
Après l'abandon du bouclier arrière et du parachute, c'est l'étage de descente qui prend le relais pour déposer délicatement Curiosity sur le sol martien.
Curiosity tombe sur un "Egg rock"
En octobre 2016, le rover Curiosity de la NASA a déniché cette roche aux dimension comparables à celles d'une balle de golf. C'est un fragment de météorite, composé notamment de fer, de nickel et de phosphore. L'objet a été baptisée "Egg rock".
Soulagement au JPL après l'arrivée de Curiosity sur Mars
Le 5 août 2012, après de longues minutes d'angoisse, les membres du Jet Propulsion Laboratory célèbrent l'atterrissage réussi.
La joie de la salle de contrôle après l'arrivée de Curiosity
La joie de la salle de contrôle au JPL (Californie) alors que Curiosity est arrivé sur Mars.
"Curiosity, c'est là qu'il faut atterrir !"
Encerclé en noir, le site d'atterrissage assigné au rover, au nord du cratère Gale.
Le site d'atterrissage de Curiosity
Image satellite du site d'atterrissage avec les différents éléments de la sonde.
Le cratère Gale où est arrivé Curiosity
Le cratère Gale où a atterri Curiosity le 5 août 2012 fait 154 km de diamètre et possède en son centre un mont de 5.000 m d'altitude. Un terrain de jeu idéal pour le rover.
Vue matinale du cratère Gale
Au levé du soleil, entre ombre et lumière, on reconnaît le cratère Gale grâce au mont qui se trouve au centre.
Curiosity est dans le cratère Gale
Une vue prise par Curiosity depuis la paroi nord du cratère Gale.
Curiosity : les caméras hazcam
Les HAZCAM (Hazard Avoidance Cameras) sont situées à l'avant et sur les côtés du rover. Curiosity en possède 4 fois 2 paires.
Curiosity a des caméras pour détecter les obstacles
Les HAZCAM ne sont pas des caméras scientifiques. Elles servent à repérer et éviter les obstacles lors des déplacements du rover.
L'ombre de Curiosity après son atterrissage sur la planète Mars
L'ombre portée de Curiosity sur le sol martien est la toute première image du rover qui nous soit parvenue de Mars. Elle a été prise par les HAZCAM.
Première vue de Mars par Curiosity
Une photo fournie par la NASA le 7 août 2012. La première image en couleur prise par Curiosity. "Peut mieux faire..."
le panorama Rocknest par Curiosity
Après quelques réglages, voici un panorama en haute définition du site Rocknest pris entre octobre et novembre 2012.
Curiosity a aussi une foreuse
Autre instrument essentiel placé au bout du bras de Curiosity, la foreuse PADS. Elle peut percer les roches jusqu'à 5 cm de profondeur. Si jamais le foret se coince dans un rocher, il peut être désenclenché et remplacé. Deux forets de rechange sont disponibles à l'avant du rover. Un aspirateur, visible au centre de l'image en bas à droite, collecte les échantillons et les stocke avant qu'ils soient transmis au système de tamisage (CHIMRA).
Curiosity : CHIMRA, pour filtrer les roches
L'instrument CHIMRA qui sépare les grains en deux catégories : ceux de moins de 1mm ou ceux de moins de 150µm, avant qu'ils ne soient transmis aux laboratoires de Curiosity situés dans le "corps" du robot.
Schémas d'une foreuse
Schémas de la foreuse PADS. Elle est équipée de 2 tiges de butée qui permettent de stabiliser le foret.
Curiosity : un trou sur John Klein
Le premier forage effectué par Curiosity sur une roche baptisée John Klein le 20 février 2013. Après analyses, les échantillons ont révélé une preuve d'un passé favorable à la vie microbienne sur la planète Mars.
Un échantillon de roche martienne prélevé par Curiosity
Un échantillon de roche martienne prélevé par Curiosity.
Extrait d'un panorama de Curiosity sur le Mont sharp
Un extrait du panorama fait par Curiosity du mont Sharp, qui surplombe son site d'atterrissage.
L'illusion du lézard martien
Y a-t-il un lézard sur Mars ? Hélas, juste une "paréidolie", autrement dit l'illusion classique qui consiste à reconnaître des formes diverses et variées dans des nuages ou des cailloux.
Mars flower
Une autre curieuse photo prise par le rover martien au début de l'année 2013. Cet objet aux airs de matière organique n'est finalement pas une fleur de Mars, mais une structure concentrée de minéraux agrégés.
Du plastique sur Mars
En octobre 2012, ce mystérieux objet a fait le "buzz". Etait-ce là du plastique d'Alien ? Non. C'est bien du plastique, mais c'est Curiosity qui l'a laissé trainé.
L'ombre portée du rover sur le sol Martien
L'ombre portée du rover sur le sol Martien. Notez le QR Code juste à la droite du dessin de Curiosity, sur la carcasse du robot: il permettra bientôt d'être utilisé avec des smartphones pour avoir des infos sur la mission.
La pelleteuse de Curiosity
Une sorte de petite pelleteuse permet à Curiosity de prélever un peu de sable martien. Ces échantillons sont ensuite mis à disposition des instruments CheMin et SAM.
Curiosity : des traces de pelleteuse
Les traces laissées par la pelleteuse de 4 cm de large dans le sable martien.
Curiosity : tout premier échantillon
La partie de l'échantillon qui n'est pas utilisée est déversée sur le plateau d'observation situé sur l'avant du rover et examinée par les instruments MAHLI et APXS. Ici le tout premier échantillon laissé à leur bon soin.
Le tamis de Curiosity
C'est sur ce tamis que la poussière martienne est versée. Elle est ensuite avalée vers le laboratoire interne de Curiosity.
Curiosity : le robot à deux bouches
Curiosity possède 2 de ces "bouches". Elles sont équipées de systèmes de fermeture automatique.
Curiosity : la trace d'une rivière ?
Les scientifiques voient dans cette photo l'ancien lit d'une rivière. Preuve qu'il y a eu de l'eau à l'état liquide sur la planète Rouge.
Curiosity traque l'eau
Les spécificités géologiques de cette roche indiquent qu'elle a été travaillée par un cours d'eau.
Des traces d'eau passée sur Mars ?
L'image de gauche est un détail de la précédente photo. Celle de droite a été prise sur Terre dans le lit d'une rivière asséchée. La ressemblance est frappante.
Curiosity a la recherche d'anciennes traces d'eau
Photo d'un autre site qui a convaincu les scientifiques que l'eau a un jour coulé sur Mars.
Cumberland : un second site de forage
Cumberland, le second site de forage assigné à Curiosity se trouve à 2,75 mètres à l'ouest du premier, John Klein.
Un trou sur Cumberland
Le rover a procédé au forage et à l'échantillonage avec succès le 19 mai 2013.
Curiosity : mont Sharp en visée
Les bases rocailleuses du mont Sharp, aussi connu sous le nom d'Aeolis Mons, au centre du cratère Gale. Après le second forage effectuée sur la roche Cumberland, c'est la prochaine destination de Curiosity.
Les roues de Curiosity
Les traces laissées par les roues de Curiosity sur Mars. Cette photo (aux couleurs retravaillées par les ingénieurs de la Nasa) a été prise le 9 février 2014, au 538e jour martien du périple du rover.